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Dunpeal

Inscrit le: 30 Mai 2008 Messages: 7512
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Posté le: Dim Jan 04, 2009 3:20 am Sujet du message: [DC] Livro 1.3 O Matrimónio (Obsoleto) |
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Original em francês: http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=55367, Versão 5-Junho-1456
Citation: | la cause matérielle = deux fidèles de sexes opposés.
la cause efficiente = tous les clercs peuvent s'occuper du mariage.
la cause formelle = la messe et l’échange de vœux et des alliances.
la cause finale = union devant Dieu dans le but de fonder une famille.
Ce texte sera effectif, sans effet rétroactif, à partir du lundi de Pâques 9 avril 1455. (il peut être appliqué dés publication dans le diocèse)
Cause matérielle
- le couple doit être formé de deux fidèles non soumis à interdiction et faire leur demande de fiançailles en publiant les bans au minimum 15 jours avant la date du mariage.
Les bans doivent être publiés par les deux parties, dans l’église de la paroisse de résidence des fiancés. Cette publication doit se faire à la paroisse des deux parties, ou de chacune d’elles si elles n’ont pas le même domicile. Les publications des bans énoncent les noms et prénoms, les professions, le domicile des futurs conjoints et le lieu où se déroulera le mariage. Le clerc qui célébrera le mariage doit être prévenu et bénira le couple lors de l'annonce en déclarant que la période de fiançailles est officielle.
Il est à noter qu'en cas de remariage, il faut vérifier que l'annulation du précédent mariage est valide et permet le remariage.
Il faut également qu'un délais raisonnable ( 1 à 3 mois ), entre la séparation effective et le remariage.
- Le clerc qui prépare le sacrement doit veiller à ce que les point suivant soit vérifié :
1) que les deux demandeurs ont rempli les conditions de publication des bans et sont donc officiellement fiancés. Si le couple est déjà fécond le mariage pourra être avancé pour se faire avant la naissance.
2) Que les fiancés sont de fidèles aristotéliciens et que leurs fiches ainsi que leurs certificats de baptême sont à jour aux registres de Rome avant la cérémonie.
3) Que les fiancés ne sont pas sujets à interdiction de mariage, entre autres que les fiancés ne sont pas déjà liés par une ordination ou un précédent mariage.
4) Que les fiancés n’ont pas de lien de consanguinité au quatrième degré ou moins.
Dans les cas d’empêchement signalés, le responsable de la cérémonie devra introduire un dossier pour une demande de dérogation à son supérieur hiérarchique directe ou directement à la curie.
Cause efficiente.
Sont seul habilités à célébrer un mariage, les prêtres ayant une charge de clerc ainsi que les diacres et assimilés.
Tout mariage devra se faire avec l’autorisation du curé de la paroisse des fidèles, ils devront donc résider dans la même paroisse. Si il n’y a pas de curé c’est à l’autorité religieuse locale de donner l’autorisation pour la cérémonie. Le mariage pourra être organisé n’importe où mais toujours avec l’autorisation de responsable religieux de la paroisse de résidence, ou à défaut par la curie. Seuls les mariages célébrés à Rome par un cardinal ou le Saint Père sont exemptés de cette obligation.
La présence de deux témoins, minimum, choisis parmi les fidèles est obligatoire. Il faudra donc au moins un témoin représentant la mariée et d’un témoin représentant le marié. Il sont les garants que le mariage respecte le droit au libre arbitre des fiancés.
La cause formelle.
Voir le dogme sur le mariage pour plus de détail.
Pour être valide un mariage doit remplir les conditions suivantes.
La cause matériel est correcte.
La cause efficiente est respectée.
Les époux étaient librement consentants et non contraints.
Les époux ont échangé leurs vœux de mariage, et les alliances.
Cas particulier, le droit coutumier.
