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[RP] Aristote et la politique ? Oui, ca existe.

 
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hadrien_marcus



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MessagePosté le: Lun Oct 15, 2012 5:15 am    Sujet du message: [RP] Aristote et la politique ? Oui, ca existe. Répondre en citant

Je tiens à m'excuser encore de la forme de ce document, qui n'est peut-etre pas très agréable pour les yeux. La recherche théologique dans le dogme aristotélicien et dans le grec des écrits originaires d'Aristote a été grande pour faire ce document, qui est certainement court en comparaisons de nombreux ouvrages dogmatiques. De plus, je viens le présenter dans l'Antichambre de l'Office théologique Romain.

Donc nous espérons que celui-ci soit apprécié.

Citation:
-Aristote et le politique -

Combien de fois entendez-vous que l'Église Aristotélicienne Romaine ne doit pas se mêler des affaires politiques? Combien de fois entendez-vous que le pouvoir politique et le pouvoir religieux ne sont pas mêlés ensemble dans un entremêlements? Souvenez vous des arguments des hommes politiques, des politiciens et divers démagogues, pas ce que je qualifie d'Étatiste. L'étatiste est l'humain dont l'objectif supérieur est le bonheur, un but a atteindre selon Aristote, le sien et celui de tous les humains de sa société par le fait politique.

Aristote, philosophe important de l'Église Aristotélicienne romaine n'a jamais parlé que l'Église et l'État laic doit être séparé. Ni lui, ni Christos. Souvenez-vous de Christos qui fût arrêté par des soldats romains et s'est laissé emprisonné car il savait fort bien que la Vertu ecclésiastique et tout l'enseignement de l'Église Aristotélicienne étaient bien plus importants que le pouvoir exécutif romain et qu'il ne fallait pas guerroyer avec la politique des hommes. Pourquoi ne fallait-il pas guerroyer contre les soldats, malgré qu'il faut défendre la Vray Foy?

Aristote est le fils d'un médecin royal et est lui-même médecin. Sa vision est celui d'un diagnosticien. Il cherche a trouver des solutions, des maladies et une bonne forme physique à ses différentes analyses politiques, donc nous parlons de son livre, le politique. Dans son existence, nous savons également qu'il a travaillé sur toutes les constitutions des cités grecques pour en constituer une classification importante. Hélais, nous n'avons que des fragments de son travail. Par contre, heureusement pour nous, nous savons qu'il classifie qu'il y a trois bonnes formes de gouvernement : La monarchie, la république et l'Aristocratie. Il classe la tyrannie, l'oligarchie et la démocratie dans les mauvaises formes de gouvernement. Il indique tout de même dans son Politique, qu'il est parfois nécessaire de recourir à une mauvaise forme de gouvernement dans certains cas de crises. Lorsqu'il parle des citoyens et de la constitution, il distingue ainsi de nombreuses excellences « l’excellence du citoyen est nécessairement fonction de la constitution. Et puisqu’il y a plusieurs sortes de constitutions, il est évident qu’il n’est pas possible qu’il y ait pour le bon citoyen une excellence unique, l’« excellence parfaite » [1]

Pour Aristote, la politique est une caractéristique humaine fondamentale, intérieure à l'être humain. Il n'existe que deux catégories dont la politique n'est pas une caractéristique humaine fondamentale. Les bêtes et Dieu, qui peuvent être en marge de la politique.[2][3]. L’homme est donc naturellement un « animal politique »[4]car c'est grâce au langage qui lui permet de s’organiser en stade sociétal et en faisant reculer ainsi ses instincts bestiaux[5] le langage permet de distinguer ce qui est bon et ce qui est le tort, le juste et l’injuste ou le bien et le mal[6], mais aussi de partager les différences de ceux-ci en catégories et en substance.. Ainsi, l'humain utilise sa parole pour '' vivre '' sa nature sociale à l’intérieur de la communauté aristotélicienne. En conséquence, la politique est naturelle et est le devenir dans le monde humain. Le discours politique se distingue de celui juridique qui est tributaire de syllogismes.

Le caractère social de l'homme reconnu par Aristote est également raconté par le livre [Aristote] Dialogues XII - L'ermite du Livre 2, le Duo Prophétique dans la Vitae d'Aristote dans le dogme Aristotélicien et pouvant être à l'étude.

