L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Armoria]

[RP VIP : ne sont admis que les morts ayant côtoyé Armoria. Just for fun... Enjoy !]

Elle se leva de sa table de travail, jonchée de ses sempiternels parchemins, dont bon nombre étaient noircis de son écriture nerveuse et déliée à la fois. Elle s'étira avec délice, regarda par la fenêtre. Des hérétiques partout... Des remises en cause de l'ordre établi et voulu par Dieu. Plus le temps passait, plus les obstacles se dressaient, et plus elle devenait persuadée que le Seigneur lui avait donné pour mission d'être celle par qui l'Eglise affirmerait sa position en se rapprochant de la Couronne.

Parfois, cette idée lui semblait si orgueilleuse qu'elle s'en mortifiait, et s'orientait vers un plus modeste "l'une de ceux par qui".

Comme sitôt qu'il était question de sa foi, sa main gauche se porta sur son étoile d'argent, qui la suivait en tous lieux, piquée sur son décolleté. Elle s'assit sur son lit : sa réflexion devint méditation, sa méditation devint prière.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique

[tony77fr]

Feu Tony au paradis, où tout le monde sait que la nourriture n'est pas aussi bonne qu'on le prétend sur terre, et où l'on s'ennuie vite, même si Christos est un sacré farceur, surtout lorsqu'il fait des blagues sur Aristote...; cherchait à passer le temps.

Las, seul les Saints pouvaient aller embêter - visiter- les vivants. C'est alors qu'il vit Saint Bynarr passait près de lui, sans doute partant pour sa ballade hebdomadaire afin de rester en forme.

L'ex évêque de Nevers alla à sa rencontre et le supplia de le laisser profiter de ses privilièges de Saint- juste pour cette fois parce qu'on s'ennuie ici ! -pour une visite de la terre et surtout de la plus belle des duchesses !
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Mort.

[Poupoule55]

Voilà des lustres qu'elle passait l'éternité au Paradis solaire, la Poupoule. C'est pas qu'elle s'enquiquinait, à picoler de l'eau-de-maïs à la bière, et de la bière à l'eau-de-maïs, mais, à force de torcher avec le Saint-Père des boissons pas très aristotéliciennes, la tête avait une fâcheuse tendance à valdinguer dans tous les sens. Car la flamande avait découvert un truc, c'est que la mort n'empêchait pas la gueule de bois...

Ainsi donc, Poupoule, de son petit nom Alpaïde, était au Paradis Solaire, en compagnie de la clique de saints et de copains de taverne qu'elle avait pu se faire sur terre... Manquait pu que son époux, qui traînait encore ses chausses sur terre. Mais, entre nous, la mort lui donnait des vacances, à la dunkerquoise, et elle en profitait, riant des mauvaises blagues de Christos sur Aristote, participant aux batailles de poissons célestes en compagnie de Dalgwen, Lapin, Tricia, Xldpaw dit le Doc, Kaelle, Renoan, Stef...

Bière, amis, poiscail à volonté, et eau-de-maïs distillée à la perfection, la mort de Poupoule aurait pu être peinarde. Mais même la camarde peut ennuyer les fêtards joyeux... surtout lorsque, au fond, ils avaient bien envie de savoir ce que devenait ceux qu'ils avaient laissé en partant...

Poupoule revenait d'une fête fort arrosée chez Aristote (qui, soit dit en passant, avait un peu trop forcé sur le nectar), quand elle entendit un type - un ancien évêque - comploter quelque chose avec un saint (les saints n'avaient pas la même couleur d'auréole au-dessus de leur tête, ce qui permettaient aux autres de repérer qui était une huile et qui ne l'était pas. En gros, c'est un peu comme sur terre, où ceux qui portent les plus beaux atours, les plus beaux tissus et les plus belles parures sont les patrons. Sauf que là, comme ils étaient tous plus ou moins fringués pareil, la seule manière de les distinguer, c'étaient les décorations qu'ils arboraient tous. Les auréoles et les ailes, donc.). Curieuse, la jeune femme (on est toujours jeune au Paradis, surtout les femmes) s'approcha pour mieux écouter. Puis, elle grogna, secoua la tête et dit :

QUOI ? Z'allez quand même pas emmener l'évêque, là, et laisser les autres en rade ? Allez, j'la connais, moi, la duchesse. C'est une vieille, une très vieille connaissance, d'ailleurs. Pourquoi que je pourrai pas lui rendre une visite, moi aussi, si ça me chante ? Pas que je m'ennuie, Aristote et tous les anges, là, ils sont gentils, mais bon... la duchesse, j'ai bien envie d'aller lui faire mes amitiés. Et lui signifier, par la même occasion, que je ne suis plus de ce monde. Connaissant mon époux, il a dû oublier de le lui dire...
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Morte et enterrée. Tant mieux pour elle, soit dit en passant...