Le droit canon encadre le Mariage pour garder une certaine uniformité du à l’unicité de l’Eglise. Toute fois pour raison culturelle les diocèses ou les provinces peuvent ajouter des restrictions pour l’organisation des mariages et devront faire connaître de façon claire et non ambiguë ces ajouts. Elles devront être validées par le Saint office qui ne devra que veiller à ce que les ajouts ne vont pas à l’encontre du dogme.
La cause finale
Etant donné que le mariage est fondé sur la création d'une communauté de vie et d'une union profonde des époux, il ne peut être considéré comme une simple formalité qui serait révocable à souhait. L'union spirituelle des époux n'est jamais une chose acquise et définitive, il convient de lutter pour la construire et la maintenir. Ainsi un simple désaccord des époux ne saurait en aucun cas justifier une séparation. La voie qui mène au paradis est étroite, et demande bien des sacrifices.
Toutefois un mariage peut-être annulé dans certaines circonstances, quand l'amitié des époux est rendue impossible par des actes graves et définitifs. Si les deux buts du mariage ont été atteints pendant une certaine période l'annulation de ce mariage ne donne toutefois pas licence de se remarier, sauf jugement contraire pour raisons exceptionnelles.
Le remariage n’est donc autorisé que si la séparation se fait sur une reconnaissance mutuelle de l’échec et qu’il n’y a pas eu de naissance suite à ce sacrement. En cas de séparation conflictuelle, si l’un des deux époux a visiblement été trompé et est donc une victime, il pourra être autorisée à se remarier après avoir été entendu en confession si il obtient l’absolution des ses péchés, car même si il est victime il doit purifier son âme avant de songer à un remariage.
Empêchements et causes d'annulation rétroactive, pour vice de procédure
Si malgré ces empêchements, le mariage à lieu il sera annulé et le ou les fautifs poursuivis par un tribunal de l’Inquisition pour blasphème. Si l’un des deux est reconnu innocent et ignorants des faits, il sera autorisé à se remarier après avoir été entendu en confession et avoir reçu l’absolution.
- Si au moins un des deux conjoints n'a pas reçu le baptême Aristotélicien ou a été sujet à une excommunication.
- Un des deux est déjà marié ou ne peut se remarier.
- Les deux sont liés par consanguinité au quatrième degré ou moins.
- Sauf dispense spéciale accordée par le Saint père, les prêtres ne peuvent être mariés, cacher son ordination pour se marier est donc cause directe d’excommunication.
Dissolution simplifiée du sacrement du mariage.
La dissolution n’est pas une annulation, le mariage reste considéré valide, mais les obligations entre époux sont levées. Pour les nobles, si la règle de L’Hérauderie nationale le permet : port conjoint du titre, et enfants gardant droit à leur héritage.
Si le conjoint meurt, le remariage est possible après une période de deuil.
Si l’un des deux conjoints décide de se faire ordonner avec l’accord de l’autre et qu’il n’y a pas eu de progéniture suite à ce mariage. Le mariage est annulé et l’époux restant laïc pourra se remarier. Si les deux époux décident de se faire ordonner, le mariage est simplement dissout.
Note: il est conseillé de faire constater le décès par le conjoint dés que possible et de demander un certificat au clerc qui officiera les funérailles, ou à l'autorité religieuse locale.
Annulation simple du sacrement du mariage.
L’annulation fait que le mariage est inexistant de façon rétroactive et donc les titres nobiliaires ne sont plus communs et les enfants sont considérés comme bâtards.
- Si le conjoint est excommunié ou apostasie , il est considéré comme mort pour l’église, le mariage est donc dissout et le remariage possible après une période de pénitence.
- Si un des conjoints est condamné à l'éradication pour hérésie ou sorcellerie, son mariage avec l'autre conjoint resté aristotélicien est annulé si ce dernier en fait la demande.
