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De la défense de la foi par les armes

 
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Auteur Message
Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Ven Déc 18, 2009 2:17 pm    Sujet du message: De la défense de la foi par les armes Répondre en citant




    De la défense de la foi par les armes


    Depuis les premiers jours de l'humanité une tentation existe et tend à défier l'exactitude de la réponse qu'Oane a fournit au Très Haut en adoptant la perverse voix de la créature sans nom. Le Très haut a crée notre Terre et tous les êtres qui y vivent, Il nous a fait don de ce monde et nous a laissé un choix, celui de décider de notre destinée. Mais, Il a aussi laissé errer sur nos royaumes une créature sans nom, dont l'unique but est de pervertir nos âme et nous engager sur le chemin du vice. Ainsi, il ne nous obligeât pas à l'aimer sans comprendre pourquoi nous l'aimions, il nous a laissé l'opportunité de faire le choix de le vénérer, en toute connaissance de cause. Ainsi, je souhaite démontrer que, parfois, il est nécessaire d'avoir recours à la force, même si la doctrine de notre Sainte Eglise, les enseignements d'Aristote et les Paroles de Christos nous enjoignent à vivre dans la paix, l'amour et la vertu.

    Premièrement, il est nécessaire de poser certaines bases permettant de comprendre dans quel contexte la religion peut prendre les armes. Le religieux n'est en effet pas à même de combattre physiquement, il se doit de le faire par la parole, le message Divin qu'il apporte aux fidèles et aux croyants. C'est pourquoi l'église s'est doté d'une armée de fidèles dont l'unique mission est la défense du Dogme Aristotélicien, de la Foi envers le Tout Puissant et de l'Unité de la Sainte Eglise. Cette armée prend le nom de Congrégation des Saintes Armées. Au sein de cette congrégation sont regroupés des Ordres Militaro-Religieux ayant tous fidèlement prêté serment au Saint Pape, représentant du Très Haut sur Terre.

    Ainsi, je dirais que le principal, voire même, l'unique motif de combat pour l'Eglise, est la lutte contre l'hérésie. cela amène tout naturellement à se poser la question de ce qu'est l'hérésie.

    Le terme « hérésie » désigne une doctrine, qui se veut religieuse, contraire au dogme de notre Sainte Eglise. Il s'agit donc de l'adoption d'un système de croyance faux, perfide et emplit de vice qui, par sa nature, déchire la Sainte Eglise dans son unité et dans son universalité. L'hérésie représente purement et simplement l'abandon de notre dogme, de nos valeurs, l'abandon des enseignements des prophètes, et finalement, l'abandon de Dieu. Elle prône parfois aussi, de nouveaux prophètes dont la parole n'a jamais été reconnue comme vertueuse. Les hérétiques font acte de prosélytisme et diffusent allègrement leur venin dans le cœur des croyants, cherchant à attirer à eux le plus grand nombre. Ce qui est notable réside dans le fait que l'hérésie fait toujours preuve de coercition, il s'agit d'imposer par la force ces nouvelles croyances sans pour autant négliger l'aspect oratoire de la chose.

    Pourquoi la Sainte Eglise se doit-elle de lutter contre l'Hérésie ?

    Tout d'abord parce l'hérésie sous tend un mouvement dissident, qu'on pourrait qualifier de religieux, allant à l'encontre des principes mêmes de la Sainte Eglise Aristotélicienne et cherchant à instaurer un nouvel ordre sur des bases perfides et mensongères, entraînant ainsi ceux qui écoutent ces discours dans le péché et le vice. Il ne s'agit pas d'un égarement passager qui pourrait être "pardonné" au sens aristotélicien, non, il s'agit d'une croyance profonde et viscérale que cette vision "religieuse" est la seule vraie voie qui doit être reconnue.

    Ensuite parce que l'hérétique n'est pas qu'un simple illuminé, encore moins un possédé, non, il est avant tout un individu ayant pris connaissance du Dogme Aristotélicien et cherchant par tous les moyens, y compris la violence, à imposer sa vision des choses. Ce faisant, il détruit ce en quoi nous croyons, désunit le lien qui nous lie les uns aux autres et divise la communauté des hommes en mettant à mal le caractère universel de la Sainte Eglise. Nul retour n'est envisageable sans profession de foi, nulle rémission n'est possible sans pénitence et sans jugement religieux. L'hérésie constitue le mal absolu, il s'agit ainsi de la négation de l'essence divine de l'homme et par là, de sa filiation avec le Très Haut.

