L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[CastelOrAzur]

La foule était dense et compacte, et Mateù peinait à se frayer un chemin. Aux côtés des quelques autres Chevaliers teutoniques, le Provençal progressait difficilement. Il étouffait pourrait-on même dire. Une bouffée d’oxygène lui parvint soudain, lorsqu’il aperçut le visage d’Arwen. Il ne s’attendait pas à la croiser en ces lieux, et ceci renforça davantage son plaisir.

Il ne pouvait se permettre de sortir du cortège pour la saluer. Mais nul doute qu’il profiterait de la première occasion de le faire. Il tenta de capter son regard, de lui faire un signe, mais dans cette foule, qui sait si elle pourrait le remarquer…

A force de persévérance, le cortège finissait par s’approcher de la Basilique. Là-bas, Mateù savait ce qui l’attendait. Au-delà de la cérémonie, qui s’annonçait grandiose, le Provençal allait vivre un moment fort, un moment intense, un moment qu’on ne vit qu’une fois… normalement… L’image de feu-Vikochenko lui apparut quelques instants. Mateù était certain que celui-ci le regardait de là-haut, du Soleil où il se trouvait depuis quelques temps maintenant…

Soudain, le Chevalier fut bousculé un peu plus violemment que précédemment. Il se surprit à un léger énervement, avant de carrément s’exciter en se rendant compte qu’il avait perdu sa gourde lors de la bousculade. Il était condamné à se passer de rafraîchissements… Dur dur.
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- Mateù 'Castel' de Sabran -

[syerry]

C’est auprès des Francs que la guerrière aura suivit la procession et aura laissé sa tête s’emplir de l’historique du Saint-Crâne d’Aristote. La dame de Jentes s’était abandonnée à une prière profonde, le bleu de ses yeux un instant clos de toute la procession. Ainsi fait, ouvrant l’azur au soleil frappant, la Franche voguera sa mer par ci et là afin de noter tout des émotions qui parcourent en ce grand rassemblement.

Un survol de l’assemblée, elle le voit là bas droit et fier vivant de ses allures d’un soldat de grande foy. Un sourire béat joue de son visage alors que sa pupille vive se pose sur son aimé Jackson qui est auprès des siens et vit pleinement de ce moment. Ce n’est que lorsqu’elle entend l’appel pour se rendre jusque la Basilique, que le Capitaine de la garde Franche détacha les yeux du regroupement Teutonique. Ainsi faisant, elle replie les doigts à sa pertuisane et pivote doucement afin de ne point trop bérouetter les bons vivants l’entourant quoi que sa petite mais solide stature lui permet de se faufiler assez aisément au travers de cette foulée dense de croyants. Ses courtes enjambées prirent ensuite route vers Saint-Titus avec de ses proches, son destrier ayant été remis aux bons soins d’un jeune palefrenier ..
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[bitterly]

Une personne qu'elle ne pensait pas connaitre lui tendit alors la main en lui proposant de monter derrière elle à cheval. Bitterly, pas très grande adepte des chevaux pensa d'abord à refuser, d'autant que monter avec des inconnus... Mais devant la foule très dense qui se mouvait elle hocha la tête, remercia la personne en question, monta derrière elle et se cramponna comme elle le put.

Humpf merci ! Puis-je connaitre votre nom ?

Pourquoi d'ailleurs cette personne etait-elle à cheval icelieu? Boarf au pire elle fuirait en sautant à terre.

[de retour mardi prochain]

[Arwen]

Alors qu'elle avançait en direction de la Basilique s'en approchant de plus en plus, poussée par la foule qui n'avait guère de respect les uns envers les autres, elle sentit un regard, une présence. Elle se retourna et enfin elle l'aperçut, elle sourit, réconfortée de ne pas être venue ici pour rien. Elle n'avait jamais été adepte des ordres et des chevaliers mais elle lui trouvait quelque chose en le voyant ainsi, fier et imposant, un charisme assez exceptionnel qu'avait cet homme.

