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Hagiographie de Saint Dominique

 
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dariush
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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 11:12 am    Sujet du message: Hagiographie de Saint Dominique Répondre en citant



Citation:
SAINT DOMINIQUE, (Burgos 24 mars 1170) Rome 15 novembre 1223, PROTECTEUR DE L'ORDRE DES MOINES DOMINICAINS CONVENTUELS ET ITINÉRANTS

Enfance de Dominique

Alfredo Manguz était respecté de tous à Burgos. Son travail dans les champs et son goût pour l’effort forçaient l’admiration. Il est dit qu’il n’a jamais sollicité l’aide de quiconque pour ses récoltes et nourrir sa famille. Que ce soit de l’église, de l'Hôtel de Ville ou de quelque hobereau local. En vérité, la terre qu’il possédait avait été une lutte de chaque instant et à force de constance et de ténacité, il réussit à gagner suffisamment d’argent pour songer à avoir un héritier.
L'enfant tant attendu naquit prématurément pendant que son père se trouvait dans les champs. La surprise laissa la place à la joie et aux festivités qui auront lieu le 24 mars de l’an de grâce 1170.
Le père regarda son fils, et avec assurance, le nomma Dominique en souvenir de son oncle mort au cours d'une bataille contre les maures en nord Afrique à l’occasion des guerres d'expansion du Royaume de Castille.
Le paysan souhaitait rappeler au sang de son sang la folie de laisser sa propre maison et sa propre terre pour vivre d’autres rêves. C'était le seul enseignement qu'il se sentait le devoir de donner vraiment. Il laissa à sa femme, Angélica, le soin des autres pratiques. Elle s’y appliqua avec son amour et Dominique su très vite son alphabet et les règles de calcul. Très pieuse, elle lui fit découvrir le Très Haut et les valeurs aristotéliciennes. Que soir, quand d’autres chantent des comptines, Angelica, elle, l'endormait avec la prière.
Mais le vrai enseignement de la Foy fut enseigné par Francisco d'Izan, un cousin lointain, diacre en Burgos, qui le prépara au baptême. Lors de sa pastorale, Dominique fit preuve de talent et montra un grand intérêt pour la théologie. Dès qu’il fut en âge de lire et écrire en latin, il se mit à étudier avec une passion dévorante les Livres des Vertus.
Le fils de la Providence ne semblait plus être destiné aux moissons mais bel et bien à la cause religieuse. Dominique fut signalé au Curé local pour son tempérament et son engagement. Il n’avait que dix ans quand l'Évêque s'intéressa à ce prodigue et le prit sous sa protection. Son père ne l’entendait pas ainsi et Dominique décida de ne pas aller contre la volonté paternelle.
De toute façon, Dominique était encore petit et il décida de bien se conduire. Son travail était irréprochable et son père pensa avoir enfin obtenu la récompense de ses efforts.
Cette brève période de la vie du Saint ne fut pas dénouée de tout intérêt bien que cet épisode ne représenta qu’un bref instant en comparaison aux autres faits de son histoire. Le temps des champs engagea Dominique pour une année entière. Cette période lui fut propice. Comme mûrissent les fruits, c’est à cette époque que l'idée du cycle des saisons, du renouvellement et de la mort prit toute son importance dans l’esprit de l’enfant. Reconnaissant, l'enfant n’aura de cesse de remercier au cours des célébrations eucharistiques le Très Haut pour ce qu’il donne à l’homme en vertu de son engagement.
Plus le temps passait, plus il s’éloignait de la voie souhaitée par son père. Il savait apercevoir la puissance de Dieu sur la création de toute chose. A ses yeux, il ne faisait aucun doute que l'homme n’était qu’un engrenage, qu’une partie nécessaire à l'ordre établi, mais plus que tout inspiré par le Très Haut.
La vie de Dominique changea au cours de l'hiver 1181 comme beaucoup de paroissiens de Burgos. Les évènements qui allaient suivre éloigneraient Dominique de sa famille pour longtemps. Durant l'hiver, temps du repos, tout semblait aller au ralenti. Dominique aimait entendre la vie à travers le vent frais et il adorait admirer l'enchantement des champs enneigés... Pendant une de ces journées, le Diacre Francisco lui fit parvenir une lettre pour la famille Manguz.

Citation:
Burgos, XX Janvier, Anno Domini 1181,
À l'attention de la famille Manguz,
Chers amis,
Depuis fort longtemps votre Dominique est sous notre bienveillant regard et restons vigilent à son évolution. Nous connaissons le sens de son sourire silencieux. Nous connaissons le motif de sa finesse. Nous connaissons la raison de son obéissance. Et nous reconnaissons, en lui, la main profonde de la Providence. Nous savons qu’il doit servir un dessein différent que celui de travailler dans les champs. Nous le prédestinons à un grand avenir au service de notre maître à tous et à notre Sainte Eglise.
Par cette lettre nous souhaitons que vous puissiez nous le confier pour parfaire ses connaissances et son éducation.
Nous nous engageons à pourvoir à la nourriture matérielle et spirituelle qui lui sera nécessaire et à faire de lui un « astre » resplendissant.
Que la paix soit sur vous….
Son Eminence Alberto Vescovo Mendoza.

En lisant cette lettre, le père de Dominique prit connaissance de son aveuglement et se rendit compte de l’importance que pouvait avoir son fils pour les volontés du Très Haut. En rien il ne voulait aller contre cette destiné et il le laissa partir.
C'est lors d’une belle journée de printemps que le Diacre Francisco d'Izan se présenta à la maison de Manguz pour venir le chercher et l’accompagner à Valence.

Ses Années de Formation

Entre toutes les écoles Bénédictines d’Espagne, celle de Valence était la plus apte à enseigner l'étude théologique et ce, sans oublier les autres domaines : philosophie, sciences et techniques, l’histoire, la politique. Ceci on le devait à l'érudition de quelques érudits Français.
Cette école était tournée vers l'instruction des jeunes, recueillis sur l’ensemble du territoire, et ce, par devoir de charité et désir d'aider à l’épanouissement des esprits.
Dominique fut présenté comme un élève surdoué. Ce fut un allemand qui eu la préférence de Dominique, non seulement pour sa pédagogie débonnaire, mais pour ses idées religieuses. Il correspondait au nom latin de Moine Commentius. Ce professeur dans les sept ans qui suivirent, apprit au futur Saint l'analyse des textes, la manière efficace de les rappeler à l'esprit, les manières de les absorber et de les digérer tout en les confrontant à la critique.
C’est aussi à cette époque qu’il fit la connaissance de Fidelius Mendoza appartenant à la même famille que l’évêque qui l’avait pris sous son aile protectrice. Malgré leurs différences, ils devinrent amis. Fidelius, âgé de douze ans, était espiègle et étranger au travail des mains. Mais leurs différences et leurs contradictions finirent par prendre le dessus. Deux conceptions de la noblesse les divisaient. L'un considérait la noblesse de l'âme, l'autre croyait dans la noblesse des blasons seulement. Dans cette période, Dominique commença à s’habiller de vêtements dénués de tout effet ostentatoire synonyme, à ses yeux, de sagesse et de vérité. Quand Fidelius vit tout le respect que les autres avaient pour son ami, il comprit enfin toute l’importance des idées de Dominique. Depuis Fidelius enseigna à Dominique comme traiter avec les riches. Dominique lui enseigna comme traiter les pauvres. A la fin de leurs études, le Très Haut les éloigna mais sans jamais les détourner l’un de l’autre.
Dominique laissa l'École de Valencia a 18 ans et fut nommé Docteur pour sa splendide et énorme érudition. En quittant ce lieu, il eut ces quelques mots :
"Aucune foi n'est possible sans la raison ou sans le cœur... mais jamais la raison ne doit agir sans le cœur, et le cœur ne doit jamais agir sans la raison"

