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Pré-Histoire VII - L’exode

 
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Pouyss



Inscrit le: 10 Mai 2006
Messages: 2334

MessagePosté le: Dim Mai 28, 2006 10:16 pm    Sujet du message: Pré-Histoire VII - L’exode Répondre en citant

    _____________________________________________________________

    Dogme corrigé

    => Livre des Vertus, chapitres de la Préhistoire, revu et corrigé : > ICI <

    _____________________________________________________________



Citation:




    Livre de la Pré-Histoire
    Chapitre VII - « L’exode »



    1 La ville toute entière d’Oanylone fut ainsi engloutie dans les entrailles du monde, dévorée par les flammes. Afin de purifier les lieux, Dieu répandit du sel sur les traces de la cité du péché, afin que plus aucune vie ne s’y installe et n’y prospère. La puissance du cataclysme divin vint couvrir le ciel de poussière sur plusieurs lieues à la ronde. Les divers groupes qui l’avaient fui redoublèrent de célérité afin d’échapper à la catastrophe, laissant derrière eux leur ancienne vie. La plupart pleurèrent de ce qui leur semblait être une injustice. S’étant détournés de Dieu et de Son amour, ils ne comprenaient pas Sa juste décision divine.

    2 Certains arrivèrent jusqu’à la mer. Ils coupèrent du bois et en firent des bateaux. Ils mirent beaucoup de temps pour achever ces constructions. En effet, ils avaient perdu l’habitude du labeur et peinaient à se mettre au travail. Ils passaient plus de temps à paresser sur la plage qu’à chercher à se nourrir ou à construire leur navires. Mais le sombre nuage de poussière leur rappelait sans cesse qu’ils devaient s’activer. Peu à peu, ils reprirent goût à l’effort et, même si ils ne vivaient plus dans la vertu, leur sociétés viciées ne connaissaient plus la débauche de péchés qu’ils pratiquaient à Oanylone.

    3 Lorsque les bateaux furent prêts, ils partirent parcourir le monde, traversant les mers et accostant sur toutes les côtes qui leur semblaient propices. D’autres groupes d’évadés fuirent le cataclysme en s’enfonçant encore plus loin à l’intérieur des terres. Ils traversèrent diverses forêts, marécages, rivières, fleuves, vallées, collines, montagnes, ravins, glaciers et plaines. Chaque fois qu’ils trouvaient un lieu propice à leur installation, un groupe s’y arrêtait et y fondait une ville.

    4 Ainsi, ils peuplèrent petit à petit le monde entier, installant des villages partout où ils passaient. Chaque cité organisa son système politique. Ils élirent des chefs, qui géraient les ressources de leurs communautés. Ceux-ci nommèrent des gardes, afin que les lois de la cité soient respectées. Afin de financer cette hiérarchie naissante, ils prélevèrent l’or et l’argent des mines et les fondirent pour en faire de la monnaie. Celle-ci leur facilitait les échanges au sein de chaque ville.

    5 Mais, surtout, cela leur permettait d’échanger des marchandises entre cités. Mais ce commerce enrichissait certaines alors qu’il appauvrissait les autres. Les cités se concurrençaient de plus en plus pour le contrôle des ressources. Ce qu’elles ne pouvaient avoir par le commerce, elles tentaient de l’obtenir par la force. Ainsi, chaque cité organisa une armée, engageant des soldats, afin de combattre pour enrichir leur communauté et ses dirigeants.

    6 Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues. Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.

