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[Annonces] Eglise Aristotélicienne / Aristotelic Church
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Sixtus
Pape
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MessagePosté le: Lun Juil 30, 2018 12:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    La main fut tendue. Elle ne fut pas saisie.


    Nous, membres du Sacré-Collège, avons accueilli avec une immense tristesse le texte dit de "l’ordonnance de Tours" qui constitue une agression incompréhensible contre l’épiscopat français.

    Après plusieurs mois de pseudo-discussions où les représentants des évêques français ont en réalité été ignorés, la Sainte Église Aristotélicienne a fait parvenir une lettre privée à Sa Majesté Alvira de la Duranxie, par la plume de Son Éminence Nicolas Borgia, Camerlingue, lui proposant une rencontre fraternelle "de la dernière chance" afin d’essayer de comprendre ses étranges motivations – au moment où le projet d’ordonnance faisait l’unanimité des évêques français contre lui - et de lui expliquer les raisons de l’opposition catégorique de l’Église à un tel texte, dans sa forme actuelle, mais aussi notre ouverture totale à réaliser un compromis acceptable par tous. Nous espérions ainsi aplanir les divergences entre nos deux parties et favoriser la concorde dans le royaume, par la conclusion d’un accord qui puisse, cette fois-ci, convenir à tous. Nous espérions aussi de la titulaire d’une couronne portée jadis par le grand roi Saint-Louis, de vénérée mémoire, une véritable volonté de nouer une entente avec l’Église, comme celle-ci en avait fait la promesse lors des élections royales. A notre plus grand regret, aucune réponse ne nous fut jamais communiqué, au mépris de tous les usages et de la plus élémentaire courtoisie. Par souci de transparence et afin que personne ne puisse ignorer la vérité, l’Église indexe à la présente déclaration ledit courrier.

    La position de l’Église Aristotélicienne dans cette affaire fut claire et simple : nous étions prêts à écouter les revendications de la Couronne et à faire, par esprit d’ouverture et de concorde, un certain nombre de concessions. Sous réserve toutefois que l’Église soit considérée comme une partenaire et non comme une subordonnée, et que le dialogue puisse se tenir sur un pied d’égalité, dans le respect réciproque. Seul le silence et le mépris nous furent opposés, Alvira prétendant légiférer unilatéralement et de manière autoritaire dans le domaine du spirituel, en lieu et place d’un accord qui était pourtant tout à fait possible. Ce que l’Église, comme la monarque le savait, ne pourrait jamais accepter.

    Qu’il soit donc su par tous que l’Église, le Sacré-Collège et les évêques français unanimes regrettent amèrement la situation actuelle, mais qu’il faut être au moins deux pour dialoguer. La Couronne porte donc seule la responsabilité de la présente crise entre la Couronne et l’Église, qui était probablement recherchée afin de favoriser des cultes hétérodoxes qui, de notoriété publique, entourent la monarque de très près. Le choix fait par Alvira, dans ses dernières volontés, de se faire inhumer selon des rites non-aristotéliciens, en est la triste confirmation.

    L’Église tient toutefois à faire savoir à toutes et à tous les raisons de son refus de l’indigne ordonnance de Tours.


    Du caractère anti-dogmatique de l’ordonnance ; de l’usurpation des prérogatives épiscopales ; de l’atteinte aux missions du clergé :


    Vita de Christos, chapitre 11 a écrit:
    Les fidèles de Dieu, ceux qui ont appris l’enseignement d’Aristote et qui veulent suivre le chemin que je vous trace, doivent former une communauté de vie. Cette communauté trouvera son sens, et permettra à chacun de vivre dans la vertu, si elle est unie dans l’amitié réciproque que chacun de ses membres se doit d’éprouver envers ses semblables. Pour vous guider, je serai le père de cette communauté, j'en érigerai les principes, et mes successeurs feront de même après moi."

    Christos se tourna alors vers Titus, qui se tenait là…
    " Titus, approche, mon ami. Titus, tu es fort et vigoureux. Tu peux m'aider à porter cette communauté; tu seras mon second. Va Titus, tu es un titan, et c’est avec l'aide de ta force que je bâtirai une Eglise titanesque ! "
    Et il se tourna vers les autres apôtres, qui faisaient la moue :

    […] N’ayez donc pas de peine, car vous serez mes successeurs, vous diffuserez la bonne nouvelle à toutes les nations en aidant Titus à créer mon Eglise. Ainsi, Je fais de vous les guides des fidèles de Dieu. Soyez des modèles pour ceux qui vous écoutent, car un mauvais guide trace une mauvaise route à ceux qui le suivent. Je vous nomme episkopoi (évêques). Vous aurez à charge le Salut de vos ouailles. "


    Nous rappelons que le prophète Christos a institué l’Église Aristotélicienne, à qui il a confié la charge de garder et de propager la vérité divine et la parole des prophètes. Le clergé aristotélicien répond donc à une mission précise qui relève de la volonté divine.

    Les évêques, quant à eux, sont les successeurs des apôtres de Christos. S’ils sont bien entendus assujettis aux règles civiles en vigueur dans les royaume et provinces où ils résident, et doivent les respecter comme n'importe quel sujet, ils ne répondent, pour tout ce qui concerne leur charge épiscopale et leur mission apostolique, que devant le premier d’entre eux, le Saint Père, successeur de Saint Titus.

    Or, nous constatons que :

  • Premièrement, Sa Majesté Alvira de la Duranxie a prétend subordonner le clergé à la Couronne, dans le domaine spirituel. Cela est confirmé par sa prétention à contrôler l'assiduité des clercs, à s’ingérer dans les missions du clergé, et à limiter les prérogatives épiscopales par toute une série d’interdictions, indiquant que la Couronne prétend assurer elle-même la discipline ecclésiastique et l’administration du culte en place de l’Église apostolique, niant donc l'autorité d'icelle, la volonté de Christos et, in fine, la volonté divine. Par conséquent, l’ordonnance affirme le dogme comme étant inférieur au droit temporel, revenant ainsi à prétendre la supériorité du temporel sur le spirituel, et l'infériorité de Dieu sur Sa Création.

  • Deuxièmement, l’ordonnance tente d’affirmer la supériorité du droit royal sur le droit canon – alors qu’il s’agit de deux ordres juridiques totalement différents - et surtout la subordination du droit canon au droit royal, confirmant la volonté de subordination du clergé au pouvoir royal. Cela consiste donc à affirmer que l'autorité spirituelle est soumise à la Couronne, violant à nouveau la volonté divine.

  • Troisièmement, l’ordonnance prétend règlementer le découpage des provinces ecclésiastiques et diocèses – même si elle affirme renoncer à y toucher – usurpant une fois de plus les prérogatives de l’Église et du Saint Père ;

  • Quatrièmement, Sa Majesté Alvira de la Duranxie prétend interdire à l’Église, aux fidèles et aux provinces qui le souhaitent, de protéger leur prochain, le plus pacifiquement possible, contre ceux qui, par des enseignements erronés, risquent de détourner les hommes et les femmes de la Parole de Dieu et de la voie de la Vertu, et par conséquent de précipiter la fin des temps.

    Livre de la fin des temps - Chapitre IV - « Le jugement divin » a écrit:

    1 Je levai les yeux de la flaque d’eau où toutes ces images horribles venaient de s’offrir à mes yeux. Je tremblais de toute mon âme, les cris de souffrance des pauvres victimes de ces quatre calamités résonnant encore dans mon cœur. Je pleurais de chaudes larmes, tant était horrible le sort de ces pauvres malheureux.
    2 Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aie crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle. [...]
    6 Et Dieu me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes qui sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et J’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, Me servir, M’honorer et M’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole.” [...]
    8 Voilà pourquoi je vous révèle cela. La vertu doit guider chacun de nos pas. Chacun doit la transmettre à son prochain. Telle est la Parole de Dieu. Ne vous échappez pas de la sage voie de sa main, ou viendra le jour où le monde disparaîtra et où nous seront tous jugés !


    Il s’agit là d’une nouvelle négation explicite du dogme et de la sainte doctrine par l'affirmation de l'illégitimité à protéger les hommes et de les femmes de l'hérésie, y compris simplement par le Verbe.

  • Cinquièmement, Sa Majesté Alvira de la Duranxie prétend imposer aux évêques l’obligation d’accepter des ministres du culte hérétiques tout en leur interdisant de nommer des "traitres à la Couronne" - bel exemple du "deux poids deux mesures" qui anime ce cette ordonnance - constituant un exemple supplémentaire de violation dogmatique, d’ingérence dans la mission épiscopale et d’usurpation du rôle de l’Église.

  • Sixièmement, l’ordonnance affirme que la Couronne est seule fondée à déterminer de la validité d'un mariage. Il en résulte la négation de l'autorité de l’Église à administrer les sacrements, que Christos remit pourtant à la charge des apôtres et de leurs successeurs, et à prétendre cette autorité aux mains de la Couronne de France.


    Des décisions prises par l’Église en conséquence :


    Considérant le refus de Sa Majesté Alvira de la Duranxie d’accéder aux demandes d’une rencontre, son autoritarisme, son mépris pour l’Église, et l’impossibilité de dialogue qui en découle, en dépit des multiples efforts de l’Église ;

    Considérant que l’ordonnance constitue une action contraire aux dogmes aristotéliciens, aux commandements divins, à la volonté de notre saint prophète Christos, portant ainsi préjudice à la communauté des croyants et à la Sainte Institution de Dieu ;

    Considérant qu’au total, Sa Majesté Alvira de la Duranxie a semblé se considérer comme supérieure à Dieu et aux prophètes en tentant de substituer la Couronne à l’Église dans le domaine du spirituel;

    Nous annonçons les dispositions suivantes :

  • L'Église Aristotélicienne étant habitée par l’Action Divine et constituant l’organe par lequel s’exprime sur Terre et sur la communauté des fidèles la volonté du Tout-Puissant, elle transcende les lois et vérités temporelles. L’ordonnance, de par son essence temporelle est considéré comme sans effet sur le plan spirituel ; les évêques continueront à jouir librement de leurs pouvoirs ordinaires. Ceux-ci pourront toutefois être limités, mais uniquement par le biais d’accords librement négociés afin de veiller à ce qu’ils respectent le dogme et les missions fondamentales de l’Église, et non par des décisions autoritaires, tyranniques et antidogmatiques.

  • Afin quel nul doute ne puisse subsister sur le caractère ignominieux de l’ordonnance, celle-ci est frappée d’interdiction et placée à l’Index librorum prohibitorum ;

  • Considérant ses actions antidogmatiques, Sa Majesté Alvira de la Duranxie s'est rendue coupable d'apostasie, d'hérésie, de schisme et est frappée d'excommunication latae sententiae. En conséquence, compte tenu de la gravité extrême de ses actions, Alvira de Duranxie est frappée d'anathème. Mais nous considérons qu'elle avait déjà d'elle-même reniée l'aristotélisme, comme ses dernières volontés en témoignent.

  • La Sainte Église, dans son infinie bonté et amour, appelle encore et malgré tout à une véritable réunion avec la Couronne de France pour trouver un accord commun et acceptable pour les deux parties, qui crée l'harmonie et la collaboration, pas la soumission et la prévarication.

    L’Église règne sur l’intemporel, sa mission est de guider les âmes des fidèles vers les Vertus et elle essaiera de le faire toujours mieux selon les enseignements des Prophètes et du Sacré Dogme, mais elle ne peut en aucun cas accepter que la Couronne - qui règne sur le temporel - s'arroge les prérogatives de l'Église, en particulier avec l'usage de la force et de l'arrogance. Comme pour le cas de l'Archidiocèse de Touraine désormais conquis militairement par la Couronne.

    Nous cherchons la coopération pour le bien commun. L’Église écoutera donc volontiers et sans réserves toutes les demandes de la la Couronne, des provinces françaises et de chaque croyant. À cette fin, nous demandons la révocation de cette "ordonnance" de claire nature diabolique, que nous ne reconnaissons pas, mais rejetons et désavouons entièrement.

    Enfin, nous tenons à rappeler à toutes et à tous que l’Église a maintes et maintes fois prouvée son attachement à la France, considérée comme sa Fille ainée, et n’a pas ménagé ses efforts pour lui prêter toute son assistance dans les moments difficiles, y compris dans des cas où la Couronne restait inactive devant le malheur du peuple.
    Le soutien armé récemment envoyé en Champagne sans aucune contrepartie en un exemple, tout comme celui qui fut apporté dans le sud de la France contre le rebelle Namaycush. Même si l'Église fut bien mal récompensée de ce soutien au Royaume, nous continuerons à nous tenir auprès de tous ceux qui le souhaitent, quels que soit leur rang ou grades, pour leur prodiguer prières et soutiens de toutes natures. Car l'Eglise est faite de bonté.

    Nous demandons publiquement à tous les fidèles de rester fermes dans la Vraie Foi et de se rendre disponibles pour aider la Sainte Église dans sa mission. Quiconque veut se mettre au service du Très-Haut et de la Communauté Aristotélicienne, aussi en tant que collaborateur laïc, sera toujours le bienvenu et sera accueilli avec joie.


    Que Dieu protège la France, fille bien-aimée de l’Église.



    Donné à Rome par le Sacré-Collège des Cardinaux sous le pontificat du Très Saint Père Innocent VIII le XXIII jour du mois de juillet de l'an de grâce MCDLVXI.




Citation:





    De nous, Nicolas Borja, Camerlingue de la Sainte Église Aristotélicienne, au nom de Sa Sainteté Innocent le Huitième, Souverain Pontife, et de la Curie réunie en Sacré-Collège,

    A vous, Votre Majesté Alvira, Reine de France.


    Nous prenons aujourd’hui notre plume pour vous faire part de la stupeur et de l’émoi suscités au sein du Sacré Collège et de l’Assemblée des évêques de France, par ce qui semble être une proposition de texte censé remplacer l’ordonnance du Mans, transmise par des officiers de la Couronne au Primat de France.

