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Hagiographie de Saint Georges de Lydda

 
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vincent.diftain



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MessagePosté le: Mer Déc 17, 2008 12:25 pm    Sujet du message: Hagiographie de Saint Georges de Lydda Répondre en citant

            Hagiographie de saint Georges de Lydda



    Saint Georges est le patron de la Chevalerie et des Gens d’Armes, il symbolise le triomphe du Bien contre le Mal, la victoire de la Foi sur la Créature sans nom, la force de la Foi et la bravoure.

    Le Duché et l'Ost du Lyonnais-Dauphiné en ont fait leur patron.



    I - Origine

    Georges naquit vers 275 après Christos, en pleine Ère de la Dispersion de la Foi, dans la Province de Cappadoce, au sein d’une famille riche et de haute condition. À la mort de son père, alors qu’il n’était âgé que de dix ans, sa mère, Polychronia, convertie à l’Aristotélicisme à l’insu de son époux, l’emmena en Palestine, sa terre natale. Là-bas, elle lui inculqua les Vertus de la Raison enseignées par Aristote, ainsi que la Foi en l’Amour de Dieu prêchée par Christos.

    Georges grandit et devint un jeune homme de belle apparence, à l’esprit vif et aux mœurs raffinées. Lors de sa dix-huitième année, il décida d’embrasser une carrière militaire et s’engagea dans les armées romaines, afin de défendre la paix des terres romaines et de leurs habitants. Très vite, sa valeur le distingua du lot, et ses supérieurs le nommèrent tribun de la garde prétorienne. L’empereur lui-même reconnu son dévouement et son courage et l’éleva à la dignité de préfet.



    II - Georges et le "Dragon" de Béryte :

    Alors que Georges retournait en Cappadoce, après une campagne victorieuse en Mésopotamie contre le roi perse Narses, il traversa la région de Béryte, ravagée alors par une armée de pillards sanguinaires et impies, menée par un homme cruel nommé Nahf dont la barbarie sans égale lui avait valu le surnom de « Dragon », car en phénicien, « nahf » signifiait « serpent ». Les pillards de Nahf s’étaient installés dans les marais voisins de la ville, il y avait plusieurs années, et avaient opéré des raids continuels sur la région, ravageant les récoltes et pillant les fermes. Tous ceux qui avaient tenté de leur résister eurent les yeux crevés par Nahf et ses hommes. Pour se protéger de la dévastation, les habitants décidèrent d’offrir chaque jour deux animaux en tribut pour calmer les pillards du Dragon. Cependant, vint un jour où il n’y eut plus de bêtes à sacrifier, et Nahf recommença ses ravages. Désespéré, le roi de cette contrée accepta que l’on donne chaque jour une jeune femme tirée au sort aux brigands pour satisfaire leurs vils appétits.

    Les semaines et les mois s’écoulèrent, et vint le jour où la propre fille du roi, la princesse Alcyone, fut choisie pour être jetée en pâture aux pillards. Elle fut attachée à un pieu en bois face aux marais et abandonnée ainsi à son triste sort. Quelques instants après, alors qu’Alcyone pleurait à chaudes larmes, un grondement se fit entendre. Croyant sa dernière heure venue, quelle ne fut pas sa surprise quand elle découvrit que le bruit venait, non pas des marais, mais de la plaine s’étendant derrière elle. Alcyone se tourna et pu apercevoir un cavalier de haute taille, revêtu d’une armure étincelante et portant une longue lance, qui dirigeait sa monture vers elle. Arrivé à sa hauteur, il mit pied à terre et s’approcha d’Alcyone qui pu distinguer, ainsi, la grande croix rouge qui ornait son plastron blanc. La princesse le pria de partir loin d’elle pour sauver sa vie, mais le cavalier refusa et la détacha. Il disait s’appeler Georges et qu’il consacrait sa vie à servir Dieu et à répandre Sa parole parmi les Hommes. Pour Georges, Nahf était un homme perverti la Créature sans nom, faisant preuve des Vices qu’il avait juré de combattre et d’anéantir avec l’aide des Vertus enseignées par Aristote et Christos.

    Soudain, un rugissement résonna à travers les marais et cent hommes montés sur des chevaux à la robe noirâtre apparurent, avançant en colonne tel un corps gigantesque ondulant entre les flaques d’eau putride. Tous portaient des armures de mailles semblables à des écailles d’un vert olive, et brandissaient leurs épées comme des centaines de crocs acérés, prêts à se refermer sur Georges et Alcyone. A leur tête, un homme massif leur fit faire halte à quelques toises des deux silhouettes qu’il regarda furieusement. Georges n’avait jamais vu un homme aussi immonde et repoussant, sa barbe hirsute avalait la plus grande partie de son visage cuivré où seuls ses yeux injectés de sang perçaient à travers son casque de cuir. Il détourna les yeux pour se préserver de ce spectacle abject, mais sa résolution d’affronter ces pillards infâmes n’avait pas faibli. Il leva sa lance vers les cieux et éperonna vivement son cheval qui s’élança au galop vers le « Dragon ». Des hurlements terrifiants s’élevèrent des rangs adverses et comme un seul homme, les pillards se lancèrent à l’assaut du guerrier solitaire. Georges se retrouva pris au milieu d’un tourbillon d’yeux enflammés de rage et de lames. Partout où son regard se posait, il y avait un pillard prêt à fondre sur lui, mais il tint bon pendant que le cercle se refermait sur lui, continuant à éperonner sa monture vers celle de Nahf. Alors qu’il allait être submergé par la marée humaine, Georges mobilisa toutes ses forces et sa Foi, pour lever à nouveau son bras et plonger sa lance au milieu du tourbillon d’hommes et de lames qui se dressaient face à lui. Un cri terrifiant retentit, auquel répondirent des hurlements affolés. Terrifiés, les pillards s’enfuirent aussi soudainement qu’ils étaient apparus, laissant leurs armes derrière eux.

    Sortant de son exaltation guerrière, Georges vit Nahf qui gisait à ses pieds, mortellement blessé par sa lance qui s’était figée en travers de sa gorge. Georges attacha le chef des pillards, noirci autant de péché que de terre, à son cheval et regagna Béryte avec la princesse Alcyone, traînant le « Dragon » derrière eux. Ils furent accueillis par la liesse et les acclamations des habitants enfin délivrés de cette terrible calamité. George amena la dépouille de Nahf devant le roi qui se prosterna devant Georges et jura que lui et ses sujets se convertiraient à la Foi aristotélicienne. Le héros reprit ensuite la route de la Cappadoce.



    III - Le martyre de Georges :

    Quelques années plus tard, l’empereur de Rome convoqua à Nicomédie tous les gouverneurs des Provinces d’Orient afin de leur communiquer ses décrets contre les disciples d’Aristote et Christos. Georges, sentant que l’heure était venu de confesser publiquement sa Foi, distribua ses biens aux pauvres, affranchit ses esclaves et fit route vers Nicomédie pour se rendre à la cour impériale. Il se présenta au milieu de l’assemblée et reprocha à l’empereur de verser injustement le sang innocent des fidèles aristotéliciens. Stupéfait, l’empereur fit interroger Georges sur sa croyance. Georges répondit qu'il croyait au seul et unique vrai Dieu, celui qu'Aristote et Christos avaient professé, et que c'est cette croyance qui l'avait guidé ici sans crainte, pour adresser ses reproches au souverain. L’empereur, craignant l’agitation, proposa à Georges de le couvrir d’honneurs s’il acceptait de sacrifier au culte impérial. Georges refusa en lui répondant :

    « Ton règne se corrompra et disparaîtra rapidement dans le brouillard lunaire, sans te procurer aucun profit ; mais ceux qui offrent un sacrifice de louange au Très-Haut siègeront avec Lui pour l’éternité dans le Soleil ! »

    L’empereur donna l’ordre à ses gardes de frapper Georges et ils le rouèrent de coups. Le sang se mit à couler à flot, mais Georges refusa d’abjurer sa foi. Excédé, l’empereur le fit jeter en prison, avec une lourde pierre sur la poitrine, mais le lendemain, quand il fut mené devant le souverain, le héros continua à refuser avec la même fermeté. On l’attacha donc sur une roue suspendue au-dessus d’une foule d’instruments tranchants et on le fit tourner. Les lames le blessèrent un millier de fois, tranchant et meurtrissant sa chair, mais Georges resta inflexible, surmontant sa douleur grâce à sa Foi en l’Amour de Dieu. Devant tant de courage, deux soldats s’agenouillèrent pour confesser l’Aristotélisme et furent aussitôt décapités. L’impératrice elle-même se déclara aristotélicienne, aussi on l’enferma dans le palais.

