L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Aishling O'Niall]

Aishling was a newly ordained Priestess so it was with some trepidation that she boarded the ship for Rome with the Archbishop Albrecht. It wasn't her first trip on board a ship, she'd been to other places in Europe. This was her first trip to Rome though. A pity that the first trip should be for a funeral instead of to just enjoy such a beautiful place.
She had just finished kneeling and praying, "May Pope Eugene rejoice in Your kingdom, Solar Paradise, where all our tears are wiped away. May the blessing of light be on him—light without and light within. Amen," when she saw her Archbishop enter the Basilica to join her.

[Pandorha]

La jeune femme arriva, on lui avait demandé de venir, on lui avait donné l'adresse, la date, tout. Ainsi, elle avait prit la décision de venir, elle portait une robe blanche, le blanc qui était sa couleur de deuil. Elle arriva silencieusement, elle traversait un moment pénible en ce moment, un moment qu'elle n'avait pas pensé vivre un jour, mais elle était venue pour le défunt pape. Elle connaissait et reconnaissait bien quelques personnes, mais elle avait toujours du mal à aller vers les autres, elle resta donc à l'écart et écouta.

[Elriol]

Elriol entra dans la Basilique et se mit à prier dans un coin de l'immense édifice. Depuis son plus jeune âge Eugène V régnait sur l'Eglise. Elriol lui même avait eu l'occasion de l'apercevoir plusieurs fois alors qu'il était secrétaire de Monseigneur Lescure. Mais le souvenir de sa mince silhouette blanche était évanescent, et la tristesse qui avait envahi l’âme du jeune homme était plus spirituelle qu'émotive. L'Eglise avait perdu son chef, elle risquait donc d'être un corps sans vie.

Il fallait maintenant prier Aristote pour que, par son intercession, Dieu envoit un digne successeur, et pour que l'âme d'Eugène repose en paix. Tel était l'objet de la présente cérémonie.

[tacuma]

Roma era diversa quel giorno.
Le campane inondavano la citta' col loro triste suono, ricordando ad ogni cittadino, ad ogni fedele, ad ogni chierico la morte del santo Padre.

Monsignor Tacuma entro' silenzioso nella basilica gia' stracolma di gente.
Avanzo' e prese posto.

Molti occhi erano fissi sull'altare maggiore, qualcuno bisbigliava, altri silenziosamente piangevano...
il dolore, all'interno della basilica, era quasi tangibile.


Rome was different that day.
The bells flooded the city with their sad sound, remembering to every citizen, to every faithful, to every clergyman the death of The Pope

Monsignor Tacuma entered in basilica already people's full.
He advanced and taken place.
Many eyes were fixed on the greatest altar, someone it whispered, silently others cried...
the pain, inside the basilica, could almost
touch


Rome était différente ce jour.
Les cloches inondaient la ville' avec leur son triste, en rappelant à chaque citadin, à chaque fidèle, à chaque clerc la mort du saint Père.

Monseigneur Tacuma entrer' en la silencieusement déjà' basilique pleine de gens.
Reste' et prises mises.

Beaucoup de yeux étaient fixe sur le maître-autel, quelqu'un il chuchotait, autres pleuraient silencieusement...
la douleur, à l'intérieur de la basilique, on pouvait toucher environ
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[Clodeweck]

Le père Clodeweck était entré, en procession, avec le doyen SE Aaron. La cérémonie, inhabituelle, était bien réglée, chacun sa place.
Il devrait quasiment prononcer la dernière allocution, en attendant il suivrait depuis les stalles le déroulement de la cérémonie funèbre.
En attendant il pris sa place et, dans le silence, repensa à ce qu'avait été le défunt.


