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[Création] Partie II - La vie

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Jeu Juin 01, 2006 9:40 am    Sujet du message: [Création] Partie II - La vie Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la Création, revu et corrigé : > ICI <

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Création II: La vie

Mais Dieu était parfait, alors que Sa création était imparfaite. Alors qu’Il était conscient de Lui-même, Sa création ne pensait pas. Alors qu’Il choisissait ce qu’Il faisait, Sa création ne faisait que s’adapter. Alors qu’Il était capable de créer, Sa création ne faisait que se suffire à elle-même. Alors qu’il voulait aimer Sa création et être aimé d’elle en retour, elle en était incapable.

Dieu réunit alors l’amour qu’Il avait en Lui. Il en fit l’esprit, qui ne pouvait être ni touché, ni vu, ni senti, ni goûté, ni entendu, car il était différent de la matière. L’esprit contenait l’intelligence, composée de la raison et des sentiments. Dieu y avait mis le plus de Lui-même: la capacité de choisir et celle de ressentir. Le Très Haut associa la matière à l’esprit, pour que ce dernier puisse exister en harmonie avec le monde, et nomma le tout “vie”.

Mais la vie était imparfaite. Bien que créée par Dieu et composante de Lui, elle n’était pas Lui tout entier. Sa capacité de choisir était partielle, car son savoir et son pouvoir n’était pas illimités. Sa capacité de ressentir était tronquée, car elle était composée de matière, neutre et impersonnelle. Mais Dieu voulait aimer la vie et que la vie l’aime en retour.

Mais, pour que Dieu et la vie puissent s’aimer mutuellement, il fallait que cette dernière s’efforce constamment de se rapprocher de la perfection divine. Car elle était incapable de l’égaler. Le Très Haut créa donc le troisième mouvement: les choses supérieures iraient vers Dieu. Ainsi, la matière dont la vie était composée étant une chose lourde, elle fut posée sur le monde, car elle allait vers le bas. Mais, comme elle était aussi composée d’esprit, qui était une chose supérieure, elle tendrait vers la perfection divine.

Et sur le monde, la vie prit une multitude de formes, des plus petites aux plus grandes. Les végétaux s’emplissaient de la lumière des étoiles, couvrant ainsi le monde d’une couche de verdure. Les animaux gambadaient ou voletaient entre les végétaux. Ainsi, alors que Dieu semblait immobile, la vie se manifestait par un mouvement incessant. En effet, Dieu, étant éternel, n’était pas soumis à ce besoin perpétuel de mobilité qui faisait que la vie était sans cesse en activité. Il paraissait ainsi être immobile. Mais c’est cette action ininterrompue que Dieu aimait par dessus tout observer dans Sa création.

Mais Dieu n’avait pas conçu le mouvement de la vie comme une force infinie et, pour qu’il se perpétue, il fallait que l’animal broute le végétal, que le prédateur dévore la proie, et que les cadavres d’animaux pourrissent pour nourrir les végétaux. Ainsi, la mort faisait partie intégrante de la vie. Mais, pour que cela ne détruise pas Ses créatures, Dieu partagea chaque espèce en deux principes complémentaires, qu’il appela masculin et féminin. Tous deux étaient égaux et devaient se rechercher pour s’unifier, et ainsi perpétuer la vie.

Ainsi, de la vie Dieu créa le temps, où la mort succède à la vie, la vie à la mort, et la progéniture à ses géniteurs. De même, l’eau rejoignait le ciel pour descendre sur terre et alimenter les rivières, et le feu sortait des volcans pour alimenter la terre, qui s’accumulait pour nourrir le feu en son sein. Le monde tout entier était uni dans un mouvement perpétuel de vie, alors que Dieu paraissait immobile, échappant aux contraintes du temps.


Spyosu
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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Mar 31, 2007 11:43 am    Sujet du message: Répondre en citant

Creación II: La vida

Pero Dios era perfecto, mientras que Su creación era imperfecta. Mientras que era consciente de sí mismo, Su creación no pensaba. Mientras que elegía lo que hacía, Su creación no hacía más que adaptarse. Mientras que era capaz de crear, Su creación no hacía más que bastarse a sí mismo. Mientras que quería Su creación y ella a cambio lo ame, ella era incapaz hacerlo.

Dios reunio entonces el amor que tenía en él. Hizo el espíritu, que no podía ni estar tocado, ni visto, ni sentido, ni probado, ni oído, ya que era diferente de la materia. El espíritu contenía la inteligencia, compuesta de la razón y los sentimientos. Dios allí había puesto el más de sí mismo: la capacidad de elegir y la experimentar. El Muy Alto asoció la materia al espíritu, para que esta última pueda existir en armonía con el mundo, y nombró todo ello "vida".

Pero la vida era imperfecta. Aunque creada por Dios y componente de él, no era todo él por completo. Su capacidad de elegir era parcial, ya que su conocimiento y su poder no era ilimitados. Su capacidad de experimentar estaba truncada, ya que se componía de materia, neutro e impersonales. Pero a Dios quería amar la vida y que la vida lo ame a cambio.

