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Pré-Histoire II - Le travail

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Dim Mai 28, 2006 10:10 pm    Sujet du message: Pré-Histoire II - Le travail Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la Préhistoire, revu et corrigé : > ICI <

    _____________________________________________________________



Citation:




    Livre de la Pré-Histoire
    Chapitre II - « Le travail »



    1 Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour Dieu et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé de Dieu qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

    2 Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure.

    3 Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer.

    4 De la mer, des rivières et des lacs, ils pêchèrent du poisson. Et leur intelligence s’en trouva grandie. Ils inventèrent la barque et les poissons se firent plus nombreux encore entre leurs mains. Parfois, certains d’entre eux se réveillaient un matin sous une barque. Ils priaient alors Dieu de ce cadeau. Ils élevèrent des vaches, des cochons et des moutons dans leur pâturage, prenant soin de ces créatures qui leur avait été confiées par Dieu. Ils les nourrirent et ces créatures devinrent plus grasses.

    5 Le boucher prépara la viande à partir des carcasses de ces créatures. Pour cela, ils inventèrent le couteau, instrument permettant de séparer les chairs les unes des autres. La viande qu’ils en tirèrent les nourrissait, mais ils se sentaient surtout plus forts après en avoir consommé. Des vaches, ils prirent également le lait, doux nectar sans égal.

    6 Ils tondirent les moutons et en prélevèrent la laine. Ils en récupérèrent la peau pour en faire du cuir. Le tisserand lia la laine et le cuir pour en faire des vêtements, qui les protégeaient du vent et assuraient la décence de leur apparence. La nature leur donnant accès à tout ce qu’ils pouvaient espérer, ils durent inventer des tonneaux, où ils purent entreposer les fruits de leur labeur.

    7 Pour se protéger lorsque les fenêtres du ciel s’ouvraient, ils créèrent les maisons et y habitèrent. Ils les aménagèrent avec des lits, des bougies, des tables, des chaises... et tout ce qui pouvait améliorer le confort de leur vie. Pour cela, le mineur préleva la pierre et le fer dans les mines. Et le bûcheron coupa le bois des arbres. Pour faciliter ce travail, le forgeron modela le fer et le bois pour en forger des outils, tels que les haches ou les couteaux.

    8 Parfois, Dieu contribuait à cet âge de bonheur en donnant à ceux qui savaient aimer le monde de la nourriture, qu’ils n’avaient alors pas à produire. Parfois également, ils les encourageait en les rendant temporairement plus forts, plus intelligents ou plus charismatique. Et le dimanche, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats, autour de la tombe d’Oane, pour prier ensemble Celui qui les aimait tant. En effet, ils n’avaient pas encore de clercs, car n’en avaient pas encore l’utilité, étant en communion directe avec Dieu.

    Spyosu


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Ubaldo



Inscrit le: 19 Aoû 2006
Messages: 3218

MessagePosté le: Sam Juil 28, 2007 4:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Prehistoria II - El trabajo

El tiempo haciendo su obra, los hombres y a las mujeres se volvieron cada vez más numerosos, manteniendo su amor para Dios y rechazando en la sombra la Criatura sin Nombre. Ella alimentaba cada día un poco más su amargura y su cólera hacia este pueblo tan querido por Dios que se le había cogido su plaza de reina de la Creación. Los hombres y las mujeres vivían despreocupados mientras que en la sombra, su enemigo preparaba su venganza.

Dios había pedido a los hombres y a las mujeres trabajar para garantizar su subsistencia. Este duro trabajo se los alejaba así de la acedia. Y los hombres y las mujeres sabían ser inventivos, ya que Dios los habían concebido así. Recogían lo que El había colocado para ellos en la naturaleza. Se pusieron a controlar estos recursos con el fin de garantizar su subsistencia y su vida se volvió mejor.

Tomaron el trigo que crecía en la naturaleza y los cultivaron en sus campos. El molinero transformó el trigo en harina en su molino. El panadero lo cocinó en su horno para hacer el pan. Tomaron el maíz que crecía la naturaleza y lo cultivaron en sus campos. Tomaron las verduras que crecían en la naturaleza y las cultivaron en sus huertas. Recogieron los frutos que se encontraban en algunos árboles y así pudieron alimentarse. El placer aportado por las verduras y los frutos los volvía más agradable a codear con.

De los mares, ríos y lagos, pescaron pescado. Y su inteligencia se encontró aumentada. Inventaron la barca y los pescados se hicieron más numeroso aún entre sus manos. A veces, algunos de ellos se despertaban una mañana bajo una barca. Rezaban después a Dios de este regalo. Criaron vacas, cerdos y ovejas en su pasto, cuidando estas criaturas que les habían sido confiadas por Dios. Las alimentaron y estas criaturas se volvieron más gordas.

El carnicero preparó la carne a partir de las carcasas de estas criaturas. Para eso, inventaron el cuchillo, instrumento permitiendo separar las carnes las unas de los otras. La carne que extrajeron los alimentaba, pero se sentían sobre todo más fuertes después de haberla consumida. De las vacas, tomaron también la leche, suave néctar sin igual.