Father Clodeweck entered in procession, with Aaron Dean SE. The ceremony was unusual, was well settled, everyone's place.
It should almost pronounce the final address, meanwhile it would follow from the stalls the progress of the funeral ceremony.
Meanwhile he took his place and, in silence, thinking about what had been the deceased.
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Clodeweck de Montfort, pèlerin, prêcheur, homme de foy contre l'adversité.
Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner on peut parler vrai. (Cloclo 1°)

[Marco_Castello]

Et voilà que commença la deuxième partie de la messe composée par le Magnifique MC:

Deuxième parti.
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Ex. Juge Royal|Arch. Em.de Malines |[url=http://abbaye-thomiste.forumactif.org/]Thomiste| Comte de Corinthe et Baron de La Vostice (Achaïe), Vicomte de Bailleul (France)

[Adso]

Adso avait pris place avec les autres évêques.

Ce n'était pas qu'il connaissait bien le défunt (d'ailleurs, Adso ne pensait pas qu'il y ait grand monde à Rome qui pouvait se vanter de l'avoir rencontré personnellement), mais tout de même, l'archevêque de Cambrai se devait d'assister aux funérailles du Pape. Une grande page se tournait. Il fallait marquer le coup.

Il faut dire aussi qu'il avait fait le déplacement jusqu'à Rome histoire de faire un peu pression sur les cardinaux pour qu'ils se dépêchent de trouver un successeur au trône de Saint-Titus. Parce que çà ne pouvait pas durer trop longtemps, tout de même...
Ah çà, on pouvait dire qu'il en avait mis, un beau désordre, en mourant, celui-là ! Cà commençait déjà à râler dans le diocèse au sujet des sacrements mis en attente pendant le deuil... Enfin bon... on ne pouvait pas dire non plus qu'il l'avait fait exprès...

Après les mots de SE Aaron, Adso chassa ces pensées de sa tête et pria pour le repos de l'âme du Saint Père.

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Cardinal émérite - Archevêque de Cambrai

[Rehael]

Rehael avait gagné la nef de la Basilique Saint Titus en procession avec Aaron et les autres cardinaux. Auparavant, il avait vu le saint édifice se remplir, alimenté par un flux continue de clercs et de fidèles qui convergeaient en ce lieu. Des milliers d'autres encore arrivaient, et, faute de place, se tenaient debout devant la Basilique, tant et si bien que la Place d'Aristote était noire de monde.

C'est ainsi que l'on entendait parler de nombreuses langues dans la foule, signe que, bien au dela de la seule ville de Rome, l'on venait des quatre coins d'Europe pour venir assister aux funérailles du Saint Père.

Cependant malgré la foule régnait le silence et le recueillement. La tristesse d'avoir perdu le guide de l'aristotélité, et le doute quand à l'avenir et la nouvelle ère qui s'ouvrait.

Le Pape, a la santé vacillante et fragile de longue date, ne voyait plus grand monde ces dernières années, en dehors de ses plus proches collaborateurs dont Rehael faisait partie. Il avait toutefois toujours gardé un oeil paternel sur les affaires de l'Eglise, continuant à jouer un rôle dans l'ombre, même si il avait laissé ses cardinaux assumer la direction de l'Eglise.

Rehael écoutait les paroles d'Aaron, les yeux rivés sur le cercueil contenant le corps du défunt Eugène. Des sentiments contradictoires s'animaient en lui. Il était, tout comme la plupart des clercs, un enfant d'Eugène. Toute sa vie durant s'était tenue près de lui l'ombre tutélaire du Saint Père, au nom de qui toutes ses décisions avaient été prises. Voila qu'il s'était éteint, à la surprise générale. Sa santé étant précaire depuis si longtemps que Rehael comme bien d'autres en avaient finis par penser que cela serait toujours ainsi. Désormais s'ouvrait une nouvelle étape, mais Dieu seul savait ce qui en ressortirait.

Le Cardinal de Plantagenêt inclina longuement la tête en direction du cercueil, avant de s'avancer et de prendre la parole.

Chers frères et soeurs, chers fidèles, nous sommes tous réunis ici dans le deuil et le même recueillement face à la perte de notre Père à tous.

Nul n'ignore la longue et pénible maladie qui affligea le Très Saint Père jusqu'a son rappel à Dieu, mais sa force pour lutter chaque jour, il la trouvait dans sa foi. Qu'importe son état, sa fatigue, ou sa douleur, le Saint Père trouva toujours la force de louer Dieu, de louer l'amour du Très-Haut pour nous, les Hommes.