Elle pensa bien qu'il l'avait vue, c'est tout ce qu'elle voulait, qu'il sache qu'elle était venue pour lui. Elle se doutait bien qu'avec ses confrères et en pleine cérémonie de cette envergure elle n'aurait pas la chance de lui parler. Remotivée elle reprit sa marche d'un pas décidé, et en ayant assez de se prendre des coups elle se mit elle aussi à jouer des épaules et des coudes afin de parvenir à l'entrée de la basilique avant que celle-ci soit remplie.
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[jewak13]

Jewak était soulagé de la présence et de l'aide de Monseigneur Killdragon et de se soldats à cheval. Cela devenait pls facile pour faire régner l'ordre.

Cependant, cela ne l'empêchait guère d'être éffrayé par toute cette ferveur et agitation de la foule pour approcher le cortège et la Sainte relique. De plus, il n'avait jamais assisté à un tel évènement.

Il sécurisait tranquillement le passage, quand il vit en lisière de la foule un vieil homme perdre connaissance et s'évanouir.

Il se précipita vers lui, en mettant son corps en opposition, afin que le vieillard ne prenne aucun coup et s'éloigna un peu loin permettant à la personne âgée de reprendre tranquillement connaisance...

- Vous allez mieux Messire ??

Puis il interpela un autre garde pour qu'il s'occupe du vieil homme, afin de récupérer son poste de sécuisation des lieux.

- GARDE !!!!!!!!!! J'ai besoin d'aide ? Occupez vous de cet homme très fragilisé par les évènements, je ois retouner à mon poste !

Une fois cela fait, Jewak retourna à son poste où il croisa en chemin le Capitaine Frédéric qui était à terre après avoir sauvé une petite fille d'une mort certaine.

Il l'aida à se relever et reprirent tous deux le chemin de la basilique en assurant la sécurité du mieux que possible...

[Pherea]

Volontaire elle aussi, Pherea, nouvellement apprentie Dame Blanche, avait suivi le cortège de Lucie et Estelle Caroline à Rome. C’était la première fois que la castelroussine se rendait dans une si grande ville et pour une si grande occasion. Un peu perdue dans la masse, Phé ne lâchait pas d’une semelle son amie Fildaïs et tâchait de toujours avoir à l’œil soit Lulue, soit Esca.
Malgré la foule, tout se passait bien et l’apprentie profitait de l’honneur de pouvoir assister à une telle cérémonie. Aristotélicienne convaincue, comme bon nombre des habitants du Royaume, la jeune femme se devait d’adorer la relique portée en triomphe ce jour. Même si elle ne pu la voir, se savoir si près de ce crâne la remplissait d’émotion et de fierté.
Alors qu’elle remerciait mentalement l’Ordre de lui avoir permis de vivre un tel moment, elle se fit bousculer par un homme. Elle serra alors le bras de son amie blonde et pesta qu’elle préférait quand même la foule de sa taverne.
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Grande Amazone de l'Ordre de la Dame Blanche à l'Ecu Vert

[Mathis]

Depuis déjà plusieurs minutes, Mathis essayait avec ses collègues de contenir la foule.. oui bon, il se répétait peut être, mais le temps lui semblait long et à part calmer des hommes ou des femmes qui braillaient dans tous les sens, lançant des propos disproportionnés, allant du "laissez moi toucher ce crâne luisant" jusqu'à "mon précieux, mon précieux", le Dunkerquois secoua légèrement la teste et constata que la ferveur religieuse était vraiment bien présente. Bientost il allait rejoindre cette famille Aristotélicienne, et c'est certain qu'il en avait haste. Héhé..

Continuant de faire place pour la procession, Mathis entendit des fracas et des hennissements terribles venant de derrière lui. Croyant à un instant que c'était une attaque belliqueuse à l'encontre du saint crâne, l'homme prit fermement son hallebarde en main mais aperçut en se retournant qu'un problème avait surgi au niveau de la foule ; en reculant légèrement, il vit la fin de la scène, le Capitaine Frédéric venait de sauver une petite fille. En bon soldat, le garde élève se dirigea vers lui alors qu'un autre garde l'aida à se relever, puis, voyant qu'il boitait légèrement, l'homme demanda :

Capitaine.. vous vous sentez bien ? Auriez-vous besoin de quelque chose ?

