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Hagiographie de Saint Nicomaque

 
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vincent.diftain



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MessagePosté le: Ven Nov 21, 2008 12:10 pm    Sujet du message: Hagiographie de Saint Nicomaque Répondre en citant

Hagiographie de Saint Nicomaque
Saint Patron des mutilés



I - Le mythe du père
Tandis qu’Aristote, de cité en cité prêchait inlassablement le message du Très-Haut, le petit Nicomaque poussa un peu comme une herbe folle tant il est implacable et draconien d’endosser le rôle de fils de prophète. Les doigts pointés vers lui, accompagnés de chuchotements ne faisaient que renforcer cette difficulté.

Au reste, aucun précépteur n’eût l’audace de remplacer l’absence du père c’est pourquoi jusqu’à l’âge de dix ans, l’enfant ne reçut aucune autre éducation que celle des quelques hilotes qui gravitaient dans le foyer.

Avide d’amour paternel il s’éprit alors de tous les récits légendaires mettant en scène Aristote comme on contemple l’objet aimé dans le reflet d’un miroir mais, loin d’étancher sa soif ces évocations lui rendaient toujours plus lointaine l’image paternelle et devant son tonneau des Danaïdes il méditait le sens de sa vie, tombant de Charybde en Scylla : que venait-il faire dans cette trière ?

Puis un jour, le père revint : fragile colosse aux pieds d’argile, accablé de fatigue et presque brisé.

Nicomaque médusé était à mille stades de se représenter le prophète si humainement affaibli, il en conçut tout d’abord du ressentiment à l’égard du héros, son géniteur.

Désormais l’éphèbe laconique et devenu cynique renvoyait aux calendes les milliers de questions qu’il avait conçu sous l’égide de l’enthousiasme pré-oedipien.


II - L'apprentissage des précéptes d'Aristote
Un jour, la nouvelle de la mort d’Alexandre se répandit comme un typhon. Dès lors les gros centaures du bouleutérion ne se privèrent plus de calomnier au grand jour Aristote qui menaçait selon eux l’ordre établi de la cité athénienne et l’esprit des hellènes de sa dangereuse prophétie.

Contre toute attente Aristote prit Nicomaque par l’épaule lui tendit un cratère et, dans un rire homérique dit en trinquant « ne t’en fais pas, mon fils, mieux vaut mourir lavé d’une purge d’hyppocrate que de vivre à jamais entouré d’hypocrites »

L’adversité aidant, une profonde complicité s’établit alors entre le père et le fils. Aristote s’efforça de compenser les années d’absence douloureuse en transmettant les connaissances morales qui, désormais pour lui, seules comptaient de sorte que Nicomaque put acquérir un réel savoir-être étayé par la foi.

Allant au cœur des notions, il lui apprit à chercher le Juste au delà du Bien, le Vrai caché par la pudeur et la bienséance, l’Amitié sans crainte de la solitude, l’Humilité dépourvue d’orgueil puis lui permit d’analyser jusqu’à quelle extrémité la vertu peut devenir perversité :

« Bien souvent, conservation n’est plus qu’appertisation. Le paysan thésaurise pour un éternel avenir difficile et sa cagnotte, planquée sous le duvet d’oie, enfouie sous la fesse gauche de sa femme lui servira bientôt pour un deuxième champ en cas de coup dur, champ qu’il gardera bien sûr lorsqu ’artisan, il convoitera l’appartement cossu de la Cité sans effleurer un instant la nature factice de son sentiment d’insécurité.

Foncièrement radieuse c’est-à-dire pétée de radis investis dans la pierre, telle est la signature de sa réussite terrestre mais ne lui dis surtout pas qu’il pèche par gourmandise » murmurait-il dans un sourire.

Bien sûr il évoquait souvent la prophétie et l’étincelle de l’espérance illuminait son regard.

Nicomaque absorbait tout avec ardeur et ravissement.

Il arriva un jour ou, fourbu d’une vie surhumaine, le prophète s’en remit aux forces de son fils et ce fut ce dernier qui transcrivit les opus de la métaphysique et, de mémoire toute l’éducation morale qu’Aristote lui avait transmise sous le titre d’éthique à Nicomaque.

C'est alors que la maison familiale fut attquée par des hoplites masqués. Nicomaque tentant de s'interposé eu les yeux crevés et la maison fut incendiée, obligeant la famille a quitter Athènes pour Chalcis.

Son père tachant de le consoler avait coutume de lui dire « en cyclopédie, Œdipe règne en maître » ce qui signifie à peu de choses près, au royaume des borgnes les aveugles sont rois.