    L'acte d'hérésie conduit ainsi à la négation même de l'idée du créateur Tout Puissant comme père de l'humanité et de toutes choses dans l'univers. On peut ainsi en conclure que celui qui se rend coupable d'hérésie se dissocie de la communauté des hommes et devient à ce titre, un animal sans conscience. Il nie son prochain dans sa quintessence divine et fait de celui qui n'adopte pas sa doctrine, un ennemi à combattre ou un ignorant à convaincre. Certains esprits tordus diront que ceci peut définir la religion Aristotélicienne, nous dirons là qu'il y a une immense différence dans le fait que la religion Aristotélicienne laisse la liberté à chacun de croire ou non en l'existence de Dieu.

    Si la Sainte Eglise se doit de lutter contre toute hérésie c'est avant tout parce qu'elle se doit de protéger les fidèles et les croyants, mais aussi la communauté humaine dans son ensemble, afin de préserver l'équilibre des royaumes, de préserver la caractère universel de notre espèce et le lien ténu qui unit chaque enfant du Très haut. Ainsi, tel que Ysupso et Spyosu nous le retranscrivirent, les paroles du Très Haut nous éclairent sur cette question :


    Livre des Vertus, Livre 1 : Le mythe Aristotélicien, La Pré-Histoire, Chapitre V - Le roi du péché a écrit:
    "Alors que je vous ai donné mon amour, vous vous en êtes détournés, préférant écouter les paroles de la créature à laquelle je n’ai pas donné de nom. Vous avez préféré vous abandonner aux plaisirs matériels plutôt que de me rendre grâce."


    Le Livre des Vertus, Livre 1 : Le mythe Aristotélicien, La fin des temps IV - Le Jugement Divin a écrit:
    "Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aie crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment." [...] "Vous êtes jugés un à un lorsque vous mourrez, mais cela ne sera pas toujours le cas. En effet, j’ai laissé la créature à laquelle Je n’ai pas donné de nom prouver ses dires, selon lesquels c’est au fort de dominer le faible. Si, encore une fois, vous vous détournez de Moi en trop grand nombre, ce que tu as vu dans la flaque s’accomplira. Si vous oubliez à nouveau l’amour que J’ai pour vous et que vous ne m’aimiez plus à nouveau, cela sera vérité. Si Ma parole, révélée par Aristote et Christos n’est plus écoutée, Je détruirai le monde et la vie, car l’amour n’en sera plus le sens. Alors, prends garde à ne pas laisser Ma parole se perdre dans les gouffres de l’oubli."


    L'enseignement principal que l'on tire de ces quelques phrase est on ne peut plus simple, c'est à ceux qui guident l'humanité de veiller à ce que les conditions soient réunies pour que l'amour du Divin perdure et que la vertu soit ce qui guide les communautés. Nul autre être que le religieux peut se prévaloir d'être un guide spirituel, il est celui qui, au travers du Dogme et du Droit Canon, est garant de l'unité de la communauté, garant de la vertu, par ses paroles, ses actes et ses pensées. Ainsi, dans certains cas extrêmes, l'Eglise se doit d'intervenir armes aux poings au nom de l'humanité, de la Foi et de l'Amour du Très Haut.

    Qu'implique le fait de guerroyer au nom de la Foi et du Dogme Aristotélicien ?

    Tout d'abord, rappelons-nous que l'hérétique n'est plus un être faisant partie de la communauté humaine, il s'est de lui-même, où parce qu'il a été convaincu, désolidarisé de ses pairs, il s'est ainsi coupé du monde dans lequel il vit. Ensuite, n'oublions pas non plus que le prêche et le fait de porter la parole divine est toujours indispensable, quelque soit l'option qui ait été choisi pour lutter contre l'hérésie. Seules les armées de fidèles appartenant à la Congrégation des Saintes Armées, et ses alliés, se devront d'agir et ce, dans le stricte encadrement d'hommes de foi, vertueux et ayant toujours en point de mire, la résolution du conflit dans les plus brefs délais. il n'est nullement profitable d'envoyer des soldats, aussi fidèles soient-ils, porter la guerre sans avoir de garde fou dogmatique et canonique. Le guide spirituel se transforme alors en sage religieux dont la parole doit apaiser ceux qui vont combattre, les guider et les aider à comprendre leurs gestes, car, après tout, dans cette bataille, fut-elle contre le mal absolu, il n'en reste pas moins qu'un homme peut être amené à en tuer un autre, outrepassant ainsi l'interdit du meurtre, transversal à nos royaumes.