    L’empereur ordonna qu’on jette Georges fit dans une fosse de chaux vive. La chaux attaquait ses chaires, brûlant atrocement son corps, les vapeurs nauséabondes envahissaient son nez et le faisaient suffoquer mais, il refusa encore d’abjurer sa foi. La foule admirative devant sa bravoure sans limite l’acclama et se mit à louer le Seigneur et Ses prophètes. On le força ensuite à marcher avec des chaussures garnies de pointes rougies au feu, mais Georges triompha à nouveau grâce à sa Foi.

    Le lendemain, l’empereur fit comparaître Georges au temple d'Apollon, en présence d'une foule considérable. Feignant de vouloir sacrifier en l’honneur de la divinité, Georges entra dans le temple et s'adressa à l'idole en se signant. L'essence même de l'acédie habitait ces statues, mais à la présence et aux mots de Saint Georges, celles-ci éclatèrent en morceaux, laissant échapper une odeur putride qui disparut avec un sifflement. Les prêtres et les païens chassèrent alors Georges à grands cris et le ramenèrent au palais. Attirée par le tumulte, l'impératrice sortit, fendit la foule en criant : « Dieu de Georges, viens à mon aide ! » et elle tomba aux pieds du Saint. Ne pouvant plus contenir sa rage le tyran, dont le coeur s'était endurci après tant d’impiété et de cruauté, ordonna de les décapiter tous les deux. Mais, la veille de l'exécution, l’impératrice remit paisiblement son âme à Dieu dans la prison et put ainsi mourir en paix le lendemain.

    Le jour venu, Georges se rendit sur les lieux de l'exécution, suivi d'une grande foule. Il rendit grâce à Dieu, à Aristote et Christos pour tous leurs bienfaits et, demandant leur assistance en faveur de tous ceux qui invoqueront, avec confiance, son intercession dans la suite des siècles, il inclina la nuque sous le glaive et partit pour remporter au Soleil les trophées de la gloire éternelle. Dès ce moment, une grande lumière se fit sur la place, tandis que l'âme rejoignait peu à peu la vie éternelle et heureuse qui l'attendait.

    Conformément à la recommandation du Saint, son serviteur transporta ensuite sa précieuse relique dans sa patrie, Lydda en Palestine, où d'innombrables miracles s'accomplirent dans la vaste église que l'on construisit en son honneur.




    Symbolique:

    Il est traditionnellement représenté à cheval, souvent blanc, ayant un dragon à ses pieds, revêtu d’une armure, une lance à la main, portant un écu et une bannière d'argent à la croix de gueules. La lance et la croix de gueules sur fond d’argent sont ses symboles les plus répandus.

    Le dragon est une représentation de Nahf, le chef de l'armée de pillards perses ravageant Béryte que saint Georges vainquit pour sauver Alcyone et libérer les habitants de la région. Cette image trouve son origine dans le nom-même de Nahf qui signifie "serpent" en Phénicien et qui fut surnommé "le Dragon" par les habitants de Béryte à cause des ravages qu'il causait et de sa grande cruauté. Petit à petit, le symbolisme de cette victoire va s'étoffer, notamment après le martyre de saint Georges, le Dragon devenant une allégorie du Vice, la victoire de Georges devient celle de la Foi sur le Mal. Victoire d'autant plus importante et forte en signification, puisque elle apportera la Lumière au royaume de Beyrouth qui se convertit à l'Aristotélicisme grâce à Georges de Lydda.



    Fête:

    Il est fêté le 23 avril.


    Les reliques :

    Le crâne de saint Georges à Lydda (Palestine), son armure dont on ignore qu’elle fut son sort, ainsi que la lance avec laquelle il terrassa Nahf, également perdue.

    Une fiole contenant le sang sous la protection de la Famille Berasategui Pern, nobles du royaume de Valence, en échange de la construction d'un cénotaphe à la gloire de Saint-George de Lydda ou pourront se recueillir les pèlerins .

    Une toile imbibé de sang est mise sous la protection de l'Archevêque de Tarragone et le clergé paroissial de Castellon afin d'être présenté aux fidèles lors des processions.

_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Romain
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Juin 12, 2010 2:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Hagiografía de San Jorge de Lydda




San Jorge es el patrono de la Caballería y de la Gente de Armas, simboliza el triunfo del Bien contra el Mal, la victoria de la Fe sobre la Criatura sin nombre, la fuerza de la Fe y la valentía.

El Ducado y el Delfinado de Ost de lionés lo hicieron su patrono.



I - Origen

Jorge nació hacia el 275 después de Christos, en plena Era de la Dispersión de la Fe, en la Provincia de Capadocia, en el seno de una familia rica y de alta condición. A la muerte de su padre, a pesar de que tenía sólo diez años de edad, su madre, Polychronia, convertida a la fe Aristotélica a espaldas de su esposo, lo llevó a Palestina, su tierra natal. Allí, le inculcó las Virtudes de la Razón enseñadas por Aristóteles, así como la Fe en el Amor de Dios recomendada por Christos.

Jorge creció y se hizo un hombre joven de bella apariencia, de espíritu vivo y costumbres refinadas. En el momento de su decimoctavo año, decidió abrazar la carrera militar y se comprometió en los ejércitos romanos, con el fin de defender la paz de las tierras romanas y sus habitantes. Rápidamente, su valor lo distinguió del resto, y sus superiores le nombraron tribuno de la guardia pretoriana. El emperador mismo reconoció su devoción y su coraje y lo ascendió a la dignidad de prefecto.


II - Jorge y el "Dragón" de Beryte:

Mientras Jorge regresaba a Capadocia, después de una campaña victorioso en Mesopotamia contra el rey persa Narses, atravesó la región de Beryte, asolada entonces por un ejército de saqueadores sanguinarios e impíos, comandados por un hombre cruel llamado Nahf cuya barbarie sin igual le había valido el sobrenombre de "Dragón", porque en fenicio, nahf " significaba "serpiente". Los saqueadores de Nahf se habían instalado en los pantanos vecinos de la ciudad, hacía varios años, y habían realizado allanamientos continuos sobre la región, asolando las cosechas y robando las granjas. A Todos los que habían intentado resistirles se les reventó los ojos por Nahf y sus hombres. Para protegerse de la devastación, los habitantes decidieron ofrecer cada día dos animales en tributo para calmar a los saqueadores del Dragón. Sin embargo, llegó un día en el que no hubo más bestias que sacrificar, y Nahf empezó de nuevo sus estragos. Desesperado, el rey de esta comarca aceptó que se diera cada día a una joven mujer por sorteo a los bandoleros para satisfacer sus viles apetitos.

