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Les nouveaux logions d'Aristote

 
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Dim Mar 07, 2010 1:06 pm    Sujet du message: Les nouveaux logions d'Aristote Répondre en citant




    Les nouveaux logions d'Aristote



    Premier logion

    Ainsi donc, la sagesse est une disposition à agir via une médiété relative, laquelle est rationnellement déterminée et comme la déterminerait un homme prudent. Mais c'est une médiété entre deux excès et c'est encore une médiété en ce que certains de ceux-ci sont au-dessous et d'autres « au-dessus » du « ce qu'il faut » dans le domaine des affections aussi bien que des actions, tandis que le sagesse, elle, découvre et choisit toujours la position moyenne.

    Second logion

    L'intellect est quelque chose de divin par comparaison avec l'homme, la vie selon la raison est également divine comparée à la vie humaine irréfléchie. Il ne faut donc pas écouter ceux qui conseillent à l'homme, parce qu'il est homme, de borner sa pensée aux choses humaines, et mortel, aux choses mortelles, mais l'homme doit, dans la mesure du possible s'immortaliser par la quête solaire, et tout faire pour vivre selon la partie la plus noble qui est en lui ;

    Troisième logion
    C'est en nous abstenant des excès que nous devenons tempérants, et en l'étant devenus que nous somme le plus capables de nous en abstenir; de même pour le courage: c'est en nous habituant à mépriser la peur et à résister que nous devenons courageux, et en l'étant devenus que nous serons le plus capable de résister à la peur.

    Quatrième logion
    Un homme ivre de vin tombe en avant parce qu'il sent la tête lourde, mais un homme ivre de bière tombe en arrière parce qu'il est proprement assommé. Le vin rend aussi les gens très affectueux. La preuve, c'est que l'homme ivre est porté à embrasser, même sur la bouche, ceux qu'il n'embrasserait pas s'il était à jeun.

    Cinquième logion
    Le Logos a agencé l’univers à partir des 4 éléments puis l’a doté d’une âme pour mouvoir le tout. Il a donc disposé ces éléments les uns à l’égard des autres, de telle sorte que ce que le feu est à l’air, l’air le fût à l’eau, et que ce que l’air est à l’eau, l’eau le fût à la terre. Par après, le Logos les a englobé en un divin éther unificateur.

    Sixième logion
    La logique remarque que tous les hommes sont naturellement désireux de savoir. Or savoir est le résultat de la démonstration rationnelle, car la démonstration est le syllogisme qui produit le savoir. Pour satisfaire ce désir naturel dans l’homme, la démonstration logique devient nécessaire; car l’effet, comme tel, ne peut pas exister sans la cause.

    Septième logion
    Si mon prédicat majeur est que : Tous les hommes sont mortels; si mon prédicat mineur postule que : Tous les Grecs sont des hommes; la conclusion de mon syllogisme logique est que : Tous les Grecs sont mortels. Mais en vérité, la subtile finalité de ces assertions syllogistiques est de mettre en exergue l'immortalité du moteur suprême du monde.

    Huitième logion
    L'analyse politique nous enseigne que toutes les fois que les uns ont d'immenses richesses, et que les autres n'ont rien, il en résulte ou la pire des démocraties ou une oligarchie effrénée, ou une tyrannie insupportable, produit nécessaire des deux excès opposés.»

    Neuvième logion
    L'élocution poétique doit avoir deux qualités: être claire et être au-dessus du langage vulgaire. Elle sera claire, si les mots sont pris dans leur sens propre; mais alors elle n'aura rien qui la relève. Elle sera relevée, et au-dessus du langage vulgaire, si l'on y emploie des mots extraordinaires, je veux dire, des mots étrangers, des métaphores, des mots allongés, en somme, tout ce qui n'est point du langage ordinaire. Mais, si le discours n'est composé que de ces mots, ce sera une énigme ou un barbarisme continu. Ce sera une énigme, si tout est métaphore; un barbarisme, si tout est étranger.

    Dixième logion
    L'homme est un vivant possédant la parole et un animal politique. L'humanité est donnée à l'homme en puissance, il doit ensuite la faire passer à l'acte et cela passe par une participation à la vie politique de la Cité. La parole prend alors une dimension fondamentale, elle permet à la Cité d'exister. Ainsi pour vivre hors de la Cité : il faut être soit une bête soit Dieu.

    Onzième logion
    Seul le croyant philosophe vit les yeux fixés sur la nature des choses et sur le divin, comme un bon pilote qui, ayant amarré les principes de sa vie aux réalités éternelles et stables, mouille en paix et vit en tête à tête avec soi-même. Elle est donc contemplative, même si enracinée dans la vie de la cité, cette science qu'est la sagesse, et pourtant elle nous offre la possibilité de tout faire en nous réglant sur elle.

    Douzième logion
    l'homme politique doit connaître le juste en soi pour déterminer ce qu'est le juste et le bon. Le juste en soi est suspendu aux essences premières existant par elles-mêmes selon leur nature éternelle. Le juste ne doit donc pas être réduit aux droits positifs, multiples et variables car sa portée est universelle sinon on n'a pas le critère adéquat de la justice éternelle. Quel plus terrible fléau que l'injustice qui a les armes à la main.

    Treizième logion
    La qualité de l'expression verbale est d'être claire sans être banale. C'est pourquoi j'affirme : puisse Dieu me révéler un jour le secret de l'univers, alors devant Lui, je jure de me faire moine.

    Quatorzième logion
    C'est de par leur caractère que les hommes sont ce qu'ils sont, mais c'est de par leurs actions qu'ils sont heureux, ou le contraire. Et comme je suis peu doué pour faire dans le pathos, le Très-Haut, après moi vous donnera Christos.

    Quinzième logion
    De l'étude des réalités naturelles, je distingue quatre causes. Prenons pour exemple une statue. La cause matérielle : c'est la matière qui compose un objet, ici le marbre. C'est cette cause qui rend possible les contingences et les irrégularités des objets. En effet, la matière "résiste" à la mise en forme. A la forme s'opposent les contraintes de la matière, c'est de là que se produit le hasard, les "accidents". La cause formelle : c'est la forme que donne le sculpteur à la matière. La cause finale : c'est le but, l'usage que l'on veut faire de la chose, c'est sa finalité. Rien n'arrive sans but. La cause efficiente : c'est l'activité du sculpteur, le fait de sculpter. Car chaque développement a besoin d'un moteur qui puisse le mettre en marche. Une même chose peut avoir une pluralité de causes mais non au même sens.

