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[Histoire] Le concile de Nicée (324)

 
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Lorgol
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MessagePosté le: Jeu Oct 04, 2007 9:58 am    Sujet du message: [Histoire] Le concile de Nicée (324) Répondre en citant

Le Concile de Nicée (325)

Le concile de Nicée est convoqué à l'initiative de l'empereur romain Constantin Ier, qui vient de réunifier l'empire après avoir vaincu Licinius à Andrinople (septembre 324). Se rendant en Orient, il constate vite le très grand nombre de dissensions qui existent au sein même de l'aristotélisme. Afin de rétablir la paix religieuse et de construire l'unité de l'Église, et sans doute aussi afin de parvenir à ses fins politiquement, il décide de réunir dans la même assemblée des représentants de toutes les communautés aristotéliciennes, peu après la fin des persécutions. Celles lancées par Dioclétien durent jusqu’en 313, et certains évêques portent encore les stigmates des tortures infligées à cette occasion.

On pouvait distinguer quatre principales tendances:

Les Christosiens, qui considéraient que Christos seul était le messie et disaient d'Aristote qu'il n’était qu’un philosophe éclairé n'ayant qu'annoncé la venue de Christos.

Les Aristodoxes, qui prétendaient que sans Aristote il n’y aurait pas eu de messie, car celui-ci d’essence humaine s’inspirait totalement des révélation Philosophe.

Les Aristotéliciens, qui affirmaient déjà (à juste titre) qu'Aristote et Christos ne formaient qu’un tout dans l’harmonie de la Foi et de la Raison.

Les Sophistes, qui composaient une branche aristotélicienne basée en orient et soumise à l'autorité du patriarche grec de constantinople.(1)

Le concile se composait également de divers ordres religieux, tels que les iconophiles, qui vouaient un culte particulier aux images et aux représentations des prophètes («La prosternation devant la croix et le respect dû aux images pieuses (icônes) pousse à la croyance»), les Pélagiens, les arianistes, et d’autres dont le nom est oublié de nos jours.

L'empereur Constantin voulait faire de l’Eglise aristotélicienne la religion unique de l’empire, et exige que le tri soit fait pour n’avoir qu’une seule forme canonique représentative du message de l'Eglise. L'institution ne pouvait, selon les vues du souverain, admettre plus longtemps une multitude de tendances si différentes. La vérité nicéenne sera aussi une vérité impériale ...

Il est à noter que les tenants du spinozisme étaient présents à Nicée, le but étant de les assimiler à l’Eglise, et cela semblait une nécessité aux yeux de l’empereur. Celui-ci avait en effet la volonté d'être investi par un pouvoir divin supérieur, chose à laquelle ne pouvaient se résoudre les spinozistes, tenants de l'immanence. Une frange des défenseurs de la transcendance vit là une occasion de se débarasser des spinozistes, alors qu'eux ne voyaient pas de problèmes à cohabiter avec l'Eglise étatique. Ils furent donc déclarés hétérodoxes, principalement car ils prétendaient déjà que «le corps et l’âme sont parallèles entre eux, conséquemment à tous les attributs d’un même objet, en tant que mode de l’Etendue et mode de la Pensée de l’humain ». Les textes de Daju furent mis à l’index.


L'empereur Constantin formula trois voeux au concile épiscopal de Nicée.

1) Renforcement du pouvoir du pape comme autorité suprême dogmatique et canonique, en tant que légitime successeur de Christos.
2) L’interdiction faites aux femmes d'occuper des charges religieuses, la femme ayant, selon l'Empereur, pour seule mission de donner des héritiers pour répandre la foi, les hommes devant les protéger et propager la foi par le fer et le prêche. (2)
3) Trancher une bonne fois pour toute entre les différentes interprétations des sources de la foi, ainsi que les natures respectives d'Aristote et de Christos.

Après plusieurs mois de débat au cours desquels les évêques ne parvinrent pas à trouver un accord sur un texte définissant les sources de la foi, l'empereur n'hésita pas à menacer les récalcitrants. C'est la tendance Christosienne qui parvint à s'imposer, ne laissant comme concession aux défenseurs d’Aristote que l'usage de l'adjectif "Aristotélicienne" pour qualifier l'Eglise universelle. Aristote fut relégué au rang de simple "annonciateur" de la venue du messie.

