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Pastorale - Partie I: les vertus

 
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Lorgol
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MessagePosté le: Mar Oct 02, 2007 11:25 pm    Sujet du message: Pastorale - Partie I: les vertus Répondre en citant

Zabouvski a écrit:
Partie 1 : Les Vertus

Ces cours ont été réalisé à Rome par le Vice-Préfet à l'Enseignement, le Père Abbé Zabouvski.

L'objectif de tout aristotélicien pour sa vie terrestre est d'atteindre le soleil, le paradis. Tel que nous l'a enseigné Aristote, un des prophètes de la religion aristotélicienne, le Très-Haut, Dieu, a donné l'esprit à l'humain pour que celui-ci soit capable, à l'instar des animaux, de distinguer le bien du mal. C'est cette capacité à distinguer le bien du mal qui nous permet de vivre la vie vertueuse qui nous permettra de rejoindre le soleil. Toutefois, une autre créature de la création, la Créature Sans Nom, jalouse de ne pas avoir été choisie pour être la préférée de Dieu, voue son existence à pervertir l'homme par les vices et à l'éloigner du soleil pour l'emmener sur la lune, en enfer. Tout aristotélicien voulant éviter la lune se doit de connaitre les vertus, et leurs contraires, que voici :


L'amitié,qui consiste à se préoccuper des autres, à avoir de l'empathie et à faire preuve de charité. L'amitié est ce qui lie tous les aristotéliciens. Par l'amitié, le croyant aide ainsi ses frères sur le chemin de la vertu. l'amitié est aussi entraide, réciprocité des rapports sociaux, amour du prochain, etc... L'avarice, son contraire, consiste à ne se préoccuper que de soi et elle n'a d'égal que le mépris de l'autre.

La conservation, qui consiste à oeuvrer à sa survie. La conservation est la conscience de ses besoins premiers en nourriture, en eau, en sommeil. En d'autres mots, la conservation est la faculté de se contenter de ce que l'on a de besoin. Le contraire de la conservation est la gourmandise, qui consiste à n'être jamais satisfait de ce que l'on a, à toujours vouloir plus, ce qui ne peut que pénaliser les autres qui vont venir à manquer. La gourmandise se résume à l'abus de plaisir.

Le don de soi, qui est la capacité de se sacrifier pour le bien d'autrui, que ce soit pour le reste de l'amitié aristotélicienne ou pour la société laïque, la république. Ce sacrifice est la conscience de la vie en communauté. Comme nous l'a aussi enseigné Arisote, le bon aristotélicien est celui qui aide son prochain en participant à la vie de sa ville. À l'opposé du don de soi se trouve l’orgueil, qui consiste à croire que seul nous pouvons nous élever au dessus de tous et d'atteindre le statut de divin.

La tempérance, qui est la capacité du croyant à se modérer et à faire preuve de compréhension. Cette vertu est primordial dans la mesure ou elle est complémentaire des autres. La tempérance consiste aussi en l'acceptation de sa condition. Son contraire est la colère, qui est le vice de celui qui s’abandonne à la haine de l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa condition.

La justice, est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité, à reconnaître la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A la justice correspond l’envie, qui est le vice de celui qui désire bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui convoite les biens ou le bonheur de son semblable.

Le plaisir, est la faculté qu’a l’homme d’œuvrer à réunir les conditions de son propre bonheur. Elle est la conscience de soi, de son corps, de son âme, et des besoins de ceux-ci pour rendre son existence heureuse et facile. Au plaisir correspond l’acédie, qui est le vice de celui qui entre en dépression spirituelle, qui reste passif, qui n’a plus goût à la vie, et qui ignore sa propre satisfaction.

La conviction, est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle est plus largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de la communauté des croyants, des nécessités de la conservation de l’espèce (donc de la reproduction). A la foi correspond la luxure, qui est le vice de celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus total.


Une vie vertueuse parfaite est virtuellement impossible. Nul, en dehors du divin, n'est parfait. Toutefois, l'aristotélicien vertueux est celui qui reconnaitra ses fautes et demandera le pardon à ses pairs par la confession. La confession sera expliquée dans le troisième volet de ce catéchisme.



