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Hagiographie de Saint Jérôme

 
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vincent.diftain



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MessagePosté le: Jeu Avr 03, 2008 3:17 pm    Sujet du message: Hagiographie de Saint Jérôme Répondre en citant



Jeandalf a écrit:
HAGIOGRAPHIE DE SAINT JERÔME

Jérôme, bien que né de parents aristotélicien, ne fut pas baptisé avant 360, date à laquelle il partit à Rome avec son frère Bonosus pour continuer ses études de rhétorique et de philosophie. Il étudia sous la férule d'Aelius Donat, un excellent grammairien. Jérôme apprit aussi le grec, sans avoir encore l'intention d'étudier les textes fondateurs de l’aristotélisme.

Très influencé par le concile de Nicée qui avait assis la prédominance de Christos "messie" sur Aristote "simple prophète annonciateur". Il considérait, comme de nombreux croyant de cette époque, l’étude d’Aristote comme une perte de temps puisque sa prophétie c’était déjà réalisée.

Après quelques années à Rome, il se rendit avec Bonosus en Gaule, et s'installa à Trèves « sur la rive à moitié barbare du Rhin ». C'est là qu'il entama son parcours théologique et copia, de nombreux texte populaire et religieux trouvé lors de ses étapes
Quelques-uns de ses amis l'accompagnèrent lorsqu'il entama, vers 373, un voyage à travers la Thrace et l'Asie Mineure pour se rendre au nord de la Syrie à la recherche des traces laissée par les premières tribu de l’humanité.

À Antioche, deux de ses compagnons moururent, et lui-même tomba malade plusieurs fois. Au cours de l'une de ces maladies (hiver 373 - 374) il fit un rêve qui le détourna des études profanes et l'engagea à se consacrer à Dieu. Dans ce rêve, qu'il raconte dans une de ses lettres, il lui fut reproché d'être « Cicéronien, et non pas aristotélicien ». Il semble avoir renoncé pendant une longue durée après ce rêve à l'étude des classiques profanes, et s'être plongé dans celle des écrit d’aristote et de Spyosu.
Il enseigna ensuite à Antioche. Désirant vivement vivre en ascète et faire pénitence, il passa quelque temps dans le désert de Chalcis, au sud-ouest d'Antioche, connue sous le nom de « Thébaïde de Syrie », en raison du grand nombre d'ermites qui y vivaient.

Pourtant ses travaux sur les textes d’Aristote lui fit voir les choses autrement, et il compris très vite que l’important était de vivre pour les autres et non de faire pénitence en permanence comme les coutumes héritées de Nicée poussaient les croyants à le faire.
Un jour lors d’une réunion de théologiens, on lui dit que ses positions risquaient de l’écarter de la voie de Christos, il répondit :


Citation:
Que tel ou tel docteur de l'église soit quasi hétérodoxe depuis le concile de Nicée, peu importe ! Je ne nie pas qu'ils peuvent textuellement l'être sur certains sujets. Mais ce qui importe c'est qu'ils ont bien interprété les Ecritures, expliqué les obscurités des prophètes et dévoilé les mystères du Livre des Vertus.


À son retour à Antioche, en 378 ou 379, il fut ordonné par l'évêque Paulin. Peu de temps après, il partit à Constantinople pour continuer ses recherches, et c’est grace à lui si rome pu avoir une bibliothèque des plus riche en textes originaux des début de notre histoire.
Sa plus grand fierté fut de trouver la version originale du Credo et d’avoir écris la première Hagiographie de Saint Olcovidius et de l’amener à Rome où il resta trois ans (382-385), en contact direct avec le pape Damase et la tête de l'Église de Rome.
Invité au concile de 382, qui était convoqué pour mettre fin au schisme d'Antioche, il sut se rendre indispensable au pape. Entre autres tâches, il prit en charge la révision du texte de la préhistoire, sur la base de Nouveau texte d’aristote redécouvert par lui. Ce travail l'occupa pendant de très nombreuses années, et constitue son œuvre majeure, pourtant une grande partie de ce travail fut caché car remettait en cause la prédominance de Christos en montrant combien Aristote était important.

Pourtant il exerça une influence non négligeable au cours de ces trois années passées à Rome, notamment par son zèle à prôner l'ascétisme
la critique virulente que faisait Jérôme du clergé régulier et sa volonté d'imposer Aristote comme prophète de même importance que Crhistos, firent naître une hostilité croissante à son égard de la part du clergé et de ses partisans. Peu de temps après la mort de son protecteur Damase (10 décembre 384), Jérôme quitta Rome.

