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L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game 
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Cassian_darlezac

Inscrit le: 24 Oct 2013 Messages: 2
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Posté le: Jeu Oct 24, 2013 6:32 pm Sujet du message: [RP] LETTRE OUVERTE — Bynarr, Bynarr, vous avez dit Bynarr ? |
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Citation: |
A la Curie de Rome,
Au Royaume de France,
Au duché de Bourgogne,
Et à l'AAP,
Nous, Aimbaud de Josselinière, Marquis de Nemours, Duc de Corbigny, Seigneur de Decize et Saint Robert,
Et Cassian de Blanc Combaz, fils d'Eusaias 1er, Seigneur de Corcelles,
Présentons publiquement nos excuses et nous repentons humblement pour la farce de mauvais goût que nous avons joué au Pape, au peuple français, aux bourguignon, et aux rédacteurs de l'AAP, dont les termes seront précisés ci-dessous.
Nous implorons le pardon des pauvres gens qui furent roulés dans la farine par notre faute, nous ignorions l'ampleur que notre mensonge allait prendre au fil du temps, et nous avions trop honte et trop peur de subir les foudres de sa Sainteté le Pape, de sa majesté le Roi de France, de sa grâce le Duc de Bourgogne, du peuple français et d'Angelyque de la Mirandole, pour dire la vérité avant cette date. Maintenant que de l'eau a passé sous les ponts, et que nous avons gagné en maturité, nous sommes prêts à lever le voile sur l'affaire expliquée ci-dessous.
Il y a déjà longtemps de cela, par un soir de beuverie, dont nous nous repentons amèrement, nous avons abordé ensemble moult sujets d'actualité tels que le démodement ou pas des poulaines et de la coupe au bol, l'intérêt ou pas de faire des études latines lorsque l'on est un jeune noble de son temps, la qualité du vin de taverne par rapport aux cuvées paternelles, et la nouvelle mode des reliques qui sévissait alors partout et dans toutes les villes de France et d'ailleurs.
C'est ce sujet qui nous arrêta, et nous amena à plaisanter de façon blasphématoire. De ceci nous demandons pardon au Très-Haut et à la Sainte Eglise aristotélicienne romaine. Moi, Aimbaud de Josselinière, ai émit l'hypothèse que si l'on laissait traîner les vieilles braies de Cassian de Blanc-Combaz dans la rue, elles seraient prises pour une relique sacrée et vénérée comme telle jusqu'à la nuit des temps. J'en demande pardon à Dieu. Moi Cassian de Blanc-Combaz, ai répondu qu'il valait mieux les refiler à un pauvre hère et les lui présenter comme telle. Ce que nous avons fait par la suite et je m'en excuse auprès de ce vilain bougre, dont le seul tort a été de nous croire. J'en demande pardon à Dieu et m'en repens auprès des églises Aristotéliciennes Française et Romaine.
Guidés par le malin, nous laissâmes donc les braies souillées de Cassian de Blanc Combaz entre les mains d'un passant des plus illétrés sur la place de Dijon, et lui confiâmes à haute et intelligible voix que ces braies étaient celles de Saint Bynarr lui-même. Nous nous repentons pour cela.
Les braies souillées de Saint Bynarr, telles qu'elles furent alors nommées, furent mises aux enchères par ce malheureux à prix excessif sur le marché de Dijon. Angelyque de la Mirandole en fit l'acquisition, les laissa échapper à Eusaias de Blanc-Combaz sur le marché, qui en fit lui-même un argument de commerce avec le Vatican par la suite. Nous supposons que les braies souillées de Cassian de Blanc Combaz doivent désormais trôner dans un écrin d'or massif dans les coffres du Vatican. Et nous voulons réparer cette méprise, et obtenir le pardon de sa Sainteté le Pape pour avoir menti, trompé, et seurfé sur la vague de ventes de reliques qui sévissait alors. Nous jurons n'avoir tiré aucun profit de cette entreprise, sinon une tranche de rigolade, et jurons qu'à présent cela ne nous fait plus du tout rire.
Les braies souillées de Saint Bynarr n'existent pas. Elles sont le produit de notre imagination, et de notre esprit tordu. Nous demandons encore une fois à la Curie Romaine, au Roi, au Duché de Bourgogne et aux français de nous pardonner pour nos fautes.
Loué soit le Très-Haut, et Saint Bynarr, notre Saint Patron que plus jamais nous n'offusquerons !
Fait à Cosne, le vingt-quatrième jour du mois d'octobre 1461,
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_________________ [Seigneur de Corcelles]
[Merci à JD Aymon pour la bannière. ] |
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