L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Jackson21]

Les Teutoniques évoluaient lentement en ville. Jack comme tout le monde hormis ses Frères Chevaliers d'Isenduil avait remis sa monture à un palefrenier mais avait décidé de conserver son heaume cylindrique sous le bras avant de pénétrer sur la Place d'Aristote.

En remontant la via qui les menait à la Place, il reconnut plusieurs personnes dont son cousin Laurent. Il lui adressa un sourire, ravi de le voir ici pour ce si grand évènement.
Le dispositif de la GE était parfaitement bien ficelé,si bien que les quelques inquiétudes du Chancelier se dissipèrent à la vue de ses frères de la GE, ce corps pouvait être fier de ces hommes.

Un autre De Nivellus qu'il appréciait tout particulièrement, son cousin Kevin était là, assurant son rôle à merveille. Il espérait lui aussi le revoir plus tard, après la cérémonie.
Il salua ici et là plusieurs visages connus, le Duc de Bielle, le Premier Maréchal Mun qui veillait au grain à la sécurité et menait ses hommes d'une main de fer dans un gant de velours. Mais aussi Epsontylus et son mari, le Grand Maître de l'OCF, Monseigneur Sabotin qu'il salua en inclinant respectueusement la tête.

Il y avait là bien du beau monde, mais ou donc était sa douce blonde ? Jack épia un peu partout, ne serait ce que pour tenter de l'apercevoir. Il la verrait bien assez tôt.
La procession arriva au bout de la place, et stoppa. Jack rejoignit ses frères de l'OrdenKreis et se plaça non loin de l'Hochmeister et du Wärter qui dévoila alors au grand public la Sainte Relique confiée à la protection de l'Ordre Teutonique.

Les murmures et les exclamations de joies des fidèles d'apercevoir cette Relique se dégageaient de la foule toute entière.
Rare était l'occasion de contempler une telle Relique dans sa vie si l'on n'était point Teutonique.

L'Erster Botschafter fut cependant surpris de la faible présence des prélats de l'EA, certains seraient-il allergiques aux bains de foules pour ne point tenter d'approcher l'une des Reliques les plus saintes de l'Eglise?
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Ceins ton épée sur ta cuisse, vaillant dans le faste et l'éclat va, chevauche, pour la cause de la vérité, de la piété, de la justice.

[Amory]

Il s'était mis sous les ordres du capitaine Fabrizio et tentait avec les autres membres de la GE de contenir la foulle qu'il n'avait jamais vu aussi nombreuse .Pourtant ils étaient aguérit à se genre de mission et tout était en place et bien orchestré pour la protection de la sainte relique .

Amory fixait tout ce qui pouvait lui paraitre étrange , il pouvait voir parmis la foule de nombreux garde de la GE infiltré et se cachant afin d'écouter et d'intervenir au plus vite .

Son regard était constament en mouvement , fouillant , cinglant tout le monde , ses sens en éveil .Il était sur le qui vive pret à agir au moindre évenement anormal .
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http://www.youtube.com/watch?v=InDci5NnJ1Q

[Lolotlse]

Enfin la relique avait enfin fait son entrée sur la place. La foule s'était massée pour pouvoir l'apercevoir. Rarement autant de clercs n'avaient été présents en même temps en ce lieu.

L'évêque de Nevers tenta de se rapprocher de Saint Crâne du Prophète pour pouvoir l'observer, jouant parfois un peu des coudes pour se frayer un passage au milieu des fidèles. De temps à autres, il se retournait pour s'assurer que l'ambassadrice apostolique de Bourgogne, Aliénor, le suivait toujours.

Arrivant enfin à proximité de la relique, il fut paralysé par le symbole que représentait ce crâne : il avait devant lui, à portée de main le crâne d'Aristote, le Prophète, père de l'Aristotélisme.
L'émotion l'envahit soudainement et le prélat ne put réprimer quelques larmes.

Ô Saint parmi les Saints, prie pour nous, pauvre pécheurs, et éclaire-nous par ta sagesse ! Ainsi soit-il !
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[Niconoss d'Acoma]

Niconoss n'était jamais venu par ici, il avait mis le temps pour faire le voyage depuis la Lorraine.

Arrivé sur place, il se fit une place dans la foule pour admirer la cérémonie.
Il avait reçu une invitation et de part sa curiosité naturel, voulait voir de quoi il s'agissait.

