L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[neyco]

Jusqu'ici elle n'avait point vu de soucis à ce qui s'était déroulée des années plus tôt. Elle se souvenait parfaitement des échanges avec SE Bender, que tout irai bien et que c'était avant tout le fait qu'elle ne pouvait plus officier qui risquait de lui changer plus les choses. Jusque là il avait eu raison car jamais elle avait prit plus de renseignement sur ça.

Un interdit, rien que le mot c'était vilain.

Il y a quelques mois plus pour faire plaisir que pour elle même, elle avait prit la plume et fait une demande et là coup de grâce la réalité des choses. Son interdit concernait aussi sa vie privée.

Sur le coup elle avait fait comme si de rien était, sauf que cela l'avait rongé ne sentant pas si entière que cela finalement. Il lui manquait ce petit quelque chose. Autre point, en étant interdite pouvait elle toujours guider ceux le désirant? Pouvait elle être marraine pour les fidèles?
Elle avait eu réponse, mais encore une fois, il y avait toujours le coté privé.

Aussi après une longue réflexion, elle avait décidé de franchir le cap. Bagage en main, la mini s'était retrouvée à Rome afin de faire une demande, une chambre alloué pour quelques jours et ainsi elle alla sur le lieu des demandes.
Avisant d'une alcôve libre, elle posa sa requête.

Le Bonjorn, je suis Neyco de Fronsac, je souhaite m'entretenir avec quelqu'un vis à vis d'un interdit à mon sujet.

Préférant rassurer son interlocuteur.

Je ne suis pas excommunié et suis bien toujours fidèle.

C'est que dans la vie il y avait des fous qui étaient accro aux bûchers. L'un de ses mentors religieux en faisant partie sait on jamais.
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[Arnault d'Azayes]

Le petit clerc qui occupait l'alcôve abordée par Neyco hocha la tête et, après avoir bredouillé quelques mots dans un atroce sabir moitié français moitié vieux napolitain, se dirigea vers les locaux de travail de l'Inquisition. Plusieurs minutes s'écoulèrent avant qu'il ne revienne, seul, comme il en était parti. Le message qu'il portait fut énoncé dans cette langue si particulière qui résultait de l'acculturation typiquement romaine entre des menus clercs issus de l'Italie et des puissants cardinaux venus de France :

« - Il Seignor Sua Éminença Arnalto vous récévra en pérson. Souivet-moi. »

C'est alors que le clerc se fraya un chemin à travers un dédale de couloirs protégés par des gardes suisses qui ouvraient la voie à la Première Secrétaire d'État. Ils arrivèrent finalement à la porte d'un salon, qui s'ouvrit après que le clerc eut frappé trois coups sur la porte. Celui-ci indiqua alors à Neyco qu'elle pouvait entrer seule.
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Mort des cardinaux von Frayner et d'Azayes

[neyco]

La patience est une vertu, elle l'avait dit le matin de son départ à l'un de ses amis qui craignait de ne pas voir ses projets aboutir. Aussi lorsqu'elle vit l'homme partir porter le message, la mini pensait attendre un bon moment cherchant déjà mentalement un lieu pour prendre place sans déranger. Sauf que, à Rome on est parfois surprit et pas qu'un peu mais surtout en bien.
Craignant déranger du monde il semblait qu'elle puisse être reçu. Levant les yeux au ciel, nul doute que c'était un message voilà, il avait fallut qu'elle patiente, et sa patience était récompensée? Aucune idée.
En tout cas c'est apaisée qu'elle suivit le clerc à travers le dédale des couloirs Romain.

Mercé à vos.

Simple discret, la mini biscuit s'inclina devant son guide par respect et politesse pour l'office qu'il avait accomplit.
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