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[Création] Partie III - Les créatures

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Jeu Juin 01, 2006 9:40 am    Sujet du message: [Création] Partie III - Les créatures Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la Création, revu et corrigé : > ICI <

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Création III: Les créatures

Un groupe de ces créatures composant la vie décida de parcourir le monde pour découvrir les autres espèces, tant animales que végétales. Tous prirent leurs affaires sur leur dos et parcoururent le monde, poussés par la soif de découverte qui leur avait fait prendre cette décision.

Ils arpentèrent donc le monde. Ils grimpèrent sur des collines verdoyantes et de gigantesques montagnes. Ils traversèrent des ravins, burent dans des rivières, se reposèrent dans des prairies. Ils dégustaient tout ce que la vie avait à donner de plus beau et doux. Ainsi, ils goûtèrent à la saveur du miel et des fruits. Ils s'enivrèrent de la senteur des fleurs. Ils admirèrent les aurores boréales et les arcs-en-ciel.

Dieu, dans son infinie perfection, avait fait de la vie une merveille, un délice pour ceux qui savaient la déguster. Mais toutes les créatures ne savaient pas apprécier ce cadeau à sa juste valeur. Ainsi, le petit groupe fut surpris à chaque fois qu’il rencontra de nouvelles espèces. Chacune d’elles était dotée de talents qui les rendaient uniques. Ainsi, le petit groupe pouvait admirer à quel point Dieu avait doté la vie d’une infinie variété de richesses. Chaque espèce était l’occasion pour chacun d’entre eux d’en admirer les particularités.

Ainsi, ils rencontrèrent des vaches. Celles-ci, broutant placidement l’herbe, donnaient la tétée à leurs petits. Plus loin, ils passèrent près d’une plaine recouverte de blé, ondulant sous la brise, et croisèrent la route de nombreux moutons au doux pelage blanc, qui broutaient eux aussi paisiblement. Continuant de cheminer à travers le monde, ils entendirent le chant joyeux des oiseaux. Levant les yeux au ciel, ils les virent virevolter sous les doux nuages couleur de crème, alors que le ciel d’azur était enluminé par l’astre solaire.

Ils s’arrêtèrent un moment pour déguster des légumes goûteux, rivalisant de formes, de senteurs et de saveurs. Pendant leur repas, ils purent suivre les galopades de plusieurs chevaux dont les crinières volaient au vent. Plus loin, ils s’approchèrent d’un lac et virent des poissons jouer à se poursuivre mutuellement. Non loin du rivage avait pris racine une forêt de gigantesques chênes dont les branches formaient comme un gigantesque dôme de feuilles vertes.

Plus loin, ils virent un champ de maïs dont les épis se gorgeaient de soleil. Quelques cochons s’y trouvaient, en train de s’en nourrir. Mais toutes ces créatures ne surprenaient pas seulement le petit groupe par la variété de leurs natures, mais également par un aspect commun plus troublant.

En effet, toutes avaient comme point commun de se vanter d’être l’espèce préférée de Dieu. Leurs talents étaient la raison qu’ils avançaient tous. Les vaches vantaient leur nombreuse progéniture, les moutons leur laine, les oiseaux leurs ailes, les chevaux leur vitesse, les poissons leur possession des mers, le plus grand territoire du monde, les chênes leur longévité sans égal, le blé, le maïs, les fruits et les légumes leurs goûts et leurs senteurs variés, le cochon sa force...


Spyosu
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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Mar 31, 2007 11:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Creación III: Las criaturas

Un grupo de estas criaturas que componen la vida decidió recorrer el mundo para descubrir las otras especies, tanto animales como vegetales. Todos tomaron todo lo que poseaban sobre su espalda y recorrieron el mundo, motivados por el deseo de descubrir que les había hecho tomar esta decisión.

Examinaron entonces el mundo. Subieron sobre colinas verdes y montañas gigantes. Cruzaron barrancos, bebieron en ríos, descansaron en prados. Probaban todo lo que la vida tenía que dar de más bonito y suave. Así pues, probaron el sabor de la miel y de las frutas. Se emborracharon con el olor de las flores. Admiraron las auroras boreales y los arco iris.

Dios, en su infinita perfección, había hecho de la vida una maravilla, una delicia para los que sabían probarlo. Pero todas las criaturas no sabían apreciar este regalo a su justo valor. Así pues, se sorprendió al pequeño grupo cada vez que encontraba nuevas especies. Cada una ellas tenia talento que las volvia única. Entonces, el pequeño grupo podía admirar hasta qué punto Dios había dotado la vida con una infinita variedad de riquezas. Cada especie era la ocasión para cada uno de ellos de admirar las particularidades.

