L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Alessandro III giarru]

Il Prefetto era in ritardo per la Cerimonia, gli impegni in terra italica erano molti, ma in silenzio, prese posto per l'inizio della solenne cerimonia...
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Father of the Church

[Rehael]

Rehael avait désormais gagné le choeur, et débuta la cérémonie.



La Chapelle était pleine : des personnes venus de tout horizons étaient présents, particulièrement des provinces qui allaient être aujourd'hui honorées.

Mes chers frères et soeurs des Saintes Armées, mes chers frères et soeurs du clergé, mes chers enfants croisés, chers amis. Il ne s'agit pas aujourd'hui d'honorer la guerre, mais d'honorer celles et ceux qui ont tout abandonnés pour prendre les armes au nom de l'Eglise et du Très-Haut, pour mener un combat juste contre l'hérésie.

Il y a quelques mois encore, l'Anjou s'enfonçait dans un schisme et dans l'hérésie, menée par la folie d'un homme. Aujourd'hui, l'Anjou a renouée avec l'aristotélisme, l'angevinisme n'est plus, mais c'est grâce à vous, à tout ceux qui ont tout donnés pour que cela puisse se produire.

Souvenez vous toujours que pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Aujourd'hui, c'est l'action des gens de bien qui a permis de mettre fin au mal. Que cela serve d'exemple pour demain.

Loin de toute considération politique, la Congrégation des Saintes Armées va aujourd'hui affirmer sa reconnaissance et faire honneur à tout ceux qui ont participés à cette croisade, pour faire triompher la Vrai Foy.

Nous allons honorer les croisés des Saintes Armées, à savoir l'Ordre Teutonique, l'Ordre des Chevaliers Francs, l'Ordre du Temple, et l'Ordre de Santiago, ainsi que la Garde Episcopale et Pontificale Romaine. Nous allons également honorer les croisés laïcs des provinces qui ont fait le choix de répondre à l'appel de l'Eglise : la Touraine, les volontaires du Maine, ainsi que la Provence.

Rehael s'interrompit quelques instants, puis s'exclama d'une voix forte :

J'appelle a présent à me rejoindre Monseigneur Hobb Siegfried VonKorwald, HochMeister et représentant de l'Ordre Teutonique, ainsi que tout les participants teutoniques à la croisade !

[Epsonstylus]

Epson tenait toujours le bras de son époux et lui souriait, jusqu'à ces mots qui la rendirent furieuse :

Nous allons également honorer les croisés laïcs des provinces qui ont fait le choix de répondre à l'appel de l'Eglise : la Touraine, les volontaires du Maine, ainsi que la Provence.

La rouquine se mordillait la lèvre, se retenant de faire un scandale et de s'avancer en brandissant sa canne pour hurler sur l'empourpré : "Et les comtois venus avec les SA ils puent des pieds ! La prochaine fois ne comptez pas sur eux pour vous aider et se faire blesser si vous les oubliez aussi facilement." Elle se retenait, serrait des poings, des semaines alitée par deux fois pour cette bande d’ingrats et des cicatrices en guise de remerciement pour service rendu. Elle en était presque à regretter amèrement être allée en Anjou, mais s’était rassurée en se disant que si Rome avait oublié ces comtois, Dieu lui s’en souviendrait sûrement. Elle repensa à Chevreux avec qui elle avait voyagé jusqu’en Anjou, aux deux attaques subies et aux semaines consécutives à végéter dans un lit trop petit, immobile, à ne pas dormir la nuit car endolorie et à se réjouir le jour d'une vue sur un magnifique plafond peint.

La rouquine se mordit à nouveau la lèvre, cherchant du regard le pauvre garçon qu’elle avait ramassé comme un oisillon tombé du nid. Il semblait absent, pourvu qu’il ait survécu à ses blessures. Puis elle tourna son regard vers Eléanor, plissant du nez, signe manifeste de ce mécontentement ou mieux du dédain qui avait pris naissance dans le fond de son cœur. Elle serra son médaillon et en arriva à espérer que son jumeau ne voit pas tout cela de là où il était à présent. Tous des maudits qui crèveraient les uns après les autres de la peste ou d’autre chose, et encore c’était une mort bien trop tendre comparé à celle qu’avait vécu certains de ses compagnons en Anjou. La rouquine soupira et se pencha à l’oreille de son époux :

Visiblement tout le monde n’a pas eu les mêmes blessures…

Elle laissa s’échapper un rictus rempli de cynisme, puis fusilla certains de ses grands yeux azurs, en caressant sa hanche endolorie. Un mot de plus de la part de ces ingrats et elle ne tarderait pas à se manifester de manière tout à fait charmante comme à son habitude, en haranguant la foule avant de se retirer bruyamment. Il en faudrait très peu…

La rouquine se moquait éperdument des gloires et autres flatteries semblables mais il lui semblait que pour oublier les combattants comtois il fallait être sacrément pervers ou amnésique et si certains oser dire qu’ils n’avaient pas combattu aux côtés de l’EA il fallait être un sacré menteur qui ne l‘emporterait pas dans la mort.