    Il est important de considérer que celui qui brandit l'épée n'est que le messager de la parole divine, il est celui qui applique des solutions extrêmes pour éviter au plus grand nombre de subir le courroux Divin, et non, animé d'une volonté de tuer par choix. Ses convictions religieuses doivent être des plus profondes et sa Foi des plus vertueuse car sans cela, le risque est de provoquer la colère du Très haut. Ainsi, il faut observer la plus grande prudence dans le recrutement des soldats de Dieu, s'assurer que l'homme qui porte l'arme au nom de la Foi et de l'Eglise est un modèle pour les autres. La Sainte Eglise ne saurait tolérer qu'un des siens commette quelque exaction que ce soit, au risque de discréditer tout ce en quoi la communauté Aristotélicienne croit, de mettre à mal toutes les valeurs que porte l'institution religieuse et in fine, de corrompre le sens même de la vie. La défense armée de la foi n'est pas affaire de vengeance, de colère, ni même de haine, elle se doit de toujours rester en raison de l'amour que l'on porte aux siens, de l'amitié qui unit les peuples, de l'unité et de l'universalité de la Sainte Eglise.

    Quelque soit le conflit, ceux qui combattent au nom du Très Haut ne doivent jamais oublier qu'ils ont en charge une mission religieuse, celle de ramener la paix et de reconstruire le lien qui a été rompu, il n'est donc nul plaisir à prendre au combat, nul bonheur de voir mourir un être qui fut un frère ou une sœur, nul besoin de violence inutile, chaque coup porté se doit d'être le plus utile possible, sans chercher à faire durer l'agonie de celui qui s'est perdu depuis longtemps dans les méandres tortueux du mal.


    Livre des Vertus, Livre III, Hagiographie de Sainte Kyrène a écrit:
    "Mais parfois l’humanité prendra le raccourci d’utiliser le fer, car lui aussi fut donné à l’homme par Dieu. Et pourtant, le fer a été donné à l’homme comme la créature sans nom a été laissée parmi nous, dans le but de nous tenter, et pour que nous l’oubliions en tant qu’arme. Un jour je vous le dis, nous vivrons dans un monde d’amour où seul nous importera ce que le Très Haut voit en nous, et non plus ce que notre voisin y voit, et ce jour uniquement les armes ne seront plus sorties de leur fourreau. Mais pour que ce jour arrive, nous devrons séparer le fer et le verbe, ceci sans pour autant négliger le recours au fer par ceux qui choisiront de défendre les prêtres du Très Haut. Le messie est venu définir des règles, car comme Aristote l’a dit déjà «il faut préférer se contenter de l’acceptable que d’exiger l’impossible directement ». La violence est donc acceptable contre la violence, si le but est la justice ou la défense de la vraie foi. Il nous faut pouvoir opposer la parole à la parole, mais aussi le fer au fer." [...] "Chacun a sa place, le soldat a sa place de la même manière pour aider la construction de l’Eglise, mais il a une grande responsabilité. Car comme le bûcheron ne doit pas couper d’arbre si nul n’en a besoin, le soldat ne doit pas faire couler le sang inutilement. Comme le bûcheron n’a pas de haine contre l’arbre, le soldat ne doit pas avoir de haine envers son ennemi, et il ne doit agir que si la cause est juste et approuvée par Dieu. S’il combat sans haine, pour servir les desseins du Créateur, et respecte les jours de prières, il en sera pardonné."