Aussi en souvenir du Pape Eugène, louons ensembles notre Créateur comme il le fit chaque jour de sa vie.

Prions, frères et soeurs, prions ensembles. Rappellons en ce jour que la foy peut soulever des montagnes.

L'ancien Camerlingue ne s'interrompit qu'un court instant, avant d'entamer la prière.

Tu es la lumière qui guide mes pas,
Lumière parmis les lumières.
Flamme pure qui ne s’éteint pas
Tu ravive la foi de ton peuple.

L’amour que tu donnes est pur,
Il est merveille parmis les merveilles,
Il est plus précieux que l’or,
Mais ne s’acquiert pas par le mal.

Tu me protège et me garde depuis ma naissance,
Et m’as toujours comblé de ton amour,
Mais moi, pauvre pêcheur, j’ai quitté ton chemin,
Patient tu es resté à souffler à mon oreille,

Et quand j’ai bien voulu ouïr tes dires
Et voir ta main toute-puissante,
Je suis revenu vers toi, Mon Dieu,
Tu es l’unique sens à ma vie.


Rehael won the nave of the Basilica of St. Titus in procession with Aaron and the other cardinals. Previously, he had seen the holy building is complete, fed by a continuous flow of clergy and faithful who converged on this place. Thousands more still coming in, and lack of space, stood in front of the Basilica, so much so that Aristotle's Square was packed with people.

Thus, there was talk of many languages ​​in the crowd, a sign that, well beyond the single city of Rome, they came from across Europe to come and attend the funeral of the Holy Father.

But despite the crowd reigned silence and meditation. The sadness of having lost the guide aristotélité, and doubt in the future and when the new era.

The Pope, the faltering health and long fragile, saw larger world in recent years, apart from his closest collaborators including Rehael belonged. He had, however, always kept a paternal eye on the affairs of the Church, continuing to play a role in the shade, even if he had left his cardinals assume leadership of the Church.

Rehael listened to the words of Aaron, his eyes fixed on the coffin containing the body of the late Eugene. Contradictory feelings came to life in him. It was, like most of the clergy, a child of Eugene. Throughout his life he had held near the protective shadow of the Holy Father, in whose name all its decisions had been taken. That he had died, to everyone's surprise. His health is precarious for so long that Rehael like many others had finished up thinking that it would always be so. Now opened a new stage, but only God knew what to clear.

Cardinal Plantagenet long head bowed toward the coffin, then come forward and speak.

Dear brothers and sisters, dear faithful, we all gathered here to mourn and the same recollection about the loss of our father at all.

No one knows the long and painful illness that afflicted the Holy Father until his return to God, but his strength to fight every day, he found his faith. Whatever its condition, fatigue, or pain, the Holy Father always found the strength to praise God, praise the Almighty's love for us, humans.

Also in memory of Pope Eugene, praise our Creator sets as he did every day of his life.

Pray, brothers and sisters, let us pray together. Remind that day that faith can move mountains.

The former Camerlengo not stopped a short time, before starting the prayer.

You're the light that guides my steps,
Light among the lights.
Pure flame unquenchable
You rekindled the faith of your people.

The love you give is pure,
It is wonderful among the wonders
It is more precious than gold
But not acquired by evil.

You protect me and keep me from my birth,
And always filled me with your love,
But I, a poor fisherman, I left your path,
You stayed patient to blow in my ear,

And when I hear what you said kindly
And see your almighty hand,
I came to thee, my God,
You're the only meaning to my life.

[Childebert de Bearn]

Le vieux prélat alla dans la Basilique pour les funérailles du défunt Pape. Comme on ne lui avait rien vconfié, il alla s'asseoir dans les stalles, aux places réservées aux membres de la Curie.
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[Sava]

SE Aranykorona d'Ozora Cardinal-Elector of Central and Eastern Europe, Vice- Primate of Hungarian Kingdom, Archbishop of Esztergom is between the cardinals in the basilica. He says the prayer with SE Rehael.
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[_daniel_]

Las campanas sonaban más tristes de lo normal y el dolor se llebava por dentro por la gran perdida de nuestro Pontícipe.