Esquilaron las ovejas y tomaron la lana. Recuperaron la piel para hacer cuero. El tejedor vinculó la lana y el cuero para hacer prendas de vestir, que los protegían del viento y garantizaban la decencia de su aparición. La naturaleza dándoles acceso a todo lo que podían desear tuvieron que inventar barriles, donde pudieron almacenar los frutos de su trabajo.

Para protegerse cuando las ventanas del cielo se abrían, crearon casas y vivieron adentro. Los arreglaron con camas, velas, mesas, sillas... y todo lo que podía mejorar la comodidad de su vida. Para eso, el minero tomó la piedra y el hierro en las minas. Y el leñador cortó la lena de los árboles. Para facilitar este trabajo, el herrero modeló el hierro y la madera para forjar herramientas, como las hachas o los cuchillos.

A veces, Dios contribuía a este edad de felicidad dando comida a los que sabían amar el mundo, que no tenían entonces que producir. A veces también, les animaba volviéndolos temporalmente más fuertes, más inteligentes o más carismáticos. Y el domingo, antes de la comida, se reunían en medio de sus habitantes, en torno de la tumba de Oane, para rezar juntos El que los quería tanto. En efecto, no tenían aún clérigos, ya que no tenían aún la utilidad, siendo en comunión directa con Dios.
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Sjnoel



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MessagePosté le: Mar Avr 15, 2008 10:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De Voor-Gescheidenis II: het Werk

Terwijl ze hun werk deden, werden de mannen en de vrouwen steeds talrijker, ze behielden hun liefde voor God en hielden het Wezen zonder Naam in de schaduw. Deze voedde elke dag een beetje zijn bitterheid en woede tegen het volk dat zo door God werd geliefd en die zijn plek had ingenomen als heerser van de Schepping. De mannen en vrouwen leefden zonder zorgen terwijl in de schaduw, hun vijand zijn wraak aan het voorbereiden was.

God had de mannen en vrouwen opgedragen te werken om hun overleving veilig te stellen. Dit harde werk weerhield hen van apathie. En de mannen en vrouwen konden inventief zijn, omdat God hen zo had geschapen. Zij verzamelde wat Hij voor hem aan de natuur had geschonken. Zij leerden de bronnen te organiseren en controleren om in hun onderhoud te voorzien en hun leven te verbeteren.

Ze namen het graan dat in de natuur groeide en cultiveerde het voor hun velden. De molenaar vermaalde het graan in zijn molen tot meel. De bakker bakte dit in zijn oven tot brood. Ze namen de maïs dat in de natuur groeide en cultiveerde dat ook voor hun velden. Ze namen de groenten uit de natuur en cultiveerden die in hun moestuinen. Ze verzamelde de vruchten uit de bomen en struiken en voedden zich met deze. De vreugde die hen door de groenten en vruchten ten deel viel, maakte hen plezierige in de omgang.

In de zeeën, rivieren en meren, vingen ze vissen waardoor hun intelligentie werd verhoogd. Ze vonden een boot uit waardoor hun visvangst werd verbeterd. Soms werd er in de ochtend iemand wakker onder een boot. Ze dankten God voor dit geschenk aan hen. Ze hielden koeien, varkens en schapen in hun weiden, en verzorgden deze wezens die door God aan hen waren toevertrouwd. Ze voedde ze en ze werden vetter en vetter.

De slager prepareerde het vlees uit de karkassen van deze beesten. Daartoe maakten ze een mes, waarmee ze het vlees in stukken konden snijden. Ze voedde zich met het vlees en ze voelden zich sterker worden nadat ze het gegeten hadden. Van de koeien kregen ze ook melk, een heerlijke zachte nectar zonder gelijke.

Ze schoren de schapen en maakten er wol van. Van de huiden maakten ze leer. Van de wol en het leer maakten ze kleding die hen beschermde tegen de wind en hen een decent uiterlijk gaf. Omdat de natuur hen alles gaf wat ze zich konden wensen, moesten ze vaten maken, zodat ze alle vruchten van hun werk konden bewaren.

Om zichzelf te beschermen als de hemel openbarstte, bouwden ze voor zichzelf huizen om in te wonen. Deze richtte ze in met bedden, tafels, stoelen, kaarsen……en alles wat het comfort van hun leven kon verhogen. Daarvoor delfden de mijnwerkers steen en ijzer uit de mijnen en de houthakkers hakten bomen om. Om hun werk te vergemakkelijken smolt de smid het ijzer en bewerkte het hout om werktuigen voor hen te smeden, zoals bijlen en messen.

Soms droeg God extra bij aan al deze vreugde, door diegene die gelukkig waren met deze wereld voedsel te schenken dat ze niet hoefden te produceren. Soms moedigde Hij hen ook aan door ze meer charismatisch, sterker of intelligent te maken. En elke Zondag, voor de maaltijd, ontmoette ze elkaar in het midden van hun stad, rondom de tombe van Oane, om samen te bidden tot Hem die zo van hen hield. Ze hadden inderdaad nog geen priesters, omdat ze die nog niet nodig hadden, want zij stonden in direct contact met God.