- Si le couple n’a pas eu d’enfant, et n’a pas réussi à développer son amour dans une amitié vraie, les époux peuvent demander l’annulation de leur mariage en introduisant une demande en commun et en toute amitié. Ils pourront se remarier après s’être faits confesser, et avoir reçu l’absolution et fait pénitence.
Annulation procédurière du sacrement.
- Tous les cas d’annulation ou de dissolution deviennent des cas d’annulations procédurières dès qu’il y a contestation d’un des époux ou d’un tiers. Cette contestation devra être faite dans les 15 jours suivant l’annonce de la décision d’annulation ou de dissolution.
- Si un des conjoints commet un adultère, le mariage peut-être annulé. Mais le remariage est impossible pour celui qui a été reconnu coupable d’adultère.
- En cas de disparition, éloignement, retraite spirituelle du conjoint pendant un temps supérieur à deux mois, et qu’il refuse tout contact, le mariage peut-être annulé, mais le remariage interdit pour celui qui a été reconnu coupable d’abandon conjugal.
Procédure d’annulation et de dissolution
Toute demande de dissolution ou d'annulation (simple ou procédurière) de mariage devra être déposée devant l'Officialité Episcopale dont le conjoint demandeur dépend.
Il revient à l'Officialité Episcopale de statuer et de publier un avis sur ladite demande. Cet avis devra ensuite être déposé auprès du Consistoire pontifical correspondant afin d'être validé.
L'avis produit par l'Officialité Episcopale devra respecter la forme suivante :
Citation: | AVIS DE RECOMMANDATION SUR UNE DEMANDE D'ANNULATION (DISSOLUTION) DE MARIAGE
Officialité épiscopale de
Nom IG des conjoints :
Date du mariage :
Demande :
Enfants : oui - non
Pièces annexes :
Certificats de baptême
Certificat de mariage
Témoignages
Réponse de l'officialité épiscopale :
Avis
Texte de DC
Type d'annulation
Conséquences (remariage ou non)
Recommandations (pénitence) |
Toute demande incomplète se verra donc rejetée.
L'annulation (ou la dissolution) deviendra effective à la promulgation d'un décret scellé par le Consistoire Pontifical auprès duquel aura été déposé l'avis. |
Tradução final em português:
Citation: | A causa material = dois fiéis de sexos opostos.
A causa eficiente = todos os clérigos podem celebrar o sacramento do casamento.
A causa formal = a cerimónia e a troca de votos e de alianças.
A causa final = união diante de Jah com o objectivo de estabelecer uma família
A causa material
- O casal deve de ser formado por dois fiéis que não tenham qualquer tipo de interdição e deve de fazer o seu pedido de matrimónio pelo menos 15 dias antes da data do mesmo.
O anúncio tem de ser publicado por ambas as partes na igreja da paróquia em que residem, ou de cada uma delas se não vivem na mesma paróquia. O anúncio deve enunciar os nomes e os apelidos, as profissões, a morada dos futuros esposos e o lugar onde se celebrará o matrimónio. O clérigo que celebrará o matrimónio tem que ser prevenido e benzerá o par no momento do anúncio declarando que o período de noivado é oficial.
Em caso de novo casamento há que verificar se a anulação do matrimónio antecedente é válida e permite o novo casamento.
Também deve existir um prazo razoável (1 a 3 meses) entre a separação efectiva e o novo casamento.
- O clérigo que preparará o sacramento tem de se certificar que os seguintes critérios são cumpridos:
1) Que ambos os fiéis satisfaçam as condições de publicação do pedido e dos votos sendo oficialmente noivos. Se o casal já espera um filho o matrimónio poderá ser adiantado para antes do nascimento.
2) Que os noivos são fiéis aristotélicos e que os seus registos de baptismo estão em dia nos registos de Roma antes da cerimónia.
3)Que os noivos não estão sujeitos a nenhuma interdição para o matrimónio, como por exemplo, os noivos não estarem interditos por uma ordenação ou um matrimónio antecedente.