    Seizième logion
    Tout art et toute recherche, de même que toute action et toute délibération réfléchie, tendent, semble-t-il, vers quelque bien. Aussi a-t-on eu parfaitement raison de définir le bien : cette perfection vertueuse et la lumière solaire à quoi on tend en toutes circonstances.

    Dix-septième logion
    Celui qui sera envoyé par le Logos Suprême pour parachever mon œuvre guidera l'humanité afin de trouver la voie de la divine médiété au sein du flou de la future guerre des idées. Lui et ses successeurs bâtiront à la fois une cité idéale et structure universelle qui rayonnera au-delà de la mer Tyrrhénienne et brillera même sur l'humanité entière.

    Dix-huitième logion
    le bonheur est une forme de contemplation, que le sage doit s'efforcer d'atteindre.

    Dix-neuvième logion
    la beauté sensible est une image de la Beauté éternelle que l'âme a toujours déjà contemplée ET les choses sont des copies des Idées. la beauté résulte de certaines proportions et de certaines mesures et rythmes harmonieux.

    Vingtième logion
    La métaphysique est la science de ce qui est, en tant qu'il est : de l'étant en tant qu'étant. Elle est la science des causes premières et aussi la science de ce qui est, en tant qu'il est : de l'étant en tant qu'étant.

    Vingt-et-unième logion
    l'essence des choses est dans les choses-mêmes, et leur donne forme. l'Etre Divin est tout-puissant ET l'essence des choses est dans les choses-mêmes, et leur donne forme.

    Vingt-deuxième logion
    Le Logos, signifie dans ma métaphysique, le verbe suprême, le principe créateur et rationnel, la raison du monde, comme contenant en soi les idées éternelles, archétypes de toutes choses.

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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 2:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    Las nuevas enseñanzas de Aristóteles

    1ª enseñanza
    Así pues, la sabiduría es una disposición que actúa como vía hacia un mediador relativo, el cual, racionalmente está determinado como lo determinaría un hombre prudente. Es un mediador que equidista entre dos excesos y lo es también en algunos de estos excesos que están debajo y otros que están "encima", de "lo que es necesario" en el dominio de los afectos tanto como de las acciones, mientras que la sabiduría descubre y escoge siempre la posición media.

    2ª enseñanza
    El intelecto es algo divino en comparación con el hombre, la vida según la razón es también divina comparada con la vida humana irreflexiva. No hay que escuchar pues, a quienes aconsejan al hombre, porque quien es hombre limita su pensamiento a las cosas humanas y a las cosas mortales. Pero el hombre debe, en la medida de lo posible, inmortalizarse para la búsqueda solar, y hacer todo lo posible para vivir según la parte más noble que hay en él

    3ª enseñanza
    Absteniéndonos de los excesos conseguimos actuar con templanza, y habiéndolo hecho nos volvemos más capaces para abstenernos de ellos; lo mismo para el coraje: es acostumbrándonos a despreciar el miedo y a resistir, lo que nos vuelve más valientes, y habiéndolo hecho seremos más capaces de resistir al miedo.

    4ª enseñanza
    Un hombre ebrio de vino cae hacia delante porque siente pesada su cabeza, pero un hombre ebrio de cerveza cae para atrás porque, propiamente dicho, está muerto. El vino también hace a la gente muy afectuosa. La prueba está en que el hombre ebrio besa, hasta en la boca, a aquellos a los que no besaría si estuviera en ayunas.

    5ª enseñanza
    El Logos ordenó el universo a partir de los 4 elementos, luego lo dotó de una alma para moverlo todo. Después dispuso de estos elementos unos con respecto a otros, de tal modo que el fuego está en el aire, el aire está en el agua, el agua está en la tierra. Después, el Logos los englobó en divino éter unificador.

    6ª enseñanza
    La lógica nos demuestra que todos los hombres son naturalmente deseosos de saber. Saber es el resultado de la demostración racional, porque la demostración es el silogismo que produce el saber. Para satisfacer este deseo natural en el hombre, la demostración lógica se vuelve necesaria; porque el efecto, como tal, no puede existir sin la causa.

    7ª enseñanza
    Si tengo un predicado mayor que dice que: todos los hombres son mortales; si mi prédica menor postula que: todos los griegos son unos hombres; la conclusión de mi silogismo lógico es que: todos los griegos son mortales. Pero en realidad, la finalidad sutil de estas afirmaciones silogísticas es poner de relieve la inmortalidad del motor supremo del mundo.

    8ª enseñanza
    El análisis político nos enseña que cada vez que unos tienen riquezas inmensas, y que otros no tienen nada; resulta de eso: o la peor de las democracias, o una oligarquía desenfrenada, o una tiranía insoportable; producto necesario de ambos excesos opuestos.

    9ª enseñanza
    La elocución poética debe tener dos calidades: ser clara y estar por encima del lenguaje vulgar. Será clara, si las palabras son tomadas en su sentido limpio; pero entonces no tendrá nada que lo alze. Será alzada por encima del lenguaje vulgar, si para ello se emplea palabras extraordinarias, quiero decir, palabras extranjeras, metáforas, palabras alargadas, en suma, todo lo que no es del lenguaje ordinario. Pero, si el discurso es constado sólo por estas palabras, será un enigma o un barbarismo continuo. Será un enigma, si todo es metáfora; un barbarismo, si todo es extranjero.

    10ª enseñanza
    El hombre es un ser vivo que posee la palabra y un animal político. La humanidad se consagra al hombre en potencia, debe luego pasar al acto y esto pasa por una participación a la vida política de la Ciudad. La palabra toma entonces una dimensión fundamental, permite a la Ciudad existir. Así, para vivir fuera de la Ciudad: hay que ser una bestia o ser Dios.

    11ª enseñanza
    Sólo el creyente filósofo tiene los ojos fijados sobre la naturaleza de las cosas y sobre lo divino, como un buen piloto que es, habiendo amarrado los principios de su vida a las realidades eternas y estables, fondea en paz y vive a solas. Es contemplativa, aunque arraigada en la vida de la ciudad, esta ciencia que es la sabiduría; y sin embargo nos ofrece la posibilidad de hacer todo ajustándonos a ella.

    12ª enseñanza
    El hombre político debe conocer lo justo en sí para determinar lo que es justo y bueno. Lo justo en sí está suspendido de las primeras esencias que existen por ellas mismas debido a su naturaleza eterna. Lo justo no debe ser reducido a los derechos positivos, múltiples y variables; porque su alcance es universal; de lo contrario, no tendremos el criterio adecuado de la justicia eterna. Cual plaga es más terrible que la injusticia que tienen las armas en la mano.

