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Vita de Christos, chapitre XII

 
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Trufaldini



Inscrit le: 01 Mai 2006
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MessagePosté le: Dim Mai 28, 2006 6:29 pm    Sujet du message: Vita de Christos, chapitre XII Répondre en citant



Chapitre 12

Quand cette foule se dissipa, la place se vida, laissant place aux gardes du procurateur romain qui gouvernait cette ville. C’est alors, mes amis, que j’eus l’une des peurs les plus profondes de ma vie. Les soldats, rouges, en habit de sang, faisaient irruption sur la place par les multiples ruelles.

Certains surgirent sur les murailles et d’autres sortirent de différents bâtiments, bloquant toutes les issues et toutes les portes. Un tribun descendit alors les marches du palais du gouverneur, accompagné d’un robuste centurion.

Arrivé au milieu de la place, le tribun arrêta sa marche, et se pencha du côté de son centurion. Ce dernier prit alors la parole et nous dit de sa grosse voix brutale :

" Toi, Christos, qui te dis le messie et le guide ! Je t’accuse de nuire à la cité. Tu es un fomenteur de révoltes, un dangereux révolutionnaire, un homme de troubles. Aussi je te demande de me suivre ! "

Nous autres, ses apôtres, étions paralysés par la peur. Nous n’entendions que le sifflement de la brise qui faisait s’agiter les capes des romains. Et nous guettions, inquiets, la réaction de Christos. Daju était terrorisé, lui qui avait été vexé de ne pas avoir été choisi par Christos pour construire son Eglise.

Christos dit alors au centurion :
" En vérité, je te le dis, homme de peu de foi, je ne te suivrai pas, mais c’est toi qui vas me suivre ! "

Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jeshua, et l’officier, à la mine féroce s’approcha de nous d’un pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cœur qui s’affolait. Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence. "

Ce fut une journée intense que je n’ai jamais oubliée tant elle est gravée dans ma mémoire. Notre émotion était à son comble quand nous nous aperçûmes en plus que les soldats avaient déserté la place.

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Cardinal Francesco Trufaldini - Thomiste - "A la saint Trufaldini, toute liqueur sera bénie."
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Sainte Wilgeforte



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MessagePosté le: Sam Mar 27, 2010 1:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Caput XII

Cum multitudo se disperxisset atque locum vacuum fecisset, spatium Romani procuratoris qui urbem regebat costodibus. Tum, amici mei, maxime territus sum. Milites, vestiti rubri sanguinei, in eum locum undique irruperunt.

Nonnulla super moenibus comparuerunt atque alii ex edificiis exiverunt omnia ostia exitusque
Intercludentes. Deinde tribunus, cum robusto centurione, descendit praefecti domo.

Cum in medium pervenisset, tribunus constitit atque centurioni appropinquavit. Qui tum locutus est atque fera voce sua nobis clamavit: "Ego insumulo te, Christe, qui Messiam atque ducem esse dicis, urbi damnum afferra. Seditiosus, perniciosus turbator, chai vi res. Nunc te me sequi postulo!"

Nos, apostoli, formidone debilitabamur. Modo auram quae Romanorum saga agitabat audibamus. Christi responsione trepide perturbabamur. Dagius, qui mestissimus erat quia a Christu inter apostolos non deligitur terrebatur.

Tum Christus centurioni dixit: "Vero, infedelis, tibi dico non me te secutum esse, quia tu me sequeris!”

Ita tribunus iussit centurionem Iosuam comprehendere atque ferus ordinum ductor nobis placido gradu appropinquavit. Placide spirabam ad cor meum, quod temere palpitabat, placandum. Cum coram Cristo pervenisset, centuria graviter diuque oculos inspexit. Subito, cassidem detraxir atque, manibus Messiae tunicae limbum amplectens, genua flexit.

"Magister" tribuno stupente, eum imploravit, "vos sequi atque particeps huic fidelium communioni esse volo! Quid mihi faciendum est? Scio peccatorem esse ac malo domino servivisse, sed te imploro mihi dicere quo modo mihi ignosci possit?"

