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[Création] Partie IV - Le doute

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Jeu Juin 01, 2006 9:41 am    Sujet du message: [Création] Partie IV - Le doute Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la Création, revu et corrigé : > ICI <

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Création IV: Le doute

Le petit groupe décida de s’arrêter un moment. Ils s’installèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber l’herbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant qu’elles posaient leurs sacs à terre et s’asseyaient en cercle. L’ambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.

Toutes les espèces qu’elles avaient rencontrées était doté d’un talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement l’herbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de l’éclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.

Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés d’une longévité qui n’avait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à l’envi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe s’interrogeait. Mais pourquoi leur espèce n’avait-elle aucun talent particulier?

Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force n’égalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais c’était une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.

Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles n’osèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel qu’elles le faisaient, qu’elles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.

Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? “Aucun”, répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinants de larmes.

Mais l’un d’eux était resté à l’écart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible d’esprit. Il leur répondait souvent “Heureux les pauvres en esprit...”, mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme s’appelait Oane.


Spyosu
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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Mar 31, 2007 11:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Creación IV: La duda

El pequeño grupo decidió pararse un momento. Se instalaron sobre una colina verde, donde crecian magníficas flores que las abejas venían a libar. Una ligera brisa venía a curvar la hierba. Los pájaros cantaban. Las estrellas venían a encender las criaturas mientras colocaban sus bolsos en tierra y se sentaban en círculo. El ambiente era desapacible, ya que se planteaban todos la misma cuestión.

Se dotaban todas las especies que habían encontrado de un talento particular. Las vacas, criaturas que pastaban plácidamente la hierba, tenían una numerosa familia. Las ovejas tenían una lana suave y voluminosa. Las alas de los pájaros les servían para recorrer el mundo volando. Los caballos, nobles y fogosos animales, galopaban a la velocidad de la luz. Los pescados eran los amos de los extensos océanos. Los cerdos eran potentes y feroces.

Incluso los vegetales se dotaban con únicos talentos. Los robles se dotaban con una longevidad que no tenía nada que envidiar a su tamaño. El trigo se multiplicaba al deseo, cubriendo amplios territorios. El maíz tenía sus espigas, cebadas de vida. Los frutos tenían un delicioso gusto azucarado y las verduras olores apetitosos. Y el pequeño grupo se preguntaba. ¿Pero por qué su especie no tenía ningún talento particular?

Ciertamente, las criaturas del pequeño grupo tenían manos, pero su fuerza no igualaba la del cerdo. Ciertamente, tenían piernas, pero no los llevaban tan lejos como los pájaros y ni tan rápido comolos caballos. Ciertamente, podían procrear, pero no tanto como las vacas o el trigo. Ciertamente, algunas eran barbudas, pero era un pequeño consuelo comparado con la voluminosa lana de las ovejas.

Ciertamente, eran llenas de vida y salud, pero menos que el maíz, los frutos y las verduras. Y ni siquiera se atrevieron a compararse con la longevidad y el tamaño de los robles. Todas estas criaturas, animales como vegetales, tenían serios argumentos para afirmar, tal como lo hacían, que ellas eran las preferidas de Dios. Sus talentos eran únicos. Entonces, el pequeño grupo intentó encontrar un talento que fuera propio de su especie.

Su especie se se mantenian erguidos. ¿Pero qué ventaja eso le daba? "Ninguna", respondieron de concierto todos los miembros del grupo. Sus manos les servían para construir herramientas, pero era para compensar la falta de garras u otros órganos. De la misma manera, su estómago era tan escaso que debían cocinarse la carne para comerla. Y sus ojos eran tan poco profundos, contrariamente a los gatos o a los buhos, que necesitaban guiarse en la oscuridad. Su piel era tan poco grueso que debían resguardarse cuando la lluvia, la nieve o el granizo caían o cuando el viento soplaba con demasiada fuerza.

Habiendo constatado este hecho, las criaturas del pequeño grupo se pusieron a llorar. Estaban convencidos de que su especie era la menos querida por Dios, quien los despreciaba, que eran la hez de Su creación. Un silencioso pesar se había instalado, mientras todos se observaban mutuamente, cada uno buscando en la mirada de los otros una respuesta a sus preguntas. Pero estas miradas no llevaban ninguna respuesta. Estaban llenas de lágrimas.

