L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[angelo de montemayor]

Angelo su que l'ancien évêque Navigius a pris résidence a Rome dans les beaux faubourgs , il se fit renseigner sur le lieu et s'y rendit escorté par une charrette ,

Vêtu de ses habits de Saint office , le secretaire fit lecture de ses parchemins et profita du trajet pour faire quelques corrections avec une plume et de l'encre qu'il portait toujours dans sa besace.
Au bout d'un moment lorsque la charrette s'arrêta brusquement il releva la tête et s'aperçut qu'il était a destination.

Il rangea ses affaires et ses parchemins puis descendit doucement en regardant le lieu beau à voir.

Il salua avec un sourire le propriétaire de la charrette et lui demanda de revenir le prendre dans une courte heure , il avança progressivement vers l'entrée et lorsqu'on lui demanda les raisons de sa visite il répondit d'une voix douce mais hésitante qui trahissait sa nervosité

Bonjour , Je suis le secretaire Pontifical , je viens demander audience auprès de Monseigneur Navigius

A la fin de ses mots il baissa le regard vers ses mains et vu qu'en bon personnel de l'administration il avait les doigts plein d'encre , il rougit et laissa les manches de sa soutane dépasser sur ses doigts afin de cacher cette maladresse


_________________

[Navigius]

L'on conduisit le secrétaire pontifical dans le petit salon bleu, pièce tirant son nom de sa couleur qui était équipée de plusieurs fauteuils de grand raffinement ainsi que d'un petit foyer et de quelques meubles de noyer. Au-dessus de l'âtre, trônait un portrait de Sainct-Ripolin, signée de la main d'un peintre inconnu. Un domestique ouvrit une crédence dans laquelle se trouvait toute sorte de breuvages, collectés dans toute l'Europe et offrit à l'homme de se servir à son goût en attendant l'arrivée de son hôte.

L'ecclésiaste italien était à son étude, cette journée là, gribouillant sur des vélins dans une énième tentative de rédiger l'hagiographie de Philomène d'Angers. Empêtré dans son perfectionnisme, il n'arrivait jamais à se satisfaire de ses écrits et passait des heures à arpenter son bureau, lisant et relisant les témoignages recueillis et les informations grappillées dans les endroits les plus reclus du Royaume de France. Lorsque Frère Émiliano, son brave secrétaire vint cogner à sa porte, il répondit d'un ton nerveux qui trahissait la morosité de son esprit.

- Frère Emiliano, si votre affaire n'est point plus importante que le fait que selon le témoignages d'Hubert d'Ascalon, Philomène d'Angers est née en 1230 alors que dans le témoignage de Boromé d'Algésilas, elle est née en 1232, je vous conseiller de reconsidérer votre venue.

Le jeune secrétaire eût un sourire, habitué aux humeurs changeantes de son bienfaiteur. L'âge n'avait guère épargné l'ancien Grand Aumônier de France qui bénéficiait de bonne journées mais aussi de mauvaises, dépendamment des nouvelles qui affluaient dans son bureau et de la présence ou de l'absence de sa soeur puînée, qui elle seule pouvait apaiser son tempérament lors de journées plus difficile. Résolu, il entra d'un pas ferme, s'exprimant de son ton habituel.

- Monsignore, vous avez un invité. Monsignore Angelo de Montemayor, le Secrétaire Pontifical vous attend au Salon Bleu. Je n'ai point décelé le but de sa visite, mais il semble très désireux de s'entretenir avec vous. Dois-je lui annoncer que vous le receverez?

L'ecclésiaste italien se figea un instant. Il releva la tête de son parchemin et déposa sa plume. Son visage, rigide, s'adoucit un instant et une pointe de malice bon-enfant apparu dans sa pupille. Se levant difficilement avec l'aide de sa canne, il passa devant la glace afin de découvrir que ses mains étaient pleines d'encre et qu'il ne s'était point rasé le matin même, négligence signe des journées plus difficiles.