El Cardenal y Primado Hispánico entró en la ceremonia y se dirigió hacia su sitio. Todas las caras eran tristes y todos lamentamos esta gran perdida.

Una vez en su sitio sigió toda la ceremonia.
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[Camille Fauve d'Anclair]

Camille était venue en toute discrétion assister à la cérémonie en hommage au pape. Ne voulant déranger les Grands de l'Eglise, elle se faufila discrètement entre les rangs pour rejoindre son amie Pandhora. Elle aussi vêtue de pied en cape d'un blanc immaculé sur laquelle sa chevelure de jais se détachait en une longue tresse simple. Prenant la main de son amie, elle lui sourit, la soutenant dans les différentes épreuves de sa vie autant que dans le deuil qui les atteignaient tous.
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[Guy de Dampierre]

Guy pénétra le matin des funérailles dans la basilique Saint-Titus. Une véritable marée humaine avait envahi l'immense édificce religieux.

Le défilé de noir, de mauve et de pourpre était impressionnant à voir. Les prélats se pressaient pour rendre hommage au Vicaire du Très-Haut sur Terre.

Il s'installa parmi ses coreligionnaires pour assister à l'office funéraire. Il se dégageait une ambiance de solennité et de mélancolie incroyable de la cérémonie qui commençait. Cette impression se renforça encore lorsque les choeurs entamèrent le requiem sous la direction du Frère Marco. Les chanteurs arrachèrent une larme d'émotion que le jeune homme essuya aussitôt. La musique était si belle, reflétant l'ampleur du personnage que l'on honnorait.

Quand la chorale se tut, un cardinal s'avança pour parler. C'était tout ce que le Flamand put distinguer de l'homme dans l'immensité de la basilique. Mais bien qu'il ne put que l'apercevoir, il l'entendait distinctement et se joignit naturellement à la prière qu'il récitait en l'honneur du défunt Pape.

Tu es la lumière qui guide mes pas,
Lumière parmis les lumières.
Flamme pure qui ne s’éteint pas
Tu ravive la foi de ton peuple.

L’amour que tu donnes est pur,
Il est merveille parmis les merveilles,
Il est plus précieux que l’or,
Mais ne s’acquiert pas par le mal.

Tu me protège et me garde depuis ma naissance,
Et m’as toujours comblé de ton amour,
Mais moi, pauvre pêcheur, j’ai quitté ton chemin,
Patient tu es resté à souffler à mon oreille,

Et quand j’ai bien voulu ouïr tes dires
Et voir ta main toute-puissante,
Je suis revenu vers toi, Mon Dieu,
Tu es l’unique sens à ma vie.
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[Sunja]

La jeune femme entre dans l'édifice dans sa robe blanche, remonte son châle en dentelle sur ses cheveux plonge son index dans le bénitier et se signe en s'agenouillant.

Sunja se trouve une place et s'asseoit. Posant ses genoux sur le siège de prière, elle joint ses paumes et y appuie son front.

[Yut]

Le jeune Prélat récita la Prière de SE Rehael en l'honneur de Feu Sa Sainteté.

Tu es la lumière qui guide mes pas,
Lumière parmis les lumières.
Flamme pure qui ne s’éteint pas
Tu ravive la foi de ton peuple.

L’amour que tu donnes est pur,
Il est merveille parmis les merveilles,
Il est plus précieux que l’or,
Mais ne s’acquiert pas par le mal.

Tu me protège et me garde depuis ma naissance,
Et m’as toujours comblé de ton amour,
Mais moi, pauvre pêcheur, j’ai quitté ton chemin,
Patient tu es resté à souffler à mon oreille,

Et quand j’ai bien voulu ouïr tes dires
Et voir ta main toute-puissante,
Je suis revenu vers toi, Mon Dieu,
Tu es l’unique sens à ma vie.
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« Les paroles sincères ne sont pas élégantes ; les paroles élégantes ne sont pas sincères. »