Père Zabouvski


Citation:
Les douze préceptes de Saint-Benoît

1) Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement.
2)Son Saint Nom tu respecteras, fuyant blasphème et faux serment.
3)Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu dévotement.
4)Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement.
5)Meurtre et scandale éviteras, haine et colère Identiquement.
6)La pureté observeras, en tes actes soigneusement.
7)Le bien d'autrui tu ne prendras, ni retiendras injustement.
8)La médisance bannira, et le mensonge également
9)En pensées, désirs, veillera à rester pur entièrement.
10)Bien d'autrui ne convoiteras pour l'avoir malhonnêtement.
11)Foi et Raison te guiderons simultanément.
12)Seuls Aristote et Christos tu loueras, évitant les faux prophètes.

Saint Benoît (PNJ) Patron des Clercs & du Monachisme
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 1:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Parte 1: As Virtudes

Estes cursos foram realizados em Roma, pelo Vice-Prefeito para a Educação, o abade Zabouvski.

O objectivo de qualquer aristotélico para a sua vida terrena é chegar ao Sol, o Paraíso. Como aprendemos com Aristóteles, um dos profetas da religião aristotélica, o Altíssimo, Jah, deu à mente humana a capacidade, ao contrário dos animais, de distinguir o bem do mal. É graças a esta capacidade de distinguir o bem do mal que podemos ter uma vida virtuosa, permitindo-nos alcançar o Sol. No entanto, outra criatura da criação, a Criatura Sem Nome, com inveja de não ter sido escolhido para ser o favorito de Jah, dedicou sua vida a corromper o homem com os vícios, afastando-o do Sol, fazendo-o cair na Lua do Inferno. Todo o aristotélico deve de evitar a Lua, devendo para isso de conhecer as virtudes, e os seus opostos, sendo eles:


A Amizade, que é a preocupação para com os outros, ter empatia e ajudar os outros. A amizade é o que une todos os aristotélicos. Para a amizade, o crente deve de ajudar os seus irmãos no caminho da virtude. A amizade é assim a entreajuda, a reciprocidade das relações sociais, o amor ao próximo, etc ... A avareza, o seu oposto, consiste na não preocupação com isso, e baseia-se no desprezo pelos outros.

A Perseverança,que consiste em trabalhar para sobreviver. A perseverança é a consciência das suas necessidades primárias de alimentos, de água e de descanso. Noutras palavras, a perseverança é a faculdade de optar apenas pelo essencial. O oposto de perseverança é a gula, que nunca está satisfeito com o que se tem, querendo sempre mais, podendo penalizar os outros. A gula resume-se num abuso de prazer.

A Dedicação, que é a capacidade de sacrifício quer para o bem dos outros, quer para comungar da amizade aristotélica e contribuir para a sociedade laica, a república. Este sacrifício é a consciência da vida em comunidade. Tal como nos ensinou Aristóteles, o bom aristotélico é aquele que ajuda o vizinho, tomando parte na vida activa da sua povoação. Em contraste com a dedicação temos o orgulho, que consiste em acreditar que só nós podemos subir acima de tudo e alcançar estatutos superiores.

A Temperança, que é a capacidade do crente se moderar e mostrar compreensão. Esta virtude é importante na medida em que complementa as outras. A temperança também é a aceitação da sua condição. O seu oposto é a raiva, que é o defeito de alguém que se entrega ao ódio pelos outros, ou que, com todas as suas forças, tenta lutar contra a sua condição.

A Justiça, é a capacidade de ser magnânimo, de reconhecer o valor dos outros, de identificar os interesses dos outros. À justiça corresponde a inveja, que é o vício de quem deseja receber recompensas justamente atribuídas a outros, ou um que cobiça os bens ou a felicidade dos seus companheiros.

O Prazer, é a faculdade que o homem possui para trabalhar e satisfazer as condições da sua própria felicidade.
É a auto-consciência, o conhecimento do seu corpo, da sua alma, e das suas necessidades, podendo assim fazer a sua vida feliz e fácil. Ao prazer corresponde o desprezo por si próprio, que é o mal de quem entra em depressão espiritual, que permanece passivo, que deixa de ter gosto pela vida, e que ignora a sua própria satisfação.

A Convicção é a esperança num futuro cheio de promessas. É a consciência das necessidades futuras e interesses da comunidade dos crentes, a necessidade de conservação da espécie (e, por conseguinte, a reprodução). à fé corresponde a luxúria, que é o defeito daquele que é complacente com o abuso das coisas, da carne e que não acredita na verdade.


