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NReis

Inscrit le: 16 Mai 2012 Messages: 2658 Localisation: Chaves - Kingdom of Portugal
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Posté le: Sam Aoû 11, 2018 9:27 pm Sujet du message: |
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De la Confession
La confession, parmi les sacrements institués par Christos et perpétués par la Sainte Eglise, est assurément un des plus beaux et des plus significatifs de l’amour de Dieu pour ses enfants. J’en veux pour preuve tangible la grâce surnaturelle que Dieu nous envoi pour la rémission de nos pêchés et qui, effaçant la dette du vieil homme, fait de nous des hommes nouveaux. Car c’est là toute la beauté du sacrement : Dieu, notre père créateur, mû par l’amour aussi ineffable et insondable pour ses enfants, cherche constamment à pardonner leurs égarements sans rien attendre en retour d’autre que l’expression de leur peine et la promesse de mieux se conduire à l’avenir.
J’essaierai, à travers cette courte réflexion, construite d'abord par mes aînés à l'instar de leurs Éminences Jeandalf, Aristokolès de Valyria, tirée des enseignements de Saint Thomas, de Saint Titus et de Sainte Hildegarde, ensuite au travers des multiples débats théologiques nourris par les travaux entre autres de Messeigneurs Ambroise de La Rochefoucauld-Champlecy, Alboin de Valyria et Scolopius de Medici, éclairer sur ce qu’est le sacrement de la confession et quelles sont ses étapes importantes.
J'emprunterai en toute humilité les saintes paroles du prophète Christos qui constituent d'admirables miroirs de sagesse et de rectitude sur le chemin de Dieu et qui permettront sans nul doute, d'apporter une clarté au propos que j'avance ci-après.
De la confession comme remède pour l'âme malade
Lorsque l'homme naquit au monde, il fut crée imparfait et soumis. Cette soumission tient pour partie le péché qui s'attaque perpetuellement à l'âme pour la perdre. Il existe une infinité de péchés qui sont d'autant d'offenses à Dieu et personnifiés par les anges déchus d'Oanylone. Je ne m'étendrais pas sur ce sujet, me contentant de reprendre les mots simples et clairs de Son Eminence Aristokolès de Valyria: «Le péché est une révolte contre le plan divin. C’est un acte mû non par la Vertu, mais par les Passions mauvaises de l’homme qui sont nombreuses. Le péché est un moment dans sa vie où l’homme a préféré une créature à son Créateur. Où il préfère l’amour désordonné de choses finies à l’amour raisonnable de l’Infini et de l’éternel. Sur un plan plus philosophique, on peut dire que le péché est le détournement d’un moyen pour le transformer en fin».
Les principales sont la source des multiples ramifications du péché: de l’orgueil, de l'avarice, de la gourmandise, de l'envie, de la luxure, de la colère et enfin de l'acédie. Tous les hommes et les femmes, par l'imperfection qui caractérise le genre humain, y sont soumis et en commettent chaque jour, certains en pensée, d'autres en action, ou encore d'autres par omission. Certains sont commis en toute conscience tandis que d'autres le sont inconsciemment. La faute y est bien entendu plus grave dans le premier des deux cas. Ces fautes commises sont comme un poids pour l'âme et qui, s'accumulant, plonge non seulement dans un état de peine spirituelle, mais, par le lien entre l'esprit et le corps, plonge aussi dans un état de peine corporelle qui s'exprime par des malus et des incapacités physiques. Nous voyons donc bien en cela la nature maladive du péché : il est un mal qui ronge notre esprit et notre corps pour nous nous perdre. Cette maladie qui envahit et soumet l’âme entraîne l’homme à la mort, la vraie, celle de l’âme, l’éternelle et perpétuelle mort. Cette mort, c’est la séparation d’avec Dieu, malheur des damnés, qui pour leurs péchés ont perdu Dieu et l’infini. Mais, si tu as reçu une blessure, dit Sainte Hildegarde, demande le médecin, de peur que tu ne meures. Que l'homme fidèle examine son mal, et recherche le médecin, avant de tomber dans la mort. Ce médecin, c’est Dieu miséricordieux et le remède, c’est la confession.