[thorin_ll]

Toujours en Armure, l'épée pendant le long de sa hanches, cheveux ébouriffer au vent. Je venais de passer un long moment à discuter avec Robert Savoie de tout et de rien comme à la bonne époque à Montmirail. Nous vîmes un attroupement non loin de là, ne comprenant pas de suite ce qu'il se passait, mes vieux réflexes de ménagère de la grande place de rome me revinrent bien vite.

J'espérais qu'il en serait de même pour Momo car cela faisait bien trop longtemps que nous nous étions croisés. De toute manière, elle passait le plus claire de son temps avec Ujio. Elle avait fini par le retrouver son templier. Pffff....

Donc, je m'avançais vers l'attroupement...


Il se passe quoi ici les amis. Une fête à l'honneur de Boulasse ou vous ne m'avez pas convié ?


Non loin Boulasse sourit en haussant les épaules, non ce n'était pas cela, mais cette chère Armoria qui priait pour qu'enfin temporelle et Eglise retrouve une pleine et entière sérénité. Je me souvins alors de ce procès en Touraine ou la princesse de France avait été limite insulter et qu'il avait fallu presque prendre les armes pour la défendre. Sourire...
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Mort, Veille à jamais sur les francs et leur citadelle,

[Mentaïg]

Oh ! Messire Thorin !

Surprise, Mentaïg. Depuis le temps qu'elle traînait au Paradis solaire, cherchant des gens qui auraient dû s'y trouver, et en trouvant d'autres qu'elle n'aurait jamais crus là, ça faisait du bien d'en trouver un parfaitement à sa place.
Non qu'elle eût ardemment fréquenté son église à l'époque où il était curé de Sancerre, non. Les églises, à l'époque, elle faisait un large détour pour les éviter.
Mais celui-là, de prêtre, elle l'avait apprécié. La taverne du Havre l'accueillait régulièrement, il disait ponctuellement des messes auxquelles elle n'assistait pas, et n'hésitait jamais à venir en aide à qui le demandait. Et même à qui ne le demandait pas.
Il avait même accepté de marier Dames Icefly et Maybee, une nuit. Un bon prêtre, vraiment.

Vous vous souvenez, Messire Thorin, de la taverne du Havre, à Sancerre ? Celle où Son Altesse Armoria a donné le jour au prince Philippe-Levan. J'y retournerais bien. Ça vous dirait de venir ?

[Poupoule55]

Par tous les saints, et Aristote et Christos en prime ! C'était le rendez-vous des anciennes connaissances à la Vanillée, ou quoi ? Visiblement, oui, parce que vu tous les gens qui se pointaient dans les parages, à tanner le saint - Bynarr, d'après les rumeurs - pour être ramené sur terre et causer avec l'Altesse...

Bon, heu, j'ai pas assisté aux accouchements, mais heu... avoir eu la Princesse comme témoin de mariage, ça compte aussi, hein ? Non, je demande, des fois que le nombre de places soit limité...

Elle se pencha en avant, le poing gauche sur la hanche, la main droite s'agitant frénétiquement.

C'est pas pour rester en bas, hein, que je veux descendre... J'y ai fait plus que mon temps, et chuis bien contente de pouvoir continuer mes activités d'en bas ici... de picoler avec les vieilles connaissances... mais y'a ben un regret que j'ai, c'est de n'avoir pu causer une dernière fois à la Princesse, pour lui dire d'éviter de faire deux trois trucs stupides...

Elle marmonna comme pour elle-même :

Comme s'occuper de mes enfants, par exemple... Vu la famille de cinglés qu'ils se récupèrent, c'est ptet pas la peine qu'elle se retrouve avec les ennuis des autres, par dessus le marché...
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Morte et enterrée. Tant mieux pour elle, soit dit en passant...

[thorin_ll]

Je vis s’approcher une tête bien connu.

Mentaïg, quel bonheur de te revoir. Tu n’as pas changé. Bien évidement que je me souvient du Havre et de mon rêve … Enfin d’ailleurs c’est étrange que tu saches ce dont j’ai rêver une nuit, c’était pas très aristotélicien comme rêve. Surtout pour un Moine – Soldat.

Je me retournais vers l’autre Dame que je ne connaissais point.

Chevalier Thorin de Ventoux ma Dame à votre service.

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Mort, Veille à jamais sur les francs et leur citadelle,

[Mentaïg]

Deux ou trois trucs stupides ? Lesquels, par exemple ? Vous trouvez vraiment que Son Altesse fait des trucs stupides ?