Là, un cheval était proche et une main se tendit vers l'homme armé. Celui-ci allait pouvoir se reposer, mais il resta à ses côtés, en attendant de recevoir une réponse et un ordre.
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[Frédéric Von Frayner]

C'est le garde Jewak qui tendit une main secourable au capitaine Von Frayner. Mais celui-çi serra les machoires retenant un gémissement de douleur. La main que le garde lui prenait pour l'aider à se relever était celle qui avait percuté le sol violemment l'empéchant de s'écraser de tout son poids sur la fillette.

L'enfant sur son bras, il se releva mais une douleur lui traversa cette fois le mollet quand il posa son pied par terre pour reprendre son équilibre. Le cheval dans l'affolement lui avait malencontreusement tapé dans la jambe une fois projeter à terre.
Merci Jewak !

La fillette pleurait et la mère hurlait qu'on lui rende sa fille. Frédéric s'approcha en boitillant de la foule quand il sursauta :
Capitaine.. vous vous sentez bien ? Auriez-vous besoin de quelque chose ?

Il se tourna et reconnut le cadet Mathis.
Oui Mathis ! Aidez moi à rendre cette enfant à sa mère.

Il ne pouvait pas l'attraper de l'autre main, la douleur lui paralysant le poignet.
La femme entre deux hurlements venait de voir sa fille dans les bras du capitaine et se calma un peu.
Elle tendit ses bras vers eux par dessus des épaules et les hallebardes des gardes.
Ma fille ! Oh merci lieutenant !

Il aurait pu sourire du grade que lui donnait la femme si ce n'avait pas été dans ces circonstances qui auraient pu être tragique pour l'enfant. Elle aurait dit colonel, c'était du pareil au même pour elle !
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Baron de DounouxAspirant Vidame
IG : Frederic*Guillaume

[CastelOrAzur]

Elle avait capté son regard, il avait accroché le sien. A la grande fierté d’être de ceux qui protégeaient la Sainte Relique s’ajoutait le délice de la savoir toute proche. Une sensation prenante, qu’il ne s’était d’ailleurs jamais expliqué…

Mais l’heure n’était pas à rêver, alors que le cortège approchait davantage de la Basilique. Que de monde, que d’enthousiasme. Et tout aucun incident majeur à déclarer.

Tout se déroulait sans accroche, pour l’instant…
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- Mateù 'Castel' de Sabran -

[ramon]

Sous la direction de l’ordenkreis, la procession reprit sa route. Le Ritter sentait l’inquiétude de sa monture sous la pression de la foule. Celui-ci, devant régulièrement le calmer par des caresses et quelques petits mots de réconfort.
La progression des membres de l’ordre teutonique était lente et le groupe profité du travail d la garde épiscopale pour avancer vers la basilique, ou la Sainte Relique serait visible de tous, ou presque.
Bucéphale, bien qu’habitué aux combats est autres démonstrations, était d’ordinaire docile, mais en ce jour particulier commençait à piaffer d’impatience dans cette ambiance électrisante.
Se regimbant parfois, Ramon avait par deux fois du le reprendre plus que de normal.
Le ritter commençait a ce dire que la journée allait être longue et qu’il serait bon d’arriver rapidement. C’est alors, que jaillissant de la foule, une masse indistincte sur le moment, puis une deuxième virent s’effondrer sur le sol devant le cheval du chevalier qui se cabra et fit quelques pas de coté en claquant du sabot sur le sol pavé.
Ramon parvenait difficilement à retenir Bucéphale qui tournant sur lui-même piétina dans un craquement les deux corps au sol.
Ayant enfin récit à métriser l’animal, le ritter descendit le plus rapidement possible afin de se rendre compte de la situation et confia sa monture à un membre de l’ordre.

-Prend Bucéphale et mène le à destination, je vous rejoindrai.

Ramon ne prie pas le temps de se perdre en remerciement, qu’il était déjà rendu prêt du corps gémissant d’un garde épiscopale sous le quel sortait la petite main d’une enfant.
Le sang du Ritter se glaça.