La jeunesse:

Dominique est reconnu par tous les fidèles pour sa compassion et ce, dès son plus jeune âge. On raconte qu'en 1191, pendant une famine, il se sépara de ses biens pour donner à manger aux pauvres.
A l’âge adulte, il prit la voie de l’Eglise et devint diacre. Il faisait preuve d’habileté dans l’art de la diplomatie, dans l’art oratoire mais aussi dans la compréhension de l'âme humaine.
Le jour où il fut ordonné par Mendoza, maintenant Cardinal, un groupe de corbeaux sillonna le ciel, suivi par un vol de colombes. Le peuple donna différentes interprétations à ce phénomène étrange. Les uns pensèrent que Dominique était là pour faire disparaître le malheur sur terre. Les autres, qu’il était là pour lutter contre le mal par la Foy et la paix. Mais tous pensèrent au miracle.
Une fois ordonné il prit la route pour un long voyage à destination des Terres du Nord accompagnant le cardinal Mendoza. Le fils du roi de Castille allait épouser la princesse du Danemark et Dominique devait les bénir.
Le Cardinal Mendoza fut bientôt de retour en sa Patrie mais Dominique obtint l’autorisation de rester. Il souhaitait apporter un peu de prédication à ces gens que le Très Haut lui avait fait rencontrer. Dans les cinq années qui suivirent, de 1193 à 1198, il se ménagea pas ses efforts pour que l'Église danoise prenne corps. Il enseigna les techniques de récolte des champs qu’il avait déjà appris depuis son enfance. La reconnaissance qu’il obtint lui permit d’obtenir beaucoup de conversions.
A qui voulait bien l’entendre, il disait :
"Faites-vous recueillir du haut, comme le réseau recueille les poissons, et vous serez nourriture spirituelle"
Dominique était bien établi auprès des communautés locales et il jouissait d’une grande reconnaissance... Beaucoup crurent qu’il se serait établi définitivement. Mais c’était sans compter sur les tristes nouvelles qu’il reçut de son père Alfonso. Il fut averti de la mauvaise santé dans lequel se trouvait Alfonso. L'Église lui accorda le droit d’effectuer un retour en famille pour l'extrême salut et pour les obsèques éventuelles.
Le Maire de Copenhague lui mit à disposition le meilleur de ses destrier, et toute la ville exprima son profond désarroi et sa peine.
Quand il arriva à Burgos il ne reconnaissait plus personne. Malgré sa longue barbe et ses rides courroucées qui lui sillonnaient le front, sa mère réussit à le reconnaître et l'accueillit à la maison avec beaucoup de chaleur et d’empressement. Il se porta au chevet de son Père.
Francisco d'Izan nous raconteles derniers mots que Dominique laissa au parent mourant :
"Mon Père il est dit que même la plus dure roche se plie à la pluie et au soleil qui nous frappent éternellement. Grande a été ta foi dans tes mains pleines de cors et dans le travail de la Terre. Il est arrivé pour toi le moment de changer... Maintenant tu tournes ta foi au Ciel, et pour toujours tu seras sauvé. Adieu, tu as été un homme bon et j'ai beaucoup appris de toi."
Dominique prend pleinement conscience de la vie et de la mort. Quand il les prononça, son frère, Alfonso Jr Manguz se trouvait dans les champs. Les deux s'observèrent à la distance et ce fut dans ces circonstances qu’ils se connurent, et dans lesquelles ils se quittèrent.

La maturité

Malgré le plaisir de retrouver sa terre natale, notre Moine fut toujours conscient d'appartenir à un ailleurs et d'avoir beaucoup à faire pour le Vignoble du Seigneur. Il conserva de Burgos un doux souvenir mais il ne revint jamais. Il reprend par la suite son voyage avec le but de revenir au Danemark pour y rejoindre sa communauté.
Sur le chemin, à la demande du souverain pontife, il du s’arrêter dans la France méridionale pour éteindre les foyers païens. Ce qui devait être un bref passage, dura en réalité dix ans. Cela lui coûta beaucoup. L'Évêque de la zone le nomma prédicateur du Règne. Il soutenait qu'un Prêtre devait donner sa vie pour la diffusion du credo aristotélicien et pour combattre les hérésies en punissant ceux qui n'observeraient pas le Droit Canonique.
L'action de Dominique fut si efficace qu’il assuma le rôle de Missus Inquisitionis. Et en tant que tel, il fut convoqué, dans l'automne du 1211, à Rome, pour faire le point de la situation et pour exposer sa pensée et son œuvre.
Dominique se fit rapidement remarquer. Le Pape l'estima vite pour sa grande connaissance des témoins sacrés aristotéliciens et pour sa grande ferveur spirituelle. Il se fit également remarquer par son idée de créer un ordre religieux qui comprendrait deux types de voies :
- une itinérante pour qui désirait aller dans le vaste monde pour la conversion des infidèles et pour secourir les pauvres
- un conventuelle pour ceux désireux de contribuer à la croissance culturelle de son Diocèse en enseignant dans les Universités, en dirigeant les séminaires…
Le discours que Dominique fit auprès du Saint-Siège est gardé dans les secrètes archives de Rome.
Le concile terminé, Dominique pu retourner au Danemark pour y finir ses jours. Dès son arrivée, il comprit que tous se rappelaient de lui et que sa renommée était presque légendaire. On lui avait même dédié une Place avec un buste. Autour, les champs étaient luxuriants, et jamais il s'était vu à mémoire d'homme tant d'abondance de poissons dans les fleuves avoisinants qui se jetaient à la mer. Une petite communauté d'hommes et de femmes s’étaient créée et s’étaient donné comme objectif de transmettre le souvenir et répandre la pensée du Très Haut. Cette Eglise régulière prospéra au fil des ans et passa son temps à glorifier le Très Haut. Les certitudes de Dominique furent de plus en plus solides et il voyait la Communauté croître avec fierté et surtout les jeunes s'enthousiasmer et s'allumer pour la foi.
L’idée de créer un Ordre bien précis, inspiré de la vie qu’on lui avait enseigné germa dans son esprit et il prit alors sa plume pour écrire au pontife.

Citation:
« Copenhague, XV Octobre de l’an de grâce 1218
Votre Béatitude,
Il est clair que les desseins du Très Haut nous concernant ne sont pas si lisibles que l’on souhaiterait. Cependant, avec le l’expérience et l’âge, ils nous deviennent certainement plus présents et intelligibles. Les signes qu'Il nous donne nous apparaissent comme évidents.
Je Lui suis reconnaissant de ce que mes yeux ont vu et pour la vie que j’ai menée. Maintenant je considère tout ce qui m’est arrivé comme une Providence, Sa volonté. J’entends remplir maintenant ce que je perçois comme ce qui est ma dernière mission.
Je vous écris afin que vous validiez notre démarche intellectuelle ainsi que notre Château de la rhétorique. Je vous demande donc de prendre en considération mes Frères et de rendre officiel la RÈGLE que nous avons créé à travers nos prières.
Vous envoi donc mon testament qui gouverne notre vie aujourd'hui, en espérant que vous lui donnerez votre approbation.

Votre très dévoué fils,

Père Dominique.