On peut diviser le péché en deux catégories: le péché véniel et le péché mortel. Le premier est de moindre importance et concerne les fautes secondaires, comme les myriades de petites offenses quotidiennes faites à Dieu. Celui-là, par sa relative légèreté, peut être nettoyé de l'âme par le confession pendant la messe*. Le second en revanche, est plus lourd en ce qu'il est un poids beaucoup plus important pour l'âme. Il relève directement des péchés capitaux et constitue de grandes offenses pour Dieu. Il met alors l'âme en péril de mort et ne peut être lavé que par le sacrement de la confession**.
La confession est alors le remède apporté aux hommes par Dieu miséricordieux. Ce sacrement distribué, fait ainsi reculer la progression des péchés au sein de l'âme et permet de repartir sur de bonnes et saines bases réparatrices. C’est ainsi que Sainte-Hildegarde explique la confession « S'il examine son mal et va chercher un médecin, lorsqu'il l'a trouvé, il lui montre le suc amer du remède qui peut le guérir : ce sont les paroles sévères, pour éprouver si son repentir vient du fond de son cœur, ou procède de son instabilité. Lorsqu'il s'en est rendu compte, il lui verse le vin de la componction et de la pénitence, pour laver la sanie de ses blessures ; et lui offre l'huile de la miséricorde, pour oindre ses mêmes plaies, en vue de la guérison. »
Du repentir nécessaire à la rémission des péchés
Il est certain qu’une bonne confession ne peut se faire qu’à cœur ouvert et que la rémission ne peut se faire que si notre âme est consumée du désir ardent du repentir, tel un enfant qui espérant être pardonné, avoue ses fautes à son père afin d’éviter la punition. Souvenons-nous des paroles du grand Saint-Thomas au sein de sa Somme théologique, lorsqu’il dit que le repentir est «une douleur voulue de nos péchés jointe à la résolution de nous confesser et de donner satisfaction».
Souvenons-nous aussi des exclamations du centurion à l'adresse de Christos: "Maître, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner!". C’est alors la partie raisonnée de l’âme que forme notre conscience qui est à même de nous dévoiler l’étendue de nos erreurs et en ressentir l’amère douleur et de les détester. Il est alors nécessaire, à l'image de ce centurion repentant, de faire un examen de conscience comme préliminaire à la confession.
Toutefois je distinguerai deux sortes de comportement du pénitent et qui, à chacun lui vaut la grâce sacramentelle du pardon. Dans les deux cas, le repentir induit la contrition, c’est-à-dire exprimer par la parole sa douleur sa culpabilité et formuler la promesse de s’amender et réparer ses fautes. Ce n’est en effet que lorsque le pénitent s’accuse ouvertement à lui de ses péchés que Dieu écoute et pardonne. Une confession sans acte de contrition sera donc dénuée de sens, car Christos à l'adresse du centurion rependant, dit bien que "Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. ", soulignant bien la nécessité de la contrition comme condition au pardon.
Je parlerai en premier du sincère repentir devant Dieu et la ferme résolution de ne plus tomber dans les fautes que l’on commet si souvent et dont l’on souhaite ardemment se corriger. Et celui-là est des deux la plus dure, car il s’agit de ne plus exister pour soi, mais pour Dieu. Autrement dit, il s’agit de faire mourir ses passions et faire preuve d’une abnégation qui ne peut être mû que par un amour si ardent pour Dieu que l’on éprouve une douleur extrême à lui désobéir. Sur ce point, voici ce que dit Jeandalf: "Quand tu commences à détester ce que tu as fait, c’est qu’il n’y a pas de bien dans ce que tu as fait, et le mal est l’absence de bien."
