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Saintes Barbare et Monique — Sante Barbara e Monica

 
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Ven Déc 11, 2009 10:19 pm    Sujet du message: Saintes Barbare et Monique — Sante Barbara e Monica Répondre en citant




    Saintes Barbare et Monique



    Barbare et Monique naquirent à Aesernia (Isernia) au IIIème siècle. Leur père, dénommé Urbain, était un magistrat romain.
    Leur précepteur, Ermete, qui était secrètement un aristotélicien, les initia au Livre des Vertus. Ainsi les deux jeunes femmes se convertirent à la vraie foi, répudiant les fausses idoles. Urbain, avisé de l'intention de ses filles, fit assassiner le précepteur et chercha par tous les moyens à éloigner les sœurs de leur foi, mais rien ne put diminuer la volonté de Barbare et Monique.

    Il les fit alors enfermer dans une tour et les fit vivre dans l'opulence et de luxe pour les faire embrasser le style de vie des riches. Cependant, les deux sœurs réussirent à sortir de la tour et, chaque nuit, distribuaient leurs richesses aux pauvres, y compris leurs somptueux vêtements. Elles brisèrent également les riches idoles que leur père avait fait placer dans la tour et en distribuèrent les fragments précieux aux pauvres gens.
    Comme les pauvres s’étonnaient d’un tel comportement, Barbare et Monique prêchèrent alors les enseignements du Livre des Vertus afin de les convertir à l'aristotélisme.
    Ainsi, à chacune de leurs excursions nocturnes, elles prêchèrent la parole d'Aristote. L’exemple d'amitié qu’elles donnaient aux pauvres ainsi que la conviction et la tempérance de leur élocution firent en sorte que gravitèrent autour d’elles un nombre toujours croissant de personnes, qui embrassèrent l’une après l’autre la vraie foi en abandonnant leurs croyances païennes.
    Leur père, avisé de tout cela, les confia au préfet Dione, qui les dénonça pour impiété.

    Il ordonna que les jeunes femmes soient emprisonnées. Leur mère, venue leur rendre visite accompagnée d’autres matrones, les conjurèrent d'abjurer, mais les larmes maternelles ne réussirent pas à émouvoir Barbare et Monique.

    « Nous adorons le seul vrai Dieu et suivons nos uniques maîtres, Aristote et Christos. »

    Le préfet condamna alors les sœurs à être mises à nu et flagellés publiquement après qu’on leur ait rasé la tête. Émues devant tant de cruauté, les femmes de la place couvrirent les deux pauvres jeunes femmes de leurs manteaux et les bourreaux, après des longues heures de torture, impressionnés par la force de la foi des jeunes femmes, furent épuisés.

    Dione les fit alors lier à une grande roue métallique qui, en tournant, aurait dû écarteler les deux saintes. Or, au premier tour effectué par la roue, celle-ci, grâce à l’intervention de l'Archange de l'Amitié, se cassa en tuant les bourreaux et en produisant la stupeur de l’assistance. Le préfet, stupéfait par les événements et furibond devant son impuissance, fit mener Barbare au temple d'Apollon pour l'obliger à brûler de l’encens à la divinité, mais grâce aux ferventes prières de la sainte, la statue du dieu tomba du piédestal et tua le malveillant Dione. Devant ce spectacle, toutes les personnes présentes se convertirent à la foi aristotélicienne et aidèrent les deux jeunes femmes à s’enfuir.

    Elles traversèrent la province et ne manquèrent pas une seule fois de faire le bien autour d’elles, bien qu’elles n'avaient maintenant presque plus rien.
    Arrivant prés d'une ville, elles furent hébergées par une modeste famille d'aristotéliciens, qui vivait dans une petite maison à la lisière de la foret.
    Bien qu’éprouvées par le voyage, elles insistèrent pour aider la famille aux travaux des champs et refusèrent de manger de la viande.