-UN MEDECIN !! IL ME FAUT UN MEDECIN, lança t’il, alors que deja des gardes arriveraient à leur secours.

[Ingeburge]

[Le Connétable en son balcon...]

Du haut de son balcon, une Ingeburge en toute petite forme avait observé les Gardes Episcopaux sécuriser avec diligence et professionnalisme la Place d'Aristote.

Puis, elle avait suivi avec un intérêt certain, malgré ses capacités plus qu'amoindries, l'entrée de la procession teutonique.
Elle était toujours remuée quand elle voyait ses frères et sœurs assemblés et quand elle pouvait voir les étendards et manteaux teutoniques flotter au vent.

Elle aurait pu être en bas, elle aurait dû être en bas mais ses sentiments ambivalents et sa santé ne lui permettaient guère de se mêler à la foule.
En outre, les Gardes Pontificaux n'auraient jamais accepté qu'elle se retrouve au milieu d'un tel rassemblement.

En un sens, ce n'était pas plus mal qu'elle soit perchée sur son balcon habituel, le point de vue dont elle jouissait était exceptionnel. Elle n'était ni trop loin, ni trop près et pouvait ainsi observer les festivités au mieux, sans être pressée et en distinguant clairement les protagonistes présents.

Elle était vraiment fière de la Garde conduite d'une main de maître par le Premier Maréchal; du reste, elle leur dirait quand elle retournerait à la Forteresse.

Oui, elle était bien là où elle se trouvait et elle put ainsi jouir de la vue de la relique en toute quiétude. Elle l'avait déjà vu à Thorens, par deux fois et comme les fois précédentes, elle frissonna, sentant toute la ferveur qui était sienne lui irriguer le corps, le cœur et l'âme.


Il était temps de se rendre à la Basilique.
Elle regagna l'intérieur du palais pontifical et passa une mante de velours noire.
Puis, encadrée de deux gardes, elle sortit afin de rejoindre Saint Titus en toute discrétion.
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Morte deux fois en trois jours, vise le triplé

[Deminerve]

[Son pauvre vassal qui demande à la voir, quelque part sur la place...]

Deminerve attendit que les gens puissent avancer, puis au loin, les armes de Grimaud. Lorsqu'il regarda Arwen pour lui faire savoir qu'il avait vu Mateu, celle-ci semblait déjà perdue dans ses pensées. Elle semblait le regarder aussi, peut-être se passait-t-il quelque chose entre les deux. Il fallait creuser en ce sens. Une alliance des terres d'Ollioules et de Grimaud: un danger. Cette alliance pourrait unir deux terres situées l'une à côté de l'autre. Enfin, c'était bien peu probable. Comme Arwen se rendait à la basilique, il la suivit, ne disant rien.
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Sacristain de Toulon.

[Hobb]

[Hellvyra]

La jeune femme, Reiterin et soignante de l'Ordre suivait ses Frères et Soeurs pendant la procession. Les longues mèches de ses cheveux sombres tombaient en cascade sur sa cape blanche des Teutoniques. Elle était tellement fière d'escorter le Saint Crâne. Fière mais en même temps nerveuse. Elle était habituée de le garder jour et nuit mais dans les murs sécuritaires de la Commanderie. Ici, dans cette foule il y avait certe des fidèles mais sûrement aussi quelques hérétiques prêts à tout pour bafouer notre Église. Hellvyra resta vigilante, attentive à chaque mouvement suspect.

Soudain elle entendit crier malgré cette foule en délire. Les sens en alerte, la main sur son épée, elle fut prête à bondir vers l'avant de la procession, près du Saint-Crâne. Elle reconnut ensuite la voix d'un de ses Frères. On demandait un médecin. La jeune femme n'écoutant que son devoir, sortit des rangs pour aider la ou les victimes. Un homme était tombé.

Elle regarda le Ritter Ramon et lui demanda:

_"Que c'est-il passé?"
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[nouchka]

je continuais a avancer tant bien que mal avec Bitterly derriere moi car il y avait beaucoup beaucoup de monde et ca se bousculer se pietiner.
Voila je me presente afin de la rassurer , je suis nouchka de Saintes du Comte du Poitou.