L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Odoacre]

Tranquille et quelque peu vicieux... le vieux Grec, qui avait fait le rapprochement entre l'homme qu'il avait poursuivi dans les faubourgs et le retour de Lorgol à Rome, répondit

Eh bien Eminence, dormez donc un peu, peut-être retrouverez-vous le calme qui sied à la conduite d'une audience d'une telle importance... pour mon avocat.... je vous répondrai que tout le monde n'a pas les moyens humains et financiers de se payer un carrosse dernier cri, des étalons fougueux.... et un cocher peureux quoique fort compétent dans son domaine....

Regard mauvais en direction de Lorgol.... tu m'as échappé à peu de choses.... mais ce que tu auras trouvé en Orient, je l'aurai, oui, je l'aurai !
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Primat de France, Archevêque de Rouen et Inquisiteur de la Foi
Odoacre est sur Twitter !

[mahaut_bozier]

[De Nantes à Montaigu, en passant par la Lorraine avec mes tonneaux]

C'est marrant, c'est très croyant comme région, la champagne. Y'a des églises partout.

Ainsi devisait Mahaut à l'arrivée devant le grand bâtiment qu'elle avait intérieurement rebaptisé "la taverne géante qu'il faut absolument y aller et en ramener une chemise avec le logo brodé dessus". Oui, niveau marketing, il allait falloir revoir le titre.

Quel voyage... C'était pas que les cochons et les vaches étaient mal dressés, non... Bon, si, aussi. Mais de toute façon, les périgourdains ne s'y retrouvaient pas entre la droite et la gauche. Ainsi, Mahaut avait passé la moitié du voyage assise dans la charrette, dos à la route. A chaque croisement, elle hurlait qu'ils avaient pris la mauvaise direction, ce qui les obligeait à vérifier par précaution. Et aussi pour qu'elle se taise enfin. Sans compter les fois où, par acquis de conscience, il fallait vérifier la température des caves rencontrées aux bords des chemins. Ah et les fois où ils avaient voulu évangéliser un patelin à coups de gnôle aussi. Bref, ils n'avaient aucune idée d'où ils étaient mais il y a avait manifestement une grande buvette extérieure et on leur disait d'entrer.

Elle sauta au bas de la charrette et s'approcha de ce qui devait être la buvette, en tenant ses cochons en laisse.

Damoiselle, vous ne pouvez pas assister à l'audience avec vos animaux .
Comment ça ? Mais je suis déficiente visuelle et ils m'aident à me déplacer !
Ah ? Euh... Mais ça risque fort d'énerver le juge, là bas...
Ah y'a un juge ? Chouette, je me pique de connaître le droit. Enfin de connaître les tribunaux. Enfin d'y aller souvent. Bref. Comment il s'appelle ?
Vous n'avez pas à l'appeler, il vous est bien supérieur ! Baissez les yeux quand il vous regarde !
C'est... C'est... Juste ciel vous voulez dire... C'est Aristote lui même ? Par tous les saints !! Aristote !
...
Je pourrais lui demander un autographe ?
Vous entrez et vous vous taisez. Il instruit le procès contre l'évêque de Périgueux.
Haaan ! L'évêque de Périgueuuuux ! Han mais j'le connais !!! Hé, Orkaaaaange, Loooootx ! Y'a Odoacre il paraît ! Qu'est-ce qu'il fout en champagne ?
Bon, laissez vos animaux et la porte, entrez et taisez vous, j'ai mal à la tête, là.
C'est parce que je sens la mirabelle, c'est normal, ça vous monte à la tête, c'est comme une cigarette. C'est bon, rentrez votre bâton, je vais arrêter de chanter. Allez tout le monde, on va voir Odoacre. On a du saucisson ?

Et c'est ainsi qu'ils arrivèrent dans l'espace buvette, remontant les bancs des spectateurs pour s'approcher de ce qui devait être le comptoir principal, devisant à pleine voix et laissant derrière eux des vaches et cochons en pleine possession de leurs capacités digestives.
De son banc, elle regardait Aristote, le tavernier.

J'le voyais plus grand, moi...


édit : désolée, pas capté que c'était en extérieur, d'où quelques modifications...

[Constant Corteis]

Dans l'ordre logique, cela donnait quelque chose du genre : courrier, voyage, arrivée, repos, largage de compagne dans un coin paumé des faubourgs, puis irruption de plein fouet devant le tribunal.

En retard, bien sûr, histoire de bien se signifier à lui-même que, à tout prendre, il n'en avait rien à secouer de tous ces cuistres en robe.

Une fois sur place (pour la description voir plus haut), Constant tâcha de faire toutes les formalités d'usage (pour la description : se reporter à d'éventuels documents divers dont je postule l'existence pour ne pas me casser la nenette), puis se dirigea vers Odoacre (voir fiche).
Il n'avait même pas pris la peine de se grimer un peu, et prenait le risque d'être reconnu. Après tout, il fallait bien donner un intérêt à la chose.

