L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR
Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game
 
Lien fonctionnel : Le DogmeLien fonctionnel : Le Droit Canon
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

Hagiographie de l'Apôtre Calandra

 
Poster un nouveau sujet   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Le Dogme - The Dogma
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
vincent.diftain



Inscrit le: 10 Déc 2006
Messages: 7213
Localisation: Champagne

MessagePosté le: Ven Fév 22, 2008 1:22 pm    Sujet du message: Hagiographie de l'Apôtre Calandra Répondre en citant



Citation:


Les Apôtres
Hagiographie de la Sainte Apôtre Calandra



Sa vie avant Christos

Il est dit que sa jeunesse passée dans une famille pauvre et maigre eut un effet important sur la vie de Calandra. Peut être apprit elle a être humble et pieuse, de par sa famille ou selon les circonstances, ou peut être le seigneur Dieu lui même lui donna ces qualités. Sans se soucier de l'origine de ses qualités, les origines de ses enseignements dans les choses spirituelles peuvent être retracées jusqu'a sa plus tendre enfance.

Elle fut donnée au temple d'Aristote pour son apprentissage des matières de l'esprit, car c'était une des rares voies pour sortir de la pauvreté en ce temps là. Elle apprit des prêtres de ce temple et les servit pendant un temps, toujours s'abreuvant de la moindre goutte de savoir comme le vêtement sec boit l'eau. Etre une adepte de l'apprentissage ne la rendit cependant pas populaire parmi ses camarades étudiants, et même de certains prêtres.

Dans sa seizième année le prêtre doyen du temple lui dit qu'elle était requise ailleurs, à cause de son savoir et de sa passion pour lui. On lui donna quelques morceaux de nourriture pour se nourrir durant le voyage, et on lui donna une direction vers une ville dans le désert. Aussitôt et en toute confiance elle se lance dans ce périple, ne se doutant jamais des mauvaises intentions de ses aînés.
Elle se rendit dans le désert, conservant sa nourriture et son eau car elle était d'origine modeste, mais même ainsi elles se tarirent bien avant qu'elle n'atteigne la ville qui n'apparaissait pas.
Pendant de nombreux jours elle erra en maintenant toujours la direction que lui avait indiqué le prêtre doyen du temple, jamais sa foi ne vacilla. Ce fut le quarantième jour, bien longtemps après la fin de sa nourriture, et de nombreux jours après que les dernières gouttes de son eau eurent été bues, qu'elle vit une ville à l'horizon.
Quand elle arriva, ce ne fut pas de sa faim ou de sa soif qu'elle s'occupa, mais elle chercha immédiatement le prêtre du village. Lorsqu'elle le trouva il lui dit qu'il ne l'avait jamais requise, ni informé qu'elle devait arriver, mais la vengeance et la colère étaient loin de son esprit, car elle savait que c'était Dieu qui l'avait envoyée, même à travers la jalousie des prêtres du temple. Ce fut là qu'elle servit pendant de nombreuses années jusqu'a ce qu'elle soit emmenée par un groupe de fidèles qui cherchaient à éduquer les païens à travers le pays.

Sa vie avec Christos

Ce fut sa capacité à amener l'animal à s'approcher de lui qui émerveilla tout d'abord Calandra, sa capacité à disperser une foule hostile avec ses mots et son refus de la violence qui scella son respect pour lui. Ce fut ce jour qu'elle et neuf autres lui vouèrent leurs vies en tant que ses apôtres. Parmi un grand nombre, elle commença à suivre Christos.

De ville en ville ils voyagèrent, répandant la sagesse d'Aristote, partageant la passion et la foi de Christos, et baignèrent le peuple dans la gloire et l'amour de Dieu Tout Puissant. Calandra était spécialement douée pour la lecture des doctrines et pour les interpréter, à les tempérer si vous préférez, avec les mots de Christos. Elle était connue pour être capable de lire les mots de la loi et de savoir leur esprit et la façon de les appliquer.

Les nombreux miracles qui eurent lieu devant ses yeux inspirèrent toujours à Calandra de parler toujours plus fort et plus passionnément à chaque fois. Les actes de Christos, la guérison des malades, la guérison des paralysés, et même rendre la vue à ceux qui ne l'avaient jamais eu, rendirent la propagation de leurs paroles plus facile. L'Amour et la Vérité furent apporté à un grand nombre de cette manière.

Ce fut alors que la troupe vint à Jérusalem, une grande ville, avec de nombreux habitants, beaucoup de pêchés et de vagabonds. et de nombreux bâtiments magnifiques. Ce fut la confrontation en ce lieu qui changea non seulement sa vie mais la vie de tant d'autres, et plus encore les conséquences. Elle ne put que rester debout à regarder le Centurion dont les pêchés furent lavés comme tant d'autres, les mots de Christos avaient encore prouvé leur véracité et l'étonnement se saisit même d'elle.

Même le soir ou Daju les quitta ne modifia leur foi que Christos était le messie, Calandra elle même trouvait ses mots sur la chasteté inspirant parce qu'elle l'avait elle même pratiquée. Le discours sur l'organisation continua tard dans la nuit, et toujours Calandra le mémorisait pour la connaissance, et son pouvoir de mémoire vivante était le don de Dieu. Le dîner qui suivit, avec la tristesse de Christos, lui apporta à elle aussi de la tristesse, car ses sentiments étaient souvent en accord avec ceux de Christos, leur mentor et maître.

Tout ce qui se passa ensuite survint trop vite pour qu'elle puisse presque en percevoir les évènements, la capture, le jugement, et la condamnation
tout concourra à la désespérer des évènements. Lorsque la crucifixion eut lieu Calandra pleura pour la première fois depuis des années, non pas seulement pour la mort elle même de Christos mais pour la perte que l'humanité venait de subir, car Il ne serait plus là pour dire la Vérité.

Les Anges qui descendirent du ciel stoppèrent tout dans le monde, et pour Calandra même les vents et la pluie cessèrent à ce moment, les cris et les acclamation du peuple furent perdus dans la musique des cieux. Ce jour n'était pas une fin mais un commencement, et cette même nuit Calandra et les autres apôtres s'affairèrent à enseigner la Vérité et à baptiser de nombreux fidèles.

Sa vie après Christos

Calanda quitta les autres après Jérusalem, recherchant la consolation dans la solitude, et retrouver la vie en continuant son enseignement. Sa mémoire l'aida énormément car elle pouvait parler des évènements de son temps aux cotés de Christos comme s'ils dataient de la veille. Elle voyagea à travers de nombreux pays, de nombreuses villes et villages, toujours diffusant la parole, baptisant les fidèles et convertis, et trouvant parmi eux les plus savants, pieux et humbles, les ordonnant prêtres de leur communauté.

Ses voyages la ramenèrent une fois à Jérusalem, une ville maudite dans son esprit, mais son chemin n'était pas tracé par sa volonté alors elle le suivit. Sur la route là bas elle rencontra une personne qui serait son compagnon pour de nombreuses années, Publia, plus tard baptisée Bertilde. Ce fut à Jérusalem qu'elle se rappela la loi des romains et la cruelle nature humaine, mais jamais sa foi ne vacilla.