III - Le partage des précéptes


Aristote, chasé d'Athènes, s'était installé avec son fils Nicomaque et sa petite fille Poséidonia à Chalcis. C'est là qu'il apprit que Séleucos, ancien Général d'Alexandre venait d'avoir un fils. Il invita donc Séleucos a lui présenter son fils Antiochos, car il avait de grandes révélations à faire.
Dans l'attente de cette venue, Aristote prépara son fils Nicomaque a la grande mission de sa vie : devenir le Précepteur d'Antiochos.
Nicomaque partit donc avec Séleucos, emportant avec lui l'ensemble des écrits de son père et des instructions précises pour l'éducation du jeune Antiochos.

Ce fut peu de temps après que Nicomaque apprit le décès de son Père, le Grand Aristote. Sa peine fut réelle, mais il savait qu'il avait une mission à accomplir et il fit tout pour que les enseignements de son Père soient transmis au plus grand nombre.

Pendant la toute jeunesse d'Antiochos, il repris l'ensemble des écrits de son père qu'il compila dans un livre qu'il appela "Du Dieu Unique et de ses commandements".
Puis lors des quinze ans de l'enfant, il confia à Antiochos ce livre, ainsi que le pli scéllé qu'Aristote avait écrit pour le jeune enfant.
En cette même année 305 avant Christos, le Père d'Antiochos devint Roi.

Nicomaque continua à Séleucie, la nouvelle capitale de l'Empire Séleucide, l'éducation du jeune Antiochos, qui écoutait avec grande attention son mentor et dont la foi grandissait de jour en jour.

Il partait aussi souvent dans la campagne autour de Séleucie, afin de propager l'enseignement de son père.

C'est ainsi qu'un jour, alors qu'il venait d'expliquer à un villageois qu'il fallait s'entourer d'amis proches, il découvrit un "bordel", où de nombreuses femmes vendaient leurs corps sans pudeur, bien qu'il ne pusse pas les voir, les obscénités qu'il entendait suffirent à lui faire comprendre ce qu'il se passait.
L'horreur se peignit sur le visage du fils du prophète. Et il ne put se résoudre à ne pas intervenir, il se laissa dominer par sa foi et il déclara de sa voix débordante de ferveur :
« Honte à vous, hommes, qui vous fourvoyez dans le péché ! Le péché de chair ! Je vous conjure d'arrêter ! Pour le respect de Notre Dieu à tous !»

Les yeux creuvés de Nicomaque rajoutèrent de la profondeur à son discours, les hommes arrêtèrent leurs actes dégradants, et se rhabillèrent, gênés. Les dires du fils d'Aristote les avaient frappés en plein coeur, et tous s'approchèrent de lui, en lui demandant :
« Nous pardonnera-t'Il?»
Il leur répondit qu'il faudrait de bonnes actions pour racheter la débauche dans laquelle ils vivaient. Il les invita à les suivre dans sa route, leur enseignant ce que son père lui avait enseigné, et qu'ils enseigneraient à leur tour, là où ils s'arrêteraient.

C'est en 289 avant Christos, que Nicomaque s'éteignit. L'enseignement de son Père qu'il avait commencé à délivrer auprès de la noblesse séleucide et du peuple, allait d'ici peu porter ses fruits, car sur son lit de mort, Nicomaque entendit son disciple Antiochos lui promettre que bientôt, il créerait une véritable Eglise qui diffuserait la vrai foi telle qu'enseignée par Aristote.

Humble et détaché de la vanité du monde tout ce qu’il accomplît fut guidé par la conviction et la beauté du geste, et c’est ainsi que l’entreprise de titan que Nicomaque mena, nul jamais n’en fit l’éloge, il demeura toujours ignoré de l’histoire et délaissé par les lauriers.


Citations célèbres :
"
La beauté de ce monde n'est rien comparée à celle de celui qui nous attend !"
"
Les souffrances endurées par un homme le rendent plus fort ! Et sa foi n'en est que renforcée.
_________________
Vincent Diftain d'Embussy
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Kalixtus
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MessagePosté le: Mer Jan 29, 2020 5:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Hagiographie des Heiligen Nikomachus
Schutzheilige der Verstümmelten



I - Der Mythos des Vaters
Während Aristoteles von Stadt zu Stadt unermüdlich die Botschaft des Allerhöchsten predigte, wuchs der kleine Nikomachus wie verrücktes Gras, so unerbittlich und drakonisch ist es, die Rolle des Sohnes eines Propheten zu erfüllen. Die auf ihn gerichteten Finger, begleitet von einem Flüstern, machten es nur noch schwieriger.

