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[RP de l'été] Une sombre nuit d'été.
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Rehael



Inscrit le: 16 Sep 2007
Messages: 13676
Localisation: Roma

MessagePosté le: Lun Aoû 15, 2016 4:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Franciscus :

A cette heure tardive, une grande partie des clients a déserté la taverne. Ne restent que les poivrots, les joueurs de cartes, quelques brigands en train de préparer quelques tristes méfaits. Ayant réussi a vous faire progressivement accepter par cette galerie de sinistres personnages, la plupart d'entre eux ne prêtent même pas attention au prélat blessé que vous ramenez dans le taverne.

Le patron, habitué à rafistoler ses clients après les innombrables bagarres d'ivrognes et règlements de comptes, monnaie courante dans son établissement, examine la blessure d'Arnarion d'un air blasé. Grâce à la bonne étoile d'Arnarion - ou était-ce une intervention du Très-Haut ? - aucun organe ni artères majeures n'ont été touchés par la dague, le cardinal ayant simplement perdu beaucoup de sang. Le patron consent à apporter de quoi cautériser la plaie, ainsi que des bandages. Vous passez une bonne partie de la nuit à soigner le cardinal, avant de le raccompagner jusqu'à ses appartements avant que le jour ne se lève.

Melian :

La fouille de la rue ne se révèle pas si infructueuse que cela. Vous retrouvez la dague qui a servi à poignarder Arnarion. Celle-ci porte un étrange emblème : une ville en flamme, devant laquelle se trouve une croix aristotélicienne rayonnante, surplombée par un masque. Vous n'avez jamais vu quoi que ce soit qui ressemble à un tel emblème jusqu'à présent. La fouille du cadavre ne vous apporte aucune effectivement autre information notable, si ce n'est que l'assaillant était un homme d'une quarantaine d'année, qui vous est totalement inconnu.

Votre recherche du camerlingue se révèle en revanche bien inutile. Les deux autres assaillants semblent avoir disparu avec le prélat, sans laisser de trace. Vous passez toute la nuit à fouiller le quartier, recherchant des traces ou des témoins. Malheureusement pour vous, les rues sont vides - aucun témoin n'ayant assisté à la scène - et s'il y a eu des traces, la pluie torrentielle s'est chargée de les effacer. Votre seul réconfort est de vous dire que si les gaillards ont pris la peine de transporter le camerlingue avec eux, il est probable que celui-ci soit toujours en vie, quelque part.

Que faire à présent ? Comment le retrouvez ? Devriez vous informer la Curie de la disparition du Camerlingue ? Au moment où de nombreux troubles éclatent dans le monde aristotélicien, la nouvelle tomberait très mal et provoquerait probablement une secousse néfaste pour l’Église. C'est avec ces questions en tête que vous regagnez le palais pontifical.

Arnarion :

Ces quelques heures de repos auraient pu vous être bénéfiques...si vous n'aviez pas fait un terrible cauchemar.

En songes, vous vous voyez survoler la Cité Éternelle ravagée par les flammes. A mieux y regarder, ce sont des torrents de flammes qui descendent d'un ciel ayant pris la couleur du sang, tandis que les principaux monuments de la ville s'effondrent un à un, comme des châteaux de cartes.

Votre cauchemar vous emmène devant une Place d'Aristote dévastée. Sur les marches d'une Basilique Saint Titus qui s'effondre, vous reconnaissez le Camerlingue. A genoux, celui-ci semble pleurer à chaudes larmes. Derrière lui, vous apercevez une procession de moines fous et hilares. L'ensemble de la Place d'Aristote finit engloutie par la terre, vous y compris. Avant de sombrer, vous apercevez un homme, secouant la tête d'un air triste. Sans savoir comment, vous reconnaissez Oane.

C'est avec ces images en tête que vous vous réveillez en sursaut et dégoulinant de sueur, les lueurs de l'aube transperçant les persiennes. La vue de Franciscus qui vous a soigné et veillé toute la nuit vous rassure, mais vous gardez les terribles images en tête.

Arnarion, Franciscus, Melian.

Le soleil se lève sur la Cité Éternelle, alors que la pluie vient juste de s'interrompre. Quelques sombres nuages continuent toutefois de planer sur la ville, étendant une ombre menaçante.

Melian rejoint Arnarion et Franciscus dans les appartements du jeune cardinal. Deux nonnes viennent vous servir un petit-déjeuner, avant de s’éclipser. Il est temps pour vous de faire le point.

Primha.

Depuis votre arrivée à Rome, vous vous sentez très seule, loin de votre famille restée en Béarn. Vous êtes très proche de votre cousin Arnarion, mais depuis son élection au rang de cardinal, celui-ci semble toujours très occupé et n'a guère de temps à consacrer à quoi que ce soit. Vous avez toutefois décidé d'aider votre cousin à déménager ses affaires dans ses nouveaux appartements. Vous vous imaginiez pouvoir ainsi passer un peu plus de temps avec lui, mais c'était vous faire de bien grandes illusions.

Pour sa première nuit au Palais pontifical, votre cousin n'a rien trouvé d'autre à faire que d'aller faire une balade nocturne sous la pluie. Vous avez bien songé à le suivre, mais le temps de chien et l'orage tonitruant vous en ont dissuadé. Vous avez donc passé la nuit tranquillement installée dans la chambre d'ami. Au petit matin, vous ne pouvez-vous empêcher de surprendre le conciliabule entre votre cousin et deux inconnus, le premier semblant être un moine, tandis que la seconde est vêtue de l'armure des chevaliers francs.