Elle passa de nombreuses années de plus sur la route à travers les pays, continuant son devoir, tel que montré par Christos cette terrible nuit. Elle se fit de nombreux amis, ordonna de nombreux prêtres, et eut la joie de voir croître la foi parmi les peuples de nombreux pays. Elle trouva enfin une ville d'ou elle basa ses voyages, et s'installa ici, acquérant une propriété donnée par des croyants à son usage.

Durant les nombreuses années de son périple, elle n'avait jamais été à Rome, bien qu'elle eut la joie d'apprendre l'ascension de Titus au titre de Pape. Mais un jour une lettre vint, l'appelant là bas en raison des travaux de son compagnon Bertilde, et donc malgré son age et sa maladie les deux se préparèrent à ce qui seraient leur dernier voyage ensemble.

A la mort de Bertilde dans une ville au sud de Rome en Italie, Calandra sentit pour la première fois sa foi vaciller, mais cette foi fut vite restaurée et son but rendu limpide lorsqu'elle vit le rosier pousser sur la tombe en une nuit. Elle continua jusqu'a Rome, et présenta son projet à la chambre, puis parti puisqu'elle n'avait elle même rien à faire dans la formation d'un Ordre. Sur le chemin du retour, elle ne pouvait qu'espérer qu'elle avait parlé justement et que Jah créerait ce qu'il créerait.
Une lettre arriva après que le conseil eut pris une décision, personne ne connu jamais avec certitude la teneur de cette lettre, mais la formation officielle d'une garde épiscopale afin de suivre les idéaux de la Sainte martyre Kyrene et les enseignements de Bertilde. Calandra sut que la mémoire de son amie était honorée.


Son départ de la vie terrestre

Alors que l'age avait déjà réclamé son dû à Calandra, son corps commença à faillir, mais jamais son esprit. Alors qu'une maladie s'attaqua à ses os, les rendant fragiles et cassants, elle continua ses enseignements et à servir de guide, bien que alitée. Les rôles furent inversés, ses voyages terminés, d'autres cherchèrent le savoir et la sagesse, certains pas même encore croyants, auprès de Calandra chez elle.

C'était en ce temps que Calandra commença à écrire ses divers travaux, idées et mémoires, afin que nombreux puissent les connaître après son trépas. Aussi intelligente et savante qu'elle était, elle savait aussi que les idées ne cessaient jamais de se former, et qu'une idée pouvait souvent naître d'une autre. Ainsi ce qui était connu par cœur par la mémoire, fut transmis sur parchemin et peau animale.
Le jour de son départ débuta comme tous les autres, le soleil se leva, le vent souffla, aucun effet spectaculaire du temps ou miracle ne marqua son départ. Ce fut son serviteur, qui avait commencé à travailler pour elle, s'occuper de ses champs et faire sa nourriture, qui la trouva en apportant son petit déjeuner. La bouillie de céréale fut laissée au chevet de son lit alors que l'homme cherchait des signes de vie, mais en vain car il n'y en avait pas, son souffle avait cessé, comme son cœur, et elle avait franchi le voile et résidait aux cieux.
Ses funérailles furent une affaire simple, un simple enterrement dans son jardin, toutes les personnes de la ville y assistant, ainsi que tous ceux qui étaient venus chercher sa sagesse et son savoir. Elle ne fut pas pleurée, mais sa vie fut plutôt célébrée, les mémoires sur elle partagées et sa maison traitée avec le plus grand respect. Ses écrits réunis par certains de ses étudiants les plus assidus furent convoyés à Rome où ils résident encore ce jour.

Relique

Les restes de Calandra ont été perdus au cours des siècles. Plusieurs documents restent portant son nom.


Associations
Majeures: Enseignants et Etudiants, Voyageurs
Mineure: Missionnaires



Le Mythe de l'Ordre de la Rose Sacrée comporte un épisode de la vie de Calandra et peut être lu ici : Le Mythe de l'Ordre de la Rose Sacrée
_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Romain
Chancelier de la Sainte Inquisition
Grand Inquisiteur


Dernière édition par vincent.diftain le Sam Oct 24, 2009 3:56 pm; édité 1 fois
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Sainte Wilgeforte



Inscrit le: 17 Juil 2009
Messages: 6071

MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 2:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:


Los Apóstoles
Hagiografía de la Apóstol Santa Calandra



Su vida antes de Christos

Se dice que su juventud en una familia pobre y hambrienta tuvo un efecto importante sobre la vida de Calandra. Puede ser que aprendió a ser humilde y piadosa por su familia o según las circunstancias, o puede ser el señor Dios le dio estas cualidades. Sin preocuparse del origen de sus cualidades, los orígenes de sus enseñanzas en las cosas espirituales pueden ser encontrados mirando hacia atrás hasta tender a su infancia.

Se consagró en el templo de Aristóteles para su aprendizaje en las materias del espíritu, porque era una de las vías raras para salir de la pobreza en aquel tiempo. Se enteró de sacerdotes de este templo y les sirvió durante un tiempo, siempre saciándose de la menor gota del saber como un traje seco absorbe el agua. Sin embargo, ser una adepta al aprendizaje no le hizo popular entre sus compañeros estudiantes y hasta entre ciertos sacerdotes.

En su decimosexto año, el sacerdote rector del templo le dice que es requerida en otro lugar, a causa de su saber y de su pasión para él. Se le da algunos pedazos de comida para alimentarse durante el viaje, y se le da una dirección hacia una ciudad en el desierto. En seguida y con toda confianza se lanza a este viaje, sin jamás sospechar las malas intenciones de ellos.
Se rindió en el desierto, conservando su alimento y su agua porque ella era de origen modesto, pero aun así se secaron antes de que alcanzase la ciudad que no aparecía.

Aunque durante numerosos días erró siempre la dirección que le había señalado el sacerdote rector del templo, su fe jamás vaciló. Fue el cuadragésimo día, mucho tiempo después del fin de su alimento y de numerosos días después de que las últimas gotas de su agua hubieran sido bebidas, cuando vio una ciudad en el horizonte.

Cuando llegó, no fue de su hambre o de su sed que se ocupó, sino que buscó inmediatamente al sacerdote del pueblo. Cuando le encontró, le dijo que jamás había requerido, informado, ni que debía llegar, pero la venganza y la cólera estaban lejos de su espíritu, porque sabía que era Dios quien la había enviado, a través de los celos de los sacerdotes del templo. Fue allá dónde sirvió durante numerosos años hasta que sea llevada por un grupo fieles que procuraban educar a los paganos del país.


Su vida con Christos

Fue su capacidad de hacer que el animal se acercarse a él, la que maravilló en primer lugar a Calandra, su capacidad de dispersar a una muchedumbre hostil con sus palabras y su negativa de la violencia que le confió su respeto. Fue el día en que ella y nueve otros consagraron sus vidas como sus apóstoles. Entre un gran número, comenzó a seguir a Christos.

