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2.3 : Le clergé paroissial

 
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jeandalf



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MessagePosté le: Mer Aoû 01, 2007 11:15 am    Sujet du message: 2.3 : Le clergé paroissial Répondre en citant

Citation:


    ........
    Regimini secularis ecclesiae
    Bulle pontificale « Pour le gouvernement de l’Église séculière ».







    Livre 2 : L'épiscopat, le sacerdoce et les circonscriptions religieuses


    2.2 : Le clergé paroissial


    La paroisse religieuse est, en premier lieu, une subdivision géographique dans un diocèse.
    Dans l’église aristotélicienne la paroisse désigne à la fois une aire géographique précise, le « territoire de la paroisse », et un groupe de personnes habitant sur ce territoire et constituant la communauté paroissiale.

    Le mot provient du latin parochia utilisé par les premières communautés aristotélicienne pour désigner le territoire d'une cité épiscopale. Au Ve s., il est déjà très proche de son sens actuel puisqu'il s'applique aux territoires et communautés existant en dehors du siège épiscopal.

    Il est donc possible de faire partie de plusieurs paroisse, mais niveau administratif on dépend directement de la paroisse communale de sa résidence principale (hrp : celle visible sur le profil)

    Il existe 3 sortes de paroisses qui toutes dépendent d’un évêque qui est donc le supérieur religieux direct du responsable de la paroisse.

    Un clerc pourra s’occuper de plusieurs paroisses, mais il devra y être intronisé par le même évêque, en effet un clerc responsable de paroisse ne peut pas dépendre de plusieurs évêques. Cela est valable pour les diacres et vicaires responsable de paroisse mais aussi pour les aides, car il sont indirectement sous l'autorité du même évêque que leur supérieur directe.

    Un presbytre, diacre permanent, vicaire, aumônier ou chapelain ne peut célébrer de sacrements en dehors d'une paroisse où il est intronisé sans l’autorisation de son évêque ET du responsable de la paroisse en question.

    1) La paroisse communale ou citadine.

    La paroisse communale est obligatoirement une ville ou un village ouvert, référencé comme paroisse et comportant une église, une mairie, des résidences et un marché.

    L'église dite paroissiale est le lieu de rassemblement de la communauté devant laquelle le presbytre et ses assistants célèbrent différentes cérémonies telles que les deux messes hebdomadaires.
    La paroisse communale ne peut avoir que trois responsables reconnus comme tel.
    La paroisse communale peu avoir à sa tête un Presbytre, un vicaire ou un diacr permanente.
    Le responsable de la paroisse peut avoir deux aides, soit diacre permanent ou soit vicaire.
    Les aides supplémentaires tel que acolyte, bedeau, sacristain ne sont pas considérés comme clercs et même si il faut l’accord de l’évêque pour en nommer ils sont sous la responsabilité directe du responsable paroissial qui les a nommés.
    Il pourra nommer deux confesseurs In Gratibus qui pourront entendre la confession des fidèles comme assistance spirituelle, mais ne pourront donner l’absolution qu’en respect du droit canon.


    Presbytre

    La cause matérielle = il doit être prêtre.
    La cause efficiente = il est nommé par l’archevêque ou l’évêque dont la paroisse communale ou citadine où il est nommé dépend.
    La cause formelle = il est intronisé par l’archevêque ou l’évêque dont la paroisse où il est nommé dépend.

    La cause finale

    Le Presbytre peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
    Il a en charge représentative et la gestion religieuse, économique et administrative de sa paroisse In Gratibus et Res Parendo.
    Il peut nommer deux clercs pour l’aider en temps que vicaire ou diacre permanent, et autant d’acolytes qu’il le désire pour autant qu’il aie l’accord de son évêque.
    Il pourra nommer deux Confesseurs paroissiaux In Gratibus.

    Cumul : Presbytre est une charge principale, il ne peut donc cumuler avec d’autre charge principale.

    Vicaire

    La cause matérielle = il doit être prêtre.
    La cause efficiente = il est nommé par le presbytre de sa paroisse avec l’accord de son évêque (ou archevêque).
    La cause formelle = il est intronisé par le presbytre de sa paroisse ou par son évêque (ou archevêque).
    La cause finale = Il a en charge représentative la gestion religieuse de la paroisse où il est nommé.

    Diacre permanent

    La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Église et être titulaire d'une licence en Pastorale Maxima.
    La cause efficiente = il est nommé par le presbytre de sa paroisse avec l’accord de son évêque (ou archevêque).
    La cause formelle = il est intronisé par le presbytre de sa paroisse ou par son évêque (ou archevêque).
    La cause finale = Il a en charge représentative la gestion religieuse de la paroisse où il est nommé.

