L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Gyfarno]

Si on escorte son éminence alors je viens avec vous. Je suis garde epistocal de la province de Rouen, alors...

Que de plaisir de voir des amis quand même

Il regarde Coppensbe et Shakka en souriant et suivait Pouyss de pret, avec ses deux mètres, et son imposante armure.

[Frère Mof]

La voie était enfin libre. Tout les gardes qui s'étaient trouvés là - et beaucoup d'autres - étaient maintenant avec Pouyss pour l'escorter du côté de l'inquisition. Le stratagème avait fonctionné à la perfection.

Il n'était pas encore tout à fait complies, et pourtant, Mof savait déjà à quoi s'en tenir: Pouyss n'avait donné aucun signal de sa fenêtre, et il était maintenant partie, la signification était claire et Mof avait sa réponse.

Alors, Mof réajusta sa soutane sur son gros ventre, et prit une allure tranquille pour pénétrer dans le Saint Office. Après la grande porte, il se trouva dans un couloir à multiples entrée, certaines entr'ouvertes, la plupart fermées. A pas de loups, Mof se dirigea vers le bureau de Lodovicus; il savait que celui-ci ne l'occupait pas en ce début de soirée.

La porte était fermée. Mof prit dans sa coule une tige de fer qu'il introduisit dans la serrure, et mania si bien que la porte s'ouvrit bientôt.

L'oreille aux aguets, Mof avisa un grand meuble sur le côté. Alors, avec d'infinies précautions, il enfouit sa main dans sa large robe, et retira d'un embonpoint postiche un large coussin.

Mof posa le coussin sur une étagère du meuble, et en souleva un morceau de tissus. Une poterie de la forme d'un globe était reliée à une pierre à arquebuse, laquelle, montée sur ressort, était attachée à une solide ficelle.

Mof prit la ficelle, qu'il tendit, et attacha à la porte entrouverte. Il ne lui restait plus qu'à rajouter un peu de poudre au niveau de l'amorce, et à armer l'engin. Ceci fait, et tandis qu'il entendait les cloches sonner complies à tout volées, Mof s'eclipsa en prenant garde de se faire assez mince pour passer par la porte entrouverte sans déclancher d'explosion... enfin, il ferma délicatement le battant.

Une fois dehors, avisant qu'aucun garde n'était encore revenu, Mof s'en alla tranquillement par la place d'Aristote.

[Lodovicus]

Lodovicus revenait de l'office de complie et exceptinnellement avait décidé de retourner travailler à son bureau pour essayer de plaire à un cardinal qui lui avait demandé de modifier une traduction d'un texte du premier siècle qu'il avait fait. Il se sentait triste, depuis quelqu'e temps il voyait l'Eglise comme un instrument plus pour assouvir les ambitions de certains que comme l'instrument du Salut des hommes. mais il semblerait que c'est un phénomène trés ancien. Ce qu'on pouvait ête naïf quand on était que simple clerc.


Il allait prier longtemps avant de se mettre au travail... que Dieu lui envoie un signe.

Mais au moment d'ouvrir sa porte, il entendit un bruit dans le couloir latéral, se souvenant des sombres évènements d'il y a peu, il décida de s'y rendre prudemment...

Rien...

Allant plus avant il entendit un couinement... Il rit, juste une souris grignotant quelques vielles tapisseries. Rien qui puisse inquiéter.

Il revint vers son bureau et appuya sur la clanche afin d'ouvrir la porte. Ce qui se passa alors lui parut un millénaire.

Un cliquement, une étincelle et un grand souffle brulant... L'archevêque fut projeté à plusieurs metres, son corps le brulait, terriblement, ses os semblaient brisés. Tout son corps n'était que souffrance.

Ses yeux se fermèrent.
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[Philibert62]

La troupe déambulait fière, encadrant son Eminence Pouyss. Quand, tout d'un coup ....

Explosion, Bruit sourd, vitraux qui s'écroulent sur la place ...

-"GARDES !!! A TERRE !!!"

Les Gardes attrapèrent Pouyss pour le mettre en sureté.Philibert partait en courant vers l'origine du bruit.

-"Gardes, mettez Pouyss à l'abris !"

Philibert courrait. Cela en était interminable.

Une odeur, des flammes, un corps rouge de sang, noir de suif...

-"Monsieur, monsieur ?!"

L'homme respirait encore.

-"GARDES !!! Que quelqu'un vienne ici !!!"

Un Garde s'approchait en courant. Philibert était dans un état de transe complet.

-"Ga.. Gardes... Aidez moi à le sortir d'ici ! " Les deux soldats soulevait le corps pour l'amener dans la cours
-"MEDECIN !!! MEDECIN !!!"
-"Qu'on apporte de l'eau !!! Bougez vous les reins !!!"

Philibert nettoyait le visage de l'homme. Il était méconnaissable.

-"Gardes, j'en veux deux qui raccompagne Pouyss, un autre qui surveille la pièce où a eu lieu l'explosion, que rien ne disparaisse. Ameuttez tout le monde, je veux tout le monde en alerte ! Qu'on boucle la Place bon sang ! Je veux pas d'aller-venue ! AU BOULOT !"
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[Philibert62]

Le bruit ameutait la foule. Philibert s'égosillait :

-"Chaque issue de la Place est bloquée par un Garde ! Restez dans vos bureaux, s'il vous plaît !"

-"ALORS CE MEDECIN ???"
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[coppensbe]

Je vais accompagner Son Eminence jusqu'à sa destination et je resterais auprès de lui, sergent
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Tendre époux de la douce Mc67
Duc d'Albon

[Esurnir]

Esurnir sortit des sombres couloirs quand il entendit une explosion, il se precipita vers les lieu quand il vit allonger a terre un homme blesser

Grand dieu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Philibert, aider moi, on va le transporter en urgence a l'hôpital.