De ciudad en ciudad viajaron, difundiendo la sabiduría de Aristóteles, compartiendo la pasión y la fe de Christos, y bañaron al pueblo en la gloria y el amor de Dios Todopoderoso. Calandra tenía facilidad especialmente para la lectura de las doctrinas y para interpretarlos, a templarlos si usted prefiere, con las palabras de Christos. Fue conocida por ser capaz de leer las palabras de la ley y de saber el espíritu y el modo de aplicarlos.

Los numerosos milagros que se efectuaron delante de sus ojos inspiraron siempre a Calandra a hablar siempre más y más apasionadamente. Los actos de Christos: la curación de los enfermos, la curación de los paralizados, y hasta devolverles la vista a los que jamás la habían tenido, hicieron la propagación más fácil en sus palabras. El Amor y la Verdad fueron llevados a un gran número de esa manera.

Fue con la tropa a Jerusalén, una gran ciudad, con numerosos habitantes, muchos pecados y vagabundos. Y de numerosos edificios magníficos. Fue la confrontación en el lugar que transformó no sólo su propia vida, sino que también la vida de tantas otras, y más todavía las consecuencias. Pudo sólo quedar levantada mirando al Centurión cuyos pecados fueron lavados como tantos otros, y las palabras de Christos habían probado su veracidad y el asombro la acoge.

Hasta la tarde que Daju les dejó y modificó su fe de que Christos era el mesías, Calandra encontraba en las palabras sobre la castidad inspiradoras porque la había practicado. El discurso sobre la organización continuó en la tarde por la noche, y Calandra siempre lo memorizaba para el conocimiento, y su poder de memoria viva era el don de Dios. La cena que siguió, con la tristeza de Christos, le llevó también a la tristeza, porque sus sentimientos eran a menudo de acuerdo con los de Christos, su mentor y maestro.

Todo lo que pasó luego sobrevino demasiado rápido para que pueda percibir los acontecimientos: la captura, el juicio, y la condena todo concurrirá a desesperarla en acontecimientos. Cuando la crucifixión se efectuó, Calandra lloró por primera vez desde hace años, no solamente por la muerte de Christos, también por la pérdida que la humanidad acababa de sufrir, porque no estaría más allí para decir la Verdad.

Los Ángeles que descendieron del cielo pararon todo en el mundo, y para Calandra, los vientos y la lluvia cesaron en este momento, los gritos y aclamación del pueblo estuvieron perdidos en la música de los cielos. Este día no era un fin sino un comienzo, y la misma noche Calandra y otros apóstoles se comprometieron a enseñar la Verdad y a bautizar a numerosos fieles.


Su vida después de Christos

Calandra dejó otras ciudades después de Jerusalén, buscando el consuelo en la soledad, y recobrar la vida continuando su enseñanza. Su memoria le ayudó muchísimo porque podía hablar de acontecimientos de su tiempo a los seguidores de Christos como si fueran de ahora. Viajó a través de numerosos países, de numerosas ciudades y pueblos, siempre que difundía la palabra, bautizaban a los fieles y conversos, y encontraban entre ellos los más sabios, piadosos y humildes, ordenándolos sacerdotes de su comunidad.

Sus viajes la devolvieron una vez Jerusalén, una ciudad maldita en su espíritu, pero su camino no fue trazado por su voluntad, así que lo siguió. Sobre el camino encontró a una persona que sería su compañera por numerosos años, Publia, más tarde bautizada como Bertilde. Esto fue en Jerusalén dónde recordó la ley de los romanos y la naturaleza cruel y humana, pero su fe jamás vaciló.

Pasó numerosos años sobre el camino a través de los países, continuando su deber, tal como mostró Christos esa noche terrible. Se hizo numerosos amigos, ordenó a numerosos sacerdotes, y tuvo la alegría de ver crecer la fe entre los pueblos de numerosos países. Encontró por fin una ciudad donde ella basó sus viajes, y se instaló aquí, adquiriendo una propiedad que había sido usada por creyentes.

Durante numerosos años de su viaje, jamás había estado en Roma, pero tuvo la alegría de enterarse de la ascensión de Titus a título de Papa. Pero un día vino una carta, llamándola allí debido a los trabajos de su compañera Bertilde, y a pesar de su edad y su enfermedad las dos se prepararon para lo que sería su último viaje juntas.

A la muerte de Bertilde en una ciudad en el sur de Roma en Italia, Calandra sintió por primera vez su fe vacilar, pero esta fe fue rápidamente restaurada y su fin devuelto como cuando el rosal crece sobre la tumba en una noche. Continuó hasta Roma, y presentó su proyecto en la cámara, luego se fue ya que no tenía nada que hacer en la formación de una Orden. En el camino de regreso, podía sólo esperar que hubiera hablado justamente y que Jah crearía lo que crearía.
Una carta llegó después de que el consejo no hubiera tomado ninguna decisión, sin conocerse con certeza el contenido de esta carta, pero aseguraba la formación oficial de una guardia episcopal con el fin de seguir los ideales de la Santa mártir Kyrene y las enseñanzas de Bertilde. Calandra supo que la memoria de su amiga fue honrada.

Su fin en la vida terrestre

Mientras que la edad ya se había profundizado en Calandra, su cuerpo comenzó a fallar, pero jamás su espíritu. Mientras que una enfermedad atacó a sus huesos, haciéndolos frágiles y quebradizos, continuó sus enseñanzas y a servir de guía, aunque encamada. Los papeles fueron invertidos, sus viajes acabados, otros buscaron el saber y la sabiduría, y algunos creyentes siguieron cerca de Calandra en su casa.

Fue en este tiempo que Calandra comenzó a escribir sus trabajos diversos, ideas y memorias, con el fin de que numerosas personas puedan conocerlos después de su muerte. Tan inteligente y sabia como era, sabía también que las ideas jamás dejaban de formarse, y que una idea podía nacer a menudo de otra. Así lo que fue conocido de memoria por la memoria, fue transmitido sobre pergamino y piel animal.

El día de su muerte se presentó como todos los demás, el sol se levantó, el viento sopló, ningún efecto espectacular del tiempo o milagro marcó su fin. Fue su servidor, quien había comenzado a trabajar para ella, ocuparse de sus campos y hacer su alimento, que la encontró preparando su desayuno. La papilla de cereal fue dejada a la cabecera de su cama mientras que el hombre buscaba signos de vida, pero en vano porque no había, su soplo había acabado, como su corazón, y había atravesado el velo y residía en los cielos.
Sus funerales fueron un asunto simple, un simple entierro en su jardín, todas las personas de la ciudad que prestaron asistencia, así como todos los que habían venido para buscar su sabiduría y su saber. No fue llorada, sino su vida fue más bien celebrada, las memorias sobre ella compartidas y su casa tratada con respeto más grande. Sus escritos reunidos por algunos de sus estudiantes más asiduos fueron escoltados en Roma dónde residen todavía hoy día.

Reliquias

Los restos de Calandra han estado perdidos en el curso de los siglos. Varios documentos quedan que llevan su nombre.