Les plus sages des opposants acceptèrent le compromis et les derniers récalcitrants, restant fidèles à leurs conceptions, furent excommuniés. Ainsi, le concile se solda par la formulation d'une seule vérité dogmatique, de fait en conflit avec des interprétations hérétiques devant être, par nature, éradiquées.

Ce premier concile sera politiquement positif pour l’Eglise, mais un désastre dogmatique va pousser les apologètes du prophète Aristote dans la clandestinité pour près de mille ans. Des siècles durant lesquels les femmes ne purent être ordonnées, et la presque clandestinité que demandait l'étude d’Aristote fut un frein à l'épanouissement de la vrai foi. L'impact de ce concile de Nicée sera tellement important sur la l'aristotélisme que de nombreux historiens ont divisé "L'ère Aristotélicienne de la Fondation " en deux périodes : l'Ere de la Dispersion de la Foi, de la naissance de Christos au Concile de Nicée (324), et l'Ere du Questionnement du Concile de Nicée à la fin du pontificat de Nicolas V (1452).(3)



(1)Sophistes : Dite aussi branche plotinienne du nom du philoprophète Plotin. Basés en orient (terre sainte) et dépendants du patriarche grec de constantinople. Ils ne reconnaissent seulement qu'un statut de "primus inter pares" au pape. Cette église dite "plotinitienne" a sera excommuniée par la curie à l'occasion des agissements de Sanctus sous le pontificat de nicolas V.

(2)Bien que le concile Vatican I convoqué par SS le Pape Eugène V ait transfiguré le dogme, cela ne saurait expliquer la faible présence des femmes dans l'Eglise et la mentalité toujours un peu macho qui y règne. Depuis, les conflits Foi et Raison, Christos et Aristote, homme et femme ont été réglés dans l'église par le juste milieu aristotélicien.

(3)Chronologie non officielle de l'aristotélisme
A) Ere préaristotélicienne: Création du Monde Arrow Enseignement d'Aristote (Vième siècle avant christos)
C'est la période qui suit la création et où se placent les grands mythes pré-fondateurs comme la Création. L'aristotélisme n'existe pas encore. Cette période se termine au moment où Aristote commence à enseigner.
B) Ere de la Naissance de la Foi: Enseignement d'Aristote (Vième siècle avant christos) Arrow Enseignement de Christos (an 0)
Aristote a apporté la Raison, première des deux composantes de la Foi aristotélicienne. Le monothéisme s'installe doucement et gagne la Palestine. Les Pharisiens se convertissent. Cette période se termine au moment où Christos commence à enseigner.
C) Ere de la Dispersion de la Foi: Enseignement de Christos (an 0) Arrow Concile de Nicée (325)
L'enseignement de Christos provoque des conversions rapides. La foi se répand à travers tout l'Empire mais il se fragmente en une multitude de courants qui interprètent différemment les textes sacrés. L'aristotélisme n'est un de ces courants.
d) Ere du Questionnement : Concile de Nicée (325) Arrow dernière partie du pontificat du pape Nicolas (1454)
Le Concile de Nicée réunifie l'aristotélisme autour de l'Eglise Aristotélicienne. C'est la fin de l'anarchie mais aussi un tournant car des décisions théologiques et dogmatiques regrettables sont adoptées. les différentes tendandes de l'église s'affrontent et décident finalement sous la pression des christosiens la primauté de la Foi sur la Raison et la préséance de Christos sur Aristote.
E) Ere du Renouveau de la Foi: (1454) dernière partie du pontificat du pape Nicolas Arrow ...
Certains théologiens commençaient à douter de certaines décisions prises à Nicée. Dans la dernière partie du pontificat du pape Nicolas, ils se manifestent plus ouvertement. Un grand séminaire de réflexion préparatoire à la réforme est convoqué. Mais Nicolas V étant mort entre temps, c'est le nouveau pape, Eugène V qui va ouvrir le Concile de Vatican qui amènera le Renouveau de la Foi.