    Pour conclure, il faut ne pas oublier de préciser que ceux qui ont combattu et pratiqué la violence, se doivent d'obtenir le pardon divin, et ce, même s'ils ont fait ce qui était à faire. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est impensable de vivre avec l'idée d'avoir tué ou massacré, et ce, même si celui qu'on a occis était un mal à l'image de la créature sans nom. Le meurtre laisse une trace indélébile dans l'esprit humain et corrompt l'âme la plus pure. Ce sera alors, à ce moment, le rôle des religieux que de permettre aux soldats de la Foi d'entrevoir à nouveau la lumière divine. Il se devront de porter et de guider ces hommes et ces femmes pour qu'ils retrouvent le chemin qu'ils ont quitté pour le bien de tous. Au final, leur bravoure et leur courage auront été d'aller à l'encontre des messages divins dans l'œuvre de restaurer la paix et l'amitié.


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Kalixtus
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MessagePosté le: Ven Avr 30, 2021 5:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant


    Von der Verteidigung des Glaubens mit Waffen


    Seit den frühesten Tagen der Menschheit besteht die Versuchung, die Richtigkeit der Antwort, die Oane dem Allerhöchsten gab, in Frage zu stellen, indem er sich die perverse Stimme der namenlosen Kreatur zu eigen macht. Der Allerhöchste hat unsere Erde und alle Wesen, die auf ihr leben, erschaffen. Er hat uns das Geschenk dieser Welt gemacht und uns die Wahl gelassen, über unser Schicksal zu entscheiden. Aber Er hat auch eine namenlose Kreatur über unsere Königreiche wandern lassen, deren einziger Zweck es ist, unsere Seelen zu pervertieren und uns auf den Pfad des Lasters zu führen. So zwang er uns nicht, ihn zu lieben, ohne zu verstehen, warum wir ihn liebten, er gab uns die Möglichkeit, die Wahl zu treffen, ihn zu verehren, in voller Kenntnis der Tatsachen. So möchte ich zeigen, dass es manchmal notwendig ist, auf Gewalt zurückzugreifen, auch wenn die Lehre unserer Heiligen Kirche, die Lehren des Aristoteles und die Worte des Christos uns auffordern, in Frieden, Liebe und Tugend zu leben.

    Erstens ist es notwendig, bestimmte Grundlagen für das Verständnis des Kontextes zu schaffen, in dem Religion zu den Waffen greifen kann. Der religiöse Mensch ist nicht in der Lage, körperlich zu kämpfen; er muss dies durch das Wort tun, die göttliche Botschaft, die er den Gläubigen und Rechtgläubigen bringt. Aus diesem Grund verfügt die Kirche über eine Armee von Gläubigen, deren einzige Mission die Verteidigung des aristotelischen Dogmas, des Glaubens an den Allmächtigen und der Einheit der Heiligen Kirche ist. Diese Armee trägt den Namen Kongregation der Heiligen Armeen. In dieser Kongregation sind militärisch-religiöse Orden zusammengeschlossen, die alle dem Heiligen Papst, dem Vertreter des Allerhöchsten auf Erden, einen Eid geschworen haben.

    Daher würde ich sagen, dass das Hauptmotiv, wenn nicht sogar das einzige Motiv für den Kampf der Kirche der Kampf gegen die Ketzerei ist, was natürlich die Frage aufwirft, was Ketzerei ist.

    Der Begriff "Ketzerei" bezeichnet eine Lehre, die religiös ist und dem Dogma unserer Heiligen Kirche widerspricht. Es ist daher die Annahme eines falschen, perfiden und lasterhaften Glaubenssystems, das von Natur aus die Heilige Kirche in ihrer Einheit und Universalität zerreißt. Ketzerei bedeutet schlicht und einfach die Abkehr von unserem Dogma, von unseren Werten, die Abkehr von den Lehren der Propheten und schließlich die Abkehr von Gott. Manchmal befürwortet sie auch neue Propheten, deren Werk nie als tugendhaft anerkannt worden ist. Ketzer bekehren und verbreiten ihr Gift fröhlich in den Herzen der Gläubigen und versuchen, möglichst viele von ihnen anzulocken. Bemerkenswert ist, dass Ketzerei immer Zwang ist und diese neuen Überzeugungen mit Gewalt durchsetzt, ohne den rhetorischen Aspekt der Angelegenheit zu vernachlässigen.

    Warum muss die Heilige Kirche gegen Häresie kämpfen?

