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La fin des temps II: Le château

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Dim Mai 28, 2006 10:20 pm    Sujet du message: La fin des temps II: Le château Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la fin des temps, revu et corrigé : > ICI <

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La fin des temps II: Le château

Et c’est alors que l’horreur commença.

Le ciel s’assombrit, se chargeant de ténébreux nuages. Le tonnerre gronda, résonnant dans toutes les chaumières. Et la pluie se mit à tomber. Un déluge comme personne n’en avait vu jusqu’alors! Les bourrasques tourbillonnaient et la mer se fit si houleuse que je vis plusieurs pêcheurs disparaître sous les flots. Tous se mirent à l’abris, mais la pluie ne cessa plus de tomber.

Trois jours et trois nuits durant, elle travailla à réduire à néant tous les efforts des agriculteurs, qui voyaient, impuissants, leurs récoltes mourir. Les rues se transformaient en torrents. Tout le pays était gorgé d’eau. Et la mer frappait de tout son courroux contre la cité, détruisant les embarcadères, coulant même les bateaux les plus gros, et venant s’abattre contre la côte.

Puis, le ciel s’assombrit encore, étouffant totalement les rayons du soleil, et ne s’éclairait que par les éclairs dont le tonnerre résonnait dans toutes les maisons où les gens se massaient, apeurés. La pluie se fit de plus en plus froide, se changeant en neige. Le gel acheva de détruire les récoltes et le vent glacial fouettait les maisons, où les gens, terrifiés, souffraient de la faim et de la soif sans oser dire un mot.

Alors, la neige se changea en grêle. Celle-ci était composée d’énormes grêlons gros comme une balle de soule et durs comme la pierre. Ils frappèrent de toutes leurs forces les solides murailles et les bâtiments de pierre. Les toits semblaient souffrir de ce traitement, mais s'efforçaient de résister. Cela ne suffit pas toujours, car nombre de maisons s’effondrèrent sur leurs infortunés habitants, dans des cris déchirants d’appel à l’aide qui se perdirent dans le bruit du cataclysme.

Mais le calvaire sembla prendre fin lorsque la grêle diminua, puis s’arrêta. Petit à petit, les gens sortirent de leur modestes abris et nombre d’entre eux, hagards, se dirigèrent vers le château, afin de trouver des réponses à leurs questions. Le curé et le duc s’adressèrent alors à la foule. Mais le discours du seigneur temporel fut interrompu par l’effondrement de la tour, qui l’écrasa sans autre forme de procès.

En effet, la terre s’était mise à trembler. Et le malheureux élu s’était trouvé sous la trajectoire verticale de l’énorme monument. Les gens se mirent à courir afin de rejoindre à nouveau leurs abris. Mais les faibles maisonnées s’effondraient les unes après les autres. Les rues s’ouvraient, des crevasses s’ouvrirent, dévorant de leurs crocs de terre les infortunés qui se faisaient prendre dans leur terrible piège. Les murailles, déjà ébranlées par la grêle s’effondrèrent, apportant elles aussi leur lot de morts.

Toute la ville s’écroula ainsi peu à peu, laissant de nombreuses personnes aux prises avec la panique. Seule l’église avait survécu aux assauts des éléments déchaînés, le saint bâtiment semblant épargné par les éléments déchaînés. La terre s’arrêta de trembler et le calme se fit. Sans un mot, les survivants s’attroupèrent donc dans la maison du Très Haut. Le curé s’y trouvait. Il prêchait la repentance des fautes commises. Sa verve était d’or, mais on sentait dans sa voix l’angoisse que ses prières ne suffisent pas à les secourir. Mais tous écoutaient cependant le prêche du curé comme ils ne l’avaient jamais fait auparavant.


Ysupso
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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Avr 07, 2007 2:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

El fin de los tiempos II : El castillo.

Y es entonces que el horror comenzó.

