L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Gabcha de Cianfarano]

Gabcha de Cianfarano, simplement vêtu d'un mantel en astrakan noir, entra dans la Basilique Saint Titus. Venu de sa Provence natale, il était assez impressionné par la Force de la Foi qui émanait de la Ville Sainte. Etant depuis peu membre de l'Eglise Aristotélicienne, il n'avait jusqu'alors que côtoyé Le Livre des Vertus, la Chapelle d'Apt et celle de Brignoles.

Il s'avança timidement, salua discrètement Ludovi, puis se plaça à l'avant dernier rang.Il décida de méditer sur la Vie de Sainte Marie-Madeleine, Patronne du Pays de la Lavande.

[Armoria]

Elle répondit, tout en saluant ça et là les visages connus d'une légère inclinaison de la tête :

Allons, Monseigneur, je me serais faite discrète, en me couvrant la tête de fourrure, au pire.

Elle eut un discret rire, vite étouffé derrière sa main libre, à la saillie du blond clerc :

L'aller, sans doute pas, mais le retour ?

Elle vit Acar et son épouse, les salua, eux aussi, voyant en eux des compagnons d'armes. Oh, Navigius aussi était là ! Il faudrait qu'elle prenne de ses nouvelles. Gwen, Becky, les deux Toulousaines... Que de monde connu.

Au fond, dans un sens, Rome est un petit village, les jours de cérémonies.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique

[antoineleroy]

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah Rome... Grand et magnifique lieux chargé d'histoires et de souvenirs. Emprunte de spiritualité et de divin, comment ne pas s'émerveiller devant ce bâtiment? Comment ne pas s'émerveiller de cette vie qui grouille? Comment ne pas s'émerveiller de ce silence magistral prompt à la médit...

" Non di dju c'est fichtrement loin c'bordel! "

Aheum... Rome donc venaient enfin d'apparaître dans l'horizon du Vicomte. Le voyage avait été long et Antoineleroy aurait donné un bras pour pouvoir plonger sa tête dans l'un des fûts d'Armagnac qu'il transportait à l'arrière de sa calèche. Oh, pas un grand plongeon, non, rien qu'un petit...
Seulement ses bras il risquait d'en avoir encore besoin par la suite, aussi peut-être valait-il mieux les garder pour l'instant.

Après divers détours incongrus le cocher annnonça à son maître qu'il s'était perdu, ce qui n'allait pas aider à calmer le Grand Archiviste de France cherchant des yeux une personne sur la route. Et il posa enfin son regard sur un péquen... aheum... un paysan acceptant de lui indiquer, contre obole, le chemin de la basilique. Le Chancelier avait écouté ses conseils comme autant de précieuses paroles empreintes de cette sagesse propre à la vieillesse...

Arrivé à bon port, la carriole s'en alla vers on ne sait où, laissant Antoineleroy déconfit et profondément hébété, la bouche béante sur une expression mêlée de colère et d'incrédulité.

" Je... Je crois que j'vais l'tuer! "

D'ailleurs... Il l'aurait fait s'il le pouvait... Non qu'un instinct aristotélicien l'en préserve mais la calèche était désormais trop loin pour y lancer un quelconque projectile: pierre, bout de bois, tonneau de vin, etc.

Ce saoulard allait encore passer des heures en taverne et le Vicomte devrait le chercher par la peau des fesses! M'enfin, il était au bon endroit... C'était toujours ça de pris.
Antoine se dirigea alors vers la foule qui augmentait à vue d'oeil, puis chercha des yeux des connaissances afin de se sentir moins seul. C'est là qu'il vit de loin la Princesse Armoria, qu'il avait cotoyé en Bourgogne voila quelques années déja, ainsi que l'Archevêque d'Auch Monseigneur Bushiro, puis son regard se posa sur l'ecclésiaste italien

" Monseigneur Navigius! Que je suis rassuré de vous savoir icelieu... Puis-je me joindre à vous? "
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[Jose_Enrique]

El Nuncio Papal estaba muy contento de estar nuevamente en Roma, hacía mucho que había partido para Aragón a llevar a cabo sus labores eclesiásticas. Mucho había pasado desde su llegada así que se instaló en la sede de la Iglesia Hispánica en la ciudad de Roma, la nieve dio tregua en aquel día de Febrero, el clérigo se alistó para asistir a la Basilíca San Tito, a la cuál asistían todos los clérigos Europeos, Cardenales y demás miembros de la Iglesia expandida por las tierras europeas.