4) Que os noivos não têm laços de consanguinidade de quarto grau ou menos.
Nos casos em que se verificar um impedimento o responsável pela cerimónia deverá enviar um expediente para uma petição de derrogação ao seu superior hierárquico directo ou directamente à Cúria.
A causa eficiente
Só estão habilitados a celebrar um matrimónio os sacerdotes que têm um cargo de clérigo, os diáconos e ou outros de estatuto similar.
Qualquer matrimónio deverá ser realizado com a autorização do pároco da paróquia dos fiéis, por isso devem de residir na mesma paróquia. Se não há pároco deverá ser a autoridade religiosa local a dar a autorização para a cerimónia. O matrimónio poderá ser realizado onde se quiser, mas sempre com a autorização do responsável religioso da paróquia de residência ou, por omissão, pela Cúria. Só os matrimónios celebrados em Roma por um Cardeal ou pelo Papa estão isentos desta obrigação.
A presença de, no mínimo, duas testemunhas escolhidas entre os fiéis é obrigatória. Será necessário pelo menos uma testemunha que representará a noiva e uma testemunha que representará o noivo. Eles serão os responsáveis de verificar que a cerimónia é realizada de livre vontade pelos noivos.
A causa formal
Ver o Dogma sobre o matrimónio para mais detalhes.
Para ser válido um matrimónio tem que satisfazer as seguintes condições:
A causa material é correcta.
A causa eficiente é respeitada.
Os noivos casaram-se livremente e não contra a sua vontade.
Os noivos deram os seus votos de matrimónio e efectuaram a troca de alianças.
O Direito Canónico estabelece o matrimónio como uma forma de garantir uma certa uniformidade na unidade da Igreja. Não obstante, por razões culturais as dioceses ou as arquidioceses podem adicionar restrições para a realização dos matrimónios tendo que publicitar de modo simples e objectivo as novas restrições. Estas terão que ser aprovadas pelo Santo Oficio que deverá preocupar-se somente com as restrições que possam ir contra o Dogma.
A causa final
Dado que o matrimónio assenta na criação de uma comunidade de vida e de uma união profunda dos casados não pode ser considerado como uma simples formalidade que possa ser revogada conforme o desejo. A união espiritual dos casados jamais será uma coisa adquirida e definitiva, deve-se lutar para a construir e manter. Assim, um desacordo simples dos cônjuges não pode em nenhum caso justificar a separação dos mesmos.
A estrada que vai dar ao paraíso é difícil e cheia de encargos. No entanto, um matrimónio pode ser anulado em certas circunstâncias quando a vida em comum dos cônjuges se torna impossível por actos graves e definitivos. Se ambos os objectivos do matrimónio foram cumpridos durante um determinado período de tempo a anulação deste matrimónio pode não dar permissão a novo casamento, excepto em decisão contrária por razões excepcionais.
O novo casamento só é autorizado se a separação for feita com um reconhecimento mútuo do fracasso do matrimónio e sem que tenha havido o nascimento de qualquer criança. Em caso de separação conflituosa, se um dos cônjuges foi visivelmente enganado poderá ser autorizado a casar-se novamente, depois de ter sido ouvido em confissão, se obter a absolvição dos seus pecados pois, ainda que seja vítima, deve purificar a sua alma antes de pensar em casar de novo.
Impedimentos e causas de anulação retroactiva, por omissão no procedimento
Se apesar dos impedimentos abaixo mencionados o matrimónio for concretizado este será anulado e os culpados serão perseguidos pelo Tribunal da Santa Inquisição por blasfémia. Se um dos dois for reconhecido como inocente e absolvido dos factos será autorizado a casar-se de novo depois de ter sido ouvido em confissão e absolvido.
- Se pelo menos um dos cônjuges não for um baptizado aristotélico ou tenha sido excomungado.
- Um dos cônjuges está casado e não pode casar-se de novo.
- Os dois têm um laço de consanguinidade de quarto grau ou menor.