    « Dieu nous a donné tout ce dont nous avions besoin pour vivre et a fait en sorte que le travail nous procure de la nourriture ; le travail même est donc une forme de glorification du Très-Haut. S'occuper des champs et des bêtes est une manière de montrer notre amour pour ce que Dieu nous a offert. »

    La dimanche, les deux saintes guidaient la prière de la petite communauté des fidèles qui s'était créée grâce à leurs enseignements. Elles étaient tellement admirées que les fidèles les appelaient « monseigneur. »
    Un homme de grande famille assistait ce jour à la célébration du rite.
    Pendant le partage du pain, il dépassa la file des fidèles, en prétendant avoir la priorité, hurla ceci devant le refus des deux saintes célébrant la messe : « Je suis un noble, appartenant à une très ancienne famille, vous ne voudriez tout de même pas me faire attendre comme les petites gens ? »

    Barbare lui répondit alors :
    « Je ne sais pas quel titre précis vous possédez mais, comme nous l’enseigne le second prophète, la véritable noblesse est celle de l'esprit.
    Si vous ne comprenez pas cette vérité ni ne la cultivez pas dans votre cœur, un câble aura plus de facilités à passer par le chas d’une aiguille que vous à entrer au paradis. »

    Le noble, fulminant, quitta l'assemblée, non sans avoir auparavant menacé les deux femmes pour avoir osé le défier.
    Il les menaça de les dénoncer aux autorités.

    Les deux sœurs tentèrent de fuir et de rejoindre le Picenum, mais elles furent arrêtées et menées au préfet d'Interamniun (Teramo) qui les condamna à mort.
    Les sœurs furent portées sur la Cecilia où Barbare fut lapidée pendant que Monique fut rouée jusqu’à la mort.

    Malgré l’interdiction, des fidèles s’étaient réunis sur les lieux du martyre.
    Pour éviter des problèmes d'ordre public, le préfet fit transporter, la nuit, les corps des jeunes femmes jusqu'à Silvi et les porta sur un bateau. Une fois au large, il leur attacha une pierre autour du cou et les jeta à l’eau.

    Mais une certaine matrone romaine de nom Plautilla fin un rêve dans lequel elle vit les martyres lui indiquant le lieu où trouver leurs corps, en l'invitant à se convertir.
    Plautilla se rendit à l'aube sur la plage de Silvi et, avec grande stupeur, vit deux dauphins qui transportaient chacun une sainte en les portant jusqu'à la plage.
    Plautilla enterra les saintes non loin de la ville.

    Dès le IVème siècle, une basilique fut élevée sur leur tombe et deux plages de Silvi furent dédiées aux saintes : la plage de Sainte Monique et la plage de Sainte Barbare.
    Aux environs de 1230, lors de la fondation de la ville d'Aigle par Federic II Hohenstaufen de Svevia, les dépouilles des saintes furent transportées dans la nouvelle cathédrale qui leur fut dédiée.
    À Silvi, ils reste leurs deux crânes, et leurs mains furent portées à Teramo en souvenir de leur captivité.

    Éléments connexes :
    La tour et les deux dauphins.
    Patronnes de Molise et d’Abruzzi.

    Traduit par Wilgeforte de Torretta-Granitola

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Dernière édition par Sainte Wilgeforte le Dim Mar 07, 2010 8:43 pm; édité 2 fois
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Ven Déc 11, 2009 10:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant




    Sante Barbara e Monica



    Barbara e Monica nacquero a Aesernia(Isernia) nel III sec. Loro padre, Urbano, era un magistrato romano.
    Il loro precettore, Ermete, che era segretamente un'Aristotelico, le iniziò al Libro delle Virtù, così le due bambine si convertono alla vera fede, ripudiando i falsi idoli. Urbano, accortosi della conversione delle figlie, fece assassinare il precettore e cercò in tutti i modi di allontanare le fanciulle dalla loro fede, ma nulla riuscì a scalfirne minimamente la volontà.

    Le fece allora chiudere in una torre insieme a dodici ancelle, e le circondò di agi e di lusso per far loro abbracciare lo stile di vita pagano. Però le due fanciulle riuscirono ad uscire miracolosamente dalla torre ogni notte e distribuirono ai poveri le loro ricchezze, comprese le sfarzose vesti. Infransero anche i ricchi idoli che il padre aveva posto nella torre e distribuirono i frammenti preziosi tra la povera gente.
    Le ancelle erano stupite da tale compotamento, Barbara e Monica allora predicarono loro i Libri delle virtù, convertendole all'Aristotelismo.
    Durante le loro escursioni notturne, predicavano la parola di Aristotele, il loro esempio di amicizia, la convinzione e temperanza del loro eloquio facevano sì che si raccogliesse attorno a loro un numero sempre maggiore di persone, che abbracciavano la vera fede abbandonando le sciocche credenze pagane.
    Il padre, venuto a conoscenza dell'accaduto, la cosegnò al prefetto Dione, che le denunciò per empietà.