Asociaciones

Mayores: profesores y estudiantes, viajeros
Menores: misioneros



The Myth of the Order of the Sacred Rose reports about an episode of Calandras life which you can read here: El mite de l’Orde de la Rosa Consagrada
_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
dariush
Cardinal
Cardinal


Inscrit le: 12 Jan 2009
Messages: 913
Localisation: 13, rue des Lumières Gien

MessagePosté le: Dim Mai 22, 2011 12:16 am    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:


Gli Apostoli
Agiografia di Calandra



La sua vita prima di Christos

Si dice che la sua giovinezza passata in una famiglia povera e smagrita ebbe effetti rilevanti sulla vita di Calandra. Forse le insegnò ad essere umile e pia, a causa della sua famiglia o a seconda delle circostanze, o forse il Signore Dio stesso le diede queste qualità. Senza preoccuparsi dell'origine delle sue qualità, le origini dei suoi insegnamenti nelle materie spirituali possono essere rintracciate fin nella sua tenera infanzia.

Ella fu consegnata al tempio d'Aristotele per il suo apprendimento delle materie dello spirito, poiché era una delle rare vie per uscire dalla povertà a quei tempi. Apprese dai preti di quel tempio, e li servì per un periodo, abbeverandosi sempre della minima goccia di sapere, come il vestito secco assorbe l'acqua.
Essere una adepta dell'apprendistato non la rendeva nel frattempo popolare tra i suoi compagni studenti, e anche tra alcuni preti.

Durante il suo sedicesimo anno, il priore del tempio le disse che era stata richiesta altrove, a causa del suo sapere e della sua passione per esso. Le diedero qualche pezzo di cibo per nutrirsi durante il viaggio, e le diedero una direzione verso una città nel deserto. Immediatamente e fidandosi del tutto, si lanciò in questo viaggio, mai dubitando delle cattive intenzioni dei suoi insegnanti.
Si recò nel deserto, conservando il cibo e l'acqua poiché era d'origini modeste, ma anche così il cibo finì molto rima ch'ella raggiungesse la città, che non appariva.
Per numerosi giorni ella vagò mantenendo sempre la direzione indicatale dal decano del tempio, e mai la sua fede vacillò.
Fu al quarantesimo giorno, moltissimo tempo dopo la fine del cibo, e numerosi giorni dopo che le ultime gocce della sua acqua erano state bevute, che ella vide una città all'orizzonte.
Quando arrivò, non fu della sua fame o della sua sete che essa s'occupò, ma cercò immediatamente il prete del villaggio.
Trovatolo, egli le disse che non l'aveva mai richiesta, né era stato informato del suo arrivo; ma la vendetta e la collera erano lontane dal suo spirito, poiché ella sapeva che era stato Dio ad inviarla, anche in contrasto con la gelosia dei preti del tempio. Fu lì che ella servì per numerosi anni, fino a quando fu condotta attraverso il paese da un gruppo di fedeli che cercavano di convertire i pagani.

La sua vita con Christos
Fu la sua capacità a convincere le bestie ad avvicinarsi a lui, che meravigliò inizialmente Calandra, e fu la sua capacità di disperdere una folla ostile con le sue parole, ed il suo rifiuto della violenza che suggellò il suo rispetto per lui. Fu quel giorno che lei ed altri undici votarono a lui la propria vita, come suoi apostoli. E in mezzo a un grande numero di persone, ella iniziò a seguire Christos.

Di città in città essi viaggiarono, diffondendo la saggezza d'Aristotele, condividendo la passione e la fede di Christos, e innaffiarono il popolo nella gloria e nell'amore di Dio Onnipotente. Caladra era specialmente dotata per la lettura delle dottrine e la loro interpretazione, per mitigarle se preferite, con le parole di Christos. Era conosciuta per essere capace di leggere le parole della Legge e di conoscere il loro spirito e la maniera d'applicarle.

I numerosi miracoli che ebbero luogo davanti ai suoi occhi, ispirarono sempre Calandra a parlare ogni volta sempre più forte e più appassionatamente. Le azioni di Christos, la guarigione dei malati, la guarigione dei paralitici, e ugualmente rendere la vista a coloro che non l'avevano mai avuta, resero più facile la diffusione della loro parola. L'Amore e la Verità furono portati, in questo modo, a un gran numero di persone.

Fu allora che il gruppo giunse a Gerusalemme, una grande città, con moltissimi abitanti, molti peccatori e molti vagabondi, e numerosi, magnifici, mecati. Fu il confronto in questo luogo che cambiò non solo la sua vita, ma quella di tanti altri, e soprattutto le conseguenze. Non poté che restare in piedi a guardare il Centurione, i cui peccati furono lavati come a tanti altri. Le parole di Christos avevano ancora provato la loro veridicità e lo stupore si impossessava di lei.

La stessa sera in cui Daju li lasciò, non modificò la loro fede nel fatto che Christos fosse il Messia. Calandra stessa trovò le sue parole sulla castità ispiratorie perché essa stessa l'aveva praticata. Il discorso sull'organizzazione continuò fino a notte tarda, e sempre Calandra lo memorizzò per sete di sapienza, e il suo potere di memorizzazione era un dono di Dio. La cena che seguì, con la tristezza di Christos, portò anche a lei tale tristezza; perché i suoi sentimenti erano spesso intrecciati con quelli di Christos, loro mentore e maestro.

Tutto ciò che successe in seguito avvenne troppo rapidamente perché essa potesse percepirne gli avvenimenti: la cattura, il giudizio, e la condanna.
Tutto concorse a renderla disperata per gli avvenimenti. Una volta che la crocifissione ebbe luogo, Calandra pianse per la prima volta dopo anni; non solo per la morte di Christos in sé, ma per la perdita che l'umanità aveva subito, perché Lui non sarebbe più stato li a dire la Verità.

Gli angeli che discesero dal cielo, fermarono tutto nel mondo, e per Calandra stessa i venti e la pioggia cessarono in quel momento, le grida e le acclamazioni della folla furono perduti nella musica dei cieli. Quel giorno non fu una fina ma un inizio, e quella stessa notte Calandra e gli altri apostoli si diedero da fare ad insegnare la Verità e a battezzare numerosi fedeli.

La sua vita dopo Christos

Calandra lasciò gli altri dopo Gerusalemme, cercando la consolazione nella solitudine, per ritrovare la via continuando il suo insegnamento. La sua memoria l'aiutò enormemente perché essa poteva parlare degli avvenimenti relativi al suo periodo accanto a Christos, come se risalissero al giorno prima. Viaggiò attraverso numerosi paesi, molte città e villaggi, sempre diffondendo la parola, battezzando i fedeli e i convertiti, e ordinando sacerdoti della loro comunità coloro che tra essi erano i più saggi, pii ed umili.

I suoi viaggi la riportarono una volta a Gerusalemme, una città maledetta nel suo spirito, ma il suo cammino non fu tracciato dalla sua volontà, e allora essa lo segui. Sulla strada laggiù incontrò una persona che sarebbe stato il suo compagno per numerosi anni, Publia, più tardi battezzata Bertilde. Fu a Gerusalemme che ella si ricordo della legge dei romani e della crudele natura umana, ma la sua fede non vacillò mai.