    Ce texte semble laisser entendre que la Couronne de France aurait l’intention de s’ingérer directement dans le fonctionnement l’Église, en cherchant à contrôler les affaires spirituelles, en interdisant aux évêques d’user de leurs pouvoirs ordinaires, ou encore en s’impliquant dans le choix des curés. Sa Majesté comprendra aisément que l’Église ne pourra jamais tolérer que le pouvoir temporel empêche d’une quelconque manière les évêques de remplir leurs missions, dont ils sont comptables devant notre Créateur, au même titre que Sa Majesté s’offusquerait fort légitimement si l’Église cherchait à dicter le fonctionnement des institutions royales ou des provinces de France.

    Nul n’ignore les mauvaises relations entre la Couronne et les évêques de France depuis le règne de feue Angélyque, dont l’ordonnance du Mans, document imposé unilatéralement sans consultation avec les évêques français et signée par à peine la moitié des dirigeants provinciaux du Royaume, méconnaissait totalement le fonctionnement de l’Église. Nous avons placé beaucoup d’espoirs dans le règne de Sa Majesté afin de voir la confiance entre la Couronne et l’Église être restaurée, et c’est en ce sens que nous avons béni les discussions entamées il y a plusieurs mois entre les représentants des évêques de France et vous-même. Nous sommes d’autant plus stupéfaits de voir que le texte proposé, non seulement ne résout aucun des contentieux ouverts par l’ordonnance du Mans, mais risquerait de surcroit d’ouvrir une nouvelle crise majeure entre la Couronne et l’Église, là où nous cherchions au contraire l’apaisement et la sérénité retrouvée dans le strict respect de chacun. La persistance de ces mauvaises relations est une anomalie que nous souhaitions dissiper de tout notre cœur, d’autant plus que l’Église entretient d’excellentes relations avec la plupart des provinces françaises ou régnants et évêques travaillent main dans la main au service du bon peuple de France.

    Comme cela a été exprimé par les représentants des évêques de France, l’Église est prête à entendre les demandes de la Couronne et à faire des compromis. Toutefois, qu’il soit su que la non-ingérence dans son fonctionnement et le respect de l’indépendance du spirituel constitue une ligne rouge absolue pour l’Église, et que celle-ci, tout en réaffirmant son pacifisme et son ardent souhait de trouver un compromis respectueux de chacun, se réserve le droit de se défendre si les évêques se trouvaient injustement agressés. Notre conception d’un partenariat respectueux et sincère repose sur la présence de partenaires placés sur un strict pied d’égalité, et non d’une soumission quelconque de l’Église à la Couronne, ou du spirituel au temporel.

    Afin de dissiper ce que nous espérons être un simple malentendu, nous proposons une rencontre entre Sa Majesté et l’un de nos représentants, cette fois-ci sans autre intermédiaire, afin de pouvoir vous exprimer notre position et de comprendre la votre. Soyez assurée que nous souhaitons ardemment pouvoir bâtir une entente cordiale entre la Couronne et l’Église, et n’avons aucun doute sur le fait que ce souhait est partagé par Votre Majesté. Nous espérons qu'un dialogue franc et direct nous permettra d'y parvenir.

    Veuillez croire aux sentiments avec lesquels je suis de Votre Majesté le bon frère

    Paix et bénédiction,


    Nicolas Borja



    Fait à Rome au Palais pontifical, le IV du mois de juillet de l’an de grâce MCDLXVI de notre Seigneur.





Code:
[quote]
[list][img]http://img11.hostingpics.net/pics/148483Vatican200.png[/img]

[color=#FFCC00][b][size=18]La main fut tendue. Elle ne fut pas saisie.[/size][/b][/color]


[i][b][color=black]Nous, membres du Sacré-Collège, avons accueilli avec une immense tristesse le texte dit de "l’ordonnance de Tours" qui constitue une agression incompréhensible contre l’épiscopat français.

Après plusieurs mois de pseudo-discussions où les représentants des évêques français ont en réalité été ignorés, la Sainte Église Aristotélicienne a fait parvenir une lettre privée à Sa Majesté Alvira de la Duranxie, par la plume de Son Éminence Nicolas Borgia, Camerlingue, lui proposant une rencontre fraternelle "de la dernière chance" afin d’essayer de comprendre ses étranges motivations – au moment où le projet d’ordonnance faisait l’unanimité des évêques français contre lui - et de lui expliquer les raisons de l’opposition catégorique de l’Église à un tel texte, dans sa forme actuelle, mais aussi notre ouverture totale à réaliser un compromis acceptable par tous. Nous espérions ainsi aplanir les divergences entre nos deux parties et favoriser la concorde dans le royaume, par la conclusion d’un accord qui puisse, cette fois-ci, convenir à tous. Nous espérions aussi de la titulaire d’une couronne portée jadis par le grand roi Saint-Louis, de vénérée mémoire, une véritable volonté de nouer une entente avec l’Église, comme celle-ci en avait fait la promesse lors des élections royales. A notre plus grand regret, aucune réponse ne nous fut jamais communiqué, au mépris de tous les usages et de la plus élémentaire courtoisie. Par souci de transparence et afin que personne ne puisse ignorer la vérité, l’Église indexe à la présente déclaration ledit courrier.

La position de l’Église Aristotélicienne dans cette affaire fut claire et simple : nous étions prêts à écouter les revendications de la Couronne et à faire, par esprit d’ouverture et de concorde, un certain nombre de concessions. Sous réserve toutefois que l’Église soit considérée comme une partenaire et non comme une subordonnée, et que le dialogue puisse se tenir sur un pied d’égalité, dans le respect réciproque. Seul le silence et le mépris nous furent opposés, Alvira prétendant légiférer unilatéralement et de manière autoritaire dans le domaine du spirituel, en lieu et place d’un accord qui était pourtant tout à fait possible. Ce que l’Église, comme la monarque le savait, ne pourrait jamais accepter.

Qu’il soit donc su par tous que l’Église, le Sacré-Collège et les évêques français unanimes regrettent amèrement la situation actuelle, mais qu’il faut être au moins deux pour dialoguer. La Couronne porte donc seule la responsabilité de la présente crise entre la Couronne et l’Église, qui était probablement recherchée afin de favoriser des cultes hétérodoxes qui, de notoriété publique, entourent la monarque de très près. Le choix fait par Alvira, dans ses dernières volontés, de se faire inhumer selon des rites non-aristotéliciens, en est la triste confirmation.

L’Église tient toutefois à faire savoir à toutes et à tous les raisons de son refus de l’indigne ordonnance de Tours.


[u]Du caractère anti-dogmatique de l’ordonnance ; de l’usurpation des prérogatives épiscopales ; de l’atteinte aux missions du clergé[/u] :[/i]
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[quote="Vita de Christos, chapitre 11"]Les fidèles de Dieu, ceux qui ont appris l’enseignement d’Aristote et qui veulent suivre le chemin que je vous trace, doivent former une communauté de vie. Cette communauté trouvera son sens, et permettra à chacun de vivre dans la vertu, si elle est unie dans l’amitié réciproque que chacun de ses membres se doit d’éprouver envers ses semblables. Pour vous guider, je serai le père de cette communauté, j'en érigerai les principes, et mes successeurs feront de même après moi."

Christos se tourna alors vers Titus, qui se tenait là…
" Titus, approche, mon ami. Titus, tu es fort et vigoureux. Tu peux m'aider à porter cette communauté; tu seras mon second. Va Titus, tu es un titan, et c’est avec l'aide de ta force que je bâtirai une Eglise titanesque ! "
Et il se tourna vers les autres apôtres, qui faisaient la moue :

[…] N’ayez donc pas de peine, car vous serez mes successeurs, vous diffuserez la bonne nouvelle à toutes les nations en aidant Titus à créer mon Eglise. Ainsi, Je fais de vous les guides des fidèles de Dieu. Soyez des modèles pour ceux qui vous écoutent, car un mauvais guide trace une mauvaise route à ceux qui le suivent. Je vous nomme episkopoi (évêques). Vous aurez à charge le Salut de vos ouailles. "[/quote]

[b][color=black][i]Nous rappelons que le prophète Christos a institué l’Église Aristotélicienne, à qui il a confié la charge de garder et de propager la vérité divine et la parole des prophètes. Le clergé aristotélicien répond donc à une mission précise qui relève de la volonté divine.

Les évêques, quant à eux, sont les successeurs des apôtres de Christos. S’ils sont bien entendus assujettis aux règles civiles en vigueur dans les royaume et provinces où ils résident, et doivent les respecter comme n'importe quel sujet, ils ne répondent, pour tout ce qui concerne leur charge épiscopale et leur mission apostolique, que devant le premier d’entre eux, le Saint Père, successeur de Saint Titus.

Or, nous constatons que :

[*] Premièrement, Sa Majesté Alvira de la Duranxie a prétend subordonner le clergé à la Couronne, dans le domaine spirituel. Cela est confirmé par sa prétention à contrôler l'assiduité des clercs, à s’ingérer dans les missions du clergé, et à limiter les prérogatives épiscopales par toute une série d’interdictions, indiquant que la Couronne prétend assurer elle-même la discipline ecclésiastique et l’administration du culte en place de l’Église apostolique, niant donc l'autorité d'icelle, la volonté de Christos et, in fine, la volonté divine. Par conséquent, l’ordonnance affirme le dogme comme étant inférieur au droit temporel, revenant ainsi à prétendre la supériorité du temporel sur le spirituel, et l'infériorité de Dieu sur Sa Création.

[*] Deuxièmement, l’ordonnance tente d’affirmer la supériorité du droit royal sur le droit canon – alors qu’il s’agit de deux ordres juridiques totalement différents - et surtout la subordination du droit canon au droit royal, confirmant la volonté de subordination du clergé au pouvoir royal. Cela consiste donc à affirmer que l'autorité spirituelle est soumise à la Couronne, violant à nouveau la volonté divine.

[*] Troisièmement, l’ordonnance prétend règlementer le découpage des provinces ecclésiastiques et diocèses – même si elle affirme renoncer à y toucher – usurpant une fois de plus les prérogatives de l’Église et du Saint Père ;

[*] Quatrièmement, Sa Majesté Alvira de la Duranxie prétend interdire à l’Église, aux fidèles et aux provinces qui le souhaitent, de protéger leur prochain, le plus pacifiquement possible, contre ceux qui, par des enseignements erronés, risquent de détourner les hommes et les femmes de la Parole de Dieu et de la voie de la Vertu, et par conséquent de précipiter la fin des temps.[/i][/color][/b]

[quote="Livre de la fin des temps - Chapitre IV - « Le jugement divin »"]
1 Je levai les yeux de la flaque d’eau où toutes ces images horribles venaient de s’offrir à mes yeux. Je tremblais de toute mon âme, les cris de souffrance des pauvres victimes de ces quatre calamités résonnant encore dans mon cœur. Je pleurais de chaudes larmes, tant était horrible le sort de ces pauvres malheureux.
2 Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aie crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle. [...]
6 Et Dieu me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes qui sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et J’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, Me servir, M’honorer et M’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole.” [...]
8 Voilà pourquoi je vous révèle cela. La vertu doit guider chacun de nos pas. Chacun doit la transmettre à son prochain. Telle est la Parole de Dieu. Ne vous échappez pas de la sage voie de sa main, ou viendra le jour où le monde disparaîtra et où nous seront tous jugés ![/quote]

[b][color=black][i]Il s’agit là d’une nouvelle négation explicite du dogme et de la sainte doctrine par l'affirmation de l'illégitimité à protéger les hommes et de les femmes de l'hérésie, y compris simplement par le Verbe.

[*] Cinquièmement, Sa Majesté Alvira de la Duranxie prétend imposer aux évêques l’obligation d’accepter des ministres du culte hérétiques tout en leur interdisant de nommer des "traitres à la Couronne" - bel exemple du "deux poids deux mesures" qui anime ce cette ordonnance - constituant un exemple supplémentaire de violation dogmatique, d’ingérence dans la mission épiscopale et d’usurpation du rôle de l’Église.

[*] Sixièmement, l’ordonnance affirme que la Couronne est seule fondée à déterminer de la validité d'un mariage. Il en résulte la négation de l'autorité de l’Église à administrer les sacrements, que Christos remit pourtant à la charge des apôtres et de leurs successeurs, et à prétendre cette autorité aux mains de la Couronne de France.


[u]Des décisions prises par l’Église en conséquence :[/u]


Considérant le refus de Sa Majesté Alvira de la Duranxie d’accéder aux demandes d’une rencontre, son autoritarisme, son mépris pour l’Église, et l’impossibilité de dialogue qui en découle, en dépit des multiples efforts de l’Église ;

Considérant que l’ordonnance constitue une action contraire aux dogmes aristotéliciens, aux commandements divins, à la volonté de notre saint prophète Christos, portant ainsi préjudice à la communauté des croyants et à la Sainte Institution de Dieu ;

Considérant qu’au total, Sa Majesté Alvira de la Duranxie a semblé se considérer comme supérieure à Dieu et aux prophètes en tentant de substituer la Couronne à l’Église dans le domaine du spirituel;

Nous annonçons les dispositions suivantes :

[*] L'Église Aristotélicienne étant habitée par l’Action Divine et constituant l’organe par lequel s’exprime sur Terre et sur la communauté des fidèles la volonté du Tout-Puissant, elle transcende les lois et vérités temporelles. L’ordonnance, de par son essence temporelle est considéré comme sans effet sur le plan spirituel ; les évêques continueront à jouir librement de leurs pouvoirs ordinaires. Ceux-ci pourront toutefois être limités, mais uniquement par le biais d’accords librement négociés afin de veiller à ce qu’ils respectent le dogme et les missions fondamentales de l’Église, et non par des décisions autoritaires, tyranniques et antidogmatiques.

[*] Afin quel nul doute ne puisse subsister sur le caractère ignominieux de l’ordonnance, celle-ci est frappée d’interdiction et placée à l’Index librorum prohibitorum ;

[*] Considérant ses actions antidogmatiques, Sa Majesté Alvira de la Duranxie s'est rendue coupable d'apostasie, d'hérésie, de schisme et est frappée d'excommunication latae sententiae. En conséquence, compte tenu de la gravité extrême de ses actions, Alvira de Duranxie est frappée d'anathème. Mais nous considérons qu'elle avait déjà d'elle-même reniée l'aristotélisme, comme ses dernières volontés en témoignent.