Qu'est-ce que pouvez en retenir? La politique est un discours très important pour Aristote, car cela permet aux humains de différencier la moralité de l’immoralité et des différentes conceptualisations qui doivent être régulariser dans tous bons aristotéliciens. La politique est même naturelle. Aristote est un constitutionnaliste, il a classifié et documenté de nombreuses constitutions, ce qui démontre un intérêt important pour ce type de documents et surtout lorsqu'il considère que même s'il y a trois formes de bons gouvernements et de mauvais gouvernements dans ses différents ouvrages, le meilleur est selon lui, le régime mixte chapeauté par une constitution. [7][8]
[1] Aristote, Politique, III, 4, 3, 1276-b.
[2] Aristote, Politique,I, 487 b 33-488 a 13.
[3]Aristote, Politique, I, 1253 a 3-4.
[4]Aristote, Politique, I, 1253 a 2-3.
[5]Aristote, Politique, I, 1253 a 7-9

[6]Aristote, Politique, I, 1253 a 11-18.
[7]Aristote, Politique, III, 6, 1279 a.
[8]Aristote, Politique , I, 1253 a 5-6 et a 32-39.

Jamais, jamais et jamais Aristote dans son discours politique a annoncé qu'il fallait DISCOCIER le pouvoir religieux et le pouvoir laic. De plus, Aristote reconnaît l'unicité de la Divinité, qui est commune à tous les deux pouvoirs, dont celui laic nécessite une sacralisation de son pouvoir pour le conformer.

"Certes, je le peux, par ce syllogisme enfantin : une cause finale est une intelligence pure, une divinité. Si on remonte l’ordre des causes et des effets, on ne trouve qu’une seule cause finale. Donc Dieu est unique." [Aristote] Dialogues VIII - L'Unité de Dieu, Livre 2. Le Duo prophétique, la Vitae d'Aristote.

De plus, Aristote lui-même tente de faire constituer une Cité idéale pour les fidèles aristotéliciens pour favoriser leur vivre et ce dans une forme de régime mixte, une méritocratie, la véritable aristocratie selon Aristote et d'une démocratie, car le peuple souhaite donner son opinion, ce que lui-même reconnaît dans ses discours politiques par la nature sociale de l'homme. Nous allons citer tout l'extrait du document concerné.


'' Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur age, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."

Sargas : "Croyez-vous, maître ? N’est-ce pas là un simple songe ?"

Aristote : "Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une prémonition. Et je veux m’en assurer par moi même. J’ai fait mon temps ici, et de ta condition de disciple, tu vas passer maître. Le lycée t’appartient."

Sargas : "Comment, maître ? Mais j’ai encore beaucoup à apprendre."

Aristote : "De moi, non, mon cher ami."

Et le maître, toujours aussi grave, laissa Sargas décontenancé, pour s’intéresser aux préparatifs de son voyage en orient… ''

Ce document se retrouve dans [Aristote] Dialogues XI - Le songe, qui est un discours dans le Livre 2, le Duo prophétique dans la Vitae d'Aristote.

Aristote est l'un des deux philosophes aristotéliciens, dont l'Église Aristotélicienne romaine tire son nom et également une grande partie de son origine par les différents discours politiques et sociaux, dont de la morale et de l’immoralité.

Il est ainsi totalement faux d'affirmer que l'Église et le pouvoir Laic sont dissociable et le but unique de l'Église est d'organiser les baptêmes, les funérailles et les mariages dans une ministérielle civile. Au contraire, nous, nous qui somme l'auteur de ce document, noble laic, nous voyons toute l'unicité de ce pouvoir par le Tout. Le libre arbitre des hommes a fait que la nécessité de la politique soit vitale et fondamentale pour l'existence de la sociabilité humaine. Sauf qu'est-ce qui fait un bon citoyen ou un mauvais citoyen, ce qui fait mener ce citoyen au Paradis Solaire ou à l'enfer lunaire, ne vient pas du fait de sa fortune ou de la longueur de sa titulature. [ 9]

Non, il provient de sa moralité, de sa recherche du bonheur et de sa participation à la vie Aristotélicienne. C'est un dualisme extrêmement important que seule l'Église Aristotélicienne Romaine peut intervenir, dans la protection de l'âme.