En août 385, il retourna à Antioche, accompagné par son frère Paulinianus et quelques amis résolus à quitter leur entourage patricien pour finir leurs jours sur la Terre Sainte.
Ses amis et lui visitèrent Jérusalem, Bethléem et les lieux saints de Galilée, puis partirent en Égypte, où vivaient les grands modèles de la vie ascétique. En Alexandrie, il découvrit les texte de Mhour et compris que la vie ne devait pas être fait de souffrance pour être bénie par le Très Haut, bien au contraire la recherche du plaisir et de la boulasse pouvait être bien plus bénéfique que de se mortifier.
Il se replongea dans les textes d’aristote avec un nouvel œil, et détruisit ses derniers travaux pour se replonger dans leur réécriture. Sa devise était maintenant une phrase l’Oane « ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous d’avoir souffert pour ne pas le perdre »
Comprenant qu’il fallait éduquer les gens pour qu’ils puissent vivre socialement et en harmonie il se mis à écrire de nombreux textes pour aider les prêcheur à amener les fidèle à méditer sur des textes parlant de la vie, et de ce qu’ils connaissait : leur vie de tout les jours.

Vivant grâce aux moyens que lui fournissait ses nobles amis, et accroissant sans cesse le nombre de ses livres, il écrivit sans cesse. On doit à ces trente-quatre dernières années de son existence la majeure partie de son oeuvre.
Suite à ses écrits contre les Pélagiens(1), une troupe de partisans de ces derniers envahit sa retraite, y mit le feu et contraignit Jérôme à se réfugier dans une forteresse avoisinante.

Persécuté par de nombreuse factions sectaire de l’Eglise, et ayant peur que les tenant du tout Christos fasse détruire les textes d’Aristote il confiât trois enveloppes de cuir scellées contenant des textes originaux d’Aristote ainsi que son anneau d’Evêque à un de ses amis soldat qui devait rentrer dans sa famille à Mont Cassin.
La date de sa mort nous est connue par la chronique de Prosper d'Aquitaine. Ses restes, enterrés d'abord à Jérusalem, ont été ensuite transférés, dit-on, à l'église Sainte-Marie Majeure de Rome.



(1) Pélage, moine breton jugé hérétique par l'Eglise, né au IVe siècle.
Pélage minimisait le rôle de confession et exaltait la primauté et l'efficacité de l'effort personnel dans la pratique de la vertu.
Pélage qui prétendait que l'homme pouvait, par son seul libre arbitre s'abstenir du péché, niait la nécessité de la confession et du baptême.
En effet, pour le moine breton les humains ayant le libre arbitre font le choix de pécher et n’ont donc pas à être pardonné par la suite, seul Dieu est juge et Lui seul peut donc pardonner.
Il prêche alors une règle de vie afin de faire d'elle "une élite de la vertu", mais son intransigeance et sa rigidité le poussa à oublier le juste milieu et devint tellement extrémiste dans la recherche de la vertu qu’il fini par sombré dans l’hérésie en refusant Rome et le clergé comme représentant du Créateur.



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Vincent Diftain d'Embussy
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MessagePosté le: Mer Jan 11, 2017 11:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:

AGIOGRAFIA DI SAN GIROLAMO

Girolamo, anche se nato da parenti aristotelici, non fu battezzato prima del 360, data in cui partì a Roma con suo fratello Bonosio per continuare i suoi studi di retorica e di filosofia. Studiò sotto la guida di Elio Donato, un eccellente grammatico. Girolamo imparò anche il greco, senza avere ancora l'intenzione di studiare i testi fondamentali dell'aristotelismo.

Profondamente influenzato dal concilio di Nicea che aveva consolidato la predominanza di Christos "messia" su Aristotele "semplice profeta annunciatore", considerava, come numerosi credenti dell'epoca, lo studio di Aristotele come una perdita di tempo, poiché la sua profezia si era già realizzata.

Dopo alcuni anni a Roma, si recò con Bonosio in Gallia, e s'installò a Trèves "sulla riva per metà barbara del Reno". È lì che cominciò il suo percorso teologico e copiò numerosi testi popolari trovati durante le sue tappe.
Alcuni suoi amici lo accompagnarono quando cominciò, intorno al 373, un viaggio attraverso la Tracia e l'Asia Minore per recarsi al nord della Siria alla ricerca delle tracce lasciate dalle prime tribù dell'umanità.

Ad Antiochia, due suoi compagni morirono, ed egli stesso si ammalò più volte. Durante una di queste malattie (inverno 373 - 374) fece un sogno che lo distolse dai suoi studi pagani e lo convinse a consacrarsi a Dio. In questo sogno, ch'egli racconta in una delle sue lettere, gli fu rimproverato di essere "ciceroniano e non aristotelico". Sembra aver rinunciato per un lungo periodo dopo questo sogno a studiare i classici profani, ed essersi tuffato nello studio degli scritti di Aristotele e di Spyosu.
Insegnò poi ad Antiochia. Desiderando vivamente vivere da asceta e fare penitenza, passò qualche tempo nel deserto di Calcide, a sudovest di Antiochia, conosciuto col nome di "Tebaide di Siria", a causa del gran numero di eremiti che ci vivevano.