[Hobb]

Hobb, Hochmeister de l'Ordre Teutonique écoutait avec attention Son Eminence Rehael. Les Croisés allaient être récompensés pour leur action en Anjou. Tous, laïcs et des saintes Armées, unis pour la défense de la vraie foi.

[acar]

Se posant, accompagné de son espousée, il vict alors frère Hobb se lesver et prendre parosle...

L'Anjou, où moult milites avaient donnés leurs vies pour une juste cause.
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[karl06]

[Arrivée a Rome]
le maréchal chevaucha toute la nuit avec ses frères francs;

Ils arrivèrent à Rome gonfanon et bannières claquants au vent. Le soleil était levé, réchauffant les corps meurtris par une nuit de selle.

[La Chapelle]

Entrons dans la chapelle,

En deux rangs, les Francs pénétrèrent dans la chapelle et vinrent se positionner a leur place.

Le Maréchal salua discrètement les visages connus, se recueillit et attendit le déroulement de la cérémonie.
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[Rhiana]

Rhiana descendit de son cheval et reprit le gonfanon en main, elle avança au côté de son époux, portant haut les couleur de l'ocf



Le capitaine avait participer à la crisade d'Anjou, mais en tant que maire dans un premier temps et duchesse de Touriane à l'époque, elle plaça le gonfanon a leur côté et prit place près de son époux
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[Wallou74]

Déjà la cérémonie commençait pour les honneurs rendu lors des combats en Anjou.

Wallou s'installa tranquillement et écouta tout en regardant les membres teutoniques s'avancer vers le cardinal. Elle sourit, chacun d'eux méritait cette hommage.
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[sampieru corsu]

le corse se presente a la ceremonie,
tant de sang coulé, tant de moment difficil, mais une fin heureuse avec le retour de notre sainte eglise en cette terre d'anjou.

il portera a tout jamais une profonde cicatrice sur le crane, lui rappelant son engagement pour sa foi...

il rejoint ses frères et soeurs de l'ocf, et prend place...
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[Jackson21]

L'Anjou... Quelle dure épreuve cela avait été pour les Saintes Armées... Pour le Ritter cette campagne relevait d'une amertume comme il n'avait jamais goûté auparavant, il avait donné le premier assaut sous les remparts, les pertes et les blessés avaient été dénombrés en grand nombre, mais avec l'aide du Très-Haut, ils avaient vaincus et l'angevinisme s'était éteint.

Fermant la marche teutonique, comme pour s'assurer qu'il n'y avait aucun retardataire ou défection, le Ritter suivit l'Hochmeister et ses frères et sœurs venus en nombre après l'appel du Cardinal Rehael...
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Ceins ton épée sur ta cuisse, vaillant dans le faste et l'éclat va, chevauche, pour la cause de la vérité, de la piété, de la justice.

[mili_cia]

une cérémonie encore une , elle faisait comme ces frère et sœur elle suivais la cérémonie sans un mot , il y a avais beaucoup de monde des personne quelle connaissait part leur croisade
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[Hellvyra]

Hellvyra, médecin de l'Ordre, avançait avec ses Frères et Soeurs dans l'allée centrale. Toute cette bataille avait été très dure pour la jeune femme. Tant d'horreur, tant de peine, tant de perte...
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[neocor]

L'abbé de l'OCF avait suivi ses amis... Il avait tenu à être présent à cette cérémonie et était bien décidé à veiller sur eux si toutefois ils venaient à avoir besoin de réconfort spirituel.

Et il avait bien fait, car Epson se trouvait là et pouvait leur rappeler quelques souvenirs pénibles...

[Graoully]

En soutane violette, l'abbé, revêtu de ses ornements épiscopaux, et ayant exceptionnellement passé sa cape teutonique par dessus, avança, avec sa mitre et crosse jusqu'à l'autel.
Comme inquisiteur, il avait été nommé par la Curie en personne à la tête de l'évêché d'Angers, dont il venait de démissionner. Comme pour tous ceux qui allaient s'avancer, la victoire lui appartenait un peu, mis à part qu'il avait combattu par le Verbe au lieu du Fer.
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[cagi]

Le préfet-adjoint de la garde épiscopale entra fièrement dans Rome suivi d'un peloton de garde épiscopaux. Ils défilèrent la tête haute jusqu'au parvis de la chapelle montrant aux citoyens Romains combien ils étaient fier d'appartenir a cette grande institution.
Ils gravirent les marchent de la chapelle jusqu'à la grande entrée, pénétrèrent en l'édifice et allèrent s'installer sur les bancs de celle ci, saluant au passage leurs frères des autre ordres religieux.

Cagi profita pour admirer les enjolivures et les peintures ornant la chapelle. Une douce lumière ,filtré par les nombreux vitraux, donnait une atmosphère de plénitude a ce décor.
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