Tum Christus eum sustulit atque, sub oculis attonitorum Romanorum, haec verba dixit: "Peccator, tibi dico iam primum quod fidelibus agendum est fecisti: humilem esse atque peccata confiteri. Ita, si paenitentia sincera est, Deus tibi ignoscet."

Christus ad apostolos se vertit atque continuavit:
"Peccatis ab ovibus vestris acta ignoscitur si auribus vestris ea confitentur; si parati sunt ea espiare.”

Postea Christus fonti approprinquavit atque centurioni dixit: "Sempiterni gratia, culpas tuas luam, te in aqua, vitae fonte, renovando!"

Tunc Christus coniunctas manus in fontis salientes mersit. Centurionis corpus hac aqua perfudit, haec verba sussurrans: "Domine, accipe hunc virum peccatis luere, ut possit in fidelium comunione renascitur! Summi nomine. Amen."

Postea Christus nos singulos, apostolos, sibi appellavit atque nos in fontis aquam mersit, nos nova vita gignens. Nobis dixit: "Apostoli mei, viri mulieresque, Dei gratia peccatis vestris luimini. Ei ostendite hoc honore quem vobis offert dignos esse, quia Baptisma eo quicumque eius fondamenta prodit abrogari.”

Dies gravissimus, cuius numquam obliviscar, quia in memoria mea insidet fuit. Animi concitatio nostra cacumen attigit cum animadvertissemus omnes milites abivisse.
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Marco_Castello



Inscrit le: 21 Avr 2011
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MessagePosté le: Jeu Aoû 04, 2011 1:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Capítol XII

Quan aquesta multitud va dispersar-se, el lloc va quedar buit, deixant espai als guàrdies del Procurador romà que controlava la ciutat. Aleshores, amics meus, fou un dels moments en què he passat més por de la meva vida; els soldats, vestits de vermell sang, van irrompre de cop al lloc, procedint de totes les direccions.

Alguns van sorgir d’entre les parets i altres, de diferents edificis, tot bloquejant totes les sortides i portes. Aleshores, un tribú va descendir les escales del palau del governador, acompanyat per un robust centurió.

En arribar al centre, el tribú va detenir-se i es va inclinar cap el centurió. Aquest últim va prendre la paraula, i amb la seva veu feroç digué:


"Tu, Christós, al qui diuen el Messies i el guia! T’acuso de perjudicar la ciutat. Ens un instigador de revoltes, un perillós revolucionari, un home de tumults. Ara t’exigeixo que em segueixis.”

Nosaltres, els seus apòstols, ens vam quedar paralitzats per la por. Ni percebíem el xiulet de la brisa que agitava les capes dels romans. I vam observar, inquiets, la reacció de Christós. Dajú, estava aterrit; s’havia sentit humiliat per no haver estat escollit per Christós per a construir la seva Església.

Christós, aleshores, li digué al centurió:
" Certament et dic, home de poca fe, que no et seguiré, ans seràs tu qui em seguirà a mi!”

Aleshores, el tribú va ordenar al centurió que agafés a Jeshua i l’oficial se’ns va acostar lentament. Jo respirava al ritme de les seves passes, intentant calmar el meu ànim, que s’havia alterat. Quan estigué davant de Christós, el centurió el mirà als ulls, intensament, i durant una llarga estona. Aleshores, de cop i volta, es va treure el casc i es va agenollar agafant la roba del Messies.

"Mestre,” va dir, suplicant, davant l’astorament del seu superior, "voldria seguir-te i pertànyer a aquesta comunitat de fidels. Què he de fer? Sé que he pecat i que he servit un mal cap, però et prego que em diguis com aconseguir el perdó!”


Aleshores Christós va aixecar-lo i, davant la mirada estupefacte dels romans, va pronunciar aquestes paraules:

"Pecador, et dic, acabes de fer la primera cosa que els fidels hauran de fer: mostrar-se humils i confessar els seus pecats. Així, si el teu penediment és sincer, Déu et perdonarà.”