---

Translation coming soon.
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Franciscus_bergoglio



Inscrit le: 01 Avr 2013
Messages: 1862

MessagePosté le: Ven Aoû 19, 2016 10:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Franciscus était en train de sortir de la taverne quand le patron qui était resté dans le derrière de la taverne entré dans la salle, et il coula le Cardinal couché sur une des basses tables de sa taverne et les il approcha.Il été habitué à rafistoler ses clients après les innombrables bagarres d'ivrognes et règlements de comptes, et, écartée la femme, il examine la blessure de l'homme d'un air blasé.

Père, il disait votre ami est très chanceux ou son étoile l'a embrassé cette nuit: aucun organe ni artères majeures ont été touchés. Il faut simplement de cautériser la plaie pour éviter qu'il meure s'épuisé. Il a déjà perdu trop de sang!.

Franciscus soupira profondément:
"Est-ce que vous vous avez quelque chose pour cautériser la blessure? Est-ce que vous auriez manière d'aider je? Est-ce que vous pourriez puis m'aider à emmener mon ami dans ma pièce?"

"Père aucun problème pour cautériser la blessure... mais je crois qu'il serait mieux, entre quelque heure, de lui porter dans ses appartements plutôt que le tenir ici... Je ne voudrais pas que ces qu'il a attenté à sa santé il revînt...

Ayant dit ça, Franciscus passa bonne partie de la nuit à soigner le Cardinal jusqu'à quand, en remarquant une certaine amélioration dans ses conditions, décidées que c'était le moment de faire accompagner le Cardinal dans ses appartements.
Il se fit aider d'un groupe d'hommes que le patron lui avait trouvé et qu'il s'était offert de les récompenser avec un petit déjeuner à leur retour.

Ainsi, de bonne heure et avant que le jour ne se lève, le Cardinal faisait retour au Palais.


Franciscus was going out of the inn when the boss who had remained in behind of the inn entered the room, and he poured the Cardinal slept on one of the low tables of his inn and he approached. He been used to patch up his customers after drunkards' uncountable fights and settlings of scores, and, moved away the woman, he examines the wound of the man of a bored looking.

Father, he said your friend is very fortunate or his star kissed him this night: neither any organ nor major arteries were touched. It is simply necessary to cauterize the wound to avoid that he dies exhausted. He has already lost too much blood!.

Franciscus sighed profoundly:
" Do you have anything to cauterize the wound? Would you help me? Could you then help me to take my friend in my room? "

" Father no problem to cauterize the wound but I believe that it would be better, in some hour, to carry him in his apartments rather than hold him here... I would not that who infringed in his health, re-came here...

Having said that, Franciscus spent a longpart of the night to care the Cardinal until, noticing a certain improvement in his conditions, he decided that it was the moment to move the Cardinal in his apartments.


_________________

Gran Priore dell'Ordine Francescano - Prefect of the Saint Office - General Vice-Prefect of the Office of the Villa San Loyats.
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Melian



Inscrit le: 05 Juin 2007
Messages: 8838

MessagePosté le: Sam Aoû 27, 2016 11:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Alors qu'elle progressait dans une obscurité quasi totale, elle aperçut un éclat et s'approcha avec précaution. Elle découvrit une dague couverte de sang. Elle la prit et l'examina. Elle fronça les sourcils en découvrant d'étranges motifs gravés sur la lame. Elle n'avait jamais rien vu qui ressemble à cela, et pourtant elle en avait vu des choses en huit ans de métier... Entre ça et l'inconnu notoire qu'elle avait abattu, le mystère s'épaississait.

Elle glissa l'arme dans une poche de sa cape, et poursuivit ses recherches. Durant la nuit entière, sous une pluie battante, elle explora les lieux sans rien trouver de plus. Pas le moindre indice, et personne qui puisse, ni veuille, lui fournir la moindre piste.

Elle s'en retourna donc chez elle, l'esprit troublé. S'ils l'avaient emmené c'est qu'ils avaient besoin de lui vivant. Pourquoi ? Un chantage ? Une rançon ? Des informations ? Elle ne comprenait pas, cela n'avait aucun sens.

Ses suivantes s'affolèrent lorsqu'elle franchit le pas de la porte, tant de son état que de l'heure de son retour. Elles l'aidèrent à se sécher et se réchauffer, puis Melian alla prendre deux heures de repos, tourmentée de mille questions.

A son réveil, elle réfléchit en prenant sa collation matinale. Vers qui se tourner ? Elle décida de parler de ses découvertes à Son Eminence Arnarion, pour le peu que son état le lui permette, ce dont elle souhaitait de toute manière s'enquérir.

Une fois prête, elle alla donc à ses appartements. Elle se présenta aux gardes en faction, et attendit qu'on l'autorise à entrer.

*********************************************************************


While she progressed in an almost total darkness, she saw a brightness and approached carefully. She discovered a dagger covered with blood. She took it and examined it. She frowned, discovering strange drawings on the blade. She had never seen nothing which looked like this, and nevertheless she had seen so many things in eight years of job... Between that and the nototrious unknown she killed, the mystery thickened.

She slid the weapon in a pocket of her cape, and pursued her searches. During the whole night, she explored the place without finding anything. Not the slightest clue, and nobidy who can, nor wants, gave her the slightest track.

She thus turned back to her home, her spirit disturbed. If they had taken him, it's because they needed him alive. Why ? A blackmail ? A ransom ? Informations ? She did not understand, it didn't make any sense.

Her servants panicked when she crossed the doorstep, because of her state and the hour of her return. They helped her to dry and warm herself, then Melian went to take two hours of rest, tourmented by one thousand questions.

When she awaked, she thought while she was taking her morning meal. Who can she turn to ? She decided to speak about her discoveries to His Eminence Arnarion, as his state allows it, what she anyway wished to ask.

Once ready, she went to his apartments, she presented herself at the guards in faction, and waited the authorization to come in.

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