Eberluée, Mentaïg ! Comme si une Altesse Royale, mise là où elle était par la volonté divine, pouvait faire des trucs stupides !
Mais bon... Depuis qu'elle était au Paradis, où elle avait atterri sur simple intention de baptême - à moins que le Très-haut n'ait considéré comme valide le baptême reçu à sa naissance de feu son oncle Guillaume, qu'il gèle sur la Lune ? Il faudrait qu'elle en parle avec Aristote, quand son cousin Valatar aurait fini de lui apprendre à jouer aux fléchettes... - depuis qu'elle était au Paradis, donc, elle en apprenait tous les jours, des vertes et des pas mûres. Alors, une de plus, une de moins...

Enfin d’ailleurs c’est étrange que tu saches ce dont j’ai rêver une nuit, c’était pas très aristotélicien comme rêve.

Ben non, ce n'est pas étrange, Messire Thorin. Je ne sais pas pourquoi, mais depuis que je suis ici, je sais plein de choses comme ça. Ça doit tenir à l'ambiance, ou à l'atmosphère du Soleil, je ne sais pas... Ça ne vous arrive jamais, à vous ?

[Dame Zoélie]

Incandescence ...Déliquescence...Impitoyable...Minable....
Elle errait par là, de-ci, de-là, tournait son pas et son regard lorsqu'elle pensait, devinait, imaginait voir/revoir des âmes honnies, déficience...fragile et dérisoire....
Depuis si peu de temps qu'elle était - là - à errer, visiter, regarder, contempler.... Souventes fois, elle laissait aller son regard, son esprit, son âme encore si temporelle, sur le monde des terrestres.. Elle n'avait aucune envie de cotoyer, de se mélanger, de rencontrer les soi-disants "élus" qui se sentaient dignes de partager l'éternité, près des Saints, des Tres Hauts et autres "âmes bien nées , à qui la valeur, etc.. etc.. etc..."

Elle se penchait, de temps à autre, si fort, si volontairement vers la terre terrestre, qu'il advint, un moment, qu'elle ressentit l'appel d'une de ses anciennes connaissances.

Elle prit le temps - loin de la troupe - loin du monde - loin des voix et du brouhaha ambiant - de s'asseior sur un nuage bleu....
Bleu, blue, blues et autres mots...Les variétés de langage n'avaient plus de sens, les diversités temporelles, non plus...Elle s'installa confortablement sur le bord - doux- douillet- docile - d'un délicat nuage et se pencha pour écouter....

-....-

Tiens donc ! Le temporel appel... Sans doute , la belle étoile...
Aristote la préserve ! .... J'entends....le son... La voix... J'entends le loup, le renard et la belette... J'entends....

Que veut-elle ? Qui est-elle ? Familière m'est cette voix... Amical m'est cet appel... Et alors ? Et après ? Qui donc ici-bas nous interpelle dans nos limbes reposantes, efficientes, suffisantes ?

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Mort/e....
Zoélie est TRES DCD - militante pour la réhabilitation du point virgule ;

[mysouris]

Passant par là, observant vivement les scènes qui se déroulaient sous ses yeux enfin retrouvés, Mysouris, ou plutôt Fantomys comme certaines l'appelaient plus bas, se joignit au groupe.

Bonsoir, ou bonjour, avec ce soleil qui brille tout le temps, je sais plus trop où on en est du jour et de la nuit.

Mentaïg vous allez bien ? si je puis demander ici.

Bynarr, vous souvenez vous de moi ? Nous vous avions prier un soir dans une église Bretonne, Armoria et moi, pour que je recouvre la vue. Au dernier moment j'avais décidé de garder ce qui m'avait été donné, ou plutôt de ne pas retrouver ce qui m'avait été pris.

On descend ce soir ?

Elle même descendait souvent voir ses anciennes soeurs blanches, ne sachant pas que cela était réservé aux saints du pays, elle en avait suivi un, un jour, et avait recommencé souvent...

[Milamber987]

Bien sûr Milamber n'avait pas connu le Princesse Armoria, encore qu'il l'ait croisée de temps à autre mais pour tout mort qu'il était, la présence de ses amis, défunts et vivants le réveillaient parfois de son sommeil profond de faucon hobereau. Et quel ami !?

Monseigneur Tony bien entendu... rencontré un soir dans une taverne de Nevers et qui avait prédit ses épousailles avec la Baronne Juliette... n'était-ce pas un miracle ? D'aucuns l'auraient affirmé.

Bien entendu, il irait se rendormir très rapidement. Depuis la disparition de sa tendre amie Morgwen, il n'avait plus la force de revenir bien souvent chez les vivants. Cela demandait plus d'application que seule un ami aussi peu présent que Tony pouvait déclencher.

Sautant de nuage en nuage, il s'en fut vers d'autres cieux.
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Mort.