Las semanas y los meses pasaron, y llegó el día en que la propia hija del rey, la princesa Alcyone, fue escogida para ser pasto de los saqueadores. Fue atada a una estaca de madera frente a los pantanos y abandonada así a su triste suerte. Algunos instantes después, mientras Alcyone lloraba a lágrima viva, oyó un gruñido. Creyendo llegada su última hora, cual no fue su sorpresa cuando descubrió que el ruido venía, no de los pantanos, sino de la llanura que se extendía detrás de ella. Alcyone se volvió y pudo percibir a un jinete alto, revestido de una armadura brillante que llevaba una lanza larga, y que dirigía su montura hacia ella. Llegado a su altura, puso el pie en tierra y se acercó a Alcyone que pudo distinguir, así, la gran cruz roja que adornaba su pechera blanca. La princesa le rogó que se fuera lejos de ella para salvar su vida, pero el jinete se negó y la cogió. Decía llamarse Jorge y que dedicaba su vida al servicio de Dios y a difundir Su palabra entre los Hombres. Para Jorge, Nahf era un hombre pervertido por la Criatura sin nombre, dando prueba de Vicios que había jurado combatir y aniquilar con la ayuda de las Virtudes enseñadas por Aristóteles y Christos.

De repente, un rugido resonó a través de los pantanos y cien hombres vestidos de negro montados sobre caballos aparecieron, avanzando en columna tras un cuerpo gigantesco que ondulaba entre los charcos de agua pútrida. Todos ellos llevaban armaduras de mallas semejantes a escamas de un verde oliva, y blandían sus espadas como centenares de ganchos acerados preparados para abalanzarse sobre Jorge y Alcyone. En su cabeza, un hombre fornido parado en toda su altura sobre ambas siluetas los miraba furiosamente. Jorge jamás había visto a un hombre tan inmundo y repulsivo, su barba hirsuta se tragaba gran parte de su cara cobriza donde sólo sus ojos inyectados en sangre se abrían a través de su casco de cuero. Apartó los ojos para preservarse de este espectáculo abyecto, pero su resolución de enfrentarse con estos infames saqueadores no se había debilitado. Levantó su lanza hacia los cielos y vivamente espoleó su caballo y se lanzó al galope hacia el "Dragón". Aullidos terroríficos se elevaron entre las filas opuestas y como un solo hombre, los saqueadores se lanzaron al asalto del guerrero solitario. Jorge se encontró encerrado en medio de un remolino de ojos encendidos de rabia y de hojas de espadas. Por todas partes donde su mirada se posaba, había un saqueador listo para caer sobre él, pero se mantuvo firme mientras el círculo se cerraba sobre él, continuó espoleando su montura hacia la de Nahf. Si bien sería sumergido por la marea humana, Jorge movilizó todas sus fuerzas y su Fe, para levantar de nuevo su brazo y hundir su lanza en medio del remolino de hombres y de hojas que se levantaban frente a él. Un grito terrorífico resonó, al cual respondieron aullidos enloquecidos. Aterrorizados, los saqueadores huyeron tan repentinamente como habían aparecido, dejando sus armas detrás de ellos.

Saliendo de su exaltación guerrera, Jorge vio a Nahf que yacía a sus pies, mortalmente herido por su lanza que se había cuajado de través de su garganta. Jorge ató al jefe de los saqueadores, ennegrecido de tanto pecado como tierra, a su caballo y regresó a Beryte con la princesa Alcyone, arrastrando el "Dragón" detrás de ellos. Fueron acogidos con alborozo y con las aclamaciones de los habitantes por fin librados de esta terrible calamidad. Jorge puso los restos de Nahf delante del rey que se prosternó ante Jorge y juró que él y sus súbditos se convertirían a la Fe aristotélica. El héroe luego reemprendió el viaje a Capadocia.


III - El martirio de Jorge:

Algunos años más tarde, el emperador de Roma convocó a Nicomedia a todos los gobernadores de las Provincias de Oriente con el fin de comunicarles sus decretos contra los discípulos de Aristóteles y Christos. Jorge, tuvo la sensación de que había llegado el momento de confesar su fe públicamente, distribuyó sus bienes entre los pobres, liberó a sus esclavos y dio paso hacia Nicomedia para rendirse a la corte imperial. Se presentó en medio de la asamblea y reprochó al emperador haber vertido injustamente la sangre inocente de los fieles aristotélicos. Dejado atónito, el emperador interrogó a Jorge sobre su creencia. Jorge respondió que creía solamente en el único Dios verdadero, aquel que Aristóteles y Christos habían profesado, y que era su creencia la que le había guiado allí sin temor, para reprochar al soberano. El emperador, temiendo la agitación, le propuso a Jorge cubrirle de honores si aceptaba sacrificar al culto imperial. Jorge negó respondiéndole:

“Tu reino se corromperá y desaparecerá rápidamente en la niebla lunar, sin proporcionarte ningún provecho; ¡pero aquellos qué ofrecen un sacrificio de alabanza al Altísimo se sentarán con Él en el Sol toda la eternidad! "

El emperador dio la orden a sus guardias de golpear a Jorge y ellos le molieron a golpes. La sangre empezó a fluir a chorros, pero Jorge se negó a abjurar de su fe. Agotado, el emperador lo hizo meter en la cárcel, con una piedra pesada sobre el pecho, pero al día siguiente, cuando fue llevado delante del soberano, el héroe continuó negando con la misma firmeza. Lo ataron pues sobre una rueda suspendida por encima de una miríada de instrumentos cortantes y lo hicieron girar. Las hojas lo hirieron un millar de veces, cortando y magullando su carne, pero Jorge siguió inflexible, superando su dolor gracias a su Fe en el Amor de Dios. Delante de tanto coraje, dos soldados se arrodillaron para confesar el Aristótelicismo y fueron decapitados de inmediato. La emperatriz misma se declaró aristotélica, y también la encerraron en el palacio.

El emperador ordenó que se echara a Jorge en un hoyo de cal viva. La cal atacaba sus principios, quemando atrozmente su cuerpo, los vapores nauseabundos invadían su nariz y lo sofocaban pero, todavía se negó a abjurar su fe. La muchedumbre admirada delante de su valentía sin límites lo aclamó y comenzó a alabar al Señor y Sus profetas. Lo obligaron luego a caminar con zapatos guarnecidos de agujas enrojecidas con fuego, pero Jorge triunfó de nuevo gracias a su Fe.

Al día siguiente, el emperador hizo comparecer a Jorge en el templo de Apolo, en presencia de una muchedumbre considerable. Fingiendo querer sacrificar en honor de la divinidad, Jorge entró en el templo y se dirigió al ídolo santiguándose. La misma esencia de la acedia habitaba estas estatuas, pero en la presencia y a las palabras del Santo Jorge, éstas prorrumpieron en pedazos, dejando escapar un olor pútrido que desapareció con un silbido. Los sacerdotes y los paganos echaron entonces a Jorge a grandes gritos y le devolvieron al palacio. Atraída por el tumulto, la emperatriz salió, hendió a la muchedumbre gritando: " ¡Dios de Jorge, ven a mi ayuda! “Y se arrojó a los pies del Santo. No pudiendo contener más su rabia el tirano, cuyo corazón se había endurecido después de tanta impiedad y crueldad, ordenó decapitarlos a los dos. Pero, en vísperas de la ejecución, la emperatriz devolvió apaciblemente su alma a Dios en la prisión y pudo así morir en paz al día siguiente.

Llegado el día, Jorge fue al lugar de la ejecución, seguido de una gran muchedumbre. Dio gracias a Dios, a Aristóteles y Christos por todos sus beneficios y, pidió su asistencia en favor de todos aquellos que invocaran, con confianza, su intercesión en los siglos venideros, inclinó la nuca bajo la espada y se dirigió al Sol con el premio de la gloria eterna. A partir de ese momento una gran luz se hizo sobre el lugar, mientras que el alma llegaba poco a poco a la vida eterna y feliz que lo esperaba.

Conforme a la recomendación del Santo, su servidor transportó su preciosa reliquia a su patria, Lydda en Palestina, dónde innumerables milagros se cumplieron en la vasta iglesia que se construyó en su honor.