    Egli ordinò che le fanciulle venissero condotte in carcere dove vennero visitate dalla madre e da alcune altre matrone, che le scongiurarono di abiurare, ma nemmeno le lacrime materne riuscirono a smuovere Barbara e Monica.

    "Noi adoriamo il solo vero Dio e seguiamo i nostri unici Maestri, Aristotele e Christos"

    Il prefetto condannò allora le sorelle ad essere denudate delle vesti e pubblicamente flagellate dopo averle fatto loro recidere i capelli. Commosse da tanta crudeltà, le donne del posto coprirono le due povere fanciulle con i loro mantelli e i carnefici, dopo lunghe ore di battiture, stremati dalla divina resistenza delle fanciulle, caddero a terra esanimi.

    Dione le fece dunque legare ad una grande ruota metallica che al suo girare avrebbe slogato le esili membra delle Sante; al primo girare di ruota, questa, per intervento dell’Arcangelo dell'Amicizia, si spezzò uccidendo i carnefici e destando stupore tra gli astanti. Il prefetto, stupefatto per gli avvenimenti e furibondo per la sua impotenza, fece condurre Barbara al tempio di Apollo per obbligarla a bruciare l’incenso alla divinità, ma alle sue ferventi preghiere la statua del dio cadde dal piedistallo infrangendosi al suolo e uccidendo con una scheggia lo scellerato Dione. A tale vista tutti i presenti si convertirono alla fede Aristotelica e fecero fuggire le due ragazze.

    Esse attraversarono la provincia e ovunque andassero non mancavano di fare opere di carità benché non avessero ormai quasi più niente.
    Giunte presso una città, vennero ospitate da una modesta famiglia di aristotelici, che viveva in una casupola al limitare della forestra.
    Benché provate dal viaggiò si offrirono comunque di lavorare nei campi della famiglia rifiutarono di mangiare carne.

    "Dio ci ha dato tutto ciò di cui abbiamo bisogno per vivere e ha fatto sì che ci procurassimo il cibo mediante il nostro lavoro, il lavoro stesso è perciò glorificazione dell'Altissimo. Occuparsi dei campi e delle bestie è un modo per dimostrare il nostro amore per ciò che Dio ci ha donato."

    La domenica le due Sante guidavano la preghiera della piccola comunità di fedeli che si era creata seguendo i loro insegnamenti.
    La loro guida era talmente ammirata che i fedeli le chiamavano Vescovo.
    Un uomo di nobile famiglia assisteva quel giorno alla celebrazione del rito.
    Al momento dell'eucarestia, egli sopravanzò la fila dei fedeli, pretendendo di avere la precedenza, al rifiuto delle celebranti egli si infuriò:
    "Sono un nobile, appartenente ad un antico casato, non vorrete farmi attendere come la gente comune?"

    Barbara allora rispose:
    "Il vostro titolo non vi alcun dirito più di tutti gli altri e, come ci insegna il secondo Profeta, la verà nobiltà è quella dello spirito.
    Se non non capisce questa verità e non la coltiva nel cuore, sarà più facile per una gomena passare per la cruna di un ago, che per un nobile entrare in Paradiso"

    Il nobile infuriato lasciò l'assemblea non prima di aver minacciato le due donne per aver osato sfidarlo.
    Egli, una volta giunto in città, denuncio alle autorità le Sante.

    Le giovani tentarono di fuggire e raggiungere il Picenum, ma vennero arrestate e condotte dinanzi al prefetto di Interamniun(Teramo) il quale le condannò a morte.
    Le sorelle vennero portate sulla via Cecilia dove Barbara venne lapidata mentre Monica fu bastonata a morte.