Christós va girar-se als apòstols i continuà:

"I a vosaltres, que les faltes comeses pels vostres fidels seran perdonades si venen i les confessen a les vostres oïdes i que estan preparats per a fer penitència.”

Aleshores Christós va acostar-se a la font, i li digué al centurió:

"Per la Gràcia de Déu netejaré els teus pecats, ruixant-te d’aigua, la font de tota la vida.”

I Christós va submergir les seves mans unides dins la fonts. Després va ruixar la figura del centurió amb aquesta aigua, xiuxiuejant aquestes paraules:

"Senyor, digneu-vos de netejar a aquest home dels seus pecats i dar-li així una nova vida entre els creients! En el nom del Senyor. Amén.”

Aleshores, Christós va cridar-nos al seu costat, a nosaltres, els seus apòstols i a un darrere l’altre, ens va ruixar amb l’aigua de la font, fent-nos néixer novament. Ens digué: "Els meus apòstols, tan homes com dones, per la Gràcia de Déu, ja heu estat netejats dels vostres pecats. Demostreu-li a Ell que podeu ser dignes d’aquest honor que Ell us fa, per què el sagrament del baptisme es podrà retirar a qualsevol que traeixi la seva essència.”

Va ser un dels dies més intensos de la meva vida i un dels que mai no oblidaré, tant s’ha gravat a la meva memòria. La nostra emoció estava en el seu punt culminant quan vam adonar-nos-en que els soldats havien abandonat la plaça.


Traduït per Ignius de Muntaner


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Ex. Juge Royal|Arch. Em.de Malines |[url=http://abbaye-thomiste.forumactif.org/]Thomiste
| Comte de Corinthe et Baron de La Vostice (Achaïe), Vicomte de Bailleul (France)
- MORT DÉFINITIVEMENT CETTE FOIS
Récipiendaire du Grand Chrisme d'Or
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Ignius



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MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2012 2:47 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Capítulo 12:

Cuando la multitud se dispersó el lugar se quedó vacío, dejando sitio a los guardias del procurador romano que controlaba la ciudad. Entonces, amigos míos, fue cuando pasé uno de los miedos más grandes de mi vida. Los soldados, vestidos de rojo sangre, irrumpieron repentinamente en el lugar procedentes de todas direcciones.

Algunos surgieron de las esquinas y otros de diferentes edificios bloqueando todas las salidas y las puertas. Entonces, un tribuno descendió los escalones del palacio del gobernador acompañado por un robusto centurión.

Al llegar al centro del lugar el tribuno se detuvo y se inclinó hacia su centurión. Este último tomó la palabra y con voz feroz nos dijo:


"¡Tú, Christos, al que llaman el Mesías y el guía. Te acuso de perjudicar a la ciudad. Eres un instigador de revueltas, un peligroso revolucionario y alborotador! ¡Ahora sígueme!"


Nosotros, sus apóstoles, nos quedamos paralizados por el miedo. Ni siquiera percibíamos el silbido de la brisa que agitaba las capas de los romanos. Y observamos inquietos la reacción de Christos. Daju estaba aterrorizado, él que se había sentido humillado por no haber sido elegido por Christos para construir su iglesia.

Christos dijo entonces al centurión:


"En verdad te digo, hombre de poca fe, que yo no te seguiré sino que serás tú quien me seguirá a mí".


Entonces, el tribuno ordenó al centurión capturar a Jesús y el oficial con una expresión feroz se nos acercó lentamente. Yo respiraba al ritmo de sus pasos intentando calmar mi corazón que se había acelerado. Cuando estuvo frente a Christos el centurión lo miró a los ojos intensamente y durante largo rato. De repente, se quitó su casco y se arrodilló cogiendo la ropa de nuestro Mesías.

"Maestro"

Le suplicó ante el asombro de su superior...

"Quisiera seguirte y pertenecer a esta comunidad de fieles. ¿Qué debo hacer? Sé que he pecado y que he servido a un mal jefe, pero te ruego que me digas cómo puedo conseguir el perdón".