    Les diacres permanents et les vicaires peuvent célébrer tout les sacrements aristotéliciens hormis l’ordination.
    Ils ne peuvent nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, ils dépendent directement du presbytre ou à défaut de l’évêque.

    Cumul : Diacre permanent ou vicaire sont des charges secondaires liées donc aux règles de cumul.
    Ils peuvent cumuler avec une d’autres charges secondaires ou primaires dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
    Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être vicaire.

    Administrateur paroissial – le quadriptyque causal :

    La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Église.
    La cause efficiente = Il est proposé lors de la prière communautaire par les paroissiens locaux à la hiérarchie ecclésiastique.
    La cause formelle = Il est autorisé à prendre en charge les bureaux paroissiaux et son élection est sanctionnée par l'évêque dont la paroisse dépend ou par son délégué.
    La cause finale = Il a la mission principale d'assurer la gestion In Gratebus de la paroisse et de servir de relais visible entre les fidèles et l'Eglise.

    - L'Administrateur paroissial sede plena, c'est-à-dire en présence d'un curé qui ne peut pas assurer la gestion In Gratebus de la paroisse, est placé sous l'autorité du curé Res Parendo responsable de la paroisse.

    - L'Administrateur paroissial sede vacante,c'est-à-dire en l'absence d'un curé désigné, est placé sous l'autorité de l'évêque dont la paroisse dépend.

    - L'Administrateur paroissial n'est pas considéré comme un clerc et n'a pas charge d'âme. Il n'est donc investit d'aucune autorité religieuse ou spirituelle.

    n.b. : L'Administrateur paroissial peut administrer les sacrements seulement s'il est titulaire d'une autre charge qui lui permet.

    - L'Administrateur paroissial peut cumuler sa charge avec d'autres fonctions cléricales.

    - L'Administrateur paroissial est tenu d'assurer l'exécution des messes In Gratebus et d'effectuer les confessions In Gratebus ou de nommer les confesseurs nécessaires.

    Les acolytes

    La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Église.
    La cause efficiente = il est nommé par le curé de sa paroisse avec l’accord de son évêque (ou archevêque).
    La cause formelle = il est engagé par le curé de sa paroisse ou par son évêque (ou archevêque).
    La cause finale =

    Il reçoit une mission précise de son supérieur, c’est généralement un fidèle désirant s’instruire religieusement pour devenir diacre ou vicaire par la suite.
    Selon sa mission il porte un nom différent tel que sacristain , bedeau, messager, intendant etc...
    Ils ne sont pas considérés comme des clercs et sont sous la responsabilité directe de celui qui les nomme.

    Cumul : n’étant pas clercs par leur fonction d’acolyte il ne sont liés à aucune interdiction de cumul.

    Confesseur paroissial devant Dieu

    La cause matérielle = il doit être théologien de l'Eglise.
    La cause efficiente = il est nommé par le curé de sa paroisse.
    La cause formelle = il est intronisé par le curé de sa paroisse.
    La cause finale = Il a en charge les confession en Dieu de la paroisse où il est nommé. Il ne pourra donner l'absolution représentative que si il est prêtre.

    Cumul : n’étant pas clercs par leur fonction de confesseur en Dieu (IG), ils ne sont liés à aucune interdiction de cumul.


    2) Paroisse nobiliaire (fief)

    La paroisse nobiliaire est obligatoirement un domaine, référencé comme fief et comportant une chapelle et au moins une résidence.
    La paroisse nobiliaire doit se faire rattacher à un diocèse, de préférence proche géographiquement parlant, mais le noble propriétaire de la paroisse nobiliaire pourra choisir son évêque, en accord avec celui-ci, parmi les évêques nationaux, cardinaux inclus. Toutefois un même prélat ne devra pas avoir à sa charge plus de fiefs qu’il ne peut honnêtement en gérer.


    La chapelle est le lieu de rassemblement des propriétaires et de leurs invités devant laquelle le chapelain et ses assistants célèbrent différentes cérémonies.
    La Paroisse nobiliaire ne peut avoir que 1 responsable reconnu comme tel.
    La Paroisse nobiliaire peut avoir à sa tête un chapelain ordonné ou pas.
    Les aides supplémentaires tel que acolyte, bedeau, sacristain ne sont pas considérés comme clercs. Ils sont sous la responsabilité directe du chapelain et ne peuvent exercer que sur le territoire de la Paroisse nobiliaire.

    Chapelain

    La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Eglise et il est accrédité par la congrégation de la diffusion de la foi.
    La cause efficiente = il est engagé par un fidèle de la noblesse.
    La cause formelle = il est intronisé et sous l’autorité de l’évêque du diocèse dont dépend le fief.
    Selon le sexe s’il est laïc on dira Frère ou /sœur chapelain, si il est prêtre ; père ou mère chapelain

    La cause finale

    Il a la charge représentative de la gestion religieuse du, ou des fiefs où il est nommé. (les fiefs doivent dépendre du même évêque).
    Il peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
    Il ne peut nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, il dépend directement de l’évêque qui l'a nommé.