    Sul luogo del martirio si riunivano folle di fedeli incuranti delle ritorsioni
    Per evitare problemi di ordine pubblico, il prefetto, nella notte buia fece trasportare i corpi delle fanciulle fino a Silvi e su di una barca fino al largo, dove con una grossa pietra al collo vennero gettate tra i flutti.
    Ma una certa matrona romana di nome Plautilla vide le martiri in sogno che le indicavano il luogo dove trovare i loro corpi, invitandola a convertirsi.
    Plautilla si recò all'alba sulle spiagge di Silvi e, con grande stupore, vide due delfini che trasportavano ciascuno una Santa portandole fino alla spiaggia.
    Plautilla seppellì le Sante nei pressi della città.



    Sulla loro tomba già nel IV secolo fu eretta una basilica, e due spiagge di Silvi furono dedicate ciascuna ad una Santa: la spiaggia di Santa Monica e la spiaggia di Santa Barbara.
    Intorno al 1230, alla fondazione della città di Aquila da parte di Federico II Hohenstaufen di Svevia, le spoglie delle Sante furono traslate nella nuova Cattedrale che fu dedicata a loro.
    A Silvi rimasero i due teschi, mentre le mani furono portate a Teramo in ricordo della prigionia.


    Elementi connessi:
    La torre e i due delfini.
    Patrone di Molise ed Abruzzi.

    Translated by Francesco Saverio Visconti

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Ignius



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MessagePosté le: Ven Nov 23, 2012 8:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Santa Bárbara y Santa Mónica



Bárbara y Mónica nacieron en Aesernia (Isernia) en el siglo III. Su padre, Urbano, era magistrado romano.
Su preceptor, Ermete, que mantenía en secreto que era aristotélico, las inició en el estudio del libro de las Virtudes, así las dos niñas se convirtieron a la fe verdadera repudiando a los falsos ídolos. Urbano, cuando se enteró de la conversión de sus hijas, ordenó asesinar al preceptor y buscó mil maneras de alejar a las niñas de su fe, pero nada logró que disminuyesen ni un poco las voluntades de Bárbara y Mónica.

Hizo que las encerrasen en una torre junto a doce criadas y las rodeó de comodidades y de lujos para obligarlas a abrazar el estilo de vida pagano. Pero las dos niñas lograban salir milagrosamente de la torre cada noche y distribuían sus riquezas entre los pobres, incluso sus lujosos vestidos. También rompieron los ricos ídolos que su padre había colocado en la torre y distribuyeron los fragmentos preciosos entre la gente pobre.
Las criadas estaban asombradas de tal comportamiento, entonces Bárbara y Mónica las instruyeron en el libro de las virtudes, convirtiéndolas al Aristotelismo.
Durante sus excursiones nocturnas predicaban las enseñanzas de Aristóteles, su ejemplo de amistad, la convicción y templanza de sus palabras hicieron que se unieran a ellas un número siempre creciente de personas, que abrazaban la verdadera fe y abandonaban las absurdas creencias paganas.
Su padre tenía conocimiento de lo que estaba ocurriendo así que las entregó al Prefecto Dionea, quien las denunció por herejes.

Ordenó que las niñas fuesen conducidas a la cárcel donde recibieron las visitas de su madre y de algunas otras matronas, que les suplicaban abjurar, pero tampoco las lágrimas maternas lograron mover a Bárbara y Mónica.


- Nosotras adoramos sólo al verdadero dios y seguimos a nuestros únicos maestros: Aristóteles y Christos.

El Prefecto condenó entonces a las hermanas a ser despojadas de sus vestiduras y a ser flageladas públicamente después de haberles hecho cortar el cabello. Conmovidas por tanta crueldad las mujeres del sitio cubrieron a las dos pobres niñas con sus capas y sus verdugos, después de largas horas de tortura, impresionados por la divina resistencia de las niñas, cayeron a tierra exhaustos.

Entonces Dionea hizo que las ataran a una gran rueda metálica que al girar habría dislocado los escuálidos miembros de las Santas. Al primer giro de la rueda, por intervención del Arcángel de la amistad, se partió matando a los verdugos y provocando estupor entre los presentes. El Prefecto, atónito por los acontecimientos y enojado por su impotencia, hizo conducir a Bárbara al templo de Apolo para obligarla a quemar incienso ante la deidad, pero con sus fervientes oraciones la estatua del dios cayó del pedestal rompiéndose en el suelo y matando con un fragmento al perverso Dionea. Con esta visión todos los presentes se convirtieron a la fe Aristotélica y dejaron huir a las dos niñas.