Pero, para que Dios y la vida puedan amarse mutuamente, era necesario que ella se esfuerze constantemente en acercarse de la perfección divina. Ya que era incapaz de igualarla. El muy arriba creó pues el tercer movimiento: las cosas superiores irían hacia Dios. Así pues, la materia cuya vida se componía siendo una cosa pesada, fue colocada sobre el mundo, ya que iba hacia abajo. Pero, como también se componía de espíritu, que era una cosa superior, tendería hacia la perfección divina.

Y sobre el mundo, la vida tomó una multitud de formas, de las más pequeñas a las más grandes. Los vegetales se llenaban de la luz de las estrellas, cubriendo así el mundo de una capa de verdor. Los animales brincaban o volaban por todas partes entre los vegetales. Así pues, mientras que Dios parecía inmóvil, la vida se manifestaba por un movimiento incesante. En efecto, Dios, siendo eterno, no se sometía a esta necesidad perpetua de movilidad que hacía que la vida estaba siempre en actividad. Parecía así ser inmóvil. Pero es esta acción ininterrumpida que a Dios le gustaba lo màs observar en toda en Su creación.

Pero Dios no había concebido el movimiento de la vida como una fuerza infinita y, para que se perpetúe, era necesario que el animal pasta el vegetal, que el depredador devora la presa, y que los cadáveres de animales se descompusieran para alimentar los vegetales. Así pues, la muerte formaba parte integrante de la vida. Pero, para que eso no destruyera Sus criaturas, Dios compartió cada especie como dos principios complementarios, que llamó masculino y femenino. Ambos eran iguales y debían buscarse para unificarse, y así perpetuar la vida.

Así pues, de la vida Dios creó el tiempo, donde la muerte sucede a la vida, la vida a la muerte, y la progenitura a sus genitores. Del mismo modo, el agua se incorporaba al cielo para bajar sobre tierra y abastecer los ríos, y el fuego salía de los volcanes para abastecer la tierra, que se acumulaba para alimentar el fuego en el mismo. Todo el mundo se unía en un movimiento perpetuo de vida, mientras que Dios parecía inmóvil, escapando a las coacciones del tiempo.
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Sjnoel



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MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Schepping II: Het Leven


Maar God was perfect, zoals Zijn schepping niet perfect was. Maar zoals Hij overtuigd van Zichzelve was, was Zijn creatie onwetenloos. Maar zoals Hij zelf beslistte wat Hij deed, deed Zijn schepping zichzelf alleen maar adapteren. Maar zoals Hij in staat was om te maken, nam Zijn creatie alleen maar genoegen met zichzelf. Maar zoals Hij Zijn schepping wou liefhebben en geliefhebben worden, was deze daar niet toe in staat.

God nam bijeen al de liefde die Hij in Zich had. Hij maakte daarvan de geest, die niet aangeraakt kon worden, noch zichtbaar kn zijn, noch geroken kon worden, noch geproeft kon worden, noch gehoord kon worden, want deze was anders dan de materie. De Zeer-Hoge deed de materie en de geest te samen, zodat deze laatste een harmonie met de aarde kon vormen, en Hij noemde het "leven".

Maar het leven was niet perfect. Zelfs deze gemaakt te zijn door God en uit Hem ontstaan te zijn, was deze Hem niet helemaal. Haar mogelijkeden om te kiezen waren gestrengd, omdat zij niet een oneindige kennis en macht bezat. Haar mogelijkheden om te voelen, waren eveneens beperkt, want zij bestond uit materie, neutraal en onpersoneel. Maar God wou het leven liefhebben en dat ook terug verwachten.

Maar, zodat God en het leven elkaar konden liefhebben, was het noodzakelijk dat deze laatste zich alsmaar dichterbij de goddelijke perfectie kon begeven. Want zij was incapabel om deze te evenaren. De Zeer-Hoge, maakte dus een derde beweging: de betere dingen zouden zich een weg naar God banen. Zodus, de materie, waarvan het leven was gemaakt, was een zwaar ding, want zij ging naar onder. Maar omdat zij ook bezeten was van de geest, die een superieur iets was, deed haar naar de goddelijke perfectie duiden.

En op de wereld, nam het leven een oneindigheid aan vormen, van de kleinste tot de grootste. De planten vulden zich met het licht der sterren, zo dekkend de wereld van een groene laag. De dieren liepen of vlogen door en tussen de planten. En dus, toen God immobiel leek, was het leven in volle bloei. Inderdaad, God, Zijnde eeuwig, was niet verplicht tot beweging die het er toe maakte dat het leven in beweging was. Hij leek dus onbeweegbaar. Maar Hij hield van de mobiliteit van het leven daar op aarde, Zijn Schepping.