    13ª enseñanza
    La calidad de la expresión verbal es ser clara sin ser común. Es por eso que afirmo: pueda a Dios revelarme algún día el secreto del universo, entonces delante de Él, juro hacerme monje.

    14ª enseñanza
    Es por su carácter, que los hombres son lo que son; pero es por sus acciones que son felices o no. Como tengo poca facilidad para hacer uso de los sentimientos humanos; Dios, después de mí, les dará a Christos.

    15ª enseñanza
    Del estudio de las realidades naturales, distinguo cuatro causas. Tomemos, por ejemplo, una estatua. La causa material: es la materia que compone un objeto, aquí el mármol. Es la causa que hace posible las contingencias y las irregularidades de los objetos. En efecto, la materia "resiste" a la postura en forma. A la forma se oponen las limitaciones de la materia, es de ahí dónde se producen por azar, los "accidentes". La causa formal: es la forma que da el escultor a la materia. La causa final: es el fin, el uso que se quiere hacer la cosa, es su finalidad. Nada llega sin objetivo. La causa eficiente: es la actividad del escultor, el hecho de esculpir. Porque cada desarrollo necesita un motor que pueda ponerlo en marcha. La misma cosa puede tener una pluralidad de causas eficientes, pero no con el mismo sentido.

    16ª enseñanza
    Toda arte y toda búsqueda, lo mismo que toda acción y toda deliberación reflejada; tienden, según parece, hacia algún bien. También perfectamente se tuvo razón al definir el bien: la perfección virtuosa y la luz solar a la que se tiende en toda circunstancia.

    17ª enseñanza
    El que será enviado por el Logos Supremo para acabar mi obra guiará a la humanidad con el fin de encontrar la vía del divino mediador en el seno de la ligereza de la futura guerra de las ideas. Él y sus sucesores edificarán a la vez una ciudad ideal y una estructura universal que irradiará más allá del mar Tirreno y brillará sobre la humanidad entera.

    18ª enseñanza
    La felicidad es una forma de contemplación, que el sabio debe esforzarse en conseguir.

    19ª enseñanza
    La belleza sensible es una imagen de la Belleza eterna que el alma siempre ha contemplado Y las cosas son copias de las Ideas. La belleza es el resultado de ciertas proporciones y de ciertas medidas y ritmos armónicos.

    20ª enseñanza
    La metafísica es la ciencia de lo que es, tal y como es: el ser en cuanto al ser. Es la ciencia de las causas primeras y también la ciencia de lo que es, tal y como es: el ser en cuanto al ser.

    21ª enseñanza
    La esencia de las cosas está en las cosas mismas, y les da forma. El Ser Divino es Todopoderoso Y la esencia de las cosas está en las cosas mismas, y les da forma.

    22ª enseñanza
    El Logos, significa en mi metafísica, el verbo supremo, el principio creativo y racional, la razón del mundo, como conteniendo en sí de las ideas eternas, arquetipo de cualquier cosa.

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Marco_Castello



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MessagePosté le: Sam Juil 23, 2011 11:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

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Les noves ensenyances d’Aristòtil.

1a ensenyança
Així doncs, la saviesa és una disposició que actua com a via vers a un mitjancer comú, el qual, racionalment, està determinat com el determinaria un home prudent. És un mitjancer que oscil•la entre dos extrems i l’és, també, en alguns d’aquests extrems que estar a sota i d’altres que estan sobre del que “cal” en el domini dels afectes tant com de les accions, mentre que a saviesa descobreix i escull sempre la posició intermèdia.

2a ensenyança
L’ intel•lecte és quelcom diví en comparació amb l’home; la vida, segons la raó, també és divina comparada amb la vida humana irreflexiva. No s’ha d’escoltar, doncs, els qui aconsellen l’home, per què és l’home qui limita el seu pensament sobre els afers humans i les coses mortals. L’home, en canvi, en la mesura del que li és possible, ha d’immortalitzar-se en la recerca solar i fer tot el possible per a viure segons la part més noble que hi ha en ell.

3a ensenyança
Abstenint-nos dels excessos aconseguim actuar amb temprança i, en haver-ho fet, esdevenim més capaços per abastir-nos d’ells; passa el mateix amb el coratge: és quan ens acostumem a menysprear la por i a resistir-la quan ens fem més valents i, havent-ho fet, serem més capaços de resistir la por.

4a ensenyança
Un home ebri de vi cau cap endavant per què sent el cap pesat, però un home ebri de cervesa cau enrere per què, literalment, és mort. El vi també fa a la gent més afectuosa. La prova està en que l’home ebri besa, fins i tot a la boca, a aquells que no besaria si estigués sobri.

5a ensenyança
El Logos va ordenar l’univers a partir dels quatre elements i després el va dotar d’ànima per a moure-ho tot. Després va disposar d’aquests elements uns respecte els altres, de tal manera que el foc és a l’aire, l’aire és l’aigua i l’aigua és a la terra. Després, el Logos va englobar-los en un diví èter unificador.

6a ensenyança
La lògica ens demostra que tots els homes són, de manera natural, desitjosos de saber. Saber és el resultat de la demostració racional, per què la demostració és el sil•logisme que produeix el saber. Per a satisfer aquest desig natural en l’home, la demostració lògica esdevé necessària, per què l’efecte, com a tal, no pot existir sense la seva causa.

7a ensenyança
Si tinc una màxima major que diu que tots els homes són mortals i si tinc una màxima menor que postula que tots els grecs són homes, la conclusió d’aquest sil•logisme lògic és que tots els grecs són mortals. Per en realitat, la finalitat subtil d’aquestes afirmacions sil•logístiques es treure a relluir la immortalitat del motor suprem del món.

8a ensenyança
L’anàlisi política ens ensenya que cada cop que uns tenen riqueses immenses i que d’altres no tenen res dóna com a resultat o la pitjor de les democràcies o una oligarquia desenfrenada o una tirania insuportable producte necessari d’ambdós excessos oposats.