Ils saurront quoi en faire.

Vis alors une lettre tomber de la poche du mourrant, il s'empressa de la recuperer sans la lire. La vie d'un homme etait en jeu.
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[Gyfarno]

Il est de mon devoir de proteger son eminence Pouyss pour ma part, je resterais donc avec lui, jusqu'à ce que la mort me prenne. Allons-y seigneur, la guerre semble à nos portes.

Gyfarno signifia alors à Pouyss de presser le pas, et il sortit délicatement son épée, les sens aux aguets, regardant autour de lui.

[Pouyss]

Vous avez raison, frère Gyfarno. L'avenir de l'Eglise dépend de mon arrivée à destination.

Sieur Coppensbe, venez avec nous: vous ne serez pas trop de deux pour m'escorter.

Je vous ordonne à tous deux de ne faire aucun quartier à quiconque entraverait notre route. Allons-y!

Pouyss gueulait, mais c'était plus pour se donner de la contenance que par courage. En vérité, l'explosion lui avait montré l'étendue de la détermination de ses adversaires. Il savait déjà que sa vie était en danger, mais ce drame lui avait fait prendre conscience de ce que cela avait de plus terrifiant.

Il pressa donc le pas: plus vite il serait débarrassé de son lourd fardeau, mieux il se porterait. Il espérait que ses agresseurs le laisseraient tranquille si il n'avait plus le parchemin sur lui.

[lndil]

Lndil était de passage à Rome. Et voila que pour sa première visite, sa première nuit ici, il entendait une explosion... Une bombe dans le sait des saints !
Il se dirigea en direction de la provenance du bruit... ses quelques connaissances en médecine pourraient, peut être, être utiles.
Il croisa alors le cardinal Pouyss qui s'en allait vivement escorté de près par 2 autres personnes.

Lndil ariva sur les lieux... une porte avait été soufflée et un corps gisait a terre, méconnaissable. 2 individus le regarde posé dessus.

Attendez confrères... Cet homme est gravement brulé! N'essayez surtt pas de lui retirer ses habits... Cherchez de l'eau... il faut en faire abondamment couler sur sa peau et pendant un long moment.
Essayons de le déplacer pret d'une fontaine!

Il le soulevea avec les deux autres hommes... et en le soulevant il vit que c'était un archevêque
Puis il arrivèrent au niveau d'une fontaine, là ,éclairez par la lune, Lndil vit que l'individu avait eu de la chance... son visage avait été épargné. Les brulures étaient superficielles. La personne avait du se protéger et tourner la tête. Les autres blessures étaient principalement des meurtrissures liées au bois éclaté de la porte... Une était cependant inquiétante: Un gros éclat de bois avait certainement cassé les os de la jambe droite et laissé une bien belle entaille !
Puis en recherchant d'autres plaies, il reconnut une personne qu'il reconnaissait... il n'y cru pas... il essuya soigneusement alors le visage...

Par Aristote.... l'archevêque Lodovicus!
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[Pouyss]

[Philibert62]

Deux Gardes ecortaient Pouyss. Il était heureusement sortit de la place. Le reste de la Garde Papale surveillait les entrées de la Place. Indil et le Sergent s'occupait de ce qui devait être Ludovicus, son brave et tendre ami.

Les flammes dans le bureau s'étaient éteintes... Le calme était presque revenu.

Philibert regardait l'homme qui s'occupait de Ludovicus avec lui.

-"Nous sommes perdus... On nous attaque dans Rome maintenant !"
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[lndil]

Ne soyons pas trop attif dans nos conclusions... qui sait à quoi s'amusait notre cher archevêque dans son bureau !
peut être que l'explosion aura une réponse toute "bête" ?!... en fait j en doute masi ne soyons pas trop prompt à juger !
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[shakka]

Shakka avait escorté un moment Pouyss en compagnie de Gyfrano et revenait s'enquérrir de l'état de santé de la victime...
L'explosion lui fit dire que surement on aurait besoin de ses connaissances.Etant Hospitaliers il pouvait aider,il en oprofiterai pour rendre compte...
"...Le cardinal est en route pour sa destination...,"haletat t'il,
"...Sergent,comment va le blessé,j'ai ramené un tulle graissé car il faut décoller les vetements et le lui applquer afin d'éviter que la mort ne s'instale dans les plaies...De plus ça rendra moins vive la douleur...!expliqua t'il en commençant.Shakka lisait l'agacement dans les yeux du sergent.Cette agression commise a l'intérieur meme des locaux,rendait la tâche encore plus dure a la garde déja debordée d'etre partout a la fois.Les grands troubles qui avaient agités l'église depuis quelques temps rendaient le climat encore plus tendu...Et malheureusement les évènements ne laissaient pas entrevoir d'accalmie.
"...Sergent...?"
"...sergent...,appella encore Shakka;Le sergent etait tout a son affaire et ne l'avait pas entendu;
"...sergent,il faut absolument que cet homme voit le mèdecin dans les plus brefs delais..."
Apres avoir bandé la plaie avec des pieces de tissus arrachées a une tunique,Shakka se redressa..."
"...Voila qui devrai suffire a arrêter le saignement,mais ce n'est que temporaire...quels sont vos ordres...?"
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PRO FIDES E PATRIA

[Philibert62]

Philibert était là physiquement, mais son esprit était ailleurs. Quoi qu'en dise cet homme... Philibert n'était pas sourd, et surement pas aveugle. Ce qui se tramait ici était loin, très loin de son entendement...