    Spyosu


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Inorn



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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2008 6:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[Vor-Geschichte] VII. Der Exodus


Die allgesamte Stadt Oanylon wurde von den Eingeweiden der Welt verschlungen, gefressen von den Flammen. Nachdem er den Ort gereinigt hatte, streute GOTT Salz auf die Überreste der Sündenstadt, damit dort kein Leben mehr sich niederlasse und erblühe. Die Gewalt der göttlichen Naturkatastrophe hüllte den Himmel in mehrere Schichten Staubes. Die verschiedenen Gruppen, die ihr entkommen konnten, verdoppelten ihr Tempo, um der Katastrophe zu entkommen, und ließen ihr einstiges Leben hinter sich. Die meisten jammerten darüber, was ihnen als Ungerechtigkeit vorkam. Weil sie sich von GOTT und SEINER Liebe abgewendet hatten, verstanden sie SEINE rechtschaffene göttliche Entscheidung nicht.

Manche kamen bis ans Meer. Sie schlugen Holz und bauten Schiffe. Sie steckten viel Zeit in die Fertigstellung dieser Konstruktionen. Allerdings hatten sie die Gewohnheit zu arbeiten verloren und hatten Mühe, überhaupt ans Werk zu gehen. Sie verbrachten viel Zeit damit, am Strand zu faulenzen, statt der Nahrungssuche oder dem Schiffbau nachzugehen. Doch die dunkle Staubwolke mahnte sie ohne Unterlaß, zur Tat zu schreiten. Nach und nach fanden sie wieder Geschmack an der Anstrengung, und ihre verdorbene Gesellschaft kannte - auch wenn sie nicht mehr in der Tugend lebten – keine ausschweifende Sünde mehr, wie sie noch in Oanylon von ihnen praktiziert wurde.

Als die Schiffe fertiggestellt waren, stachen sie in See, um die Welt zu umsegeln, die Meere zu queren und an allen Küsten zu landen, die ihnen günstig erschienen. Andere Flüchtlingsgruppen flohen die Katastrophe, indem sie sich weit in das Binnenland schlugen. Sie ließen allerlei Wälder, Sümpfe, Ströme, Flüsse, Täler, Hügel, Gebirge, Schluchten, Gletscher und Ebenen hinter sich. Immer wenn sie einen günstigen Ort für die Siedlung fanden, ließ sich eine Gruppe nieder und gründete eine Stadt.

Nach und nach bevölkerten sie die gesamte Welt durch Stadtgründungen überall dort, wo entlang sie zogen. Jede Stadt organisierte sich in einem eigenen politischen System. Sie wählten Häuptlinge, die den Einsatz der Mittel ihrer Gemeinwesen steuerten. Diese Häuptlinge ernannten Gardisten, damit die Regeln der Stadt respektiert würden. Um diese heranwachsende Hierarchie bezahlen zu können, nahmen sie Gold- und Silbererze der Bergwerke, erschmolzen die Edelmetalle und machten daraus Geld. Dies ermöglichte ihnen den Tauschhandel innerhalb jeder Stadt.

Doch vor allem erlaubte es ihnen, Handelswaren unter den Städten zu tauschen. Leider machte dieser Handel manche vermögend, während andere verarmten. Die Städte konkurrierten immer stärker um die Kontrolle der Ressourcen. Was sie nicht mit Handel erlangen konnten, versuchten sie, sich mit Gewalt zu nehmen. Daher hob jede Stadt Rekruten aus und stellte eine Armee zum Kampf auf, damit ihr Gemeinwesen und dessen Anführer so reicher würden.

Daraufhin entschied GOTT, daß es ihnen möglich sein sollte, etwas zu lernen, was die Freundschaft war, auf daß niemals mehr ein Mensch einen anderen töte. ER teilte die Einheitssprache in eine Vielzahl von Sprachen. Die Menschen verstanden sich daraufhin nicht mehr von Stadt zu Stadt. Der HÖCHSTE gestand ihnen zu, Sprachen zu erlernen, die ihnen nicht geläufig waren. Die dafür nötigen Studien nötigten jeden, sich der Kultur des Gegenübers zu öffnen. In der Folge daraus neigten sie weniger zum Kampf, zog man den Aufwand in Betracht, der erforderlich war, um die Sprache derer zu lernen, die sie anzugreifen gedachten.


Übersetzt von Zaltvyksle.
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