9a ensenyança
L’elocució poètica ha de tenir dues qualitats: ser clara i estar per sobre del llenguatge vulgar. Serà clara si les paraules son preses en un sentit net, però aleshores no tindrà res que les realci. Serà realçada per sobre del llenguatge vulgar si per a emprar paraules extraordinàries usa paraules estrangeres, metàfores, paraules allargassades...en resum: tot el que no sigui propi del llenguatge ordinari. Però , si el discurs consta només per aquest tipus de paraules, serà un enigma o un barbarisme continuat. Serà un enigma, si tot és metàfora; un barbarisme, si tot són estrangerismes.

10a ensenyança
L’home és un ésser viu que posseeix la paraula i un animal polític. La humanitat s’agafa a l’home en potència, que ha de passar després a l’acció, tot passant abans per una participació a la vida política de la Ciutat. Les paraules, aleshores, prenen una dimensió fonamental, permetent que la Ciutat existeixi. Així, per a viure fora de la ciutat, només cal ser una bèstia o ser Déu.

11a ensenyança
Només el creient filòsof té els ulls fixats sobre la natura de les coses i sobre el que és diví, com a bon pilot que és, havent amarrat els principis de la seva vida a les realitats eternes i estables, fondeja en pau i viu en solitud. És contemplativa, tot i que arrelada a la vida de la ciutat; aquesta ciència és la saviesa i, no obstant això, ofereix la possibilitat de fer-ho tot ajustant-se a ella.

12a ensenyança
L’home polític ha de conèixer el que és just en si mateix per a determinar el que és just i el que és bo. El que és just en si mateix està suspès en les primeres essències, que existeixen per si mateixes, degut a la seva naturalesa eterna. El que és just no ha de ser reduït als drets positius, múltiples i variables, per què la seva dimensió té una extensió universal; per contra, no tindrem el criteri adequat de la justícia eterna. Com si es tractés de la plaga més terrible, la injustícia té les armes a la mà.

13a ensenyança
La qualitat de l’expressió verbal és la de ser clara sense ésser comú. És per això que afirmo: pugui Déu revelar-me algun dia el secret de l’univers, aleshores davant Seu, juro fer-me monjo.

14a ensenyança
És pel seu caràcter que els homes són el que són; però és per les seves accions que són feliços o no. Com que tinc poca facilitat per a fer ús dels sentiments humans, Déu, després de mi, els donarà a Christós.

15a ensenyança
De l’estudi de les realitats naturals, distingeixo quatre causes. Prenguem, per exemple, una estàtua. La causa material: és la matèria que composa un objecte, en aquest cas el marbre. És la causa que fa possible les contingències i les irregularitats dels objectes. Efectivament, la matèria “resideix” a la postura en forma. A la fora s’hi oposen les limitacions de la matèria, és aquí on es produeix l’atzar, els “accidents”. La causa formal: és la forma que dóna l’escultor a la matèria. La causa final: és la finalitat, l’ús que se’n vol fer d’ella, la seva finalitat. Res no arriba sense objectiu. La causa eficient: és l’activitat de l’escultor, el fet d’esculpir. Per què, cada desenvolupament, necessita un motor que pugui posar-lo en funcionament. La mateixa cosa por tenir una pluralitat de causes eficients, però mai no amb el mateix sentit.

16a ensenyança
Tot art i tota recerca, igual que tota acció i tota deliberació reflectida, tendeixen, segons sembla, cap a algun bé. També perfectament es va tenir raó en definir el bé: la perfecció virtuosa i la llum solar a la que es tendeix en tota circumstància.

17a ensenyança
el qui serà enviat pel Logos Suprem per tal que acabi la meva obra guiarà la humanitat amb la finalitat de trobar la via del Diví mitjancer en el si de la lleugeresa de la futura guerra de les idees. Ell i els seus successors edificaran, a la vegada, una ciutat ideal i una estructura universal que irradiarà més enllà del mar Tirrè i brillarà sobre la humanitat sencera.

18a ensenyança
La felicitat és una forma de contemplació, que el savi ha d’esforçar-se en aconseguir.

19a ensenyança
La bellesa sensible és una imatge de la Bellesa eterna que l’ànima ha contemplat. I les coses són còpies de les Idees. La bellesa és el resultat de certes proporcions i de certes mesures i ritmes harmònics.

20a ensenyança
La metafísica és la ciència del que és, tal i com és: el ser en tant que és. És la ciència de les causes primeres i també la ciència del que és, tai com és: l’ésser en quant és.

21a ensenyança
‘essència de les coses està a les coses mateixes, i els dóna forma. L’Ésser Diví és Totpoderós. L’essència de les coses està en les coses mateixes, i les hi dóna forma.

22a ensenyança
EL Logos significa, a la meva metafísica, el Verb Suprem, el Principi Creatiu i Racional, la Raó del món, com a continent en si de les idees eternes, arquetip de qualsevol cosa.



Traduït per Ignius de Muntaner

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[/url]
Ex. Juge Royal|Arch. Em.de Malines |[url=http://abbaye-thomiste.forumactif.org/]Thomiste
| Comte de Corinthe et Baron de La Vostice (Achaïe), Vicomte de Bailleul (France)
- MORT DÉFINITIVEMENT CETTE FOIS
Récipiendaire du Grand Chrisme d'Or
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Ignius



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MessagePosté le: Mer Jan 25, 2012 12:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

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I nuovi Logia di Aristotele

Primo logion
La saggezza, dunque, è una disposizione ad agire attraverso una medietà in rapporto a noi, determinata in base ad un criterio, e precisamente al criterio in base al quale la determinerebbe l’uomo prudente. Essa è medietà tra due eccessi, e inoltre è medietà per il fatto che alcuni eccessi restano al di sotto e altri stanno al di sopra di ciò che si deve, sia nelle passioni sia nelle azioni, mentre la saggezza trova e sceglie sempre la posizione mediana.

Secondo logion
L'intelletto è qualcosa di divino in confronto con l'uomo, la vita secondo ragione è similmente divina rispetto alla vita umana che non si è esercitata nella riflessione. Quindi non ascoltare coloro che consigliano all'uomo di confinare il suo pensiero, poichè è uomo, alle cose umane, e poichè è mortale, alle cose mortali, ma l'uomo deve, per quanto è in sua facoltà, eternarsi tramite la ricerca solare, e fare di tutto per vivere secondo la parte più nobile che è in lui.

Terzo logion
E' nel nostro astenerci dagli eccessi che diventiamo temperanti, ed è nell'esserlo divenuti che siamo i più capaci tra noi nell'astenerci; e analogamente per il coraggio: è nell'abituarci a disprezzare la paura e a resistergli che diveniamo coraggiosi, ed è nell'esserlo divenuti che saremo i più in grado di resistere alla paura.