La politique peut mener à la corruption. [10] [11]


[9][Aristote] Dialogues X - La morale , Livre 2, le Duo prophétique, la Vitae d'Aristote.
[10]Aristote, Politique, III, 9, 1280 ( voir aussi V, 1, 1301 a-b).
[11]Aristote, Politique,, IV, 2, 1289 b.

En ce qui concerne la moralité, seule l'Église Aristotélicienne Romaine peut enseigner celle-ci dans ses différents sacrements et dans l'éducation qu'elle donne aux enfants et aux adultes qui souhaitent adhérer à la communauté aristotélicienne et ainsi sauver leur âme lors du jugement, dont le seul juge est le Juge Divin, le Créateur de Toutes-Choses.

La politique ne peut pas ainsi mener a elle-même, par uniquement des gens laics, à la bonne conduite des affaires gouvernementales. Car les différents acteurs laics vont nécessairement, à court, moyen ou long termes souhaiter travailler dans l'obtention de récompenses, ce qui est la corruption et également le népotisme. L'Église est là afin de rappeler la moralité pour le Salut de l'äme des fidèles et ainsi protéger le politique du politique en installer une mesure de poids et contrepoids. La démocratie qui vire à la démagogie est ainsi considérée comme une mauvais forme de gouvernement, ce que nous avons déjà parlé dans notre texte.

Ce texte a été rédigé pour démontrer qu'il n'y a pas de séparations entre le pouvoir public, le pouvoir des laics et le pouvoir de la religion. C'est une fable pour que les différents laics tentent d'utiliser en tant que bouclier et d'épée dans leur verbe, dans leur bouche, pour écarter la religion du politique et ainsi s'attribuer eux-même la gouvernance sans les repentances des prêtres. Les ordonnés doivent savoir ce problème, tenter de le résoudre par le Verbe et les Écrits sacrés et également de comprendre que la politique est ainsi, est moral et est nécessaire à la vie humaine. Il est nécessaire également de rappeler que la Société humaine a besoin des ordonnés pour le Salut des hommes et de freiner également les intérêts personnels qui peuvent corrompent les bons gouvernements, la monarchie, la république et l'aristocratie en mauvais gouvernements qui sont la tyrannie, la démocratie et l'oligarchie.

Nous en profitons pour rappeler que Aristote a créer les sciences politiques par ses différentes analyses, par son études des constitutions, il a également immiscer un nouvel art, celui du constitutionnaliste, documents de plus en plus utilisés dans les concordats aristotéliciens, sous une forme de traités de diplomatiques et également de véritables constitutions, en grandes chartes dans les différents royaumes, empires et même a l'intérieur de ceux-ci, les comtés.

Nous en profitons également pour rappeler que Aristote a parlé de nombreuses choses, grâce à son esprit encyclopédique et analytique, ce qui provient du fait qu'il était un médecin et a fait de nombreux discours sur l'économie, dont nous pouvons également établir quelques recherches.

Nous espérons que ce document soit apprécié et a demandé de nombreuses heures et journées de recherche pour fournir ceux-ci en aide à l'Église Aristotélicienne Romaine.

Écrit le 10 octobre 1460, publié le 15 octobre de la même année.
Prince Hadrien Marcus Von Ostenmark-Sparte, Prince de Dinant.
Archidiacre.

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MessagePosté le: Mer Oct 17, 2012 3:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le padré, préfet du Saint Office, avait prit la plume pour répondre à Son Altesse. Courrier lui fut promptement envoyé afin de lui dire que osn texte serait examiné au Saint Office.
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Alexandre.M.de.Sparte



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MessagePosté le: Mer Fév 28, 2018 2:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le Duc immédiat vient voir un membre pourpre de l'Église pour voir comment le travail de son père, qui était entre temps devenu Saint Empire, puis décédé, avait fini.

L'Église devenait forte et faible en même temps par ses détracteurs et ceux qui voulaient séparer le monde entre deux pouvoirs.

Citation:


Aristote et le politique

Combien de fois entendez-vous que l'Église Aristotélicienne Romaine ne doit pas se mêler des affaires politiques? Combien de fois entendez-vous que le pouvoir politique et le pouvoir religieux ne sont pas mêlés ensemble dans un entremêlements? Souvenez vous des arguments des hommes politiques, des politiciens et divers démagogues, pas ce que je qualifie d'Étatiste. Les différents royaumes dressent des Concordats ou des limites législatifs au pouvoir de l'Église sur le principe que l'Église est le pouvoir spirituel et eux le pouvoir temporel. Le Royaume de France dont les souverains étaient autrefois sacrés ne sont plus sacrés. La France refuse même que l'Église puisse disposer d'un pouvoir fiscal et d'imposition sur ce principe. L'étatiste est l'humain dont l'objectif supérieur est le bonheur, un but a atteindre selon Aristote, le sien et celui de tous les humains de sa société par le fait politique.

