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La fin des temps I: Le rêve

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Dim Mai 28, 2006 10:19 pm    Sujet du message: La fin des temps I: Le rêve Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la fin des temps, revu et corrigé : > ICI <

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La fin des temps I: Le rêve

Moi, Ysupso d’Alexandrie, pieux croyant d’Egypte, vais vous décrire la révélation qui me fut faite en songe. Cela peut paraître étrange de considérer un rêve comme une véridique prémonition, mais la lecture de mes révélations vous montrera qu’il ne s’agit pas d’un rêve ordinaire. Je remercie d’ailleurs le Très Haut de m’avoir confié la divine mission de transmettre au monde Sa volonté.

Mon rêve commença par une douce lumière blanche. J’avais la sensation de me réveiller et, comme au petit matin, j’émergeais petit à petit de mon état léthargique. La lumière apporta, au fur et à mesure de mon réveil imaginaire, son lot de nuances. Je finis par voir un groupe d’être humains aux grandes ailes d’oiseaux, surmontés d’un anneau lumineux. Ils resplendissaient d’amour et de douceur. Leurs regards étaient pleins de bonté et de tendresse.

J’avais en face de moi tous les humains qui, par leur sainte vie vertueuse, avaient accédé au statut d’anges. Sept d’entre eux dépassaient leurs compagnons par la sensation de bien-être que je ressentais en leur présence. Je reconnus sans difficulté les sept archanges bénis de Dieu: Georges, patron de l’amitié, Miguaël, patron du don de soi, Raphaëlle, patronne de la conviction, Gabriel, patron de la tempérance, Michel, patron de la justice, Sylphaël, patron du plaisir, et Galadrielle, patronne de la conservation.

Derrière eux, je voyais de vastes paysages idylliques. Tout resplendissait la beauté et donnait envie d’y rester pour l’éternité. Mais cela semblait bien vide. Je pouvais admirer les innombrables élus, peuplant le Paradis, sur le visage desquels s’affichait la béatitude. Voyant un tel bonheur emplir ceux qui avait vécu dans la vertu, je me réjouissais pour eux et espérais pouvoir les rejoindre.

Alors, j’entendis une voix dure et sereine me dire: “Ceux que tu vois ici sont ceux qui ont su gagner le Paradis, suivant la parole que J’ai confiée à Aristote et à Christos. Mais sache que l’avenir ne sera pas aussi radieux pour tous”. Je compris que c’était Dieu Lui-même qui m’adressait ce divin message. Alors, les anges me laissèrent seul, en communion avec le Très Haut. “Regarde dans la flaque d’eau à tes pieds”, me dit-Il.

J’y vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient. Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre. L’agréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.

La mer fournissait aux pêcheurs moult poissons, afin de les nourrir, et exhalait ses senteurs rustiques mais si agréables à ceux qui savaient les apprécier. Au coeur de cette paisible vie, une ville, ceinte de murailles, fourmillait d’activité. Les artisans oeuvraient afin de fournir à la population tout ce dont elle avait besoin et les commerçants faisaient l’éloge de leur marchandises aux clients venant faire leur marché.

Les enfants jouaient, riant et courant le long des rues animées. Des tavernes sortaient des rires et des bruits de liquides que l’on versait dans les chopes. Un petit groupe était attroupé autour du maire, qui écoutait leurs interrogations et y répondait. Les cloches se mirent à sonner et nombre d’habitants sortirent de leurs maisons pour se rendre à la messe.




Ysupso
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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Avr 07, 2007 2:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

El fin de los tiempos : El sueño.

Yo,Posuys de Alexandria, piadoso creyente de Egipto les voy a relatar la revelacion que me fue dada en sueños.Puede parecer extraño considerar un sueño,como una verdadera premonicion.Pero la lectura de mis revelaciones,les mostrara que no se trata de un sueño comun. Por otra parte,agradesco al Altisimo,haberme confiado la divina mision de transmitir al mundo Su Voluntad.