Par jeandalf
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Ignius



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MessagePosté le: Ven Jan 13, 2012 7:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
    O Concílio de Niceia (325)


    O Imperador romano Constantino I convocou o Concílio. Foi feito com o intuito de unir o Império Romano após ter derrotado Licínio em Andrinopla, em Setembro de 324. Enquanto viajava pelo Oriente, constatou o grande número de cisões no seio das famílias aristotélicas. Com o intuito de restabelecer a paz religiosa e de construir uma Igreja una, e até mesmo para prevenir que fosse corrompida com fins políticos, Constantino decidiu convocar o Concílio. Decidiu reunir todos os representantes das comunidades com uma tendência aristotélica maioritária, após terminadas as perseguições. Perseguições estas lançadas por Diocleciano em 313, e cujas cicatrizes ainda eram ostentadas por alguns bispos que participaram do Concílio. Havia quatro tendências notáveis:

    Os Cristãos, que consideravam Cristo como o messias e diziam que Aristóteles não passava de um filósofo iluminado que preparou as pessoas com ideias que conduziriam à vinda do verdadeiro messias de natureza divina.
    Os Aristodoxos, que afirmavam que sem Aristóteles não haveria o messias, que a essência humana se inspirou totalmente nas revelações do verdadeiro messias: Aristóteles.
    Os Aristotélicos, que afirmavam (com razão) que Aristóteles e Cristo formavam juntos uma comunhão harmoniosa entre a Fé e a Razão.
    Os Sofistas, braço aristotélico que se fundamentou no Oriente e que seguia o patriarca grego de Constantinopla. (1)

    Mas havia ordens religiosas variadas e frequentemente extremistas e sectárias como os iconófilos, com a sua adoração de imagens "A prostração diante da cruz e o respeito para com imagens religiosas (ícones) cresce com a crença"; os pelagianos, os arianistas e outras cujos nomes foram esquecidos. O Imperador Constantino queria fazer da Igreja Aristotélica a religião única do Império, mas exigiu que fosse feita uma triagem para que apenas uma lei canónica vigorasse no seio da Igreja. Igreja esta que passa a não admitir diferentes tendências ou seitas. A verdade imposta por Niceia é ressonante à verdade imperial.

    Os seguidores do Spinozismo estavam presentes em Niceia; o objectivo era tentar assimilá-los à Igreja oficial do Estado o que parecia uma necessidade aos olhos do Imperador. Necessidade esta que, certamente, estava ligado ao facto de este querer o seu poder temporal legitimado por um poder divino superior, algo que não seria possível com os seguidores Spinozistas, adeptos da imanência. Um grupo de defensores da transcendência viu nisto a oportunidade para se livrar dos Spinozistas, enquanto estes últimos não viam problemas em conviver com a Igreja oficial do Império. Por conseguinte, os spinozistas foram declarados heterodoxos, principalmente por afirmarem que "o corpo e a alma são paralelos um ao outro, pois são todos atributos do mesmo objecto, como um modo de prorrogar o modo de pensar humano". Os textos de Daju, desde então, integram o Index Librorum Prohibitorum.

    O Imperador Constantino reforçou três escolhas do Concílio Episcopal de Niceia.

    1) A legitimação do poder do Papa como autoridade suprema em carácter dogmático e canónico, por ser o legítimo representante de Cristo.
    2) A interdição da ordenação sacerdotal às mulheres. Cabia à mulher gerar herdeiros para servir a Igreja, enquanto cabia aos homens o dever de propagar a fé, fosse pela palavra fosse pela espada. (2)
    3) Resolver de uma vez por todas as diferentes interpretações sobre as fontes de fé e das posições de Aristóteles e Cristo.