Il s'assit à côté du grec et lui chuchota quelques mots.

On dirait que vous m'attendiez, c'est à regretter de ne pas avoir pu arriver plus tard.

[Odoacre]

Le vieux Grec, curieux de voir la réaction de Lorgol, renifla lorsqu'apparut comme un spectre son avocat à ses côtés, ce chien de Constant, ce mercenaire avocassier dont il avait trop besoin pour l'assassiner... cette graine de chaos étrange qu'il aimait à jouer sans jamais vraiment savoir ce qui la motivait...

Il fit un signe en direction de Lorgol

C'est surtout lui qui vous attend...
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Primat de France, Archevêque de Rouen et Inquisiteur de la Foi
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[Constant Corteis]

Constant suivit machinalement le doigt de son interlocuteur, et pivota la tête vers Lorgol dans un douloureux raclement de cervicales.
Il répondit, toujours à voix basse :

Ah, oui, logique...
Remarquez, il progresse, lorsque nos rôles étaient inversés, il avait coutume de ne pas m'attendre des masses. Genre pour me déclarer relaps.

Constant se redressa un peu, prenant conscience qu'il était plus ou moins vautré sur son siège, et ajouta à mi voix :

Et sinon, on s'y met ? J'ai mon aubergiste qui fait soupe au lard, ce soir.

[Lorgol]

L'inquisiteur sentait la lassitude le gagner lorsqu'il vit un étrange individu se glisser aux côtés d'Odoacre. Il paraissait normal mais quelque chose n'allait pas. Son attitude, peut-être. En le voyant, il ne put s'empêcher de penser à un poisson visqueux. Oui, voilà. Ce personnage lui inspirait la méfiance, et une sorte de déjà-vu pour le moins déroutant.

Lorgol - Ah, enfin! Peut-être avons-nous là l'avocat de Monseigneur Odoacre? Daignerait-il se présenter au tribunal ou alors devons-nous encore patienter?

[Constant Corteis]

Lorsque Lorgol eut fini de poser sa question, Constant fut pris d'un irrépressible envie de faire le guignol en trouvant une raison quelconque pour solliciter encore un peu la patience pour le moins friable du maître de cérémonie. Mais un juste éclair de lucidité lui fit penser qu'il avait, à tout prendre, carrément mieux à faire.
Il avait déjà essayé d'asticoter le cardinal masqué ici-même, quelques temps auparavant, et cela ne lui avait pas réussi.

Toujours est-il que Lorgol sollicitait qu'il se présente de son horrible voix grinçante. Retenant un soupire las, Constant prit son courage à deux mains, et entreprit de se lever.

Pas encore, toutefois. Avant tout, il avait quelque chose à dire à son voisin. Il se tourna rapidement vers Odoacre, et lui glissa à mi voix.

C'est vraiment parce que je vous aime bien que je le fais.

Puis, le plus naturellement du monde, il se leva, et parla d'une voix haute et intelligible.

Mes respects, éminence, veuillez m'excuser, et soyez sûr que je ne saurais souffrir de vous faire attendre davantage.
Je me nomme Constant Corteis, et j'ai été mandaté par monseigneur Odoacre pour le défendre dans ce procès.
Je me tiens donc à l'entière disposition de votre juste conduite des débats.

Alors qu'il venait de parler tout haut, l'on pouvait désormais entendre une petite particularité.
Constant ne s'était pas grimé, certes, mais il n'était tout de même pas totalement inconscient. Il comptait sur le fait que son apparence physique était de celles que l'on peut oublier aisément. Des trois personnes qui pouvaient le plus vraisemblablement le reconnaître, Lorgol avait la tronche obstruée par un masque, Rehael ne le verrait sûrement que de loin, et Kad était fou quoiqu'il arrive.
Sa voix, en revanche, était traditionnellement plus identifiable, car elle charriait un vocabulaire qui lui était bien propre.
Ainsi donc, Constant avait attaqué le problème à bras le corps, et ce avec une assez bonne dose de réussite. Profitant qu'il traversait la provence, il s'était volontairement piqué de l'idée de chevaucher un peu de nuit, sous une jolie lune ronde, et surtout sous un bon vieux mistral.
Tout ceci de sorte que, comme par enchantement, il arriva enroué à l'audience, et sa voix était rauque et caverneuse.

[aurelien87]

Aurélien vit arriver celui qui avait tenté de forcer sa porte de l'archevéché, et qu'il avait du faire renvoyer par les gardes. Il ne fut pas surpris de le voir aux cotés d'Odoacre, bien qu'il ait le plus grand doute sur le fait que ce garçon soit réellement baptisé.