El cielo se ensombrecio, cargándose de nubes tenebrosas.
El trueno cayo, resonando en todas las chozas.
Y la lluvia se echó a caer.
¡ Un diluvio como nadie lo había visto hasta entonces!
Las borrascas se arremolinaban y el mar se embravecio agitado!
Vi a varios pescadores desaparecer bajo sus aguas.
Todos miraban buscando refugio, pero la lluvia no dejó de caer.
Luego, el cielo se ensombrecio aun mas, haciendo desaparecer los rayos del sol.
Se iluminaba sólo por los relámpagos y los truenos que rezonaban en todas las casas.
La gente se agrupaba llena de pavor y miedo.
La lluvia se volvio cada vez más fría, cambiándose en nieve.
La helada terminó por destruir las cosechas y el viento glacial azotaba las casas.
La gente, aterrorizada, sufría hambre y de sed sin atreverse a decir una palabra.
Entonces, la nieve se cambió granizo.
Era tan enorme y grueso como el puño de una mano y duro como la piedra.
Golpeo con toda su fuerza las murallas sólidas y los edificios de piedra.
Los tejados parecían doblegarse ante tal embate, pero se esforzaban por resistir.
Esto no basto.
Númerosas casas se hundieron sobre sus infortunados habitantes. Se percibian gritos desgarradores, llamados de ayuda.
Se perdieron en el ruido del cataclismo.
Pero el calvario pareció terminar cuando el granizo disminuyó y luego se paró.
Poco a poco, la gente salio de los modestos refugios .
Gran número de ellos, despavoridos se dirigió hacia el castillo
con el fin de encontrar respuestas a sus preguntas.
Entonces el cura y el duque se dirigieron a la muchedumbre.
Pero el discurso del señor temporal fue interrumpido por el hundimiento de la torre que lo aplastó sin otra forma de proceso.
En efecto, la tierra comenzo a temblar.
El pobre electo se encontraba bajo la trayectoria vertical del enorme monumento.
La gente se puso a correr con el fin de ponerse a resguardo de nuevo.
Familias que aun habiendo encontrado refugio, se hundían unas tras otras.
Las calles temblaban, se abrieron grietas devorando con sus ganchos a los infortunados que se hacían agarrar en su trampa terrible.
Las murallas quebrantadas por el granizo se hundieron.
Aportando su tendal de muertos.
Toda la ciudad se derrumbó poco a poco, dejando a numerosas personas con pánico.
Sólo la iglesia había sobrevivido a los asaltos de los elementos desencadenados.
Al parecer, el santo edificio estuvo al resguardo de los elementos desenfrenados. La tierra paró de temblar y la calma se hizo.
Sin una palabra, los sobrevivientes se agruparon en la casa del muy Alto.
El cura se encontraba allí.
Recomendaba el arrepentimiento por las faltas cometidas. Su Su voz y su inspiración eran como el oro, pero sentíamos su angustia .
Sus oraciones no bastaban para socorrernos.
Sin embargo, todos escuchaban la prédica del cura como jamás lo habían hecho antes.

Ysupso
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Sjnoel



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MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Het Kasteel

En vanaf dit punt in de tijd begon de horror.

De hemel verduisterde, omgeven door donkere wolken. De donder schreeuwde, echoend in de rieten huizen. En de regen begon te vallen. Een vloed zoals niemand ooit had gezien stroomde in het land! De vlagen van de wind kolkten en de zee woedde zo machtig dat ik enkele vissers zag verdwijnen onder de wateren. Iedereen dacht toen te gaan schuilen, maar de regen hielt niet op met vallen.

Drie dagen en drie nachten, werkte de regen om alle moeite van de boeren, die hun oogsten verloren zagen gaan, tot niets te brengen. De straten waren veranderd in rivieren. Al het land werd opgeslokt door het water. En de zee dreunde met al zijn macht tegen de stad, vernielende de aanmeerplaatsen, de grootste boten tot zinken brengende en de wrakken hiervan op de kust te laten liggen.

Vervolgens, verdonkerde de hemel nog meer, de stralen van de zon volledig verstikkende en alleen verlicht door de bliksem, wiens donder doorheen al de huizen waarin de mensen bang afwachten weerklonk. De regen werd steeds kouder, wat het veranderde in sneeuw. Het vriezen vervolledigde de vernietiging van de oogsten en de ijzige wind geselde de huizen, waarin de mensen, doodsbang, leden van honger en dorst zonder een woord te durven zeggen.

Dan veranderde de sneeuw in hagel. Deze storm bestond uit enorme hagelstenen, zo groot als de omtrek van een schaal en zo hard als steen. Deze sloegen met al hun kracht in op de muren en stenen gebouwen. De daken leken te lijden onder deze behandeling, maar trachten dit te weerstaan. Dit was niet altijd voldoende, omdat vele huizen instorten op hun ongelukkige bewoners, hun kreten om hulp gingen verloren in het lawaai van de instorting.

Maar het martelaarschap leek te stoppen wanneer de hagel afnam en ten slotte stopte. Langzaamerhand verlieten de mensen hun bescheiden schuilplaatsen en een aantal van hen, uitgeput, gingen naar het kasteel toe, om daar antwoorden te vinden op hun vragen. De priester en de hertog spraken het volk toe. Maar de toespraak van de hertog werd abrupt beëindigd door de instorting van de toren, die hem verpletterde zonder genade of hoop op vergeving.

Inderdaad, de grond begon te beven. En de gekozen ongelukkigen stonden in het pad van het enorme monument. De mensen dachten dan terug te lopen naar hun schuilplaatsen. Maar de verzwakte huizen storten in, een voor een. De straten begaven het, openend in verschillende scheuren, de ongelukkigen opslokkend die in hun vreselijke val liepen. De muren, al door de hagel getroffen, storten in, hun dodentol opeisend.