Uma vida virtuosa perfeita é impossível. Ninguém, exceptuando o divino, é perfeito. No entanto, um aristotélico virtuoso é aquele que reconhece os seus erros e pede perdão aos seus iguais pela confissão. A confissão será explicado na terceira parte deste catecismo

Reverendo Zabouvski


As doze Regras de São Bento

1) Só a Jah adorarás e amarás perfeitamente.
2) Respeitarás o Seu Santo Nome, fugindo à blasfémia e perjúrio.
3) O dia do Senhor guardarás, servindo a Jah com devoção.
4) Teu pai e tua mãe honrarás, na mesma forma que aos teus superiores.
5) Evitarás o escândalo e homicídio, e o ódio e a raiva também.
6) Observarás a pureza nos teus actos cuidadosamente.
7) Não deverás tomar ou reter injustamente a propriedade dos outros.
8.) Banirás as calúnias e as mentiras.
9) Procurarás ser totalmente puro, inclusive em pensamentos e desejos.
10) Não cobiçarás os bens alheios.
11) A Fé e a Razão guiar-te-ão simultaneamente.
12) Apenas louvarás Aristóteles e Cristo, evitando os falsos profetas.

São Bento (pnj) Patrono dos Clérigos e do Monaquismo

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MessagePosté le: Lun Déc 12, 2011 1:21 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Parte 1: Las virtudes

Estos cursos fueron realizados en Roma, por el Vice-prefecto para la Educación, el abad Zabouvski.

El objetivo de cualquier aristotélico en su vida terrenal es llegar al sol, el paraíso. Como aprendimos con Aristóteles, uno de los profetas de la religión aristotélica, el Altísimo, Jah dio la capacidad a la mente humana, al contrario de los animales, de distinguir el bien del mal. Es gracias a esta capacidad de distinguir el bien del mal, que podemos tener una vida virtuosa, permitiéndonos alcanzar el Sol. Mientras tanto, otra criatura de la creación, la Criatura Sin Nombre, con envidia de no haber sido escogido para ser el favorito de Jah, dedicó su vida a corromper al hombre con los vicios, apartándole del Sol, haciéndole caer en el infierno lunar. Todo el aristotélico debe evitar la Luna, debiendo para eso conocer las virtudes, y sus opuestos, siendo:

La Amistades la preocupación por los demás, tener empatía y ayudar a los demás. La amistad es lo que une a todos los aristotélicos. Para la amistad, el creyente debe ayudar a sus hermanos en el camino de la virtud. La Amistad es, así, la ayuda mutua, la reciprocidad de las relaciones sociales, el amor al prójimo, etc. A la Amistad aristotélica se opone la Avaricia, que consiste en la no preocupación por los demás y se basa en el desprecio hacia el resto de personas.

La Perseverancia consiste en trabajar para sobrevivir. La Perseverancia es la consciencia de sus necesidades primarias de comida, de agua y de descanso.En otra palabras, la perseverancia e las facultad de optar sólo por lo esencial. A la perseverancia se opone la Gula, que nunca está satisfecha con lo que se tiene, queriendo siempre más, pudiendo perjudicar a los demás. La Gula se resume en el abuso del placer.

La Dedicación, es la capacidad de sacrificio queriendo el bien ajeno para comulgar con la amistad aristotélica y contribuir con la sociedad laica, la república. Este sacrificio es la conciencia de la vida en comunidad. Tal como nos enseñó Aristóteles, el buen aristotélico es aquel que ayuda a su prójimo, tomando parte en la vida activa de su pueblo.En contraste con la Dedicación, tenemos el Orgullo, que consiste en acreditar que sólo nosotros podemos estar por encima de todo y alcanzar estatutos superiores.

La Templanza es la capacidad de moderarse, de seguir la vía del equilibrio exigido en la condición de creyente, de probar la comprensión con sus semejantes. Su opuesto es la Cólera, que es el defecto de alguien que se entrega al odio hacia los demás o que con todas sus fuerzas intenta luchar contra su condición. (La Templanza es la capacidad del creyente de moderarse y mostrar comprensión. Esta virtud es importante en la medida en que complementa a las otras. La templanza también es la aceptación de su condición)

La Justicia es la capacidad de ser magnánimo, de reconocer el valor de los demás, de identificar los intereses de otros. A la justicia se opone la Envidia, que es el vicio de quien desea recibir recompensas, justamente atribuidas a otros, o uno que codicia los bienes o la felicidad de sus compañeros.

El Placer es la facultad que el hombre posee para trabajar y satisfacer sus necesidades de alegría y felicidad. Es la auto-consciencia, el conocimiento de su cuerpo, de su alma, y de sus necesidades, pudiendo, así, hacer su vida feliz y fácil. Al Placer se opone el Desprecio de sí mismo, que es el mal de quien entra en depresión espiritual, que permanece pasivo, que deja de tener aprecio por la vida y que ignora su propia satisfacción.