Passò numerosi anni ancora sulla strada attraverso i paesi, continuando il suo dovere, tale e quale a come le era stato mostrato da Christos in quella terribile notte.
Ella si fece numerosi amici, ordinò molti preti, ed ebbe la gioia di veder cresce la fede tra i popoli di molti paesi. Trovò infine una città dalla quale basò i suoi viaggi, e qui si stabilì, acquistando una proprietà datale da alcuni credenti perché ne facesse uso.

Durante i molti anni del suo viaggio, ella non era mai stata a Roma, anche se aveva avuto la gioia di apprendere dell'ascesa di Titus al titolo di Papa. Ma un giorno le giunse una lettera, che la richiamava lì in ragione dei lavori della sua compagna Bertilde, e dunque malgrado la sua età e la sua malattia, i due si prepararono a quello che sarebbe stato l'ultimo viaggio insieme.

Alla morte di Bertilde, in una città a sud di Roma, in Italia, Calandra sentì per la prima volta la fede vacillare, ma questa volta fu subito restaurata e il suo scopo reso limpido quando vide un roseto nascere sulla tomba in una notte. Ella continuò fino a Roma, e presentò il suo progetto al Cenacolo: la formazione di un Ordine Religioso; poi, partì poiché aveva molto da fare.
Sul cammino del ritorno, poteva solo sperare d'aver agito con rettitudine e che Dio avesse compiuto tali cose.
Una lettera arrivò dopo che il Cenacolo prese una decisione. Nessuno sa con certezza il contenuto di questa lettera, ma dalla informazione di una guardia episcopale fedele agli ideali della Santa Martire Chirene, Calandra seppe che la memoria e gli insegnamenti della sua amica Bertilde furono onorati.

La sua dipartita dalla vita terrestre

Quando l'età aveva già reclamato il suo debito a Calandra, il suo corpo cominciò a decadere, ma mai il suo spirito. Quando una malattia si attaccò alle sue ossa, rendendole fragili, ella continuò i suoi insegnamenti ed a guidare gli altri, anche se costretta a letto. I ruoli furono invertiti, i suoi viaggi terminati, altri cercarono il sapere e la saggezza, alcuni non ancora credenti ora venivano presso la casa di Calandra.

Fu in quel tempo che Calandra cominciò a scrivere le sue opere, idee e memorie, in modo che molti potessero conoscerli dopo il suo trapasso. Intelligente e sapiente per com'era, sapeva anche che le idee non smettevano mai di formarsi, e che un'idea poteva spesso nascere da un'altra. Così ciò che era conosciuto e tramandato a memoria, fu trasmesso su pergamena e pelli d'animale.
Il giorno della sua morte iniziò come tanti altri, il sole s'alzò, il vento soffiò, nessun effetto spettacolare del tempo o miracoli segnarono la sua morte.
Fu il suo servitore,che aveva cominciato a lavorare per lei, ad occuparsi dei suoi campi e prepararle il pranzo, a trovarla mentre le portava la colazione.
La poltiglia di cereali fu lasciata al capezzale del letto, mentre cercava segni di vita, ma invano poiché ella non ne mostrava, il suo respiro era cessato, come il battito del suo cuore, ed ella aveva spiccato il volo e risiedeva nei cieli.
I suoi funerali furono spartani, un semplice interramento nel suo giardino, con tutte le persone della città ad assistere, così come tutti quelli ch erano venuti a cercare la sua saggezza ed il suo sapere.
Non fu pianta, ma la sua vita fu piuttosto celebrata, le memorie su di lei furono condivise e la sua casa fu trattata col massimo rispetto. I suoi scritti, riuniti da alcuni dei suoi studenti più assidui, furono inviati a Roma, dove si trovano tuttora.

Reliquie
I resti di Calandra sono stati persi nel corso dei secoli. Molti documenti, recanti il suo nome, permangono.

Patronati
Maggiori: Insegnanti e Studenti, Viaggiatori
Minore: Missionari




Il mito dell'Ordine della Sacra Rosa riporta un episodio dalla vita di Calandra che può essere letto qui: Il Mito del Santo e Nobile Ordine della Sacra Rosa
_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé MSN Messenger
Ariberto



Inscrit le: 21 Mar 2011
Messages: 304

MessagePosté le: Ven Sep 30, 2011 8:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:


Els Apòstols
Hagiografia de l’Apòstol Santa Calandra



La seva vida abans de Christós

Hom diu que la seva jovenesa en una família pobre i famolenca va tenir un efecte cabdal sobre la vida de Calandra. Pot ser que aprengués a ser humil i piadosa per la seva família o per les circumstàncies, o pot ser que Nostre Senyor li donés aquestes qualitats. Sense preocupar-nos per l’origen de les seves qualitats, els orígens de les seves ensenyances en quant a tot allò relacionat amb l’espiritualitat poden ser trobats mirant cap enrere sense arribar a la infantesa.

Va consagrar-se al temple d’Aristòtil per al seu aprenentatge en matèries de l’esperit, per què era una de les vies més estranyes per a sortir de la pobresa d’aquell temps. Va assabentar-se’n de qui eren alguns dels sacerdots d’aquest temple i els va servir durant un temps, sadollant el saber amb la mínima gota com un vestit sec absorbeix l’aigua. No obstant això, ésser una adepta a l’aprenentatge no la va fer gaire popular entre els seus companys estudiants i, fins i tot, entre alguns sacerdots.

Al seu setzè any, el sacerdot rector del temple li va dir que la requerien a un altre lloc, a causa del seu saber i de la passió en vers aquest. Va donar-li una mica de menjar per al camí i una direcció cap a una ciutat del desert. De seguida, i amb tota confiança, va fer-se al camí sense sospitar de les males intencions que guardava el rector.
Va rendir-se al desert, conservant el menjar i l’aigua, car era d’origen humil, tot i que es van assecar abans d’arribar a la ciutat desapareguda.

Tot i que va deambular durant força dies, sempre en la direcció senyalada pel sacerdot rector del temple, la seva fe mai no va defallir. Va ser el quarantè dia, força temps després que s’acabés el menjar i uns quants dies després que les últimes gotes d’aigua foren begudes, quan va veure una ciutat a l’horitzó.


Quan va arribar, no va ser de la gana i de la set del que es va preocupar, sinó que va anar a cercar al sacerdot del poble. Quan el va trobar, el sacerdot va dir-li que ell mai l’havia requerit, ni que havia estat informat de la seva arribada, ni de què ho havia d’arribar, però la venjança i la còlera estaven lluny del seu ànim, per què sabia que era Déu qui l’havia enviada, a través de les enveges dels sacerdots del temple. Va ser allà on va servir nombrosos anys fins que va ser duta per un grup de fidels que procurava educar els pagans del país.


La seva vida amb Christós

Va ser la capacitat de fer que l’animal s’acostés a ell el que va meravellar, en primer lloc, a Calandra. La seva capacitat de dispersar la multitud hostil amb les seves paraules i la seva negativa a la violència va ser el que li va conferir el seu respecte. Va ser el dia en que ella i els altres nou van consagrar les seves vides com a apòstols. Entre un gran nombre va començar a seguir a Christós.