Entonces Christos lo levantó y ante la mirada estupefacta de los romanos, pronunció estas palabras:

"Pecador, te diré que acabas de hacer la primera cosa que los fieles deberán realizar, mostrarte humilde y confesar tus pecados. De ese modo, si tu arrepentimiento es sincero, Dios te perdonará."

Christos se volvió hacia sus apóstoles y continuó:

"Y vosotros, que las faltas cometidas por vuestros fieles sean perdonadas si se os acercan, las confiesan a vuestros oídos y están dispuestos a hacer penitencia."

Entonces Christos se acercó a la fuente y dijo al centurión:

"Por la gracia de Dios lavaré tus pecados con agua, la fuente de la vida."

Y Christos sumergió sus manos unidas dentro de la fuente. Luego roció al centurión con esta agua susurrando estas palabras:

"¡Señor, dígnate a lavar los pecados de este hombre y darle así una nueva vida entre los creyentes! En el nombre del Señor. Amén".

Entonces, Christos nos llamó a su lado, a nosotros, sus apóstoles y a uno tras otro nos purificó con el agua de la fuente, haciéndonos renacer. Nos dijo:


"Apóstoles míos, tanto hombres como mujeres, por la gracia de Dios ya han sido lavados vuestros pecados. Demostrádle a Él que podéis ser dignos de este honor que os concede porque el sacramento del bautismo se podrá retirar a cualquiera que traicione su esencia".

Fue uno de los días más intensos de mi vida y uno de los que nunca olvidaré, ya que está grabado en mi memoria. Nuestra emoción se encontraba en su punto álgido cuando nos dimos cuenta de que los soldados habían abandonado el lugar.






Traducido por Monseñor Ubaldo.
Revisado por Casiopea.



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Dernière édition par Ignius le Dim Déc 30, 2012 11:39 pm; édité 1 fois
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Ignius



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MessagePosté le: Sam Fév 11, 2012 12:01 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Capitolo XII

Quando la folla si disperse, lasciando il luogo vuoto, vi fu spazio per le guardie del procuratore romano che controllava la città. E fu in quel momento, amici miei, che sperimentai una delle maggiori paure della mia vita. I soldati, vestiti di rosso sangue, fecero irruzione in quel luogo da ogni direzione.

Qualcuno apparve sulle mura e altri uscirono da diversi edifici, bloccando tutte le porte e le uscite. Un tribuno a quel punto discese le scale dal palazzo del governatore, accompagnato da un aitante centurione.

Arrivato al centro del luogo, il tribuno si fermò, e si avvicinò al suo centurione. Quest'ultimo allora parlò, e la sua voce brutale ci gridò:

"Tu, Christos, che dici di essere il messia e la guida! Io ti accuso di dannerggiare la città. Tu sei un fomentatore di ribellione, un pericoloso rivoluzionario, un uomo del caos. Io ora esigo che tu mi segua!"

Noi altri, suoi apostoli, eravamo paralizzati dal terrore. Non udivamo che il soffio della brezza che agitava i mantelli dei romani. Ed eravamo in allarme, ansiosamente, per la reazione di Christos. Dagiu era terrorizzato, lui che era rimasto il più rattristato per non essere stato scelto da Christos per costruire la sua Chiesa.

Allora Christos disse al centurione:
"In verità, ti dico, uomo di poca fede, non sarò io a seguire te, perchè sarai tu a seguire me!"

Così il tribuno ordinò al centurione di afferrare Joshua, e l'ufficiale, con espressione feroce, si avvicinò a noi con passo lento. Io respiravo al ritmo dei suoi passi, cercando di calmare il mio cuore, che batteva a velocità impazzita. Quando giunse faccia a faccia con Christos, il Centurione lo guardò negli occhi intensamente e abbastanza a lungo. Poi, tutto a un tratto, si tolse l'emo e si inginocchiò , afferrando l'orlo della tunica del nostro messia.