[Odoacre]

Attendant la réponse de Lorgol, le vieux Grec se détendait... en tapotant de ses doigts sur son bureau... il fronça alors les sourcils.... à sa main droite, trois anneaux épiscopaux... Rodez... Périgueux.... et l'anneau familial de Muad Dib....

Ne voulant pas prendre plus de risque qu'il n'en avait déjà pris, il glissa ses mains dans ses robes.... et prestement, l'anneau volé fut rangé dans l'une de ses nombreuses poches.
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[Lorgol]

L'inquisiteur sentait qu'il y avait quelque chose de pourri dans l'atmosphère. Ce Corteis ne lui revenait décidément pas.

Lorgol - Fort bien, messer Corteis, fort bien, vous êtes à l'entière disposition du tribunal. Donc, nous en étions à demander à votre client s'il souhaitait abjurer son erreur et réintégrer les rangs de la sainte Eglise de Rome, ce à quoi il n'a rien voulu répondre. Auriez-vous l'extrême obligeance, messer, de le conseiller en cette matière, afin que nous puissions enfin avancer. Ce procès sera long, messeigneurs, alors hâtons-nous!

[garance]

[Toujours plus au Sud..]

Ne me touchez pas! Vous avez entendu? Pas touche!

Mais c'est qu'ils étaient tactiles ces gardes à Rome. Garance avait profité de son séjour dans le Sud pour pousser un peu plus loin vers l'Italie. Jeune baptisée par intérêt, profondément hérétique dans l'âme, elle n'avait pu résister à l'envie de voir le siège de tous les maux du Royaume. Pas décue la Garance. Bâtiments mugnificents, ça sentait le lucre mal digéré tout ça, mais elle était en touriste. Montrant sa médaille à tous.

" Eh bien quoi, j'en suis, vous ne le voyez donc pas? "

Faut dire qu'elle avait cherché pas mal de temps cette médaille. Un vrai sésame ici. Un attroupement se formait sur la Place et une forte odeur de saucisson fit se dire à Garance que Aristote n'était pas si évanescent que ça.
Elle se faufila donc dans la foule et demanda à ses voisins.

" Dites, il se passe quoi ici? et vous n'auriez pas un gorgeon de vin pour une assoiffée du Seigneur?"

Elle y allait un peu fort mais elle ne savait pas vraiment à qui elle s'adressait et autant faire semblant d'être en odeur de sainteté avant que de l'être de cochonailles

[Blaise de Fortis]

Las des lazzis délivrés lors des lices des lœss et même totalement écoeuré de ses médiocres tournées dominicales au milieu de l’aristotélisme primaire de clergymen ruraux, Blaise aspirant à plus de reconnaissance sociale s’était enfin décidé à venir réclamer sa patente de nettoyeur spirituel.
Pas qu’il pensait sérieusement qu’ils étaient meilleurs que lui, non !
depuis qu’il traquait la bête qui murmure à l’oreille des hommes, il avait trouvé plus de génie dans ses clients que chez leurs examinateurs de conscience
Il fût attiré, comme tout le monde par un rassemblement sur la place centrale

Mazette ! Y’a du client ici

Fit-il plus pour lui même que pour sa voisine manifestement addict aux produits de cépages

[Honoré.Saint_Cyr]

Honoré toujours tiraillé entre plusieurs comtés, duchés....à aller dispenser la Foy, se dit qu'il y avait longtemps qu'il n'était pas passer par la case de l'oncle Aristote, monopoli..sée par tant de visiteurs et discussions...L'évêque qui n'avait que peu les moyens, s'était procuré une vieille carriole pour des fifrelins, il y avait attelé sa jument "Eminence grise" mais la belle monture n'appréciait guère être dirigée par ces rênes, ça lui sortait des naseaux…ni par les roys d'ailleurs, et son maître d'évêque commençait sérieusement à lui casser les sabots...l'hellène étant à l'origine des ses déboires équins...Ô vin! Soudain, ce mot ondula parmi la foule, le sacrifice….de quelques journées de labeur en valait bien la chandelle, se disait-il parmi les pèlerins en procession...par l’odeur alléchés…

La place était noir de monde et les effluves s'en dégageant donnaient des aigreurs d'entrailles au prélat, plutôt amateur de lait de caprins, le nec plus ultra étant de le consommer dans des verres à pied d’alexandrins, bref, le missionnaire, peu alerte, après avoir dévoré tant de lieues, sauta de sa charrette et se présenta, la mitre sous le bras, afin de pouvoir entrer dans la salle des débats…Il ne sut si la fraîcheur de ses habits en fut la cause, mais il se fit rembarrer par la garde épiscopale, il avait beau brandir sa mitre en s’indignant de leur manque de bienséance, rien n’y fit, sans doute n’était-il pas en odeur de Sainteté…ce fut finalement après moults palabres que le religieux put gagner l’endroit où s’échangeaient les explications, chacun allant de son petit commentaire, tandis que l’avocat obtiendrait certainement le césar du Trublion….
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LE DOGME

[Makcimus.]