Ellas atravesaron la provincia y hacían obras de caridad por todos los lugares que vivistaban aunque no tuviesen ya casi nada.
Al llegar cerca de una ciudad fueron hospedadas por una modesta familia de aristotélicos que vivía en una pequeña casa al límite de la frontera.
Aunque estaban cansadas por el viaje se ofrecieron a trabajar en los campos de la familia y rechazaron comer carne.


- Dios nos ha dado todo aquello que necesitamos para vivir e hizo que consiguiésemos comida mediante nuestro trabajo, el trabajo mismo es por tanto glorificación al Altísimo. Ocuparse de los campos y de los animales es un modo de demostrar nuestro amor por lo que Dios nos ha dado.

El domingo las dos Santas condujeron la oración de la pequeña comunidad de fieles que se había creado siguiendo sus enseñanzas.
Su guía era tan admirada que los fieles las llamaban Obispos.
Un hombre de noble familia asistía aquel día a la celebración del rito.
En el momento de la eucaristía invadió la fila de los fieles, pretendiendo tener prioridad, pero fue rechazado por las celebrantes y se enfureció:


- Soy noble, perteneciente a un antiguo linaje, ¿no querréis hacerme esperar como a la gente común, no?

Bárbara entonces respondió:

- Vuestro título no os da ningún derecho por sobre los demás y, como enseña el segundo Profeta, la verdadera nobleza es la del espíritu.
Si no entendéis esta verdad y no la cultiváis en el corazón será más fácil para un cable pasar por el ojo de una aguja, que para un noble entrar al Paraíso.


El noble enfurecido dejó la asamblea no sin antes haber amenazado a las dos mujeres por haber osado desafiarlo.
Él, una vez en la ciudad, denunció ante las autoridades a las santas.

Las jóvenes intentaron huir y alcanzar el Picenum, pero fueron arrestadas y conducidas ante el Prefecto de Interamnium (Teramo) quien las condenó a muerte.
Las hermanas fueron llevadas por el camino de Cecilia donde Bárbara fue lapidada mientras Mónica fue apaleada hasta la muerte.

Sobre el lugar del martirio se reunían multitudes de fieles independientemente de las represalias.
Para evitar problemas de orden público el Prefecto, en la oscura noche, hizo transportar los cuerpos de las niñas hasta Silvi y las echó sobre un barco, donde con una gruesa piedra al cuello sus cuerpos fueron arrojados a las olas.
Pero cierta matrona romana de nombre Plautilla vio a las mártires en un sueño en el que le indicaban el lugar donde podía encontrar sus cuerpos, invitándola a convertirse.
Plautilla llegó de madrugada a las playas de Silvi y, con gran estupor, vio dos delfines que transportaban cada uno a una santa llevándolas hasta la playa.
Plautilla enterró a las Santas en los alrededores de la ciudad.

Sobre su tumba, en el siglo IV, fue erigida una basílica y dos playas de Silvi fueron dedicadas cada una a una santa: La playa de Santa Mónica y la playa de Santa Bárbara.

Alrededor del 1230, con la fundación de la ciudad de Aquila por parte de Federico II Hohenstaufen de Suabia, las reliquias de las santas fueron trasladadas a la nueva Catedral que estaba dedicada a ellas.
En Silvi permanecen los dos cráneos, mientras que las manos fueron llevadas a Teramo en memoria de su encarcelamiento.




Elementos relacionados:

La torre y los dos delfines.
Patronas de Molise y Abruzos.







Traducida por Padre Prior Jesús Alfonso Froissart del Campo.
Revisión por Casiopea Alonso Beltrán
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Jolieen



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MessagePosté le: Lun Sep 02, 2019 11:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

    Saintes Barbara and Monique



    Barbara and Monique were born in Aesernia (Isernia) in the 3rd century. Their father, named Urbain, was a Roman magistrate.
    Their preceptor, Ermete, who was secretly an Aristotelian, introduced them to the Book of Virtues. So the two young women converted to the true faith, repudiating the false idols. Urbain, informed of the intention of his daughters, had the preceptor murdered, and endeavored by all means to drive the sisters away from their faith, but nothing could diminish the will of Barbara and Monique.