[*] La Sainte Église, dans son infinie bonté et amour, appelle encore et malgré tout à une véritable réunion avec la Couronne de France pour trouver un accord commun et acceptable pour les deux parties, qui crée l'harmonie et la collaboration, pas la soumission et la prévarication.

L’Église règne sur l’intemporel, sa mission est de guider les âmes des fidèles vers les Vertus et elle essaiera de le faire toujours mieux selon les enseignements des Prophètes et du Sacré Dogme, mais elle ne peut en aucun cas accepter que la Couronne - qui règne sur le temporel - s'arroge les prérogatives de l'Église, en particulier avec l'usage de la force et de l'arrogance. Comme pour le cas de l'Archidiocèse de Touraine désormais conquis militairement par la Couronne.

Nous cherchons la coopération pour le bien commun. L’Église écoutera donc volontiers et sans réserves toutes les demandes de la la Couronne, des provinces françaises et de chaque croyant. À cette fin, nous demandons la révocation de cette "ordonnance" de claire nature diabolique, que nous ne reconnaissons pas, mais rejetons et désavouons entièrement.

Enfin, nous tenons à rappeler à toutes et à tous que l’Église a maintes et maintes fois prouvée son attachement à la France, considérée comme sa Fille ainée, et n’a pas ménagé ses efforts pour lui prêter toute son assistance dans les moments difficiles, y compris dans des cas où la Couronne restait inactive devant le malheur du peuple.
Le soutien armé récemment envoyé en Champagne sans aucune contrepartie en un exemple, tout comme celui qui fut apporté dans le sud de la France contre le rebelle Namaycush. Même si l'Église fut bien mal récompensée de ce soutien au Royaume, nous continuerons à nous tenir auprès de tous ceux qui le souhaitent, quels que soit leur rang ou grades, pour leur prodiguer prières et soutiens de toutes natures. Car l'Eglise est faite de bonté.

Nous demandons publiquement à tous les fidèles de rester fermes dans la Vraie Foi et de se rendre disponibles pour aider la Sainte Église dans sa mission. Quiconque veut se mettre au service du Très-Haut et de la Communauté Aristotélicienne, aussi en tant que collaborateur laïc, sera toujours le bienvenu et sera accueilli avec joie.


Que Dieu protège la France, fille bien-aimée de l’Église.

[/i][/color][/b]

[i]Donné à Rome par le Sacré-Collège des Cardinaux sous le pontificat du Très Saint Père Innocent VIII le XXIII jour du mois de juillet de l'an de grâce MCDLVXI. [/i]

[/list][/quote][img]http://imgur.com/sc6Uspk.png[/img]


[quote]
[list][img]http://i358.photobucket.com/albums/oo23/Endymionrr/Heraldique/Entetes/rdo0_zpslob9rzwz.png[/img]



[b][i][color=black]De nous, Nicolas Borja, Camerlingue de la Sainte Église Aristotélicienne, au nom de Sa Sainteté Innocent le Huitième, Souverain Pontife, et de la Curie réunie en Sacré-Collège,

A vous, Votre Majesté Alvira, Reine de France.


Nous prenons aujourd’hui notre plume pour vous faire part de la stupeur et de l’émoi suscités au sein du Sacré Collège et de l’Assemblée des évêques de France, par ce qui semble être une proposition de texte censé remplacer l’ordonnance du Mans, transmise par des officiers de la Couronne au Primat de France.

Ce texte semble laisser entendre que la Couronne de France aurait l’intention de s’ingérer directement dans le fonctionnement l’Église, en cherchant à contrôler les affaires spirituelles, en interdisant aux évêques d’user de leurs pouvoirs ordinaires, ou encore en s’impliquant dans le choix des curés. Sa Majesté comprendra aisément que l’Église ne pourra jamais tolérer que le pouvoir temporel empêche d’une quelconque manière les évêques de remplir leurs missions, dont ils sont comptables devant notre Créateur, au même titre que Sa Majesté s’offusquerait fort légitimement si l’Église cherchait à dicter le fonctionnement des institutions royales ou des provinces de France.

Nul n’ignore les mauvaises relations entre la Couronne et les évêques de France depuis le règne de feue Angélyque, dont l’ordonnance du Mans, document imposé unilatéralement sans consultation avec les évêques français et signée par à peine la moitié des dirigeants provinciaux du Royaume, méconnaissait totalement le fonctionnement de l’Église. Nous avons placé beaucoup d’espoirs dans le règne de Sa Majesté afin de voir la confiance entre la Couronne et l’Église être restaurée, et c’est en ce sens que nous avons béni les discussions entamées il y a plusieurs mois entre les représentants des évêques de France et vous-même. Nous sommes d’autant plus stupéfaits de voir que le texte proposé, non seulement ne résout aucun des contentieux ouverts par l’ordonnance du Mans, mais risquerait de surcroit d’ouvrir une nouvelle crise majeure entre la Couronne et l’Église, là où nous cherchions au contraire l’apaisement et la sérénité retrouvée dans le strict respect de chacun. La persistance de ces mauvaises relations est une anomalie que nous souhaitions dissiper de tout notre cœur, d’autant plus que l’Église entretient d’excellentes relations avec la plupart des provinces françaises ou régnants et évêques travaillent main dans la main au service du bon peuple de France.

Comme cela a été exprimé par les représentants des évêques de France, l’Église est prête à entendre les demandes de la Couronne et à faire des compromis. Toutefois, qu’il soit su que la non-ingérence dans son fonctionnement et le respect de l’indépendance du spirituel constitue une ligne rouge absolue pour l’Église, et que celle-ci, tout en réaffirmant son pacifisme et son ardent souhait de trouver un compromis respectueux de chacun, se réserve le droit de se défendre si les évêques se trouvaient injustement agressés. Notre conception d’un partenariat respectueux et sincère repose sur la présence de partenaires placés sur un strict pied d’égalité, et non d’une soumission quelconque de l’Église à la Couronne, ou du spirituel au temporel.

Afin de dissiper ce que nous espérons être un simple malentendu, nous proposons une rencontre entre Sa Majesté et l’un de nos représentants, cette fois-ci sans autre intermédiaire, afin de pouvoir vous exprimer notre position et de comprendre la votre. Soyez assurée que nous souhaitons ardemment pouvoir bâtir une entente cordiale entre la Couronne et l’Église, et n’avons aucun doute sur le fait que ce souhait est partagé par Votre Majesté. Nous espérons qu'un dialogue franc et direct nous permettra d'y parvenir.

Veuillez croire aux sentiments avec lesquels je suis de Votre Majesté le bon frère

Paix et bénédiction,


Nicolas Borja

[/color][/i][/b]

[i][b] Fait à Rome au Palais pontifical, le IV du mois de juillet de l’an de grâce MCDLXVI de notre Seigneur. [/b][/i]


[img]http://i59.tinypic.com/68f0k9.png[/img][img]http://i358.photobucket.com/albums/oo23/Endymionrr/Heraldique/Sceaux/CurieJ_zpsdelm3hl1.png[/img][/list][/quote]

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MessagePosté le: Jeu Aoû 16, 2018 10:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    Pontifical indult - XXIV
    On the Offices of the Congregation for the Dissemination of the Faith




    To the priests, abbots, bishops and prelates of the Aristotelian Communion,

    According to the Can. P-IV-1.2, the Sacred College of Cardinals, empowered to amend the Canon Law, has decided by way of an indult the amendment of the fifth book of the cannons titled « De Sanctae Sedis summo administratione », second afterpart, by modifying the Offices of the Congregation for the Dissemination of the Faith.

    Therefore, We, cardinals of the Holy Roman and Aristotelian Church, on behalf of the Pope Innocent VIII and under the eyes of Aristotle, have ruled and proclaimed, and by our present perpetual and definitive indult, declare, rule and proclaim the following Canons, concerning the the Offices of the Congregation for the Dissemination of the Faith :


    Twentyfourth pontifical indult a écrit:


    **Original Canons

        Article 10.4 : The Prefect of the Office of the Bibliomelia must be an ordained priest who possesses a primary license.

        Article 10.5 : The Prefect of the Office of Pilgrims must be an ordained priest who possesses a primary license.


      Article 11 : Prefects cooperate with the Chancellors and their subordinates in order to ensure the proper functioning of the Congregation and of their respective Offices.

        Article 18.4 The Office of the Bibliomelia primarily ensures the conservation of all texts of Aristotelian value, for the purpose of educating the Roman clergy. Its secondary mission is to provide access to its collection to all scholars and students.

        Article 18.5 The Office of Pilgrims primarily ensures the promotion and creation of pilgrimages. Its secondary mission is to describe and recognize the cult of Saints at the local, regional, national, and international levels.

        Article 18.6 The office of the Society of Pilgrims of Aristotle primarily assures the proclamation of the word of God and of the prophets to those who are not familiar with them, through the use of itinerant preaching.

        Article 18.7 The Regular Roman Chapter, according to the Canon 3.6, is part of the Congregation. Unlike the other Offices, it functions as a meeting hall between the Congregation and the Romain Religious Orders. Thus, it primarily ensures the functioning of the Orders according to the Canon Law.



    **Modified Canons

        Article 10.4 : The Prefect of the Office of the Chapels Registry must be an ordained priest who possesses a primary license.

        Article 10.5 : The Prefect of the Office of the Company of Pilgrims of Aristotle must be an ordained priest who possesses a primary license.


      Article 11 : Prefects cooperate with the Chancellors and their subordinates in order to ensure the proper functioning of the Congregation and of their respective Offices.

        Article 11.1 : In absence of candidates who have all the requirements or in cases of particular urgency to ensure the functioning and efficiency of the Congregation, Chancellor can make an exception on requirements for access to the position of Prefect. Among more candidates, however, who has all the requirements (especially if he/she is a priest) will be preferred.


        Article 18.4 : The Office of the Chapels Registry primarily ensures the recognition and activation of the aristocratic, urban and communal chapels. Its secondary mission is to regularly inspect the chapels and update the registry.

        Article 18.5 : The office of the Society of Pilgrims of Aristotle primarily assures the proclamation of the word of God and of the prophets to those who are not familiar with them, through the use of itinerant preaching. The Office enhances the cult of saints at local, regional, national and international levels.

        Article 18.6 : The Office of the Pontifical Museums of Rome mainly ensures the housing of all vestments, relics, paintings, originals of dogmatic texts and objects of a religious nature not kept in a local Church, or in need of protection against the ravages of Time and Man. Ensures the preservation of all the works of sacred Aristotelian art. Its secondary mission, because art exalts the creation of God, is in the preservation of secular art and in its dissemination to the faithful with exhibitions and socio-cultural events.

        Article 18.7 : The Regular Roman Chapter, according to the Canon 3.6, is part of the Congregation. Unlike the other Offices, it functions as a meeting hall between the Congregation and the Romain Religious Orders. Thus, it primarily ensures the functioning of the Orders according to the Canon Law.





    To all, apostolic blessing.


    For the Sacred College of Cardinals,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal Archdeacon of Rome


    Given in Rome, the XVI of the month of August, a Thursday, of the Year of our Lord MCDLXVI.



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MessagePosté le: Jeu Aoû 16, 2018 10:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Conformité au Dogme et au Droit Canon des amendements aux Statuts de la Primatie de Bretagne



    Nous, Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, à titre de Cardinal-Archidiacre de Rome,
    Au nom des Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne rassemblés dans le Sacré-Collège, devant le Tout Puissant et sous le regard d'Aristote, par le grâce de Dieu et du Pape Innocent VIII,



      Avons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, disons, statuons et ordonnons la publication des Statuts de la Primatie de Bretagne, suivant les amendements approuvés par les évêques bretons et entérinés par le Sacré-Collège.

      Les Statuts précités, y compris les amendements récemment approuvés, sont donc pleinement conformes au Dogme et au Droit Canon et ont pleine valeur à partir du moment de cette publication.
      La nouvelle publication sera disponible dans les salles de l'Assemblée Épiscopale de Bretagne ainsi qu'en annexe à la suite de cette annonce.



    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.




    Donné à Rome le XVI jour du VIII mois de l'An de Grâce MCDLXVI.




Citation:


    Statuts de l'Iliz Breizh

    Règles régissant l'organisation de la Primatie Bretonne et de ses assemblées

      Conformément au Livre 2 Partie I du Codex Iuris Canonici de la Sainte Église Aristotélicienne, Universelle et Romaine, nommé « Regimini secularis ecclesiae », est établie la Primatie de Bretagne , ayant autorité sur tous les archidiocèses, diocèses et paroisses présents en tout ou en partie sur les terres du Grand Duché de Bretagne.
      Afin d'accorder le fonctionnement et la direction de la Primatie de Betagne à la Réforme de Sa Sainteté le Pape Innocent VIII tout en restant dans le cadre du Droit Canon et du Dogme ainsi qu'à la coutume et aux spécificités de l’Église de Bretagne, nous, évêques et archevêques bretons, avons débattu et établi le règlement suivant.
      Depuis sa création, et si elle a toujours été dirigée par l'assemblée des évêques de Bretagne, appelée « Kambre an Eskebed » ou Chambre des Évêques, l'Iliz Breizh s'est vue dotée d'une assemblée regroupant l'ensemble du clergé breton, appelée « Emovd ar c'hloareged » ou Chambre des Clercs, qui a pour but d'être une force de conseil et de proposition.
      Les deux assemblées se réunissent Res Parendo au siège de la primatie de Bretagne, à Saint Méloir des Ondes (Sant Meleg).



    Partie I. L'Assemblée Épiscopale de Bretagne - Kambre an Eskebed

    De sa composition

    Article 1. L'Assemblée des Evêques de Bretagne, ou Kambre an Eskebed (Chambre des Évêques), ou « AEB », est composée de membres de droit de membres consultants et de membres invités.