Je parlerai ensuite du repentir qu’à la suite de Saint Thomas d’Aquin, je nommerai « imparfait » ou « occasionnel », au sens où il n’arrive que lors de situation particulières. Il est « imparfait » du fait de la nature humaine, car il est bien le propre de l’homme de retomber dans les erreurs que l’on commet si souvent. Notre âme est blessée sur l’instant et aussitôt les fautes pardonnées, la dette effacée, le souvenir de la douleur s’envole et les passions reviennent. Celle-là est le mal du siècle, induit par l’acédie et demande qu’on mène un dur combat spirituel contre elle et pratiquer la confession le plus souvent possible.
Je parlerai enfin d’une autre forme de repentir, opposée à la contrition, qui est celle de l’attrition. Je dis « opposé » au sens où les motivations ne sont pas les mêmes. Alors que la contrition provient de la douleur induite par l’offense faite à Dieu, l’attrition, elle, est formée par des regrets matériels et humains tels que la honte sociale ou la peur du châtiment divin. L’on peut s’interroger légitimement des fruits engendrés par un tel repentir. Il est certain que, motivé par autre chose que l’amour de Dieu, celui-ci n’ai pas les mêmes résultats, car l’enfant demande pardon au père pour lui-même et non pour ce dernier. Pourtant, s’ils ressentent la douleur de leur péché, c’est parce que leur conscience, autrement dit la raison de leur âme, leur a dévoilé leur nature. L’attrition est alors un possible chemin vers la contrition et à ce titre, ne peut être l’objet du dédain de l’Eglise. De plus, nul ne peut contredire le fait qu’il s’agit là d’un véritable repentir, certes motivé par de mauvaises choses, mais un repentir devant Dieu tout de même. La raison est donc suffisante
De l’absolution comme grâce sacramentelle
C’est là, au cours de l’absolution que l’amour de Dieu se manifeste le plus significativement en inondant le pécheur de Sa grâce sacramentelle. L’absolution entraine la rémission plénière de tous nos pêchés passés. Dieu lave ainsi les fautes qui pèsent sur l’âme et qui la mettent en péril de mort. C’est à cet instant précis que nous renaissons à nouveau, sans tâches et purs de tout pêché, dans une grande grâce qui nous vaut le bonheur d’être plus proche de Dieu. En ce sens, le sacrement de la confession est le miroir du sacrement baptismal. Remémorons-nous les paroles de Christos donnant l'absolution au centurion pénitent " Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "Ainsi, nous mourrons, quittant notre ancienne vie de pécheur pour renaître à la lumière divine. L’absout est alors dit en « Etat de grâce », c’est-à-dire l’état dans lequel il était lors de son baptême, ce qui est, à l'image de ce que cet admirable prophète prononça: "Une nouvelle naissance parmi les croyants !". C’est bien cela le pouvoir de la confession : celui du pardon absolu, du médicament qui guérit tout, du remède qui purifie l’âme. Voici ce qu’en dit Son Eminence Aristokolès de Valyria : « La confession produit dans l’âme des miracles immenses. La confession est une humiliation de notre orgueil devant la Majesté de Dieu, elle est le sillon fertile du salut et probablement le plus sûr moyen de se sauver. Une âme qui ne se confesse jamais est une terre stérile. La confession nous fait considérer le pardon absolu de Dieu et nous montre son amour stupéfiant : il n’est AUCUN péché bien confessé qui ne soit pas pardonné par le Très-Haut. »
Pourtant, une question légitime subsiste, qui mérite d’être clarifiée: L’absolution émane-t-elle du confesseur qui la prononce? Car c’est bien lui qui reçoit, écoute et prononce les paroles de la rémission des péchés.