Außerdem hatte kein Lehrer die Kühnheit, die Abwesenheit des Vaters zu ersetzen, weshalb das Kind bis zum Alter von zehn Jahren keine andere Ausbildung erhielt als die der wenigen Hiloten, die im Haus aufgestiegen waren.

Begierig auf die väterliche Liebe verliebte er sich in all die legendären Geschichten über Aristoteles, wenn man das geliebte Objekt im Spiegelbild betrachtet, aber weit davon entfernt, seinen Durst stillt, entfernen diese Vorstellungen das väterliche Bild immer weiter, und vor seinem Fass Danaids meditiert er über den Sinn seines Lebens, indem er von Charybdis zu Skylla fällt: was soll er bei diesem ewigen Siegeszug tun?

Eines Tages kehrte der Vater zurück: ein zerbrechlicher Koloss mit Füßen aus Lehm, überwältigt von Müdigkeit und fast zerbrochen.

Nikomachus befand sich in tausend Stadien der Wahrnehmung des Propheten, der so menschlich geschwächt war, dass er zunächst Ressentiments gegenüber dem Helden, seinem Stammvater, entwickelte.

Nun schickte der lakonische und nun zynische Ephebe die Tausenden von Fragen, die er unter der Ägide der vorödipalen Begeisterung ersonnen hatte, zurück in die Reihe später.


II - Die Lehre von Aristoteles' Geboten
Eines Tages verbreitete sich die Nachricht von Alexanders Tod wie ein Wirbelsturm. Von da an zögerten die großen Zentauren der Birke nicht, Aristoteles am helllichten Tag zu verleumden, da er mit seiner gefährlichen Prophezeiung die etablierte Ordnung der athenischen Stadt und den Geist der Griechen bedrohte.

Entgegen aller Widerstände nahm Aristoteles Nikomachus bei der Schulter, reichte ihm einen Kelch und sagte in homerischem Gelächter mit einem Trinkspruch: "Mach dir keine Sorgen, mein Sohn, es ist besser, von einer hyppokratischen Säuberung gewaschen zu sterben, als ewig von Heuchlern umgeben zu leben.

In der Not wird eine tiefe Verbundenheit zwischen Vater und Sohn hergestellt. Aristoteles versuchte, die Jahre der schmerzhaften Abwesenheit dadurch wettzumachen, dass er das moralische Wissen weitergab, das nun nur noch für ihn zählte, damit Nikomachus ein wirkliches Wissen über die Grundlage des Glaubens erlangen konnte.

Indem er die Begriffe auf den Punkt brachte, lehrte er ihn, das Gerechte jenseits des Guten zu suchen, das Wahre, das durch Bescheidenheit und Anstand verborgen ist, Freundschaft ohne Angst vor Einsamkeit, Demut ohne Stolz, und erlaubte ihm dann zu analysieren, inwieweit Tugend pervers werden kann:

"Sehr oft ist die Erhaltung nichts anderes als eine Appertisierung. Der Bauer hortet für eine ewig schwierige Zukunft, und sein Topf, versteckt unter den Gänsedaunen, begraben unter dem linken Gesäß seiner Frau, wird im Falle eines harten Schlages bald für ein zweites Feld verwendet werden, ein Feld, das er natürlich behält, wenn er als Handwerker die schicke Wohnung der Stadt begehrt, ohne auch nur einen Augenblick die Scheinhaftigkeit seines Gefühls der Unsicherheit zu erahnen.

Grundsätzlich strahlend, d.h. in Stein investierte furzende Radieschen, das ist die Signatur seines irdischen Erfolgs, aber sagen Sie ihm nicht, dass er nach Völlerei verlangt", flüsterte er mit einem Lächeln.

Natürlich beschwor er oft Prophezeiungen herauf, und der Funke der Hoffnung erleuchtete seine Augen.

Nikomachus nahm alles mit Begeisterung und Freude auf.

Eines Tages verließ sich der Prophet, erschöpft von einem übermenschlichen Leben, auf die Kraft seines Sohnes, und es war dieser, der die Werke der Metaphysik und, aus dem Gedächtnis, die gesamte moralische Erziehung, die Aristoteles ihm unter dem Titel der Ethik übermittelt hatte, auf Nikomachus übertrug.

Damals wurde das Haus der Familie von maskierten Hopliten angegriffen. Nikomachus versuchte einzugreifen, aber seine Augen wurden herausgestochen und das Haus wurde in Brand gesteckt, wodurch die Familie gezwungen war, Athen in Richtung Chalkis zu verlassen.

Sein Vater versuchte ihn zu trösten und sagte zu ihm: "In der Zyklopädie herrscht Ödipus", was bedeutet, dass im Reich des Einäugigen die Blinden Könige sind.