La Convicción es la esperanza en un futuro lleno de promesas. Es la consciencia de las necesidades futuras e intereses de la comunidad de creyentes, la necesidad de conservación de la especie (y, por consiguiente, la reproducción). A la Convicción se opone la Lujuria, que es el defecto de aquel que se complace con el abuso de las cosas de la carne y que no cree en la verdad.

Una vida virtuosa perfecta es imposible. Exceptuando al Divino, nadie es perfecto. Por lo tanto, un aristotélico virtuoso es aquel reconoce sus errores y pide perdón a sus iguales mediante la confesión. La confesión se explicará en la tercera parte de este catecismo.

Reverendo Zabouvski

Las doce reglas de San Benito

1 ) Adorarás sólo a Jah y lo amarás con perfección.
2 ) Respetarás su Santo Nombre evitando de la blasfemia y los falsos juramentos. (y el perjurio)
3 ) Guardaras el día del Señor para servir a Dios devotamente. (para servir a Jah con devoción)
4 ) Honrarás a tu padre y a tu madre, lo mismo que a tus superiores.
5 ) Evitarás matar y dar escándalos, lo mismo que el odio y la cólera.
6 ) Observarás la pureza cuidadosamente en tus actos. (Observarás la pureza de tus actos cuidadosamente)
7 ) No tomarás las posesiones de otro ni las retendrás injustamente.
8 ) Desterrarás las calumnias, lo mismo que las mentiras.
9 ) Velarás por mantenerte puro enteramente de pensamiento y deseos.(Procurarás ser totalmente puro, en pensamientos y deseos)
10 ) No codiciarás los bienes ajenos.
11 ) Harás de la Fe y Razón tus guías.
12 ) Alabarás a Aristóteles y a Christos, evitando a los falsos profetas.


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MessagePosté le: Jeu Fév 28, 2013 4:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

Teil I: Die Tugenden

Diese Kurse wurden in Rom durch den Vize-Präfekt der Aristotelischen Lehre, Abt Vater Zabouvski, erstellt.

Das Ziel des irdischen Lebens eines jeden Aristoten ist es die Sonne, das Himmelsreich, zu erreichen. Wie Aristoteles, einer der beiden Propheten der Religion des Aristotelismus, uns lehrte, hat der allmächtige Gott dem Menschen den Verstand gegeben, sodass er, im Gegensatz zu den Tieren ,in der Lage ist das Gute vom Schlechten zu unterscheiden. Es ist diese Fähigkeit, zwischen Gut und Böse zu unterscheiden, die uns erlaubt ein tugendhaftes Leben zu führen, damit wir die Sonne erreichen können. Allerdings ist eine andere Kreatur der Schöpfung, die Namenlose Kreatur, eifersüchtig geworden, da sie nicht als Liebling Gottes erwählt worden ist. Sie hat ihr Leben dem Verderben der Menschen durch die Laster gewidmet ,um sie weg von der Sonne auf den Mond, in die Hölle, zu führen. Jeder Aristot, der den Mond meiden möchte, muss die Tugenden und ihre Gegensätze kennen. Diese sind:

Die Freundschaft besteht darin sich um Andere zu kümmern, Mitgefühl zu empfinden und Barmherzigkeit zu zeigen. Freundschaft ist das, was alle Aristoten miteinander verbindet. Durch die Freundschaft hilft der Glaubende seinen Brüdern auf dem Pfad der Tugend. Freundschaft ist auch gegenseitige Hilfe, Wechselseitigkeit der sozialen/gesellschaftlichen Verhältnisse, Nächstenliebe, etc ... Der Geiz, sein Gegenteil, besteht darin sich nur mit sich selbst zu beschäftigen und er ist nur zu vergleichen mit der Verachtung für andere.

Die Genügsamkeit besteht darin sich für sein Überleben einzusetzen. Die Genügsamkeit ist das Bewusstsein für seinen eigenen Grundbedarf an Essen, Wasser und Schlaf. Mit anderen Worten ist die Genügsamkeit die Fähigkeit mit sich damit zu begnügen, was man braucht. Das Gegenteil der Genügsamkeit ist die Völlerei, die darin besteht nie mit dem, was man hat zufrieden zu sein, immer mehr zu wollen, was nur andere bestraft denen es fehlen wird. Der Völlerei entspricht die Genusssucht.