Pertanto, i suoi lavori sui testi di Aristotele gli fecero vedere le cose diversamente, e comprese molto in fretta che l'importante era vivere per gli altri e non fare penitenza permanentemente, come gli usi ereditati da Nicea spingevano i credenti a fare.
Un giorno, durante una riunione di teologi, gli fu detto che le sue posizioni rischiavano di allontanarlo dalla via di Christos; egli rispose:
Citation:
Che tale o talaltro dottore della Chiesa sia quasi eterodosso dopo il concilio di Nicea, poco importa! Non nego che loro possono esserlo testualmente, su alcuni argomenti. Ma ciò che importa è che abbiano ben interpretato le Scritture, spiegato i punti oscuri e svelato i misteri del Libro delle Virtù.


Al suo ritorno ad Antiochia, nel 378 o nel 379, fu ordinato dal vescovo Paolino. Poco tempo dopo, partì a Costantinopoli per continuare le sue ricerche ed è grazie a lui se Roma poté avere una biblioteca fra le più ricche di testi originali dall'inizio della nostra storia.
Il suo più grande orgoglio fu di trovare la versione originale del Credo e di aver scritto la prima Agiografia di Sant'Olcovidio e di portarla a Roma dove restò tre anni (382 - 385), in contatto diretto con il Papa Damaso e il capo della Chiesa di Roma.
Invitato al concilio del 382, che era stato convocato per mettere fine allo scisma di Antiochia, seppe rendersi indispensabile al Papa. Fra i vari compiti, si prese carico la revisione del testo della preistoria, sulla base del Nuovo Testo di Aristotele scoperto da lui. Questo lavoro lo occupò per molti anni, e costituisce la sua opera maggiore, pertanto una gran parte di questo lavoro fu nascosta poiché rimetterebbe in causa la predominanza di Christos mostrando quanto Aristotele era importante.

Pertanto esercitò un'influenza non trascurabile durante questi tre anni passati a Roma, notoriamente per il suo zelo a raccomandare l'ascetiscmo.
La critica virulenta che Girolamo faceva del clero regolare e la sua volontà di imporre Aristotele come profeta di uguale importanza di Christos, fecero nascere un'ostilità crescente nei suoi confronti da parte del clero e dei suoi sostenitori. Poco dopo la morte del suo protettore Damaso (10 dicembre 384), Girolamo lasciò Roma.

Nell'agosto del 385 tornò ad Antiochia, accompagnato da suo fratello Paoliniano e alcuni amici risoluti a lasciare il loro ambiente patrizio per finire i loro giorni in Terra Santa.
Assieme ai suoi amici, visitò Gerusalemme, Betlemme e i luoghi santi della Galilea, poi partirono in Egitto, dove vivevano i grandi modelli della vita ascetica. Ad Alessandria, scoprì il testo di Mhour e capì che la vita non doveva essere fatta di sofferenza per essere benedetta dall'Altissimo, ma al contrario la ricerca del piacere e della boulasse poteva essere ben più benefica che mortificarsi.
Si rituffò nei testi di Aristotele con uno sguardo nuovo, e distrusse i suoi ultimi lavori per rituffarsi nella loro ri-scrittura. Il suo motto era ora una frase di Oane: "Non cercate Dio nella sofferenza, ma ricordatevi di aver sofferto per non perderlo."
Capendo che bisognava educare le genti perché potessero vivere in società e in armonia, si mise a scrivere numerosi testi per aiutare il predicatore ad accompagnare i fedeli a meditare su dei testi che parlavano della vita, e di ciò che conoscevano: la vita quotidiana.

Vivendo grazie ai mezzi che gli venivano forniti dai suoi amici nobili, e aumentando continuamente il numero dei suoi libri, scrisse senza sosta. Dobbiamo a questi trentaquattro ultimi anni della sua esistenza la maggior parte della sua opera.
In seguito ai suoi scritti contro i Pelagiti (1), un deappello di sostenitori di questi ultimi invase il suo ritiro, vi appiccò il fuoco e costrinse Gerolamo a rifugiarsi in una fortezza vicina.

Perseguitato da numerose fazioni settarie della Chiesa, e temendo che i i sostenitori dell'opera di Christos facessero distruggere i testi di Aristotele, affidò tre buste di cuoio sigillate, contenenti dei testi originali di Aristotele così come il suo anello di Vescovo, a uno dei suoi amici soldati che doveva tornare dalla sua famiglia a Montecassino.
La data della sua morte ci è nota grazie alla cronaca di Prospero d'Aquitania. I suoi resti, sepolti all'inizio a Gerusalemme, si dice siano stati poi trasferiti nella chiesa Santa Maria Maggiore a Roma.