La réponse ne fut pas immédiate mais sa vie à Copenhague continua dans le respect de la foi et de la dévotion.
Entre temps la santé de Dominique avait commencé à se détériorer. A qui lui faisait visite, il avait coutume de dire :
« Celles-ci sont les modalités avec lesquelles le Très haut nous appelle à Lui… la souffrance nous met à l'épreuve, mais un jour nous serons dans la joie absolue »
Lorsqu’il eu des nouvelles du Pape Dominique était alité fiévreux. Il ne s'agissait là ni d'un assentiment ni d'un désaccord… elle était plutôt une invitation à venir à Rome pour en discuter. Avec difficulté, Dominique se prépara pour sa dernière mission… conscient de ne plus revoir ses amis et incertains qu’il arriverait à destination.
À costoro Il dit :
« Que veut dire l’expression de ces visages ! Avez-vous peut-être à redire sur les desseins du Très Haut ? Priez mes Frères, parce que si vous êtes des fidèles, un jour on se reverra tous aux côtés de Chrisots. »

la mort :

Dominique atteignit Rome dans un voyage qui dura bien deux ans. Il pressentait que sa mort allait bientôt venir. Chaque arrêt lui était extrêmement douloureux mais nécessaire pour grappiller le peu de forces nécessaires pour continuer. Cependant, personne ne pouvait douter de sa force et de son obstination pour continuer ce périple.
Le X mars de l'Année du Seigneur 1222, Dominique franchit, épuisé, les portes de Rome... Plus tard, il est reçu par le Pape. Il passe ses derniers instants à détailler son projet aux Docteurs de l'Église qui devaient l'approuver. Toutefois, le 15 Novembre 1223, il s’éteint sur son lit de mort. Les médecins décident alors de faire brûler son corps pour que la maladie ne se répande pas. Mais quelque chose arriva : le corps de Dominique ne se consuma pas. On prit son coeur pour qu’il devienne une relique et on le porta successivement, pour être gardé, à Trieste, siège du premier Monastère dédié à son nom.
L'histoire de Dominique et de ces derniers jours, de l'engagement qu’il mit dans sa mission, continua de faire parler. Le Pontife qui l'avait accueilli resta en charge durant 15 ans. Son successeur qui avait entendu parler de ce Dominique dans le monde entier à cause de ces nombreux miracles le canonise et le reconnaît comme saint, Docteur de l'Église Aristotélicienne et Martyr, le 15 novembre 1240, jour de la commémoration de sa mort.

LA DOCTRINE:

– La prière :

" Il est fondamental dans la vie de chaque aristotélicien de prier." Avec ces mots, il incitait à la prière les fidèles qu’il rencontrait sur son chemin, certain de l'importance fondamentale de la prière dans la vie de chaque homme.
Il enseignait à prier le Seigneur et Ses Prophètes, non seulement dans les moments du besoin, mais aussi et surtout pour le remercier pour Ses Saints tu donnes.

– La conversion :

"Chaque homme, beaucoup plus s'il a consacré la vie à Notre Seigneur, se doit de répandre Son Mot, parce que la foi n'est pas un trésor qu'il va conserver avidement mais propager et offrir à tous de manière à ce qu’ils puissent se réjouir et se sauver dans la Gloire de Notre Très Haut"
Dominique, qui avait reçu du Pontife la charge de convertir les païens, incitait de cette manière ses "frères de foi" à collaborer pour répandre le Credo Aristotélicien.

– La pénitence :

"Il est nécessaire, parfois, et ceci afin de faire comprendre ce qu’est le vrai chemin aux peuples qui n'ont pas la connaissance que la repentance est là pour les aider à entreprendre le chemin juste vers le salut et la rédemption ." .
Avec ces mots Dominique qui vient d’être nommé Missus Inquisitionis, explique les motivations et la nécessité de répandre la Foi par la Sainte Église Aristotélicienne.

– L’église :

"Hélas, malheureusement, au monde il y n'a pas un Royaume, un duché, une principauté, un gouvernement qui puisse atteindre la perfection. Je suis reconnaissant à Notre Très Haut pour le cadeau qui nous a fait en nous inspirant le création d’une structure telle que la Sainte Église Aristotélicienne qui peut se déclarer incapable de vaciller." Avec ces mots, Dominique proclame sa fidélité totale à la Sainte Église Aristotélicienne.

– La pauvreté :

"Sur Terre, rien ne reste. Tout ce que Notre Seigneur donne sera repris un jour. Il a créé le monde avec ses créatures et ses ressources pour que l'homme en tire avantage avec modération. Notre Seigneur ne veut pas voir un homme conserver des biens qui ne lui sont pas nécessaires. En réalité je vous le dis, que celui qui agira de la sorte attirera la colère du Très Haut. Je vous exhorte, frères et sœurs, à vous en tenir au strict nécessaire. Vous n'accumulerez pas, parce que ce que le Très Haut donne le Très Haut vous l’enlèvera."
Dominique, convaincu qu’il est l'élément essentiel pour maintenir une bonne conduite de vie, décide de faire de ces mots les siens et à propager cette philosophie.

Ses règles :

I. Je dois mon existence au Très haut, mon supérieur, et je dois suivre les règles de vie édictées par nos prophètes pour le salut éternel de mon âme.
II. Je dois une obéissance absolue à notre Sainte Eglise et ses représentants garants de la continuité du travail des apôtres.
III. Ceux qui ont décidé de suivre ma manière de vivre sont mes frères et camarades, fils du Très Haut et destinés à la même mission.
IV. La Connaissance prend sa source dans les propos d’Aristote. L’étude et la connaissance doivent être les fondements de ma vie. C’est un chemin difficile mais le plus sur pour s’assurer le salut de mon âme.
V. L'hérésie prend son origine dans l'ignorance. Je me fais un devoir d’enseigner nos préceptes pour remettre sur le droit chemin toute personne qui aura corrompue son âme.
VI. La Vraie connaissance ne peut s’acquérir qu’en vivant dans le partage, la communion, le partage du savoir et la prière.
VII. Il est de mon devoir de voyager pour propager la Connaissance de notre Foy.
VIII. Il est juste de suivre les propos d’Aristote concernant l'importance fondamentale de la Paix, base essentielle de notre vie en Communauté, garante de l’harmonie et de l’amitié.
IX. L'humilité, fondement de toutes les Vertus, doit être toujours présente dans ma vie pour que je puisse devenir un exemple à ceux qui me suivent.
X. Chaque violence me fait horreur et je ne soulèverai jamais un bâton contre un autre frère. Si une personne commet un acte de violence, il ne m’appartient pas, à moi, de le juger mais au Très Haut à la fin des temps.