Van viatjar de ciutat en ciutat, difonent la saviesa d’Aristòtil, compartint la passió i la fe de Christós i van omplir al poble en la glòria i l’amor de Déu Totpoderós. Calandra tenia facilitat, especialment, per a la lectura de les doctrines i, per tal d’interpretar-los, o entendre’ls si ho preferiu, s’ajudava de les paraules de Christós. Va ser coneguda per ser capaç de llegir les paraules de la llei i del saber de l’esperit i de saber aplicar-les.

Els nombrosos miracles que es van efectuar davant dels seus ulls va inspirar sempre a Calandra a parlar sempre més i més apassionadament. Els actes de Christós: la cura de malalts, la cura de paralítics i fins i tot el fet de retornar la vista als qui mai l’havien tingut van fer més fàcil la propagació de la seva paraula. L’Amor i la Veritat van ser duts a un gran nombre de persones d’aquesta manera.

Va anar amb el grup a Jerusalem, una gran ciutat, amb nombrosos habitants, molts pecats i pidolaires, i nombrosos edificis magnífics. Va ser la confrontació de la ciutat l que va transformar, no només la seva vida, sinó també la de tantes altres i tantes més conseqüències. Només la va retornar a la realitat el veure al Centurió els pecats del qual van ser absolts com van ser absolts tants altres, i les paraules de Christós que havien provat la seva veracitat i la sorpresa que l’acollia.

Fins la tarda en què Dajú els va deixar i va canviar la seva fe respecte a que Christós era el Messies, Calandra trobava en les seves paraules sobre la castedat inspiradores, car ella l’havia practicada. El discurs sobre l’organització va continuar fins la nit, i Calandra sempre ho memoritzava per al coneixement; el seu coneixement de memòria viva era un do de Déu. El sopar va prosseguir, amb la tristesa de Christós, la qual va transmetre-li, per què els seus sentiments, sovint, eren iguals que els de Christós, el seu mentor i mestre.

Tot el que va succeir més tard va passar massa ràpid com per a què pogués percebre els esdeveniments: la captura, el judici i la condemna van dur-la a la desesperació. Quan van dur a terme la crucifixió, Calandra va plorar per primera vegada des de feia anys, no només per la mort de Christós, també per la pèrdua que acabava de patir la humanitat, per què ell ja no estaria mai més allà per a predicar la Veritat.

Els Àngels que van descendir del cel van paralitzar tot el món i, per a Calandra, els vents i la pluja van cessar en aquell moment; els crits i les exclamacions del poble van quedar perduts en la música celestial. Aquell dia no era el fi, sinó un començament, i aquella mateixa nit Calandra i la resta d’apòstols es van comprometre a ensenyar la Veritat i a batejar nombrosos fidels.


La seva vida després de Christós

Calandra va deixar altres ciutats després de Jerusalem, cercant sempre el consol en la solitud i va recobrar la vida continuant amb l’ensenyança. La seva memòria la va ajudar moltísim per què podia parlar Calandra dels esdeveniments que va passar amb els seguidors de Christós com si els estès vivint. Va viatjar per molts països, per nombroses ciutats i pobles, batejava fidels i conversos i buscava en ells els més savis, piadosos i humils, per tal d’ordenar-los sacerdots de les seves comunitats.

Els seus viatges la van dur, de nou, a Jerusalem, una ciutat maleïda en el seu esperit, però el seu camí no el va traçar voluntàriament, així que el va seguir. Sobre el camí va trobar una persona que seria la seva companya durant molts anys, Publia, la qual va batejar com Bertilde. Això va ser a Jerusalem, on va recordar al rei la llei dels romans i la natura cruel i humana, car la seva fe mai no havia vacil•lat.

Va passar nombrosos anys als camins a través de països, continuant amb el seu deure, tal com va dir Christós aquella nit terrible. Va fer nombrosos amics, va ordenar molts sacerdots i va tenir l’alegria de veure com creixia la fe entre els pobles de infinitat de països. Va trobar, per fi, una ciutat on va acabar els viatges i s’hi va instal•lar, adquirint una propietat que havia sigut utilitzada per creients.

Durant els molts anys de viatge, mai havia estat a Roma, però va tenir l’alegria d’assabentar-se’n de l’ascens de Titus al títol de Papa. Però un dia li va arribar una carta, convocant-la allà a causa dels treballs de la seva companya Bertilde i, a pesar de la seva edat i la seva malaltia, les dos es van preparar per al que seria el seu últim viatge juntes.

A la mort de Bertilde, a una ciutat al sud de Roma, Calandra va sentir, per primer cop, que la seva fe vacil•lava, però aquesta va ser ràpidament restaurada i la seva finalitat retornada com quan un roser creix, de la nit al dia, sobre una tomba. Va continuar fins a Roma i va presentar el seu projecte al Senat i després va marxar, car ja no hi tenia res més a fer, per formar una Orde. En el camí de tornada només podia esperar que hagués parlat justament i que Jah faría el que calgués.

Va rebre una carta després que el consell prengués una decisió, d’algú que mai va tenir la certesa que aquella carta arribà al seu destí, assegurant la formació oficial d’una guàrdia episcopal amb la finalitat de seguir els ideals de la Santa màrtir Kyrène i les ensenyances de Bertilde. Calandra va saber, aleshores, que la memòria de la seva amiga havia estat honorada.


El seu fi a la vida terrestre

Mentre que l’edat ja calava en Calandra el seu cos va començar a fallar, però no el seu esperit. Mentre que la malaltia atacava els seus óssos, fent-los fràgils i trencadissos, va continuar les seves ensenyances i fent de guia, tot i que ho feia enllitada. Els papers van ser invertits, aleshores: els seus viatges van acabar, però altres en la recerca del saber i la saviesa i alguns creients anaven a la recerca de Calandra a casa seva.

Va ser en aquest temps que Calandra va començar a escriure els seus diversos treballs, idees i memòries, amb la finalitat que molta gent pogués conèixer-los després de la seva mort. Tan intel•ligent i sabia com n’era, sabia també que les idees no deixaven mai de formar-se i que una idea podia néixer, sovint, d’una altra. Així que el va ser conegut de boca en boca, va ser transcrit sobre pergamí i pell animal.

El dia de la seva mort es va presentar com tots els altres: el sol va llevar-se, el vent va bufar i cap efecte espectacular del temps o del miracle van marcar el seu fi. Va ser un servidor, qui havia començat a treballar per a ella, tot ocupant-se dels seus camps i de preparar-li el menjar, qui la va trobar mentre preparava l’esmorzar. Va deixar les farinetes al capçal del seu llit mentre l’home procurava de trobar senyals de vida, però en va, car no hi havia. El seu alè havia conclòs, com el seu cor, i havia travessat el vel per a residir al Paradís Solar.
Les seves exèquies foren simples, un simple enterrament al seu jardí, amb tota la gent de la ciutat que es va presentar, així com tots els qui havien anat a la recerca de saviesa i del seu saber. Ningú no la va plorar, sinó que més aviat es va celebrar la seva vida, i les seves memòries i la seva casa van ser tractades amb el major dels respectes. Els seus escrits van ser reunits per alguns dels estudiants més habituals i foren escortats fins a Roma, on encara hi romanen avui dia.