Il reconnu au devant de la scène son ami Mum, mais ne fit pas signe il était trop loin pour que celui ci le voit.

Il resta donc dans la foule, admirant le déroulement de la cérémonie.
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Conseiller Ducale de Lorraine

[valdoise]

[Place d'Aristote]

Valdoise était arriver avec le groupe représentant la Noblesse Noire et avais était séparer par un amas soudain de foule, il avais entendu une forte voix a l'accent germanique parlant d'une histoire de croisade, il compris que c'était l'histoire de la découverte du crane, puis en bousculant les foules et en sentant que la moutarde lui monter au née, il put s'imposer de ses 150 livres et 3 pieds 1/2 de haut.

- Non mais ne me poussé pas, j'ai le droit de voir, commençât il a s'énerver au prés de personne essayant de lui grimper dessus pour voir la magnifique relique, essayer encore une fois, et vous verrez la réaction de ma très sainte main... expliqua valdoise au protagonistes

Euh s'cusé nous Méssieux, nous pas vouloir offenser Grandé Homme...

et les protagonistes s'éloignèrent de lui, mais valdoise culpabilisa de cet acte et de ces mots en ce très saint lieux, pour vue que le très haut ne l'ai pas entendu, pour se faire pardonner, il irait en paroisse prier pour pénitence,

Il vue enfin la relique sacré, sa beauté était d'une splendeur a rendre jaloux les ange et il resta betta un moment, puis vie le teutons la poser sur un espèce de linge blanc mais qui ne pue voir a cause des foule, et il le vue disparaitre en s'agenouillant , puis il se releva et valdoise entendit de loin qu'on en devais point toucher a cette beauté qu'avec les yeux..

Il entrepris d'aller la voire mais sur le chemin il remarqua dans les foule un grand homme qu'il connaissais fort bien, messire le Sénéchal Tchantchès de la Noblesse Noire il tenta de lui faire signe de main dés qu'il regardé en sa direction, mais il crue que c'était sans succès, alors il tenta de l'approcher, dure serais le parcourt...
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Mes Lettres
Venu pour représenter la Noblesse Noire

[Doctorgradus]

Le vieil évêque de Poitiers avait eu vent de la nouvelle. L'une des plus saintes reliques aristotéliciennes!

Quant Monseigneur Doctorgradus arriva sur la place, la foule était si nombreuse qu'il ne put approcher. C'est bien de voyager à pieds, mais si c'est pour être à chaque fois en retard...

Oh et puis zut! Il n'allait tout de même pas abandonner comme ca! Prenant son courage à deux mains, le vieil évêque entreprit de se jucher sur la base d'une des colonnes de la place; l'arthrose rendait l'exercice difficile, mais il parvint à apercevoir le crâne.

Mais l'émotion suscitée par le vue de la sainte relique ayant raison des jambes, patatra! L'évêque tomba de son piédestal, sans trop de dommages toutefois.

Norf de norf, voilà ce que c'est de jouer les jeunots! Je ferais mieux d'attendre la cérémonie à la basilique...
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Père Doctorgadus, ancien évêque de Poitiers, ancien théologue au Saint Office
et membre de l'Ordo Cisterciensis

[Mathis]

Les hommes que Mathis venait d'interpeller pour qu'ils déclinent leur identité semblaient avoir le regard ailleurs, mais le membre de la GE, lui aussi, entendait des cris et des pleurs venant de toute part ce qui fit détourner ses yeux. Un discours se fit percevoir, il entendit par deux fidèles que c'était un membre de l'Ordre Teutonique qui parlait et qui expliquait les conséquences de la découverte de ce crâne ô précieux, et alors que le jeune Dunkerquois vit que certains de ses collègues tentaient de maintenir la foule, il dévisagea les deux hommes et leur dit :

Sieurs.. je n'ai point le temps d'attendre, je laisse passer pour cette fois mais je vous surveille. Ne tentez pas l'impossible, je ne sais pas qui vous êtes, mais même des personnes aux capacités physiques importantes ne pourraient pas commettre une attaque belliqueuse.

Mathis serra son hallebarde en main, puis, tournant le dos à ses interlocuteurs, il s'en alla rapidement, jouant des coudes parmi cette foule, pour former un cordon de sécurité, ordonné par Cagi. Il se plaça donc avec d'autres de ses collègues puis se dirigèrent vers le cortège.

Poussez-vous ! Poussez-vous, laissez passer, au nom de la Garde Épiscopale.