Lorsque Christos a institué les Apôtres, il leur a donné le pouvoir sacramentel par lequel Dieu intervient pour distribuer la grâce sacramentelle au genre humain. J'en veux pour preuve les paroles qu'il a lui-même prononcé " Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence." La filiation apostolique ainsi construite, confère en héritage aux Evêques, aux prêtres et aux diacres la capacité d’être les relais par lesquels Dieu intervient. Depuis le baptême jusqu’au viatique, les ministres de Dieu distribuent les sacrements dans les fins de constamment nourrir l’âme des fidèles de belles et bonnes choses qui vont l’aider lors de son chemin vers le Paradis solaire. Raisonnant ainsi, Il est alors donné aux ministres de Dieu d’être ses instruments par lesquels Il écoute et pardonne. Pour ainsi dire, l’absolution donnée par le prêtre n’équivaut pas au pardon donné par le prêtre lui-même, mais au pardon accordé par Dieu. J’avance donc que si le prêtre est une pièce essentielle dans l’acte de confession, la relation sacramentelle se fait surtout entre le pénitent et Dieu, et que donc l’absolution si elle est prononcée par le prêtre, est donnée par Dieu seul. D’où le fait que la parole est essentielle dans le sacrement de la confession. Le pénitent doit s’accuser de ses péchés et les confier à Dieu s’il désire en être lavé. Tel que le souligne bien Monseigneur Ambroise de La Rochefoucauld-Champlecy, l'expression verbale possède une grande force et, en confession, nous nous trouvons, par la grâce de Dieu, placés dans une situation particulière, car nous disons des choses que nous n'avions jamais dites auparavant dans nos prières personnelles. Nous sommes soudain capables de comprendre certaines choses plus profondément et de nous exprimer plus ouvertement. C'est en cela que réside en grande partie la grâce de la confession. Une pensée secrète peut avoir sur nous un grand pouvoir, mais lorsque nous trouvons un moyen de l'expliciter et d'en parler, alors elle perd son pouvoir. La parole exprimée que nous apportons à la confession peut avoir force de sacrement et grâce de guérisons surprenantes. »
Néanmoins, le prêtre étant l'oreille et la bouche de Dieu miséricordieux, doit faire preuve d'une grande discrétion et d'un plus grand secret encore concernant la confession du pécheur. D'abord parce que ce qui est confié à Dieu, l'est à Dieu seul et ne saurait être répété que devant Lui seul; ensuite parce que le péché répété, bien souvent entraîne le scandale qui rejaillit non seulement sur le pécheur mais aussi sur le prêtre par la bouche de qui ce scandale est venu. En ce cas, le prêtre serait coupable de rupture du secret de la confession et, faisant peu de cas de l'absolution donnée, agirait en blasphémateur devant l'Eternel. En ce cas, il est la source d'une faute plus grande encore et qui, mettant son âme en péril de mort, le met irrémédiablement au ban de l'Eglise.
De la condition de pénitence et du propos de ferme résolution
Bien qu’absolue et irrévocable, l’absolution est conditionnelle. Je veux dire par là qu’elle ne peut être effective au sortir du confessionnal qu’une fois la dette réparée. Voici ce qu'en dit Jeandalf : Relevé du péché, le pécheur doit encore recouvrer la pleine santé spirituelle. Il doit donc faire quelque chose de plus pour réparer ses péchés : il doit " satisfaire " de manière appropriée ou " expier " ses péchés. Cette satisfaction s’appelle aussi " pénitence ".