- Frère Emiliano. Vous me dites que son Excellence de Montemayor m'attend au Salon Bleu. M'attend, attendre comme dans "vous ne m'avez pas prévenu avant son arrivée afin que je l'accueille?" Prenez congé pour la journée, pauvre jeune ami, allez donc vous promener sur la place d'Aristote pour vous changer les esprit, je vais de ce pas à l'encontre de notre invité.

Le secrétaire se retira par une porte, fort heureux de ne pas avoir souffert une crise d'humeur de la part du vieil italien. Après tout, c'était là un trait qui rendait le prélat si appréciable, il savait quand se fâcher et quand mûrir son mécontentement. Quelques minutes plus tard, l'ancien archevêque, pour sa part, entrait dans le Salon Bleu, tout sourire, s'inclinant en guise de salutation pour le Secrétaire Pontifical.

- Monsignore de Montemayor! Comme vous semblez avoir bonne mine! Dites-moi, cher ami, quel bon vent vous mène en ma demeure par cette belle journée? Rien de grave, je l'espère?

_________________
Évêque Suffragant d'Orléans
"Sic nos sic sacra tuemur"

[angelo de montemayor]

Le secrétaire pris place à l'endroit indiqué , il ne ce servi pas à boire car il préférait user de ce vice accompagné et jamais seul , il entendait les voix de monseigneur Navigius et l'homme à son service sans en distinguer les paroles et au bout d'un cours moment l'hôte arriva souriant lui demandant les raisons de sa visite
Il ne s'attarda pas sur les mains encré de Monseigneur Navigius ni sur sa barbe de quelques jours , il en était bien trop coutumier lui même et au contraire cela soulagea sa conscience de s'être ainsi présenté en ce jour et lieu

Monseigneur, dit angelo, je ne viens pas pour une intervention en particulier mais pour plusieurs, trop de sujet qui mérite votre avis me sont venue donc je ne peux rien faire d'autre que de venir vous voir

Angelo se dit de commencer par le premier sujet et d'en venir aux autres plus tard

Alors voilà , Tout d'abord, je viens simplement demander votre avis sur une personne que nous avons eue en commun et qui nous tient particulièrement a coeur a tout deux me semble t-il , Monseigneur Wilgeforte ,je voudrais relancer une demande de Canonisation pour cet exemple de dévouement au sein des Congregations qui qu'on le veuille ou non est ce qui fait vivre notre belle cité Romaine pour la majorité du temps .

Fait quelques pas en tournant en rond , la tête baissé visiblement gêné par ce qu'il va dire, il fixa ensuite le regard de Monseigneur Navigius et d'une voie un peu plus pressé poursuivit

Des amis et connaissances m'ont sagement recommandé d'éviter de faire la demande, car certaines personnes au sein même de la Curie verrais ceci comme un affront , d'autre m'ont sagement demandé de le faire, car le travail de la bienheureuse le mérite amplement .
Moi si je propose cette canonisation ce ne serait absolument pas pour un affront envers la Curie , d'un ton justificatif , mais en tant que témoin heureux de la vie pleine de dévouement de celle qui fut préfet du Saint-Office
Vous qui avez connu Wilgeforte, qui connaissait également une grande partie des membres de la Curie , s'il y a un conseil que vous pourrez me donner à ce sujet ce serait lequel ??
_________________

[Navigius]

L’ecclésiaste italien écouta son collègue du Sainct-Office avec grand intérêt, hochant de la tête à quelque reprise pour démontrer qu’il suivait bien ses propos alors que plusieurs pensées se bousculaient dans son esprit. Tout d’abord, il préféra s’enquérir des préférences du prélat en termes de breuvages, en sa qualité irréprochable de bon hôte.

- Voilà bien de grands sujets à discourir, Monseigneur. Permettez-moi de vous offrir quelquechose à boire? J’ai dans ce cabinet une grande sélection d’alcools, d’élixirs et de breuvages qui pourraient vous intéresser. Pour ma part, je vais me servir une camomille, je trouve cela excellent pour me détendre dans la matinée.