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Inorn



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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2008 6:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Vor-Geschichte] II. Die Arbeit


Mit der Zeit wurden Männer und Frauen immer zahlreicher; sie blieben in der Liebe zu Gott und lehnten Die Kreatur Ohne Namen in der Finsternis ab. In ihr wuchs täglich mehr die Verbitterung und die Wut gegen dieses Volk, das nur GOTT liebte – GOTT, der ihm die Herrschaft über die Schöpfung genommen hatte. Männer und Frauen lebten unbekümmert, während die Finsternis, ihr Feind, ihre Rache vorbereitete.

GOTT hatte festgelegt, daß Männer und Frauen zum Lebensunterhalt arbeiten mußten. Die schwere Arbeit hielt sie auch vom Müßiggang fern. Und die Männer und Frauen waren erfinderisch, denn GOTT hatte sie so erdacht. Sie ernteten, was ER ihnen in die Natur gegeben hatte. Sie übernahmen die Kontrolle über diese Ressourcen, um ihr Überleben zu sichern, und ihr Leben konnte besser nicht sein.

Sie nahmen den Weizen, der in der Natur wuchs, und kultivierten ihn auf ihren Feldern. Der Müller machte in seiner Mühle aus dem Weizen Mehl. Der Bäcker buk es in seinem Ofen zu Brot. Sie nahmen den Mais, der in der Natur wuchs, und kultivierten ihn auf ihren Feldern. Sie nahmen das Gemüse, das in der Natur wuchs, und kultivierten es in ihren Gärten. Sie sammelten die Früchte, die sie auf einigen Bäumen fanden, und konnten sich davon ernähren. Die Freude, die ihnen die Gemüse und die Früchte brachten, machte es ihnen angenehmer, miteinander in Kontakt zu kommen.

Aus dem Meer, den Flüssen und Seen fischten sie Fisch. Und so wuchs ihre Intelligenz. Sie erfanden das Boot, und der Fische Zahl in ihren Händen wurde noch größer. Manchmal wachten einige von ihnen unter einem Boot auf. Sie priesen den HERRN ob dieses Geschenks. Sie mästeten Schweine, züchteten Kühe und Schafe auf ihren Weiden – sie kümmerten sich um die Kreaturen, die GOTT ihnen anvertraut hatte. Sie fütterten sie, und diese Kreaturen wurden fetter.

Der Fleischer bereitete das Fleisch aus den Karkassen dieser Kreaturen zu. Zu diesem Zweck erfanden sie das Messer, ein Werkzeug, das ermöglichte, Fleischstücke voneinander zu trennen. Das Fleisch, das sie so herausbekamen, ernährte sie, dabei fühlte man sich sofort stärker, nachdem man es genossen hatte. Von den Kühen molken sie obendrein Milch, einen milden Nektar ohnegleichen.

Sie schoren die Schafe und nahmen ihnen die Wolle. Sie nahmen ihnen die Haut, um daraus Leder zu gerben. Der Weber und Schneider verarbeitete die Wolle und das Leder zu Kleidung, die sie vor Wind schützte und sicherstellte, daß sie in ihrem Erscheinungsbild den Anstand wahren konnten. Die Natur gewährte ihnen den Zugang zu allem, was sie sich vorstellen konnten, sie mußten nur Behältnisse erfinden, in denen sie die Früchte ihrer Arbeit lagern konnten.

Um sich gegen die Unbill des Wetters zu schützen, bauten sie Häuser, in denen sie wohnten. Sie richteten sie mit Bettstätten, Kerzenleuchtern, Tischen, Stühlen ein ... mit allem, womit sie den Komfort ihres Lebens verbessern konnten. Zu diesem Zweck förderte der Bergarbeiter Stein und Eisenerz aus Brüchen und Bergwerken. Und der Holzfäller schlug Baumholz ein. Um die Arbeit zu erleichtern, richtete der Schmied das Eisen und das Holz so zu, daß aus ihnen Werkzeuge entstanden, nämlich Äxte und Messer.

Manchmal ließ GOTT in diesem Zeitalter der Glückseligkeit all jenen, die die Welt zu lieben verstanden, Nahrung zukommen, die sie weder hatten, noch herstellen konnten. Und manchmal stärkte er sie für eine gewisse Zeit in ihrer Kraft, ihrer Intelligenz oder ihrem Charisma. Sonntags vor dem Essen versammelten sie sich in der Mitte ihrer Siedlung um das Grab von Oane, um gemeinsam den zu preisen, der sie so sehr liebte. Tatsächlich hatten sie noch keine Geistlichen, denn die benötigten sie noch nicht - waren sie doch in unmittelbarer Gemeinschaft mit GOTT.


Übersetzt von Zaltvyksle.
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