Celle-ci est constituée de l’ensemble des réparations que l’on doit entreprendre sur terre pour gagner le pardon du Ciel. Dégageons toutefois tout amalgame avec une dette séculière, qui n’a que peu d’importance aux yeux de Dieu. Je parle ici des dettes spirituelles, c’est-à-dire les cicatrices de nos offenses faîtes à Dieu que l’on doit refermer afin d’être totalement lavés et purifiés. Il nous faut donc entreprendre une pénitence, que le ministre de Dieu fixe suivant la gravité des pêchés. C’est alors une fois celle-ci effectuée que l’absolution devient effective et que le souvenir des fautes s’estompe à jamais et alors l’on est assuré d’être entièrement pardonné par Dieu. Les propos entretenus dans la lettre de Saint-Titus à Sainte Hélène soulignent cette assertion. Voici ce qu’en dit ce vénérable apôtre et pierre de l’Église : « La Pénitence sera le statut dans lequel se place volontairement le pécheur s'étant confessé pour s'assurer le pardon divin. Le jeûne, le pèlerinage ou encore la charité devront servir le repenti à se soumettre au pardon du Miséricordieux ».
Pourtant, la réparation ne peut se suffire à elle-même sans que l’on se mettre en danger de retomber dans nos erreurs et d’offenser Dieu à nouveau. Car en fin de compte, Dieu ne cherche pas à ce que nous péchions moins, mais à ce que nous ne péchions plus du tout. A ce niveau, l’on peut distinguer deux formes de pénitences qui relèvent toutes deux d’ordres différents. La pénitence extérieure qui est celle de la réparation spirituelle ou matérielle des fautes commises, et la pénitence intérieure ou de cœur, qui est celle de la ferme résolution. Celle-ci, induite par la résolution de ne plus pécher, implique un changement de comportement du pénitent par la mortification de ses mœurs passées. Ceci est bien souligné par Sainte Hildegarde, car en effet, quel meilleur moyen pour lutter contre la maladie qu’en persévérant dans la purification du mal qui nous atteint ? Voici les mots de cette vénérable sainte « Écoutez donc, ô hommes, et ne perdez pas de vue l'entrée du céleste Paradis Solaire ; ne touchez pas la mort ; ne niez pas Dieu, en confessant le démon ; n'augmentez pas le nombre de vos péchés ; ne diminuez pas le mérite de vos vertus ». Il est alors nécessaire de prendre la ferme résolution de ne plus se rendre malade et de lutter contre cette volonté mauvaise dont nous sommes les esclaves et non les maîtres. Et en cela, il n’est pas de meilleur aide que la régulière confession.
D’une nécessaire régularité dans la purification
En comparant une nouvelle fois la confession à la médecine de l’âme, Sainte-Hildegarde explique que Dieu « enjoint d'avoir égard à sa santé, en lui disant : Fais en sorte de continuer cette médecine avec soin et persévérance, sans te dégoûter, parce que tes blessures sont graves. ». Comme nous l’explique Monseigneur Ambroise de La Rochefoucauld-Champlecy, pour Sainte Hildegarde, le cœur de l’homme est malade et doit ouvrir sa porte à un cœur nouveau. A chaque confession, dit-il, on accepte que Dieu nous remette tout le trésor de la grâce. Tout part donc de la contemplation de l’Amour de Dieu, de notre intelligence du mystère. On ne pourra tout affronter qu’à partir de là. Il ajoute enfin que nous sommes invités à vivre, à faire des œuvres de pénitence.
*Péché Véniel: Ce type de péché est similaire à un péché IG. Il peut disparaître avec une confession IG. Ce genre de confession (IG), n'est pas considéré comme un sacrement par l'Église Aristotélicienne Romaine.
**Péché Mortel: Ce type de péché est similaire à un péché RP. Il ne peut disparaître qu'avec une confession RP. Seule cette sorte de confession (RP) est considérée comme un sacrement par l'Église Aristotélicienne Romaine.
Réflexion théologique écrit le 20ème jour du mois d'août de l'an de grâce 1465 par Son Éminence Arnarion de Valyria-Borgia |
 _________________ His Excellency NReis Ribeiro de Sousa Coutinho | Archbishop of Braga | Vice-Primate of the Kingdom of Portugal | General Secretary of the Roman Registers | Writer of the Saint Office | Translator on Villa San Loyats
Diploma Curso Professoral |
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