Aristote, philosophe important de l'Église Aristotélicienne romaine n'a jamais parlé que l'Église et l'État laic doit être séparé. Ni lui, ni Christos. Souvenez-vous de Christos qui fût arrêté par des soldats romains et s'est laissé emprisonné car il savait fort bien que la Vertu ecclésiastique et tout l'enseignement de l'Église Aristotélicienne étaient bien plus importants que le pouvoir exécutif romain et qu'il ne fallait pas guerroyer avec la politique des hommes. Pourquoi ne fallait-il pas guerroyer contre les soldats, malgré qu'il faut défendre la Vray Foy?

Aristote est le fils d'un médecin royal et est lui-même médecin. Sa vision est celui d'un diagnosticien. Il cherche a trouver des solutions, des maladies et une bonne forme physique à ses différentes analyses politiques, donc nous parlons de son livre, le politique. Dans son existence, nous savons également qu'il a travaillé sur toutes les constitutions des cités grecques pour en constituer une classification importante. Hélas, nous n'avons que des fragments de son travail. Par contre, heureusement pour nous, nous savons qu'il classifie qu'il y a trois bonnes formes de gouvernement : La monarchie, la république et l'Aristocratie. Il classe la tyrannie, l'oligarchie et la démocratie dans les mauvaises formes de gouvernement. Il indique tout de même dans son Politique, qu'il est parfois nécessaire de recourir à une mauvaise forme de gouvernement dans certains cas de crises. Lorsqu'il parle des citoyens et de la constitution, il distingue ainsi de nombreuses excellences « l’excellence du citoyen est nécessairement fonction de la constitution. Et puisqu’il y a plusieurs sortes de constitutions, il est évident qu’il n’est pas possible qu’il y ait pour le bon citoyen une excellence unique, l’« excellence parfaite » [1]

Pour Aristote, la politique est une caractéristique humaine fondamentale, intérieure à l'être humain. Il n'existe que deux catégories dont la politique n'est pas une caractéristique humaine fondamentale. Les bêtes et Dieu, qui peuvent être en marge de la politique.[2][3]. L’homme est donc naturellement un « animal politique »[4]car c'est grâce au langage qui lui permet de s’organiser en stade sociétal et en faisant reculer ainsi ses instincts bestiaux[5] le langage permet de distinguer ce qui est bon et ce qui est le tort, le juste et l’injuste ou le bien et le mal[6], mais aussi de partager les différences de ceux-ci en catégories et en substance.. Ainsi, l'humain utilise sa parole pour '' vivre '' sa nature sociale à l’intérieur de la communauté aristotélicienne. En conséquence, la politique est naturelle et est le devenir dans le monde humain. Le discours politique se distingue de celui juridique qui est tributaire de syllogismes.

Le caractère social de l'homme reconnu par Aristote est également raconté par le livre [Aristote] Dialogues XII - L'ermite du Livre 2, le Duo Prophétique dans la Vitae d'Aristote dans le dogme Aristotélicien et pouvant être à l'étude.

Qu'est-ce que pouvez en retenir? La politique est un discours très important pour Aristote, car cela permet aux humains de différencier la moralité de l’immoralité et des différentes conceptualisations qui doivent être régulariser dans tous bons aristotéliciens. La politique est même naturelle. Aristote est un constitutionnaliste, il a classifié et documenté de nombreuses constitutions, ce qui démontre un intérêt important pour ce type de documents et surtout lorsqu'il considère que même s'il y a trois formes de bons gouvernements et de mauvais gouvernements dans ses différents ouvrages, le meilleur est selon lui, le régime mixte chapeauté par une constitution. [7][8]

[1]Aristote, Politique, III, 4, 3, 1276-b.
[2]Aristote, Politique,I, 487 b 33-488 a 13.
[3]Aristote, Politique, I, 1253 a 3-4.
[4]Aristote, Politique, I, 1253 a 2-3.
[5]Aristote, Politique, I, 1253 a 7-9

[6]Aristote, Politique, I, 1253 a 11-18.
[7]Aristote, Politique, III, 6, 1279 a.
[8]Aristote, Politique , I, 1253 a 5-6 et a 32-39.