Quarto logion
Un uomo ubriaco di vino cade in avanti perché si sente la testa pesante, ma un uomo ubriaco di birra cade all'indietro perché è veramente stordito. Il vino rende anche la gente molto affettuosa. La prova è che l'ubriaco è portato a baciare, anche sulla bocca, chi non avrebbe mai baciato se fosse stato sobrio.

Quinto logion
Il Logos ha organizzato l'universo a partire da 4 elementi, quindi l'ha dotato di un'anima per dar movimento al tutto. Ha quindi ordinato questi elementi l'uno in relazione all'altro, in modo che ciò che il fuoco è in relazione all'aria, l'aria lo sia per l'acqua, e ciò che l'aria è per l'acqua, l'acqua lo sia per la terra. Successivamente, il Logos le incluse in un divino etere unificatore.

Sesto logion
La logica mette in evidenza come tutti gli uomini siano naturalmente desiderosi di apprendere. Ora, la conoscenza è il risultato della dimostrazione razionale, poiché la dimostrazione è il sillogismo che produce la conoscenza. Per soddisfare questo desiderio naturale nell'uomo, la dimostrazione logica diviene necessaria; perché l'effetto, in quanto tale, non può esistere senza la causa.

Settimo logion
Se la mia premessa maggiore è: Tutti gli uomini sono mortali; se la mia premessa minore assume che: Tutti i Greci sono uomini; la logica conclusione del mio sillogismo è che: Tutti i Greci sono mortali. Ma in verità, il sottile scopo di queste affermazioni sillogistiche è di evidenziare l'immortalità del Motore Primo del mondo.

Ottavo logion
L'analisi politica ci insegna che ogni volta che un individuo possiede grandi ricchezze, e che gli altri non possiedono nulla, il risultato è o la peggiore delle democrazie o una oligarchia senza freni, o una tirannia opprimente, prodotto necessario dei due all'opposto estremi.

Nono logion
La dizione poetica deve avere due qualità: essere chiara e al di sopra della lingua volgare. Sarà chiara, se le parole sono prese nel senso a loro proprio; ma allora non avrà nulla che la elevi. Essa verrà elevata, e al di sopra della lingua volgare, se si adoperano parole non comuni, voglio dire, parole straniere, metafore, perfifrasi, in breve, tutto ciò che non è linguaggio ordinario . Ma se il discorso non è composto che da quelle parole, si tratterà di un indovinello o di un barbarismo insopportabile. Sarà un indovinello, se tutto è metafora; una barbarismo, se tutto è straniero.

Decimo logion
L'uomo è un essere vivente che possiede la parola e un animale politico. L'umanità è offerta all'uomo solo in potenza, egli deve poi trasformarla in atto e ciò avviene attraverso la partecipazione alla vita politica della città. La parola assume allora una dimensione fondamentale, consente alla città di esistere. Quindi, per vivere al di fuori della città bisogna essere o una bestia o Dio.

Undicesimo logion
Solo il credente filosofo tiene i suoi occhi fissi sulla natura delle cose e sul divino, come un buon pilota che, dopo aver ancorato i principi
della sua vita alle realtà eterne e immutabili, naviga in pace e vive in un costante confronto con se stesso. Egli è un contemplativo, anche se radicato nella vita della città, in virtù di quella scienza che è la saggezza, che offre l'opportunità di compiere qualsiasi impresa se ci si affida ad essa.

Dodicesimo logion
Il politico deve conoscere la giustizia in sé per determinare cosa siano la giustizia e il bene. La giustizia in sé è legata agli esseri superiori esistenti di per sé, secondo la loro natura eterna. La giustizia non deve essere ridotta ai diritti positivi, molteplici e mutevoli, poichè la sua portata è universale, altrimenti non si avrebbe un appropriato concetto di giustizia eterna. Quale flagello è più terribile dell'ingiustizia che ha le armi sempre in pugno?

Tredicesimo logion
La qualità dell'espressione verbale deve essere chiara senza essere banale. Ecco perché dico: possa Dio rivelarmi un giorno il segreto dell'universo, allora davanti a Lui, giuro di farmi monaco.

Quattordicesimo logion
E' per il loro carattere che gli uomini sono quel che sono, ma è per
le loro azioni che essi sono felici, oppure no. E siccome io sono poco portato a suscitare grandi passioni, l'Altissimo dopo di me vi donerà Christos.

Quindicesimo logion
Nello studio delle realtà naturali, io distinguo quattro cause. Prendiamo ad esempio una statua. La causa materiale: è il materiale che costituisce un oggetto, in questo caso il marmo. E'questa causa che rende possibili gli accidenti e le irregolarità degli oggetti. Infatti, la materia "resiste" allo sforzo di dargli una forma. Alla forma si oppongono i vincoli della materia, è lì che si verificano le casualità, gli "accidenti". La causa formale: è la forma che lo scultore dà alla materia. La causa finale: è lo scopo, l'uso che si vuole fare della cosa, è il suo fine. Non accade nulla senza uno scopo. La causa efficiente: è l'attività dello scultore, l'atto di scolpire. Questo perchè per ogni sviluppo si ha bisogno di un motore che possa porlo in essere. La stessa cosa può avere una pluralità di cause, ma non un medesimo senso.

Sedicesimo logion
Tutta le arti e tutte le ricerche, così come qualsiasi azione o deliberazione frutto di riflessione, tendono, a quanto pare, a qualche bene. Quindi non vi è assolutamente alcuna ragione di definire il bene, questa perfezione virtuosa e luce solare cui si tende in tutte le circostanze.

Diciassettesimo logion
Colui che sarà inviato dal Logos Supremo per completare la mia opera guiderà l'umanità nella ricerca della divina medietà persino tra le incerte nebbie della futura guerra delle idee. Lui e i suoi successori porranno il loro seggio in una città nel medesimo tempo ideale e dallo spirito universale che irradierà la Fede al di là del Mar Tirreno e brillerà sull'umanità intera.

Diciottesimo logion
La felicità è una forma di contemplazione che il saggio deve impegnarsi a perseguire.

Diciannovesimo logion
La bellezza sensibile è l'immagine della Bellezza eterna che l'anima ha da sempre contemplato E le cose sono copie delle Idee. La bellezza risulta dalla presenza di certe proporzioni, certe misure e ritmi armoniosi.

Ventesimo logion
La metafisica è la scienza di ciò che è in quanto è: l'essere in quanto essere. E' la scienza delle cause prime e anche la scienza di ciò che è, in quanto è: l'essere in quanto essere.