Un sourire naquit sur son visage, celui-ci étant à moitié caché. Qu'il aimait donner des ordres... malgré qu'il soit qu'un simple élève soldat, mais là, c'était des ordres lancés à cette foule. Ce n'était pas pareil, il en avait le droit.
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[Guiguil51]

Guiguil, avait suivit de quelques heures de route le bataillon de soldats de la Garde Episcopale détaché icelieu afin d'assurer la sécurité pleine et entière de l'endroit pour cette cérémonie inoubliable et emplie de promesses.

Le Prieur de la GE ne pouvait pas aider les fiers soldats autant qu'il l'eut souhaité, mais il était là, regardant çà et là de possibles suspects, puis décida de s'asseoir sur un banc. Laissant la Garde démontrer tout son savoir-faire, et fut rassuré que tout sembla se passer à merveille.

Saluant les frères et soeurs qu'il côtoyait depuis maintenant plusieurs moys, il s’émerveillait toujours de l'entrain et de la ferveur de ces serviteurs du Très-Haut et de Son Eglyse.

La foule commença à s'accumuler rapidement sur la grande place, de sorte que la Garde s'organisa pour laisser un passage libre et sécurisé à la procession. Et il s'approcha pour voir d'un peu plus près le Saint crâne.
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Charmant diocèse recherche Curés pour s'occuper avec soins de ses paroisses.

Monsignor Guillaume de Lyseuil - Primo Cappellano della Guardia Episcopale e Pontificia romana.

[Eavan]

Eavan suivit les ordres du Premier Maréchal. Elle se coula dans la foule. Pas trop de difficultés à cet exercice. Elle était une jeune femme, pas plus grande que les autres, pas plus lourde non plus, et de son uniforme, personne n'en voyait rien tant le regard était attiré par le convoi teutonique et la Très Sainte relique.

La jeune femme, au moment où la relique fut dévoilée, la regarda. Ses yeux et son coeur, ce dernier plus encore, se remplirent d'émotion. De ses yeux elle balaya ce qui aurait pu la gèner dans son devoir de protection et de veille, mais de son coeur elle ne masqua ni ne retint rien. Une prière murmurée sortit de ses lèvres tandis que yeux et oreilles à l'affut elle cherchait presque, le signe quelquepart d'un début d'agitation anormale.

A quelques mètres d'elle un mot plus haut que l'autre. La jeune femme forca le passage à l'aide de coups de coude et d'épaule et appella le concerné au calme. Elle dû renouveller en plusieurs lieux de la Place, donnant parfois de la voix, parfois d'un regard explicite, parfois de la fonction pour étouffer dans l'oeuf ce qui aurait pu déranger la cérémonie ... Mais pour l'instant, aucun comportement vraiment dangereux n'était à signaler.
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[killdragon]

L'aspirant Vidame de Bretagne avait fait parer les deux destriers: Nomade et Tonnerre semblaient très perturbés, sans doute l'agitation qui évoluait tout autour. Il fallait les comprendre ces montures, habituées aux escortes ou à se reposer dans des écuries, mais elles n'avaient guère l'habitude d'être confrontées à autant de monde.

Monseigneur Killdragon avait fait amener Nomade au Premier Maréchal par un garde, et s'apprêtait à le rejoindre quand il vit ce dernier froncer les sourcils dans la direction d'une dame très bien vêtue, de toute évidence noble, qui semblait perdue...

Il croisa le regard de Mun qui semblait lui demander d'aller la voir. Kill grimpa sur Tonnerre et s'avança au trop dans la direction de la Dame.

Puis-je vous être utile en quelque chose dame? vous semblez perdue...

Après lui avoir indiqué l'endroit le plus approprié pour suivre le défilé, l'aspirant Vidame de Bretagne longea les rangs de soldats de la Garde Episcopale alors que l'Ordre Teutonique commençait à son tour à remplir la place.

Il replaça sa bastarde tout en trottant en direction du Premier Maréchal qui supervisait les opérations. Sa mission était de l'assister, et il s'agissait d'un immense honneur pour Killdragon.

Tonnerre s'arrêta à côté de Nomade et Kill resta sur son destrier en faisant un salut militaire.

Tout semble se dérouler à merveille Maréchal, veuillez excuser mon absence, j'étais allé renseigner cette dame... à vos ordres.