Jour du Saint : 15 novembre

Reliques : Coeur du Saint brûlé

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MessagePosté le: Jeu Mar 17, 2011 3:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Alessandro III giarru a écrit:
Citation:
SAN DOMENICO, (Burgos 24 marzo 1170 – Roma 15 novembre 1223)
PROTETTORE DELL'ORDINE DEI FRATI DOMENICANI CONVENTUALI ED ITINERANTI



Infanzia di Domenico

Tutti a Burgos conoscevano Alfredo Manguz, un contadino assai ligio al lavoro e devoto alla fatica nei campi. Si narra che mai chiese aiuto al Municipio, e giammai i favori di qualche signorotto locale, per tirare su le sue spighe, e per sfamare la propria famiglia.
Invero, la terra che possedeva era stata dura conquista, ma la costanza e la tenacia portarono quella prosperità che annuncia la decisione di avere un figlio, l'unico essere al mondo a cui Alfredo avrebbe concesso di lavorare i suoi campi.
Segno volle che il bimbo tanto atteso nacque proprio mentre il padre si trovasse nel bel mezzo dell'aratura, di sorpresa dunque, e prematuramente. La gioia fu molta, e si fece gran festa: era il 24 marzo del 1170.
Il padre guardò il figlio, e a lui per primo, senza che questi ancora lo capisse, annunciò il nome, Domenico, a ricordo dello zio, fratello di Alfredo, morto nel corso di una battaglia contro i mori del nord Africa, durante le guerre d'espansione del Regno di Castiglia.
Nelle intenzioni dell'onesto contadino, questo doveva ricordare al sangue del suo sangue la follia di lasciare la propria casa e la propria terra per altri sogni.Era l'unico insegnamento che si sentiva davvero di dare, e da uomo concreto lo diede subito, così mettendosi il cuore in pace, intanto che quell'esile bruco mettesse su braccia abbastanza forti.
Lasciò alla moglie, Angelica, la cura delle altre pratiche, ed ella si prodigò non solo per dare a Domenico l'alfabeto e la dimestichezza nel calcolo, ma anche per fare entrare in lui la fede, nella maniera più naturale possibile. Solita era addormentarlo con la preghiera, e solito lui addormentarsi pacifico e sereno.
Ma la vera catechesi la ebbe da Francisco de Izan, un lontano cugino, diacono in Burgos, il quale lo preparò al battesimo. Nel corso di queste lezioni, Domenico diede prova di avere enorme e squisito talento per la questione teologica, che lo portò a leggere e studiare con passione sempre crescente i Libri delle Virtù, dopo aver acquisito, straordinariamente, l'utilizzo della lingua latina.
Il figlio della Provvidenza non sembrava essere nato, nel disegno dell'Altissimo, per la Provvidenza delle messi, ma per ben altre celebrazioni dello Spirito. Domenico fu segnalato al Parroco locale, per la sua indole, già all'età di dieci anni, e non passò molto, che persino il Vescovo s'interessò al suo caso.... rivolgendosi a lui come rivolgendosi ad un piccolo monaco.
Intanto, però, gli arrosti domenicali, che il padre Alfredo ormai non faceva più mancare alla famiglia, fecero di Domenico un bambino tosto e forte. E fu allora che il padre lo ritenne pronto per staccarlo al mondo dove l'aveva lasciato e per portarlo nel suo. Non fu certo il fanciullo a lamentarsi di quella decisione, che in fondo conosceva da tempo, ma che in coscienza sentiva non essere la scelta di un destino già deciso.
Purtuttavia, Domenico, ancora piccino, dimostrò di ben comportarsi nel lavoro della terra, con buona soddisfazione del genitore, il quale pensò d'aver finalmente ottenuto la ricompensa per le tante sue fatiche.
Quel breve periodo della vita del Santo non è da considerarsi meno formativo di altre fasi, benchè rappresenti di certo un passaggio minore della sua intera vicenda umana. Il tempo dei campi impegnò Domenico per un intero anno, e in lui fece maturare, come si maturano i frutti, l'idea del ciclo delle stagioni, del rinnovarsi e del perire, per ridare sempre e comunque nuova linfa di raccolti. Grato si ricorda il fanciullo ringraziare nel corso delle celebrazioni eucaristiche, per ciò che l'Altissimo dona all'uomo, in virtù dell'impegno.
Di fatto, ciò che egli andava intendendo del lavoro era concezione assai diversa da quella del padre... in esso sapeva infatti scorgere la potenza di Dio sul creato, e il motore che muove le cose, di cui l'uomo è soltanto un ingranaggio, una parte necessaria dell'ordine stabilito, ma tanto più necessaria quanto più ispirata dall'alto. Col tempo, Domenico avrebbe saputo spiegare con la scienza, ciò che ora apprendeva dall'esperienza: avrebbe cioè dimostrato come tutto sia in fondo il trasmettersi di cause ed effetti, che a loro volta divengon cause d'effetti. Anticipando ciò che in seguito l'ordine suo andrà intendendo della natura della fede... che essa aggiunge un pezzo alla ragione, nel momento in cui la ragione ha raggiunto il suo picco nell'indicare, senza definire, la Causa prima di tutte le cose. Di questo tragitto, che dal bambino ci farà scorger lo Santo, andiamo ora a raccontare.
La vita di Domenico cambiò nel corso dell'inverno 1181, un inverno come tanti in Burgos, che tuttavia doveva portare costui molto lontano dalla famiglia. Nel mondo contadino, l'inverno è il tempo del riposo. Tutto sembrava rallentare, anzichè darsi scossone. Domenico amava sentire la vita nel vento fresco, e adorava contemplare l'incanto dei campi innevati... Da qui, forse, la successiva scelta del colore bianco, per sè e per i propri fratelli, a ricordo della stagione che cambiò la sua intera vita da qui in avanti.
Nel mentre lento di quelle giornate, giunse un giorno il Diacono Francisco, con una lettera per la famiglia Manguz.
Tale epistola arriva a noi oggi intatta: oltre ad essere fonte storica inestimabile, è prova dello sguardo vigile della Chiesa sui suoi figli, et in particolare coloro che si distinguono per la nobiltà dell'animo, e per chiaro senso della vocazione... in secula seculorum.

Citation:
Burgos, XX Gennaio, Anno Domini 1181,

All'attenzione della famiglia Manguz,

Figli cari,

gioite, perchè la grazia dell'Altissimo vi ha benedetto.

Da tempo il vostro Domenico è sotto la nostra attenzione nascosta, ma non per questo men vigile.
Noi conosciamo il significato del Suo sorriso silenzioso.
Noi conosciamo il motivo della Sua arguzia.
Noi conosciamo la ragione della Sua obbedienza.
E riconosciamo, in lui, la mano profonda della Provvidenza.
Sappiamo ch'egli non è fatto per il semplice lavoro dei campi.
Sappiamo che potrà dare gran prova di sè davanti a buoni Maestri.
Sappiamo che ad alti compiti è destinato.
E ci auspichiamo che possiate affidarcelo, per poterne seguire più da vicino la sua crescita.
Per la qual ratio...
La Santa Ecclaesia

Si impegna a provvedere al cibo materiale e spirituale che sarà necessario a fare, di questo frutto della terra, un astro splendente.

Attendiamo Domenico a Valencia, dove potrà cominciare i corsi di formazione teologica, col primo sole della Primavera.

Pax Vobiscum

Sua Eminenza Alberto Vescovo Mendoza.


La Chiesa aveva osservato dunque tante cose del piccolo Domenico, ma quello che non aveva considerato era il <<lutto>> che avrebbe provocato quella perdita.
Angelica dovette adoperarsi enormemente per placare l'animo del povero marito, che sentiva come se gli sottraessero il figlio dalla mani, nella voce inesatta di tutti i suoi sacrifici.
Ma quando il primo raggio di sole sciolse il primo fiocco di neve, a Burgos, fu proprio Domenico a guardare il babbo negli occhi, e a placare la sua ansia.
"Padre", gli disse, "Credi forse che il disegno di Dio fatto possa essere per arrecare offesa all'uomo? Sei talmente preso da te stesso, che non ti sei nemmeno accorto della condizione di mamma... lo dicono i suoi occhi che avrai una nuovo erede" .
Codesta la sintetica risposta:

"Questo qui lo chiamiamo Alfonso, come me, a scanso di equivoci!!!!

E tu, Domenico, vedi di prepararti subito il sacco, che devi partire!