El Nuncio no fue la excepción, llegó en un carruaje tirado por dos caballos blancos, el clérigo se bajó del carruaje con algo de lentitud porque aún estaba adolorido de aquella caída entrando a su casa en Calatayud. Se tomó la capa pues pegaba un poco en el suelo, se colocó su bonete y entró con paso ceremonial a la Basilíca. El Joven se sentía diminuto entre tanto hermanos clérigos y fielesqe allí estaban, se acercó al Primado de la Iglesia Hipánica para saludarle y luego buscaba un asiento en donde ser participe de la ceremonia.

Estaba todo perfectamente decorada, un agradable olor a flores, la alfombra que cruzaba toda la Basilíca, los asientos de tercio pelo que estaban en el Altar, todo perfectamente arreglado. El nuncio tomó asiento entre los banquillos de los clérigos hispánicos, no se quitó el bonete sino hasta que sintió algo de calor, pero luego se lo volvío a poner. Esperaría allí el comienzo de la ceremonia.

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The Papal Nuncio was very happy to be back in Rome, had long since left for Aragon to perform their ecclesiastical duties. Much had happened since his arrival and was installed at the headquarters of the Hispanic Church in the city of Rome, the snow gave that day truce in February, the cleric was enlisted to assist the Basilica San Tito, which I attended all European clerics, cardinals and other members of the Church expanded through the European lands.

The Nuncio was no exception, came in a carriage drawn by two white horses, the clerk got off the coach with some slow because he was still sore from that fall entering his house in Calatayud. Layer was taken as a bit stuck in the ground, placed his hat and went to the Basilica ceremonial step. The young man felt tiny meantime fielesqe clerics and brothers were there, went to the Primate of hispanic to say hello and then sought a seat where being part of the ceremony.

It was all perfectly decorated, a pleasant smell of flowers, carpet crossing the entire basilica, the third hair seats were on the altar, all perfectly arranged. The nuncio took his seat among the benches of Hispanic clergy, did not take off his hat until he felt some heat, but then put it back. Wait there the beginning of the ceremony.

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Le nonce apostolique a été très heureux d'être de retour à Rome, avait depuis longtemps quitté pour l'Aragon à exercer ses fonctions ecclésiastiques. Beaucoup de choses ont passé depuis son arrivée et a été installé au siège de l'Église hispanique dans la ville de Rome, la neige a donné cette trêve jour en Février, le dignitaire religieux a été mis à contribution pour aider la Basilique San Tito, à laquelle j'ai assisté tous les clercs européenne, les cardinaux et les autres membres de l'Eglise élargi à travers les terres européennes.

Le Nonce ne fait pas exception, est venu dans une calèche tirée par deux chevaux blancs, le greffier a connu l'entraîneur avec certains lent car il était encore endolorie de cette chute entrant dans sa maison à Calatayud. Couche a été pris comme un peu coincé dans le sol, posa son chapeau et se rendit à la basilique étape de cérémonie. Le jeune homme se sentait minuscule clercs fielesqe temps et les frères étaient là, se rendit au primat de hispanique pour dire bonjour et a ensuite demandé un siège où une partie en cours de la cérémonie.

Il était parfaitement décorée, une agréable odeur de fleurs, tapis de passage de la basilique ensemble, les sièges cheveux tiers étaient sur l'autel, tous parfaitement agencés. Le nonce a pris son siège sur les bancs du clergé hispanique, n'a pas ôter son chapeau jusqu'à ce qu'il touche un peu de chaleur, mais avant de le mettre. Attendez là, le début de la cérémonie.
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José Enrique Saint O'cconnor,
Secretario Apostólico de España y Portugal,
Vicario de la Santa Iglesia Aristotélica.

[Astrid]

On est jamais trop averti du choc que l'on peut recevoir en découvrant une ville telle que Rome. Astrid l'avait bien compris devant la majesté de l'endroit.

Suivant sa marraine sans mot dire, les esgourdes attentives tout était beau, trop beau peut être au goût de la jeune diaconesse qui du haut de ses 14 ans, pas de son mètre quarante cinq.......arpentait la ville.

Bref de merveilles en merveilles ils étaient là devant la duchesse du fromage de Brie, c'est sous cette appellation humoristique que seul les champenois ou natifs champenois peuvent comprendre que la jeune fille connaissait la "guerrière". Son allure en total décalage avec les belle tenues obligeait les yeux d'Astrid à se faire insistant sur les pieds nus de la dame......

