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[F] Livre 1 - Ad mundi salutem per sanctificationem

 
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Aaron
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MessagePosté le: Mar Sep 29, 2009 10:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




    Matrimonium Prohibitem


    Nous, cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne réunis en sacré collège par la grâce de Dieu, et nous, théologues de la congrégation du Saint Office, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom du Souverain Pontife de Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine,


    Rendons officiel notre décision quant à la nature de ce que certains nomment déjà « mariage laïc ». L’union sacrée de l’homme et de la femme est exclusivement dévolue à la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine. Procéder à une union de ce genre – ou d’un autre ayant vocation à lier l’homme à la femme et la femme à l’homme – alors que l’on est fidèle de Notre Sainte Mère l’Eglise est strictement interdit. De même, les fidèles de la Sainte Eglise ne peuvent demander cette bénédiction, fut-elle non sacrée.

    Tout qui contreviendrait à cette règle se mettrait en porte à faux avec notre dogme, son action serait alors considérée comme blasphème. Dès lors, le fidèle contrevenant s’exposerait à la justice d’Eglise et aux punitions qui suivraient son jugement, définies dans notre Droit Canon.

    D’aucun ignorait le caractère blasphématoire de cette pratique. Aussi, cette règle n’a pas de valeur rétroactive. Il est cependant conseillé aux fidèles concernés de faire acte de contrition auprès des autorités ecclésiastiques de leur province ou diocèse.


    Ad Majorem Dei Gloriam

    Fait à Rome le XXV novembre de l’an de grâce MCDLV de Notre Seigneur




    Droit Canon : Livre I, section 1.3, appendice 1




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Aaron
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MessagePosté le: Dim Avr 03, 2011 2:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    Sixtus Episcopus Romanus
    Spectabili domino Gastaldiae
    Salutem in Domino sempiternam.
    Si vera sunt ea quae complexus es,




    Comme l'établit le canon 1.II section A.9, les fiancés ne peuvent être liés, ni par consanguinité ni par le rapport d'adoption spirituellement équivalent, au quatrième degré ou moins.
    Cette disposition ayant pour but de préserver la famille au sein de la Communauté Aristotélicienne et de sauvegarder les liens de l'Amitié Aristotélicienne au sein de la famille elle-même, elle tend à être absolue et contraignante.
    Néanmoins, en réponse à une demande justifiée, le Saint-Siège, dans l'exercice de l'Autorité Apostolique accordée par le Très-Haut par l'intermédiaire du Deuxième Prophète à Saint Titus et à ses successeurs, peut exceptionnellement accorder une dispense pour célébrer un mariage en dérogation à cette limite. Une telle dispense ne peut être accordée que dans les cas où la protection de la famille et de l'Amitié Aristotélicienne ne serait pas compromise, en raison de la faiblesse de la parenté, de l'absence de consanguinité, du fait que les requérants ont été élevés non pas comme famille mais comme des étrangers et d'autres circonstances qui pourraient justifier le non-respect de la limite canonique. Ceci implique, notamment, que des dispenses pour des unions anormales telles que celles entre parents et enfants ou entre frères et sœurs sont nécessairement exclues. Ces circonstances exigeront nécessairement un examen et un contrôle adéquats et approfondis pour vérifier leur existence et leur suffisance avant que les fidèles concernés puissent présenter une demande de dispense ; une première vérification préventive étant requise, l'autorité ecclésiastique compétente pour cet examen et ce contrôle ne peut être que l'autorité locale, comme c'est également le cas pour les cas de dissolution du mariage, dans la figure de l'Officialité Archiépiscopale compétente, ou en son absence de l'Officialité Nationale compétente ou du Tribunal de la Rote Romaine, qui déterminera si l'affaire est recevable et mérite d'être soumise au Saint-Siège. Au cas où le Saint-Siège recevrait finalement une demande de dispense, il jugera l'affaire et décidera en toute autonomie et sans possibilité de révision.




    Datum Romae, apud Sanctum Titum, die duoetvicesimo mensis februarii, Anno Domini millesimo quadringentesimo sexagesimo octavo, Pontificato Nostri secundo.








gastaldia a écrit:
Bonjour aux personnes présentes

Je viens à vous pour effectuer une consultation et me guider.

L'agitation est arrivée pour un futur mariage dans lequel les deux fiançailles sont familiales

Elle est femme X (fille de père XX et de mère XXX) et lui est homme XXXX (demi-frère de mère XXX), il serait donc à moitié oncle maternel.

Tous deux veulent se marier dans peu de temps.

Qui pourrait m'aider dans ce cas, puisque c'est la première fois que j'ai cette affaire à mener à bien.