    Depois de vários meses durante os quais os bispos não chegaram a acordo sobre um texto que estabelecesse as fontes da fé, o imperador ameaçou os mais teimosos. A tendência Cristã teve maior predominância, ficando como uma concessão aos adeptos de Aristóteles a utilização do termo "aristotélico" para definir a Igreja Universal. Aristóteles foi relegado a mero "arauto" da vinda do messias. O mais sábio dos críticos aceitou o compromisso e os teimosos foram calados, e quando se mantinham fiéis às suas ideias, eram excomungados. O resultado foi a criação de uma única verdade dogmática, em conflito com heresias que foram erradicadas.

    O primeiro concílio trouxe consequências políticas agradáveis à Igreja, mas trouxe também um desastre dogmático que vai empurrar os defensores de Aristóteles para a clandestinidade por quase mil anos. A mulher não pôde ser ordenada sacerdote por vários séculos e quase se alegou que as ideias de Aristóteles eram um obstáculo ao desenvolvimento da verdadeira fé. O impacto do Concílio de Niceia é tão importante para a história aristotélica que muitos historiadores dividem "A era da Fundação Aristotélica" em duas partes distintas: a Era da Dispersão da Fé desde o nascimento de Cristo até ao Concílio de Niceia (325) e a Era do Questionamento desde Niceia até a última metade do pontificado do Papa Nicolau V (1452). (3)

    -----------------------------------------------------------------------

    (1) Sofistas: Também conhecido como plotistas por causa do seu filósofo-profeta Plotino, estabelecidos no Oriente (terra santa) e dependentes do Patriarca grego de Constantinopla. Eles reconhecem apenas o status primus inter pares do Papa. Esta igreja dita plotina seria excomungada mais tarde sob o pontificado de SS Nicolau V.

    (2) Apesar do facto de o Concílio de Vaticano convocado por S.S. Eugénio V ter mudado o Dogma, isto explica a escassez de presença feminina na Igreja e a mentalidade do senso comum de que a Igreja é encabeçada apenas por homens. Depois, os conflitos sobre Fé e Razão, Cristo e Aristóteles, homens e mulheres foram moderados pelo iluminado método aristotélico.

    (3) Cronologia não oficial do aristotelismo:

      A) Era Pré-Aristotélica: Criação do MundoEnsinamentos de Aristóteles (séc. V a.C.)

        Trata-se do período em que decorreu a criação e onde se localiza todos os mitos pré-fundados como a Criação. O aristotelismo ainda não existia. Este período termina quando Aristóteles começa a ensinar.


      B) Era do Nascimento da Fé: Ensinamento de Aristóteles (séc. V a.C.)Ensinamento de Cristo (ano 0)

        Aristóteles traz-nos a Razão, primeiro dos dois grandes componentes da fé aristotélica. O monoteísmo instala-se calmamente e conquista a Palestina. Os fariseus convertem-se. Este período finaliza-se no momento em que Cristo começa a pregar.


      C) Era da Dispersão da Fé: Ensinamento de Cristo (ano 0)Concílio de Niceia (325)

        Os ensinamentos de Cristo provocam conversões generalizadas. A fé espalha-se por todo o Império Romano, mas fragmenta-se numa multiplicidade de interpretações variadas dos textos sagrados. O aristotelismo é uma destas interpretações.


      D) Era do Questionamento: Concílio de Niceia (325)Última metade do pontificado do Papa Nicolau (1454)

        O Concílio de Niceia reunifica o aristotelismo e que dará origem à Igreja Aristotélica. É o fim da anarquia, mas também um período difícil no qual decisões teológicas e dogmáticas lamentáveis foram adoptadas. As diferentes tendências da Igreja confrontam-se e decide-se finalmente, sob pressão dos cristãos, a primazia da Fé sob a Razão e da presença de Cristo sobre Aristóteles.


      E) Era da Renovação da Fé: Última metade do pontificado do Papa Nicolau (1454) → ...

        Alguns teólogos começaram a questionar determinadas decisões de Niceia. Na última metade do pontificado do Papa Nicolau, estes teólogos manifestaram-se mais abertamente. Um grande seminário de reflexão preparatório à reforma é convocado. Mas o Papa Nicolau V acaba por morrer, e assim, o novo papa, Eugénio V inicia o Concílio do Vaticano que nos conduz à Renovação da Fé.

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