Jamais, jamais et jamais Aristote dans son discours politique a annoncé qu'il fallait DISCOCIER le pouvoir religieux et le pouvoir laic. De plus, Aristote reconnaît l'unicité de la Divinité, qui est commune à tous les deux pouvoirs, dont celui laic nécessite une sacralisation de son pouvoir pour le conformer.

"Certes, je le peux, par ce syllogisme enfantin : une cause finale est une intelligence pure, une divinité. Si on remonte l’ordre des causes et des effets, on ne trouve qu’une seule cause finale. Donc Dieu est unique." [Aristote] Dialogues VIII - L'Unité de Dieu, Livre 2. Le Duo prophétique, la Vitae d'Aristote.

De plus, Aristote lui-même tente de faire constituer une Cité idéale pour les fidèles aristotéliciens pour favoriser leur vivre et ce dans une forme de régime mixte, une méritocratie, la véritable aristocratie selon Aristote et d'une démocratie, car le peuple souhaite donner son opinion, ce que lui-même reconnaît dans ses discours politiques par la nature sociale de l'homme. Nous allons citer tout l'extrait du document concerné.


'' Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur age, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."

Sargas : "Croyez-vous, maître ? N’est-ce pas là un simple songe ?"

Aristote : "Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une prémonition. Et je veux m’en assurer par moi même. J’ai fait mon temps ici, et de ta condition de disciple, tu vas passer maître. Le lycée t’appartient."

Sargas : "Comment, maître ? Mais j’ai encore beaucoup à apprendre."

Aristote : "De moi, non, mon cher ami."

Et le maître, toujours aussi grave, laissa Sargas décontenancé, pour s’intéresser aux préparatifs de son voyage en orient… ''

Ce document se retrouve dans [Aristote] Dialogues XI - Le songe, qui est un discours dans le Livre 2, le Duo prophétique dans la Vitae d'Aristote.

Dans cette idéalisation de la Cité idéale, qu'on peut extrapoler au pouvoir royal car autrefois les Citées étaient des Citées-États, Aristote utilise la forme de gouvernement de l'Aristocratie chapeauté par une Constitution. C'est cette Constitution qui fait que chaque classe a un objectif particulier et un rôle pour la bonne marche de la Cité. En tant que médecin royal, politologue, constitutionnaliste, philosophe, on va même dire ici prophète, il avait établi un système politique disposant d'un pouvoir temporel et un pouvoir spirituel. C'est d'une logique implacable lorsqu'on se souvient qu'il n'y a pas très longtemps, les souverains étaient tous sacrés pour la bonne conduite du royaume. À quoi sert de sacrer un souverain si cette cérémonie religieuse et politique n'a pas pour objectif de sacraliser le pouvoir politique temporel par le pouvoir politique spirituel ? C'est inutile. C'est justement parce que dans la réalité du monde, le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel doit faire qu'Un.

Aristote est l'un des deux philosophes aristotéliciens, dont l'Église Aristotélicienne romaine tire son nom et également une grande partie de son origine par les différents discours politiques et sociaux, dont de la morale et de l’immoralité.

Il est ainsi totalement faux d'affirmer que l'Église et le pouvoir Laic sont dissociable et le but unique de l'Église est d'organiser les baptêmes, les funérailles et les mariages dans une ministérielle civile. Au contraire, nous, nous qui sommes les auteurs de ce document, nobles laics, nous voyons toute l'unicité de ce pouvoir par le Tout. Le libre arbitre des hommes a fait que la nécessité de la politique soit vitale et fondamentale pour l'existence de la sociabilité humaine. Sauf qu'est-ce qui fait un bon citoyen ou un mauvais citoyen, ce qui fait mener ce citoyen au Paradis Solaire ou à l'enfer lunaire, ne vient pas du fait de sa fortune ou de la longueur de sa titulature. [ 9]

Non, il provient de sa moralité, de sa recherche du bonheur et de sa participation à la vie Aristotélicienne. C'est un dualisme extrêmement important que seule l'Église Aristotélicienne Romaine peut intervenir, dans la protection de l'âme.