Simbología:

Tradicionalmente se le representa a caballo, a menudo blanco, con un dragón a sus pies, revestido de una armadura, una lanza en la mano, llevando un escudo y una bandera plateada con una cruz roja. La lanza y la cruz roja sobre fondo plateado son sus símbolos más comunes.

El dragón es una representación de Nahf, el jefe del ejército de saqueadores persas que asoló Beryte al que el Santo Jorge venció para salvar a Alcyone y liberar a los habitantes de la región. Esta imagen encuentra su origen en el mismo nombre de Nahf que significa "serpiente" en fenicio y que fue apodado " el Dragón " por los habitantes de Beryte a causa de los estragos que causaba y de su gran crueldad. Poco a poco, la importancia de esta victoria crecerá, particularmente después del martirio de San Jorge, el Dragón es una alegoría del Vicio, la victoria de Jorge es la victoria de la Fe sobre el Mal. Victoria tanto más importante y fuerte en significado, ya que aportará la Luz al reino de Beirut que se convierte al Aristótelicismo gracias a Jorge de Lydda.


Fiesta:

Se celebra el 23 de abril.


Las reliquias:

El cráneo de San Jorge en Lydda (Palestina), su armadura de la que se ignora que fue su suerte, así como la lanza con la cual derribó a Nahf, están perdidas.

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MessagePosté le: Sam Déc 29, 2012 3:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

Agiografia di San Giorgio di Lydda

San Giorgio è il patrono della cavalleria e degli uomini d'arme, che simboleggia la vittoria del bene contro il male, la vittoria della fede sulla creatura senza nome, la forza della fede e del coraggio.

Il Ducato e l'esercito di Lyonnais-Dauphiné ne hanno fatto il loro Patrono

I - L'origine

Giorgio nacque circa nel 275 DC, ovvero nell'era della Diffusione della Fede, nella Provincia della Cappadocia, in una famiglia ricca e nobile.
Alla morte del padre, lui aveva la tenera età di dieci anni e sua madre Polychronia, lo convertì all'Aristotelismo all'insaputa del marito e lo mandò in Palestina, la sua terra natale. Là gli vennero inculcati gli insegnametni delle Virtù e della Ragione che insegnava Aristotele e dell'Amore di Dio predicato da Christos.

Giorgio divenne grande e diventò un giovane uomo di bella presenza e dai modi raffinati. Al compimento del diciotesimo anno, decise di tentare la carriera militare arruolandosi nelle fila dell'esercito romano, per difendere la pace e gli abitanti nelle terre dell'impero. Molto presto si fece distinguere per il suo valore ed i suoi superiori lo nominarono tribuno della Guardia Pretoriana. L'imperatore in persona, riconosciuta la sua dedizione ed il suo coraggio decise di elevarlo alla dignità di Prefetto.

II - Giorgio e il "Drago" di Beryte

Quando Giorgio tornò in Cappadocia, dopo una campagna vittoriosa in Mesopotamia contro il re persiano Narses, attraversò la regione di Beryte, appena devastata da un'esercito di saccheggiatori sanguinari ed infedeli, guidata da un'uomo crudele e malvagio chiamato Nahf, le cui barbarie senza precedenti gli avevano fatto guadagnare il soprannome di «Drago» come in fenicio «Nahf» significava «Serpente». I saccheggiatori di Nahf si erano stabiliti nelle paludi che circondavano la città, vi sono rimasti molti anni e avevano fatto molte incursioni nelle campagne, chi cercava di difendere le campagne e i raccolti veniva infilzato direttamente da Nahf o dai suoi uomini. Per proteggersi dalle incursioni, gli abitanti decisero di offrire ogni giorno due animali per calmare la fame del Drago, ma venne un giorno in cui non v'erano più animali da sacrificare e le incursioni ricominciarono. Il Re, disperato per questa situazione, in accordo con il popolo decise di dare ogni giorno una giovane donna tirata a sorte ai briganti per calmare i loro vili appetiti.

Passarono le settimane e i mesi, finchè non toccò alla figlia del Re, la principessa Alcyone, di essere sorteggiata come vittima sacrificale per i briganti. Fu legata per un piede ad un palo nelle paludi ed abbandonata alla sua triste sorte, appena fu sola scoppiò a piangere, e sentì un gran boato. Credeva che la sua ultima ora fosse giunta e rimase sorpresa quando si accorse che il rumore non veniva dalle paludi, ma dalla pianura dietro di lei. Alcyone si voltò e vide un cavaliere di gran stazza, vestito di un'armatura lucente ed una lunga lancia che portava il suo cavallo verso di lei. Arrivato alla sua altezza, scese da callo e si avvicinò ad Alcyone che potè così distinguere la grande croce rossa che ornava il suo mantello bianco. La principessa disse al cavaliere di allontanarsi da lei e di salvare la sua vita, ma il cavaliere rifiutò e la staccò dal palo. Disse di chiamarsi Giorgio e che aveva consacrato la sua vita al servizio di Dio ed a portare al Sua parola tra gli uomini. Per Giorgio, Nahf era un uomo pervertito e traviato dall' essere senza nome e lui aveva giurato di combattere e annientare, con l'aiuto delle Virtù che aveva appreso da Aristotele e Christos.

All'improvviso un ruggito attraversò la palude, e comparvero centinaia di uomini vestiti di nero che cavalcavano verso di loro, avanzavano come un gigante ondulato cavalcando in colonna fianco a fianco attraverso le paludi di acqua putrida. Potavano tutti delle armature a scalare di un verde oliva e brandivano le loro spade come centinaia di ami pronti a calare su Giorgio e Alcyone. Alla testa dell'armata c'era un uomo massiccio, alto due spanne più di loro che li guardava furiosamente. Giorgio non aveva mai visto uno così brutto e ripugnante, la sua barba irsuta copriva gran parte del suo viso e si vedevano solo gli occhi iniettati di sangue attraverso l'elmo di rame. Guardava lontano per no vedere quest'orrida immagine, ma la sua risolutezza nel combattere questo infame non era diminuita. Levata la sua lancia verso il cielo e spronato fortemente il suo cavallo si lanciò al galoppo verso il «Drago». Delle urla terrificanti si elevarono dai ranghi dei briganti e come un solo uomo si lanciarono verso l'attcco del guerriero solitario. Giorgio si ritrovò al centro di un turbinio di rabbia e occhi infiammati e spade. Ovunque volgeva lo sguardo vedeva qualcuno pronto a lanciarsi su di lui, ma lui fermò il suo cavallo mentre il cerchio si chiudeva attorno a lui, spronò di nuovo il suo cavallo verso quello di Nahf. Mentre stava per essere sommerso dalla marea umana, Giorgio fece ricorso a tutta la sua forza e la sua Fede, per alzare di nuovo il suo braccio e lanciare la sua lancia nel mezzo del turbinio di uomini e di lame che erano innanzi a lui. Si udì un urlo terrificante, a cui poi fecero coro altre urla piene di panico e così come erano apparsi, i saccheggiatori scomparirono lsaciando dietro loro le armi.

Lasciata la sua esaltazione guerriera, Giorgio vide Nahf che gemeva a terra, ferito a morte dalla sua lancia che lo aveva trafitto alla gola. Giorgio legò il capo dei saccheggiatori al suo cavallo, annerito da tutti i peccati della terra, e tornò a Beryte con la principessa Alcyone trascinando dietro di se il «Drago». Furono accolti da acclamazioni di giubilo dalla popolazione che finalmente era stata liberata da quella terribile calamità. Giorgio portò i resti di Nahf dinnanzi al Re, che si prostrò ai piedi di Giorgio, giurando che lui e tutta la sua popolazione si sarebbero convertiti alla Fede Aristotelica. L'eroe poi riprese la strada per la Cappadocia.