Relíquies

Les restes de Calandra s’han perdut en el transcurs dels segles. Força documents queden avui en dia que duen el seu nom.

Associacions

Majors: professors i estudiants, viatgers
Menors: missioners



Traduït al català pel Reverendíssim Pare Abat Ignius de Muntaner.



The Myth of the Order of the Sacred Rose reports about an episode of Calandras life which you can read here: El mite de l'Orde de la Rosa Sagrada
_________________

Préfet de la Villa San Loyats, Théologue du Saint-Office, Doyen du Saint-Dominique, Évêque de Lucca
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé MSN Messenger
Feliciana



Inscrit le: 28 Nov 2013
Messages: 770

MessagePosté le: Dim Fév 05, 2017 4:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant


Citation:

Die Apostel
Hagiographie der Heiligen Apostel Kalandra




Ihr Leben vor Christos

Laut Überlieferung war Kalandras Kindheit sehr durch ihre ärmlichen und kargen Familienverhältnisse geprägt. Vielleicht wurde sie von ihrer Familie oder den Umständen gelehrt so demütig und fromm zu sein. Vielleicht war sie auch mit diesen Eigenschaften durch GOTT beschenkt. Gleichgültig woher ihre Begabung stammte, die Herkunft ihrer spirituellen Bildung wurde in ihrer frühen Kindheit nachgewiesen.

Sie wurde in den Tempel von Aristoteles gebracht, um die Philosophie zu lernen, denn zu jener Zeit war dies einer der wenigen Möglichkeiten den Weg aus der Armut zu erlangen. Sie bediente für einige Zeit die Priester des Tempels, lernte von ihnen und sog jeden Tropfen Wissen auf, so wie trockene Kleidung es mit Wasser tut. Wohl durch ihr Gechick im Lernen war sie nicht gerade beliebt bei ihren Mitschülern, aber auch bei einigen Priestern nicht.

In ihrem sechzehnten Lebensjahr wurde ihr vom Ältesten der Priester des Tempels gesagt, dass ein anderer Ort besser für sie wäre, da ihr Wissen und ihre Leidenschaft dafür dort vertieft werden könnte. Es wurde ihr ein kleiner Vorrat an Waren als Nahrung und Schutz für ihre Reise mitgegeben, und sie damit in eine Stadt in der Wüste geschickt. Sogleich machte sie sich voller Vertrauen auf die Reise, und erahnte die böse Absicht ihrer Lehrer nicht.

Sie zog aus in die Wüste und sparte dabei an Wasser und Essen, weil sie aus so bescheidenen Verhältnissen kam. Aber sie ging lange ehe sie herausfand, dass die Stadt nicht aufzufinden war. Sie wanderte viele Tage, immer die Richtung einhaltend, die sie durch den ältesten Priester ihres alten Tempels genannt bekommen hatte, und ihr Vertrauen schwankte nicht ein einziges Mal. Es war der vierzigste Tag, lange nachdem das letzte Essen verzehrt und viele Tage nachdem das letzte Wasser getrunken war, als sie eine Stadt am Horizont auftauchen sah.

Als sie ankam waren es nicht Hunger oder Durst, welches ihr Sorge bereitete, sondern sie suchte sofort den Priester der Stadt. Als sie ihn fand wurde sie darüber informiert, dass er nie nach ihr gefragt oder man ihn darüber informiert hatte, dass sie kommen würde. Aber Rache und Zorn blieben ihrem Geist fern, da sie wusste, dass es GOTT war, der sie, aller Eifersucht der Priester des Tempels zum Trotz, hierher geschickt hatte. Sie diente dort viele Jahre lang, bis sie von einer Reisegruppe von Gläubigen mitgenommen wurde, welche den Glauben durch die Lande verbreiten wollte.


Ihr Leben mit Christos

Als erstes erstaunte Kalandra darüber, dass die Tiere zu ihm kamen. Die Fähigkeit eine feindselige Menge allein mit Worten zu zerstreuen und Gewalt vollkommen abzulehen, besiegelten ihren Respekt für ihn. Das war der Tag an dem sie, und neun andere, ihr Leben als Apostel an ihn versprachen. Als eine von vielen folgte sie nun Joshua Christos.

Sie reisten von Stadt zu Stadt, verbreiteten die Weisheiten Aristoteles, teilten die Leidenschaft und den Glauben von Christos und führten andere in die Herrlichkeit und Liebe Gottes ein. Kalandra war besonders begabt im vortragen der Dogmen und der Interpretation derselben, vermischte sie sozusagen mit den Worten Christos. Sie war bekannt als jemand, welche die Worte des Gesetzes, seinen Geist und seine Anwendung verstand.

Zahlreiche Wunder, welche vor ihren Augen stattfanden, inspirierten Kalandra dazu immer stärker und leidenschaftlicher zu den Menschen zu sprechen. Die Handlungen von Christos, in denen er Kranke heilte, die Lahmen wieder gehen konnten, sogar Blinde ihr Augenlicht zurück bekamen, vereinfachten es Kalandra ihre Worte noch besser zu verbreiten. Die Liebe und die Wahrheit wurde auf diese Art und Weise zu vielen Menschen gebracht.

Zu dieser Zeit erreichte die Gruppe Jerusalem, eine große Stadt mit vielen Einwohnern und zahlreichen herrlichen Gebäuden, aber voller Sünder und Landstreichern. Es war die Begegnung welche sie dort hatten, die nicht nur ihr sondern das Leben vieler verändern sollte, und die Konsequenzen würden unermesslich sein. Sie konnte nur dastehen und zusehen, als der Zenturio mit dem Wasser des Lebens gesegnet wurde. Wie viele Male zuvor hatte sich Christos Wort als wahr erwiesen, und Begeisterung ergriff selbst sie.

Auch jener Abend, an dem Daju sie verließ, veränderte ihren Glauben an Christos nicht, und dass er der Messias war. Kalandra fand auch seine Worte über Keuschheit sehr inspirierend, da sie dies selbst schon lange praktizierte. Die Diskussion über die Organisation der Kirche ging bis spät in die Nacht weiter, und stets erinnerte sich Kalandra daran, denn bestehendes Wissen und das Sammeln von neuem Wissen war ihr Gottesgeschenk. Das Essen, welches danach folgte, und bei dem Christos voller Trauer war, brachte auch Traurigkeit über sie, denn ihre Stimmung wurde oft von jener des Joshua Christos, ihrem Mentor und Führer, beeinflusst.

Alles danach geschah viel zu schnell, sodass sie die Ereignisse, wie die Gefangennahme, das Verfahren, die Verurteilung und die daraus entstandene Verzweiflung, nicht wirklich erfassen konnte. Als die Kreuzigung bevorstand, weinte Kalandra das erste Mal seit vielen Jahren. Nicht über den Tod Christos, sondern über den Verlust, den die Menschheit damit erlitten hat, da er nicht mehr da war, um seine Wahrheiten verbreiten zu können.