Ventunesimo logion
L'essenza delle cose è nelle cose stesse, e dona loro la forma. L'Essere Divino è onnipotente E l'essenza delle cose è nelle cose stesse, e dona loro la forma.

Ventiduesimo logion
Logos significa, nella mia metafisica, il verbo supremo, il principio creativo e razionale, la ragione del mondo, in quanto contiene in sé le idee eterne, archetipi di tutte le cose

revisione: Adhominem

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Doron



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MessagePosté le: Mar Nov 11, 2014 11:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
De nieuwe inzichten van Aristoteles


Eerste inzicht
Wijsheid is de neiging om te handelen door middel van compromissen, om aldus te handelen als een goed huisvader. Maar het is deze compromis tussen twee uitersten die ons niet "boven" de partijen plaatst en ons niet het "juiste ding" laat kiezen maar ons juist beklemd in onze gedachten. Wijsheid kiest namelijk zelf altijd de juiste weg.

Tweede inzicht
Het intellect is iets Goddelijks in vergelijking met de mens. De rede is iets Goddelijks in vergelijking met het roekeloze leven dat mensen leiden. Dus luister niet naar degenen die zijn als een slecht raadsman voor de mens, omdat zij de gedachten van de mensen beperken en zij de gedachten beperken tot er niets anders overblijft als dodelijke of sterfelijke dingen. Laat u leiden door het nobele in uzelf zodat u naar de Zon zult opstijgen.

Derde inzicht
Het is door zich te onthouden van de extremen dat men de matigheid leert kennen en zo werkt het ook voor de moed in ons allen. Juist door dat te vrezen wat wij niet kennen worden wij onbevreesd omdat wij leren van deze angsten en uiteindelijk zullen wij zo uitgroeien tot een staat waarin wij al onze angsten kunnen weerstaan.

Vierde inzicht
Een dronken man valt naar voren omdat zijn hoofd zwaar aanvoelt door de wijn en het bier en het lijkt alsof hij dood is. Strikt genomen is hij ook dood omdat wijn en bier ons aanhankelijk maken van anderen en wij hierdoor de rede verliezen.

Vijfde inzicht
Het inzicht van God heeft ervoor gezorgd dat het universum is begiftigd met vier elementen die constant in beweging met elkaar zijn. Zo speelt de wind met het vuur en laat het, het water dansen. Maar ook laat het water de lucht contact maken met de aarde om zo te komen tot een Goddelijke eenwording.

Zesde inzicht
Een logisch standpunt is dat de mensen van zichzelf uit graag leren. Maar kennis is het resultaat van rationele overdenkingen, omdat de overdenking een syllogisme is dat kennis produceert. Om te voldoen aan de natuurlijke verlangens van de mens, is een overdenking nodig omdat het effect als zodanig niet kan bestaan zonder de oorzaak.

Zevende inzicht
Als mijn belangrijkste standpunt is: Alle mensen zijn sterfelijk, en mijn kind predikt door deze opvatting dat: Alle Grieken mensen zijn, is de conclusie van deze syllogisme logica dat: Alle Grieken sterfelijk zijn.
Maar de waarheid is dat het subtiele doel van deze syllogisme is dat het aantoont dat het hoogtepunt van het leven de onsterfelijkheid in het leven hierna is.

Achtste inzicht
Beleidsanalyse leert ons dat wanneer sommigen grote rijkdommen bezitten en anderen niet het resultaat enkel maar kan zijn dat zelfs in de grootste democratieën of de meest ongecontroleerde dictaturen deze twee producten tegen elkaar in zullen gaan.

Negende inzicht
De poëtische dictie moet twee kwaliteiten bezitten: wees duidelijk en verhef u boven de vulgaire taal. Het moge duidelijk zijn dat deze woorden letterlijk genomen moeten worden anders levert het niets op. De woorden zullen anders worden geïnterpreteerd en ze zullen als leugens worden gezien. Kortom, zorg ervoor dat de teksten zuiver en duidelijk zijn zodat ze geen raadsel vormen voor de toehoorders en ze niet klinken als woorden van barbarij. Zijn de woorden niet zuiver en vol van vulgaire taal, dan zullen ze vreemd en hol overkomen.

Tiende inzicht
De mens dient te leven in de stad, want het is de stad waar allen samen komen en waar men de politiek bedrijft en het onderwijs wordt gegeven. Laat door de handeling van het leven in de stad zien dat u behoort tot de mensheid en geef aan uw leven een fundamentele dimensie. Dus als u woont buiten de stad bent u niets anders dan: Ofwel een beest, ofwel God.

Elfde inzicht
Alleen een gelovige filosoof ziet in de aard van de dingen het Goddelijke, zoals een goed bestuurder die de beginselen van het leven beziet en ze met elkaar in vrede samen laat leven. Door te werken en te leven in de stad zullen wij een anker vinden en kunnen wij ons wortelen daar waar wij de gelegenheid hebben om alles te doen wat wij maar wensen te doen.

Twaalfde inzicht
De politicus moet weten wat goed is in zichzelf om te kunnen bepalen wat juist en goed is. Want hij die deze wijsheid niet bezit zal de positieve rechten, die een meerwaarde geven aan het leven om hem heen, afdoen als onjuiste rechten en zo zal de rechtvaardigheid worden ingeruild voor de verschrikkelijke plaag van gewapend onrecht.

Dertiende inzicht
De kwaliteit van de verbale expressie is om duidelijk te zijn binnen de gemeenschap. Daarom zeg ik: God kan enkel het geheim van het universum onthullen wanneer hij een monnik wordt.

Veertiende inzicht
Het is door haar aard dat de mensen zijn wat ze zijn, maar het is door hun daden dat ze gelukkig zijn of niet. Zoals ik reeds gebruik heb gemaakt van de menselijke gevoelens, zo zal God het na mij, door Christos, nogmaals doen.

Vijftiende inzicht
De studie van de natuurlijke realiteit onderscheiden we in vier stukken. Neem bijvoorbeeld een standbeeld. De materiële oorzaak: De grondstof waaruit het object is gemaakt, hier is dat het marmer. De oorzaak maakt het mogelijk dat er zich risico's voordoen en dat er onregelmatigheden zijn in het object. In tegenstelling tot de beperkingen van de materie, komen de "ongevallen" enkel voort uit toeval. De formele oorzaak: De vorm die de beeldhouwer aan de materie geeft. De uiteindelijke oorzaak: Het einde, je wilt het ding gebruiken, dat is het doe. Niets wordt geleverd zonder er eerst een blik op te hebben geworpen. De efficiënte oorzaak: De activiteit van de beeldhouwer, beeldhouwen is het feit, omdat alle motorische ontwikkelingen nodig zijn om dit beeld te maken. Hetzelfde object kan een veelvoud aan oorzaken hebben, maar nog altijd blijft het object hetzelfde.