Die Demut, die die Fähigkeit ist sich zum Wohle anderer zu opfern, sei es für den Rest der aristotelischen Gemeinschaft oder für die säkulare Gesellschaft. Dieses Opfer ist das Bewusstsein um das Leben in Gemeinschaft. Wie wir auch von Aristoteles gelernt haben, ist der ein guter Aristot, der seinem Nächsten hilft sich am Leben in seiner Stadt zu beteiligen. Der Gegensatz zur Demut befindet sich im Hochmut, der darin besteht zu glauben, dass wir allein uns über alles hinwegsetzen und göttlichen Status erreichen können.

Das Maßhalten, die die Fähigkeit des Gläubigen ist sich zu mäßigen und Verständnis zu zeigen. Diese Tugend ist wesentlich insoweit, als dass sie die anderen ergänzt. Maßhalten besteht auch in der Annahme seines Schicksals. Sein Gegenteil ist der Zorn, dies ist das Laster desjenigen, der dem Hass auf andere freien Lauf lässt oder versucht mit aller Macht gegen sein Schicksal anzukämpfen.

Die Gerechtigkeit ist die Fähigkeit eines Wesens Großmut zu zeigen, den Wert des Anderen zu anzuerkennen und mit anderen mitzufühlen/das Interesse an anderen zu erkennen. Der Gerechtigkeit gegenüber steht der Neid, das Laster desjenigen, der vom gerechten Lohn Anderer profitieren will, oder Güter oder gar das Glück seiner Mitmenschen begehrt.

Die Glückseligkeit ist die Fähigkeit des Menschen daran zu arbeiten die Voraussetzungen für das eigene Glück zu vereinen. Sie ist das Bewusstsein von sich, seinem Körper, seiner Seele und des Bedürfnisses die eigene Existenz glücklich und einfach zu gestalten. Der Glückseligkeit steht die Trägheit des Geistes gegenüber, die das Laster jener ist, die in spirituelle Depression verfallen, die passiv bleiben, die keinen Gefallen am Leben haben und die die eigene Befriedigung missachten.

Der Glaube ist die Hoffnung auf eine Zukunft voller Verheißungen. Er ist weitestgehend das Bewusstsein für die Bedürfnisse und die zukünftigen Interessen der Glaubensgemeinschaft und der Notwendigkeit der Arterhaltung (also der Fortpflanzung).
Dem Glauben gegenüber steht die Wollust, die das Laster jener ist, die Gefallen am Missbrauch der fleischlichen Dinge und am völligen Nihilismus finden.

Ein perfekt tugendhaftes Leben ist praktisch unmöglich. Niemand, abgesehen von Gott, ist perfekt. Der tugendhafte Aristot allerdings ist jener, der mittels Beichte seine Verfehlungen bekennt und seinesgleichen um Vergebung bittet.
Die Beichte wird im dritten Teil dieses Katechismus (Lehrbuchs) erläutert.



Vater Zabouvski


Citation:

Die zwölf Gebote des Heiligen Benedikt

1)Du sollst einen einzigen Gott anbeten und vollkommen lieben.
2)Du sollst Seinen Heiligen Namen ehren und Blasphemie und Falscheid meiden.
3)Du sollst den Tag des Herrn beibehalten und Gott fromm dienen.
4)Du sollst Vater und Mutter ehren, ebenso deine Vorgesetzten.
5)Du sollst Bluttat/Mord und Ärgernis vermeiden, gleichermaßen Hass und Zorn.
6)Du sollst gewissenhafte Reinheit in deinem Tun halten.
7)Du sollst das Gut der anderen nicht nehmen noch es ungerechterweise einbehalten.
8)Du sollst Verleumdungen verbannen und die Lüge gleichfalls.
9)Du sollst darauf bedacht sein in Gedanken und Wünschen völlig rein zu bleiben.
10)Du sollst das Gut der anderen nicht, um es unehrlichermaßen zu besitzen, begehren.
11)Du sollst dich von Glaube und Vernunft gleichzeitig führen lassen.
12)Du sollst nur Aristoteles und Christos preisen und falsche Propheten vermeiden.

Heiliger Benedikt (PNJ) Schutzpatron der Kleriker und Mönche

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MessagePosté le: Mar Mar 05, 2013 3:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pastorale - Parte I : Le Virtù

Questo corso è stato realizzato a Rome dal Viceprefetto all'Insegnamento, Padre Abate Zabouvski.