    Cumul : Chapelain est une charge secondaire liée donc aux règles de cumul.
    Il peut cumuler avec une d’autres charges secondaire ou primaire dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
    Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être chapelain.


    3) paroisse communautaire.

    Dans certains cas des communautés, des associations, des confréries voir des guildes ou des groupements militaires peuvent avoir besoin dans leur rang d’un guide religieux.
    Ces corporations doivent se présenter à l’évêque de leur région qui pourra leur attribuer un responsable religieux portant alors le titre d’aumônier.



    Aumônier (hors OMR )

    La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Eglise et il est accrédité par la congrégation de la diffusion de la foi.
    La cause efficiente = il est engagé par un groupement laïc, militaire ou civil.
    La cause formelle = elle dépend du groupement où l’aumônier est intronisé et est définie par la congrégation de la diffusion de la foi.
    Selon le sexe s’il est laïc on dira Frère ou /sœur chapelain, si il est prêtre ; père ou mère chapelain

    La cause finale

    Il a la charge représentative de la gestion religieuse du groupement où il est nommé.
    Il peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
    Il ne peut nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, Il dépend administrativement de la congrégation de la foi.

    Cumul : Aumônier est une charge secondaire liée donc aux règles de cumul.
    Il peut cumuler avec une d’autres charges secondaire ou primaire dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
    Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être aumônier.

    Paroisse communautaire à vocation nationale.

    Si la communauté a vocation d'être nationale elle dépendra directement du primat ou si il y en a un du clerc responsable des aumoneries.



    Amendé, revu, corrigé, publié et cacheté par Son Éminence Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome, le vingt-huitième jour du mois de mai, le lundi, de l'an de grâce MCDLXVI de Notre Seigneur.



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Kayon



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MessagePosté le: Dim Fév 10, 2013 2:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Der Pfarrklerus

Eine Pfarrgemeinde ist, in erster Linie, eine geographische Unterteilung in einer Diözese.
In der aristotelischen Kirche steht die Pfarrgemeinde zugleich für einen bestimmten geographischen Bereich, dem "Gebiet der Pfarrgemeinde" und für die Personengruppe die auf diesem Gebiet lebt und die Pfarrgemeinschaft bildet.

Das Wort entstammt vom lateinischen parochia, das von den ersten aristotelischen Gemeinschaften benutzt wurde, um das Gebiet einer Bischofsstadt zu bezeichnen. Im 5. Jahrhundert ist der Begriff dem heutigen Sinn schon sehr nahe, da er für die existierenden Gebiete und Gemeinschaften außerhalb des Bischofssitzes angewandt wurde.

Es ist auch möglich mehreren Pfarrgemeinden zugehörig zu sein, aber auf administrativer Ebene gehört man direkt der Pfarrgemeinde seines Hauptwohlsitzes an (RP-Off: der im Profil sichtbar ist).

Es gibt 3 Arten von Pfarrgemeinden, die alle einem Bischof unterstehen, der der direkte religiöse Vorgesetzte des Verantwortlichen für die Pfarrgemeinde ist.

Ein Kleriker kann mehrere Pfarrgemeinden betreuen, aber er muss in diese vom selben Bischof eingesetzt werden, denn ein für eine Pfarrgemeinde verantwortlicher Kleriker kann nicht mehreren Bischöfen unterstehen. Dies gilt für Pfarrgemeinde verantwortliche Diakone und Vikare aber auch für Helfer, weil sie indirekt unter der Autorität desselben Bischofs wie ihr direkter Vorgesetzter stehen.

Ein Pfarrer, Diakon, Vikar, Almosenier oder Kaplan darf, ohne Zustimmung seines Bischofs und des infrage kommenden Verantwortlichen für die Pfarrgemeinde, keine Sakramente außerhalb der Pfarrgemeinde, in welcher er eingesetzt ist, feiern.



1) Die kommunale oder städtische Pfarrgemeinde

Die kommunale Pfarrgemeinde ist zwangsläufig eine offene Stadt oder ein offenes Dorf, referiert als Pfarrgemeinde, und setzt sich aus einer Kirche, einem Rathaus, Wohnungen und einem Markt zusammen.