Zestiende inzicht
Elke zoekopdracht is een kunst op zichzelf, net zoals elke actie en elke beraadslaging een kunst op zichzelf zijn om te komen tot dat wat goed is. We kunnen daarom definiëren dat: De perfectie van de deugd is als het zonlicht. Het is een kunst op zichzelf maar blijft in alle omstandigheden hetzelfde.

Zeventiende inzicht
Hij zal door God worden gezonden om mijn werk af te maken en de mensheid verder zal leiden over het pad van de Goddelijke Bemiddelaar om uiteindelijk te komen tot het Zonneparadijs. Hij en zijn opvolgers zullen een bouwwerk opbouwen dat ver boven de Tyrrheense Zee zal uitsteken en het universele karakter ervan zal over de mensheid schijnen.

Achtiende inzicht
Geluk is een vorm van contemplatie, men moet er samen aan werken.

Negentiende inzicht
Gevoelige schoonheid is een beeld van eeuwige schoonheid, dat door de ziel wordt versterkt en voortkomt uit de kopieën van de ideeën. De schoonheid is het resultaat van bepaalde verhoudingen en bepaalde maatregelen en harmonische ritmen.

Twintigste inzicht
Metafysica is de wetenschap van dat wat is zoals het behoort te zijn. Het is de wetenschap van de diepere oorzaken en ook de wetenschap van wat het is zoals het behoort te zijn.

Eenentwintigste inzicht
De essentie van de dingen is in de dingen zelf en dit geeft hen vorm. De Almachtige God is in alles en geeft zo de essentie aan de dingen.

Tweeëntwintigste inzicht
Inzichten betekent in mijn metafysica het woord van de Opperste, de creatieve principes en rationele redenen van de wereld zoals de eeuwige ideeën archetypen zijn van alle dingen.

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MessagePosté le: Mer Mai 04, 2016 11:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:


Die neuen Logia des Aristoteles

Erstes Logion
Folglich ist Weisheit eine Einstellung, die zur goldenen Mitte hinstrebt, welche vom Verstand erkannt werden kann. Ein umsichtiger Mann folgt diesem vom Verstand vorgezeichneten Weg. Doch es handelt sich um eine goldene Mitte zwischen zwei Extremen, bei der sich ein Extremum unterhalb und das andere "oberhalb" des "Guten" befindet. In der Welt der Gefühle, wie auch in der Welt der Handlungen, findet und erwählt die Weisheit stets und immer den Mittelweg.

Zweites Logion
Der Verstand ist etwas göttliches, verglichen mit dem Menschen an sich. Ein Leben in Übereinstimmung mit dem Verstand ist folglich göttlich, verglichen mit einem gedankenlosen menschlichen Lebensweg. Es ist folglich ein schlechter Rat an den Menschen, dass er, weil er Mensch und sterblich sei, sein Denken auf menschliche und vergängliche Dinge beschränken solle. Stattdessen muss der Mensch, im Rahmen seiner Möglichkeiten, durch das Streben nach der Sonne seine Vergänglichkeit überwinden und sein Leben an dem ausrichten, was der edelste Teil in ihm ist.

Drittes Logion
Indem wir den Exzessen fernbleiben werden wir maßvoll. Und je maßvoller wir sind desto leichter fällt es uns der Gier nach Exzessen nicht nachzugeben. Das gleiche gilt für den Mut: Um ihn zu erlangen müssen wir die Angst verachten, und ihr widerstehen. Wenn wir Mut erlangt haben so fällt es uns leichter der Angst Widerstand zu leisten.

Viertes Logion
Ein Mann, der vom Weine betrunken ist, fällt nach vorn, weil sein Kopf schwer wird. Hingegen fällt ein Mann, der sich an Bier betrunken hat, auf den Rücken, denn er ist gänzlich betäubt. Der Wein macht die Männer auch sehr gefühlvoll. Der Beweis dafür ist, dass der betrunkene Mann dazu geneigt ist Küsse zu tauschen - sogar auf den Mund - mit jenen, bei denen er es nicht täte, wäre er nüchtern geblieben.

Fünftes Logion
Der Logos hat das Universum aus den 4 Elementen erschaffen und gab ihm dann eine Seele, die alles in Bewegung setzte. Dann ordnete er die Elemente so an, dass sie in einer Beziehung zueinander standen. Das Feuer umgibt die Luft, die Luft umfasst das Wasser und das Wasser umschließt die Erde. Anschließend umhüllte der Logos alles mit der vereinigenden Macht des göttlichen Äthers.

Sechstes Logion
Die Logik besagt, dass alle Menschen gleichermaßen willig sind, etwas zu lernen. Wissen ist das Ergebnis rationaler Vorführung, denn die Vorführung ist ein Syllogismus, der Wissen produziert. Um aber das natürliche Bedürfnis des Menschen nach Wissen zu erfüllen braucht es den logischen Beweis, denn der Effekt kann als solcher nicht ohne seine Ursache existieren.

Siebtes Logion
Wenn ich eine höhere Aussage habe, dass alle Menschen sterblich sind und meine niedere Aussage besagt, dass alle Griechen Menschen sind, so ist der logische Syllogismus meiner Aussage: Alle Griechen sind sterblich. Jedoch gehen meine Aussagen in Wahrheit soweit, dass sie syllogistisch die Unsterblichkeit des ersten Bewegers der Welt bestätigen.

Achtes Logion
Die politische Analyse lehrt uns, dass eine Gesellschaft, in der einige großen Wohlstand haben und andere nichts besitzen, in die schlechteste From der Demokratie, eine ungezügelte Oligarchie oder eine unerträgliche Tyrannei mündet. Es ist dies das notwendige Ergebnis zweier entgegengesetzter Extreme.