[Traduit avec DeepL]




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Aaron
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MessagePosté le: Dim Avr 03, 2011 2:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

    ........


    Sacrosanctum Matrimonium
    Sur la défense du Sacrement du Mariage et la lutte contre les unions hérétiques



    8 "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."
    Livre de la Création, Chapitre VII - « L’amour »


    « Christos lui répondit: "Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait." »
    Vita de Christos, Chapitre XIII




    Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam



    Le saint et inviolable mariage, sacrement par lequel les enfants du Très-Haut liés par un amour pur et désintéressé exaltent l'Amitié Aristotélicienne et choisissent de vivre ensemble selon les Vertus, glorifiant ainsi le Très-Haut par leur union devant Lui-même, ne peut naître qu'entre deux fidèles qui par le baptême ont embrassé l'Amour pour leur Créateur et leurs semblables, en rejoignant la Communauté Aristotélicienne, et qui par la pratique active des Vertus ont développé leur lien avec le Très-Haut et leur prochain. Sans la pratique des Vertus, et à plus forte raison sans embrasser l'Amitié Aristotélicienne et faire partie de la Communauté Aristotélicienne, sans l'amour pur et désintéressé, qui en est une prémisse indispensable, le mariage ne peut donc pas naître ; dans ce cas, ce qui peut être pris pour de l'amour, n'est rien d'autre qu'une attraction charnelle, fruit vicieux de la luxure, inspirée par le Prince-démon Asmodée en les hommes et les femmes dont la Foi n'est pas solide ou qui n'ont pas accueilli la Révélation Divine, car ce n'est pas de l'amour pour le Très-Haut et pour le prochain mais seulement pour soi-même. Une telle attraction, pécheresse en soi, devient un affront au véritable amour et au Très-Haut Lui-même lorsqu'elle prétend s'élever au même niveau que la Perfection de l'Amitié Aristotélicienne atteinte dans le sacrement du mariage et, si un tel affront au Très-Haut est fait par un fidèle, cela constitue un reniement de l'Amitié Aristotélicienne et des Vertus que tout fils du Très-Haut devrait pratiquer.

    C'est donc avec une grande consternation et une grande souffrance que nous apprenons de nouvelles tentatives de profaner la sainteté du mariage en promouvant de prétendues « alternatives » au saint sacrement pour les fidèles aristotéliciens et en leur accordant illicitement une valeur équivalente. Nous estimons donc nécessaire de réitérer et approfondir ce qui a déjà été établi dans la bulle « Matrimonium Prohibitem » et de préciser une fois de plus que toute union autre que le sacrement du mariage célébré par le clergé habilité et visant à unir les fidèles aristotéliciens, qu'elle soit appelée « mariage laïc », « union civile » ou les dénominations les plus diverses, est hérétique et blasphématoire ; que tout fidèle qui sollicite ou obtient une telle union commet un acte d'hérésie et de blasphème et un crime contre la Foi elle-même, s'exposant à la censure ecclésiastique et au jugement de la Sainte Inquisition sans pouvoir plaider l'ignorance ou l'obéissance à l'autorité séculaire ; que tout fidèle qui célèbre une telle union commet un acte d'hérésie et de blasphème et un crime contre la Foi elle-même, sous peine d'excommunication latae sententiae sans pouvoir plaider l'ignorance ou l'obéissance à l'autorité séculaire ; que tout fidèle qui prend part à une telle cérémonie met son âme en danger en participant à une cérémonie hérétique et blasphématoire, s'exposant à la censure ecclésiastique et au jugement de la Sainte Inquisition sans pouvoir plaider l'ignorance ou l'obéissance à l'autorité séculaire. Enfin, nous ordonnons que les Assemblées Épiscopales compétentes pour les territoires où de telles unions hérétiques et blasphématoires sont ou pourraient être promues, propagent le risque pour les âmes des fidèles et réaffirment l'unicité du sacrement du mariage ; que la Sainte Inquisition veille sur la tenue et la promotion de ces unions hérétiques et blasphématoires et décourage les fidèles qui y manifestent de l'intérêt ; que les évêques et tout le clergé paroissial redoublent leurs efforts pour éduquer les fidèles dans la Foi et pour la promotion du sacrement du mariage.


    Constitution Apostolique sur la défense du Sacrement du Mariage et la lutte contre les unions hérétiques,
    Donné à Rome, sur la tombe vénérée de Saint Titus, le vingt-septième jour du mois de Mars, le lundi, de l'an de grâce MCDLXXI, le cinquième de Notre Pontificat, troisième de l'Ère de la Restauration de la Foi.