    Article 2. Les membres de droit ayant la parole et le droit de vote sont :
    - l'archevêque de Rennes et l'évêque de Nantes ;
    - les (arch)évêques In Partibus ayant leur résidence principale (I.G. In Gratebus) sur le territoire de la Primatie de Bretagne;
    - les archevêques émérites de Rennes et évêques émérites de Nantes;
    - les cardinaux romains ou nationaux ayant leur résidence principale (I.G. In Gratebus) sur le territoire de la Primatie de Bretagne;
    - les recteurs d'ordres religieux romains ayant une attache territoriale dans le Grand Duché de Bretagne;
    - les grands maîtres d'ordres militaires religieux résidant dans le Grand Duché de Bretagne.

    Article 3. Les membres consultants ayant la parole mais pas le droit de vote sont :
    - les anciens archevêques émérites de Rennes et évêques émérites de Nantes;
    - les cardinaux romains ou nationaux ayant leur résidence principale (i.G. In Gratebus) hors du territoire de la Primatie de Bretagne;
    - les membres de la Nonciature Apostolique assignés au territoire de la Primatie de Bretagne;
    - le Grand-Duc de Bretagne, s'il est un fidèle aristotélicien à part entière et sacrée selon le Dogme et la Doctrine de l'Eglise.

    Article 4. Les membres invités sont choisis par l'AEB sur proposition d'un membre de droit.

    Article 5. En cas de décès d'un évêque ou d'un archevêque breton, le siège qu'il occupait est déclaré vacant sitôt l'inhumation ordonnée par le Primat, ou par la Curie si le défunt est également cardinal.


    De son fonctionnement

    Article 6. Les décisions sont prises par vote à la majorité simple des votants.

    Article 7. Tous les membres de l'AEB peuvent participer aux débats, mais seuls les membres de droit peuvent lancer une consultation et voter.

    Article 8. Le vote doit toujours être précédé d'une période de débat d'un minimum de cinq jours. Il doit en outre être ouvert pendant une période de trois jours.

      Article 8.1 Le vote peut être lancé immédiatement en accord avec le primat, sur sa décision ou dans les cas prévus dans les procédures d'urgence.

      Article 8.2. Le vote devra toujours comporter une possibilité de voter blanc ainsi qu'une possibilité de voter contre.

      Article 8.3. Les cas suivants autorisent la procédure d'urgence :
      • Absence* non déclarée du Primat et du Vice-Primat pendant deux semaines ;
      • Conflit armé impliquant des paroisses bretonnes ;
      • Révocation d'un membre de l'AEB sur demande de l'Inquisition.

        *par absence est entendue la non-participation aux débats de l'AEB pendant un mois ou la retraite spirituelle non déclarée.


    De la Primatie

    Article 9. Le Primat est élu par les membres de l’AEB selon le scrutin normal. Il a un mandat de quatre mois.

    Article 10. Tout candidat à la primatie devra fournir un curriculum vitæ complet et un programme. Il devra également être membre de droit depuis plus de trois mois.

    Article 11. Le Primat doit nommer de un à deux vices-primats en mentionnant leur ordre de priorité. Il peut les choisir et les révoquer comme bon lui semble. Ils forment l’équipe primatiale, au sein de laquelle il peut inclure discrétionnairement d’autres membres de l’AEB.

    Article 12. En cas d’absence, le Primat est suppléé par un vice-primat selon l’ordre de priorité. Le vice-primat obtient alors tous les pouvoirs dévolus au Primat jusqu’au retour de celui-ci.

    Article 13. Les membres de l’équipe primatiale veilleront à annoncer leurs absences afin de permettre le bon fonctionnement de l’AEB.

    Article 14. Le Primat dispose d’un mandat tacite et permanent lui conférant tous les pouvoirs dont dispose l’AEB. Il peut donc prendre des décrets de manière unilatérale. Ces décrets peuvent à leur tour être annulés par l’AEB, la procédure d’annulation ayant un effet suspensif.

    Article 15. Le Primat peut être destitué par une motion de censure. Cette motion s’applique obligatoirement à l’ensemble de l’équipe primatiale. Elle se déroule selon le scrutin normal.

    De la nomination et de la révocation des évêques bretons

    Article 16. L'Assemblée Épiscopale de Bretagne nomme et révoque l'Archevêque de Rennes et l'évêque de Nantes.

    Article 17. Le Primat annonce la vacance ou la fin de mandat de la charge d'archevêque suffragant de Rennes, ou de celle d'évêque suffragant de Nantes, au sein de l'AEB en place d'Aristote et en gargote bretonne, et lance un appel à candidature de sept jours afin de pourvoir à ces charges.

    Article 17.1. Seul un prêtre théologien étant pasteur de la foi et ayant exercé pendant au moins trois mois en Bretagne une charge lui conférant le pouvoir de célébrer et d’octroyer divers sacrements aristotéliciens peut postuler à la charge d'Archevêque de Rennes ou d’Évêques de Nantes. En outre, tout candidat doit être titulaire d’une licence ès théologie obtenue dans un séminaire primaire reconnu par la Préfecture à l'Enseignement Aristotélicien ou apporter la preuve qu'il est en passe de l'obtenir dans un délai de 3 mois.

    Article 18. Les candidats doivent se faire connaître auprès du Primat avec un CV et une lettre de motivation. Le Primat peut écarter des candidatures farfelues ou inadaptées mais il doit le signaler à l'AEB.

    Article 19. Le primat collecte les candidatures et lance le vote aussi vite que possible pour que l'élection se déroule dans de bonnes conditions au sein de l'AEB.

    Article 20. Un évêque ou archevêque n’est libéré de ses fonctions que suite à une démission ou à la fin de son mandat.

    De la propositions à la Curie des évêques In Partibus résidant dans la Primatie de Bretagne.

    Article 21. Le choix de suggérer un évêque In Partibus ou un autre se fait sur proposition d'un membre de droit de l'AEB.

    Article 22. L'élection se fait par consultation de l'AEB selon le scrutin normal.

    Partie II. L'Assemblée du Clergé de Bretagne - Emovd ar c'hloareged

    De sa composition

    Article 1. L'Assemblée du Clergé de Bretagne, ou Emovd ar c'hloareged (Chambre des Clercs), est composée de membres de droit et de membres invités.

    Article 2. Les membres de droit sont :
    - les clercs dépendant de l'Iliz Breizh, quels que soient leur statut ou leur charge, sans distinction ;

    Article 3. Les membres invités, qui ont seulement un avis consultatif, sont :
    - les clercs et laïcs choisis par la Chambre des Clercs sur proposition d'un membre de droit ;
    - les membres des conseils diocésains de Rennes et Nantes.
    - les cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne, Universelle et Romaine ;
    - les recteurs et les membres d'ordres religieux romains ayant leur résidence principale (i.e. In Gratebus) en Bretagne ;
    - les grands maîtres et les membres d'ordres militaires religieux ayant leur résidence principale (i.e. In Gratebus) en Bretagne.

    De son fonctionnement

    Article 4. La Chambre des Clercs débat des relations entre l’Église de Bretagne et les autorités temporelles bretonnes, en particulier :
    - elle veille aux relations avec les autres assemblées géo-dogmatiques ecclésiastiques, en restant pieuse fille de l'église romaine ;
    - elle veille à transmettre et proposer aux congrégations romaines toute initiative, action ou personne pouvant concourir à la réalisation de leur mission ;
    - elle jouit également des compétences établies par le Droit Canon de manière générale qui ne seraient prévues par ce texte.

    Article 5. Les décisions sont prises par vote à la majorité simple des votants.

    Article 6. Tous les membres de la Chambre des Clercs peuvent participer aux débats, mais seuls les membres de droit peuvent lancer une consultation et voter.

    Article 7. Le vote doit toujours être précédé d'une période de débat d'un minimum de cinq jours. Il doit en outre être ouvert pendant une période de huit jours.

      Article 7.1 Le vote peut être lancé immédiatement et le délai de vote raccourci à trois jours en cas d'urgence et en accord avec le primat.

      Article 7.2. Le vote devra toujours comporter une possibilité de voter blanc ainsi qu'une possibilité de voter contre.


    Rédigé et proposé par Son Éminence Cathelineau Botherel de Canihuel, Primat de Bretagne, Evêque In Partibus d'Acropolis.
    Débattu et voté par l'Assemblée Épiscopale de Bretagne sous le pontificat du Très Saint Père Innoncent VIII, le douzième jour du mois de mai, le samedi, de l'An de Grâce MCDLXVI.
    Sanctionné et entériné par le Sacré-Collège des Cardinaux, sous le pontificat du Très Saint Père Innoncent VIII, le dix-huitième jour du mois de mai, le vendredi, de l'An de Grâce MCDLXVI.
    Publié par Son Éminence Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome, le dix-huitième jour du mois de mai, le vendredi, de l'An de Grâce MCDLXVI.
    Amendé par l'Assemblée Épiscopale de Bretagne sous le pontificat du Très Saint Père Innoncent VIII, le vingt-troisième jour du mois de juin, le samedi, de l'An de Grâce MCDLXVI.
    Sanctionné et entériné par le Sacré-Collège des Cardinaux, sous le pontificat du Très Saint Père Innoncent VIII, l'onzième jour du mois d'août, le samedi, de l'An de Grâce MCDLXVI.
    Revu, corrigé et publié par Son Éminence Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome, le seizième jour du mois de d'août, le jeudi, de l'an de grâce MCDLXVI.

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MessagePosté le: Ven Aoû 24, 2018 10:24 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    Indult pontifical XXV
    Portant sur la présidence du Tribunal Pontifical




    Aux prêtres, abbés, évêques et prélats de la Communion Aristotélicienne,

    En vertu de la loi canonique Can. P-IV-1.2, le Sacré-Collège des Cardinaux, habilité à amender le Droit Canon, a décidé par voie d’Indult l’amendement de la deuxième partie du quatrième livre des canons intitulé « In medio stat Virtus », en modifiant la présidence du Tribunal Pontifical.

    Aussi, Nous, Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, au nom du Souverain Pontife Innocent VIII et sous le regard d’Aristote, avons statué et proclamé, et par notre présent indult perpétuel et définitif, disons, statuons et proclamons les Canons suivants, relatif à la présidence du Tribunal Pontifical :


    Vingt-cinquième Indult Pontifical, Livre 4, Partie II a écrit:


    **Canon originel

      Article 2 : Le Tribunal Pontifical est présidé par le Souverain Pontife, ou en son absence par le cardinal camerlingue, assisté de quatre cardinaux choisis par leurs pairs.

        Article 2.1 : Si le Camerlingue est partie du procès, il est récusé et remplacé par l’Archidiacre ou le Grand Inquisiteur.

      Article 3 : L’instruction du procès est assurée par un des membres du tribunal pontifical désigné à cet effet par le Souverain Pontife, ou en l’absence de celui-ci, par le cardinal camerlingue. Ce cardinal instructeur réunit les preuves, interroge les parties et les témoins, recueille les aveux.


    **Canon modifié

      Article 2 : Le Tribunal Pontifical est ordinairement présidé par le Souverain Pontife, assisté de quatre cardinaux choisis par leurs pairs.

        Article 2.1 : Si le président désigné est indisponible ou partie du procès, il est récusé et remplacé, en succession, par le Camerlingue, l’Archidiacre de Rome, le Grand Inquisiteur Majeur ou le Grand Inquisiteur.

      Article 3 : L’instruction du procès est assurée par un des membres du tribunal pontifical désigné à cet effet par le président. Ce cardinal instructeur réunit les preuves, interroge les parties et les témoins, recueille les aveux.




    À tous, bénédiction apostolique.


    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.


    Donné à Rome, le XXIV du mois de'août, le vendredi, de l'An de Grâce MCDLXVI.





Citation:



    Pontifical indult - XXV
    On the presidency of the Pontifical Tribunal




    To the priests, abbots, bishops and prelates of the Aristotelian Communion,

    According to the Can. P-IV-1.2, the Sacred College of Cardinals, empowered to amend the Canon Law, has decided by way of an indult the amendment of the second part of the fourth book of the cannons titled « In medio stat Virtus », by modifying the presidency of the Pontifical Tribunal.

    Therefore, We, cardinals of the Holy Roman and Aristotelian Church, on behalf of the Pope Innocent VIII and under the eyes of Aristotle, have ruled and proclaimed, and by our present perpetual and definitive indult, declare, rule and proclaim the following Canons, concerning the presidency of the Pontifical Tribunal :


    Twenty-fifth pontifical indult a écrit:


    **Original Canons

      Article 2: The Pontifical Court is presided over by the Pope, or in his absence by the Cardinal Camerlengo, assisted by four cardinals selected by their peers.

        Article 2.1: If the Camerlengo is part of the trial, they are disqualified and replaced by the Archdeacon or the Grand Inquisitor.

      Article 3 : The instruction of the trial is provided by a member of the pontifical court designated for this purpose by the Pope, or in the absence thereof, by the Cardinal Camerlengo. This cardinal instructor brings together evidence, interrogate the parties and witnesses, collects the confessions.



    **Modified Canons

      Article 2 : The Pontifical Court is ordinarily presided by the Pope, assisted by four cardinals selected by their peers.

        Article 2.1 : If the designated president is unavailable or part of the trial, they are recused and replaced, in succession, by the Camerlengo, the Archdeacon of Rome, the Major Grand Inquisitor or the Grand Inquisitor.

      Article 3 : The instruction of the trial is provided by a member of the pontifical court designated for this purpose by the president. This cardinal instructor brings together evidence, interrogate the parties and witnesses, collects the confessions.





    To all, apostolic blessing.


    For the Sacred College of Cardinals,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal Archdeacon of Rome


    Given in Rome, the XXIV of the month of August, a Friday, of the Year of our Lord MCDLXVI.