    Zunächst einmal, weil die Ketzerei einer Dissidentenbewegung zugrunde liegt, die man als religiös bezeichnen könnte, die gegen die Grundsätze der Heiligen Aristotelischen Kirche verstößt und versucht, eine neue Ordnung auf perfider und falscher Grundlage zu errichten, wodurch diejenigen, die diesen Reden zuhören, in Sünde und Laster gestürzt werden. Dies ist keine vorübergehende Verwirrung, die im aristotelischen Sinne "verziehen" werden könnte, nein, es ist ein tiefer und inniger Glaube, dass diese "religiöse" Vision der einzig wahre Weg ist, der anerkannt werden muss.

    Zweitens, weil der Ketzer kein einfacher Aufklärer und noch weniger ein Besessener ist, nein, er ist vor allem ein Mensch, der das aristotelische Dogma kennen gelernt hat und mit allen Mitteln, auch mit Gewalt, seine Sicht der Dinge durchzusetzen sucht. Damit zerstört er das, woran wir glauben, bricht das Band, das uns aneinander bindet, und spaltet die Gemeinschaft der Menschen, indem er den universellen Charakter der Heiligen Kirche untergräbt. Ohne ein Glaubensbekenntnis ist keine Rückkehr möglich, ohne Buße und religiöses Urteil ist kein Erlass möglich. Ketzerei stellt das absolut Böse dar, sie ist also die Negation des göttlichen Wesens des Menschen und damit seine Abstammung vom Allerhöchsten.

    Der Akt der Ketzerei führt somit zur Verneinung der Idee des allmächtigen Schöpfers als Vater der Menschheit und aller Dinge im Universum selbst. Daraus können wir schließen, dass derjenige, der sich der Ketzerei schuldig macht, sich von der Gemeinschaft der Menschen distanziert und als solcher zu einem Tier ohne Gewissen wird. Er verleugnet seinen Nächsten in seiner göttlichen Quintessenz und macht denjenigen, der seine Doktrin nicht annimmt, zu einem Feind, der bekämpft werden muss, oder zu einem Ignoranten, der überzeugt werden muss. Einige verdrehte Köpfe werden sagen, dass dies die aristotelische Religion definieren könnte, wir werden hier sagen, dass es einen immensen Unterschied in der Tatsache gibt, dass die aristotelische Religion jedem die Freiheit lässt, an die Existenz Gottes zu glauben oder nicht zu glauben.

    Wenn die Heilige Kirche gegen jede Häresie kämpfen muss, dann vor allem deshalb, weil sie die Gläubigen und Rechtgläubigen, aber auch die menschliche Gemeinschaft als Ganzes schützen muss, um das Gleichgewicht der Königreiche, den universellen Charakter unserer Spezies und das dünne Band, das jedes Kind des Allerhöchsten verbindet, zu bewahren. So, wie Ysupso und Spyosu es uns übermittelt haben, erhellen uns die Worte des Allerhöchsten über diese Frage:


    Buch der Tugenden, Buch 1: Der aristotelische Mythos, Vorgeschichte, Kapitel V - Der König der Sünde a écrit:
    "Nun, ich gab euch meine Liebe, und ihr habt euch abgewendet, habt es vorgezogen, auf die Parolen der Kreatur, der ich keinen Namen gab, zu hören. Ihr habt es vorgezogen, euch den materiellen Freuden hinzugeben, statt mir zu danken."


    Das Buch der Tugenden, Buch 1: Der aristotelische Mythos, Die Endzeit IV - Das göttliche Urteil a écrit:
    "Sieh, welch Gefahr, die Welt derart enden zu lassen, die du doch so sehr liebst. Sie wird zerstört werden: vom Wasser, vom Erdboden, vom Wind und vom Feuer. Doch fürchte dich nicht, denn wenn ihr euch tugendhaft zeigt, dann könnt ihr dieses unnütze Leid verhindern. Und die, die in der Tugend leben, sorgen sich nicht, denn ICH werde nie diejenigen vergessen, die MICH lieben" [...] "Ihr werdet gerichtet einer nach dem anderen, sobald ihr sterbt, doch dies wird nicht immer der Fall sein. In der Tat gestatte ICH der Kreatur, der ICH keinen Namen gab, ihre Behauptung zu beweisen, nach der der Starke den Schwachen beherrsche. Falls ihr euch erneut in großer Zahl von MIR abwenden solltet, wird geschehen, was du in der Wasserlache geschaut hast. Solltet ihr von neuem die Liebe vergessen, die ICH für euch empfinde, und ihr mich abermals nicht mehr lieben, würde dies wahr. Sollte meine Botschaft, die von Aristoteles und Christos verkündet wurde, nicht mehr von euch gehört werden, werde ICH die Welt und das Leben darin vernichten, denn die Liebe wird nicht mehr von Bedeutung darinnen sein. Also, gib acht, auf daß meine Botschaft nicht im Schlund des Vergessens verschwinde."