Mi sueño comenzó con una luz dulce y blanca.
Tenía la sensación de despertarme y, como de madrugada, emergía poco a poco de mi estado letárgico.
La luz, a medida que mi despertar imaginario, aporto su lote de matices.
Acabe por ver un grupo de seres humanos con alas grandes como las aves,rodeadas por un anillo luminoso .
Resplandecían de amor y de dulzura. Sus miradas estaban llenas de bondad y de ternura.
Tenía frente a mí a todos los humanos que, por su vida santa y virtuosa,
habían accedido al estatuto de ángeles.
Siete de ellos sobrepasaban a sus compañeros por la sensación de bienestar que sentía en su presencia.
Reconocí sin dificultad a los siete arcángeles bendecidos por Dios:
Jorge, patrono de la amistad, Miguaël, patrono de la conservación, Raphaëlle, patrona del don de sí, Gabriel, patrono de la templanza,
Miguel, patrono de la justicia, Sylphaël patrono del placer y Galadrielle,patrona de la convicción.
Detrás de ellos, veía vastos paisajes idílicos.
Todo resplandecía la belleza y daba ganas de quedarse allí para la eternidad.
Aunque me parecía vacío,podía admirar a los innumerables elegidos, poblando el Paraíso.
Sobre sus caras se exhibía la beatitud.
Viendo tanta felicidad llenar a los que habían vivido en la virtud,
me regocijaba y esperaba poder reunirme con ellos.
Entonces, oí una voz firme y serena que dijo:
Aquellos a los que ves aquí son los que supieron ganar el Paraíso, siguiendo la palabra que confié a Aristotes y a Christos.
Pero debes saber que el futuro no será tan radiante para todos.

Comprendí que era Dios mismo quien me enviaba este divino mensaje.
Entonces, los ángeles me dejaron sólo, en comunión con El muy Alto.
Mira en el charco de agua a tus pies, me dijo.
Vi entonces un bello país.
El dulce calor del sol acariciaba los árboles de los vergeles,
alimentaba las espigas de trigo que se levantaban orgullosas hacia el cielo,y daba todo su amor a las verduras que crecian en forma abundante.
Más lejos, podía ver las vacas pacer plácidamente, siendo acompañadas por carneros guiados por su pastor.
La brisa agradable, ayudaba con su accion, el trabajo del molinero haciendo girar las astas del molino.
El mar abastecía a los pescadores de muchos peces, con el fin de alimentarlos y exhalaba sus olores tipicos pero tan agradables para los que sabían apreciarles.
En el centro mismo de esta vida apacible, estaba la ciudad ceñida por murallas,y hormigueaba de actividad.
Los artesanos trabajaban con el fin de abastecer a la población
de todo lo que necesitaban.
Los comerciantes elogiaban sus mercancías a los clientes que venían al mercado.
Los niños jugaban, risueños y corriendo a lo largo de las calles animadas.
En las tabernas se oia risas y ruidos de bebidas que se se vertían en las jarras de cerveza.
Un pequeño grupo rodeo al alcalde, escuchando sus preguntas y respondiendo a ellas. Las campanas se pusieron a sonar y númerosos habitantes salieron de sus casas para ir a misa.
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Sjnoel



Inscrit le: 17 Fév 2007
Messages: 494
Localisation: Haarlem

MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De Droom

Ik, Ysupso van Alexandrië, vrome gelovige van Egypte, zal u mijn openbaring beschrijven die mij was getoond in een droom. Het mag vreemd lijken een droom te bekijken als een echt voorgevoel, maar het lezen van mijn openbaring zal u aantonen dat dit geen gewone droom was. Ik dank de Allerhoogste om mij deze goddelijke taak toe te vertrouwen om Zijn wil aan de wereld te verkondigen.

Mijn droom begon met een zacht wit licht. Ik had het gevoel dat ik mezelf moest wakker maken en, zoals in de vroege ochtend, verdween beetje bij beetje mijn vermoeidheid. Het licht bracht, langzaamerhand met mijn denkbeeldige wekker, zijn hoop kleurschakeringen. Toen zag ik een groep schepselen, mensen met de grote vleugels van vogels, omgeven door een verlichtende ring. Ze bruisenden van liefde en goedheid. Hun blikken waren vol van aardigheid en gevoeligheid en tederheid.