Die sogenannte Pfarrkirche ist der Ort der Gemeindezusammenkünfte angesichts diesen der Pfarrer und seine Assistenten verschiedene Zeremonien feiern wie zum Beispiel die beiden allwöchentlichen Gottesdienste.
Die kommunale Pfarrgemeinde kann nur 3 als solche anerkannte Verantwortliche haben.
Der kommunale Pfarrgemeinde kann ein Pfarrer, ein Vikar oder ein Diakon vorstehen.
Der Verantwortliche für die Pfarrgemeinde kann 2 Helfer haben, seien es Diakone oder Vikare.
Zusätzliche Helfer, wie zum Beispiel Akolythen (Messdiener, Ministranten), Küster, Sakristane, werden nicht als Kleriker angesehen, auch wenn es der Zustimmung des Bischofs bedarf sie zu ernennen, stehen sie unter der direkten Verantwortung des für die Pfarrgemeinde Verantwortlichen, der die ernennt.
Der Pfarrer, und nur er, kann in der Pfarrkirche die Beichte abnehmen. (IG Begrenzung)
Er kann 3 Beichtväter vor Gott (IG) ernennen, die die Beichten der Rechtgläubigen anhören können, jedoch können sie, unter Beachtung des Kanonischen Rechts, die Absolution nicht erteilen.



Pfarrer




Die Materialursache = Er muss Priester und Theologe der aristotelischen Kirche sein (Level 3 WdK).
Die Wirkursache = Er wird vom Erzbischof oder Bischof, dem die kommunale oder städtische Pfarrgemeinde für die er ernannt wird untersteht, ernannt.
Die Formalursache = Er wird vom Erzbischof oder Bischof, dem die Pfarrgemeinde für die er ernannt wird untersteht, eingesetzt.

Die Zweckursache

Der Pfarrer kann alle Sakramente mit Ausnahme der Ordination feiern.
Er hat ein stellvertretendes/repräsentatives Amt und vor Gott (IG) die religiöse, ökonomische und administrative Leitung seiner Pfarrgemeinde.
Er kann gleichzeitig zwei Kleriker ernennen, Vikare oder Diakone, die ihm helfen, und so viele Akotythen (Messdiener, Ministranten) wie er wünscht insofern er die Zustimmung seines Bischofs hat.
Er kann 3 Beichtväter für die Pfarrgemeinde vor Gott (IG) ernennen. (NYI - noch nicht implementiert)

Kumulierung: Pfarrer ist ein primäres Amt, es kann also nicht mit anderen primären Ämtern kumulieren.

Diakon und Vikar

VikarDiakon

Die Materialursache = Er muss Rechtgläubiger der Kirche sein, wenn er ordiniert ist, ist der Diakon ein Vikar.
Die Wirkursache = Er wird vom Pfarrer seiner Pfarrgemeinde mit Zustimmung seines Bischofs (oder Erzbischofs) ernannt.
Die Formalursache = Er wird vom Pfarrer seiner Pfarrgemeinde oder seines Bischofs (oder Erzbischofs) inthornisiert/eingesetzt.
Die Zweckursache = Er hat als stellvertretendes/repräsentatives Amt die religiöse Leitung der Pfarrgemeinde für die er ernannt wurde.

Die Diakone und die Vikare können alle aristotelischen Sakramente mit Ausnahme der Ordination feiern.
Sie können keine Beichtväter sowie keine Mitglieder des Pfarrklerus ernennen. Sie unterstehen direkt dem Gemeindepfarrer oder andernfalls dem Bischof.

Kumulierung: Diakon oder Vikar sind sekundäre Ämter und unterliegen daher den Regeln der Häufung.
Sie können mit anderen sekundären oder primären Ämtern des säkularen Klerus kumulieren, aber nur wenn sie in jenen Ämtern dem selben Bischof unterstehen.
Ein Kardinal oder ein Bischof in partibus kann dennoch Vikar sein.

Sakristan (dient dem Pfarrer)

Die Materialursache = Er muss getauft und Theologe der aristotelischen Kirche sein (Level 3, WdK).
Die Wirkursache = Er wird vom Erzbischof oder Bischof, dem die kommunale oder städtische Pfarrgemeinde für die er ernannt wird untersteht, ernannt.
Die Formalursache = Er wird vom Erzbischof oder Bischof, dem die Pfarrgemeinde für die er ernannt ist untersteht, eingesetzt.

Die Zweckursache

Es wäre besser, wenn möglich, Sakristane als fixe Ämter zu vermeiden und sie nicht zur Kompensation eines echten Pfarrermangels zu benutzen.

Der Sakristan kümmert sich um die Sakristei und bereitet daher den Gottesdienst vor Gott(IG) für den Offizianten vor.

Es gibt zwei Arten von Sakristanen: einfache Rechtgläubige und Diakone.

]a) Einfache Rechtgläubige

Wenn er ein einfacher Rechtgläubiger ist, wird er nicht als ein Kleriker angesehen und darf sich nicht als solcher darstellen. Er muss in der Öffentlichkeit immer als guter Aristot handeln und darf sein Amt nicht entehren, auf welche Art auch immer, sonst droht die Exkommunikation.
Er muss die Sakramentsanfragen an einen Kleriker, der diese übernehmen darf, weiterleiten.

b) Diakone oder Vikare

Wenn er Diakon ist, zusätztlich zur Funktion des Sakristan, trägt er den Titel Diakon und alles was damit zusammenhängt.