Era una bella giornata di primavera, a Burgos... il Diacono Francisco de Izan si presentò in casa Manguz di buona mattina all'alba, trasse il bimbo con sè, e lo accompagnò alla volta di Valencia, in quello che doveva essere il primo viaggio della sua breve vita.

Anni di Formazione

Tra le Scuole Benedettine in Ispania, quella di Valencia era la più vicina allo studio teologico... pur senza dimenticare altri ambiti, quello filosofico, quello scientifico e tecnico, quello storico e politico, quello filologico.
Ciò si doveva all'erudizione di alcuni Maestri francesi, qui giunti dall'appena nata Università di Parigi, nota per quello che andava chiamandosi "Scolastica". Bizzarri alcuni di loro, c'era anche chi aveva dedicato la vita a ricercare della creazione del cavolo, ritenendolo ben più elevato spiritualmente di una semplice cipolla; invero teoria, questa, alquanto controversa e contrastata.
Erano presenti ovviamente corsi superiori di Dottrina, ma una qualche speciale cura veniva rivolta all'istruzione dei giovanissimi, raccolti qua e là sul territorio, primariamente per dovere di carità ai poveri, e secondariamente per desiderio di aiuto alle menti.
Domenico non fu inserito nelle classi come un prescelto, ma con la calma di chi sa attendere il genio. Nota era in zona l'arte dell'orafo, che scorge lo metallo infra la pietra.... senza per questo non intimorire la propria azione di pulitura evitando lo scalpello.
Non certo i fasti e la forza delle altezze romane si respirava qui. Ma un poco di quel mondo che s'andava aprendo, al di là del mille, inducendo i primi a spostare radice, si percepiva alquanto.
Invero fu un alemanno il maestro preferito di Domenico, non solo per la sua bonaria pedagogia, ma per le pronte intuizioni: corrispondeva egli al nome latinizzato di Frate Commentius, una sorta di Aristotele biondo che di certo molto aveva appreso approfondendo le situazioni e gli argomenti del Liceo antico.
Da lui, nei sette anni che seguirono, il futuro Santo apprese la minuzia dovuta all'analisi di un testo, la maniera efficace del ricordarlo a mente, i modi di assorbirlo e digerirlo, e quelli più avanzati di approfondirlo nella critica.
Fra i rapporti significativi di questo periodo, ricordiamo anche un certo Fidelius Mendoza, della Casata Mendoza, la stessa cui apparteneva il Vescovo di Burgos, quello zio che l'aveva a Valencia trasmesso affinché potesse comprendere la vita al di fuori dei privilegi della nobiltà.
Fidelius, un dodicenne sbarazzino, cui la vita aveva dato tutto, estraneo al lavoro delle mani, fu il primo vero amico di Domenico... ma il legame si rafforzò solo negli anni. La diversa estrazione sociale gravava pur sempre il peso sulle loro spalle, che all'inizio non si capirono affatto, come chi parla diversi linguaggi, pur adoperando una stessa lingua.
Due concezioni della nobiltà li dividevano: se l'uno considerava la nobiltà dell'anima, l'altro credeva soltanto nella nobiltà dei blasoni. In quel periodo, Domenico cominciò ad indossare un saio nero, molto misero e povero. Fece notare come dentro l'abito continuasse ad abitare saggezza e verità. Quando poi Fidelius s'accorse che il rispetto degli altri nei confronti dell'amico non s'era affatto spento, ma anzi, andava rafforzandosi, finalmente capì. Da allora in poi quell'amicizia può ben dirsi sia stata benedetta dall'Arcangelo Giorgio: Fidelius insegnò a Domenico come trattare con i ricchi, Domenico insegnò a Fidelius come trattare i poveri.Al termine degli studi, l'Altissimo disegnò per loro strade distanti ma parallele.
Quando Domenico lasciò la Scuola di Valencia aveva 18 anni, e già veniva chiamato Dottore, per la sua splendida ed enorme erudizione. Chi meglio lo conobbe, ha testimoniato di una sua massima, che possiamo ritenere la sintesi del percorso svolto fino a qui: "Nessuna fede è possibile senza la ragione o senza il cuore... ma mai la ragione deve agire senza il cuore, e mai il cuore deve agire senza la ragione"


La giovinezza:

Domenico è noto ai devoti per il sentimento di compassione che fin da giovane gli ispirò la sofferenza altrui. Si racconta che nel 1191, durante una carestia, vendette quanto in suo possesso, inclusi i suoi preziosi libri miniati, per dar da mangiare ai poveri.
Raggiunta la maturità, seguì senza indugio la Via della Chiesa, che dal Diaconato porta al Sacerdozio. Già per lui erano pronti alti incarichi, soprattutto diplomatici, essendogli riconosciute indiscusse capacità non solo nell'arte oratoria, ma anche nella comprensione dell'animo umano.
Il giorno che fu ordinato da Mendoza, ora Cardinale, un gruppo di corvi solcò il cielo, seguito da uno stormo di colombe; il popolo diede diverse interpretazioni a questo strano fenomeno: qualcuno pensò che dove fosse passato Domenico la sventura si sarebbe trasformata in quiete, qualcun altro che in ogni male, la fede porta del bene, taluni persino che il nero attacca, e il bianco difende, e altri ancora, semplicemente, che stava arrivando il periodo dei raccolti, ed era meglio piantare gli spaventapasseri. Ma tutti pensarono al miracolo.
Già Domenico era a servizio della Cattedrale di Valencia quando, quel giorno che fu ordinato, sfamati e strigliati, fuori dalla Chiesa, due ronzini attendevano lui e il Cardinale per un lungo viaggio, che li avrebbe portati nelle Terre del Nord, per conto del Re di Castiglia, il cui figlio era destinato sposo della Principessa di Danimarca: matrimonio, questo, che si voleva benedetto. Qualcuno avrebbe affermato più tardi che, in seguito a quello sposalizio, sulle tavole di Spagna e di Danimarca, non sarebbero più mancati né carne né pesce.
Presto il Cardinal Mendoza fece ritorno in Patria, recando seco la Principessa Sirena, ma Domenico ottenne di restare, volendo portare un poco di predicazione a quelle genti che l'Altissimo gli aveva messo davanti. Nei successivi cinque anni, dal 1193 al 1198, si prodigò affinché la Chiesa prendesse là corpo, e la fede si rinvigorisse. Noto ci è un piccolo trattatello sulla pesca, che Domenico si dilettò a scrivere osservando gli usi e i costumi di quel popolo marittimo. Contemporaneamente insegnò le tecniche di raccolta dei campi, che aveva appreso già in tenera età. La prosperità che gli fu riconosciuta portò molte conversioni, poiché dai frutti si imparò a vedere la mano di Dio. "Fatevi raccogliere dall'Altissimo, come la rete raccoglie i pesci, e sarete cibo spirituale" soleva dire a chi incontrava. Domenico si era dunque ben stabilito presso le comunità locali, e godeva di grande riconoscenza... e molti crederono che ivi si sarebbe trasferito stabilmente.
Finché, però, non fu raggiunto da una notizia assai dolorosa. Venne infatti avvisato delle brutte condizioni di salute in cui versava il padre Alfonso, e perciò la Chiesa gli concedeva di far rientro in famiglia, per l'estremo saluto e per le eventuali esequie.
Il Sindaco di Copenaghen gli mise a disposizione il migliore dei suoi destrieri, e tutta la città espose alle finestre pennacchi a lutto. Velocemente, Domenico partì.
Quando raggiunse Burgos, entrò nel piccolo paese quasi da forestiero, dietro la lunga barba che s'era fatto crescere e per le corrucciate rughe che gli solcavano la fronte, un poco confondendo i tratti originari. Solo sua madre riuscì distintamente a riconoscerlo, ed ella subito l'accolse in casa, e lo portò al capezzale del Padre.
Francisco de Izan ci racconta delle ultime parole che Domenico lasciò al genitore morente:
"Padre mio, anche la più dura roccia si piega alla pioggia e al sole, che eternamente ci colpiscono. Grande è stata la tua fede nelle tue mani callose, e nel lavoro della Terra. E' giunto per te il momento di cambiare... Rivolgi ora la tua fede al Cielo, e sarai salvato per sempre. Addio, sei stato un buon uomo, dopotutto, e molto ho imparato da te."
Queste parole chiudono la giovinezza di Domenico, e lo rendono consapevole della vita e della morte. Quando le pronunciò, suo fratello, Alfonso Jr Manguz, insistentemente si trovava nei campi, al lavoro. I due si osservarono a distanza, e fu quello il modo in cui si conobbero, e in cui si lasciarono.