Fort heureusement elle voyait plus loin un bel et beau blond qui ne pouvait assurément la reconnaître. Elle par contre était assurée que c'était bien Barnonsengir, comment aurait elle pu oublier celui qui lui avait offert un si précieux cadeau qu'un exemplaire du livre des vertus. S'il avait pris du grade depuis toutes ces années, il n'avait pas changé toujours très élégant.............Elle serait heureuse d'aller le saluer, mais se rappelait il seulement de la petite fille qui voulait devenir diaconesse?

L'avantage d'être de petite taille étant de ne pas se faire remarquer, elle prit le parti de clore les yeux et d'entrer en prière.......... Là au moins aucune tignasse blonde, ni pieds nus ne viendrait la distraire.
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[Hersende]

Malgré les troubles qui agitaient ces derniers temps les Duchés italiens et la campagne militaire qui se préparait pour soutenir l'allié menacé par de vils soudards, ceux-là même qui avaient précédemment sévi en Provence, Hersende fit presser son carrosse pour se rendre à Rome, où elle n'avait eu l'occasion de venir qu'une seule fois auparavant.
Elle en avait gardé une profonde impression : beauté et majesté des lieux, mais recueillement et ferveur dans l'assistance.

Elle pénétra dans la basilique Saint Titus, aperçut nombre de visages connus, certains avec grand plaisir, d'autres... Elle eut un petit sourire. Elle était là pour être aux côtés de Richelieu, l'ami de toujours, celui dont les sages conseils la guidaient au quotidien, dont la foi rayonnait sur ceux dont il avait la charge.

Difficile de le trouver dans la foule qui se pressait dans l'édifice. Mais elle repéra Gabcha dans les derniers rangs et se glissa vers lui. Il semblait en pleine méditation...

Gabcha, je suis heureuse de vous voir là! Auriez-vous aperçu Ludovi?
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[Moldot]

El Corleone había sido invitado a la ceremonia de entrega de la Estrella de Aristóteles por MonSeñor Carolum. Moldot llegó a Roma tras un viaje largo desde tierras valencianas y llegado allí se bajó del carruaje en la Basílica de San Tito. Otra vez se encontraba ante aquel gran edificio que había visitado en tristes momentos y que ahora sería para un buen recuerdo de Moldot, pues le daban la Estrella de Aristóteles a un amigo muy apreciado por el de Sicilia, Carolum.

El Secretario Hispano tomó asiento junto al Barón de Illueca, Zebaz Campeador y al Sub-Secretario Hispano, el Padre José Enrique a la espera de que diera comienzo la gran ceremonia.


Le Corleone avait été invité à la cérémonie de livraison de l'Étoile d'Aristote par MonSeigneur Carolum. Moldot est arrivé à Rome après un voyage long depuis des terres valencianas et arrivé s'est là descendu du carruaje à la Basilique de San Tito. Une autre fois se trouvait devant ce grand bâtiment qu'avait visité en des tristes moments et qu'il maintenant serait pour un bon souvenir de Moldot, donc ils lui donnaient l'Étoile d'Aristote à un ami très apprécié par le de Sicile, Carolum.

Le Secrétaire Hispanique a pris siège je joins au Baron d'Illueca, Zebaz Campeador et au Sous-Secrétaire Hispanique, le Père José Enrique à l'attente de que il donnât début la grande cérémonie.
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[Gwenhwyvar]

Le visage de Gwen s'illumina littéralement quand elle vit sa vassale entrer dans la basilique et venir s'asseoir à ses côtés, souriante. Elle l'accueillit d'un grand sourire et lui dit :

Je suis honorée que tu soies ici, à mes côtés, pour cette cérémonie ! Elle est vraie que je ne m'attendais pas à venir à Rome, et j'avoue que je me sentais un peu perdue ici. Te savoir ici me rassure et je me sens moins perdue à présente, je suis vraiment ravie que tu soies là !

Gwen aperçut également la princesse Armoria entrer au bras d'un homme qu'elle ne connaissait pas, et fit au couple blond un salut respectueux de la tête, tout sourire qu'elle était maintenant.
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Gwenhwyvar uí Fergus, Duchesse de Crécy-en-Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Capitaine Royale de Champagne

[mili_cia]

Mili avais fait de la route pour venir jusqu’ici gontran lui avait dit que le chancelier acar les avait invité et moi avec, il devait ya voir une remise de médaille, toujours beau avoir la remise de médaille elle entre dans la pièce se signe et discrètement se mis sur un banc au font de la salle pour écouté la cérémonie et attendre samaelle et gontran
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[Gabcha de Cianfarano]

Gabcha sortit de sa méditation, embrassa chastement sur la joue sa Marraine Hersende, et lui dit tout d’abord…

Marquise, franchement. Vous n’êtes absolument pas élégante en ce jour. C’est quoi ces chiffons, cet amas de couleurs fadasses ? Je sais que le lieu est propice à la prière et au recueillement…Mais enfin. La Mode en Provence a besoin d’être soutenue! Montrons au Monde que même nos bures sont coupées dans l'harmonie et la sérénité.