    Die wesentliche Erkenntnis, die sich aus diesen wenigen Sätzen ziehen lässt, ist ganz einfach: Es liegt an denen, die die Menschheit leiten, dafür zu sorgen, dass die Voraussetzungen dafür geschaffen werden, dass die Liebe des Göttlichen Bestand hat und dass Tugend das ist, was die Gemeinschaften leitet. Kein anderes Wesen als der Geistliche kann von sich behaupten, ein spiritueller Führer zu sein, er ist derjenige, der durch Dogma und Kirchenrecht durch seine Worte, Taten und Gedanken der Garant der Einheit der Gemeinschaft, der Garant der Tugend ist. So muss die Kirche in bestimmten Extremfällen im Namen der Menschlichkeit, des Glaubens und der Liebe des Allerhöchsten mit Waffengewalt eingreifen.

    Was bedeutet es, Krieg im Namen des Glaubens und des aristotelischen Dogmas zu führen?

    Erinnern wir uns zunächst daran, dass der Ketzer nicht mehr ein Wesen ist, das Teil der menschlichen Gemeinschaft ist, sondern ein Wesen seiner selbst, wo er sich, weil er überzeugt und von seinesgleichen losgelöst war, auf diese Weise von der Welt abgeschnitten hat, in der er lebt. Zweitens sollten wir auch nicht vergessen, dass das Predigen und Überbringen des göttlichen Wortes immer unverzichtbar ist, egal welche Option zur Bekämpfung der Ketzerei gewählt wurde. Nur die Armeen der Gläubigen, die der Kongregation der Heiligen Armeen angehören, und ihre Verbündeten werden handeln müssen, und dies im strengen Rahmen der Männer des Glaubens, tugendhaft und immer mit Blick auf die Lösung des Konflikts, und zwar so schnell wie möglich. Es ist keineswegs gewinnbringend, Soldaten, so treu sie auch sein mögen, zu entsenden, um den Krieg zu tragen, ohne eine dogmatische und kanonische Absicherung zu haben. Der geistige Führer verwandelt sich dann in einen religiösen Weisen, dessen Wort diejenigen, die kämpfen werden, besänftigen, leiten und ihnen helfen muss, ihre Handlungen zu verstehen, denn schließlich bleibt in diesem Kampf, gleichgültig, ob es sich um einen Kampf gegen das absolut Böse handelt, die Tatsache bestehen, dass ein Mann dazu verleitet werden kann, einen anderen zu töten und damit das Verbot des Mordes bricht, welches sich quer zu unseren Reichsordnungen verhält.

    Es ist wichtig zu bedenken, dass derjenige, der das Schwert führt, nur der Bote des göttlichen Wortes ist, er ist derjenige, der extreme Lösungen anwendet, um zu verhindern, dass die größte Zahl den göttlichen Zorn erleidet, und nicht, beseelt von dem Vorsatz, freiwillig zu töten. Seine religiösen Überzeugungen müssen von tiefster und sein Glaube von tugendhaftester Natur sein, denn ohne dies besteht die Gefahr, den Zorn des Allerhöchsten zu provozieren. Daher ist bei der Rekrutierung von Soldaten Gottes mit äußerster Vorsicht vorzugehen und sicherzustellen, dass der Mann, der die Waffe im Namen des Glaubens und der Kirche trägt, ein Vorbild für andere ist. Die Heilige Kirche kann es nicht tolerieren, dass einer von ihnen irgendeine Handlung begeht, auf die Gefahr hin, alles, woran die aristotelische Gemeinschaft glaubt, zu diskreditieren, alle von der religiösen Institution getragenen Werte zu untergraben und den Sinn des Lebens selbst zu korrumpieren. Die bewaffnete Verteidigung des Glaubens ist keine Frage der Rache, des Zorns oder gar des Hasses; sie muss immer aufgrund der Liebe zu den Seinen, der Völker verbindenden Freundschaft, der Einheit und Universalität der Heiligen Kirche erfolgen.