"Maestro" lo implorò, con grande sorpresa del Tribuno "vorrei seguirvi e fare parte di questa comunità dei fedeli! Cosa devo fare? So di essere un peccatore e di aver servito un cattivo maestro, ma io ti imploro di dirmi come posso essere perdonato?"

Allora Christos lo sollevò, e sotto lo sguardo impietrito dei romani pronunciò queste parole:
"Peccatore, te lo dico, e hai appena fatto la prima cosa che i fedeli devono fare: essere umili, e confessare i propri peccati. Così, se il tuo pentimento è sincero, Dio ti perdonerà."

Christos si rivolse ai suoi apostoli, e continuò:
"E voi sappiate che i peccati commessi dalle vostre pecore sono perdonati, se vengono a confessarli alle vostre orecchie; se sono pronti per farne penitenza."

E poi Christos si avvicinò alla fontana, e disse ancora al Centurione:
"Per grazia dell'Eterno, laverò via i tuoi peccati, rinnovandonti nell'acqua, la fonte di vita!"

A quel punto Christos immerse le sue mani unite sotto nel getto della fontana. Bagnò il corpo del Centurione di quest'acqua, sussurrando queste parole:
"Signore, accetta di lavare questo uomo dai suoi peccati, perchè possa così rinascere nella comunità dei fedeli! Nel nome dell'altissimo. Amen."

Poi Christos chiamò noi, i suoi apostoli, uno a uno a lui, e ci immerse nell'acqua della fontana, facendoci nascere a nuova vita. Ci disse: "Apostoli miei, uomini e donne, per grazia di Dio venite ora lavati dai vostri peccati. Mostrategli che siete meritevoli di questo onore che lui vi offre, perchè il sacramento del Battesimo può essere annullato da chiunque ne tradisca la sostanza."

Fu una delle giornate più intense della mia vita, e che non dimenticherò mai, tanto è scolpito nella mia memoria. La nostra emozione raggiunse il massimo picco quando ci accorgemmo che i soldati se ne erano tutti andati.


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Ignius



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MessagePosté le: Jeu Fév 28, 2013 3:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    Das Leben des Christos
    Kapitel XII - « Die Beichte und die Taufe des Zenturio »



    Kapitel 12

    Als die Menschenmenge verschwunden war, der Platz geleert, ward Platz für die Männer und Truppen des römischen Procurators, der die Stadt kontrollierte. Dies war der Zeitpunkt, meine Freunde, in dem ich die größten Ängste meines Lebens erlebte. Die Soldaten, gewandet in Blutrot, strömten aus allen Richtungen, wie es schien und sammelten sich auf dem Platz.

    Manche erschienen auf den Wällen, andere wiederum kamen aus den verschiedensten Gebäuden und sie blockierten alle Ausgänge und Tore. Ein Tribun erklomm daraufhin die Treppe zum Rathausplatz, er wurde von einem Zenturio begleitet.

    In der Mitte des Platzes angekommen, bremste der Tribun seinen Schritt und lehnte sich hinüber zu seinem Zenturion. Letzter sprach mit lauter und brutaler Stimme:

    „Du, Christos, der sich der Messias nennt und der Führer! Ich sage – du schadest dieser Stadt! Du schürst eine Rebellion, bist ein gefährlicher Revolutionär, ein Mann des Chaos. Ich verlange, dass du mir folgst!“

    Wir anderen, seine Apostel, waren vor Angst starr gelähmt. Wir hörten nicht die sanfte Brise, die in den Umhängen der Römer raschelte. Wir warteten, gespannt, auf die Reaktion von Christos. Daju war am meisten erschrocken, er, der am meisten aufgebracht war nicht von Christos erwählt worden zu sein seine Kirche zu gründen.