De hele stad werd beetje bij beetje vernietigd, vele mensen die in paniek scheeuwden achterlatende. Alleen de kerk had de aanvallen van de vrijgelaten elementen doorstaan; het heilige gebouw leek gespaard van de verschrikkingen. De grond stopte met beven en kwam tot rust. Zonder een woord, begaven de overlevenden zich naar het huis van God. De priester was er. Hij preekte over berouw voor de gepleegde zonden. Zijn levensstijl was van goud, maar men voelde de doodsangst in zijn stem dat zijn gebeden niet genoeg waren om hen te helpen. Maar allen luisteren naar de preek van de priester zoals ze nog nooit geluisterd hadden.

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vincent.diftain



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MessagePosté le: Dim Aoû 16, 2009 12:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Das Ende aller Zeiten] II. Das Schloß

Und so begann das Grauen.

Der Himmel verfinsterte sich, füllte sich mit dunklen Wolken. Ein Donner grollte, der in allen Hütten widerhallte. Und es fing an zu regnen. Eine Sintflut, wie sie noch niemand gesehen hatte! Stürme bliesen, und das Meer war derart aufgewühlt, daß ich mehrere Fischer in den Fluten versinken sah. Jeder suchte Schutz, doch der Regen hörte nicht auf zu fallen.

Drei Tage und drei Nächte fortdauernd machte er alle Anstrengungen der Bauern zunichte, die ohnmächtig zusehen mußten, wie ihre Ernte starb. Die Straßen wurden zu Strömen. Das ganze Land versank im Wasser. Und das Meer spülte seinen ganzen Zorn gegen die Stadt, zerschmetterte die Anleger, hob dabei die dicksten Schiffe und warf sie gegen die Küste.

Dann verdunkelte sich der Himmel abermals, jeden Sonnenstrahl erstickend, und hellte sich nicht mehr auf, außer wenn Blitze zuckten, deren Donnergrollen in allen Häusern widerhallte, worin sich die Leute verängstigt zusammengefunden hatten. Der Regen wurde immer kälter und ging in Schnee über. Der Frost gab der Ernte den Rest, und der eisige Wind peitschte um die Häuser, wo die verschreckten Leute Hunger und Durst litten, ohne zu wagen, auch nur ein Wort zu sagen.

Schließlich wurde aus Schnee Hagel. Dieser Hagel bestand aus Hagelkörnern, enorm dick wie ein Ball und hart wie Stein. Sie prasselten mit all ihrer Wucht auf die Mauern und steinernen Gebäude. Die Dächer mochten davon in Mitleidenschaft gezogen werden, doch tatsächlich konnten sie widerstehen. Dies gelang zwar nicht immer, denn einige Häuser fielen über ihren unglückseligen Bewohnern zusammen - unter deren herzzerreißenden Hilferufen, die im Getöse dieser Naturkatastrophe untergingen.

Der Leidensweg schien ein Ende zu nehmen, als der Hagel schwächer wurde, schließlich vollends aufhörte. Nach und nach verließen die Leute ihren bescheidenen Unterschlupf, und manch einer von ihnen hielt verstört auf das Schloß zu, um Antwort auf seine Fragen zu finden. Der Pfarrer und der Herzog wendeten sich an die Menge. Doch die Ansprache des Herrn auf Zeit wurde vom Einsturz des Turms jäh unterbrochen, der ihn kurzerhand zermalmte.

In der Tat hatte die Erde zu beben begonnen. Und der unglückliche Volksvertreter befand sich auf der Fall-Linie des großen Bauwerks. Die Leute rannten, um erneut ihren Unterschlupf zu erreichen. Allein: die instabil gewordenen Unterkünfte brachen eine nach der anderen zusammen. Die Straßen öffneten sich, Spalten taten sich auf und verschlangen mit ihren erdigen Zähnen all die Unglücklichen, die in diese fürchterliche Falle gegangen waren. Die schon vom Hagelschlag mürbe gewordenen Mauern stürzten ebenso ein und forderten ihren Teil der Toten.

Die ganze Stadt fiel nach und nach zusammen, was zahlreiche Menschen in Panik versetzte. Allein die Kirche überstand die Angriffe der entfesselten Elemente, als hätten sie sie absichtlich ausgespart. Die Erde hörte auf zu beben, und Ruhe kehrte ein. In einem Wort: die Überlebenden versammelten sich im Hause des Allerhöchsten. Auch der Pfarrer war dort. Er predigte die Buße der getanen Sünden. Seine Lebendigkeit war Goldes gleich, doch spürte man die Angst in seiner Stimme, seine Gebete könnten nicht reichen, sie alle zu retten. Alle lauschten der Predigt des Pfarrers, wie sie es zuvor noch nie getan.


Übersetzt von Zaltvyksle.
_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Romain
Chancelier de la Sainte Inquisition
Grand Inquisiteur
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