Pero uno de ellos había permanecido al margen del grupo. Miraba hacia las estrellas. Todos los miembros del grupo lo descuidaban, dándolo por un espíritu debil. Les respondía a menudo "Feliz los pobres en espíritu...", pero no sabían que responder a esta réplica. Sin embargo, de todos ellos, era el único que se pregunta lo que Dios deseaba, en lugar de quejarse de su condición. Este hombre se llamaba Oane.
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Sjnoel



Inscrit le: 17 Fév 2007
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MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De Schepping IV: De twijfel

De kleine groep besloot om een moment te stoppen. Zij installeerden zich op een groene heuvel, waar schitterende bloemen stonden die de honingbijen melken kwamen. Een licht briesje kwam het gras buigen. De vogels zongen. De sterren kwamen de schepsels belichten terwijl zij hun zakken op de grond legden en in een kring gingen zitten. De sfeer was gemelijk, want zij stelden zich dezelfde vraag.

Alle soorten die zij hadden ontmoet was van een bijzonder talent voorzien. De koeien, de schepsels die het gras kalm graasden, hadden een talrijke familie. De schapen hadden een zachte en omvangrijke wol. De vleugels van de vogels dienden hun om de wereld te doorlopen door te vliegen. De paarden, edel en onstuimig dierlijk, galoperend met de snelheid van de bliksem. De vissen waren de meesters van de uitgebreide oceanen. De varkens waren machtig en wild.

De planten waren zelfs van enige talenten voorzien. De eiken waren van een levensduur voorzien die niets had om aan hun omvang te benijden. De tarwe vermenigvuldigde zich als deze daar zin in had, die brede gebieden bedekte. De gierst had zijn aren, die met leven worden volgestopt. De vruchten hadden een heerlijke gezoete smaak en de groenten aantrekkelijke geuren. En de kleine groep stelde zich vragen. Maar waarom had hun soort geen enkel bijzonder talent?

Weliswaar hadden de schepsels van de kleine groep handen, maar hun kracht evenaarde die van het varken niet. Weliswaar hadden zij benen, maar zij brachten ze niet zo ver als de vogels en niet zo snel als de paarden. Weliswaar konden zij verwekken, maar niet zoveel als de koeien of de tarwe. Weliswaar waren sommige behaard, maar het was een erbarmelijk weinig in vergelijking met de wol van de schapen, en het was nog minder te gebruiken.

Weliswaar waren zij vol van leven en gezondheid, maar wel minder dan de gierst, de vruchten en de groenten. En zij durfden zelfs niet zich met de levensduur en de omvang van de eiken te vergelijken. Al deze schepsels, dierlijk en plantaardig, hadden ernstige argumenten om te verzekeren, zoals zij het ook zeiden, dat zij door God werden verkozen. Hun talenten waren uniek. Toen probeerde de kleine groep zich een talent te bevinden dat eigen aan hun soort was.

Hun soort hield zich staande. Maar welk voordeel gaf dat hen? "Geen enkel", in koor antwoordden alle leden van de groep. Hun handen dienden hun om werktuigen te bouwen, maar het was om het gebrek aan klauwen of andere organen te compenseren. Aldus was hun maag zo zwak dat zij het vlees moesten koken om het te eten. En hun ogen waren zo weinig doordringend, in tegenstelling tot de katten of de uilen, dat zij zich in het donker moesten verlichten. Hun haar was te dun zodat zij zich moesten beschermen wanneer het regende, er sneeuw of hagel viel of wanneer de wind te hard blies.

Ontdekkend deze negatieve constatering, zetten de schepsels van de kleine groep zich tot huilen. Zij waren ervan overtuigd dat hun soort het minst maar dan ook het meest gewild van God was, dat Hij ze minachtte, dat zij de droesem van Zijn oprichting waren. Een stilte vestigde zich, zodat iedereen zich aankeek, zoekend in de ogen van ieder een antwoord op de talrijke vragen die zij zich stelden. Maar deze blikken hadden geen enkel antwoord. Zij waren ondergdompeld met tranen.

Maar een van hen was anders dan de groep gebleven. Hij keek naar de sterren. Alle leden van de groep verwaarloosden hem, hem beschouwend als gering van geest. Hij antwoordde hun vaak "Gelukkig de armen in geest...", maar kon slechts aan dit antwoord enkel toevoegen. Nochtans van iedereen, was het de enige die zich afvraagde wat God verlangde, in plaats van zich te bekommeren over hun lot. Deze man heette Oanyus.