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MessagePosté le: Mar Sep 04, 2018 4:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    Mitis Iudex Dominus Noster
    On a mortal man and his last days



    Our Lord, the Most High, Creator of everything on Earth and beyond, is a Merciful Judge, ready to welcome all His children after their earthly life to evaluate their soul and reward them according to His Divine Wisdom. To this end, He created two stars above our world, the Sun and the Moon. As He told the first patriarch Oane and Saint Spyosu, those who follow His Word, through the teachings of His Saint Prophets and His Holy Church, will live an eternity of happiness in the Solar Heaven, but those who will defy the Virtues will be thrown into the Lunar Hell and will know nothing but torment. He allowed Saint Spyosu, who journeyed the Sun and the Moon, to testify his journey « so that all may know which terrible fate awaits them if they are diverted from My love ». One day we will all be summoned before our Heavenly Father and we will hear the same question Saint Spyosu heard: shall we embrace death and face His judgement? The Almighty allowed us to know what happens to sinners so that we could spend our earthly life following His Word and not the evils of the Nameless Creature. Yet, in His Infinite Love for His Creatures, He entrusted the safety of their souls during life to His One Holy Aristotelian Church, founded by Him through the Second Prophet. It is, therefore, the sacred mission of the Holy Church to guide all the faithful with Her teachings on the Path of Virtues and it is up to each and any faithful to follow them so that their fidelity to Him « is that of the children towards their parents ». In this holy duty towards the Faith and the Almighty Himself, the Church acts as a loving mother and as a loving mother is empowered to punish Her children who sin and abandon the Path of Virtues, not for the sake of punishment but to help them to understand their faults and redeem themselves in His eyes. Yet, although the children may leave unanswered the scolding call of the Mother, whose only purpose and goal is to teach them the Virtues, they will then have to face the inevitable judgment of the Father, with the ignominious stain of having disobeyed His Loving Spouse.

    In these days we have received and heard the request of an Aristotelian Funeral for the late Freas von Araja. Despite the final judgement belongs only to the Most High, the Holy Mother Church must watch over Her children and act in consequence of their actions. It is therefore by virtue of sacred mission entrusted to the Church that we will recall the final actions of the mortal man Freas von Araja. Despite his early life suggested he was a good and faithful Aristotelian, after his election as sovereign he has failed his duty as Holy Roman Emperor and Defender of the Faith several times, ostensibly disrespecting and unilaterally breaking the Imperial Concordat, violating the provisions of the Imperial Magna Charta and, most importantly, abandoning his own faith in favour of heterodoxy, schism and heresy. The only explanation for all these actions is Freas von Araja either was possessed by an evil spirit or willingly sold his soul to the Nameless Creature for the vanity of earthly glory.

    Firstly, against the advice of his religious advisors and the teachings of the Holy Church, he tolerated blasphemous, schismatic and heretical actions in the Duchy of Modena, even allowing an excommunicated and schismatic person as its regent, a recognition he would only withdraw when the heterodox advocated, as it is in the nature of corrupted souls, open rebellion to the imperial authority. He didn't object when the said person broke the local Concordat nor when a schismatic sect was later officially sanctioned and recognised. Even when the Holy Church, striving to help her lost children and guide them to redemption, agreed on a common solution, he publicly stated that all the judgments rendered by the Holy Inquisition were null and unjust, despite this was clearly false and in contrast with the two joint announcements he had signed not long before. This way, he committed his first actions against the Faith and became guilty of perjury, having failed the oath, taken during his coronation, to be an Aristotelian faithful and a Defender of the Faith.

    Not long after that coronation, he granted the keys of the Cathedral of Salzburg, keys that he should instead have immediately given back to the Holy Church to whom alone they belong, to yet another heretic that he recognised as bishop and accepted and recognised the openly schismatic and excommunicated Adam Fugger as his lawful vassal and Duke of Styria with full rights in all imperial institutions. Moreover, he tolerated the practices and the erroneous beliefs of the heretical and schismatic sect called "Reformed Aristotelian Church" not only in Styria, where it resides, but also in the territories of the German Kingdom, which had previously banned this sect and its followers. Once more, he failed his oath and betrayed his faith.

    Just a few days later, he again made false statements and published an announcement in which, among other things, he blamed the Holy Institution for She accomplished Her sacred mission, falsely claimed the Holy Father granted him the power to appoint bishops, a power that we recall belongs only to the Holy See and its institutions, issued orders to the Holy Church, tried to usurp the powers of the Holy Inquisition, forbade the Church to attend her duties, tried to limit Her prerogatives by carving the constitutionally guaranteed autonomy of the Imperial Provinces and, finally, unilaterally broke the Imperial Concordat, an act that is in its own essence heretical and against the Aristotelian Faith. Once again, this bewitched man had failed his oath not only to Defend the Faith, that he instead openly defied and attacked, but also towards the Holy Empire and its Provinces, adding perjury to perjury and heterodoxy to heterodoxy. By his own actions, Freas von Araja recanted his faith, the One True Faith he swore to protect, and excluded himself from the Aristotelian Community, putting himself under excommunication latæ sententiæ.

    Taking advantage of the absence of the Imperial Concordat, he freely extended his abuses and persecutions against the Faith and the faithful. He now used the aforementioned schismatic sect "RAK" as an instrument to blackmail faithful and the Holy Church alike to satisfy his personal desires. He ordered all the decrees previously issued to protect the people against heretical sects to be dissolved, thus allowing any kind of heretical proselytism, around the whole German Kingdom and within the Principality of Mainz. He once again tried to break every single concordat made with local provinces to separate the Holy Mother Church and Her children. Finally, as a final act of defiance, he offered a member of the German clergy the leadership of schismatic sect that he planned to establish under the control and the protection of the Empire to oppose the One True Church, established by the Almighty Himself.

    Notwithstanding all these mischieving deeds, the Holy Mother Church, faithful to the heavenly mandate He bestowed unto Her, opened Her arms to embrace this fallen child of the Almighty and tried to bring him back to the flock of Aristotelian Community explaining him his faults and how to make amend. But it wasn't the explanations of his Loving Mother nor his faith in the Most High to convert him, but the humble pleas of a pious woman, clearly directed by the Lord as His instrument of Love, he wanted to marry. It was with warm joy that his Holy Mother welcomed his marriage to an exemplary and devoted Aristotelian that would strengthen his wavering faith. His penance accomplished and the Imperial Concordat rightly restored, Freas von Araja saw his past faults and sins pardoned in the name of Aristotelian Friendship and rejoined the Aristotelian Community, thus enabling the celebration of the Sacrament.

    But that conversion wasn't sincere and wouldn't last long. For a second time, he allowed a heretic inside the Cathedral of Salzburg, once again unlawfully disposing of their keys, and never recanted the support he had previously given to the schismatic sect of Styria, failing in any possible way his role as Defender of the Faith. Even worse, just some months ago he granted the keys of another Cathedral, that of Geneva, to a member of the schismatic "reformed" sect, in spite of the pleas of his vassal the Duke of Savoy and the rightful candidate the Holy Church had already arranged for.

    How should the Holy Church, Loving Mother of all Her children, act before a man who twice refused Her call and even dared to lie with false apologies? It is the Saint Prophet Aristotle to teach us. When the Prophet met the hermit, who had willingly excluded himself of the City and lived alone, he first explained to him that a man can't live outside of the City, but when the hermit refused, again excluding himself, the Prophet left him alone and departed. In the same way, the Holy Mother Church explained this lost child of Hers that he couldn't live outside of the City, but he again refused and willingly excluded himself from the Aristotelian Community for the second time. The Holy Church will then follow the example of the First Prophet of the Most High.

    Therefore, the mortal remains of Freas von Araja will not be granted an Aristotelian funeral nor burial of any sort, no mass will be celebrated in his memory and no commemoration will be allowed to take place. Each and every faithful, no matter of what rank or status, is forbidden, under penalty of excommunication, to enact or attend any of the aforementioned actions or any other action having similar purposes. Those who wish to alleviate the sufferance of this lost soul are allowed to privately pray for the Divine Mercy of our Heavenly Father.

    May Our Lord the Almighty be lenient in His Judgment.




    Given in Rome under the pontificate of the Holy Father Innocent VIII, the IV day of the month of September of the Year of Grace MCDLXVI.




Code:
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[list][img]http://img11.hostingpics.net/pics/148483Vatican200.png[/img]

[color=#FFCC00][b][size=18]Mitis Iudex Dominus Noster[/size][/b]
 On a mortal man and his last days[/color]


[i]Our Lord, the Most High,  Creator of everything on Earth and beyond, is a Merciful Judge, ready to welcome all His children after their earthly life to evaluate their soul and reward them according to His Divine Wisdom. To this end, He created two stars above our world, the Sun and the Moon. As He told the first patriarch Oane and Saint Spyosu, those who follow His Word, through the teachings of His Saint Prophets and His Holy Church, will live an eternity of happiness in the Solar Heaven, but those who will defy the Virtues will be thrown into the Lunar Hell and will know nothing but torment. He allowed Saint Spyosu, who journeyed the Sun and the Moon, to testify his journey « so that all may know which terrible fate awaits them if they are diverted from My love ». One day we will all be summoned before our Heavenly Father and we will hear the same question Saint Spyosu heard: shall we embrace death and face His judgement? The Almighty allowed us to know what happens to sinners so that we could spend our earthly life following His Word and not the evils of the Nameless Creature. Yet, in His Infinite Love for His Creatures, He entrusted the safety of their souls during life to His One Holy Aristotelian Church, founded by Him through the Second Prophet. It is, therefore, the sacred mission of the Holy Church to guide all the faithful with Her teachings on the Path of Virtues and it is up to each and any faithful to follow them so that their fidelity to Him « is that of the children towards their parents ». In this holy duty towards the Faith and the Almighty Himself, the Church acts as a loving mother and as a loving mother is empowered to punish Her children who sin and abandon the Path of Virtues, not for the sake of punishment but to help them to understand their faults and redeem themselves in His eyes. Yet, although the children may leave unanswered the scolding call of the Mother, whose only purpose and goal is to teach them the Virtues, they will then have to face the inevitable judgment of the Father, with the ignominious stain of having disobeyed His Loving Spouse.

In these days we have received and heard the request of an Aristotelian Funeral for the late Freas von Araja. Despite the final judgement belongs only to the Most High, the Holy Mother Church must watch over Her children and act in consequence of their actions. It is therefore by virtue of sacred mission entrusted to the Church that we will recall the final actions of the mortal man Freas von Araja. Despite his early life suggested he was a good and faithful Aristotelian, after his election as sovereign he has failed his duty as Holy Roman Emperor and Defender of the Faith several times, ostensibly disrespecting and unilaterally breaking the Imperial Concordat, violating the provisions of the Imperial Magna Charta and, most importantly, abandoning his own faith in favour of heterodoxy, schism and heresy. The only explanation for all these actions is Freas von Araja either was possessed by an evil spirit or willingly sold his soul to the Nameless Creature for the vanity of earthly glory.

Firstly, against the advice of his religious advisors and the teachings of the Holy Church, he tolerated blasphemous, schismatic and heretical actions in the Duchy of Modena, even allowing an excommunicated and schismatic person as its regent, a recognition he would only withdraw when the heterodox advocated, as it is in the nature of corrupted souls, open rebellion to the imperial authority. He didn't object when the said person broke the local Concordat nor when a schismatic sect was later officially sanctioned and recognised. Even when the Holy Church, striving to help her lost children and guide them to redemption, agreed on a common solution, he publicly stated that all the judgments rendered by the Holy Inquisition were null and unjust, despite this was clearly false and in contrast with the two joint announcements he had signed not long before. This way, he committed his first actions against the Faith and became guilty of perjury, having failed the oath, taken during his coronation, to be an Aristotelian faithful and a Defender of the Faith.

Not long after that coronation, he granted the keys of the Cathedral of Salzburg, keys that he should instead have immediately given back to the Holy Church to whom alone they belong, to yet another heretic that he recognised as bishop and accepted and recognised the openly schismatic and excommunicated Adam Fugger as his lawful vassal and Duke of Styria with full rights in all imperial institutions. Moreover, he tolerated the practices and the erroneous beliefs of the heretical and schismatic sect called "Reformed Aristotelian Church" not only in Styria, where it resides, but also in the territories of the German Kingdom, which had previously banned this sect and its followers. Once more, he failed his oath and betrayed his faith.

Just a few days later, he again made false statements and published an announcement in which, among other things, he blamed the Holy Institution for She accomplished Her sacred mission, falsely claimed the Holy Father granted him the power to appoint bishops, a power that we recall belongs only to the Holy See and its institutions, issued orders to the Holy Church, tried to usurp the powers of the Holy Inquisition, forbade the Church to attend her duties, tried to limit Her prerogatives by carving the constitutionally guaranteed autonomy of the Imperial Provinces and, finally, unilaterally broke the Imperial Concordat, an act that is in its own essence heretical and against the Aristotelian Faith. Once again, this bewitched man had failed his oath not only to Defend the Faith, that he instead openly defied and attacked, but also towards the Holy Empire and its Provinces, adding perjury to perjury and heterodoxy to heterodoxy. By his own actions, Freas von Araja recanted his faith, the One True Faith he swore to protect, and excluded himself from the Aristotelian Community, putting himself under excommunication latæ sententiæ.

Taking advantage of the absence of the Imperial Concordat, he freely extended his abuses and persecutions against the Faith and the faithful. He now used the aforementioned schismatic sect "RAK" as an instrument to blackmail faithful and the Holy Church alike to satisfy his personal desires. He ordered all the decrees previously issued to protect the people against heretical sects to be dissolved, thus allowing any kind of heretical proselytism,  around the whole German Kingdom and within the Principality of Mainz. He once again tried to break every single concordat made with local provinces to separate the Holy Mother Church and Her children. Finally, as a final act of defiance, he offered a member of the German clergy the leadership of schismatic sect that he planned to establish under the control and the protection of the Empire to oppose the One True Church, established by the Almighty Himself.

Notwithstanding all these mischieving deeds, the Holy Mother Church, faithful to the heavenly mandate He bestowed unto Her, opened Her arms to embrace this fallen child of the Almighty and tried to bring him back to the flock of Aristotelian Community explaining him his faults and how to make amend. But it wasn't the explanations of his Loving Mother nor his faith in the Most High to convert him, but the humble pleas of a pious woman, clearly directed by the Lord as His instrument of Love, he wanted to marry. It was with warm joy that his Holy Mother welcomed his marriage to an exemplary and devoted Aristotelian that would strengthen his wavering faith. His penance accomplished and the Imperial Concordat rightly restored, Freas von Araja saw his past faults and sins pardoned in the name of Aristotelian Friendship and rejoined the Aristotelian Community, thus enabling the celebration of the Sacrament.