Wenn es in Vikar ist, der die Stelle einnimmt, wird er anlässlich der Ernennung Pfarrer.

Kumulierung: Solange er Sakristan ist, ist der Kleriker den gleichen Verboten der Häufung unterworfen wie ein Pfarrer, es ist also ein primäres Amt.

Anmerkung: Der Sakristen muss seinen Status durch einen am Kircheneingang deutlich sichtbaren Aushang erklären.

Die Akolythen (Messdiener, Ministranten)

Die Materialursache = Er muss Rechtgläubiger der Kirche sein.
Die Wirkursache = Er wird vom Pfarrer seiner Pfarrgemeinde mit der Zustimmung seines Bischofs (oder Erzbischofs) ernannt.
Die Formalursache = Er wird vom Pfarrer seiner Pfarrgemeinde oder seinen Bischof (oder Erzbischof) eingestellt
Die Zweckursache =

Er erhält von seinem Vorgesetzten eine bestimmte Aufgabe. Im Allgemeinen ist er ein Rechtgläubiger der wünscht religiös unterrichtet zu werden um in weitere Folge Diakon oder Vikar zu werden.
Gemäß seiner Aufgaben trägt er einen anderen Namen als zum Beispiel Sakristan, Küster, Bote, Verwalter etc...
Sie werden nicht als Kleriker betrachtet und stehen unter der direkten Verantwortung desjenigen der sie ernennt.

Kumulierung: Da sie durch das Amt des Akolythen keine Kleriker sind, sind sie nicht an eine Verbot der Häufung gebunden.

Beichtvater einer Pfarrgemeinde vor Gott

Die Materialursache = Er muss Theologe der Kirche sein.
Die Wirkursache = Er wird vom Pfarrer seiner Pfarrgemeinde ernannt.
Die Formalursache = Er wird vom Pfarrer seiner Pfarrgemeinde eingesetzt.
Die Zweckursache = Er hat die Aufgabe die Beichten vor Gott der Pfarrgemeinde in der er ernannt ist, abzunehmen. Er kann die stellvertretende Absolution nicht erteilen, wenn er nicht Priester ist.

Kumulierung: Das sie durch das Amt des Beichtvaters vor Gott (IG) keine Kleriker sind, sind sie nicht an eine Verbot der Häufung gebunden.


2) adelige Pfarrgemeinde (Lehen)

Die adelige Pfarrgemeinde ist zwangsläufig ein Gut, referenziert als Lehen und besteht aus einer Kapelle und wenigstens einem Wohnsitz.
Die adelige Pfarrgemeinde muss zu eine Diözese, vorzugsweise der geographisch nächsten, gehören, aber adelige Besitzer der adeligen Pfarrgemeinde kann seinen Bischof, mit dessen Zustimmung unter den nationalen Bischöfen und Kardinälen, wählen. Jedoch darf der selbe Prälat nicht für mehr Lehen, als er anständig führen kann, zuständig sein.

Die Kapelle ist der Ort der Zusammenkünfte der Eigentümer und ihrer Gäste angesichts diesen der Kaplan und seine Assistenten verschiedene Zeremonien feiern.
Die adelige Pfarrgemeinde kann nur einen als solchen anerkannten Verantwortlichen haben.
Der adeligen Pfarrgemeinde kann ein Kaplan, ordiniert oder nicht, vorstehen.

Kaplan

oder

Die Materialursache = Er muss Rechtgläubiger der Kirche und akkreditiert von der Kongregation zur Verbreitung des Glaubens sein.
Die Wirkursache = Er wird von einem Rechtgläubigen des Adels angestellt.
Die Formalursache = Er wird ernannt und unter die Autorität des Bischofs der Diözese der das Lehen zugehörig ist gestellt.
Je nach Geschlecht, nennt man ihn Bruder oder Schwester Kaplan, so er Laie ist, Vater oder Mutter Kaplan, so er Priester ist.

Die Zweckursache

Er hat als stellvertretendes/repräsentatives Amt die religiöse Leitung des oder der Lehen für die er ernannt wurde. (Die Lehen müssen dem selben Bischof unterstehen.)
Er kann alle aristotelischen Sakramente mit Ausnahme der Ordination feiern.
Er kann weder Beichtväter noch Mitglieder des Pfarrklerus ernennen, er untersteht direkt dem Bischof der ihn ernannt hat.

Kumulierung: Kaplan ist ein sekundäres Amt und daher an die Regeln der Häufung gebunden.
Es kann mit anderen sekundären oder primären Ämtern des säkularen Klerus kumulieren aber nur wenn jene Ämter dem selben Bischof unterstehen.
Ein Kardinal oder Bischof in partibus kann dennoch Kaplan sein.