Il sortit rapidement une aiguille et du fil, déchira quelques volants qui encombraient le haut du col, réajusta l’épaule droite, poussa un énorme soupir et affirma…

C’est impossible. C’est horrible. Bon, réglons la situation une fois pour toute…

Il enleva son mantel, lui tendit et ajouta…

Enfilez-le. Vous avez de la chance…Il est long et couvrira le tout. Et grâce au Très Haut, j’avais décidé de porter une chemise et des braies en dessous de mon astrakan. Pour répondre à votre question, Mon Autre est en mouvement. Il se trouve actuellement…

Il regarda dans la Basilique, chercha un temps la tête sans couronne, et distingua enfin le corps musclé de Ludovi.

Second pilier à droite.
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[Desiderade]

Enfin, ses papiers étaient terminés, enfin presque, les cérémonies en bonne voie, elle avait pu trouver un remplaçant pour les affaires quotidiennes...
Cherchant Neyco des yeux, Désidérade remarqua plusieurs visages connus. D'autres moins, mais sûrement éminents, au vu de leurs tenues. Elle se fit donc toute petite, presque invisible, et se glissa près des deux cousines...

Salua d'abord Neyco, puis Lily-Jane, qu'elle avait croisé il y a fort longtemps.
Tout le monde était là, ce monde qui était maintenant un peu le sien. Ah, c'était pas en politique qu'on en voyait, des rassemblement comme ça ! Rome était unie, au moins, en apparence. Elle était fière.
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Amie Lescurienne
Archevêque suffragant de Toulouse
Vicaire général et doyenne du séminaire de Narbonne

[Aaron]

Le cardinal Aaron, après s’être longuement préparé dans la sacristie, fit son apparition dans le chœur de la basilique, tout de blanc vêtu, et couvert d’une pèlerine damassée et cousue de fil d’or. Une profonde prière l’avait aidé à chercher l’inspiration pour son discours, alors que l’Église allait faire une nouvelle fois l’éloge de ses membres les plus vertueux et les plus efficaces. Le travail n’était pas insurmontable, car les mots, le prélat les avait, les pensait et les vivait. N’avait-il pas déjà organisé cette cérémonie plusieurs fois ? N’avait-il pas vu se succéder les hommes et les femmes qui avaient mis leur vies au service de l’Église ? Ces moments illuminaient son cœur de fidèle et de prêtre sincèrement attaché à la grandeur de l’Église et à la propagation du message divin.

L’air grave, l’œil sévère, il s’interdit toute marque de sympathie trop prononcée afin de gardé le moment unique et solennel, empreint de crainte et d’admiration. Du haut de son estrade, il salua les différents récipiendaires qu’il connaissait plus personnellement. D’un signe de tête inclinée et d’un léger sourire, il salua par exemple la princesse Armoria, l’évêque de Nevers et celui d’Autun…

Alors que le reste des invités s’installait, il s’approcha de son pupitre et commença…

Frères et Sœurs en l’Église et en la foi, je vous remercie d’avoir répondu présent à l’invitation qui vous a été faite.

Avant de poursuivre, et pour nous plonger ensemble, en communion avec l’Église toute entière et avec le Très-Haut, je vous invite à prier…

D’une voix forte, le cardinal reprit

Seigneur, fais de moi un homme de paix...

Et tour à tour, les enfants de chœur prirent la parole. Presque sans savoir d’où venait la voix juvénile, et comme si c’était l’enfance dans toute sa pureté et sa fragilité qui d’une seule voix chantait cette intention de paix et de foi, on sentait l’émotion frapper l’ensemble de l’assemblée…

Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.

Puis le cardinal reprit

O Seigneur, fais que je ne cherche pas tant
à être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.

Car c’est en donnant que l’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant que l’on est pardonné,
et c’est en mourant que l’on ressuscite à la l’éternelle Vie...