    Christos aber antwortet dem Zenturio:
    „In Wahrheit, sage ich dir, Mann des kleinen Glaubens, werde ich dir nicht folgen – denn du folgst mir!“

    Daraufhin befahl der Tribun dem Zenturio Joshua festzusetzen und der Offizier näherte sich uns mit grimmiger Miene und langsamen Schritten. Ich atmete mit dem Rhythmus seiner Schritte, versuchte mein panisch schlagendes Herz zu beruhigen. Als er im Angesicht Christos stand, blickte der Zenturio in dessen Augen, intensiv und ziemlich lange. Dann, auf einmal, nahm er den Helm ab und kniete vor unserem Messias, nach dem Saum seiner Robe greifend.

    „Lehrer“, flehte er, zur Überraschung seines Vorgesetzten, „ich würde dir gerne folgen und zu deiner Gemeinde der Gläubigen gehören. Was muss ich tun? Ich weiss, ich bin Sünder und ich habe einem schlechten Meister gedient, aber ich bitte dich, sag mir wie ich Vergebung erlangen kann! Sag mir – wie kann ich bereuen?“

    Und Christos half ihm auf, unter den erstaunten Blicken der Römer. Er verkündete diese Worte:
    „Sünden, hast du gesagt – du hast gerade das Erste getan, was ein Gläubiger tun muss. Bescheiden sein und gestehen. Folglich, wenn deine Reue ernsthaft ist, wird Gott dir vergeben.“

    Christos wandte sich an seine Apostel und fuhr fort: „Und ihr, merkt euch, die Sünden eurer Herde sind vergessen, wenn sie zu euch kommen und in euer Ohr gestehen und wenn sie bereit sind zu bereuen.“

    So näherte er sich dem Brunnen und sprach zum Zenturio:
    „Durch die Gnade des Allmächtigen, wasche ich hinweg deine Sünden und erneuere dich mit Wasser, der Quelle des Lebens.“

    Und Christos hielt seine gefalteten Hände unter den Wasserstrahl des Brunnens. Er besprengte die Gestalt des Zenturio mit Wasser und flüsterte dabei:

    „Herr, lasse dich herab und wasche diesen Mann frei von seiner Sünde und gebe ihm eine Neugeburt inmitten der Gläubigen. Ich erbitte dies im Namen des Allerhöchsten.“

    Nun bat Christos uns alle, seine Apostel, zu ihm und einen nach dem Anderen wurden wir durch Christos mit dem Wasser des Brunnens gestärkt, erhielten dadurch die Wiedergeburt. Er sprach zu uns: „Meine Apostel, Männer und Frauen, durch die Gnade Gottes, habt ihr hier eure Sünden von euch gewaschen. Zeigt Ihm, dass ihr der Ehre, die Er euch zukommen lässt würdig seid, denn das Sakrament der Taufe kann widerrufen werden von jedem der seine Substanz verrät.“

    Dies war einer der stärksten Tage meines Lebens, und einer, den ich nie vergessen werde, so tief ist er in meinen Erinnerungen eingebrannt. Unsere Gefühle waren auf ihrem Höhepunkt als wir just feststellten, dass die Soldaten den Platz verlassen hatten.


    Übersetzt von Adala, Kodiak, Rainer


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Doron



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MessagePosté le: Mar Nov 11, 2014 11:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Hoofdstuk XII

Toen deze menigte zich verwijderde bleef er een leegte die werd opgevuld door de wachters van de Romeinse procurateur. Het was toen, mijn vrienden, dat ik de diepste angsten van mijn leven heb meegemaakt.
De soldaten, in habijten zo rood als bloed, kwamen door de vele nauwe straatjes en deden een inval op de centrale plaats.

Sommigen verschenen plotseling op de hoge muren, anderen kwamen langs verschillende markten heb plein opgerend en blokkeerden alle deuren en uitgangen. Een Tribun liep vanaf de treden van het paleis van de gouverneur naar beneden, geflankeerd door een robuuste centurion.

Aangekomen te midden van de centrale plaats, hield de Tribun halt en boog zich voorover naar de centurion. Hij fluisterde hem wat toe, en toen sprak plotseling de centurion met zware harde stem:

“Gij, Christos, die beweert de Messias en de gids te zijn!
Hierbij beschuldig ik je voor het feit dat je een gevaar bent voor deze stad! Je zet mensen aan tot opstanden en bent een gevaarlijke revolutionair, een man van onrust. Ik vraag je eveneens om mij te volgen!”