III - Die Weitergabe der Gebote


Aristoteles, der aus Athen vertrieben wurde, hatte sich mit seinem Sohn Nikomachus und seiner Enkelin Poseidonia in Chalkis niedergelassen. Dort erfuhr er, dass Seleucos, Alexanders ehemaliger General, gerade einen Sohn bekommen hatte. Also lud er Seleucos ein, ihn seinem Sohn Antiochos vorzustellen, denn er hatte eine große Offenbarung zu machen.
Während er auf dieses Kommen wartete, bereitete Aristoteles seinen Sohn Nikomachus auf die große Mission seines Lebens vor: Er sollte der Tutor von Antiochos werden.
Nikomachus ging daher mit Seleukos fort und nahm alle Schriften seines Vaters und genaue Anweisungen für die Erziehung des jungen Antiochos mit.

Es dauerte nicht lange, bis Nikomachus vom Tod seines Vaters, des großen Aristoteles, erfuhr. Seine Trauer war echt, aber er wusste, dass er eine Mission zu erfüllen hatte, und er tat alles, was möglich war, um sicherzustellen, dass die Lehren seines Vaters möglichst vielen Menschen vermittelt wurden.

In der Jugendzeit Antiochos' nahm er alle Schriften seines Vaters auf, die er in einem Buch mit dem Titel "Von dem einen Gott und seinen Geboten" zusammenfasste.
Als das Kind dann fünfzehn Jahre alt war, vertraute er Antiochos dieses Buch an, ebenso wie die versiegelte Mappe, die Aristoteles für das kleine Kind geschrieben hatte.
Im selben Jahr 305 v. Chr. wurde Antiochos' Vater König.

Nikomachus setzte in Seleucia, der neuen Hauptstadt des Seleukidenreiches, die Erziehung des jungen Antiochos fort, der seinem Mentor mit großer Aufmerksamkeit zuhörte und dessen Glaube von Tag zu Tag wuchs.

Er ging auch oft in die Landschaft um Seleucia, um die Lehren seines Vaters zu verbreiten.

So entdeckte er eines Tages, als er gerade einem Dorfbewohner erklärt hatte, dass er sich mit engen Freunden umgeben müsse, ein "Bordell", in dem viele Frauen ohne Scham ihre Körper verkauften, obwohl er sie nicht sehen konnte, die Obszönitäten, die er hörte, reichten aus, um ihm klarzumachen, was vor sich ging.
Dem Sohn des Propheten stand das Entsetzen ins Gesicht geschrieben. Und er konnte sich nicht entschließen, nicht einzugreifen, er ließ sich von seinem Glauben beherrschen und erklärte mit überbordender Stimme:
"Schämt euch, die ihr euch in der Sünde verführt habt. Sünde des Fleisches! Ich flehe Sie an, aufzuhören! Um der Achtung unseres Gottes willen, uns allen!"

Nikomachus' eingesunkene Augen verliehen seiner Rede Tiefe, die Männer hörten mit ihren erniedrigenden Handlungen auf und zogen sich verlegen an. Die Worte von Aristoteles' Sohn hatten sie ins Herz getroffen, und sie alle kamen zu ihm und fragten ihn:
"Wird er uns verzeihen?"
Und er sagte, dass es guter Taten bedürfe, um die Ausschweifungen, in denen sie lebten, wieder gutzumachen. Er lud sie ein, ihm auf seinem Weg zu folgen und ihnen das beizubringen, was sein Vater ihm beigebracht hatte, und dass er ihnen anschließend das beibringen würden, wo die Lehre endet.

Es war 289 v. Chr., als Nikomachus starb. Die Lehre seines Vaters, die er begonnen hatte, dem seleukidischen Adel und dem Volk zu vermitteln, würde bald Früchte tragen, denn auf seinem Sterbebett hörte Nikomachus seinen Jünger Antiochos versprechen, dass er bald eine wahre Kirche schaffen würde, die den wahren Glauben, wie er von Aristoteles gelehrt wurde, verbreiten würde.

Demütig und losgelöst von der Eitelkeit der Welt, wurde alles, was er vollbrachte, von der Überzeugung und der Schönheit der Geste geleitet, und so wurde das titanische Unterfangen, das Nikomachus vollbrachte, von niemandem gelobt, er blieb immer von der Geschichte ignoriert und von den Lorbeeren verschont.




Berühmte Zitate:
"
Die Schönheit dieser Welt ist nichts im Vergleich zu der Schönheit der Welt, die uns erwartet!"
"
Das Leiden, das ein Mann ertragen muss, macht ihn stärker! Und sein Glaube wird dadurch nur gestärkt.

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