L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[MyriamLaGrande]

Messire Caleb, je suis respectueuse avec vous, je ne vous ai point menacé, vous m'accuser de le faire, et je ne trouves pas vos paroles rassurantes quant à ma plainte.

Lorsque je dis sachez bien que je ne lâcherai pas prise, cela n'est point une menace, cela s'appelle de l'honneur. Il est normal pour une personne qui a été faussement accusée, faussement excommuniée pour raisons qui n'ont jamais eu lieu, de vouloir justice.

Déjà vous êtes là à juger de ma bonne volonté, alors que vous ne me connaissez pas. Je ne vous juge pas, et j'ai dis que je placais mon entière confiance en vous.

Ensuite, ben oui, je vais partir, car j'ai fais ce que je devais faire, comme toute bonne aristotélicienne, soit que Justice du Tout puissant soit rendue.

Au revoir Messire Caleb, et bonne journée à vous et les vôtres.

[Tarthan]

Sur ordre direct du Connétable de Rome, l'un des six bataillons de sureté en charge de la protection générale de la Cité Pontificale Romaine, de la sûreté urbaine et du maintien de la paix et de l'ordre public, s'échappa de la forteresse Kyrène hallebarde à la main. Empruntant la Porte de Flaminien en direction du sud, il arrivèrent enfin sur la place d'Aristote en laquelle était signalé un rassemblement non non autorisé par les autorités Romaines.

Le caporal Tarthan menait fièrement sa décurie. La section entreprit un tour de place. Le sous officier constata qu'un autre bataillon était mobilisé pour décoller les affiches du Renouveau Aristotélicien. Décidément, la Garde Pontificale ne chômait point ces jours ci...

Tarthan se reconcentra sur sa mission. Les protagonistes semblaient s'être dissipés. Il resta néanmoins dans les environs, sondant la place d'un regard anxieux.
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Caporal du Bataillon de Sûreté

[Gandalf_Nim]

Comme il lui était mandé, Gandalf remit un document à Messire Caleb.

[muad_dib]

Muad qui passait par la hésita a s'approcher craignant de s'énerver.

De loin il parla assez fort pour que tout le monde l'entende bien:

Il manque d'une potence sur cette belle place. Il n'y a rien de plus beau qu'un hérétique se balançant au bout d'une corde

[Gandalf_Nim]

Entendant les paroles de Monseigneur Muab_dib, Gandalf répondit sur le même ton.

Monseigneur,

Précisément le sens de notre démarche est de prouver que nous ne sommes pas des hérétiques, et que les vrais coupables de l'affaire du Temple n'ont pas été sanctionnés.

Maintenant si vous nous jugez coupables, malgré ce que je vous ai appris au Temple, malgré le fait qu'il n'y ait point eu de procès, et malgré nos tentatives pour faire jaillir la Vérité, alors je crains que nous n'ayons pas le même sens de la Justice.

Je ne peux que déplorer que pour vous pendre des personnes dont la culpabilité n'a jamais été démontrée soit un acte normal.

Il est heureux que certains ici voient cela d'un œil différent.

Et je tiens d'ailleurs à remercier frère Roger et Caleb, pour leur volonté à éclaircir ce dossier.

[muad_dib]

L'histoire du temple je m'en fiche, moi je veux pendre les heretiques qui prennent racines dans les eglise consacré aux fideles aristos... Si tu vois de quoi je parle

[caleb le voyageur]

Caleb eut une remontée de bile, rien qu'a l'idée qu'un excommunié puisse lui dire "merci pour votre aide.." Pendant un moment, il eut même l'envi d'arreter
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[Gandalf_Nim]

[muad_dib]

moi je vois les faits je ne suis nullement competent pour juger les cas d'hérésies. vous êtes déclaré coupable par la justice de Rome et je me plie a cette decision.Vous devez savoir ce que c'est de suivre les ordres de vos supérieurs...

[MyriamLaGrande]

[Gandalf_Nim]

[muad_dib]

et je suis censé désobéir a une décision de l'Eglise a qui j'ai prête allégeance rien que parce que j'ai un doute, que je n'ai pas d'ailleurs ne connaissant pas bien le dossier?

Et vu votre comportement je suis désolé mais on ne peut pas dire que vous soyez innocent. Vous prêchez une scission avec les autorités de Rome et principalement avec la curie.... alors ne me donnez pas de leçons sur la fidélité.

[Gandalf_Nim]

Je ne vous demande point de désobéir à une décision de l'Eglise, mais simplement de nous accorder le bénéfice du doute... avant de nous pendre. Et de ne pas vous opposer à un éventuel procès, qui permettrait de faire la lumière.

Vous dites que vous ne connaissez pas le dossier, mais vous avez été pourtant Templier, et vous nous avez vu à l'oeuvre... Ai-je une fois mal agit quand vous m'avez vu œuvrer au Temple (en dehors du dossier sur le procès du Temple...) ?

Par ailleurs, je pronais la scission avec la Curie car je pensais sincèrement que la Curie avait trompé le Temple et nous avait condamné sans procès pour masquer cela.

Certains éléments nouveaux remettent en cause cette vision, et donc de fait mon discours.

Si la vérité triomphe dans l'affaire du Temple, et qu'un jugement équitable est rendu, je n'aurai plus aucune raison de m'opposer à la Curie, bien au contraire.

[muad_dib]

donc vous regrettez les paroles que vous m'avez tenu en l'eglise d'argentan? Moi je ne cherche que la justice comme mes frères et soeurs mais je veux aussi faire respecter les décisions de l'Eglise. Alors que vous êtes excommunié, justement ou injustement peu importe, je ne peux vous laisser prôner une scission avec la curie au seins même d'une église.

[Gandalf_Nim]

Monseigneur, il était normal pour vous de vous opposer à moi, en l'Eglise d'Argentan.

Je ne vous tiens nulle rancune pour cela, et bien au contraire, vous ai invité à revenir nous voir vite à Argentan pour que vous puissiez voir l'avancement des travaux de l'Eglise.

Si un procès a lieu, et qu'une sentence équitable est formulée, alors oui mes paroles en l'Eglise d'Argentan n'auront plus lieu d'être.

Car si Justice est rendue, quel serait le sens pour moi de critiquer ceux qui ont rendu cette Justice ?

Et dans ce cas, c'est volontiers que je demanderais votre pardon à vous et à la Curie pour mes errements...

Je déplore simplement qu'en ancien frère, vous n'ayez point assez confiance en moi pour envisager que je puisse être non totalement coupable. Et que sans clamer mon innocence, la fraternité que nous avons partagée, aurait voulue que vous ne clamiez point ma culpabilité en demandant pour Myriam et moi, plus encore comme peine...

Certes, vous n'estes point le seul à avoir agit ainsi. Mais il n'empêche que cela me peine de votre part. Ainsi va la vie... Il parait que c'est dans l'adversité que l'on voit ses amis... Je les ai vu !