(1)Pelagio, monaco bretone giudicato eretico dalla Chiesa, nato nel IV secolo.
Pelagio minimizzava il ruolo della confessione ed esaltava il primato e l'efficacia delo sforzo personale nella pratica della virtù.
Pelagio pretendeva che l'uomo potesse, per il suo solo libero arbitrio, astenersi dal peccato, negava la necessità della confessione e del battesimo.
In effetti, per il monaco bretone gli umani, avendo il libero arbitrio, fanno la scelta di peccare e non devono quindi essere perdonati in seguito, solo Dio è giudice e Lui solo può, dunque, perdonare.
Predica quindi una regola di vita che miri a fare di questa "un'élite della virtù", ma la sua intransigenza e la sua rigidità lo spinsero a dimenticare il giusto mezzo, e divenne talmente estremista nella ricerca della virtù che finì per affondare nell'eresia rifiutando Roma e il clero come rappresentanti del Creatore.

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Feliciana Maria Colonna
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MessagePosté le: Lun Jan 29, 2018 12:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:

    Hagiografía San Jerónimo

    Jerónimo, aunque nacido de padres aristotélicos, no fue bautizado hasta el 360, cuando fue a Roma con su hermano Bonosus para continuar sus estudios de retórica y de filosofía. Estudió bajo la dirección de Elio Donato, un buen gramático. Jerónimo también aprendió griego sin intención de estudiar los textos fundadores de aristotelismo.

    Muy influenciado por el Concilio de Nicea que se había sentado el predominio de Christos "mesías" en Aristóteles "simple profeta y anunciador." Consideraba, como muchos creen de esta época, el estudio de Aristóteles como una pérdida de tiempo ya que su profecía fue ya realizada.

    Después de algunos años en Roma, fue con Bonosus a Galia, y se instaló en Tréveris "sobre la orilla a la mitad bárbara del Rin ". Allí comenzó su carrera teológica y copiados, muchos textos populares y religiosas que se encuentran en sus pasos
    Algunos de sus amigos lo acompañaron cuando empezó, hacia 373, un viaje a través de la Tracia y Asia Menor para viajar al norte de Siria en busca de las huellas dejadas por la primera tribu de la humanidad.

    En Antioquía, dos de sus compañeros murieron, y él mismo cayó enfermo varias veces. Durante una de estas enfermedades (invierno 373-374) tuvo un sueño que le desvió de los estudios profanos y le instó a dedicarse a Dios. En este sueño, que cuenta en una de sus cartas, fue criticado por ser "ciceroniano, y no aristotélico". Él parece haber renunciado durante mucho tiempo después de este sueño para estudiar los clásicos profanos, y haberse sumido en el de escrito de Aristóteles y Spyosu.
    Enseñó luego en Antioquía. Deseando vivir en penitencia altamente ascética, pasó algún tiempo en el desierto de Calcis, al suroeste de Antioquia, conocida bajo el nombre de la "Tebaida de Siria", debido al gran número de ermitaños que vivían allí.

    Sin embargo sus trabajos sobre los textos de Aristóteles le hizo ver las cosas de otro modo, y él comprendió muy rápidamente que lo importante era vivir para los demás y no de hacer penitencia permanentemente como las costumbres heredadas de Nicea empujaban a los creyentes a hacerlo.
    Un día en el momento de una reunión de teólogos, se le dijo que sus posiciones corrían peligro de apartarle de la vía de Christos, respondió:

    Citation:

      ¡Qué tal o tal doctor de la iglesia sea casi heterodoxo desde el concilio de Nicea, poca importancia tiene! No niego que pueden textualmente el ser sobre ciertos sujetos. Pero lo que importa es que interpretaron bien las Escrituras, explicaron las oscuridades de los profetas y reveló los misterios del Libro de las Virtudes.



    A su regreso a Antioquía en el año 378 o 379, fue ordenado por el obispo Paulino. Poco después, fue a Constantinopla para continuar su investigación, y eso es gracias a él que Roma pueda tener una biblioteca de las más ricas en los textos originales del comienzo de nuestra historia.
    Su mayor orgullo fue encontrar la versión original del Credo y de haber escrito la primera hagiografía de San Olcovidius y traerlo a Roma donde permaneció durante tres años (382-385), en contacto directo con el Papa Dámaso y cabeza de la Iglesia de Roma.
    Invitado al concilio de 382, que fue convocado para poner fin al cisma de Antioquía, se hizo indispensable para el papa. Entre otras cosas, se encargó de la revisión del texto de la prehistoria, teniendo como base el Nuevo texto de Aristóteles redescubierto por él. Este trabajo lo ocupó durante muchos años, y constituye su obra mayor, sin embargo una gran parte de este trabajo fue escondido para desafiar el dominio de Christos mostrando cómo Aristóteles era importante.

    Sin embargo ejerció una influencia no despreciable en el curso de estos tres años pasados en Roma, particularmente por su celo que predica el ascetismo
    la crítica virulenta que hacía Jerónimo del clero regular y su voluntad de imponer a Aristóteles como profeta la misma importancia que Crhistos, originaron una hostilidad creciente respecto a él por parte del clero y por parte de sus partidarios. Poco tiempo después de la muerte de su protector Dámaso (el 10 de diciembre 384), Jerónimo dejó Roma.