Et d’une seule voix, l’assemblée conclu en disant…

Amen
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Patriarche in Partibus d'Alexandrie

[Forth_With]

Pour une fois il n'avait pas la même tenue. Oh certes pas celle d'un clerc qu'il ne revêtait que pour ses propres offices. Non il avait simplement troqué sa chemise, son veston et ses chausses très simples pour des tissus pour un très grand raffinement. Mais il poussait le vice et l'astuce pour des choses sans fioritures ni ambages. De loin pour le néophyte tout cela semblait fort simple voir un rustre. Pour le connaisseur ou celui attentif il reconnaissait des soies très lointaines, des fils dorés et des tissus inconnus parfois. Il n'avait que deux tenues complètes ainsi faites, une noire et une bleue. En ce jour il avait revêtu la bleue. Elles lui suffisait amplement. Et seul, en léger retrait, sa canne dans une main, son chapeau passé en arrière en arrière à l'aide d'une cordelette, son livre des Vertus sortit de sa sacoche posée désormais au sol il s'était installé dans la Basilique. Il était tellement discret que beaucoup même parmi ses amis ne le virent pas. Il ne cherchait jamais à alerter les regards alors cela était bien normal. Il se contenta de suivre le début de la cérémonie et d'écouter attentivement.

Amen.
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[Beeky d'Apperault]

La vicomtesse ne put s’empescher de sourire lorsqu’elle odit Brie la tutoyer et user d’un excès de féminité toute particulière, quant à son langage. Non poinct que la vassale se moqua, mais la chose l’avait toujours amusée et empli de tendresse pour la dame. Toute à son émoi, Beeky n’avait guère presté attention à la vesture pour le moins modeste de sa suzeraine. Prenant un air chagrin, elle s’empressa de faire glisser son mantel au sol et invita Gwen à y reposer ses pieds nus.

Ma chère, souffrez de ne poinct rester ainsy nus pieds, sur le dallage. Vous allez attraper la mort sy poinct ne prenez garde à vostre santé et cela serait grand mal heur.

Puis se tournant vers la jeune génération, la dame poursuivit.

Vous recognoissez peut-estre le fils de Ricoh, nostre cher Amaurie, qui vient d’atteindre sa majorité.Et voicy à ses costés, ma filleule Astrid, la fille de Royalkonee que mon espoux a adoptée avant nos espousailles.

A cet instant, la vicomtesse avisa la petite Astrid qui zieutait avec insistance un couple s’avançant lentement. Recognoissant la princesse Armoria, Beeky lui adressa un radieux sourire accompagné d’un léger hochement du chef, en guise de salut, pour elle et son compagnon dont elle avait faict l’encontre à Reims.

Eh bien, dites-moi, que voilà heureuse surprise. Songez qu’il me faut venir à Rome pour croiser de vieilles cognoissances !

La dame estait d’humeur fort joyeuse, elle posa sa main sur le bras de Brie et enchaisan derechef.

Allons, détendez-vous Gwen, tout va bien se passer, vous verrez. Et puis, ensemble, nous pourrions soulever des montagnes, n'est-il poinct ?

La vicomtesse aimait à taquiner la duchesse, la sentant quelque peu démunie au sein d’une communauté qui lui semblait par trop étrangère mais en laquelle, Brie avait sa place, comme le presssentait Beeky. Mais, alors qu'elles devisaient aimablement, le cardinal Aaron s'avança et entama le rite liturgique de la cérémonie. Dès lors, le visage de la vicomtesse reprit toute sa gravité et à la fin de la litanie, elle répondit par un puissant

Amen !

[Jose_Enrique]

El Nuncio Papal vio salir al Cardenal por la puerta de la Sacristía de la Basilíca San Tito y en conjunto con los demás presentes se puso de pié en señal de respeto. El Cardenal Aaron empezaba en ese momento la liturgia de la ceremonia, en silencio el Nuncio prestaba atención a todas sus palabras, el momento de elevar una oración al Señor había llegado y él al unísono de los demás clérigos y presentes respondió:

Amen

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The Papal Nuncio, Cardinal was out the door of the sacristy of the Saint Titus Basilica and together with others present stood up as a sign of respect. Aaron Cardinal then began the liturgy of the ceremony, the Nuncio silently paid attention to every word, the moment of a prayer to the Lord and he had come together at the other clerics and present said:

Amen

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Le nonce apostolique a été le cardinal à la porte de la sacristie de la Basilique San Tito et avec les autres personnes présentes se leva comme un signe de respect. Aaron cardinal commença alors la liturgie de la cérémonie, le Nonce silence attention à chaque mot, le moment d'une prière au Seigneur et il était venu à l'ensemble des clercs et d'autres présents ont déclaré:

Amen
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José Enrique Saint O'cconnor,
Secretario Apostólico de España y Portugal,
Vicario de la Santa Iglesia Aristotélica.