    He then had them locked up in a tower and made them live in opulence and luxury to make them embrace the lifestyle of the rich. However, the two sisters managed to get out of the tower and, each night, distributed their wealth to the poor, including their sumptuous clothes.They also broke the rich idols that their father had placed in the tower and distributed the precious fragments to the poor people.
    As the poor were astonished at such behavior, Barbara and Monica preached the teachings of the Book of Virtues in order to convert them to Aristotelianism.
    Thus, at each of their nocturnal excursions, they preached the word of Aristotle. The example of friendship which they gave to the poor, and the conviction and the temperance of their speech, made a growing number of people around them, who embraced one after another the true faith. abandoning their pagan beliefs.
    Their father, informed of all this, confided them to the prefect Dione, who denounced them for impiety.

    He ordered the young women to be imprisoned. Their mother, who came to visit them accompanied by other matrons, implored them to abjure, but the maternal tears did not succeed to move Barbara and Monique.

    « We worship the only true God and follow our unique teachers, Aristotle and Christos. »

    The prefect then condemned the sisters to be laid bare and flogged publicly after shaving their heads. Moved by so much cruelty, the women of the square covered the two poor young women with their cloaks and the executioners, after long hours of torture, impressed by the strength of the young women's faith, were exhausted.

    Dione then made them bind to a large metal wheel which, turning, should have tear apart the two saints. Now, in the first turn made by the wheel, this one, thanks to the intervention of the Archangel of the Friendship, broke itself by killing the executioners and producing stupor of the assistance. The prefect, stupefied by events and furious at his helplessness, had Barbara lead to the temple of Apollo to force him to burn incense to the deity, but thanks to the fervent prayers of the saint, the statue of the god fell from the pedestal and killed the evil Dione. In front of this show, all those present were converted to the Aristotelian faith and helped the two young women to flee.

    They crossed the province and did not fail once to do good around them, although they now had almost nothing left.
    Arriving near a town, they were lodged by a modest family of Aristotelians, who lived in a small house on the edge of the forest.
    Although exhausted by the trip, they insisted on helping the family in the field work and refused to eat meat.

    « God gave us everything we needed to live and made work to get us food ; therefore work is a form of glorification of the Most High. Caring for the fields and animals is a way to show our love for what God has given us.»

    On Sunday, the two saints guided the prayer of the small community of the faithful who had been created by their teachings. They were so admired that the faithful called them "monseigneur. "
    A man of great family attended the celebration of the rite on that day.
    During the sharing of the bread, he passed the line of the faithful, pretending to have priority, shouted this in front of the refusal of the two saints celebrating the mass : « I am a noble, belonging to a very old family, you would not want to make me wait like small people? »

    Barbara answered him then :
    « I do not know what specific title you have but, as the second prophet teaches us, true nobility is that of the spirit.
    If you do not understand this truth and do not cultivate it in your heart, a cable will have more facilities to go through the eye of a needle than you to
    enter the solar paradies. »

    The noble, fulminant, left the assembly, not without having previously threatened the two women for daring to challenge him.
    He threatened to denounce them to the authorities.

    The two sisters tried to flee and join the Picenum, but were arrested and taken to the prefect of Interamniun (Teramo) who sentenced them to death.
    The sisters were brought to the Cecilia where Barbara was stoned while Monique was beaten to death.

    Despite the ban, some faithful gathered at the martyrdom.
    To avoid problems of public order, the prefect had the bodies of young women transported to Silvi at night and carried them on a boat. Once offshore, he tied a stone around their necks and threw them into the water.

    But a certain Roman matron named Plautilla ended a dream in which she saw martyrs telling her where to find their bodies, inviting her to convert.
    Plautilla went to dawn on Silvi beach and, with great astonishment, saw two dolphins, each carrying a saint, carrying them to the beach.
    Plautilla buried the saints not far from the city.

    From the 4th century, a basilica was erected on their tomb and two beaches of Silvi were dedicated to the saints: the beach of Santa Monica and the beach of Santa Barbara.
    Around 1230, during the founding of the city of Aigle by Federic II Hohenstaufen of Svevia, the remains of the saints were transported to the new cathedral dedicated to them.
    At Silvi, both their skulls remain, and their hands were brought to Teramo as a reminder of their captivity.