Así pues, se entrevistaron con vacas. Ellas, pastando plácidamente la hierba, daban de comer su leche a su pequeños. Más lejos, pasaron cerca de un llano cubierto de trigo, ondulando bajo la brisa, y cruzaron el càmino de numerosas ovejas a la suave lana blanca, que pastaban también pacíficamente. Siguiendo avanzando a tras el mundo, oyeron el canto alegre de los pájaros. Aumentando los ojos al cielo, los vieron girar bajo las suaves nubes color de crema, mientras que el cielo de azul estaba enlubrecido por el astro solar.

Se detuvieron un momento para probar verduras gustosas, compitiendo de formas, olores y sabores. Durante su reparto, pudieron observar las galopadas de varios caballos cuyos cabellos volaban al viento. Más lejos, se acercaron a un lago y vieron a pescados jugando a perseguir mutuamente. No muy lejos de la orilla habían tomado raíz un bosque de gigantescos robles cuyas ramas formaban como una gigantesca cúpula de hojas verdes.

Todavía más lejos, vieron un campo de maíz cuyoas espigas se hartaban de sol. Algunos cerdos se encontraban, alimentandoes con. Pero todas estas criaturas no solo sorprendían al pequeño grupo por la variedad de sus naturalezas, sino también por un aspecto común más inquietante.

En efecto, todos tenían como punto común de pretender ser la especie preferida de Dios. Sus talentos eran la razón que avanzaban todos. Las vacas presumian de su numerosa progenitura, las ovejas de su lana, los pájaros de sus alas, los caballos de su velocidad, los pescados de su control de los mares, el más grande territorio del mundo, los robles de su longevidad sin equivalente, el trigo, el maíz, los frutos y las verduras de sus variados gustos y sus olores, el cerdo de su fuerza...
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Sjnoel



Inscrit le: 17 Fév 2007
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MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Schepping III: De Schepselen

Een groep van deze schepsels die het leven samenstellen, besloot om de wereld te doorlopen om de andere soorten te ontdekken, zowel dierlijk als plantaardig. Ieder nam zijn zak op zijn rug en doorliep de wereld, geduwd door de ontdekkingsdorst die hem deze beslissing had laten nemen.

Zij maten dus de wereld. Zij beklommen op groene heuvels en reusachtige bergen. Zij staken ravijnen over, dronken in rivieren, berustten zich in weides. Zij proeften alles wat mooi en zacht was en wat het leven te geven had. Aldus proeften zij aan de smaak van honing en vruchten. Zij maakten zich dronken in de geur van de bloemen. Zij bewonderden de zonsopkomsten en de regenbogen.

God, in haar oneindige perfectie, had van het leven een wonder gemaakt, een heerlijkheid voor degenen die het konden proeven. Maar alle schepsels konden dit kadeau niet aan zijn rechtvaardige waarde beoordelen. Aldus werd de kleine groep verrast telkens als deze nieuwe soorten ontmoette. Elk van hen was van talenten voorzien die ze uniek maakten. Aldus kon de kleine groep bewonderen hoezeer God het leven van een oneindige afwisseling rijkdommen had voorzien. Elke soort was de gelegenheid voor elk van hen om de bijzonderheden ervan te bewonderen.

Aldus ontmoetten zij koeien. Deze, die kalm het gras graasden, gaven melk aan hun kleinen. Verder, kwamen zij dichtbij een bedekte vlakte met tarwe, die onder het briesje golfdde, vervolgens kruisten ze op weg talrijke schapen met een zachte witte vacht, die eveneens vredig graasden. Blijvend op de wereld voortgaan, hoorden zij de vrolijke kleine stemmetjes van de vogels. De ogen naar de hemel opheffend, zagen zij ze draaien onder de zachte crèmekleurige wolken, terwijl de blauwe hemel door de zonnester belicht werd.

Zij hielden zich een moment op om smaakvolle groenten te proeven, die van vormen, geuren en smaken wedijveren. Gedurende hun maaltijd, konden zij galopades van verschillende paarden volgen waarvan de manen in de wind vlogen. Verder, naderden zij een meer en zagen vissen spelen om zonder te stoppen. Niet ver van de kust wortelde een bos van reusachtige eiken waarvan de takken als een reusachtige koepel van groene bladen over de grond hing.

Verder, zageb zij een gierstveld waarvan de aren zich met zon volstopten. Enkele varkens die zich er bevonden, waren bezig om zich ermee te voeden. Maar al deze schepsels verrasten alleen maar de kleine groep door niet enkel de afwisseling van hun natuur, maar eveneens door een verwarrender gemeenschappelijk aspect.