Wij, zijn apostelen, werden door angste verlamd. Wij hoorden slechts het gefluit van de wind dat door de capes van de Romeinen waaide. Wij wachtten, bezorgd, de reactie van Christos af.
Daju werd, gekwetstheid dat hij niet was gekozen door Christos om zijn kerk te bouwen, geplaagd door zijn innerlijke demonen.

Christos antwoordde toen de centurion:
“Ik zeg u, man van weinig vertrouwen, het is niet ik die u gaat volgen, maar gij zult mij volgen!”

Toen beval de Tribun de centurion om Jeshua te arresteren. De officier naderde ons met een langzame stap. Ik ademde in het ritme van zijn voetstappen om me, in mijn radeloosheid, te kalmeren. Toen de centurion oog in oog stond met Christos, keek hij hem langdurig aan. Plotseling viel hij op zijn knieën en nam zijn helm af en omhelsde het kleed van onze Messias.

“Meester” smeekte hij tot grootte verrassing van de Tribun, “ik wil deel uitmaken van uw gemeenschap van trouw, hoe moet ik dat doen? Ik weet dat ik zondig ben geweest en een slechte meester heb gediend, maar ik vraag u nederig, vergeeft u mij!

Christos keek de man aan en, onder de blik van alle aanwezige Romeinen sprak hij de volgende woorden uit:
“Visser, hoor mij aan, je hebt zojuist het eerste ding gedaan om mij trouw te zijn; bescheiden zijn en je zonden opbiechten. Aldus, als je werkelijk berouw hebt van je daden, zal God je vergeven.”

En Christos wendde zich tot zijn apostelen en sprak:
“En u, als u fouten heeft gemaakt, of als iemand die fouten heeft gemaakt bij u komt, neem dan de biecht bij hem af en, wanneer hij oprecht is, zal God zijn zonden vergeven.”

Aldus naderde Christos de bron, welke op het midden van het plein aanwezig was en hij sprak tot de centurion:
“Door de gunst van de Almachtige, zal ik je wassen en ik zal de zonden die je omringen doen laten verdwijnen, want het water is de bron van het leven.”

En Christos legde zijn handen onder de stralen van de bron en ving het water op. Hierna liet hij het water op de gedaante van de centurion vallen en sprak de volgende woorden:

“Heer, was de zonden van deze man, opdat hij opnieuw geboren mag worden onder een nieuw geloof! Uw geloof! In de naam van de Almachtige, Amen”

Vervolgens riep Christos ons, zijn apostelen, bij zich en hij doopte de één na de andere, waardoor wij alleen een nieuw leven kregen. Hij zei tot ons: “Mijn apostelen, zowel mannen als vrouwen, door de gunst van God, ziehier gewassen van uw zonden. Het is nu aan u om God te tonen dat u de gratie van God waardig zijt. Gebruik het sacrament van de doop als basis voor al hen die de weg van God willen volgen, opdat zij opnieuw worden geboren en opnieuw kunnen beginnen.”

Het is deze dag die voor altijd in mijn geheugen gegrifd zal staan en welke ik nooit zal vergeten. Onze ontroering bereikte een hoogtepunt toen wij merkten dat de soldaten hun posten hadden verlaten en wij weer vrij waren.

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countess.Kathleen



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MessagePosté le: Mar Oct 27, 2015 2:53 am    Sujet du message: Répondre en citant

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      Życie Christosa
      Rozdział Dwunasty
      «Wyznanie Centuriona i obmycie z przewinień»


    1. Kiedy tłum się rozszedł, zrobiło się dużo miejsca dla strażników rzymskiego prokuratora, który zarządzał miastem. Właśnie wtedy, drodzy przyjaciele, niezmiernie bałem się o swoje życie. Żołnierze ubrani w krwawą czerwień, znaleźli się nagle na placu, nadbiegając z każdej strony. Jedni pojawili się na murach, inni wybiegali z przeróżnych budynków, blokując drzwi i uliczki. Wielki mówca, w towarzystwie Centuriona zszedł po schodach prowadzących do pałacu gubernatora.