    Related elements:
    The tower and the two dolphins.
    Patrons of Molise and Abruzzi.

    Translated by Cardinal-Deacon Caillen Jolieen MacKinnon Rose, 1467

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Kalixtus
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MessagePosté le: Mar Jan 28, 2020 2:43 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    Die Heilige Barbara und Monika



    Barbara und Monika wurden im 3. Jahrhundert in Aesernia (Isernia) geboren. Ihr Vater, genannt Urbain, war ein römischer Magistrat.
    Ihr Tutor, Ermete, der insgeheim ein Aristot war, führte sie in das Buch der Tugenden ein. So bekehrten sich die beiden jungen Frauen zum wahren Glauben und lehnten falsche Götzen ab. Urbain, der sich der Absichten seiner Töchter bewusst war, ließ den Tutor ermorden und versuchte mit allen Mitteln, die Schwestern von ihrem Glauben fernzuhalten, aber nichts konnte den Willen von Barbara und Monica schmälern.

    Dann ließ er sie in einen Turm einsperren und ließ sie in Opulenz und Luxus leben, damit sie den Lebensstil der Reichen annehmen. Den beiden Schwestern gelang es jedoch, den Turm zu verlassen, und jede Nacht verteilten sie ihren Reichtum an die Armen, einschließlich ihrer prächtigen Kleidung. Sie zerbrachen auch die wertvollen Götzen, die ihr Vater in den Turm gestellt hatte, und verteilten die kostbaren Fragmente an die armen Menschen.
    Da die Armen über ein solches Verhalten erstaunt waren, predigten Barbara und Monica dann die Lehren des Buches der Tugenden, um sie zum Aristotelismus zu bekehren.
    So predigten sie auf jedem ihrer nächtlichen Ausflüge das Wort des Aristoteles. Das Beispiel der Freundschaft, das sie den Armen gaben, sowie die Überzeugung und Mäßigung ihrer Redeweise ließen immer mehr Menschen um sie strömen, die nacheinander den wahren Glauben annahmen und ihre heidnischen Überzeugungen aufgaben.
    Ihr Vater, der sich all dessen bewusst war, vertraute sie dem Präfekten Dione an, der sie wegen Gottlosigkeit anprangerte.

    Er ordnete an, dass die jungen Frauen inhaftiert werden. Ihre Mutter, die sie in Begleitung anderer Matronen besuchte, drängte sie zur Abschwörung, aber die Tränen der Mutter bewegten Barbara und Monika nicht.

    « Wir beten den einen wahren Gott an und folgen unseren einzigen Meistern, Aristoteles und Christos. »

    Der Präfekt verurteilte dann die Schwestern dazu, nackt ausgezogen und öffentlich ausgepeitscht zu werden, nachdem ihre Köpfe rasiert worden waren. Von der Grausamkeit erschüttert, bedeckten die Frauen des Ortes die beiden armen jungen Frauen mit ihren Mänteln, und die Scharfrichter waren nach langen Stunden der Folter, beeindruckt von der Kraft des Glaubens der jungen Frauen, erschöpft.

    Dione ließ sie dann an ein großes Metallrad binden, das beim Drehen die beiden Heiligen auseinander gerissen hätte. Doch bei der ersten Drehung des Rades brach das Rad dank der Intervention des Erzengels der Freundschaft, wodurch die Scharfrichter getötet wurden und das Erstaunen der Zuschauer hervorgerufen wurde. Der Präfekt, verblüfft von den Ereignissen und wütend über seine Ohnmacht, ließ die Barbaren in den Tempel des Apollo bringen, um sie zu zwingen, der Gottheit Weihrauch zu verbrennen, aber dank der inbrünstigen Gebete der Heiligen fiel die Statue des Gottes vom Sockel und tötete den bösartigen Dione. Angesichts dieses Geschehens konvertierten alle Anwesenden zum aristotelischen Glauben und halfen den beiden jungen Frauen bei der Flucht.