III - Il martirio di Giorgio

Pochi anni dopo, l'imperatore di Roma convocò a Nicomedia tutti i governatori delle province d'oriente al fine di comunicare loro i suoi decreti contro la disciplina del culto di Aristotele e Christos. Giorgio sentiva che era giunta l'ora di confessare pubblicamente la sua Fede, distribuì i suoi beni ai poveri e affrancò gli schiavi, poi prese la sua strada verso Nicomedia per la corte imperiale. Si presentò nel mezzo dell'aula e rimproverò all'Imperatore di aver versato il sangue di innocenti fedeli del culto Aristotelico. Stupefatto, l'imperatore interrogò Giorgio sulle sue credenze. Giorgio rispose che lui credeva ad un unico e vero Dio, Colui che Aristotele e Christos avevano professato, ed era questa convinzione che lo aveva spinto senza paura, a rivolgere la sua denuncia verso il Sovrano.
L'imperatore, temendo disordini, propose a Giorgio di coprirlo di onori se accettava di sacrificare la sua fede al culto imperiale.
Giorgio rifiutò e rispose:
"Il tuo regno e corrotto e sparirà velocemente nella nebbia lunare, senza procurarti alcun profitto, ma coloro che offriranno un sacrificio di lode all'Altissimo siederanno con lui per l'eternità nel Sole!"

L'Imperatore ordinò alle sue guardie di colpire Giorgio e lui risentì del colpo. Il sangue comincò a scendere a fiotti ma Giorgio non rifiutò di abiurare la sua fede. L'imperatore lo fece mettere in prigione, con una grossa pietra sul petto, ma il giorno dopo, quando fu portato davanti all'Imperatore, l'eroe continuava a rifiutare con la stessa fermezza, l'Imperatore lo fece attaccare su di una ruota sospesa su lame affilate e lo fece girare. Le lame lo tagliarono un migliaio di volte, tranciarono a martorizzarono la sua carne, ma Giorgio rimaneva inflessibile, superando il dolore grazie alla Fede e all'Amore di Dio. Dinnanzi a tanto coraggio, due soldati si inginocchiarono e professarono la loro fede all'Aristotelismo e vennero subito decapitati. L'imperatrice si dichiarò anch'ella aristotelica e venne rinchiusa nel palazzo.

L'Imperatore ordinò che Giorgio fosse gettato in una fossa di calce viva. La calce attaccata alle sue carni, bruciava atrocemente il suo corpo, i vapori nauseabondi entravano nel naso e lo soffocavano ma, ancora si rifiutava di abiurare la sua Fede. La folla in ammirazione dinnanzi alla forza senza limite cominciò ad acclamarlo e si mise a lodare il Signore e i sui Profeti. così fu forzato a camminare con delle scarpe piene di braci ancora rosso vivo, ma Giorgio trionfò ancora grazie alla sua Fede.

Il giorno dopo, l'imperatore fece comparire Giorgio al tempio di Apollo, alla presenza di una folla considerevole. Fingendo di voler fare un sacrificio in onore della divinità, Giorgio entrò nel tempio e si mise con le spalle verso l'idolo. L'essenza stessa dell'accidia di queste statue viventi, alla presenza di San Giorgio ed alle sue parole si ruppero in pezzi, lasciando fuggire un putrido odore che scomparve con un sibilo. I sacerdoti e i pagani allora cacciarono Giorgio con grandi grida, e lo rimandarono a palazzo, l'imperatrice uscì, fendendo la folla e gridando: «Dio di Giorgio, vieni in mio aiuto!» e cadde ai piedi del Santo. Il tiranno non poteva più contenere la sua rabbia, con il cuore indurito da tanti anni di empietà e crudeltà, e li fece decapitare tutti e due. Ma alla vigilia dell'esecuzione, l'imperatrice donò la sua anima a Dio nel carcere, e riuscì a morire in pace il giorno successivo.

Il giorno giunse, Giorgio si recò nel luogo dell'esecuzione, seguito da una gran folla. Rese grazie a Dio, a Aristotele e Christos per tutte le loro benedizioni e chiedendo il loro aiuto per tutti coloro che invocano con fiducia la loro intercessione nei secoli dei secoli, e inclinato il collo sotto la spada pertì per portare nel Sole i trofei della gloria eterna. In quel momento una grande luce si vide sulla piazza man mano che la sua anima raggiungeva la gloria e la vita ererna che l'attendeva.

In conformità alle raccomandazioni del Santo, la sua preziosa reliquia fu trasportata dal suo servo nella sua patria, Lydda in palestina, ove si registrarono innumerevoli miracoli nella grande Chiesa costruita in suo onore.

Simbolismo

Egli è tradizionalmente rappresentato a cavallo, spesso in bianco con un drago ai suoi piedi, con indosso l'armatura, una lancia in mano, portando uno scudo ed una cappa d'argento con una croce rossa. La lancia e la croce rossa su una d'argento sono il simbolo più comune.

Il drago è una rappresentazione di Nahf, il capo persiano dell'esercito dei saccheggiatori che hanno devastato Beryte e che San Giorgio ha sconfitto per salvare Alcyone e liberare il popolo. Questa immagine ha la sua origine nel nome stesso Nahf che significa «Serpente» in fenicio e che è stato soprannominato «il drago» dagli abitanti della Beryte perchè causava caos con la sua crudeltà. Gradualmente, il simbolismo di questa vittoria evolve, soprattutto dopo il martirio di San Giorgio, il drago divenne un'allegoria del vizio, e la vittoria di San Giorgio diventa quella dela Fede sul male.
Vittoria ancora più importante e dal significato ancora più forte, in quanto porterà luce nel regno di Beirut, che si convertirà all'Aristotelismo grazie a Giorgio di Lydda.

Festa

E' festeggiato il 23 aprile

Le relequie

Il cranio di san Giorgio a Lydda (Paletina), della sua armatura non si conosce la sorte, come la lancia con la quale trapassò Nahf, uualmente perduta

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Doron



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MessagePosté le: Mar Nov 11, 2014 12:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Hagiografie van Sint-George van Lydda

Sint-George is de beschermheilige van ridderlijkheid en Gens d'Armes, het symboliseert de overwinning van goed tegen kwaad, de overwinning van het geloof op de creatie van kracht van het geloof en moed.

Het hertogdom van Lyon en de Ost-Dauphine noemde hij zijn thuis.

I - Oorsprong


George werd geboren rond 275 na Christos, in het midden tijdperk van de verspreiding van het geloof, in de provincie van Cappadocië. Zijn familie was rijk en van hoge rang. Bij de dood van zijn vader nam zijn moeder Polychronia hem mee naar Palestina, zijn geboorteland. Daar leerde ze hem de deugden van de rede onderwezen door Aristoteles, en geloof in de liefde van God gepredikt door Christos.

George groeide uit tot een jonge man van fijne verschijning en een goed stel hersenen. Op zijn achttiende jaar, besloot hij een militaire carrière voort te zetten en trad dienst in het Romeinse leger om de vrede van de Romeinse landen en hun inwoners te verdedigen. Al snel kwam hij in goede aarde met de Praetoriaanse Garde. De keizer zelf liet hem promoveren omdat hij zo goed werk leverde.

II - George en de "Draak" van Berytus:

Terwijl George terug keerde naar Cappadocië, na een succesvolle campagne in Mesopotamië tegen de Perzische koning Narses, stak hij de regio van Berytus door waar een leger huis hield. Een wrede man met de naam NAHF had een bijnaam "Draak”, zoals in het Fenicisch, "NAHF" "slang" betekende. Plunderaars van NAHF woonde nu rond het moeras en waren er een aantal jaren. Ze plunderende steden bijna elke dag. Iedereen die probeerde te verzetten tegen hen werd vermoord door NAHF en zijn mannen. Om zich te beschermen tegen de verwoesting besloten de bewoners tot het brengen van twee dieren als eerbetoon om de plunderaars van de Draak te sussen. Toch kwam er een dag dat er te weinig dieren waren en NAHF begon zijn verwoestingen. De koning van dit land had een dure eer gedaan en moest elke dag een vrouw aan NAHF geven.