    En agosto de 385, regresó a Antioquía, acompañado por su hermano Paulinianus y algunos amigos resueltos dejar a sus allegados patricios para acabar sus días en la Tierra Santa.
    Sus amigos y él visitaron Jerusalén, Belén y los lugares santos de Galilea, luego se fueron a Egipto, dónde vivían los grandes modelos de la vida ascética. En Alejandría, descubrió los textos de Mhour y comprendió que la vida no debía ser hecha de sufrimiento para ser bendecido por el Altísimo, muy al contrario la búsqueda del placer y del jolgorio podría ser mucho más benéfico que mortificarse.
    Se volvió a sumergir en los textos de Aristóteles con un nuevo ojo, y destruyó sus últimos trabajos para volverse a sumergir en su reescritura. Su divisa era ahora una frase de Oane " no busque a Dios en el sufrimiento, sino acuérdese usted de haber sufrido para no perderle".
    Comprendiendo que había que educar a la gente para que puedan vivir socialmente y en armonía él se echó a escribir numerosos textos para ayudar al predicador para llevar a los fieles a meditar sobre textos que hablaban de la vida, y de lo que ellos conocían: su vida de todo los días.

    Viviendo gracias a los medios que le proporcionaron sus nobles amigos, y que aumentaban sin cesar el número de sus libros, escribió sin cesar. Debemos a estos treinta y cuatro últimos años de su existencia la mayor parte de su obra.
    Siguiendo a sus escritos contra los Pelagianos (1), una tropa de partidarios de estos últimos invadió su retiro, prendió fuego y obligó a Jerónimo a refugiarse en una fortaleza cercana.

    Perseguido por numerosas facciones sectarias de la Iglesia, y el miedo de mantener de todo Christos hace destruir los textos de Aristóteles él confió tres sobres de cuero sellados que contienen los textos originales de Aristóteles así como su anillo de Obispo a uno de sus amigos soldado que debía volver a su familia a Monte Cassin.
    La fecha de su muerte nos es conocida por la crónica de Próspero de Aquitania. Sus restos, enterrados primero en Jerusalén, luego han sido trasladados, dicen, a la iglesia de Santa María la Mayor en Roma.

    (1) Pelagio, monje bretón juzgado herético por la Iglesia, nacido en el siglo IV.
    Pelagio minimizaba el papel de confesión y exaltaba la primacía y la eficacia del esfuerzo personal en la práctica de la virtud.
    Pelagio que pretendía que el hombre podía, por su solo libre albedrío abstenerse del pecado, negaba la necesidad de la confesión y del bautismo.
    En efecto, para el monje bretón los humanos que tienen el libre albedrío eligen pecar y por lo tanto no tiene que ser perdonado más tarde pues, sólo Dios es juez y Él sólo puede pues perdonar.
    Él predica entonces una regla de vida con el fin de hacerla " una élite de la virtud ", pero su intransigencia y su rigidez lo empujó a olvidar el medio justo y se volvió tan extremista en la búsqueda de la virtud que él finalmente se hundió en la herejía negando Roma y el clero como el representante del Creador.


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His Excellency NReis Ribeiro de Sousa Coutinho | Archbishop of Braga | Vice-Primate of the Kingdom of Portugal | General Secretary of the Roman Registers | Writer of the Saint Office | Translator on Villa San Loyats



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MessagePosté le: Lun Jan 29, 2018 12:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:

    Hagiografia Sant Jeroni

    Jeroni, encara que nascut de pares aristotèlics, no va ser batejat fins al 360, quan va ser a Roma amb el seu germà Bonosus per a continuar els seus estudis de retòrica i de filosofia. Va estudiar sota la direcció d'Elio Donato, un bon gramàtic. Jeroni també va aprendre grec sense intenció d'estudiar els textos fundadors d'aristotelisme.

    Molt influenciat pel Concili de Nicea que s'havia assentat el predomini de Christos "mesías" en Aristòtil "simple profeta i anunciador". Considerava, com molts creuen d'esta època, l'estudi d'Aristòtil com una pèrdua de temps ja que la seua profecia va ser ja realitzada.

    Després d'alguns anys a Roma, va ser amb Bonosus a Gàl·lia, i es va instal·lar a Trèveris "sobre la vora a la mitat bàrbara del Rin". Allí va començar la seua carrera teològica i copiats, molts textos populars i religioses que es troben en els seus passos
    Alguns dels seus amics el van acompanyar quan va començar, cap a 373, un viatge a través de la Tràcia i Àsia Menor per a viatjar al nord de Síria a la cerca de les empremtes deixades per la primera tribu de la humanitat.

    A Antioquia, dos dels seus companys van morir, i ell mateix va caure malalt diverses vegades. Durant una d'estes malalties (hivern 373-374) va tindre un son que li va desviar dels estudis profans i li va instar a dedicar-se a Déu. En este son, que compte en una de les seues cartes, va ser criticat per ser "ciceroniano, i no aristotélico". Ell pareix haver renunciat durant molt de temps després d'este son per a estudiar els clàssics profans, i haver-se sumit en el d'escrit d'Aristòtil i Spyosu.
    Va ensenyar després a Antioquia. Desitjant viure en penitència altament ascètica, va passar algun temps en el desert de Calcis, al sud-oest d'Antiòquia, coneguda davall el nom de la "Tebaida de Siria", a causa del gran nombre d'ermitans que vivien allí.