    Was auch immer der Konflikt sein mag, diejenigen, die im Namen des Allerhöchsten kämpfen, dürfen nie vergessen, dass sie eine religiöse Mission haben, die darin besteht, den Frieden wiederherzustellen und das zerbrochene Band wieder zu knüpfen. Es ist daher kein Vergnügen, am Kampf teilzunehmen, kein Glück, ein Wesen, das einmal ein Bruder oder eine Schwester war, sterben zu sehen, keine Notwendigkeit für nutzlose Gewalt, jeder ausgeführte Schlag muss so nützlich wie möglich sein, ohne zu versuchen, die Qualen eines Menschen zu verlängern, der lange Zeit in den gewundenen Windungen des Bösen verloren gegangen ist.


    Buch der Tugenden, Buch III, Hagiographie der Heiligen Kyrene a écrit:
    "Doch manches Mal wird die Menschheit versuchen, den kurzen Weg des Schwertes zu gehen, da auch dieses von Gott gegeben ist. Das Schwert ist uns gegeben, so wie auch die Kreatur ohne Namen, um uns in Versuchung zu führen und uns vergessen zu lassen, dass es als Waffe des Krieges dient. Wahrlich, ich sage euch, eines Tages werden wir in einer Welt der Liebe leben, wo allein zählt, was der HERR und nicht unser Nebenmann in uns sieht, und erst an diesem Tag wird keine Waffe mehr ihre Scheide verlassen. Doch bis dieser Tag kommt, müssen wir das Wort und das Schwert voneinander trennen, ohne jedoch die Bestimmung derjenigen zu missachten, welche dazu berufen sind die Priester des ALLERHÖCHSTEN zu verteidigen. Der Messias kam zu uns, um Regeln aufzustellen, denn wie bereits Aristoteles sagte: „Gewalt ist dann gegen Gewalt akzeptabel, wenn das Ziel der Gerechtigkeit oder der Verteidigung des wahren Glaubens dient.“ Er fordert uns damit auf Worte mit Worten zu bekämpfen, aber auch Schwerter mit Schwertern. [...] "Jeder hat seinen Platz, so wie auch der Soldat seinen Platz hat, um etwas zum Aufbau der Kirche beizutragen, aber er trägt auch eine große Verantwortung. So wie der Holzfäller keinen Baum fällen soll, wenn er keinen braucht, soll der Soldat auch kein Blut vergießen, wenn dies nicht notwendig ist. So wie der Holzfäller keinen Hass gegenüber dem Baum empfindet, soll der Soldat auch keinen Hass gegenüber seinem Gegner empfinden, und nur dann handeln, wenn der Grund gerechtfertigt und von Gott gutgeheißen wird. Wenn er ohne Hass kämpft, um dem Willen des Schöpfers zu dienen, und er die Gebettage respektiert, wird ihm vergeben werden."


    Abschließend dürfen wir nicht vergessen, darauf hinzuweisen, dass diejenigen, die gekämpft und Gewalt ausgeübt haben, göttliche Vergebung erlangen müssen, auch wenn sie das Richtige getan haben. Warum sollte dies so sein? Ganz einfach deshalb, weil es undenkbar ist, mit dem Gedanken zu leben, getötet oder massakriert zu haben, selbst wenn derjenige, der geopfert wurde, nach dem Bild der namenlosen Kreatur ein Übel war. Mord hinterlässt unauslöschliche Spuren im menschlichen Geist und verdirbt die reinste Seele. Es wird dann die Aufgabe der Ordensleute sein, den Soldaten des Glaubens wieder einen Blick auf das göttliche Licht zu ermöglichen. Es wird ihre Pflicht sein, diese Männer und Frauen zu tragen und zu führen, damit sie den Weg, den sie verlassen haben, zum Wohle aller wiederfinden. Am Ende wird ihr Mut und ihre Tapferkeit darin bestanden haben, sich bei der Arbeit zur Wiederherstellung von Frieden und Freundschaft gegen die göttlichen Botschaften zu stellen..


Dezember 1457, Bender.B.Rodriguez
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