Il était de repos... Enfin, la Décurie était de repos. C'est en la cour intérieure de Fort San Angelo, assis sur un banc de pierre face à un beau jardin que Makcimus laissait son esprit vagabonder. Le Garde Pontifical était satisfait, la place d'Aristote avait été nettoyée des hétérodoxes qui au début de l'été n'hésitaient pas à venir prendre la parole en un lieu qui leur étaient formellement interdit.

L'effort, demandé par le commandement avait fini par payer, et il était maintenant bien plus agréable de se promener sur la place. Il était à se féliciter mentalement lorsque le coup de tocsin vint le sortir de sa séance d'auto satisfaction. Il était étonnant aussi qu'il puisse passer une journée entière à rêvasser.

Quelques minutes plus tard, la Décurie prenait la direction de la place d'Aristote, le procès de Monseigneur Odoacre allait avoir lieu et sa décurie avait été désignée pour en assurer la sécurité.
Lourdes démarche, en cadence, les boucliers du Saint Père approchaient lentement.Au premier rang, la grande carcasse transpirait déjà, sous son morion. Il faisait encore doux en cette saison et les cotes de mailles n'arrangeaient rien à l'affaire. Il ne se ferait jamais à ce casque qui lui faisait mal à la tête... Il préférait son heaume Teutonique, voilà tout!!

Déjà de nombreux badauds étaient présents, il était temps que la garde prenne place. Regard circulaire, histoire de prendre la température et de donner les ordres. La voix rocailleuse se fit entendre à plusieurs reprises. En un premier temps, faire quitter la place rapidement à plusieurs carrosses ou charrettes qui n'avaient le droit de stationner aux alentours de la place d'Aristote. En un second temps, placer les différentes escouades afin de sécuriser les lieux.

L'audience était ouverte au public, il faut bien dire que pour lui.... Cela allait certainement lui donner du travail. Il fit une grimace... Maintenant que les accès étaient sécurisés et contrôlés, il lui restait à placer deux escouades de façon à pouvoir intervenir rapidement. L'accusé était connu... Nul doute, que de nombreuses personnes allaient encore arriver.

Quelques signes de la tête plus tard et consignes données à voix basse, Makcimus prit place non loin de Monseigneur Odoacre. Il salua discrètement le Cardinal Inquisiteur Lorgol, souhaitant par ce geste lui signifier que toutes les consignes avaient été données et que la place était maintenant totalement sécurisée. La Garde Pontificale essayerait d'être la plus discrète possible... Bien évidemment, cela n'était chose facile, avec un effectif aussi conséquent et les hallebardes tout juste lustrées...Mais après tout... Cela n'était peut-être pas plus mal. La Garde Pontificale avait un pouvoir de police et nul doute qu'elle n'hésiterait pas à intervenir si le besoin s'en faisait sentir.
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[Odoacre]

Le vieux Grec regardait son avocat, attendant une intervention en un laïus aussi adroit qu'abscons pour expliquer qu'on ne pouvait pas abjurer quoique se soit sans préjuger déjà de la culpabilité de l'interrogé, ni même poser la question sans préjuger de celle-ci lorsqu'un reflet, soleil sur acier, lui fit tourner la tête et apercevoir Makcimus...

Et une petite galanterie germa alors dans l'esprit du vieux Grec... ce dernier n'avait pas manqué l'entrée d'Eldwin.... Toul ? Il avait obtenu Toul ? Plissant les yeux, Odoacre n'en avait pas cru ses yeux, et éprouvé une rage sans nom... il voulait le faire chanter, et se servir des ambitions de ce freluquet pour l'aider dans ses plans.... et voilà qu'il avait obtenu la mitre et qu'il se pavanait à présent....

Odoacre fit alors signe au militaire Makcimus... et lorsque celui-ci se fut approché assez près, il lui chuchota à l'oreille



Bonjour mon fils... voyez vous cet homme là bas, assis parmis les évêques.... oui... les armes de Toul... déguisé en évêque.... qui se pavane avec toutes ses dorures.... c'est un imposteur... le pauvre rêve tellement d'être évêque qu'il a dû en devenir fou.... je serais vous, je le mettrai dehors discrètement avant qu'il ne fasse scandale et commence à agresser une évêque dont la mitre sera plus haute que la sienne voyez...

Puis le vieux Grec de lui taper sur l'épaule avec un air bon enfant

Vous me revaudrez ça un autre jour j'en suis sûr !
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Primat de France, Archevêque de Rouen et Inquisiteur de la Foi
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