    No obstant això els seus treballs sobre els textos d'Aristòtil li va fer veure les coses d'una altra manera, i ell va comprendre molt ràpidament que l'important era viure per als altres i no de fer penitència permanentment com els costums heretades de Nicea espentaven als creients a fer-ho.
    Un dia en el moment d'una reunió de teòlegs, se li va dir que les seues posicions corrien perill d'apartar-li de la via de Christos, va respondre:

    Citation:

      Què tal o tal doctor de l'església siga quasi heterodox des del concili de Nicea, poca importància té! No negue que poden textualment el ser sobre certs subjectes. Però el que importa és que van interpretar bé les Escriptures, van explicar les foscors dels profetes i va revelar els misteris del Llibre de les Virtudes.



    Al seu retorn a Antioquia l'any 378 o 379, va ser ordenat pel bisbe Paulí. Poc després, va ser a Constantinoble per a continuar la seua investigació, i això és gràcies a ell que Roma puga tindre una biblioteca de les més riques en els textos originals del començament de la nostra història.
    El seu major orgull va ser trobar la versió original del Credo i d'haver escrit la primera hagiografia de Sant Olcovidius i portar-ho a Roma on va romandre durant tres anys (382-385) , en contacte directe amb el Papa Damas i cap de l'Església de Roma.
    Invitat al concili de 382, que va ser convocat per a posar fi al cisma d'Antioquia, es va fer indispensable per al papa. Entre altres coses, es va encarregar de la revisió del text de la prehistòria, tenint com a base el Nou text d'Aristòtil redescobert per ell. Este treball ho va ocupar durant molts anys, i constituïx la seua obra major, no obstant això una gran part d'este treball va ser amagat per a desafiar el domini de Christos mostrant com Aristòtil era important.

    No obstant això va exercir una influència no menyspreable en el curs d'estos tres anys passats a Roma, particularment pel seu zel que predica l'ascetisme la crítica virulenta que feia Jeroni del clero regular i la seua voluntat d'imposar a Aristòtil com a profeta la mateixa importància que Crhistos, van originar una hostilitat creixent respecte a ell per part del clero i per part dels seus partidaris. Poc de temps després de la mort del seu protector Dámaso (el 10 de desembre 384) , Jeroni va deixar Roma

    A l'agost de 385, va tornar a Antioquia, acompanyat pel seu germà Paulinianus i alguns amics resolts deixar els seus acostats patricis per a acabar els seus dies en la Terra Santa.
    Els seus amics i ell van visitar Jerusalem, Betlem i els llocs sants de Galilea, després se'n van anar a Egipte, on vivien els grans models de la vida ascètica.
    A Alexandria, va descobrir els textos de Mhour i va comprendre que la vida no havia de ser feta de patiment per a ser beneït per l'Altíssim, molt al contrari la cerca del plaer i del sarau podria ser molt més benèfic que mortificar-se.
    Es va tornar a submergir en els textos d'Aristòtil amb un nou ull, i va destruir els seus últims treballs per a tornar-se a submergir en el seu reescriptura. La seua divisa era ara una frase d'Oane " no busque Déu en el patiment, sinó acorde's vosté d'haver patit per a no perderle".
    Comprenent que calia educar la gent perquè puguen viure socialment i en harmonia ell es va tirar a escriure nombrosos textos per a ajudar el predicador per a portar als fidels a meditar sobre textos que parlaven de la vida, i del que ells coneixien: la seua vida de tot els dies.

    Vivint gràcies als mitjans que li van proporcionar els seus nobles amics, i que augmentaven sense parar el nombre dels seus llibres, va escriure sense parar. Devem a estos trenta-quatre últims anys de la seua existència la major part de la seua obra. Seguint als seus escrits contra els Pelagians (1) , una tropa de partidaris d'estos últims va invadir el seu retir, va agarrar foc i va obligar Jeroni a refugiar-se en una fortalesa pròxima.

    Perseguit per nombroses faccions sectàries de l'Església, i la por de mantindre de tot Christos fa destruir els textos d'Aristòtil ell va confiar tres sobres de cuiro segellats que contenen els textos originals d'Aristòtil així com el seu anell de Bisbe a un dels seus amics soldat que havia de tornar a la seua família a Muntanya Cassin.
    La data de la seua mort ens és coneguda per la crònica de Pròsper d'Aquitània. Els seus restes, soterrats primer a Jerusalem, després han sigut traslladats, diuen, a l'església de Santa Maria la Major a Roma.