3) gemeinschaftliche Pfarrgemeinde

In gewissen Fällen von Gemeinschaften, Vereinigungen, Bruderschaften siehe Gilden oder militäre Gruppen, kann der Bedarf nach einem religiösen Führer in ihren Reihen bestehen.
Diese Korporationen müssen sich dem Bischof ihrer Region vorstellen der ihnen einen religiösen Verantwortlichen zuerkennen kann, der dann den Titel des Almoseniers trägt.

Almosenier (außerhalb der OMR)

oder

Die Materialursache = Er muss Rechtgläubiger der Kirche und von der Kongregation zur Verbreitung des Glaubens akkreditiert sein.
Die Wirkursache = Er wird von einer laikalen, militärischen oder zivilen Gruppe eingestellt.
Die Formalursache = Sie hängt von der Gruppe in der Almosenier eingesetzt wird ab und ist von der Kongregation zur Verbreitung des Glaubens definiert.
Je nach Geschlecht, nennt man ihn Bruder oder Schwester Kaplan, so er Laie ist, Vater oder Mutter Kaplan, so er Priester ist.

Die Zweckursache

]Er hat als stellvertretendes/repräsentatives Amt die religiöse Leitung der Gruppe für die er ernannt wurde.
Er kann alle aristotelischen Sakramente mit Ausnahme der Ordination feiern.
Er kann weder Beichtväter noch Mitglieder des Pfarrklerus ernennen, er untersteht administrativ der Kongregation zur Verbreitung des Glaubens.

Kumulierung: Das Amt des Almoseniers ist ein sekundäres Amt und daher an die Regeln der Häufung gebunden.
Es kann mit anderen sekundären oder primären Ämtern des säkularen Klerus kumulieren aber nur wenn jene Ämter dem selben Bischof unterstehen.
Ein Kardinal oder Bischof in partibus kann dennoch Almosenier sein.

Gemeinschaftliche Pfarrgemeinde mit nationalen Aufgaben.

Wenn die Gemeinschaft die Aufgabe hat national zu sein untersteht sie direkt dem Primas oder dem Kleriker verantwortlich für die Almoseniere, wenn es ihn gibt.

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Arnault d'Azayes



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MessagePosté le: Mer Aoû 13, 2014 2:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
2.3 Le Parrocchie - Il clero parrocchiale

La parrocchia religiosa è, in primo luogo, una suddivisione geografica all’interno di una Diocesi.
Nella chiesa aristotelica la parrocchia designa nello stesso tempo un’area geografica precisa, il “territorio della parrocchia”, e il gruppo di persone che abita su questo territorio e che costituisce la comunità parrocchiale.

La parola proviene dal latino parochia, utilizzata nelle prime comunità aristoteliche per designare il territorio di una città episcopale. Nel V° secolo, essa è già vicina al suo senso attuale poiché si applica ai territori e alle comunità esistenti al di fuori delle sede episcopale.

È dunque possibile far parte di diverse parrocchie, ma, a livello amministrativo, si dipende direttamente dalla parrocchia cittadina della propria residenza principale (hrp: quella visibile sul profilo).

Esistono 3 tipi di parrocchie tutte dipendenti da un vescovo che è dunque il superiore religioso diretto del responsabile della parrocchia.

Un chierico potrà occuparsi di più parrocchie, ma dovrà esservi incaricato dallo stesso vescovo, infatti un chierico responsabile di parrocchia non può dipendere da più vescovi. Ciò vale anche per i diaconi e i vicari responsabili di parrocchia e, inoltre, per gli aiutanti, poiché essi sono indirettamente sotto l’autorità dello stesso vescovo del loro diretto superiore .

Un Parroco, un diacono, un vicario, un cappellano o un cappellano nobiliare non può celebrare i sacramenti al di fuori della parrocchia di cui è stato incaricato senza l’autorizzazione del suo Vescovo e del responsabile della parrocchia in questione.


1) La parrocchia comunale o cittadina.

La parrocchia comunale si trova obbligatoriamente in una città o in un villaggio aperto, identificato come parrocchia, e che disponga di una chiesa, un municipio, dei residenti e un mercato.

La chiesa parrocchiale è il luogo di raccolta della comunità davanti alla quale il Parroco e i suoi assistenti celebrano le differenti cerimonie, come le due messe settimanali.
La parrocchia comunale non può avere più di 3 responsabili riconosciuti come tali.
La parrocchia comunale può avere alla sua testa un Parroco, un vicario o un diacono.
Il responsabile della parrocchia può avere 2 aiutanti, che possono essere diacono o vicario.
Gli aiutanti supplementari come accolito, amministratore laico della finanze, sacrestano, non sono considerati chierici, anche se è necessario l’accordo del Vescovo per nominarli essi sono sotto la responsabilità diretta del responsabile parrocchiale che li ha nominati.