Weken en maanden gingen voorbij en de dag kwam dat de koning zijn eigen dochter, prinses Alcyone, naar de plunderaars als voedsel moest sturen.. Ze werd vastgebonden aan een houten paal en keek uit op de moerassen. Even later, terwijl Alcyone huilde, werd een gerommel hoorbaar. Ze dacht dat haar laatste uur gekomen was,maar het geluid kwam niet uit de moerassen maar uit een muur achter haar.. Alcyone draaide zich om en zag een ruiter lang, gekleed in het witte paard en met een speer. Hij stopte naast haar en steeg af. Een grote rood kruis versierde zijn witte ribben. De prinses vroeg hem haar leven te redden maar de rijder weigerde en vertrok. Hij zei dat zijn naam George was en hij zijn leven wijdde aan God te dienen en Zijn Woord onder de mensen te verspreiden. Voor George, was NAHF een schepsel zonder naam. Met zijn studie onderwezen door Aristoteles en Christos moest hij deze man verslaan.

Plotseling, weerklonk een gebrul door het moeras en honderd mannen gezeten op paarden verscheen in een zwarte jurk. Alle mannen droegen een wapenrusting van staalachtige mazen van een olijf groene kleur, en hun zwaarden zwaaide, zoals honderden scherpe tanden, klaar om in te hakken op George en Alcyone. Op een heuvel niet ver er vandaan stond een man. George had nog nooit een man gezien die zo smerig en walgelijk was, zijn ruige baard slikte het grootste deel van zijn gezicht waar alleen bloeddoorlopende ogen zichbaar waren. George wilde zich afhouden van dit gevecht, maar zijn strijdlust on het. Hij hief zijn speer naar de hemel en spoorde sterk zijn paard aan dat galoppeerde in de richting van de "Draak". De plunderaars probeerde hem te grijpen. George bevond zich als een gevangen in een wervelwind van woede. Waar zijn ogen rustte, was er een plunderaar klaar om te bespringen op hem, maar hij bleef standvastig. Met al zijn kracht probeerde hij NAHF te bereiken. De pluderaars werden bang van de enorme kracht van George.

Het gevecht was snel afgeglopen George zag NAHF liggen aan zijn voeten, dodelijk gewond door een speer, die doorgestoken was tot zijn keel. George bond de leider van plunderaars achter zijn paard en kwam terug met de prinses Berytes Alcyone. De “Draak” sleepte achter hen aan. Ze werden verwelkomd door juichende mensen, die eindelijk bevrijd waren van deze verschrikkelijke ramp. George bracht de overblijfselen van NAHF naar de koning, die aanbad George en zwoer dat hij en zijn mensen zich zullen bekeren in het geloof van Aristoteles. De held nam de weg naar Cappadocië.


III - Het martelaarschap van George:

Een paar jaar later, riep keizer van Rome naar Nicomedia al de gouverneurs van de provincies van het Oosten op om zijn decreten voor de discipelen van Aristoteles en Christos te verkondigen. George gaf al zijn rijkdom aan de armen, bevrijdde slaven en ging op weg naar Nicomedia om daar naar het keizerlijk hof te gaan. Daar aangekomen stond hij in het midden van een uitbouw van het kasteel en hij verweet de keizer dat deze geld afpakte van de gelovigen Aristoteles. De keizer vroeg George over zijn geloof. George antwoordde dat hij de enige ware God geloofden, dat Aristoteles en Christos de mensen deze God leerde kennen, en het is dit geloof, dat hem hier laten leiden zonder angst, om zijn klachten te richten aan de vorst. De keizer, uit angst voor onrust, wilde deze godsdienst niet erkennen en stelde hem te vrede met een onderscheiding. George weigerde en kreeg te horen:

Citation:

"Uw Koninkrijk is beschadigd en zal snel verdwijnen in de mist, maar hen die een offer van lof aan de Allerhoogste brengt zal voor altijd bij hem zitten in de zon! "



De keizer beval zijn bewakers om George te slaan en sloegen ze hem. Het bloed begon te stromen, maar George weigerde om zijn geloof te herroepen. Geïrriteerd, had de keizer hem in de gevangenis gegooid, met een zware steen op zijn borst, maar de volgende dag, toen hij werd voorgeleid aan de koning, weigerde de held nog steeds met dezelfde stevigheid. Dus hij werd voordeel om aan een wiel te hangen boven een groot aantal scherpe instrumenten die maar bleef draaien. Zwaarden verwonde hem duizend keer, blauwe plekken en het knippen van zijn vlees, maar George was niet flexibel, het overwinnen van zijn pijn door zijn geloof in Gods liefde. Geconfronteerd met zoveel moed, twee soldaten knielden om te bekennen en zijn zich graag aansloten bij het Aristotelisme. Zij werden onmiddellijk onthoofd. De keizerin zelf zwoor dit geloof af.

De keizer beval George in een kuil te gooien. Bijna bezweek George onder deze nachtmerrie kuil, maar hij weigerde zijn geloof te herroepen. De menigte bewonderende voor zijn grenzeloze moed. Ze juichten en begon de Heer en zijn profeten te prijzen. Vervolgens dwong keizer hem op bloedhete ijzeren te lopen, maar George zegevierde opnieuw met zijn geloof.

De volgende dag ontbood de keizer George naar de tempel van Apollo, in de aanwezigheid van een grote menigte. George eerder de godheid en wende zich tot de kuisheid zelf.De tempel had veel beeldem, maar om de aanwezigheid en de woorden van Sint-George, braken ze in stukken. De priesters en heidenen loofde George luid en droeg hem naar het paleis. Aangetrokken door het tumult, ging de keizerin op de menigte af en te schreeuwen: "God van George, kom mij te hulp! "En zij viel aan de voeten van de heilige. Betovert gaf ze opdraacht George te onthoofde. Maar aan de vooravond van uitvoering, gaf de keizerin haar ziel aan God en stierf in de gevangenis.

De dag van zegevering kwam. Hij gaf dank aan God, aan Aristoteles en Christos voor al hun zegeningen, en vragen hun hulp voor iedereen die beroep doen op met vertrouwen haar voorspraak in de loop der eeuwen, boog hij zijn nek onder het zwaard en ging om te winnen. Zon trofeeën van de eeuwige heerlijkheid. Vanaf dat moment, een groot licht drong het tot het plein, terwijl de ziel geleidelijk aan bij de eeuwige en gelukkig leven, dat hem wachtte.

Naar aanleiding van de aanbeveling van de Sint, droeg zijn dienaar zijn kostbare relikwie naar zijn vaderland, Lydda in Palestina, waar talloze wonderen plaats vond in de grote kerk die gebouwd werd ter ere van hem.

Symbolen:

Het wordt traditioneel voorgesteld op een paard, vaak wit, met een draak aan zijn voeten, gekleed in harnas, een speer in de hand, het dragen van een kroon en een banner van zilver in keen kruis keel. Lans en kruis keel op zilveren achtergrond zijn de meest voorkomende symbolen.

De draak is een weergave van NAHF, het hoofd van het Perzische leger van plunderaars verwoeste Berytes waarna Sint-George hem versloeg in Alcyone en de mensen in deze regio bevrijde. Dit beeld is geworteld in het naam van NAHF wat "slang" betekent in het Fenicisch en kreeg de bijnaam "de draak" door de mensen van Berytus als gevolg van de verwoestingen veroorzaakte en zijn wreedheid. Geleidelijk aan, de symboliek van deze overwinning ook zou worden geïntensiveerd, met name na het martelaarschap van St. George, de Draak wordt een allegorie van Vice, de overwinning van George wordt dat van het geloof over het kwaad. Overwinnen des te belangrijker en belangrijke betekenis, omdat het licht naar het koninkrijk van Beiroet die converteert naar Aristotélicisme George van Lydda te brengen.