Ik zag daar bij mij al de mensen die, door hun heilige deugdzame leven, de status van engelen hadden bereikt. Zeven van hen overtroffen hun gezellen door het gevoel van goedheid dat zij uitstralen. Ik herkende zonder problemen de zeven gezegende aartsengelen van God: George, beschermer van de vriendschap, Miguaël, beschermer van de vrijgevigheid, Raphaëlle, beschermster van de overtuiging, Gabriël, beschermer van de soberheid, Michiel, beschermer van de rechtvaardigheid, Selaphiel, beschermer van het plezier, en Galadrielle, beschermster van de bewaring.

Achter hen, zag ik een enorme idylische landschappen. Alles bruisde van grote schoonheid en ik wilde niets liever dan hier blijven tot in de eeuwigheid. Maar het leek vrij leeg. Ik kon de ontelbare verkozenen, die het Paradijs bevolkten, bewonderen. Op hun gelaten zat een uitdrukkingen van grote gelukzaligheid. Het zien van zo'n geluk dat zij die in verdienste leefden vervulde, ik was verheugd voor hen en hoopte dat ook ik hierbij zou mogen horen.

Dan hoorde ik een harde, maar toch serene stem tegen mij zeggen: Zij die je hier ziet zijn zij die wisten hoe zij het Paradijs moesten verdienen, volgens het woord dat ik Aristoteles en Christos toevertrouwde. Maar weet dat de toekomst niet zo helder is voor allen. Ik begreep dat het God Hemzelve was die deze goddelijke boodschap aan tot mij richtte. Vervolgens lieten de engelen mij alleen in gemeenschap met de Allerhoogste. Kijk in de plas met water aan je voeten, zei Hij tot mij.

Ik zag een prachtig land daar. De zachte warmte van de zon koesterde de bomen van de boomgarden, voedde de aren van de gierst, die rechtopstonden, trots, naar de hemel wijzend, en gaf zijn liefde aan de groenten, die weelderig groeiden. Verder, kon ik de koeien zien die zich rustig voedden, vergezeld door de schapen, veilig gehouden door hun herder. De aangename bries verleende zijn kracht aan de molenaar door de wieken van de molen te laten draaien.

De zee voorzag de vissers van veel vis, zodat ze zich konden voedden en zijn landelijke maar zo plezierige geuren, voor zij die het kon appreciëren, konden opnemen. Te midden van dit vredige leven stond een stad, aaneengeknoopt met muren, zwermend van de activiteit. De ambachtslui werkten om aan de noden van de bevolking te kunnen voldoen en de handelaars spraken vol lof over hun goederen aan hun klanten op de markt.

De kinderen speelden, lachend en lopend in de drukke straten. De herbergen waren gevuld van gelach en de geluiden van vloeistoffen die in kruiken werden gegoten. Een kleine groep verzamelde zich rond de burgemeester, die luisterde naar hun vragen en ze beantwoordde. De klokken galmden en grote aantallen van de inwoners verlieten hun huizen om naar de mis te gaan.

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vincent.diftain



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MessagePosté le: Dim Aoû 16, 2009 12:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Das Ende aller Zeiten] I. Der Traum

Ich, Ysupso von Alexandria, gottesfürchtig Glaubender aus Ägypten, werde euch die Offenbarung kundtun, die mir im Traume gemacht wurde. Es mag seltsam erscheinen, einen Traum für eine wahrhaftige Vorahnung zu halten, doch wird euch die Lektüre dieser meiner Offenbarung erkennen lassen, daß es sich in der Tat nicht um einen beliebigen Traum handelt. Zuvorderst danke ich dem ALLERHÖCHSTEN, daß er mir die göttliche Mission auftrug, SEINEN Ratschluß in die Welt zu tragen.