    (1) Pelagi, monjo bretó jutjat herètic per l'Església, nascut en el segle IV. Pelagi minimitzava el paper de confessió i exaltava la primacia i l'eficàcia de l'esforç personal en la pràctica de la virtut.
    Pelagi que pretenia que l'home podia, pel seu només lliure albir abstindre's del pecat, negava la necessitat de la confessió i del baptisme.
    En efecte, per al monjo bretó els humans que tenen el lliure albir trien pecar i per tant no ha de ser perdonat més tard perquè, només Déu és jutge i Ell només pot perquè perdonar.
    Ell predica llavors una regla de vida a fi de fer-la " una elit de la virtut", però la seua intransigència i la seua rigidesa ho va espentar a oblidar el mig just i es va tornar tan extremista en la busca de la virtut que ell finalment es va afonar en l'heretgia negant Roma i el clero com el representant del Creador.


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His Excellency NReis Ribeiro de Sousa Coutinho | Archbishop of Braga | Vice-Primate of the Kingdom of Portugal | General Secretary of the Roman Registers | Writer of the Saint Office | Translator on Villa San Loyats



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Kalixtus
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MessagePosté le: Lun Jan 27, 2020 8:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
HAGIOGRAPHIE DES HEILIGEN HIERONYMUS

Hieronymus, obwohl von aristotelischen Eltern geboren, wurde erst 360 getauft, als er mit seinem Bruder Bonosus nach Rom ging, um sein Studium der Rhetorik und Philosophie fortzusetzen. Er studierte bei Aelius Donat, einem hervorragenden Grammatiker. Hieronymus lernte auch Griechisch, ohne die Absicht zu haben, die Gründungstexte des Aristotelismus zu studieren.

Er wurde stark vom Konzil von Nicäa beeinflusst, das die Vorherrschaft von Christos als "Messias" über Aristoteles als "einfacher Prophet und Verkünder" festgestellt hatte. Er hielt, wie viele Gläubige jener Zeit, das Studium des Aristotelismus für Zeitverschwendung, da sich seine Prophezeiung bereits erfüllt hatte.

Nach einigen Jahren in Rom ging er mit Bonosus nach Gallien und ließ sich in Trier "am halbbarbarischen Rheinufer" nieder. Dort begann er seine theologische Reise und kopierte viele populäre und religiöse Texte, die er während seiner Aufenthalte dort fand.
Einige seiner Freunde begleiteten ihn, als er um 373 eine Reise durch Thrakien und Kleinasien nach Nordsyrien begann, auf der Suche nach den Spuren, die die ersten Stämme der Menschheit hinterlassen hatten.

In Antiochia starben zwei seiner Gefährten, und er selbst wurde mehrmals krank. Während einer dieser Krankheiten (Winter 373 - 374) hatte er einen Traum, der ihn vom weltlichen Studium ablenkte und ihn drängte, sich Gott zu weihen. In diesem Traum, von dem er in einem seiner Briefe berichtet, wurde ihm vorgeworfen, er sei "Ciceronianer, nicht Aristot". Nach diesem Traum scheint er lange Zeit auf das Studium der weltlichen Klassiker verzichtet und sich in das Studium der Schriften von Aristoteles und Spyosu gestürzt zu haben.
Anschließend lehrte er in Antiochia. Mit dem starken Wunsch, als Asket zu leben und Buße zu tun, verbrachte er einige Zeit in der Wüste von Chalkis, südwestlich von Antiochia, die wegen der großen Zahl von Einsiedlern, die dort lebten, als "Thebaid von Syrien" bekannt ist.

Seine Arbeit an Aristoteles' Texten ließ ihn jedoch die Dinge anders sehen, und er verstand schnell, dass es wichtig war, füreinander zu leben und nicht ständig Buße zu tun, wie es die von Nicäa ererbten Bräuche den Gläubigen auferlegten.
Eines Tages wurde ihm bei einem Treffen von Theologen gesagt, dass seine Positionen Gefahr liefen, ihn vom Weg des Christos abzubringen, und er antwortete:

Citation:
Es spielt keine Rolle, dass der eine oder andere Kirchenvater seit dem Konzil von Nizäa fast heterodox ist! Ich leugne nicht, dass sie es bei bestimmten Themen sein können. Aber was zählt, ist, dass sie die Heilige Schrift gut interpretieren, die Unklarheiten der Propheten erklären und die Geheimnisse des Buches der Tugenden offenbaren.


Bei seiner Rückkehr nach Antiochien, im Jahr 378 oder 379, wurde er von Bischof Paulin ordiniert. Kurz darauf ging er nach Konstantinopel, um seine Forschungen fortzusetzen, und es ist ihm zu verdanken, dass Rom über eine der reichsten Bibliotheken mit Originaltexten aus den Anfängen unserer Geschichte verfügt.
Sein größter Stolz war es, die Originalfassung des Glaubensbekenntnisses zu finden und die erste Hagiographie des heiligen Olcovidius geschrieben zu haben und sie nach Rom zu bringen, wo er sich drei Jahre lang (382-385) in direktem Kontakt mit Papst Damaskus und dem Oberhaupt der Kirche von Rom aufhielt.
Eingeladen zum Konzil von 382, das einberufen wurde, um die Spaltung Antiochiens zu beenden, wusste er sich für den Papst unentbehrlich zu machen. Unter anderem übernahm er die Überarbeitung des prähistorischen Textes auf der Grundlage des von ihm wiederentdeckten Neuen Aristoteles-Textes. Dieses Werk beschäftigte ihn viele Jahre lang und war sein Hauptwerk, doch vieles davon blieb verborgen, weil es die Vorherrschaft von Christos in Frage stellte, indem es zeigte, wie wichtig Aristoteles war.