La maturità

Chiaro era come Domenico appartenesse alla Chiesa, e come ad essa la sua vita fosse dedicata. Di certo non lascia indifferenti tornare ai luoghi natii e riscoprire le proprie radici, e soprattutto gli occhi teneri di una madre, e quelli morenti di un padre. Ma lo Nostro Frate fu sempre consapevole di appartenere ad un altrove, e di aver molto da fare per la Vigna del Signore. Conservò, di Burgos, il ricordo, ma non vi fece più ritorno. Riprese invece il suo viaggio, con l'intento di tornare in Danimarca, fra quella Comunità che riteneva la propria.
Ma questa volta gli fu anche chiesto di fare sosta nella Francia meridionale, per decisione addirittura del Sommo Pontefice, che molte energie stava allora spendendo per spegnere i focolai pagani divampati in quelle zone. Ciò che doveva essere un breve passaggio, durò in realtà dieci anni, tanto gli costò il compito della conversione. Il Vescovo della zona lo nominò predicatore del Regno: egli sosteneva che un Prete dovesse versare tutta la vita per la diffusione del credo aristotelico e per combattere le eresie, punendo coloro che non osservavano il Diritto Canonico.
L'azione di Domenico fu così efficace che presto assunse il ruolo di Missus Inquisitionis. E come tale fu convocato, nell'autunno del 1211, a Roma, per fare il punto della situazione e per esporre il proprio pensiero relativamente all'opera sua.
Qui Domenico si fece certamente notare: il Papa lo stimò subito per la sua grande conoscenza dei testi sacri aristotelici e per il grande fervore spirituale che lo muoveva. Ma soprattutto lo mosse l’idea di creare un ordine religioso che comprendesse due tipi di vie al suo interno:

- una itinerante, per chi desiderava andare nel vasto mondo per la conversione degli infedeli e per soccorrere i poveri
- una conventuale, per chi con lo studio dei testi desiderava contribuire alla crescita culturale della propria Diocesi, insegnando nelle Università, dirigendo i seminari, ma soprattutto dipanando ciò che anche nel sapere è insidia.

Il discorso che Domenico fece presso la Santa Sede è agli atti nei segreti archivi. Trapela però che quel giorno, in cui parlò, una luce lo colpì, che quasi si vide il riflesso della sua anima benedetta.
Terminato il Concilio, a Domenico fu finalmente concesso di tornare in Danimarca, per scontare i suoi giorni. Appena giunto a Copenaghen capì che tutti ancora si ricordavano di lui, e che la sua fama era quasi leggenda. Gli era stata persino dedicata una Piazza, con un busto in mezzo. Attorno, i campi crescevano rigogliosi, e mai s'era visto a memoria d'uomo tanta abbondanza di pesci nelle reti che venivano lanciate a mare. Ma soprattutto era nata una piccola Associazione di uomini e donne, dediti a tramandarne il ricordo e diffonderne il pensiero. Pian piano, dacché Domenico giunse in città, costoro presero i voti, e cominciarono la vita religiosa regolare. Gli anni passarono in questo modo tranquillo e glorificato da Dio: le certezze di Domenico si fecero sempre più solide, a man a mano che vedeva la Comunità crescere, e soprattutto i giovani entusiasmarsi e accendersi per la fede.
E dunque cominciò a sentire chiara la vocazione di creare un Ordine ben preciso, ispirato a quanto la vita gli aveva insegnato. Scrisse dunque al Pontefice quanto segue:

Citation:
"Copenaghen, XV Ottobre Anno Domini 1218

Vostra Beatitudine,

non sempre ci è chiaro il disegno che l'Altissimo ha predisposto per noi, ma col passare degli anni esso diventa certamente più presente ed intelligibile. I segni che Egli ci dà non diventano, allora, solo evidenti alla nostra coscienza, ma persin nelle cose e nelle genti.
Grato sono a Dio per ciò che vedono oggi i miei occhi, ed il mio cuore giubila nel considerare quello che la mia vita è stata, strumento nelle Sue mani. Ora considero l'accaduto come fosse il segno efficace della Provvidenza, e intendo completarne l'ultima sfumatura.
Ciò che dissi a Roma, che nel mio ragionare fu pura costruzione intellettuale, un Castello della rettorica, io lo vedo già realizzato qui, nella mente e nei cuori di questi miei Fratelli, i quali mi hanno seguito nella vita religiosa, chiedendo una guida non solo per ora, ma anco per il domani.
Et perciò vi chiedo di considerare lo Stato Nostro, e di ufficializzare la REGOLA che è nata nelle nostre mani e attraverso le nostre preghiere.
Vi invio dunque il Testo che governa la nostra vita oggi, sperando che gli diate approvazione.

Vostro devotissimo figlio,

Padre Domenico.


La Missiva non ebbe risposta immediata, ma la vita a Copenaghen continuò nel segno della fede e della devozione.
Intanto però Domenico aveva incominciato a deperire. A chi gli faceva visita, soleva dire: "Questi sono i modi con cui l'Altissimo ci chiama a Sé... la sofferenza ci mette alla prova, ma un giorno saremo nella gioia assoluta"
Quando la risposta del Papa giunse, fu recapitata a Domenico nel suo letto di febbre. Non si trattò di un assenso o di una dissenso... era piuttosto un invito a tornare a Roma per discuterne. Con difficoltà, Domenico si preparò per l'ultima missione... partendo tra i Fratelli in pianto, consapevoli che non l'avrebbero più rivisto, e persino incerti che sarebbe giunto a destinazione.
A costoro Egli disse: "Cosa sono quelle facce! Avete forse da ridire sul disegno dell'Altissimo? Pregate Fratelli, perché se sarete devoti un giorno ci rivedremo tutti nell'Alto dei Cieli"

La morte:

Domenico raggiunse Roma in un viaggio che durò ben due anni. Sentiva la morte sopraggiungere, e ogni sosta era estremamente dolorosa per lui, tanto che doveva attendere a riprendersi, per racimolare quelle poche forze necessarie a proseguire. Chiunque lo vide sarebbe stato pronto a giurare, comunque, che mai il Padre avrebbe rinunciato a quello che stava ora facendo.
Il X marzo dell'Anno del Signore 1222 Domenico varcò, esausto, le porte di Roma... e qualche mese più tardi fu ricevuto dal Papa. Fece in tempo a ridiscutere della sua idea, e a spiegare nel minimo dettaglio il suo progetto ai Dottori della Chiesa che lo dovevano approvare.
Ma il 15 Novembre del 1223 esalò sul suo letto di morte. I medici decisero di far bruciare il suo corpo, affinché la malattia non si diffondesse dalla sua decomposizione. Ma accadde qualcosa: alla prova del fuoco le carni di Domenico non bruciarono, e anzi sembrarono riprendere l'antico vigore. Ne fu dunque ricavato il cuore, che divenne reliquia, e sarà successivamente portato, per essere custodito, a Trieste, sede del primo Monastero a lui dedicato.
La storia di Domenico e di quegli ultimi giorni, dell'impegno che mise nella missione, in ogni momento, pervase Roma, e in suo nome furono create piccole edicole votive.
Il Pontefice che lo aveva accolto restò in carica per altri 15 anni. Il successore, che aveva sentito parlare di questo Domenico a causa di numerosi miracoli in tutto il mondo fatti per sua intercessione, lo fece canonizzare e riconoscere Santo Dottore della Chiesa Aristotelica e Martire il 15 novembre 1240, nel giorno della commemorazione della sua morte.

LA DOTTRINA:

- LA PREGHIERA:

“ E’ compito fondamentale della vita di ogni buon figliolo aristotelico che sempre, in ogni momento, sia ricordato Nostro Signore, perché egli è il fine di tutte le cose, e tutto tende per natura a Lui”.
Con queste parole incitava alla preghiera i fedeli che incontrava sul suo cammino Domenico, certo della fondamentale importanza della preghiera nella vita di ogni uomo.
Egli insegnava a pregare il Signore e i Suoi Profeti, non solo nei momenti del bisogno, ma anche e soprattutto per ringraziarlo per Suoi Santi doni.

-LA CONVERSIONE:

“Ogni uomo, tanto più se ha consacrato la vita a Nostro Signore, deve sentire in sé il dovere di diffondere la Sua Parola, perché la fede non è un tesoro che va conservato avidamente, ma dev’essere al contrario aperto e offerto a tutti, perché tutti possano allietarsi e salvarsi nella Gloria del Nostro Signore”
Domenico, che aveva ricevuto dal Pontefice l’incarico di convertire i pagani, incitava in questo modo anche i suoi “fratelli di fede” a collaborare per diffondere il Credo Aristotelico.

-LA PUNIZIONE:

“ E’ necessario, a volte, me malgrado, per poter aiutare nel far comprendere il cammino di Nostro Signore ai popoli che non ne hanno conoscenza, l’utilizzo di mezzi fisici, affinché la punizione dell’uno aiuti gli altri membri infedeli della sua comunità a intraprendere il giusto cammino verso la salvezza e la redenzione con Nostro Signore” .
Con queste parole Domenico, dopo essere nominato Missus Inquisitionis, spiega le motivazioni e la necessità dell’utilizzo dei “mezzi fisici” per diffondere la Fede verso la Santa Chiesa Aristotelica.

- LA CHIESA:

“Ahimè, purtroppo al mondo non vi è un Regno, Ducato, Principato alcuno in cui il governo si possa dire funzionante e organizzato ala perfezione: esso, per quanto muti la sua struttura e la sua composizione, resta sempre mal funzionante. Ma debbo riconoscere, e di questo sono grato a Nostro Signore per il dono che ci ha fatto, che esiste una struttura il cui funzionamento e la cui composizione sono ispirate al divino. questa è la Santa Chiesa Aristotelica, che può dirsi incapace di vacillare”.
Con queste parole, Domenico proclama la sua totale fedeltà alla Santa Chiesa Aristotelica.

- LA POVERTA’:

“ Al mondo non rimane nulla: tutto ciò che Nostro Signore dà, un giorno se lo riprenderà, Egli ha creato il mondo con le sue creature e le sue risorse affinché l’uomo ne tragga vantaggio e possa vivere e utilizzare solo ciò di cui s’abbisogna. Nostro Signore non vuole che un uomo che si ritiene giusto conserva per sé dei beni che non gli abbisognano; in realtà vi dico che costui diverrà motivo di disprezzo agli occhi dell’Altissimo, perciò vi esorto, fratelli e sorelle carissime, a tenere per voi solo ciò che vi è più necessario: non accumulate, perché ciò che il Signore dà il Signore toglie”. Domenico convinto che la povertà fosse l’elemento essenziale per mantenere un buona condotta di vita, con queste parole insegnava a seguire il suo esempio.


LA REGOLA:

Figli miei, dopo lungo meditare in questa mia angusta cella, ore passate a pregare l’Altissimo, il Santissimo Aristotele e il Santissimo Giosué Christos, sono giunto alla conclusione che la mia vita deve seguire le regole che ora andrò ad esporre:

I. l’Altissimo è il mio Signore, a Lui devo la mia esistenza su questa terra e ai Suoi Profeti devo l’insegnamento della regola di vita che porterà la mia anima alla salvezza eterna;

II. Il Santo Padre, discendente eletto del Santissimo Titus, ed il Collegio del Cardinali, gli Arcivescovi, i Vescovi ed il clero tutto sono la mia famiglia, i miei padri e mentori, perché loro sono i prosecutori dell’opera degli Apostoli del Santissimo Giosué Christos. A loro io debbo la mia obbedienza assoluta;

III. Coloro che hanno deciso di seguire il mio modo di vivere sono i miei fratelli e compagni, in quanto tutti siamo figli dell’Altissimo e tutti abbiamo la stessa missione;

IV. La Conoscenza è, assieme alla Fede nella parola del Santo Aristotele, la via più difficile ma anche la più sicura per la salvezza della mia anima, quindi lo Studio e la Conoscenza sono fondamentali per la mia vita;

V. L’Eresia è figlia dell’ignoranza. E’ mio compito, quale figlio devoto dell’Altissimo, di insegnare la retta Via a quelli che cadono tra le braccia di questa forma di ignoranza, a costo di liberare la sua anima dalla corruzione del corpo, in modo che Domineddio possa re-illuminare la sua anima;

VI. Devo vivere con i miei fratelli in modo che la Conoscenza che uno ha possa essere trasmessa anche agli altri e quella degli altri all’uno. In questo modo, con l’ausilio della preghiera verso Nostro Signore, e solo in questo modo, si potrà raggiungere la Vera Conoscenza;

VII. E' mio compito viaggiare per fare in modo che la Conoscenza sia il più possibile sparsa per il mondo e la Fede nell’Altissimo assieme ad essa;

VIII. E' cosa buona e giusta che io, avendo appreso dal Santo Aristotele l’importanza fondamentale della Pace come prerogativa di vita in Comunità, cerchi di mantenerla in ogni modo, per far si che l’armonia non venga mai turbata e che l’amicizia non sia mai distrutta.

IX. L’Umiltà quale fondamento di tutte le Virtù deve essere sempre presente nella mia vita affinché io possa con la mia vita essere d’esempio a coloro che mi seguono e questi a loro volta per gli altri.

X. Ogni violenza rifugga da me perché io mai solleverò un bastone contro un altro fratello, perché se questi ha commesso violenza non starà a me giudicarlo, ma all’Altissimo alla fine dei tempi.