Mein Traum beginnt mit einem lieblichen weißen Licht. Ich hatte das Gefühl zu erwachen, und ich kam, wie sonst vormittags, Stück für Stück aus meiner Lethargie heraus. Das Licht zeigte mit meinem fortschreitenden imaginären Erwachen immer mehr Differenzierung. Schließlich sah ich menschliche Wesen mit großen Flügeln wie denen von Vögeln und einem leuchtenden Ring über sich. Sie prangten von Liebe und Sanftheit. Ihre Blicke waren voll von Gutherzigkeit und Innigkeit.

Ich hatte vor mir all jene Menschen, die dank ihres heiligen tugendhaften Lebens zu Engeln geworden waren. Sieben unter ihnen überragten ihre Gefährten an Gutsein, wie ich es in ihrer Präsenz wahrnahm. Ich erkannte ohne Schwierigkeit die sieben von GOTT gebenedeiten Erzengel: Georg, den Schutzheiligen der Freundschaft; Michael, den Schutzheiligen der Selbsthingabe; Raphael, den Schutzheiligen der Überzeugung; Gabriel, den Schutzheiligen des Maßhaltens; Michel, den Schutzheiligen der Gerechtigkeit; Sylphael, den Schutzheiligen der Glückseligkeit; Galadriel, den Schutzheiligen der Selbstbewahrung.

Hinter ihnen konnte ich weite idyllische Landschaften ausmachen. Alles verströmte Schönheit und machte Lust, dort für die Ewigkeit zu bleiben. Doch dies allein war noch nichts: Ich konnte unzählige Auserwählte bewundern, die das Paradies bevölkerten und auf deren Gesichtern sich das Glück abzeichnete. Angesichts solcher Glückseligkeit, die jenen zukam, die ihr Leben tugendhaft verbracht hatten, frohlockte ich und erwartete, mich zu ihnen gesellen zu dürfen.

Dann hörte ich eine strenge und ruhige Stimme, die mir sagte: “Die du hier siehst, sind diejenigen, die das Paradies erlangt haben, indem sie den Geboten gefolgt sind, wie ICH sie Aristoteles und Christos gegeben habe. Doch wisse: die Zukunft wird nicht für alle so strahlend sein.” Ich begriff, daß dies GOTT selbst war, der mir die göttlichen Botschaft überbrachte. Daraufhin ließen mich die Engel allein mit dem HÖCHSTEN. "Sieh in die Wasserlache zu deinen Füßen”, sagter ER zu mir.

Ich sah dort ein schönes Land. Die sanfte Wärme der Sonne streichelte die Obstbaumplantagen, nährte die Weizenähren, die sich kraftvoll gen Himmel streckten, und schenkte all seine Liebe dem Gemüse, das florierte und gedieh. Weiter entfernt konnte ich gelassen weidende Kühe sehen, bei denen auch Schafe waren, die von ihrem Hirten gehütet wurden. Eine angenehmer Wind bot dem Müller seine Kraft für die Arbeit, indem er die Windmühlenflügel drehen machte.

Das Meer gab den Fischern reichen Fang, damit sie ernährt würden, und dünstete seine herben, für den Kenner angenehmen Düfte aus. Mitten in diesem friedvollen Leben gab es eine Stadt, umgeben von Mauern, von Leben nur so wimmelnd. Handwerker arbeiteten, um die Bevölkerung mit allem zu versorgen, was sie brauchte, und Händler priesen ihre Ware den Leuten an, die gerade auf dem Markt ihre Besorgungen machten.

Kinder spielten, lachten und liefen die lebendigen Straßen auf und ab. Aus Wirtshäusern drang Lachen und der Geruch von Flüssigkeiten, die man aus Maßkrügen trinkt. Eine kleine Gruppe umringte den Bürgermeister, der sich Fragen stellen ließ und darauf antwortete. Glocken läuteten, und zahlreiche Bewohner kamen aus ihren Häusern, um die Messe zu besuchen.


Übersetzt von Zaltvyksle.
_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Romain
Chancelier de la Sainte Inquisition
Grand Inquisiteur
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