But that conversion wasn't sincere and wouldn't last long. For a second time, he allowed a heretic inside the Cathedral of Salzburg, once again unlawfully disposing of their keys, and never recanted the support he had previously given to the schismatic sect of Styria, failing in any possible way his role as Defender of the Faith. Even worse, just some months ago he granted the keys of another Cathedral, that of Geneva, to a member of the schismatic "reformed" sect, in spite of the pleas of his vassal the Duke of Savoy and the rightful candidate the Holy Church had already arranged for.

How should the Holy Church, Loving Mother of all Her children, act before a man who twice refused Her call and even dared to lie with false apologies? It is the Saint Prophet Aristotle to teach us. When the Prophet met the hermit, who had willingly excluded himself of the City and lived alone, he first explained to him that a man can't live outside of the City, but when the hermit refused, again excluding himself, the Prophet left him alone and departed. In the same way, the Holy Mother Church explained this lost child of Hers that he couldn't live outside of the City, but he again refused and willingly excluded himself from the Aristotelian Community for the second time. The Holy Church will then follow the example of the First Prophet of the Most High.

Therefore, the mortal remains of Freas von Araja will not be granted an Aristotelian funeral nor burial of any sort, no mass will be celebrated in his memory and no commemoration will be allowed to take place. Each and every faithful, no matter of what rank or status, is forbidden, under penalty of excommunication, to enact or attend any of the aforementioned actions or any other action having similar purposes. Those who wish to alleviate the sufferance of this lost soul are allowed to privately pray for the Divine Mercy of our Heavenly Father.

May Our Lord the Almighty be lenient in His Judgment. [/i]



[i]Given in Rome under the pontificate of the Holy Father Innocent VIII, the IV day of the month of September of the Year of Grace MCDLXVI.[/i]

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MessagePosté le: Mer Sep 05, 2018 11:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    Auctoritas Defendendi Fidei

      «In truth, I will tell you: God conferred me the authority so that I can protect the Church established by Christos throughout the whole Roman Empire. You can already see a clear sign of it.». Indeed, a halo had appeared on the head of the Basileus, the sword burned with a pure white light and the map shone with a thousand lights making the imperial territories shine.
      (Hagiography of Saint Justinian)


    We, members of the Sacred College, in the unity of Church and of intentions, announce to all the faithful in Aristotle and Christos our support for the candidate in the upcoming Imperial elections.

    As Saint Justinian in the past, the Emperor is the bulwark that defends the faithful and the Church built by the Almighty through the Second Prophet Christos and led by Saint Titus and his Successors.

    A sword wielded without the Grace of God neither shines nor illuminates the territories of any Empire, but abandons the sons of the Most High in the darkness of fear, of superstition, of dissension. For too long the Nameless Creature has been nourished by the horrors of heresy and sedition, the time has finally come for a new Emperor to brighten the fate of the Empire with his faith and defend the Holy Church and Her faithful children with his sword.

    The Holy Roman and Universal Church, having greatly pondered on the remarkable persons that today submit themselves to the will of people, being aware of the vital need to once again have an authentical "Defensor Fidei" on the imperial throne, a throne whose very essence resides in the guidance of the faithful, has elected Her Ladyship Isabella Esmengarda Borgia Barbarigo [ Esmengarda ] as the most suitable candidate to lead the Roman Empire and its people.

    We are sure that she will be the good ruler, enlightened by the Most High, who will once again restore peace and order, concord between the Holy Church and Her children and lead the Imperial people to its past greatness.

    We, therefore, call all the clerics and laymen who hold In Gratibus seats of the Holy Church to vote for this valuable candidate chosen by the College of Cardinals and We suggest to our children in the Aristotelian Faith to support our decision both in spirit and body.



    Done at Rome by the Sacred College of Cardinals under the pontificate of His Holiness Pope Innocent VIII on the fifth day of September of the year of grace MCDLXI




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[color=#FFCC00][b][size=18]Auctoritas Defendendi Fidei[/size][/b][/color]

[list][i]«In truth, I will tell you: God conferred me the authority so that I can protect the Church established by Christos throughout the whole Roman Empire. You can already see a clear sign of it.». Indeed, a halo had appeared on the head of the Basileus, the sword burned with a pure white light and the map shone with a thousand lights making the imperial territories shine.
[size=9](Hagiography of Saint Justinian)[/size]
[/i][/list]

[i]We, members of the Sacred College, in the unity of Church and of intentions, announce to all the faithful in Aristotle and Christos our support for the candidate in the upcoming Imperial elections.

As Saint Justinian in the past, the Emperor is the bulwark that defends the faithful and the Church built by the Almighty through the Second Prophet Christos and led by Saint Titus and his Successors.

A sword wielded without the Grace of God neither shines nor illuminates the territories of any Empire, but abandons the sons of the Most High in the darkness of fear, of superstition, of dissension. For too long the Nameless Creature has been nourished by the horrors of heresy and sedition, the time has finally come for a new Emperor to brighten the fate of the Empire with his faith and defend the Holy Church and Her faithful children with his sword.

The Holy Roman and Universal Church, having greatly pondered on the remarkable persons that today submit themselves to the will of people, being aware of the vital need to once again have an authentical "Defensor Fidei" on the imperial throne, a throne whose very essence resides in the guidance of the faithful, has elected [color=brown]Her Ladyship Isabella Esmengarda Borgia Barbarigo [size=9][ Esmengarda ][/size][/color] as the most suitable candidate to lead the Roman Empire and its people.

We are sure that she will be the good ruler, enlightened by the Most High, who will once again restore peace and order, concord between the Holy Church and Her children and lead the Imperial people to its past greatness.

We, therefore, call all the clerics and laymen who hold In Gratibus seats of the Holy Church to vote for this valuable candidate chosen by the College of Cardinals and We suggest to our children in the Aristotelian Faith to support our decision both in spirit and body.



Done at Rome by the Sacred College of Cardinals under the pontificate of His Holiness Pope Innocent VIII on the fifth day of September of the year of grace MCDLXI[/i]

[/list][/quote][img]http://imgur.com/sc6Uspk.png[/img]

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MessagePosté le: Ven Sep 28, 2018 5:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    Indult pontifical XXVI
    Portant sur la révision des jugements de dissolution




    Aux prêtres, abbés, évêques et prélats de la Communion Aristotélicienne,

    En vertu de la loi canonique Can. P-IV-1.2, le Sacré-Collège des Cardinaux, habilité à amender le Droit Canon, a décidé par voie d’Indult l’amendement de la deuxième partie du premier livre des canons intitulé « Ad mundi salutem per sanctificationem », en modifiant la révision des jugements de dissolution.

    Aussi, Nous, Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, au nom du Souverain Pontife Innocent VIII et sous le regard d’Aristote, avons statué et proclamé, et par notre présent indult perpétuel et définitif, disons, statuons et proclamons les Canons suivants, relatif à la révision des jugements de dissolution :


    Vingt-sixième Indult Pontifical, Livre 1, Partie II a écrit:


    **Canon originel

      Article 11 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, ont toute autorité quant à la dissolution du sacrement du mariage, à l’imposition d’une peine punitive ou expiatoire, à la révision de celle soumise par l’Officialité, aux interdictions frappant l’un ou les conjoints.

        - Article 11.1 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, sont habilités à réviser leur jugement après douze mois de délai expiatoire.


    **Canon modifié

      Article 11 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, ont toute autorité quant à la dissolution du sacrement du mariage, à l’imposition d’une peine punitive ou expiatoire, à la révision de celle soumise par l’Officialité, aux interdictions frappant l’un ou les conjoints.

        - Article 11.1 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, sont les seuls, excepté le Sacré Collège et le Pape, habilités à réviser leur jugement.




    À tous, bénédiction apostolique.


    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.


    Donné à Rome, le XXIIX du mois de septembre, le vendredi, de l'An de Grâce MCDLXVI.



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MessagePosté le: Ven Sep 28, 2018 5:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Démission de Son Éminence Elena Costanza Della Scala



    Nous, Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, à titre de Cardinal-Archidiacre de Rome,
    Au nom des Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne rassemblés dans le Sacré-Collège, devant le Tout Puissant et sous le regard d'Aristote, par le grâce de Dieu et du Pape Innocent VIII,


      Avons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, disons, statuons et ordonnons l'acceptation de la démission de Son Éminence Elena Costanza Della Scala [ Solex ] du rang de Cardinal Romain Électeur et Vice-Chancelier de la Chancellerie Apostolique.

      Le Sacré-Collège la remercie pour ses années de service auprès de l'Église et lui souhaite une bonne suite, à titre de Cardinal Romain Émérite conformément au Can. 5.II.10.3.


    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.




    Donné à Rome le XXIIX jour du IX mois de l'An de Grâce MCDLXVI.


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MessagePosté le: Lun Oct 01, 2018 4:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Habemus Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalem Camerarium


    Nous, Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote, par la grâce de Dieu et de Sa Sainteté Innocent le huitième,



      Faisons annonce de :


      L'élection de Son Eminence Attanasio Borgia aux fonctions de Camerlingue de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine.



    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.




    Donné à Rome le I jour du X mois de l'An de Grâce MCDLXVI.



Citation:





    Habemus Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalem Camerarium


    We, Cardinals of the Holy Aristotelian and Roman Church, gathered in the Sacred College, in front of the Most High and under the gaze of Aristotle, by the grace of God and of His Holiness Innocent the eighth,



      Do announce:


      The election of His Eminence Attanasio Borgia to the function of Camerlengo of the Holy Aristotelian and Roman Church.



    Ad Maiorem Dei Gloriam



    For the Sacred College of Cardinals
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal Archdeacon of Rome.




    Given in Rome, the I day of the X month of the Year of Grace MCDLXVI.


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MessagePosté le: Ven Oct 05, 2018 10:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Révocation de Son Éminence NReis Ribeiro de Sousa Coutinho



    Nous, Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, à titre de Cardinal-Archidiacre de Rome,
    Au nom des Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne rassemblés dans le Sacré-Collège, devant le Tout Puissant et sous le regard d'Aristote, par le grâce de Dieu et du Pape Innocent VIII,


      Avons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, disons, statuons et ordonnons la révocation de NReis Ribeiro de Sousa Coutinho [ NReis ] du rang de Cardinal Romain Électeur et Chancelier de la Congrégation du Saint-Office.
      Cette décision est prise suite à sa longue et prolongée absence.

      Le Sacré-Collège prie pour son rétablissement. Conformément au Can. 5.II.10.3, le Sacré-Collège a décidé de lui nommer Cardinal Romain Émérite en raison de son service auprès de l'Église et lui souhaite une bonne suite.


    Ad Maiorem Dei Gloriam

    Donné à Rome le V jour du X mois, de l'An de Grâce MCDLXVI.




    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.


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MessagePosté le: Ven Oct 05, 2018 11:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Constatation et Prononciation d'Excommunication Latae Sententiae



    Nous, Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, à titre de Cardinal-Archidiacre de Rome,
    Au nom des Cardinaux de la Sainte Église Aristotélicienne rassemblés dans le Sacré-Collège, devant le Tout Puissant et sous le regard d'Aristote, par le grâce de Dieu et du Pape Innocent VIII,


      Conformément au Can. 4.V.5, 10, 11, 13 et 20; à cause de ses actions graves et persistantes contraires au Dogme, à la Doctrine et au Droit Canon, pour lequel il est coupable d'apostasie et de schisme,

      Avons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, disons, statuons et ordonnons la constatation et la prononciation de l'excommunication latae sententiae de
      Francesco Ivan Dragone Nero [ Fuego2806 ].

      Par ses actions, il s’est exclu de la Communauté Aristotélicienne. Il ne peut pas recevoir la messe ni les sacrements, y compris l'enterrement dans un lieu consacré.

      Chaque croyant devra l'éviter et lui refuser toute aide, matérielle ou spirituelle. Ceux qui l'accompagne est susceptible d'encourir les mêmes peines.

      La Sainte Mère Eglise, dans s'infinie miséricorde, invite ce fils perdu à se racheter et à faire pénitence, afin de rejoindre la Communauté des croyants.


    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinal-Archidiacre de Rome.




    Donné à Rome le V jour du X mois de l'An de Grâce MCDLXVI.



Citation:





    Constatazione e Pronuncia di Scomunica Latae Sententiae



    Noi, Alfonso Augusto di Foscari Widmann di Ibelin, a titolo di Cardinale Arcidiacono di Roma,
    A nome dei Cardinali della Santa Chiesa Aristotelica riuniti in Sacro Collegio, davanti all'Onnipotente e sotto lo sguardo di Aristotele, per grazia di Dio e di Papa Innocenzo VIII,


      Conformemente al Can. 4.V.5, 10, 11, 13 e 20; a causa delle sue azioni gravi e persistenti contrarie al Dogma, alla Dottrina e al Diritto Canonico, per le quali si è reso colpevole di apostasia e scisma,

      Abbiamo stabilito e ordinato, e con il nostro presente editto perpetuo e definitivo, diciamo, stabiliamo e ordiniamo la constatazione e la pronuncia della scomunica latae sententiae di
      Francesco Ivan Dragone Nero [ Fuego2806 ].

      Con le sue stesse azioni, egli si è escluso dalla Comunità Aristotelica. Non può ricevere la messa né i sacramenti, compresa la sepoltura in un luogo consacrato.

      Ogni credente dovrà evitarlo e rifiutargli ogni aiuto, materiale o spirituale. Coloro che gli si accompagnano rischiano di subire le stesse sanzioni.

      Santa Madre Chiesa, nella sua infinita misericordia, invita questo figlio perduto a redimersi e a fare penitenza, per ricongiungersi con la Comunità dei credenti


    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Per il Sacro Collegio dei Cardinali,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinale Arcidiacono di Roma.




    Dato a Roma il V giorno del X mese dell'Anno di Grazia MCDLXVI.