Dag:

Het wordt gevierd op 23 april.


Religie:

De schedel van Sint-George in Lydda (Palestina), zijn harnas van een onbekende maker was zijn lot, en de speer waarmee hij NAHF geveld, was ook verloren.

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Kalixtus
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MessagePosté le: Mar Jan 28, 2020 7:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
            Hagiographie des Heiligen Georg von Lydda



    Der Heilige Georg ist der Schutzpatron der Ritterschaft und des Waffenvolkes, er symbolisiert den Triumph des Guten über das Böse, den Sieg des Glaubens über die namenlose Kreatur, die Stärke des Glaubens und die Tapferkeit.

    Das Herzogtum und der Ost du Lyonnais-Dauphiné haben ihn zu ihrem Schutzheiligen gemacht.



    I - Herkunft

    Der heilige Georg wurde um 275 n. Chr., auf dem Höhepunkt der Ära der Glaubensversprengung, in der Provinz Kappadokien in eine wohlhabende Familie mit hohem Status geboren. Als sein Vater starb, war er erst zehn Jahre alt, und seine Mutter, Polychronia, die ohne Wissen ihres Mannes zum Aristotelismus konvertierte, brachte ihn nach Palästina, in seine Heimat. Dort schärfte sie ihm die Tugenden der Vernunft ein, die Aristoteles lehrte, sowie den von Christos gepredigten Glauben an die Liebe Gottes.

    Georg wuchs zu einem jungen Mann von gutem Aussehen, mit einem scharfen Verstand und raffinierten Manieren heran. Er beschloss in seinem achtzehnten Lebensjahr, eine militärische Laufbahn einzuschlagen und schloss sich den römischen Armeen an, um den Frieden der römischen Länder und ihrer Bewohner zu verteidigen. Bald unterschied er sich von den anderen, und seine Vorgesetzten ernannten ihn zum Tribun der Prätorianergarde. Der Kaiser selbst anerkannte seine Hingabe und seinen Mut und erhob ihn in die Würde eines Präfekten.



    II - Georg und der "Drache" von Beryt :

    Als Georg nach einem siegreichen Feldzug in Mesopotamien gegen den Perserkönig Narses nach Kappadokien zurückkehrte, durchquerte er die Region Beryt, die damals von einer Armee blutrünstiger und gottloser Plünderer verwüstet wurde, angeführt von einem grausamen Mann namens Nahf, dessen unvergleichliche Barbarei ihm den Spitznamen "Drache" eingebracht hatte, denn auf phönizisch bedeutete "nahf" "Schlange". Die Plünderer von Nahf hatten sich vor einigen Jahren in den Sümpfen in der Nähe der Stadt niedergelassen und das Gebiet kontinuierlich überfallen, die Ernten vernichtet und Bauernhöfe geplündert. Allen, die versuchten, sich ihnen zu widersetzen, wurden von Nahf und seinen Männern die Augen ausgestochen. Um sich vor der Verwüstung zu schützen, beschlossen die Bewohner, jeden Tag zwei Tiere als Tribut zu opfern, um die Plünderer des Drachens zu beruhigen. Es kam jedoch der Tag, an dem es keine Tiere mehr zu opfern gab, und Nahf begann wieder mit seinen Verwüstungen. In seiner Verzweiflung erklärte sich der König des Landes bereit, den Räubern jeden Tag eine junge Frau zu geben, um ihren üblen Appetit zu stillen.

    Wochen und Monate vergingen, und es kam der Tag, an dem die eigene Tochter des Königs, Prinzessin Alcyone, ausgewählt wurde, um den Plünderern ausgeliefert zu werden. Sie wurde vor den Sümpfen an einen hölzernen Pfahl gefesselt und somit ihrem traurigen Schicksal überlassen. Wenige Augenblicke später, als Alcyone sich die Augen ausweint, ist ein Rumpeln zu hören. Sie glaubte, ihre letzte Stunde sei gekommen, was sie überraschte, als sie entdeckte, dass der Lärm nicht von den Sümpfen, sondern von der Ebene hinter ihr kam. Alcyone drehte sich um und sah einen großen Reiter, der in eine glänzende Rüstung gekleidet war und einen langen Speer trug und mit seinem Reittier auf sie zusteuerte. Als er schließlich auf der Höhe war, stellte er seinen Fuß auf den Boden und näherte sich der Alcyone, die so das große rote Kreuz, welches seinen weißen Brustpanzer schmückte, erkennen konnte. Die Prinzessin flehte ihn an, von ihr wegzugehen, um ihr Leben zu retten, aber der Reiter weigerte sich und band sie los. Er sagte, sein Name sei Georg und er widme sein Leben dem Dienst an Gott und der Verbreitung seines Wortes unter den Menschen. Für Georg war Nahf ein Mann, der mit der namenlosen Kreatur umgeht und die Laster darstellt, die er mit Hilfe der von Aristoteles und Christos gelehrten Tugenden zu bekämpfen und zu zerstören geschworen hatte.

    Plötzlich hallte ein Tosen durch die Sümpfe, und hundert Männer auf schwarzgekleideten Pferden tauchten auf, die wie ein riesiger Körper zwischen den Pfützen mit fauligem Wasser in einer Kolonne vorrückten. Sie alle trugen eine Rüstung aus Maschendraht wie olivgrüne Schuppen und schwangen ihre Schwerter wie Hunderte scharfer Reißzähne, bereit, George und Alcyone zu überrumpeln. An ihrem Kopf wurden sie von einem massiven Mann einige Meter von den beiden Figuren entfernt angehalten, woraufhin er sie wütend ansah. Georg hatte noch nie einen so fauligen und abstoßenden Mann gesehen, sein zotteliger Bart verschluckte das meiste seines kupfernen Gesichts, während nur seine blutunterlaufenen Augen seinen Lederhelm durchbohrten. Er wandte seine Augen ab, um sich vor diesem verabscheuungswürdigen Anblick zu retten, aber seine Entschlossenheit, diesen berüchtigten Plünderern entgegenzutreten, hatte nicht nachgelassen. Er erhob seinen Speer in den Himmel und spornte sein Pferd scharf an, das auf den "Drachen" zugaloppierte. Schreckliches Heulen stieg aus den gegnerischen Reihen auf, und wie ein Mann griffen die Plünderer den Einzelkämpfer an. George befand sich inmitten eines Wirbelsturms von wutentbrannten Augen und Klingen. Wohin er auch schaute, überall war ein Plünderer bereit, sich auf ihn zu stürzen, aber er hielt die Stellung, als sich der Kreis auf ihn schloss, wobei sein Pferd weiter auf Nahf zusteuerte. Als er kurz davor war, von der menschlichen Flut überwältigt zu werden, mobilisierte Georg all seine Kraft und seinen Glauben, um seinen Arm wieder zu heben und seinen Speer inmitten des Wirbelsturms von Männern und Klingen, der vor ihm stand, zu versenken. Ein erschreckender Schrei ertönte, auf den panische Schreie geantwortet wurden. Die Plünderer flohen so plötzlich, wie sie aufgetaucht waren, und ließen ihre Waffen zurück.

    Als er aus seiner kriegerischen Begeisterung herauskam, sah George Nahf zu seinen Füßen liegen, tödlich verwundet von seinem Speer, der ihm in der Kehle steckengeblieben war. Georg band den Anführer der Plünderer, der durch die Sünde ebenso geschwärzt war wie durch den Dreck, an sein Pferd und ritt mit Prinzessin Alcyone zurück nach Beryte, wobei er den "Drachen" hinter sich herzog. Sie wurden vom Jubel und Beifall der Einwohner begrüßt, die endlich von dieser schrecklichen Katastrophe befreit wurden. Georg brachte die Überreste Nahfs vor den König, der sich vor Georg verbeugte und schwor, dass er und seine Untertanen zum aristotelischen Glauben konvertieren würden. Der Held kehrte dann nach Kappadokien zurück.