    Sie durchquerten die Provinz und versäumten es nie, den Menschen um sie herum Gutes zu tun, obwohl sie jetzt fast nichts mehr hatten.
    Als sie in der Nähe einer Stadt ankamen, wurden sie von einer bescheidenen aristotelischen Familie aufgenommen, die in einem kleinen Haus am Waldrand lebte.
    Obwohl sie durch die Reise auf eine harte Probe gestellt wurden, bestanden sie darauf, der Familie auf den Feldern zu helfen, und weigerten sich, Fleisch zu essen.

    « Gott hat uns alles gegeben, was wir zum Leben brauchen, und er hat dafür gesorgt, dass die Arbeit uns mit Nahrung versorgt; daher ist die Arbeit selbst eine Form der Verherrlichung des Allerhöchsten. Die Pflege der Felder und die Pflege der Tiere ist eine Möglichkeit, unsere Liebe zu dem zu zeigen, was Gott uns gegeben hat. »

    An den Sonntagen leiteten die beiden Heiligen das Gebet der kleinen Gemeinschaft der Gläubigen, die dank ihrer Lehren entstanden war. Sie wurden so bewundert, dass die Gläubigen sie als "Monsignore" bezeichneten. »
    Ein Mann aus einer großen Familie nahm an diesem Tag an der Feier des Rituals teil.
    Beim Teilen des Brotes ging er an der Schlange der Gläubigen vorbei, indem er vorgab, den Vortritt zu haben, und rief angesichts der Zurückweisung durch die beiden Heiligen, die die Messe feierten: "Ich bin ein Adliger, der einer sehr alten Familie angehört, ihr wollt mich doch nicht wie die kleinen Leute warten lassen? »

    Dann antwortete ihm Barbara
    "Ich weiß nicht, welchen genauen Titel Sie haben, aber, wie der zweite Prophet uns lehrt, ist wahrer Adel der des Geistes.
    Wenn Sie diese Wahrheit nicht verstehen und sie nicht in Ihrem Herzen kultivieren, wird es für ein Seil leichter sein, durch ein Nadelöhr zu gehen, als für Sie, das Paradies zu betreten. »

    Der fulminante Adlige verließ die Versammlung, nicht ohne den beiden Frauen zuvor zu drohen, weil sie es gewagt hatten, ihm zu trotzen.
    Er drohte, sie bei den Behörden anzuzeigen.

    Die beiden Schwestern versuchten, nach Picenum zu fliehen, wurden aber verhaftet und zum Präfekten von Interamniun (Teramo) gebracht, der sie zum Tode verurteilte.
    Die Schwestern wurden in die Cecilia gebracht, wo Barbara gesteinigt wurde, während Monika zu Tode geprügelt wurde.

    Trotz des Verbots hatten sich die Gläubigen am Ort des Martyriums versammelt.
    Um Probleme der öffentlichen Ordnung zu vermeiden, ließ der Präfekt die Leichen der jungen Frauen nachts nach Silvi transportieren und trug sie auf einem Boot. Als sie auf dem Meer waren, band er ihnen einen Stein um den Hals und warf sie ins Wasser.

    Aber eine gewisse römische Oberin namens Plautilla hatte einen Traum gedeutet, in dem sie sah, wie die Märtyrerinnen ihr sagten, wo sie ihre Leichen finden können, und sie zur Bekehrung aufriefen.
    Im Morgengrauen begab sich Plautilla zum Strand von Silvi und sah mit großem Erstaunen zwei Delfine, die jeweils eine Heilige trugen, die sie zum Strand trugen.
    Plautilla begrub die Heiligen nicht weit von der Stadt entfernt.

    Im 4. Jahrhundert wurde über ihren Gräbern eine Basilika errichtet und zwei Strände in Silvi wurden den Heiligen gewidmet: der Strand der Heiligen Monika und der Strand der Heiligen Barbara.
    Um 1230, als Federico II. Hohenstaufen von Svevia die Stadt Aigle gründete, wurden die Überreste der Heiligen in die neue, ihnen gewidmete Kathedrale transportiert.
    In Silvi sind ihre beiden Schädel erhalten geblieben, und ihre Hände wurden zum Gedenken an ihre Gefangenschaft nach Teramo gebracht.

    Verbundene Elemente :
    Der Turm und die beiden Delfine.
    Patrone von Molise und Abruzzen.

    Übersetzt ins französische von Wilgeforte de Torretta-Granitola

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