    2. Po dotarciu na środek placu zatrzymał się i pochylił w stronę Centuriona. Ten ostatni przemówił swoim ciężkim, brutalnym głosem: «Christosie, powiadający żeś Mesjaszem i przewodnikiem! Zakłócasz porządek w tym mieście. Jesteś agitatorem buntu, niebezpiecznym rewolucjonistą, człowiekiem chaosu. Pójdziesz ze mną!».

    3. A my wszyscy, jego apostołowie, byliśmy sparaliżowani strachem. Nie czuliśmy nawet podmuchów wiatru, który trzepotał pelerynami Rzymian. Czekaliśmy z niepokojem na reakcję Christosa. Daju był przerażony i zarazem wściekły przez to, że nie został wybrany przez Christosa do budowy Jego Kościoła. Wtem Christos odrzekł do Centuriona: «Zaprawdę powiadam ci, człowieku małej wiary, nie pójdę za tobą; to ty pójdziesz ze mną!».

    4. Wielki mówca zwrócił się w stronę Centuriona i zalecił wykorzystanie Jozuego. Oficer podszedł do nas powoli, z okrutnym wyrazem twarzy. Próbowałem oddychać równo z tempem jego kroków, aby uspokoić szalejące w piersi serce. Kiedy stał przed Christosem, spojrzał mu w oczy; wpatrywał się w nie długo i intensywnie. Nagle zdjął hełm, uklęknął przed Christosem i objął Go za szatę. Centurion, ku wielkiemu zaskoczeniu swojego przełożonego powiedział:«Mistrzu, chciałbym pójść za tobą i dołączyć do twojej wspólnoty wiernych. Co muszę uczynić? Wiem, że jestem grzesznikiem, że służyłem złym panom, ale proszę cię, wybacz mi. Azaliż, jak mogę się nawrócić?».

    5. Wtedy Christos podniósł go i pod spojrzeniami wszystkich obecnych na placu Rzymian, wypowiedział te słowa: «Powiedziałeś, że jesteś grzesznikiem i właśnie zrobiłeś pierwszą rzecz, którą wierny musi uczynić; pokora i wyznanie grzechu. Tak więc, jeśli twój żal za grzechy jest szczery, Najwyższy ci wybacza». Christos odwrócił się do apostołów i kontynuował: «Wy, moi apostołowie, wiedzcie, że grzechy popełniane przez wiernych będą im przebaczone, jeżeli przyjdą je do was wyznać i okażą przy tym skruchę».

    6. Następnie zbliżył się do fontanny i powiedział do Centuriona: «Dzięki łasce Najwyższego, zmyję twoje grzechy, oczyszczając cię wodą, jest ona przecież źródłem życia». Christos zanurzył ręce pod strumieniem wody wypływającym z fontanny. Następnie pokropił Centuriona ową wodą, wypowiadając te słowa: «Panie, oczyszczam tego człowieka z jego grzechów i daję mu nowe życie wśród wierzących! W imię Najwyższego. Niech się stanie!».

    7. Następnie Christos wezwał nas, apostołów, abyśmy zbliżyli się do fontanny, a chwilę później, każdego po kolei kropił wodą, dając nowe życie. I mówił: «Moi apostołowie, kobiety i mężczyźni, z łaski Boga, obmywam was w tym miejscu z waszych grzechów. Pokażcie Bogu, że jesteście godni tego zaszczytu, ponieważ sakrament chrztu i łaska będzie wam odebrana, jeżeli Go zdradzicie».

    8. To był bardzo emocjonujący dzień, który doskonale zapamiętałem; głęboko zapadł mi w pamięci. Nasze emocje osiągnęły szczyt, gdy zauważyliśmy, że rzymscy żołnierze opuścili plac.


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* Archbishop of Mayence * Prefect of the Villa San Loyats *
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