    III - Das Martyrium von Georg :

    Einige Jahre später rief der Kaiser von Rom alle Gouverneure der Ostprovinzen nach Nicomedia, um ihnen seine Dekrete gegen die Anhänger von Aristoteles und Christos zu übermitteln. Als Georg spürte, dass die Zeit gekommen war, sich öffentlich zu seinem Glauben zu bekennen, verteilte er seine Güter an die Armen, befreite seine Sklaven und machte sich auf den Weg nach Nicomedia, um an den kaiserlichen Hof zu gehen. Er stand inmitten der Versammlung und warf dem Kaiser vor, dass er zu Unrecht das unschuldige Blut der treuen Aristoten vergossen habe. Erstaunt ließ der Kaiser Georg über seine Überzeugungen ausfragen. Georg antwortete, dass er an den einen und einzigen wahren Gott glaube, den einzigen wahren Gott, zu dem sich Aristoteles und Christos bekannt hätten, und dass es dieser Glaube sei, der ihn ohne Furcht hierher geführt habe, um seine Vorwürfe an den Souverän zu richten. Aus Angst vor Unruhe schlug der Kaiser Georg vor, ihn mit Ehren zu bedecken, wenn er sich bereit erklärte, dem Kaiserkult zu opfern. Georg weigerte sich und antwortete:

    « Euer Königreich wird sich selbst verderben und schnell im Mondnebel verschwinden, ohne jeden Gewinn für euch; aber diejenigen, die dem Allerhöchsten ein Lobopfer darbringen, werden mit ihm für die Ewigkeit in der Sonne sitzen! »

    Der Kaiser befahl seinen Wachen, Georg zu schlagen, und sie schlugen ihn. Es begann Blut zu fließen, aber Georg weigerte sich, seinem Glauben abzuschwören. Verärgert ließ der Kaiser ihn mit einem schweren Stein auf der Brust ins Gefängnis werfen, aber am nächsten Tag, als er vor den Herrscher gebracht wurde, weigerte sich der Held weiterhin mit der gleichen Entschlossenheit. So wurde er an ein Rad gebunden, das über einer Menge scharfer Instrumente hing und sich herumdrehte. Die Klingen verwundeten ihn tausendmal, schnitten und zerschlugen sein Fleisch, aber George blieb unflexibel und überwand seinen Schmerz durch seinen Glauben an die Liebe Gottes. Angesichts eines solchen Mutes knieten zwei Soldaten nieder, um sich zum Aristotelismus zu bekennen, und wurden sofort enthauptet. Die Kaiserin selbst erklärte sich als Aristotin und wurde deshalb im Palast eingesperrt.

    Der Kaiser ordnete an, dass Georg in eine Kalkgrube geworfen wird. Der Kalk griff seinen Körper an und verbrannte seinen Körper, die ekelhaften Dämpfe drangen in seine Nase ein und ließen ihn ersticken, aber er weigerte sich trotzdem, seinem Glauben abzuschwören. Die bewundernde Menge vor seiner grenzenlosen Tapferkeit jubelte ihm zu und begann, den Herrn und seine Propheten zu loben. Er war dann gezwungen, in Schuhen mit vom Feuer glühend geröteten Stacheln zu laufen, aber George triumphierte wieder dank seines Glaubens.

    Am nächsten Tag rief der Kaiser Georg in Anwesenheit einer beachtlichen Menge in den Tempel des Apollo. Unter dem Vorwand, zu Ehren der Gottheit opfern zu wollen, betrat Georg den Tempel und wandte sich mit seiner Signatur an das Götzenbild. Die Essenz der Akedie bewohnte diese Statuen, aber bei der Anwesenheit und den Worten des Heiligen Georg zerbrachen sie in Stücke und verströmten einen fauligen Geruch, der mit einem Zischen verschwand. Die Priester und die Heiden verjagten Georg dann mit einem lauten Schrei und brachten ihn zurück in den Palast. Von dem Tumult angezogen, ging die Kaiserin hinaus, entzweite die Menge und rief: "Gott des Georg, komm mir zu Hilfe! "und sie fiel dem Heiligen zu Füßen. Der Tyrann, dessen Herz nach so viel Gottlosigkeit und Grausamkeit verhärtet war, konnte seine Wut nicht zurückhalten und befahl, die beiden zu enthaupten. Am Vorabend der Hinrichtung übergab die Kaiserin ihre Seele jedoch friedlich im Gefängnis Gott und konnte so am nächsten Tag friedlich sterben.

    Als der Tag kam, ging Georg zum Hinrichtungsplatz, gefolgt von einer großen Menschenmenge. Er dankte Gott, Aristoteles und Christos für all ihre Segnungen und bat um ihre Hilfe für all jene, die in den kommenden Jahrhunderten vertrauensvoll seine Fürsprache anrufen würden. Er beugte seinen Hals unter dem Schwert und machte sich auf, die Trophäen der ewigen Herrlichkeit zur Sonne zu bringen. Von diesem Moment an leuchtete ein großes Licht auf dem Platz, während die Seele allmählich in das ewige und glückliche Leben zurückkehrte, das sie erwartete.

    Gemäß der Empfehlung des Heiligen nahm sein Diener dann seine kostbare Reliquie mit in seine Heimat, nach Lydda in Palästina, wo in der riesigen Kirche, die ihm zu Ehren gebaut wurde, unzählige Wunder vollbracht wurden.




    Symbolik:

    Er wird traditionell auf einem Pferd dargestellt, oft weiß, mit einem Drachen zu seinen Füßen, in Rüstung, mit einem Speer in der Hand, mit einem Schild und einem Argentumbanner mit einem Gules-Kreuz. Der Speer und das Gules-Kreuz auf dem Argentum-Hintergrund sind seine häufigsten Symbole.

    Der Drache ist eine Darstellung von Nahf, dem Anführer der persischen Armee von Plünderern, die Beryten verwüsten, die der heilige Georg besiegte, um die Alcyone zu retten und die Bewohner der Region zu befreien. Dieses Bild hat seinen Ursprung im Namen von Nahf, was im Phönizischen "Schlange" bedeutet und von den Bewohnern von Beryte wegen der von ihm verursachten Verwüstungen und seiner großen Grausamkeit als "der Drache" bezeichnet wurde. Nach und nach sollte die Symbolik dieses Sieges wachsen, vor allem nach dem Martyrium des heiligen Georg, wobei der Drache zur Allegorie des Lasters wurde, der Sieg des Georg zum Sieg des Glaubens über das Böse. Der Sieg ist umso wichtiger und bedeutungsvoller, als er dem Königreich Beirut, das sich dank Georg von Lydda zum Aristotelismus bekehrt, Licht bringen wird.



    Fest:

    Das Fest wird am 23. April gefeiert.


    Die Relikte :

    Der Schädel des heiligen Georg in Lydda (Palästina), seine Rüstung, von der nicht bekannt ist, dass sie sein Schicksal beeinflusst hat, sowie der Speer, mit dem er Nahf niedergestreckt hat, gingen ebenfalls verloren.

    Ein Fläschchen mit dem Blut unter dem Schutz der Familie Berasategui Pern, Adlige des Königreichs Valencia, als Tausch gegen den Bau eines Mahnmals zur Ehre des Heiligen Georg von Lydda, wo sich die Pilger versammeln können.

    Eine mit Blut getränkte Leinwand wird unter den Schutz des Erzbischofs von Tarragona und des Pfarrgeistlichen von Castellon gestellt, um den Gläubigen bei den Prozessionen vorgeführt zu werden.

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