Il fit un mouvement vers le petit cabinet puis se saisit d’un gobelet et d’un petit sachet d’herbes puis se dirigea vers le foyer, dans lequel brûlait un petit feu moribond. Avec une pièce de cuir, il se saisit de la bouilloire qui pendait au dessus des maigres flammes et puis se versa son breuvage. S’asseyant, il formula sa pensée sur les sujets amenés.

- Monseigneur de Montemayor, j’entends votre questionnement et j’y répondrai d’abord par un autre questionnement. Lors de vos pérégrinations au Sainct-Office, ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi, les nombreuses hagiographies que nous validons, concernent presque toujours des saincts décédés depuis de nombreuses années, voire des décennies?

L’italien aurait pu poursuivre sur son avis personnel, mais il était désireux d’entendre la réponse du prélat avant de poursuivre plus loin.
_________________
Évêque Suffragant d'Orléans
"Sic nos sic sacra tuemur"

[angelo de montemayor]

Angelo se fit mettre à l'aise par Monseigneur Navigius et accepta de boire la même chose que lui , il se faisait nommer Monseigneur ce qui ne le surprenait pas, car c'est une erreur que beaucoup faisait , lui le simple curé de La Spezia , petite ville portuaire coincé entre Chiavari et Luni dans le sud de la république de Gênes était habitué a se faire nommer ainsi même dans son village , il était en effet difficile pour les villageois de nommer "mon Frère" le fils de leur Doge et à Rome son nom avait déjà été précédé de son oncle l'Eminence Giarru , il écouta Monseigneur Navigius et répondit sans oser lui avouer qu'il n'était pas Monseigneur


Je pense , que la raison est simple , il est difficile d'être impartial pour juger de la sanctification d'une personne que l'on a connue , l'homme est fait de sentiment et ces sentiments brusque ses jugements quand il s'agit d'une personne qu'il a aimée ou détesté


un léger sourire dans le vague avant de reprendre

Vous voulez sans doute dire qu'il est trop tôt pour demander une chose aussi importante que la Sanctification , j'y ai pensé en effet, j'y ai murement réfléchis , mais cette personne m'a tellement marqué elle a fait de moi un Théologue et est la première à m'avoir cru lorsque j'ai raconté l'apparition de Saint Barnabé , d'ailleurs même après sa mort j'ai toujours senti la présence de Wilgeforte à mes côtés et sans pouvoir l'expliquer clairement j'ai toujours eu l'impression que si je suis devenu Secrétaire Pontificale et Vice Préfet du Saint-Office son influence mystique y était pour beaucoup

Un nouveau sourire moins vague et plus tendre que le précédent se dessina sur les lèvres de angelo

pendant Mes Songes Nocturne il m'arrive parfois d'avoir l'impression de discuter avec elle et de recevoir ses conseils

Puis angelo eu un rire sympathique suivie de quelques gorgées de camomille
_________________

[Navigius]

L’italien s’assis de nouveau après avoir servir un breuvage idoine au sien à son invité. Il écouta activement ses réponses, souriant légèrement devant leur caractère prévisible. C’était là un trait qui venait avec l’âge et l’expérience des nombreuses discussions, c'est-à-dire de ne point être surpris par les propos et de les attendre avant même qu’ils soient prononcés. Le visage toujours sérieux, il répondit aux propos du prêtre.

- Il est, en effet, fort difficile de discerner l’objectivité et les émotions en soi, surtout lorsque le sujet concerne une personne aussi attachante que notre regrettée amie. Toutefois, mon point n’était pas de vous décourager, mais plutôt de vous faire prendre conscience qu’il sera impossible de faire fit des émotions de tous et chacun devant se prononcer.