Code:
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[i][color=#FFCC33][b][size=24]Sacrosanctum Matrimonium[/size][/b]
Sur la défense du Sacrement du Mariage et la lutte contre les unions hérétiques[/color][/i]


[i][b][size=9]8[/size][/b] "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."
[size=9]Livre de la Création, Chapitre VII - « L’amour »[/size][/i]

[i]« Christos lui répondit: "Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait." »
[size=9]Vita de Christos, Chapitre XIII[/size][/i]



[b][size=16]Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam[/size][/b]



Le saint et inviolable mariage, sacrement par lequel les enfants du Très-Haut liés par un amour pur et désintéressé exaltent l'Amitié Aristotélicienne et choisissent de vivre ensemble selon les Vertus, glorifiant ainsi le Très-Haut  par leur union devant Lui-même, ne peut naître qu'entre deux fidèles qui par le baptême ont embrassé l'Amour pour leur Créateur et leurs semblables, en rejoignant la Communauté Aristotélicienne, et qui par la pratique active des Vertus ont développé leur lien avec le Très-Haut et leur prochain. Sans la pratique des Vertus, et à plus forte raison sans embrasser l'Amitié Aristotélicienne et faire partie de la Communauté Aristotélicienne, sans l'amour pur et désintéressé, qui en est une prémisse indispensable, le mariage ne peut donc pas naître ; dans ce cas, ce qui peut être pris pour de l'amour, n'est rien d'autre qu'une attraction charnelle, fruit vicieux de la luxure, inspirée par le Prince-démon Asmodée en les hommes et les femmes dont la Foi n'est pas solide ou qui n'ont pas accueilli la Révélation Divine, car ce n'est pas de l'amour pour le Très-Haut et pour le prochain mais seulement pour soi-même. Une telle attraction, pécheresse en soi, devient un affront au véritable amour et au Très-Haut Lui-même lorsqu'elle prétend s'élever au même niveau que la Perfection de l'Amitié Aristotélicienne atteinte dans le sacrement du mariage et, si un tel affront au Très-Haut est fait par un fidèle, cela constitue un reniement de l'Amitié Aristotélicienne et des Vertus que tout fils du Très-Haut devrait pratiquer.

C'est donc avec une grande consternation et une grande souffrance que nous apprenons de nouvelles tentatives de profaner la sainteté du mariage en promouvant de prétendues « alternatives » au saint sacrement pour les fidèles aristotéliciens et en leur accordant illicitement une valeur équivalente. Nous estimons donc nécessaire de réitérer et approfondir ce qui a déjà été établi dans la bulle « [i]Matrimonium Prohibitem[/i] » et de préciser une fois de plus que toute union autre que le sacrement du mariage célébré par le clergé habilité et visant à unir les fidèles aristotéliciens, qu'elle soit appelée « mariage laïc », « union civile » ou les dénominations les plus diverses, est hérétique et blasphématoire ; que tout fidèle qui sollicite ou obtient une telle union commet un acte d'hérésie et de blasphème et un crime contre la Foi elle-même, s'exposant à la censure ecclésiastique et au jugement de la Sainte Inquisition sans pouvoir plaider l'ignorance ou l'obéissance à l'autorité séculaire ; que tout fidèle qui célèbre une telle union commet un acte d'hérésie et de blasphème et un crime contre la Foi elle-même, sous peine d'excommunication [i]latae sententiae[/i] sans pouvoir plaider l'ignorance ou l'obéissance à l'autorité séculaire ; que tout fidèle qui prend part à une telle cérémonie met son âme en danger en participant à une cérémonie hérétique et blasphématoire, s'exposant à la censure ecclésiastique et au jugement de la Sainte Inquisition sans pouvoir plaider l'ignorance ou l'obéissance à l'autorité séculaire. Enfin, nous ordonnons que les Assemblées Épiscopales compétentes pour les territoires où de telles unions hérétiques et blasphématoires sont ou pourraient être promues, propagent le risque pour les âmes des fidèles et réaffirment l'unicité du sacrement du mariage ; que la Sainte Inquisition veille sur la tenue et la promotion de ces unions hérétiques et blasphématoires et décourage les fidèles qui y manifestent de l'intérêt ; que les évêques et tout le clergé paroissial redoublent leurs efforts pour éduquer les fidèles dans la Foi et pour la promotion du sacrement du mariage.


[i]Constitution Apostolique sur la défense du Sacrement du Mariage et la lutte contre les unions hérétiques,
Donné à Rome, sur la tombe vénérée de Saint Titus, le vingt-septième jour du mois de Mars, le lundi, de l'an de grâce MCDLXXI, le cinquième de Notre Pontificat, troisième de l'Ère de la Restauration de la Foi.[/i]

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