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Sixtus
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MessagePosté le: Ven Oct 05, 2018 11:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Conformità al Dogma e al Diritto Canonico degli emendamenti allo Statuto della Primazia degli Stati Pontifici e del Regno delle Due Sicilie




    Noi, Alfonso Augusto di Foscari Widmann di Ibelin, a titolo di Cardinale Arcidiacono di Roma,
    A nome dei Cardinali della Santa Chiesa Aristotelica riuniti in Sacro Collegio, davanti all'Onnipotente e sotto lo sguardo di Aristotele, per grazia di Dio e di Papa Innocenzo VIII,



      Abbiamo stabilito e ordinato, e con il nostro presente editto perpetuo e definitivo, diciamo, stabiliamo e ordiniamo la pubblicazione degli emendamenti allo Statuto della Primazia degli Stati Pontifici e del Regno delle Due Sicilie, recentemente approvati dai vescovi del Meridione e ratificati dal Sacro Collegio.

      I suddetti emendamenti sono quindi pienamente conformi al Dogma e al Diritto Canonico e hanno pieno valore dal momento di questa pubblicazione.



    Ad Maiorem Dei Gloriam



    Per il Sacro Collegio dei Cardinali,
    Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin, Cardinale Arcidiacono di Roma.




    Dato a Roma il V giorno del X mese dell'Anno di Grazia MCDLXVI.




Citation:

Versione precedente:
    Art. 1.1 - I membri di diritto del Consiglio Episcopale dispongono del diritto di parola e del diritto e del dovere di voto.
    Sono membri di diritto del Consiglio Episcopale gli Arcivescovi Metropolitani , i Vescovi ed Arcivescovi Suffraganti la cui giurisdizione tocca totalmente o in parte le terre degli Stati Pontifici e e del Regno delle Due Sicilie.
    Si aggiungono inoltre i Vescovi in partibus residenti nei territori del Consiglio così come i Vescovi emeriti del Consiglio Episcopale degli Stati Pontifici e del Regno delle Due Sicilie.

    Art. 1.2- I consulenti ammessi al Consiglio Episcopale dispongono del diritto di parola. Sono consulenti i Protonotariati Apostolici della Congregazione degli Affari del Secolo, il Sotto-Segretario Apostolico dello Sring Italico e il Segretario Apostolico delle Sicilie, i Rettori di ordini religiosi riconosciuti e i Gran Maestri di ordini militaro-religiosi riconosciuti presenti sul territorio dell'Assemblea Episcopale, i Cardinali Elettori del Sacro Collegio.

    Art. 3.8 - Il Concilio Episcopale degli Stati Pontifici e del Regno delle Due Sicilie nomina e revoca liberamente tramite voto a maggioranza semplice gli Arcivescovi della Chiesa della Assemblea Episcopale, o considerati come tali in virtù del Libro Terzo del Corpus Iuris Canonici.
    il Vicarius Urbis viene nominato dal Sacro Collegio Cardinalizio, mentre l'assemblea episcopale fornira' i nomi dei candidati che saranno quindi votati dalla curia.


Versione emendata:

    Art. 1.1 - I membri di diritto dell'Assemblea Episcopale dispongono del diritto di parola e del diritto e dovere di voto. Sono membri di diritto dell'Assemblea Episcopale:
    - Il Vicario di Roma;
    - L'Arcivescovo di Capua;
    - I Vescovi aventi sede all'interno del territorio della Primazia;
    - Gli Arcivescovi e i Vescovi Emeriti legati a una sede all'interno del territorio della Primazia;
    - Gli Arcivescovi e i Vescovi In Partibus residenti all'interno del territorio della Primazia;
    - I Cardinali, Romani o Nazionali, residenti all'interno del territorio della Primazia.

    Art. 1.2 - I consulenti ammessi al Consiglio Episcopale dispongono del solo diritto di parola. Sono consulenti ammessi di diritto:
    - I Cardinali, Romani e Nazionali, non residenti all'interno del territorio della Primazia;
    - I Protonotariati Apostolici della Congregazione degli Affari del Secolo;
    - Il Segretario Apostolico per le Due Sicilie;
    - Il Sotto-Segretario Apostolico per lo Sring Italico;
    - I Rettori di Ordini Religiosi Romani presenti all'interno del territorio della Primazia;
    - I Gran Maestri di Ordini Militari Religiosi all'interno del territorio della Primazia;
    - Ogni altro membro del clero, laico o ordinato, che venga ammesso dall'Assemblea Episcopale, tramite voto a maggioranza semplice.

    Art. 3.8 - L'Arcivescovo di Capua è nominato e revocato, liberamente e tramite voto a maggioranza semplice, dall'Assemblea Episcopale.
    Il Sommo Pontefice, Vescovo di Roma, è di diritto Arcivescovo e Metropolita della Provincia Ecclesiastica di Roma, la cui cura, sotto ogni aspetto, è delegata a un Vicario con rango di Arcivescovo Metropolitano.
    Al Vicario di Roma spettano, come se ne fosse pienamente titolare, tutti i diritti e doveri relativi alla cura della Provincia Ecclesiastica di Roma, per cui è unico responsabile.
    Il Vicario di Roma viene nominato dal Santo Padre o, su sua delega, dal Sacro Collegio dei Cardinali su proposta dell'Assemblea Episcopale, che presenterà i candidati con le relative referenze.
    Il Vicario di Roma può essere rimosso unicamente su proposta dell'Assemblea Episcopale, tramite voto a maggioranza semplice, e con l'approvazione del Santo Padre o, su sua delega, dal Sacro Collegio dei Cardinali, o direttamente da questi ultimi.

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Pie de Valence
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MessagePosté le: Sam Oct 06, 2018 8:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Un sacre nul et non-avenu

Nous, Consistoire Pontifical Francophone,


- constatant l'absence de gestes en faveur de l'Eglise depuis l'annonce d'un éventuel sacre,
- constatant que la Reine a nommé à l'Archevêché de Tours une personne en toute violation des règles du Droit Canon et que cette personne se dit, de façon illégale, Archevêque de Tours,
- constatant, en outre, que le Primat de France ne pouvait proposer à la Reine d'être sacrée sans consulter l'AEF par un vote formel afin d'obtenir son autorisation,
- constatant enfin que c'est par hasard, et par une affiche parvenue jusqu'à Rome que l'Eglise a été prévenue de la tenue du sacre,

Déclarons ce qui suit:

Le sacre de la Reine de France, qui était apparemment prévu pour le 6 octobre 1466 à Notre-Dame de Paris, est nul et non-avenu, tant en raison de vice de forme et de procédures au sein de l'Eglise que du comportement et des décisions personnelles de la Reine qui ne pouvait ignorer qu'elle violait ouvertement le Droit Canon en acceptant l'usurpation du siège de Tours.



Rédigé et scellé au nom du Consistoire Pontifical Francophone par nous, Pie II de Valence, cardinal national électeur, le 3 octobre 1466, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocent VIII.



SE Pie II de Valence,
Cardinal et Archevêque- honoraire de Lyon





Code:

[quote][img]http://i.imgur.com/lVhevRz.png[/img]


[b][color=darkblue][size=18]Un sacre nul et non-avenu[/size][/color] [/b]

[i]Nous, Consistoire Pontifical Francophone,[/i]


[b]- constatant l'absence de gestes en faveur de l'Eglise depuis l'annonce d'un éventuel sacre,
- constatant que la Reine a nommé à l'Archevêché de Tours une personne en toute violation des règles du Droit Canon et que cette personne se dit, de façon illégale, Archevêque de Tours,
- constatant, en outre, que le Primat de France ne pouvait proposer à la Reine d'être sacrée sans consulter l'AEF par un vote formel afin d'obtenir son autorisation,
- constatant enfin que c'est par hasard, et par une affiche parvenue jusqu'à Rome que l'Eglise a été prévenue de la tenue du sacre,

[u]Déclarons ce qui suit[/u]:

[color=brown]Le sacre de la Reine de France, qui était apparemment prévu pour le 6 octobre 1466 à Notre-Dame de Paris, est nul et non-avenu[/color], tant en raison de vice de forme et de procédures au sein de l'Eglise que du comportement et des décisions personnelles de la Reine qui ne pouvait ignorer qu'elle violait ouvertement le Droit Canon en acceptant l'usurpation du siège de Tours.[/b]


[i]Rédigé et scellé au nom du Consistoire Pontifical Francophone par nous, Pie II de Valence, cardinal national électeur, le 3 octobre 1466, sous le pontificat de Sa Sainteté Innocent VIII. [/i]

[img]http://img94.xooimage.com/files/8/e/a/sceaupieiiior-3bb1f90.gif[/img]
[i]
SE Pie II de Valence,
Cardinal et Archevêque- honoraire de Lyon[/i]

[/quote][color=indigo][/color]

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"Le modernisme n'est ni une dérive, ni une horreur, ni une maladie honteuse. C'est le terreau de la rénovation de l'Eglise, la terreur des conservateurs, l'air pur qui vivifiera la foi" (Pie II de Valence)
"On n'est jamais dans le mensonge quand on prêche la paix et l'apaisement, toujours quand on prêche la haine d'autrui" (Pie II de Valence)
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MessagePosté le: Lun Oct 08, 2018 12:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




    Veni Creator Spiritus
    Du Sacre Royal





    Nous, Son Éminence Révérendissime Hull de Northshire,

      Eminentissimus ac Reverendissimus Dominus Hull Sanctæ Romanæ Ecclesiæ cardinalis de Northshire, Cardinal Romain Électeur de Sainte-Raphaëlle-Archange, Second Cardinal-Connétable de Rome, Vice-Chancelier de la Congregatio Sanctorum Exercituum, Cardinal-Archevêque Sine Cura de Ferrara, Cardinal-Archevêque d'Aix-en-Provence, Titulaire de l'Archevêché In Partibus de Thèbes, Cardinal-Inquisiteur, Cardinal-Gouverneur de Ferrara, Commissionnaire de la Pénitencerie Apostolique, Aumônier Général des Saintes Armées, Grand-Officier Héraut Émérite des Collèges Héraldiques Pontificaux, Premier Doyen du Sacré Ordre de l'Étoile de Christos, Doyen du Séminaire Primaire de Provence, Grand Exorciste & Professeur de la Confrérie, Vice-Préfet francophone de la Villa San Loyats, Herold ès Teutonicus, Missus Inquisitionis, Vicaire d'Aix-en-Provence, Prinzregent von Ordensstaat, Principe reggente di San Marino, Duca di Ferrara, Markgraf von Memel, Sovereign Earl of Lundy, Comte de Bulle, Fürstabt Stablo-Malmedy, Vicomte de Varambon, Burggraaf von Windenburg, Seigneur Banneret de La Barre, Landmeister de La Combe Bleue et Nans-les-Pins, Chevalier de l'Ordre Teutonique, Président du Souverain Sénat de Savoie, Grand-Officier de l'Étoile d'Aristote, Commandeur de l'Ordre pontifical de Nicolas V, Commandeur de l'Ordre Honorifique du Duché de Savoie, Chevalier de l'Ordre de Volpone, Chevalier du Sacré Ordre des Anatidés,


    En notre qualité de Gardien de la Foy, Prétendant à la Paix, Amoureux de la Justice, Dévoué au Très-Haut, Serviteur de Sa Sainteté et des Ouailles de Dieu,


      Nous avons été personnellement fort déçus de quelques événements entourant le Sacre Royal, proclamé pour sa Majesté Rose de Leffe, le 6 octobre de cette année. En effet, de nombreux manquements sont visibles dans la communication, que ce soit au niveau séculier ou dans les diverses organes de la Sainte Église. Notamment, les discussions que nous vîmes étaient frénétiques et loin du niveau de calme nécessaire pour gérer cette situation délicate.

      Nous fûmes désolés de voir le manque de communication entre la Couronne de France et la Sainte Église. Malheureusement, nous soulignons qu'il y a aussi eu un grand tord dans la communication interne de la Sainte Église, et que la résolution émise par le Consistoire Pontificale Francophone fut quelque peu trop hâtive. Nous commentons aussi sur la publication tardive de cette décision, portant encore plus à confusion toute cette affaire.

      Nous avons constaté que, malgré les discussions au sein de l'Assemblée Épiscopale de France, la seule communication émise fut celle du Consistoire, qui portait des informations hâtivement tirés. Les raisons, justes à première vue, ne considèrent point les raisons dogmatiques et canoniques qui l'Église pouvait citer.

      Nous prenons acte sur des échanges écrites bien détaillées, communiqué à Son Eminence Estevan de Mortelane, Cardinal Romain Électeur, et à Monseigneur Bardieu, confesseur personnel de la Reine et Archevêque Métropolitain. De ces communications, nous pouvons voir une fidèle étant étonné de la soudaine communication de la Sainte Église, surprise de voir le Sacre déclaré nul par son Éminence Pie de Valence et le Consistoire Pontifical Francophone. Ainsi donc, nous portâmes bien attention aux faits entourant ce débâcle honteux.

      Nous détaillons maintenant une contre-argumentation. Nous contestons formellement l’argument du Cardinal National Électeur Pie de Valence, indiquant que la couronne de France n’a fait aucun geste envers l’Église. En prenant quelques temps pour regarder les annonces Royales au Louvre, ainsi que les communications interne à l'Assemblée Épiscopale de France, nous constatons que la Couronne de France à nommé les Évêques selon les demandes de ladite Assemblée. Nous ajoutons également que la Couronne de France a publiquement soutenue la Sainte Église en dénonçant le vile pillage du Diocèse de Rodez par Namaycush Salmo Salar. Nous remercions avec cœur la Reine de France pour ce soutient, qui est un geste rarissime et acté du 3e jour de ce présent mois. Enfin, nous remarquons que les plans du Sacre, disponibles depuis un moment déjà, honorent grandement l'Église par l’attribution des sièges. En effet, nous pouvons constater que les Cardinaux siègent vis-à-vis les Pairs et Grands-Officiers, étant donc honoré avec la position la plus prestigieuse. À la Tribune, les Évêques siègent au côté des Princes de Sang et autres Invités spéciaux, devant la noblesse. Ce geste honore la Sainte Église.