Il jeta nerveusement un coup d’œil autour de lui pour s’assurer que les fenêtres étaient bien fermées. S’approchant légèrement de son invité, il mentionna d’une voix un peu plus basse :

- Maintenant, est-ce que je crois que Bienheureuse Wilgeforte soit une saincte? Je ne puis l’affirmer hors de tout doute, mais je crois qu’elle a menée une vie exemplaire de dévouement, bien que ses motivations aient toujours été difficiles à percer. Ce n’était toutefois pas une personne n’ayant que des amis, et ces ennemis sont encore de ce monde. L’entreprise que vous proposez est donc périlleuse, et elle pourrait assurément bloquer votre avancement dans le clergé. Êtes-vous bien sûr de vouloir risquer cela, tout en sachant que l’exemplarité de Feu Wilgeforte ne changera pas entre aujourd’hui, dans dix ans et dans vingt ans mais que ceux ayant la possibilité d'en faire une Saincte, eux aurons changé?
_________________
Évêque Suffragant d'Orléans
"Sic nos sic sacra tuemur"

[angelo de montemayor]

Angelo écouta Monseigneur Navigius avec intérêt tout en buvant sa camomille, il savait tout ce qu'il disait, il y avait pensé et réfléchis de nombreuse fois , mais de la bouche de quelqu'un d'autre les arguments eurent un autre impact que le prêtre italien trouva juste
Puis il vit son hôte regarder furtivement vers les fenêtres pour s'assurer qu'elles étaient bien close et sur le ton de la confidence lui expliqua les dangers et l'infortune que pouvais lui porter une telle aventure , cela a quoi Angelo lui répondit sur le même ton de confidence ,mais en italien :

Vous avez raison , sans doute que nous devons profiter d'être contemporain de notre soeur afin d'écrire avec justesse ce que fut sa vie, mais laissons a nos héritiers Romains le soin de juger avec le recul , la béatification qui fut acceptée est déjà une très bonne chose et nous nous en contenterons pour l'instant

Après quelques secondes de silence Angelo se décida de changer de sujet, bien que certains moment de la discutions revenais dans la mémoire du prêtre il pensa qu'il n'était pas nécessaire de s'étaler plus sur cette demande de conseil, les mots de Monseigneur Navigius avait était court mais juste et convaincant , bien sûr Angelo changé souvent d'avis ... la variation d'opinion était un art dont les transalpins savaient être maitre et les oeuvres qui naissaient de cette attitude dépité autant les "Straniéro" qu'elle faisait le charme italien , mais il était convaincu que si une personne autant proche de Wilgeforte lui conseillait de retarder la demande c'est qu'il avait raison

Bien que les deux hommes furent italien, le français étant le langage courant à Rome Angelo entama une nouvelle discutions en cette langue

Le deuxième sujet qui me mène à vous concerne votre intervention au Saint-Office il y a quelques jours , il me semble que vous vous intéressez à la création d'un patronat pour un Duché du Royaume de France, l'Anjou si je ne me trompe pas est la terre en question
_________________

[Navigius]

L'italien sourit un instant aux propos de son invité. Il se leva de son siège à nouveau, marcha quelques pas dans la pièce en réfléchissant puis joignit ses mains pour faire craquer ses jointures, un geste qui signalait toujours la fin du processus réflexif chez l'italien. Se tourna vers Monseigneur de Montemayor, il reprit donc :

- Je crois qu'il est plus sage, en effet, de laisser le temps faire son œuvre pour notre amie commune. Dans quelques années, la composition de la Curie aura sans doute changer et les obstacles qui se dressent aujourd'hui en travers d'une canonisation seront disparus de par la lente action de la nature humaine. Il serait sot, au finale, de risquer autant maintenant pour quelque chose que nous savons fort bien qui arrivera en temps et en lieu. Comme je le répète toujours à mes paroissiens, l'Église est affaire de patience, de beaucoup de patience.

La discussion passa donc de Wilgeforte à l'Anjou, un sujet évoqué à la Congrégation du Sainct-Office quelques jours plus tôt par l'italien. Il était vrai que depuis des semaines, il travaillait d'arrache-pied pour préparer son élection dans Angers, qui aujourd'hui était menacée par l'ambition sans borne et réserve d'un ordre monastique et de son recteur, personne que pourtant il considérait comme un ami de longue date. Il s'expliqua donc en quelques mots.

