L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[affixe]

Elle entendait les gardes se rapprocher, elle fit accèlerer le pas

La sortie n'est pas loin, allez y.

Regardant le primus et les autres hazams, ils firent volte face tout en continuant de reculer leur arme à la main. Un garde se détachait des autres et se rapprochait de leur groupe

Celui là je m'en occupe, surveillez les autres.
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Affixe de Guémandeuc.

[amytiville]

Amytiville avait vu le signal du 1er Lieutenant mais il n'avait pas réagi directement car il étudiait la situation avant de faire quelque chose d'irréfléchi. Il vit tout d'abord partir Sapajou et se dit que sa fougue vers l'inconnu lui jouerait des tours. Il ne fut pas surpris de l'entendre crier pour que l'on vienne à son aide. Jontas venait de partir lorsqu'Amytiville décida de foncer dans le tas afin de rejoindre le plus rapidement possible Sapajou. Amytiville avait plus ou moins calculé l'endroit où se trouvait Sapajou au son de sa voix, il devait être une quinzaine de mètres devant lui sur la gauche.

Amytiville partit alors en ligne droite sans regarder ce qui se passait autour de lui; de toute façon, avec toute la fumée, c'était quasiment peine perdue d'essayer de s'attarder sur les ombres. Il bouscula plusieurs personnes sans pour autant perdre son équilibre. Dans sa course, il percuta une personne de plein front, celle-ci fut projetée à terre et Amytiville s'arrêta aussitôt car la personne qu'il venait de faire tomber n'était point une personne en détresse, il avait vu le scintillement d'une arme le long de la jambe droite de la personne juste avant l'impact. Il sortit alors son épée et dit :

Lève-toi immédiatement et battons-nous à la loyal, je ne suis pas du genre à abattre une personne qui est à terre sans arme dans la main.
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Bien à vous,

[affixe]

Elle vit un de ses hazams en difficulté menacé par une garde et courut vers lui, lui tendant la main pour qu'il se relève les protegeant de son épée, elle regarda leur adversaire.

Nous ne voulons pas de sang, laissez nous sortir.

Le groupe était pratiquement sortis de l'enceinte.
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Affixe de Guémandeuc.

[amytiville]

Amytiville vit une femme relevé l'homme qui était par terre, elle lui dit quelque chose et il lui répondit :

Vous ne voulez par faire couler le sang mais vous venez mettre la panique chez ses braves gens... Cela est encore plus vile que de s'en prendre à un homme armé.
Je ne vous laisserai pas partir et j'emploierai la force si besoin en est.

Amytiville émit alors un petit son guttural afin de prévenir ses amis qu'il avait trouvé des personnes suspectes. Il se placa devant les 2, ils devraient lui passer sur le corps pour pouvoir quitter la place sans se faire prendre. Si ils l'attaquaient ensemble, il risquerait fort de ne pas pouvoir résister mais si tel était le cas, il se jura de faire payer un des 2.
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Bien à vous,

[affixe]

Son regard devient dur, son visage se figea, elle fit un léger signe à son frère hazam.

Celui ci attira l'attention du garde, tandis qu'elle se mettait en retrait puis profitant de l'inattention de celui ci, elle se glissa derrière, lui mettant sa dague sous le cou.

Maintenant un seul cri, tu es mort nous allons sortir d'ici avec toi.

Faisant signe à ses compagnons, ils continuerent les derniers mètres qui les séparaient de la sortie.

Ils franchirent tous la porte et arrivés à leurs chevaux, elle relacha le garde.

Retourne dans ce monde de fourbes.
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Affixe de Guémandeuc.

[Père Pobelcourt]

Pobelcourt n'en revenait pas

Mon lieutenant,

À moins que vous voulez les faire prisonnier je vous interdit de les tuer si il ne vous attaque pas. Il s'en vont, laissons les partirs ça leur apprendra à venir à Rome troubler le silence. Même si ils se sont écarté de la voie de Dieu, ne détruisons pas ses créations, il y a des manières plus pacifiques.

Je vous laisse prendre la décision.
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Mgr. Philippe Orier Bellecour
Prêtre de la Saincte Église Aristotélicienne
Dignitaire Cistercien ad vitam
Ex-Recteur Cistercien
Ex-Archevêque Métropolitain d'Embrun

[Anirbas]

Ah c'est vous Pobelcourt! Il n'a jamais été dans mes intention de leur faire du mal, ce serait trop bon pour eux, je ne veux que les chasser de Rome et, comme je le vois, nos gardes semblent les refouler hors de l'enceinte.


Sur ce, Anirbas réenfourcha sa monture et dit à ses hommes de rabattre les averroïstes vers l'extérieur.


Faites place nette qu'on en finisse!
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[Jontas]

Jontas commençait à y voir un peu plus dans cette épaisse fumée qui commençait à se dissiper.
Il vit un groupe qui fuyait vers la porte de la place et suite aux ordres du premier lieutenant, il se contenta de les suivre jusqu'à l'entrée sans tenter de les attaquer.
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[sapajou]

sapajou entendit ordres du premier lieutenant et rabattre les averroïstes vers l'extérieur.
et les suivre jusqu'à l'entrée sans tenter de les attaquer.
Pour les chasser de Rome

[amytiville]

Amytivile s'était fait surprendre par la jeune femme. Il suivit ses instructions bien que cela ne lui plaisait guère de se faire traiter de la sorte. Une fois qu'elle était arrivée auprès de chevaux avec ses amis, elle poussa Amytiville afin de le relacher. Amytiville les regarda partir impuissant. Il dit alors :

Hé bien maintenant que dois-je faire? Ils sont tous partis...
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Bien à vous,

[Benedictus]

Les Averroïstes montèrent à cheval et s'éloignèrent dans un grand nuage de poussière.
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Grand Maistre de l'Ordre de Saint Lazare.
Théologue du Saint Office.

[Anirbas]

Anirbas resta un long moment aux portes de Rome à regarder le nuage de poussière qui s'éloignait. Il se retourna vers ses soldats et leur dit:

Bravo, nous les avons mis dehors. La prochaine fois nous serons moins gentils avec eux. Regagnons la caserne pour effectuer le compte rendu des évênements.
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