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Inorn



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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2008 6:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Die Schöpfung] IV. Der Zweifel


Die kleine Gruppe entschied, ein Weilchen zu rasten. Sie begab sich auf einen grünen Hügel, wo prächtige Blumen wuchsen, von denen ganze Bienenvölker Nektar sammelten. Eine leichte Brise bog das Grün. Die Vögel sangen. Die Sterne leuchteten den Kreaturen, als sie ihre Bündel abluden und sich im Kreis zusammensetzten. Die Stimmung war mißmutig, weil sich alle die gleiche Frage stellten.

Jede der Arten, denen sie begegnet waren, war mit einer besonderen Fähigkeit ausgestattet. Die Kühe, die sanftmütig das Grün abweideten, hatten eine große Nachkommenschaft. Die Schafe hatten eine weiche und füllige Wolle. Die Flügel der Vögel erlaubten ihnen, die Welt im Fluge zu durchqueren. Die edlen und heißblütigen Pferde galoppierten mit der Geschwindigkeit eines Blitzes. Die Fische waren die Herren der weiten Ozeane. Die Schweine waren kraftvoll und wußten sich zu behaupten.

Sogar den Pflanzen waren ureigene Talente gegeben. Den Eichen war eine Langlebigkeit gegeben, die gegenüber ihrem Wuchs in nichts zurückstand. Der Weizen vervielfachte sich mit Lust, er bedeckte große Landstücke. Der Mais hatte seine Ähren, randvoll mit Lebenskraft. Die Früchte hatten einen köstlichen süßen Geschmack und die Gemüse appetitanregende Düfte. Und die kleine Gruppe fragte sich: Warum um alles in der Welt hatte ihre eigene Art kein besonderes Talent?

Sicher: die Kreaturen der kleinen Gruppe hatten Hände, doch deren Kraft konnte sich mit der der Schweine nicht messen. Klar: sie hatten Beine, doch die trugen sie nicht so weit, wie die Vögel kamen, und nicht so schnell wie die Pferde. Zugegeben: sie konnten sich vermehren, doch nicht so zahlreich wie die Kühe oder der Weizen. Gewiß: einige waren bärtig, doch das war ein schlechter Trost verglichen mit der üppigen Wolle der Schafe.

Unbestritten hatten sie reichlich Lebenskraft und Gesundheit, allerdings weniger als der Mais, die Früchte und die Gemüse. Sie wagten sich auch nicht, sich mit der Dauerhaftigkeit und dem Wuchs der Eichen zu vergleichen. All diese Kreaturen, Tiere wie Pflanzen, hatten gewichtige Argumente, sich sicher zu sein – was sie auch waren -, daß sie die Lieblinge GOTTES waren. Ihre Fähigkeiten waren einmalig. So kam es, daß die kleine Gruppe auf die Suche nach einem Talent ging, das nur der eigenen Art zukam.

Die eigene Art hielt sich aufrecht. Doch welchen Vorteil vermittelte ihr dies? “Keinen”, antworteten alle Gruppenmitglieder im Chor. Ihre Hände ermöglichten ihnen, Werkzeuge herzustellen, doch das kompensierte lediglich das Fehlen von Krallen oder ähnlichem. Weiterhin war ihr Magen so schwach, daß sie Fleisch garen mußten, wollten sie es essen. Und ihre Augen waren so wenig durchdringend, verglichen mit den Katzen oder den Eulen, daß sie das Dunkel ausleuchten mußten. Ihre Körperbehaarung war derart schütter, daß sie Schutz suchen mußten, wenn es regnete, schneite oder hagelte oder wenn der Wind zu heftig blies.

Ob dieser erschreckenden Feststellung fing die kleine Gruppe an zu weinen. Sie waren überzeugt, daß ihre Art am wenigsten von GOTT geliebt wurde, daß er sie verachtete, daß sie der Abschaum SEINER Schöpfung waren. Eine drückende Stille breitete sich aus, während sie einander anschauten, ein jeder in den Blicken der anderen auf der Suche nach Antwort auf die eigenen Fragen. Allein: diese Blicke vermittelten keine Antwort. Sie ließen lediglich Tränen rinnen.

Einer von ihnen blieb abseits der Gruppe. Er blickte nach den Sternen. Alle Gruppenmitglieder mißachteten ihn, hielten ihn für einen Schwächling im Geiste. Er antwortete ihnen oft “Glücklich sind die geistig Armen ...”, doch er wußte diese seine Entgegnung nicht zu vervollständigen. Alles in allem war er der einzige unter allen anderen, der sich fragte, was GOTT statt der Klage über die eigene Art von ihnen verlangte. Dieser Mensch ward Oane genannt.


Übersetzt von Zaltvyksle.
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