- En effet, j'ai récemment découvert diverses archives relatant la vie d'une certaine Philomène qui aurait habité Angers il y a de cela plusieurs décennies. Son exemple me fut si inspirant que je me proposais de placer cette possible canonisation au tête d'une large offensive de la Foy sur la terre d'Anjou afin de marquer le renouveau des relations entre l'Anjou et l'Église. Toutefois, je me doutes que plusieurs membres de la Curie, qui n'ont jamais porté l'Anjou dans leur coeur, s'opposeront à ce projet. Ainsi donc, je ne sais trop que faire en ce moment à ce sujet.

_________________
Évêque Suffragant d'Orléans
"Sic nos sic sacra tuemur"

[angelo de montemayor]

Angelo écouta Monseigneur Navigius à propos d'un certain Philomène, cela lui fit penser à un texte qu'il avait récemment rédigé

J'ai découvert à Rome des Archives datant du pape Nicolas, les documents faisaient mention d'un enfant d'une dizaine d'années en Provence très doué en théologie, par son jeune âge je fus surpris que son nom soit cité a plusieurs reprises alors j'ai décidé de m'investir davantage afin de le faire entrer aux Saint-office, après tout l'enfant d'une dizaine d'années en 1453 devrait être un jeune homme a présent que six années furent écoulé . mais n'ayant aucune autres forme de nouvelle dans les Archives j'en ai déduit qu'il était peut-être devenu Hermite , ou compagnon d'Aristote dans des terres reculées.

Je me suis rendu en Provence auprès de Monseigneur Richelieu , j'ai mené une enquête dans ses grandes places que les Francophones nommes Gargottes et des petites placettes que l'on nomme halle , malheureusement l'enquête m'appris la mort de cet enfant surdoué , j'en ai profité pour rédiger un texte sur sa courte mais pationnante vie et en faire un Saint pour la Provence

Un instant de silence suivis d' une nouvelle gorgée de Camomille dont le verre touché à sa fin et il reprit

Mais les Provencaux et surtout leur clergé ont voulu mettre Sainte marie Madelaine comme sainte patronne, c'est leur droit bien sûr, mais j'ai continué ce texte et l'ai proposé a notre Cénacle afin d'en faire au moins un bienheureux


Un regard vers Monseigneur et un sourire

Là où je veux en venir Monseigneur et loin de moi l'idée de vous faire une leçon de moral car a ce jeu vous êtes bien plus doué que moi , c'est que l'on ne rédige pas et l'on ne traduit pas un texte dans l'idée que les personne dont on traite deviennent une Sainte patronne ou un saint patron, ou pour satisfaire ou déplaire à un collège , non, je pense que si on rédige où on traduit la vie de quelqu'un afin d'en faire un Saint c'est car intérieurement on est convaincu que la vie de cette personne mérite de ne pas tomber dans l'oublie, qu'elle peut servir d'exemple et influencer les humains à suivre le droit chemin qui mène à l'Arc en ciel lequel nous conduira sur le Paradis céleste

On ne fait pas tomber dans l'oublie des écris saints car quelques membres qui composent la Curie n'aimerait pas le texte ou l'idée de ce que l'on veut en faire , au contraire, si vous pensez que ce Philomène mérite d'être cité et sa vie relaté alors mener a bout votre projet afin que jamais il tombe dans l'oublie, si on en fait pas un Saint patron on en fera au moins un Bienheureux ^^

Une courte pause durant laquelle il remarqua que dans son engouement il avait peut-être trop parlé , il se reprit pour conclure

Pour faire obtenir à l'Anjou un Saint-Patron il faut déjà que le Conseil Ducal de cette province soit disposé à accepter cette idée ainsi que la nonciature Apostolique , car le Saint patron ne peut être reconnu officiellement dans une province qu'à partir du moment ou le pouvoir temporel et le pouvoir Spirituel l'ai accepté d'un commun accord

Pour Philomène, faite moi parvenir son hagiographie lorsqu'elle est prête, la proposer comme Saint-patron de l'Anjou et permettre à cette province de se rapprocher de l'église après les récent évènement passé est une motivation largement suffisante pour qu'elle soit traitée parmi les textes prioritaires
_________________