Maar God had het leven niet gemaakt om een oneindige kracht te zijn en, om het leven te laten leven, moesten de dieren de planten eten, dat de roofdieren de prooien verslinden, en dat de cadavers van de dode dieren de planten laten groeien. Zodus, de dood was een van de caracteristieken van het leven. Maar om Zijn Creatie niet te laten uitsterven, God schijde iedere soort in twee aanvullende princiepes, die Hij mannelijk en Vrouwelijk noemde. Beiden waren gelijk en moesten elkaar vinden om zich te binden, en zo het leven voort te zetten.

Toen, van het leven, schiep God de tijd, waar de dood na het leven komt, en leven voor de dood. Ook, bereikte het water de lucht om later neder te vallen op de aarde en de rivieren te laten vloeien, en het vuur kwam uit de vulkanen om de aarde te voeden, die zich vermenigvuldigde en het vuur ook leven gaf. De gehele wereld was één in de beweging van het leven, toen God immobiel leek, ontsnappend aan de tegentrijdingen der tijd.

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Inorn



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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2008 6:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Die Schöpfung] II. Das Leben


Und GOTT war vollkommen, während SEINE Schöpfung unvollkommen war. Während ER sich Seiner bewußt war, war es Seine Schöpfung nicht. Während ER wählte, was er tat, tat SEINE Schöpfung nichts Anderes als sich anzupassen. Während ER imstande war zu schaffen, tat Seine Schöpfung nichts Anderes als sich selbst zu genügen. Während ER seine Schöpfung lieben und von ihr im Gegenzug auch geliebt werden wollte, war sie dazu nicht fähig.

GOTT sammelte also die Liebe, die in IHM war. Er schuf den Geist, der weder berührt, noch gesehen, noch gefühlt, noch gehört werden kann, denn er war von der Materie verschieden. Der Geist enthielt die Intelligenz, bestehend aus der Vernunft und den Gefühlen. GOTT gab das meiste von IHM SELBST hinein: die Fähigkeit zu wählen und die Fähigkeit zu spüren. Der HÖCHSTE verband die Materie mit dem Geist, auf daß letzterer in Einklang mit der Welt existieren könne, und er nannte das alles “Leben”.

Nur war das Leben unvollkommen. Obzwar geschaffen von GOTT und bestehend aus IHM war es doch nicht ganz ER. Seine Fähigkeit zu wählen war eingeschränkt, denn sein Wissen und sein Können waren nicht unbegrenzt. Seine Fähigkeit zu spüren war beschnitten, denn sie war von Materie gemacht, neutral und unpersönlich. Doch GOTT wollte das Leben lieben, und er wollte, daß das Leben ihn dafür liebte.

Damit GOTT und das Leben einander lieben konnten, mußte letzteres sich beständig mühen, die göttliche Vollkommenheit zu erlangen. Es war unfähig, IHM gleichzukommen. Der HÖCHSTE schuf daher die dritte Bewegung: die höchsten Dinge kamen zu GOTT. Weil das Leben aus Materie, einem schweren Ding, gemacht war, sank es zu Boden; so kam es auf die Welt. Aber weil es auch aus Geist bestand, der ein höchstes Ding war, zog es es zur göttlichen Vollkommenheit.

Und auf der Welt nahm das Leben eine Vielzahl von Formen an, von den kleinsten zu den größten. Die Pflanzen entfalteten sich zum Licht der Gestirne, überzogen die Welt mit einer Schicht Grüns. Die Tiere sprangen oder flogen zwischen den Pflanzen umher. Auf diese Weise manifestierte sich das Leben durch beständige Bewegung, während GOTT unbeweglich erschien. Tatsächlich war GOTT, schließlich war er ewig, nicht dem Bedürfnis nach Bewegung unterworfen, das dafür sorgte, daß das Leben in ständiger Bewegung blieb. Er blieb folglich unbeweglich. Es war diese nicht enden wollende Bewegung, die in Seiner Schöpfung anzuschauen GOTT vor allem gefiel.

Nur hatte GOTT die Bewegung des Lebens nicht als unendliche Kraft ersonnen; damit es fortbestehe, mußten das Tier die Pflanze, der Jäger die Beute fressen, die Tierkadaver vergingen, um die Pflanzen zu nähren. Folglich spielte der Tod eine wesentliche Rolle im Leben. Damit der Tod Seine Kreaturen nicht auslöschte, teilte GOTT jede Art in zwei Komplemente, die er männlich und weiblich nannte. Alle beide waren gleich und sollten einander suchen, um sich zu vereinen und so das Leben fortzupflanzen.

Aus diesem Lebenslauf schuf GOTT die Zeit, in der der Tod dem Leben, das Leben dem Tode, der Sprößling seinen Erzeugern folgte. Gleichsam vereinte sich das Wasser mit dem Himmel, nur um gleich wieder zur Erde zurückzufallen und die Flüsse zu speisen, und das Feuer entstieg den Vulkanen, um die Erde zu bereichern, die wiederum sich sammelte, um das Feuer und dessen Schoß zu nähren. Die ganze Welt war in einem beständigen Wechselspiel des Lebens vereint, während GOTT unbewegt blieb, unberührt von den Zwängen der Zeit.


Übersetzt von Zaltvyksle.
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