- Salvo autorização especial concedida pelo Papa, os sacerdotes não podem estar casados e omitir a sua ordenação para se casar dá direito a excomunhão.
Dissolução simplificada do Sacramento do Matrimónio
A dissolução não é uma anulação, o casamento continua válido, mas as obrigações entre cônjuges são removidas. Para os nobres, conforme as regras da Heráldica nacional, o título nobiliárquico continuará a ser atribuído aos dois e os filhos continuam a ter o direito à herança do mesmo.
Se um dos cônjuges falecer o outro pode voltar a casar depois de um tempo de luto.
Se um dos cônjuges decidir ordenar-se, com o acordo do outro e sem haver descendência, o casamento será anulado e o cônjuge que ficar laico poder-se-á casar de novo. Se ambos decidirem ordenar-se o casamento ficará sem efeito.
Nota: é aconselhável comprovar a morte do cônjuge o mais depressa possível e pedir um certificado ao clérigo que conduzirá a cerimónia, ou à autoridade religiosa local.
Anulação simples do Sacramento do Matrimónio
A anulação faz com que o casamento deixe de existir de modo retroactivo, com que os títulos nobiliárquicos deixem de ser comuns e que os filhos passem a ser considerados como bastardos.
- Se o cônjuge for excomungado ou apóstata este é considerado como morto para a Igreja e o casamento é dissolvido, podendo haver novo casamento depois de um tempo de penitência.
- Se um dos cônjuges é condenado à erradicação por heresia ou bruxaria o casamento pode ser anulado se o cônjuge aristotélico o pedir.
- Se o par não tiver descendência e não tiver êxito a desenvolver o seu amor numa amizade verdadeira os cônjuges podem pedir a anulação do casamento apresentando uma petição em comum. Poderão casar-se de novo depois de uma confissão, ter recebido a absolvição e ter feito penitência.
Anulação processual do Sacramento do Matrimónio
- Todos os processos de anulação ou dissolução tornam-se processos de anulação processual quando há disputa por parte de um dos cônjuges ou de um terceiro. Esta disputa deverá ser feita nos 15 dias seguintes ao anúncio de anulação ou dissolução do casamento.
- Se um dos cônjuges comete adultério o casamento pode ser anulado. Um novo casamento é interdito àquele que cometeu adultério.
- Em caso de desaparecimento, dano físico ou retiro espiritual do cônjuge durante um tempo superior a dois meses, e sem se conseguir contactar com o mesmo, é possível a anulação do casamento, mas um novo casamento fica proibido àquele que foi considerado culpado de abandono conjugal.
Procedimento de anulação e dissolução do Sacramento do Matrimónio
Qualquer pedido de dissolução ou anulação (simples ou processual) de casamento deverá ser apresentado à Entidade Episcopal do qual o cônjuge requerente depende.
Compete à Entidade Episcopal deliberar e publicar um parecer do referido pedido. Este parecer deverá seguidamente ser depositado junto do Consistório Pontifical correspondente a fim de a ser validado.
O parecer emitido pela Entidade Episcopal deverá respeitar o seguinte formulário:
Citation: | Parecer de Pedido de Anulação/Dissolução de Casamento
Entidade Episcopal de:
Nome IG dos Cônjuges:
Data do Matrimónio:
Pedido:
Requerente:
Motivo:
Filhos: sim/não
Anexos:
Certificado de Baptismo
Certificado de Casamento
Testemunhas
Deliberação da Entidade Episcopal:
Aviso
Texto do DC
Tipo de Anulação
Consequências (novo casamento ou não)
Recomendações (Penitência) |
Qualquer pedido incompleto será por conseguinte rejeitado.
A anulação (ou a dissolução) tornar-se-á efectiva depois da promulgação de um decreto selado pelo Consistório Pontifical junto do qual terá sido depositado o dito parecer.
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Lavado em http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=204271#204271 |
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