Dennoch übte er während seiner drei Jahre in Rom einen bedeutenden Einfluss aus, insbesondere durch seinen Eifer, für Askese einzutreten.
Hieronymus' heftige Kritik am regulären Klerus und sein Wunsch, Aristoteles als einen für Christos gleichberechtigten Propheten durchzusetzen, führten zu einer wachsenden Feindseligkeit des Klerus und seiner Anhänger ihm gegenüber. Kurz nach dem Tod seines Beschützers Damaskus (10. Dezember 384) verließ Hieronymus Rom.

Im August 385 kehrte er in Begleitung seines Bruders Paulinianus und einiger Freunde, die entschlossen waren, ihr patrizisches Gefolge zu verlassen, um ihre Tage im Heiligen Land zu beenden, nach Antiochia zurück.
Er und seine Freunde besuchten Jerusalem, Bethlehem und die heiligen Stätten in Galiläa und gingen dann nach Ägypten, wo die großen Vorbilder des asketischen Lebens lebten. In Alexandria entdeckte er die Texte der Mhour und verstand, dass das Leben nicht aus Leiden bestehen sollte, um vom Allerhöchsten gesegnet zu werden, im Gegenteil, die Suche nach Vergnügen und die Suche nach Glück könnten viel segensreicher sein als die Kasteiung.
Er stürzte sich mit einem neuen Blick auf die Texte des Aristoteles und zerstörte seine letzten Werke, um sich wieder in deren Neuschreibung zu stürzen. Sein Motto war nun ein Satz, der Oane, "Sucht Gott nicht im Leiden, sondern denkt daran, zu leiden, damit ihr ihn nicht verliert".
Er verstand, dass die Menschen gebildet werden mussten, damit sie sozial und in Harmonie leben konnten, und begann, viele Texte zu schreiben, die den Predigern helfen sollten, die Gläubigen dazu zu bringen, über Texte zu meditieren, die über das Leben und über das, was sie wussten: ihren Alltag, sprachen.

Er lebte mit den Mitteln, die ihm seine edlen Freunde zur Verfügung stellten, und erhöhte ständig die Zahl seiner Bücher, die er unaufhörlich schrieb. Die letzten vierunddreißig Jahre seines Lebens sind für den größten Teil seiner Arbeit verantwortlich.
Nach seinen Schriften gegen die Pelagier(1) drang eine Truppe von Anhängern der Pelagier in seinen Rückzugsort ein, setzte ihn in Brand und zwang Hieronymus, in eine nahe gelegene Festung zu flüchten.

Verfolgt von zahlreichen sektenartigen Gruppierungen der Kirche und in der Angst, dass diejenigen, die das Allerheiligste halten, die Texte des Aristoteles vernichten lassen könnten, vertraute er drei versiegelte Lederumschläge mit Originaltexten des Aristoteles und seinem Bischofsring einem befreundeten Soldaten an, der zu seiner Familie auf dem Mont Cassin zurückkehren sollte.
Das Datum seines Todes ist uns aus der Chronik von Prosper of Aquitaine bekannt. Seine sterblichen Überreste, die zunächst in Jerusalem begraben wurden, sollen dann in die Kirche der Heiligen Maria Majestät in Rom überführt worden sein.



(1) Pelagius, ein bretonischer Mönch, der von der Kirche als ketzerisch angesehen wird, geboren im 4. Jahrhundert.
Pelagius minimierte die Rolle des Bekenntnisses und hob den Vorrang und die Wirksamkeit der persönlichen Anstrengung bei der Ausübung der Tugend hervor.
Pelagius, der behauptete, der Mensch könne sich allein aus freiem Willen der Sünde enthalten, verneinte die Notwendigkeit von Beichte und Taufe.
Für den bretonischen Mönch entscheiden sich Menschen mit freiem Willen für die Sünde und müssen daher nicht hinterher vergeben werden, nur Gott ist Richter und kann daher allein vergeben.
Er predigte dann eine Lebensregel, um sie "zu einer Elite der Tugend" zu machen, aber seine Unnachgiebigkeit und Starrheit drängte ihn dazu, die goldene Mitte zu vergessen, und wurde bei der Suche nach der Tugend so extrem, dass er schließlich in der Ketzerei versank, indem er Rom und den Klerus als Vertreter des Schöpfers ablehnte.

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