Kill scruta la place, reconnaissant de nombreux visages familiers, et chercha du regard les gardes de Bretagne, mais la foule étant tellement impressionnante, il lui était difficile de les trouver.

Il regarda ensuite le début de la cérémonie alors que tous ces hommes et femmes des Saintes Armées se mettaient toujours en place selon l'ordre des arrivées.
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Premier Maréchal de la Garde Episcopale.Vidame de Bretagne.

[ramon]

[Place d'Aristote]

Le ritter juchait sur sa monture suivait l'ordenkreis, proche de la relique il était soulagé de voir des membres de la garde épiscopale assurer la surveillance. Il put se relâcher enfin et prendre pleinement conscience qu'il se trouvait au plus prêt de la Sainte relique.
Le convoie stoppa enfin comme d'un seul homme en place d'Aristote.
Le moment tant attendu était arrivé, le saint crane allait maintenant être dévoilé au grand jour.
Après le discoure du Wärter, le ritter reprit en cœur

DEUS MANUM DUCIT

[Tchantchès]

Tchantchès vit Val qui arrivait lui aussi.

Par ici Val, on a un beau point de vue, mais ils sont en trian de s'éloigner, prenons vers la droite et ils passeront devant nous après le tournant.
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[valdoise]

Valdoise arriva enfin a tchant mais il dure repartir immédiatement après son arriver.... Tchant eu l'idée de ce mettre au premier rang après le passage pour mieux les voire...

- Par ici Val, on a un beau point de vue, mais ils sont en trian de s'éloigner, prenons vers la droite et ils passeront devant nous après le tournant. prononça tchant

- Bon c'est partie l'ami, fessons vite avec tous ce monde, nous risque on de ne pas pouvoir passer! en route

et il partir vers les coter droit de la foule...
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Mes Lettres
Venu pour représenter la Noblesse Noire

[Hagden]

[DANS UN COIN DE LA PLACE D'ARISTOTE]

Hagden était resté dans un coin de la Place bondée de monde... Il déplorait qu'il n'y eût que peu de clercs de la Curie. L'Ordre Teutonique, le premier des Ordres Teutoniques inspirait-il autant de peur que de "mépris" de la part de ceux pour lequel il se battait, sur tous les fronts des Royaumes ?

L'Ordre démontrait ce jour sa Foi et sa Force... Sa Foi en les Ecritures, et sa Force, par sa présence, sa ferveur, et son unité... envers et devant tous...

Hagden eut un sourire tendu, en songeant à celà...

Au discours du Warter... Hagden fut ému. Il espérait que ce discours résonne jusque dans les moindres recoins de la Curie, au creux des oreilles de tous ces clercs absents... et au creux des hérétiques de tous bords, où qu'ils soient...

L'Ordre Teutonique ne leur laisseraient aucun repos... Il en avait donner l'exemple récemment dans l'Est...

L'Ordre bataillait certes, par le fer, mais avant tout par la force des mots, comme lui-même, Hagden, simple Bruder... en Rouergue...

Et il entonna lui aussi, le ......

DEUS MANUM DUCIT !!!!!!
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Montbazon-Navailles, Ritter et Seneschall de l'Ordre Teutonique

[fabrizio05]

Les hommes étaient devant sur deux colonnes, tous au garde à vous , hallebarde droit vers le ciel, le bout poser à terre. La tenue ferme sur cette arme mais tous le regard droit devant eux sous des cuirasses ciselées et rutilantes aux armes de Rome.

Le capitaine passa entre les rangs inspectant les hommes et femmes devant lui,un visage toujours aussi inexpressif et froid.Mais un regard qui les fouillait ,cherchant la moindre faute.

Retournant à sa place, il leur fit face et sous l'invite de son Lieutenant , Fabrizio s'apprêta à leur dire leurs fonctions quand le jeune Amory se présenta à lui.Esquissant un sourire, au salut du lieutenant il en fit de même et se tourna de nouveau vers les gardes de Reims et leurs dis.

Bon une procession va se faire en ces lieux alors de vous je veux du respect, de la rigueur. Et si l'on vous embrene...simple pas acte d'héroïsme.

Sinon sous les yeux de tous soyez fier de porter cet habit de grandes festes et faite nous honneur.

Soldats !!...G'de Vous...à la disposition du lieutenant flo.

Se tournant vers le jeune Amory , il lui demanda de le suivre vers un côté de la place et tous en marchant il lui dit.

ça me fais plaisir de t'avoir avec moi.