Immers had iedereen als punt van overeenkomst, zich te roemen als de verkozen soort van God te zijn. Hun talenten waren de reden die zij allen naar voren brachten. De koeien roemden hun talrijke nakomelingen, schapen hun wol, vogels hun vleugels, paarden hun snelheid, vissen hun bezit van de zeeën dat grootste gebied van de wereld is, de eiken hun levensduur zonder gelijke, tarwe, de gierst, de vruchten en de groenten met hun gevarieerde smaken en hun geuren, varkens zijn krachten...

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Inorn



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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2008 6:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Die Schöpfung] III. Die Kreaturen


Eine Gruppe dieser Kreaturen, aus denen das Leben bestand, entschied sich, in der Welt umherzustreifen, um die anderen Arten zu entdecken, Tiere wie Pflanzen. Alle packten ihre Siebensachen und umrundeten die Welt, getrieben vom Durst nach Entdeckung, der sie zu diesem Entschluß kommen ließ.

Sie durchmaßen die Welt. Sie bestiegen grüne Höhen und riesige Berge. Sie durchquerten Schluchten, tranken aus Flüssen, ruhten in Auen aus. Sie kosteten alles, was das Leben an Schönstem und Lieblichstem bot. So genossen den Wohlgeschmack des Honigs und der Früchte. Sie berauschten sich am Duft der Blumen. Sie bewunderten das Nordlicht und den Regenbogen.

GOTT schuf in seiner unendlichen Vollkommenheit mit dem Leben ein Wunderwerk, eine Köstlichkeit für jene, die es zu probieren wußten. Nur wußten all die Kreaturen dieses Geschenk nicht in seinem vollen Wert zu schätzen. So kam es, daß die kleine Gruppe jedesmal überrascht war, wenn ihr neue Arten begegneten. Jeder von ihnen waren Talente mitgegeben, die sie einmalig machten. Die kleine Gruppe konnte hieran bestaunen, wie GOTT dem Leben eine unendliche Mannigfaltigkeit an Reichtum verliehen hatte. Jeder Art war es so möglich, jede unter ihnen für ihre Besonderheiten zu bewundern.

Ihnen begegneten Kühe, die ihre Jungen säugten, während sie sanftmütig das Grün abweideten. Weiter fort kamen sie an einem Feld mit Weizen vorbei, in das der Wind Wellen zeichnete, und kreuzten den Weg einer Vielzahl von Schafen mit weichem weißen Fell, die ebenfalls friedlich grasten. Auf dem weiteren Weg durch die Welt hörten sie den fröhlichen Gesang der Vögel. Mit einem Blick in den Himmel sahen sie sie unter den weichen crèmefarbenen Wolken umherschwirren, während der azurblaue Himmel vom Sonnengestirn in Farbe getaucht war.

Sie pausierten eine Weile, um die schmackhaften Gemüse zu kosten, die in Form, Geruch und Geschmack miteinander wetteiferten. Während ihres Mahls konnten sie den Galopp mehrerer Pferde verfolgen, deren Mähnen im Wind wehten. Weiter auf dem Weg erreichten sie einen See und sahen Fische, die sich spielend gegenseitig jagten. Nicht weit von einer Schlucht wurzelte ein Wald riesiger Eichen, deren Astwerk eine gigantische Kuppel aus grünen Blättern formte.

Weiter fort sahen sie ein Maisfeld, dessen Maisähren sich von der Sonne mästen ließen. Es gab dort einige Schweine, die dabei waren zu fressen. All diese Kreaturen erstaunten die kleine Gruppe nicht nur wegen der Vielfalt ihrer Eigenarten, sondern auch wegen einer sehr beunruhigenden Seite, die allen gemein war.

Tatsächlich war allen gemein, daß jede Art meinte, die von GOTT meistgeliebte zu sein. Ihre Fähigkeiten und Talente waren die Ursache, daß sie alle vorankamen. Die Kühe brüsteten sich mit ihrem zahlreichen Nachwuchs, die Schafe mit ihrer Wolle, die Vögel mit ihren Flügeln, die Pferde mit ihrer Geschwindigkeit, die Fische mit ihrer Herrschaft über die Meere, dem größten Gebiet der Welt, die Eichen mit ihrer Größe ohne gleichen, der Weizen, der Mais, die Früchte und die Gemüse mit ihrem Geschmack und ihren verschiedenen Düften, das Schwein mit seiner Kraft ...


Übersetzt von Zaltvyksle.
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