Il parroco, e solo lui, può confessare nella chiesa parrocchiale (obbligo limitazione IG).
Potrà nominare 3 confessori In Gratebus (IG) che potranno ascoltare la confessione dei fedeli ma non potranno dare l’assoluzione rispettando il diritto canonico.

Parroco



La causa materiale: deve essere sacerdote e teologo della Chiesa aristotelica (3° liv).
La causa efficiente: è nominato dall’Arcivescovo o dal Vescovo di cui la parrocchia comunale o cittadina è dichiarata dipendente.
La causa formale: è incaricato dall’Arcivescovo o dal Vescovo da cui dipende la parrocchia dove è stato nominato .

La causa finale

Il Parroco può celebrare tutti i sacramenti aristotelici tranne l’ordinazione.
Ha l’incarico Res Parendo (RP) e In Gratebus (IG) della gestione religiosa, economica e amministrativa della sua parrocchia.
Può nominare due chierici per aiutarlo che siano vicario o diacono, e tanti accoliti quanti ne desidera purché abbia il benestare del suo vescovo.
Potrà nominare 3 Confessori parrocchiali In Gratebus (non ancora codificato).

Cumulo : il Curato è una carica principale, egli non può dunque accumularla con un’altra carica principale.

Diacono e vicario

Vicario


Diacono


La causa materiale : deve essere un fedele della Chiesa, se è ordinato il diacono porta il nome di vicario.
La causa efficiente: è nominato dal Parroco della sua parrocchia con l’accordo del suo Vscovo (o Arcivescovo).
La causa formale : è incaricato dal Parroco della sua parrocchia o dal suo Vescovo (o Arcivescovo).
La cause finale : egli ha l’incarico rappresentativo della gestione religiosa della parrocchia dove è stato nominato.

I diaconi e i vicari possono celebrare tutti i sacramenti aristotelici tranne l’ordinazione.
Non possono nominare dei confessori ne alcun membro del clero parrocchiale, essi dipendono direttamente dal Parroco, o, nel caso manchi, dal Vescovo.

Cumulo : diacono e vicario sono cariche secondarie legate dunque alle regole del cumulo.
Essi possono accumularlo con altre cariche secondarie o primarie nel clero secolare ma unicamente se questa carica dipende dallo stesso vescovo.
Un Cardinale o un Vescovo in partibus potrà tuttavia essere vicario.

Sacrestano (facente Funzione di Parroco).

La causa materiale : deve essere battezzato e teologo della Chiesa aristotelica (3° liv).
La causa efficiente: è nominato dall’Arcivescovo o dal Vescovo di cui la parrocchia comunale o cittadina è dichiarata dipendente.
La causa formale : è incaricato dall’Arcivescovo o dal Vescovo da cui la parrocchia dove è stato nominato dipende.

La causa finale :

(Si fa il possibile per evitare i sacrestani come carica fissa, e utilizzarli solo per compensare a una mancanza reale del curato.)

Il sacrestano si occupa della sacrestia e prepara dunque l’uffizio In Dio per l’officiante.

Esistono due tipi di Sacrestano: i semplici fedeli e i diaconi.

a) I semplici fedeli.

Se è un semplice fedele, non è considerato come un chierico e non può rivendicarsi come tale. Tuttavia in pubblico dovrà agire da buon aristotelico e non disonorare la carica in nessun modo, sotto pena della scomunica.
Dovrà redigere le domande di sacramento per un chierico che se ne può incaricare.

b) I diaconi o vicari

Se è diacono oltre alla funzione di Sacrestano, conserva il titolo di Diacono e tutto ciò che questo comporta.

Se è un vicario che prende l’incarico, egli diventa curato per il tempo della nomina.

cumulo: mentre è sacrestano, il chierico è sottomesso alle stesse interdizioni al cumulo del Parroco, è dunque una carica principale.

Nota : Il sacrestano dovrà rendere noto il suo status con un avviso ben visibile all’entrata della chiesa.

Gli accoliti

La causa materiale : deve essere un fedele della Chiesa.
La causa efficiente : è nominato dal Parroco della sua parrocchia con l’accordo del suo Vescovo (o Arcivescovo).
La causa formale : è assunto dal Parroco della sua parrocchia o dal suo Vescovo (o Arcivescovo).

La causa finale:

Riceve una missione precisa dal suo superiore, è generalmente un fedele desideroso di istruirsi religiosamente per divenire diacono o vicario in seguito.
A seconda della sua missione porta un nome differente come sacrestano, fabbriciere (incaricato delle finanze), messaggero, intendente, ecc.
Essi non sono considerati chierici e sono sotto la responsabilità diretta di colui che li nomina.