La politique peut mener à la corruption. [10] [11]


[9][Aristote] Dialogues X - La morale , Livre 2, le Duo prophétique, la Vitae d'Aristote.
[10]Aristote, Politique, III, 9, 1280 ( voir aussi V, 1, 1301 a-b).
[11]Aristote, Politique,, IV, 2, 1289 b.


En ce qui concerne la moralité, seule l'Église Aristotélicienne Romaine peut enseigner celle-ci dans ses différents sacrements et dans l'éducation qu'elle donne aux enfants et aux adultes qui souhaitent adhérer à la communauté aristotélicienne et ainsi sauver leur âme lors du jugement, dont le seul juge est le Juge Divin, le Créateur de Toutes-Choses.

La politique ne peut pas ainsi mener a elle-même, par uniquement des gens laics, à la bonne conduite des affaires gouvernementales. Car les différents acteurs laics vont nécessairement, à court, moyen ou long termes souhaiter travailler dans l'obtention de récompenses, ce qui est la corruption et également le népotisme. Un souverain qui règne sans l'Église peut s'écarter du droit chemin et céder à la corruption et ainsi devenir un tyran. Un tyran n'est-il pas un monarque ? Le monarque règne seul. Le tyran règne seul. Un monarque règne pas pour lui-même, mais pour sa collectivité. Le tyran règne que pour lui-même et par la force. Étrange que ce soit si proche du Sans Nom. L'Église et le Souverain doivent travailler ensemble pour qu'une bonne forme de gouvernement (monarchie) triomphe à la Gloire de Dieu contre la mauvaise forme de gouvernement (tyrannie) incarnée par les désirs d'autorité, de corruption, de désirs charnels véhiculés par le Sans Nom.L'Église est là afin de rappeler la moralité pour le Salut de l'äme des fidèles et ainsi protéger le politique du politique en installer une mesure de poids et contrepoids. La démocratie qui vire à la démagogie est ainsi considérée comme une mauvais forme de gouvernement, ce que nous avons déjà parlé dans notre texte.

Ce texte a été rédigé pour démontrer qu'il n'y a pas de séparations entre le pouvoir public, le pouvoir des laics et le pouvoir de la religion. C'est une fable pour que les différents laics tentent d'utiliser en tant que bouclier et d'épée dans leur verbe, dans leur bouche, pour écarter la religion du politique et ainsi s'attribuer eux-même la gouvernance sans les repentances des prêtres. Les ordonnés doivent savoir ce problème, tenter de le résoudre par le Verbe et les Écrits sacrés et également de comprendre que la politique est ainsi, est moral et est nécessaire à la vie humaine. Il est nécessaire également de rappeler que la Société humaine a besoin des ordonnés pour le Salut des hommes et de freiner également les intérêts personnels qui peuvent corrompent les bons gouvernements, la monarchie, la république et l'aristocratie en mauvais gouvernements qui sont la tyrannie, la démocratie et l'oligarchie.

Nous en profitons pour rappeler que Aristote a créer les sciences politiques par ses différentes analyses, par son études des constitutions, il a également immiscer un nouvel art, celui du constitutionnaliste, documents de plus en plus utilisés dans les concordats aristotéliciens, sous une forme de traités de diplomatiques et également de véritables constitutions, en grandes chartes dans les différents royaumes, empires et même a l'intérieur de ceux-ci, les comtés.

Nous en profitons également pour rappeler que Aristote a parlé de nombreuses choses, grâce à son esprit encyclopédique et analytique, ce qui provient du fait qu'il était un médecin et a fait de nombreux discours sur l'économie, dont nous pouvons également établir quelques recherches.

Nous espérons que ce document soit apprécié et a demandé de nombreuses heures et journées de recherche pour fournir ceux-ci en aide à l'Église Aristotélicienne Romaine.

Écrit le 10 octobre 1460, publié le 15 octobre de la même année.
Prince Hadrien Marcus Von Ostenmark-Sparte, Prince de Dinant.
Archidiacre.

Bonifié le 28 février 1466 par Son Altesse Sérénissime Ducale, Alexandre Maximilien Von Ostenmark-Sparte, Duc immédiat de Liège et de Breslau, Seigneur de Ruffrey-le-Château, héritier du défunt Empereur Hadrien Marcus de Sparte, auteur principal de l’œuvre.


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