Neuntes Logion
Die poetische Sprache muss zwei Qualitäten aufweisen: sie muss verständlich und über die gemeine Sprache erhaben sein. Sie wird verständlich sein, wenn alle Worte in ihrem buchstäblichen Sinn gebraucht werden, doch dann hat sie nichts, was über die Verständlichkeit hinaus ginge. Sie ist erhaben über die gemeine Sprache, wenn man außergewöhnliche Worte gebraucht. Damit meine ich, Fremdworte, Metaphern, verlängerte Worte, kurz gesagt: alles, was nicht zur gemeinen Sprache zählt. Doch wenn die Sprache nur aus solchen Worten besteht, ist sie ein Rätsel oder eine andauernde Barbarei. Ein Rätsel, wenn jedes Wort eine Metapher darstellt; eine Barbarei, wenn alles ganz fremdartig ist.

Zehntes Logion
Der Mensch ist ein Lebewesen mit Sprache und ein politisches Tier. Jeder Mensch trägt die Veranlagung zum Menschlichen. Er muss sie allerdings umsetzen, und diese Umsetzung besteht darin, dass er am politischen Leben der Stadt teilnimmt. Die Sprache nimmt dabei eine fundamentale Rolle ein, sie erlaubt es der Stadt zu existieren. Folglich bedeutet außerhalb der Stadt zu leben, dass man entweder ein Tier oder Gott ist.

Elftes Logion
Nur ein gläubiger Philosoph richtet seinen Blick auf die Natur der Dinge und das Göttliche in ihnen. Wie ein guter Führer hat er die Prinzipien seines Lebens fest mit den unveränderlichen und ewigen Wahrheiten verschränkt, sich im Frieden verankert und lebt von Angesicht zu Angesicht mit seinesgleichen. Diese Einsicht ist kontemplativ, doch gleichzeitig tief im Leben der Stadt verwurzelt. Diese Wissenschaft ist Weisheit, und sie erlaubt uns alles zu tun, indem wir uns nach ihr richten.

Zwölftes Logion
Der politische Mensch muss die Natur der Gerechtigkeit als solcher kennen, um zu bestimmen, was richtig und angemessen ist. Die Gerechtigkeit an sich war bereits den ersten lebenden Wesen aufgrund ihrer göttlichen Natur gegeben. Folglich darf die Gerechtigkeit nicht auf eine Anzahl positiver Rechte reduziert werden, ganz gleich wie vielzählig sie auch sein mögen, denn damit würde dem Wesen der ewigen Gerechtigkeit nicht genüge getan. Welche Ungerechtigkeit könnte schlimmer sein als eine solche, welche die Waffe in der Hand führt.

Dreizehntes Logion

Die Qualität des sprachlichen Ausdrucks zeigt sich darin, dass sie eindeutig ist, ohne in die Gemeinsprache zu verfallen. Deshalb sage ich: Wenn Gott mir eines Tages das Geheimnis des Universums offenbart, so werde ich in seinem Angesicht geloben ins Kloster zu gehen.

Vierzehntes Logion
Dass der Mensch ist was er ist liegt in seiner Natur. Doch es sind seine Handlungen die bestimmen ob er glücklich ist oder nicht. Da ich nicht der geeignete bin, um die Gefühlswelt zu durchdringen, wird Gott Euch nach mir Christos geben.

Fünfzehntes Logion
Bei der Untersuchung der materiellen Wirklichkeit unterscheide ich vier Ursachen. Nehmt zum Beispiel eine Statue. Die Materialursache: die Materie, aus der die Sache gemacht ist, in diesem Fall Marmor. Es ist die Ursache, in der alle möglichen Folgen und Unregelmäßigkeiten der Sachen angelegt sind. Allerdings ist die Materie "resistent" dagegen, in eine Form gebracht zu werden. Die Form unterliegt nämlich nicht den Beschränkungen der Materie. In ihr realisiert sich der Zufall, aus ihr resultieren die "Unfälle". Die Formalursache: die Form, welche der Bildhauer der Materie gibt. Die Finalursache: Der Zweck, zu dem man die Materie in Form bringt. Nichts geschieht ohne einen Zweck. Die Wirkursache: die Aktivität des Bildhauers, die Materie zu bearbeiten. Denn jede Entwicklung erfordert einen Antrieb, der sie in Gang setzt. Ein Ding kann eine Vielzahl von Ursachen haben, doch nicht im selben Sinne.

Sechzehntes Logion
Jede Form der Kunst und Forschung, schlicht jedes Handeln und jede Absicht, tendiert, so scheint es, zu etwas Gutem. Folglich haben wir guten Grund, das Gute zu definieren: es ist die perfekte Tugendhaftigkeit und das Licht der Sonne, dem wir in all unserem Wirken zugeneigt sind.

Siebzehntes Logion
Einer, der vom höchsten Logos gesandt ist, wird meine Arbeit vervollständigen und der Menschheit den Weg weisen auf einen göttlichen Pfad der goldenen Mitte innerhalb der Wirren, welche der zukünftige Streit der Ideen mit sich bringt. Er und seine Nachfolger werden die perfekte Stadt bauen und ebenso ein universelles Gerüst, das noch über das Tyrrhenische Meer hinaus wirken wird und letztlich die ganze Menschheit erstrahlen lässt.

Achtzehntes Logion
Das Glück ist eine Frage der Sichtweise, von jener der Weise sich bemühen sollte, sie einzunehmen.

Neunzehntes Logion
Die sichtbare Schönheit ist ein Bildnis der ewigen Schönheit, welches die Seele immer schon gesehen hat UND die Dinge sind die Abbildungen von Ideen. Die Schönheit ergibt sich aus bestimmten Proportionen und bestimmten Maßen, sowie einem harmonischen Rhytmus.

Zwanzigstes Logion
Die Metaphysik ist die Wissenschaft dessen, was die Eigenschaft des Seiens ist: vom Sein des Seiens. Sie ist die Wissenschaft der ersten Ursachen und die Wissenschaft dessen, was die Eigenschaft des Seiens ist: vom Sein des Seiens.

Einunzwanzigstes Logion
Das Wesen der Dinge liegt in den Dingen selbst, und gibt ihnen ihre Form. Das göttliche Wesen ist allmächtig UND das Wesen der Dinge liegt in den Dingen selbst, und gibt ihnen ihre Form.

Zweiundzwanzigstes Logion
Der Logos, bedeutet in meiner Metaphysik, das oberste Wort, das schöpferische und rationelle Prinzip, der Grund der Welt, wie sie in sich die ewigen Ideen enthält, Archetypen aller Dinge.

Übersetzt von Ysabet und Countess.Kathleen, Korrektur und Glättung von Sophia_elisabeth und Kettlin


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