Cumulo : non essendo chierici per la loro funzione di accolito non sono legati ad alcuna interdizione di cumulo.

Confessore parrocchiale In Gratebus

La causa materiale : deve essere teologo della Chiesa
La causa efficiente: è nominato dal curato della sua parrocchia.
La causa formale : è incaricato dal curato della sua parrocchia.
La causa finale: è incaricato delle confessioni in Dio della parrocchia dove è stato nominato. Non potrà dare l’assoluzione res parendo se non è sacerdote.

Cumulo : non essendo chierici nella loro funzione di confessori In Gratebus (IG), essi non sono vincolati ad alcuna interdizione di cumulo.


2) Parrocchia nobiliare (feudo)

La parrocchia nobiliare è obbligatoriamente un dominio, riconosciuto come feudo e comportante una cappella e almeno una residenza.
La parrocchia nobiliare deve essere legata ad una diocesi, preferibilmente vicina dal punto di vista geografico, ma il nobile proprietario della parrocchia nobiliare potrà scegliere il suo Vescovo, in accordo con questo, tra i vescovi nazionali, cardinali inclusi. Tuttavia uno stesso prelato non dovrà avere a suo carico più feudi di quelli che ne può
degnamente gestire.


La cappella è il luogo di raccolta dei proprietari e dei loro invitati davanti ai quali il cappellano nobiliare e i suoi assistenti celebrano differenti cerimonie.
La Parrocchia nobiliare non può avere che 1 responsabile riconosciuto come tale.
La Parrocchia nobiliare può avere alla sua testa un cappellano nobiliare, ordinato o meno.
Gli aiutanti supplementari come l’accolito, il fabbriciere (incaricato delle finanze), il sacrestano non sono considerati chierici. Essi sono sotto la responsabilità del cappellano nobiliare e non possono esercitare al di fuori del territorio della Parrocchia nobiliare.

Cappellano nobiliare



o




La causa materiale : deve essere fedele alla Chiesa e essere accreditato dalla congregazione della diffusione della fede.
La causa efficiente : è assunto da un fedele della nobiltà
La causa formale : è incaricato e sotto l’autorità del Vescovo della diocesi da cui dipende il feudo.
A seconda del sesso se è laico si dirà Fratello o Sorella cappellano; se è sacerdote, Padre o Madre cappellano.

La causa finale

Ha l’incarico rappresentativo della gestione religiosa del, o dei feudi per i quali è nominato (i feudi devono dipendere dallo stesso Vescovo).
Può celebrare tutti i sacramenti aristotelici tranne l’ordinazione.
Non può nominare dei confessori né alcun membro del clero parrocchiale, dipende direttamente dal Vescovo che l’ha nominato.

Cumulo : il Cappellano nobiliare è una carica secondaria legata dunque alle regole del cumulo.
Può accumularla con una delle altre cariche secondarie o primarie nel clero secolare ma unicamente se questa carica dipende dallo stesso Vescovo.
Un Cardinale o un Vescovo in partibus potrà tuttavia essere cappellano nobiliare.


3) Parrocchia comunitaira

In certi casi delle comunità, delle associazioni, delle confraternite, delle gilde o dei gruppi militari possono aver bisogno tra le loro fila di una guida religiosa.
Queste corporazioni devono presentarsi al vescovo della loro regione che potrà attribuire a loro un responsabile religioso che porti quindi il titolo di cappellano.

Cappellano (fuori OMR )



o



La causa materiale: deve essere un fedele della Chiesa e essere accreditato dalla congregazione della diffusione della fede.
La causa efficiente : è assunto da un gruppo laico, militare o civile.
La causa formale : dipende dal gruppo di cui il cappellano è incaricato e è definita della congregazione della diffusione della fede.
A seconda del sesso se è laico si dirà Fratello o Sorella cappellano; se è sacerdote, Padre o Madre cappellano.

La causa finale

Ha incarico rappresentativo della gestione religiosa del gruppo presso il quale è stato nominato.
Può celebrare tutti i sacramenti tranne l’ordinazione.
Non può nominare dei confessori né alcun membro del clero parrocchiale. Dipende amministrativamente dalla congregazione della diffusione della fede.

Cumulo : Cappellano è una carica secondaria vincolata dunque alle regole del cumulo.
Può accumulare una delle altre cariche secondarie o primarie nel clero secolare ma unicamente se questa carica dipende dallo stesso Vescovo.
Un Cardinale o un Vescovo in partibus potrà tuttavia essere cappellano.

Parrocchia comunitaria a vocazione nazionale

Se la comunità ha vocazione di essere nazionale essa dipenderà direttamente dal primate o ,se ce ne è uno, dal chierico responsabile dei cappellani.

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Mort des cardinaux von Frayner et d'Azayes
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