[Feu Redshark]

Si vraiment il existe une vie après la mort et des gens qui se baladent au paradis, ben oui, Red y est, en train de contempler en rigolant le monde continuer à vivre en-dessous de lui. C'est sympa, une fois arrivé, on se repose un peu, puis son observe, on se renseigne. Oui, vu du haut, Arfée est toujours aussi jolie, Armoria toujours aussi motivée, Lysesl toujours aussi droite et Passion et Jason toujours aussi pignoufs... hum passons. Y avait même des "nouveaux" dans le Maine. Le retour de Simonin, l'arrivée du fils de Kratos, bref, tout un tas de truc qui remuait les souvenirs fantomatiques de Redshark.

Donc, il était là, tranquillement en train de discuter avec le fantôme de Locke, pour débattre duquel des deux était le meilleur Comte du Maine. L'esprit de Crazyseb ne rodait pas, ce qui était dommageable pour l'ambiance, mais ça occupait quand même. Quand d'un coup, oreilles tendues, il semblait y avoir comme un début d'organisation d'expédition terrestre.

Il paraissait que seuls les saints pouvaient redescendre sur terre. Red s'était bien fait arnaquer, il aurait du faire la voie de l'Eglise, évidemment ! Saint du Maine, Saint des Finances... raté. Mais s'il y avait moyen de s'incruster, avec un bon motif, fallait en profiter. L'esprit religieux d'Armoria était si puissant qu'il pouvait surement permettre des miracles.

Il se pointa au milieu de l'attroupement.

Pour voir la Princesse Armoria ? Moi ! Je peux, hein ? Bon, on y va ?

Un peu absurde comme histoire, la vie après la mort existe... ou pas.

[Dame Zoélie]

Des âmes, des gens, des paroles, des mots... La vanillée avait-elle lancé si fort son appel que tant de monde accourt de sitôt ?
La récente décédée, stoïque, amusée, étonnée mais toujours aussi curieuse observe tout le monde.
Elle voit des gens, des morts qu'elle a connus, d'autres dont elle sait la valeur qui leur fut accordée....Se souvient de son ami Archimbaud et des discussions économiques qu'il lui racontait avec le dénommé Tony.

En même temps, vu qu'elle est par là, à observer le monde connu, elle s'informe des troubles temporels en cours. Les lions de Juda. Sanctus qui l'avait déja tué au moins une fois. Il est là -encore et toujours - Elle sourit pour elle seule.
La vie, les hommes, l'appel de la vie à elle-même.
"Rien ne change, rien ne bouge ; tout se transforme " lui a dit un autre décédé, récemment rencontré. Elle s'amuse de l'agitation des gens d'en-bas qui se pensent si importants, si certains de leurs convictions, comme si la vérité n'était qu'une.
Elle s'installe confortablement, songeant que le spectacle va durer longtemps. Elle inspire, n'expire pas, l'ayant déja fait précédemment et soupire....en un sourire distrait devant le dérisoire spectacle de ceux qui pensent avoir certitudes intangibles.
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Mort/e....
Zoélie est TRES DCD - militante pour la réhabilitation du point virgule ;

[Mentaïg]

Mentaïg vous allez bien ? si je puis demander ici.

Mysouris !

Bon D... euh ! Bon sang ! Ça faisait plaisir de la revoir, celle-là. Pas du même parti de leur vivant, les deux dames, mais ça n'avait pas empêché l'amitié, malgré les entreprises de certains.

On descend ce soir ?

Descendre ? Mouais ! Certes, l'idée avait déjà tenté Mentaïg. Il y avait quelques personnes, là en bas, qu'elle aurait bien aimé revoir. Au début de son séjour au Paradis Solaire, elle avait passé pas mal de temps à hanter les corridors du château de Culan, où se réunissaient les opposants au duc Poilu. Et puis il y avait là-bas le petit Gabriel, l'enfant adulé.
Mais tout a une fin. Les opposants avaient déserté le castel, l'enfant avait grandi et avait rejoint trop tôt le Paradis Solaire.
Alors il restait qui, en bas ? Pas un de ses soi-disant amis n'était jamais venu se recueillir sur sa tombe. Bon, d'accord, ça devait sentir un peu le soufre, de ce côté-là. Quand on n'est pas confirmé, on n'a pas droit aux pompes funèbres. Tant pis, tant mieux.

Descendre ? Moui, pourquoi pas ? Mais pas en Berry, si ça ne vous dérange pas, Mys. J'irais bien faire un tour au Louvre, en revanche, tirer un peu les pieds d'Armoria. Vous avez vu ce qui se passe, sur terre ? M'est avis qu'elle a besoin d'aide.

[mysouris]

Pas au Berry qu'elle disait, bah de toute façon plus grand chose à y faire de toute façon.

Ca fait longtemps que je ne regarde plus les affaires du royaume, me contentant d'aller visiter un ami de ci de là. Mais, oui, allons donc voir Armoria et lui grignoter les orteils.