Die himmlischen Heerscharen, welche zu Christos Körper herabstiegen, hielten die Welt für Kalandra an. Selbst Wind und Regen hielten einen Moment inne, die Schreie und Rufe der Menschen verloren sich im Klang der himmlischen Musik der Engelschöre. Dieser Tag war kein Ende, aber der Anfang davon, dass Kalandra und andere Apostel jede Nacht damit beschäftigt waren die Wahrheit zu lehren, und zahlreiche Gläubige zu taufen.


Ihr Leben nach Christos

Kalandra trennte sich nach Jerusalem von den anderen, suchte Trost in der Einsamkeit, um das Leben wiederzufinden, damit sie das Lehren fortsetzen konnte. Ihr Gedächtnis hatte ihr enorm dabei geholfen, um über ihre Zeit mit Christos und die Geschehnisse in dieser Zeit zu sprechen, als wären diese erst am Tag davor geschehen. Sie reiste durch zahlreiche Länder, Städte und Dörfer, immer die Worte verbreitend, taufte die Gläubigen und die Bekehrten, stets auch danach trachtend die Kenntnisreichsten, Frommsten und Bescheidensten unter ihnen zu finden, um sie zu Priestern ihrer Gemeinschaft zu machen.

Ihre Reise führte sie eines Tages zurück nach Jerusalem, der verfluchten Stadt ihrer Erinnerung, doch ihr Weg war nicht durch ihren Geist oder ihre Absichten bestimmt, und so folgte sie ihm. Dort auf der Straße traf sie eine Person, welche lange Jahre ihre Weggefährtin sein würde. Publia, welche sie später auf den Namen Bertilde taufte. In Jerusalem selbst erinnerte sie sich an die Herrschaft der Römer und die grausame Natur der Menschen, jedoch wankte sie niemals in ihrem Glauben.

Sie verbrachte noch viele Jahre damit durch die Lande zu reisen, tat ihre Pflicht, wie es von Christos in dieser schicksalhaften Nacht bestimmt worden war. Sie gewann viele Freunde, ordinierte zahlreiche Priester und erfreute sich daran, den Glauben unter den Völkern vieler Länder wachsen zu sehen. Sie fand schließlich eine Stadt, wo sie sich ansiedelte, schuf dort eine Basis für ihre Reisen, indem sie jenes, von einem Gläubigen gespendete Haus, für ihren Gebrauch annahm.

Während all der vielen Jahre ihres Dienstes war sie niemals in Rom, obwohl sie sich über die Mitteilung von Titus Enennung zum Papst freute. Doch eines Tages kam ein Brief, welcher, aufgrund des Wirkens durch sie und ihrer Gefährtin Bertilde, ihre dortige Anwesenheit forderte. Also bereiteten sich die Beiden trotz ihres Alters und Krankheit zusammen auf die letzte gemeinsame Reise vor.

In einer italienischen Stadt südlich von Rom verstarb Bertilde. Nach ihrem Tod empfand Kalandra erstmals Zweifel an ihrem Glauben, doch dieser erfüllte sie bald wieder und schnell wurde auch ihr Ziel klar, als sie auf dem Grab einen über Nacht gewachsenen Rosenbusch sah. Sie begab sich nach Rom und brachte dort ihre Idee vor, dann ging sie aber wieder, da sie selbst mit der Bildung eines Ordens nichts zu tun hatte. Auf dem Weg zurück in ihre Heimat konnte sie nur hoffen, dass sie wahrhaftig gesprochen hatte, und dass Gott schaffen würde, was ER damit erschaffen wollte.

Nachdem der Rat eine Entscheidung getroffen hatte erreichte sie ein Brief. Niemand kannte mit Sicherheit den Inhalt dieses Schreibens, aber die offizielle Gründung der bischöflichen Garde nach den Idealen der heiligen Märtyrerin Kyrene und den Lehren der Bertilde würde stattfinden. Kalandra wusste somit das Andenken an ihre Freunde in Ehren gehalten.


Ihr Verlassen des irdischen Lebens

Als das Alter anfing Kalandra zu fordern begann auch ihr Körper zu versagen, doch niemals ihr Verstand. Eine Krankheit begann an ihren Knochen zu nagen, sodass sie spröde wurden und leicht brachen. Obwohl bettlägrig setzte sie ihre Lehre und Führung fort. Die Rollen wurden dabei vertauscht, ihre Zeit als Reisende hatte ein Ende gefunden. Die Suchenden nach Wissen, Weisheit und Glauben kamen nun zu ihr ins Haus, auch jene die noch nicht gläubig waren.

Es war während dieser Zeit, als Kalandra begann ihre verschiedenen Arbeiten, Ideen und Erinnerungen aufzuschreiben, sodass ihr Wissen nach ihrem Ableben erhalten blieb. So intelligent und klug wie sie war, wusste sie auch, dass Ideen nie aufhörten sich weiter zu entwickeln, und dass die Gedanken des Einen durch andere erweitert werden konnten. Folglich wurde alles aus dem Gedächtnis heraus auf Pergament und Tierhäuten festgehalten.

Der Tag ihres Fortganges begann wie jeder andere, die Sonne ging auf, der Wind wehte, keine spektakulären Wetterereignisse oder Wunder würden ihren Tod begleiten. Es war ihr Bediensteter, der angefangen hatte für sie zu arbeiten, ihre Felder bestellte und das Essen kochte, welcher dies entdeckte, als er ihr das Frühstück brachte. Der Getreidebrei wurde am Kopfende des Bettes stehen gelassen, als er nach Lebenszeichen suchte, aber es war nichts zu spüren. Ihr Atem stand still und ebenso ihr Herz, sie hatte den Schleier durchschritten und befand sich nun im Himmel.

Ihre Beerdigung war eine bescheidene Angelegenheit, ein einfaches Begräbnis in ihrem Garten. Von jeder Person in der Stadt besucht, und alle jenen, die ihre Weisheit und ihr Wissen gesucht hatten. Sie wurde nicht betrauert, sondern eher ihr Leben gefeiert, Erinnerungen an sie geteilt und ihr Haus wurde mit größtem Respekt behandelt. Ihre Schriften, welche einige ihrer regelmäßigen Studenten und Besucher sammelten, wurden nach Rom gebracht, wo sie sich heute noch befinden.


Reliquien
Die sterblichen Überreste Kalandras sind im Laufe der Jahrhunderte verloren gegangen.
Einige Dokumente sind verblieben und tragen ihren Namen als originalem Verfasser.

Gemeinschaften
Bedeutend: Lehrer und Studenten, Reisende
Zweitrangig: Missionare



Übersetzt von Kettlin nebst Glättung, Fehlerkorrektur von Feliciana



Der Mythos des Orden der heiligen Rose berichtet über einen Teil von Kalandras Leben, den ihr hier lesen könnt: Der Mythos des Orden der heiligen Rose
_________________
Feliciana Maria Colonna
National Elector-Cardinal
Suffragan-Bishop of Regensburg
Prefect of the Villa San Loyats
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Le Dogme - The Dogma Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com