      Nous soulignons l'argument concernant la Cathédrale de Tours qui semble fort pertinent à cette situation. Nous dénonçons l'occupation de cathédrales appartements à la Sainte Église; mais nous devons également souligner que la Reine de France n’a point écrite d'annonce indiquant nomme un Archevêque à Tours. Selon toute vraisemblance, l’ancienne occupante du siège Archiépiscopal a conservé les clés, fortes de sa victoire durant un vote populaire non-reconnu par la Sainte Église. Nous aimerions bien voir le retour des clés au clergé ordonné, mais nous considérons la Reine blanchie de cette accusation. Celle-ci prône l'Amitié Aristotélicienne dans ses correspondances et confessions, et nous la remercions de ne pas faire l’erreur fatidique. Nous rappelons, que le précédent Empereur du Saint-Empire avait soutenue l'usurpation de la cathédrales, menant à son excommunication qui fut maintenue même après son décès. En vertu de quoi, nous pouvons constater que la bonne foy et la mauvaise foy sont nuancées et différentes.

      Nous concédons que le Primat de France a oublié de respecter certaines règles impératives et importantes dans la procédure visant à sacrer un Monarque. À ce titre, nous concédons que le Sacre aurait été vicié dans la forme. Il serait nécessaire, à nos yeux, de le voir remplacé. De plus, l'utilisation de la Sainte Ampoule en dehors de Reims, sans autorisation ni accord, serait un grand affront pour la France ainsi que pour la Sainte Église. Quoi que ce point ne fut jamais écrit dans la résolution du Consistoire, nous en prenons considération. En vertu de quoi, au nom de la Paix et de l'Amitié Aristotélicienne, nous

      Avons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, disons, statuons et proposons le couronnement et Sacre de Sa Majesté Rose de Leffe, le 6 octobre 1466 en Notre-Dame de Paris, en présence du Saint Chrême du Diocèse de Paris. L'administration serait par nos soins, à titre de Cardinal Romain Électeur ayant juridiction spirituel universel.

      Avons statué et ordonné, en ce jour du 6 octobre 1466, de mettre fin à la communication trop souvent tendues ou inexistantes entre nos Institutions. Nous tendons la main à la Couronne de France et à sa Majesté Rose de Leffe, car nous désirons reconnaître sa foy et la Sacrer. Nous désirons tendre la main et arrêter la dégénération de nos liens. Conformément au Droit Canon Can 5-II-2.6, de par notre statut de Cardinal Romain Électeur, nous posons un veto officiel contre quiconque membre du clergé tentera de faire la cérémonie en dehors du cadre spirituel requis pour un Sacre, et de ce fait même nous empêchons quiconque de formellement empêcher cette cérémonie. Rappelons que tout Cardinal peut saisir le Sacré-Collège des Cardinaux afin de faire lever un veto.

      Ayant conscience de la gravité de notre geste, nous mettons foy en Dieu et prions pour une résolution apte. En 3 jours d'observations, écoute et communication, nous avons foy de résoudre un chapitre négatif en ouvrant une épopée à la Gloire de la France et de Dieu.


    Ad majorem Dei gloriam,

    Rédigé, signé & scellé au Louvre, le VIe jour du mois d'Octobre de l'An de Grâce MCDLXVI, sous le pontificat de SS Innocent VIII.








Code:
[quote]
[list][img]https://s20.postimg.cc/xmw4udujh/Sup.Hulllight.png[/img]


[color=darkred][b][i][u][size=20]Veni Creator Spiritus[/size][/u][/i]
[size=16]Du Sacre Royal[/size][/b][/color]




[color=black][b]Nous, Son Éminence Révérendissime Hull de Northshire,[/b]

[list][size=7][b]Eminentissimus ac Reverendissimus Dominus Hull Sanctæ Romanæ Ecclesiæ cardinalis de Northshire, Cardinal Romain Électeur de Sainte-Raphaëlle-Archange, Second Cardinal-Connétable de Rome, Vice-Chancelier de la Congregatio Sanctorum Exercituum, Cardinal-Archevêque [i]Sine Cura[/i] de Ferrara, Cardinal-Archevêque d'Aix-en-Provence, Titulaire de l'Archevêché [i]In Partibus[/i] de Thèbes, Cardinal-Inquisiteur, Cardinal-Gouverneur de Ferrara, Commissionnaire de la Pénitencerie Apostolique, Aumônier Général des Saintes Armées, Grand-Officier Héraut Émérite des Collèges Héraldiques Pontificaux, Premier Doyen du Sacré Ordre de l'Étoile de Christos, Doyen du Séminaire Primaire de Provence, Grand Exorciste & Professeur de la Confrérie, Vice-Préfet francophone de la Villa San Loyats, Herold ès Teutonicus, [i]Missus Inquisitionis[/i], Vicaire d'Aix-en-Provence, Prinzregent von Ordensstaat, Principe reggente di San Marino, Duca di Ferrara, Markgraf von Memel, Sovereign Earl of Lundy, Comte de Bulle, Fürstabt Stablo-Malmedy, Vicomte de Varambon, Burggraaf von Windenburg, Seigneur Banneret de La Barre, Landmeister de La Combe Bleue et Nans-les-Pins, Chevalier de l'Ordre Teutonique, Président du Souverain Sénat de Savoie, Grand-Officier de l'Étoile d'Aristote, Commandeur de l'Ordre pontifical de Nicolas V, Commandeur de l'Ordre Honorifique du Duché de Savoie, Chevalier de l'Ordre de Volpone, Chevalier du Sacré Ordre des Anatidés,[/b][/size][/list]

[b]En notre qualité de Gardien de la Foy, Prétendant à la Paix, Amoureux de la Justice, Dévoué au Très-Haut, Serviteur de Sa Sainteté et des Ouailles de Dieu,[/b]


[list][b]N[/b]ous avons été personnellement fort déçus de quelques événements entourant le Sacre Royal, proclamé pour sa Majesté Rose de Leffe, le 6 octobre de cette année. En effet, de nombreux manquements sont visibles dans la communication, que ce soit au niveau séculier ou dans les diverses organes de la Sainte Église. Notamment, les discussions que nous vîmes étaient frénétiques et loin du niveau de calme nécessaire pour gérer cette situation délicate.

[b]N[/b]ous fûmes désolés de voir le manque de communication entre la Couronne de France et la Sainte Église. Malheureusement, nous soulignons qu'il y a aussi eu un grand tord dans la communication interne de la Sainte Église, et que la résolution émise par le Consistoire Pontificale Francophone fut quelque peu trop hâtive. Nous commentons aussi sur la publication tardive de cette décision, portant encore plus à confusion toute cette affaire.

[b]N[/b]ous avons constaté que, malgré les discussions au sein de l'Assemblée Épiscopale de France, la seule communication émise fut celle du Consistoire, qui portait des informations hâtivement tirés. Les raisons, justes à première vue, ne considèrent point les raisons dogmatiques et canoniques qui l'Église pouvait citer.

[b]N[/b]ous prenons acte sur des échanges écrites bien détaillées, communiqué à Son Eminence Estevan de Mortelane, Cardinal Romain Électeur, et à Monseigneur Bardieu, confesseur personnel de la Reine et Archevêque Métropolitain. De ces communications, nous pouvons voir une fidèle étant étonné de la soudaine communication de la Sainte Église, surprise de voir le Sacre déclaré nul par son Éminence Pie de Valence et le Consistoire Pontifical Francophone. Ainsi donc, nous portâmes bien attention aux faits entourant ce débâcle honteux.

[b]N[/b]ous détaillons maintenant une contre-argumentation. Nous contestons formellement l’argument du Cardinal National Électeur Pie de Valence, indiquant que la couronne de France n’a fait aucun geste envers l’Église. En prenant quelques temps pour regarder les annonces Royales au Louvre, ainsi que les communications interne à l'Assemblée Épiscopale de France, nous constatons que la Couronne de France à nommé les Évêques selon les demandes de ladite Assemblée. Nous ajoutons également que la Couronne de France a publiquement soutenue la Sainte Église en dénonçant le vile pillage du [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2384132]Diocèse de Rodez[/url] par Namaycush Salmo Salar. Nous remercions avec cœur la Reine de France pour ce soutient, qui est un geste rarissime et acté du 3e jour de ce présent mois. Enfin, nous remarquons que les plans du Sacre, disponibles depuis un moment déjà, honorent grandement l'Église par l’[url=https://www.zupimages.net/up/18/39/5tga.png]attribution des sièges[/url]. En effet, nous pouvons constater que les Cardinaux siègent vis-à-vis les Pairs et Grands-Officiers, étant donc honoré avec la position la plus prestigieuse. À la Tribune, les Évêques siègent au côté des Princes de Sang et autres Invités spéciaux, devant la noblesse. Ce geste honore la Sainte Église.

[b]N[/b]ous soulignons l'argument concernant la Cathédrale de Tours qui semble fort pertinent à cette situation. Nous dénonçons l'occupation de cathédrales appartements à la Sainte Église; mais nous devons également souligner que la Reine de France n’a point écrite d'annonce indiquant nomme un Archevêque à Tours. Selon toute vraisemblance, l’ancienne occupante du siège Archiépiscopal a conservé les clés, fortes de sa victoire durant un vote populaire non-reconnu par la Sainte Église. Nous aimerions bien voir le retour des clés au clergé ordonné, mais nous considérons la Reine blanchie de cette accusation. Celle-ci prône l'Amitié Aristotélicienne dans ses correspondances et confessions, et nous la remercions de ne pas faire l’erreur fatidique. Nous rappelons, que le précédent Empereur du Saint-Empire avait soutenue l'usurpation de la cathédrales, menant à son [url=http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=859036#859036]excommunication[/url] qui fut maintenue même après son décès. En vertu de quoi, nous pouvons constater que la bonne foy et la mauvaise foy sont nuancées et différentes.

[b]N[/b]ous concédons que le Primat de France a oublié de respecter certaines règles impératives et importantes dans la procédure visant à sacrer un Monarque. À ce titre, nous concédons que le Sacre aurait été vicié dans la forme. Il serait nécessaire, à nos yeux, de le voir remplacé. De plus, l'utilisation de la Sainte Ampoule en dehors de Reims, sans autorisation ni accord, serait un grand affront pour la France ainsi que pour la Sainte Église. Quoi que ce point ne fut jamais écrit dans la résolution du Consistoire, nous en prenons considération. En vertu de quoi, au nom de la Paix et de l'Amitié Aristotélicienne, nous
 
[b]A[/b]vons statué et ordonné, et par notre présent édit perpétuel et définitif, disons, statuons et proposons le [b]couronnement et Sacre[/b] de Sa Majesté [b]Rose de Leffe[/b], le 6 octobre 1466 en Notre-Dame de Paris, en présence du [b]Saint Chrême du Diocèse de Paris[/b]. L'administration serait par nos soins, à titre de Cardinal Romain Électeur ayant juridiction spirituel universel.

[b]A[/b]vons statué et ordonné, en ce jour du 6 octobre 1466, de mettre fin à la communication trop souvent tendues ou inexistantes entre nos Institutions. Nous tendons la main à la Couronne de France et à sa Majesté Rose de Leffe, car nous désirons reconnaître sa foy et la Sacrer. Nous désirons tendre la main et arrêter la dégénération de nos liens. Conformément au Droit Canon Can 5-II-2.6, de par notre statut de Cardinal Romain Électeur, nous posons un veto officiel contre quiconque membre du clergé tentera de faire la cérémonie en dehors du cadre spirituel requis pour un Sacre, et de ce fait même nous empêchons quiconque de formellement empêcher cette cérémonie. Rappelons que tout Cardinal peut saisir le Sacré-Collège des Cardinaux afin de faire lever un veto.

[b]A[/b]yant conscience de la gravité de notre geste, nous mettons foy en Dieu et prions pour une résolution apte. En 3 jours d'observations, écoute et communication, nous avons foy de résoudre un chapitre négatif en ouvrant une épopée à la Gloire de la France et de Dieu.[/list]

[b][i]Ad majorem Dei gloriam,[/i][/b]

Rédigé, signé & scellé au Louvre, le VIe jour du mois d'Octobre de l'An de Grâce MCDLXVI, sous le pontificat de SS Innocent VIII.[/color]

[img]https://s11.postimg.cc/ot1nqv19v/Cardhull.png[/img]

[img]http://i.imgur.com/gXKUE1S.png[/img]
[/list][/quote]

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MessagePosté le: Mar Oct 09, 2018 2:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Nomination of the Archdeacon of Roma



    We, Attanasio Borgia, as Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Camerarius,
    In the name of the Cardinals of the Holy Aristotelian Church gathered in the Sacred College, in front of the Almighty and under the gaze of Aristotle, by the grace of God and the Pope Innocent VIII,



      Have ruled and ordered, and by our present perpetual and final edict, say and order the elevation of Son Éminence Alfonso Augusto di Foscari Widmann d'Ibelin [ Cesarino ] to the function of Cardinal Archdeacon of Roma.


    Ad Majorem Dei Gloriam

    Given in Rome on the 9th day of the 10th month of the Year of our Lord MCDLXVI.




    For the Sacred College of Cardinals, H.E. Attanasio Borgia,
    Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Camerarius.




Code:
[list][img]http://i.imgur.com/3VysvJd.png[/img]



[size=18][color=#FFCC00][b]Nomination of the Archdeacon of Roma[/b][/color][/size]



[b]We, Attanasio Borgia, as Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Camerarius,
In the name of the Cardinals of the Holy Aristotelian Church gathered in the Sacred College, in front of the Almighty and under the gaze of Aristotle, by the grace of God and the Pope Innocent VIII,[/b]


[list][color=black]Have ruled and ordered, and by our present perpetual and final edict, say and order the elevation of [/color][b][color=#FFCC00]Hull de Northshire[/color][/b][color=black] [size=9][ Hull ][/size] to the function of Cardinal Archdeacon of Roma.[/color][/list]

[i][b]Ad Majorem Dei Gloriam [/b][/i]

Given in Rome on the 12th day of the 2th month of the Year of our Lord MCDLXVI.   


[list][img]http://i.imgur.com/BrUbmJI.png[/img][/list]

 [i]For the Sacred College of Cardinals, H.E. Attanasio Borgia,
Sanctae Romanae Ecclesiae Cardinalis Camerarius.[/i][/list]
[/quote]

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