L'obiettivo di tutti gli aristotelici per la loro vita terrestre è di raggiungere il sole, il paradiso. Come ci ha insegnato Aristotele, uno dei profeti della religione aristotelica, l'Altissimo, Dio, ha dato lo spirito all'umano affinché questo sia capace, diversamente dagli animali, di distinguere il bene dal male. È questa capacità di distinguere il bene del male che ci permette di vivere una vita virtuosa e che ci permetterà di raggiungere il sole. Tuttavia, un'altra creatura della creazione, la Creatura Senza Nome, invidiosa di non essere stata scelta per essere la preferita di Dio, votò la sua esistenza a tentare l'uomo nei vizi ed ad allontanarlo dal sole per portarlo sulla luna, all'inferno. Tutti gli aristotelici, volendo evitare la luna, hanno il dovere di conoscere le virtù, ed i loro contrari, che sono:

  • L'Amicizia è la facoltà di preoccuparsi per la sorte altrui. E' empatia, carità, aiuto reciproco, reciprocità delle relazioni sociali, amore per il prossimo. Contrapposta all'amicizia è l'avarizia, che è il vizio di essere egoisti ed è pari solo al disprezzo dell'altro.
  • La Conservazione è la capacità di lavorare per la propria sopravvivenza. È la coscienza dei propri bisogni primari di cibo, acqua, sonno. Alla conservazione è contrapposta la golosità, che è l'abuso del piacere delle prime necessità, vizio di coloro che non hanno la misura delle necessità per la propria sussistenza.
  • L'Altruismo è la capacità di sacrificarsi per il bene della comunità aristotelica e per lo stato, a prescindere dalla propria individualità. E' la consapevolezza di essere parte di un tutto. Il dono di sè è contrapposto al vizio dell'orgoglio, che è la convinzione di essere in grado di vivere al di fuori della comunità, o essere in grado di raggiungere la condizione divina.
  • La Temperanza è la capacità di moderarsi, di seguire la via del giusto mezzo tipica dello status di credente, di mostrare comprensione verso i propri simili. Opposta alla temperanza è l'ira, che è il vizio di colui che si abbandona al suo odio verso altro, o che con tutte le sue forze tenta di lottare contro la sua condizione.
  • La Giustizia è la facoltà di dimostrare magnanimità, di riconoscere il valore degli altri, di individuare gli interessi degli altri. La giustizia è contrapposta all'invidia, che è il vizio di chi desidera beneficiare di un giusto compenso attribuito ad altri, o di chi aspira i beni o la felicità dei propri simili.
  • Il Piacere è la capacità dell'uomo di cercare di soddisfare le condizioni della propria felicità. E' la coscienza di sé, del proprio corpo, della propria anima e delle necessità di questi per rendere la propria vita felice e facile. Il piacere è contrapposto all'accidia, che è il vizio di coloro che entrano in depressione spirituale, di chi rimane passivo, che non hanno più gusto per la vita e che ignorano la propria soddisfazione.
  • La Convinzione è la speranza per un futuro pieno di promesse. È in senso più ampio la consapevolezza delle necessità e degli interessi futuri della comunità dei credenti, delle necessità della conservazione della specie (e quindi la riproduzione). Alla fede è contrapposta la lussuria, il vizio di colui che si compiace dell'abuso delle cose carnali e del nichilismo più totale.

Una vita virtuosa perfetta è teoricamente impossibile. Nulla è perfetto, a parte il Divino. Tuttavia, l'aristotelico virtuoso è colui che riconosce i propri errori e chiede perdono agli esseri umani suoi pari tramite la confessione. La confessione sarà spiegata nella terza lezione di questo catechismo.

Padre Zabouvski



I 12 precetti di San Benedetto:

1) Un solo Dio adorerai ed amerai perfettamente.
2) Rispetterai il Suo santo nome, rifuggirai la blasfemia ed i falsi giuramenti.
3) Osserverai il giorno del Signore, servendo Dio devotamente.
4) Onorerai tuo padre e tua madre, parimenti i tuoi superiori.
5) Eviterai omicidio e scandalo, egualmente odio e rabbia.
6) Osserverai accuratamente la purezza, nei tuoi atti.
7) Non prenderai i beni altrui, né li tratterrai ingiustamente.
8 ) Bandirai la maldicenza, ed egualmente la menzogna.
9) Veglierai per restare totalmente puro nei pensieri e desideri.
10) Non ambirai ad ottenere disonestamente i beni altrui.
11) Fede e ragione insieme ti guideranno.
12) Loderai solo Aristotele e Christos, evitando i falsi profeti.
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