Giorno del Santo: 15 novembre

Reliquie: Cuore del Santo ustionato

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MessagePosté le: Mar Fév 18, 2014 2:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


Hagiografía de Santo Domingo
Santo Patrono de la Orden de los Frailes Dominicanos Conventuales e Itinerantes


Burgos, 24 de marzo 1170 – Roma, 15 de noviembre 1223

Infancia de Domingo

Todos en Burgos conocían a Alfredo Manguz, un agricultor muy fiel al trabajo y devoto a la fatiga en los campos. Se cuenta que nunca pidió ayuda al Ayuntamiento, y jamás el favor de algún hacendado local para cosechar sus mazorcas y para alimentar su familia.

En efecto, la tierra de su propiedad le jugo una batalla difícil, pero la perseverancia y la tenacidad trajeron tal prosperidad que decidieron tener un hijo, el único ser en el mundo que Alfredo permitiría trabajar sus campos.

Como una señal, el tan esperado niño nació sorpresiva y prematuramente mientras su padre estaba arando. La alegría fue enorme y hubo una gran fiesta: fue un 24 de marzo 1170 el día en que nació Domingo.

El padre miró a su hijo, ya él primero, sin que él siquiera lo comprendiese, anunció su nombre, Domingo, en memoria de su tío, el hermano Alfredo quien murió durante una batalla contra los moros del norte de África durante las guerras de expansión del Reino de Castilla.
La intención del honesto agricultor era recordar la sangre de su sangre, la locura de abandonar su propia casa y su propia tierra para seguir otros sueños. Era la única enseñanza que quería realmente dar y el rudo hombre la dio inmediatamente, poniendo así su corazón en reposo mientras que la delgada figura del niño tuviese los brazos suficientemente fuertes.

Él dejó a su esposa, Angélica, el cuidado de las demás prácticas y ella se esforzó no sólo para enseñar a Domingo el alfabeto y el conocimiento del cálculo, sino también para iniciarlo en la fe, de la manera más natural posible. Solía hacerlo dormir con una plegaria. Gracias a esto, Domingo solía dormir tranquilo y sereno.

Pero la verdadera catequesis la tuvo de Francisco de Izan, un primo lejano, diácono en Burgos, que lo preparó para el bautismo. En el curso de estas lecciones, Domingo demostró tener un enorme y exquisito talento para la cuestión teológica, que le llevó a leer y estudiar con pasión creciente el Libro de las Virtudes, después de haber adquirido, extraordinariamente, el conocimiento del Latín.

El hijo de la Providencia no parecía haber nacido, en el diseño del Altísimo, para la cosecha sino para cosas como las celebraciones del Espíritu. Domingo se reportó al párroco local, por su carácter, a la edad de diez, e incluso el Obispo se interesó en su caso .... dirigiéndose a él como un pequeño monaguillo.

Sin embargo sabía que su padre Alfredo no quería que se desentendiera de la familia en los asados del domingo. Hizo de Domingo un hijo duro y fuerte. Fue entonces cuando su padre decide separarlo del mundo donde lo había dejado para traerlo al suyo. Desde luego el hijo se lamentaba de aquella decisión, que ciertamente ya conocía hace algún tiempo, pero sentía que era la elección de su destino ya escrito.

Sin embargo, Domingo, aún pequeño, demostró hacer bien el trabajo de los campos, satisfaciendo a su padre, quien pensó que finalmente había conseguido la recompensa de tanto trabajo.

Ese breve período en la vida del Santo no debe ser considerado menos formativo que otras etapas, aunque sin duda representa un paso menor del conjunto de su vida humana. El tiempo en el campo que dedicó Domingo fue un año entero y le hizo madurar como lo hacen las frutas, la idea del ciclo de las estaciones, de la renovación y del perecer para luego restaurar y dar una nueva vida a los cultivos. Agradeció recordar en el transcurso de las celebraciones eucarísticas que el Altísimo le da al hombre, en virtud del compromiso.

De hecho, lo que se proponía sobre el trabajo era una concepción muy distinta de la de su padre... podía, de hecho, ver el poder de Dios sobre la creación y el motor que mueve las cosas, del cual el hombre es sólo un engranaje, una parte necesaria del orden establecido, pero aún más necesaria cuanto más inspirada este desde arriba. Con el tiempo, Domingo hubiese sido capaz de explicar con la ciencia, lo que ahora aprendía de la experiencia: él demostró como todo se transmite al final a través de la causa y efecto, que a su vez se convirtió en causa de los efectos. Anticipándose a lo que más tarde se ordenó como el sentido de la naturaleza de la fe... lo cual añade una pieza a la razón, cuando esta ha llegado a su máximo, señalado, sin definir, la primera causa de todas las cosas. De esta forma, el niño se convertirá en Santo, lo cual vamos a comentar a continuación.

La vida de Domingo cambió durante el invierno de 1181, un invierno como tantos otros en Burgos, que, sin embargo, lo llevaría lejos de la familia. En el mundo rural, el invierno es el tiempo para el descanso. Todo parecía ir más despacio, tal vez para una reorganización. A Domingo le encantaba sentir la vida a través del viento fresco y le encantaba contemplar el encanto de los campos invernales... Por lo tanto, tal vez, podría haber influído en la posterior elección del color blanco, para sí y para sus hermanos, en memoria de la estación que cambió toda su vida de aquí en adelante.

En la parsimonia de aquellos días, llegó un día el Diácono Francisco, con una carta para la familia Manguz.

Esta epístola nos llega intacta hoy: además de ser una fuente histórica invaluable, es una prueba de la atenta mirada de la Iglesia sobre sus hijos, especialmente los que se distinguen por la nobleza del alma y el sentido claro de la vocación ... "in secula seculorum".

Citation:
Burgos, XX de enero del Año de Gracia 1181,

A la atención de la familia Manguz,

Queridos hijos,

Alégrence, porque la gracia del Altísimo los ha bendecido.

Hace tiempo que Domingo está oculto de nuestra atención, pero no por ello está menos alerta.
Sabemos el significado de su sonrisa silenciosa.
Sabemos la razón de su ingenio.
Sabemos la razón de su obediencia.
Y reconocemos en él la parte profunda de la Providencia.
Sabemos que no está hecho para el simple trabajo en el campo.
Sabemos que va a dar mucho de sí mismo en evidencia delante de los buenos Maestros.
Sabemos está destinado a las altas tareas.
Y esperamos que puedan confiarnoslo, con el fin de seguir más de cerca su crecimiento.
Por esta razón...
La Santa Iglesia

Se ha comprometido a proporcionar todo lo que se necesita para hacer de este fruto de la tierra, una estrella brillante.

Esperamos a Domingo en Valencia, donde podrá comenzar el curso de formación teológica, con el primero sol de la primavera.

Pax Vobiscum

Su Eminencia Alberto Obispo Mendoza.



La Iglesia había observado muchas cosas del pequeño Domingo, pero lo que yo no había considerado era el <<duelo>> que daría lugar aquella pérdida.

Angélica tuvo que trabajar muchísimo para apaciguar el alma del pobre marido, que se sentía como si le hubiesen arrancado a su hijo de sus manos, sin importar todos sus sacrificios.

Pero cuando el primer rayo de sol se abrió entre el primer copo de nieve, en Burgos, fue el propio Domingo quien miró a su padre a los ojos y aplcacó su ansiedad.

" Padre", dijo,
"¿Cree usted que el plan de Dios puede hacer ofender al hombre? Estás tan ocupado de ti mismo, que no te has dado cuenta de la condición de mamá... dijo mirandola a los ojos pues esperaba un nuevo heredero."

Una respuesta concisa:

"A él lo llamaremos Alfonso, como yo, para evitar cualquier malentendido!!!


Y vos, Domingo, andá preparando inmediatamente la bolsa, que debés partir!"

Era un hermoso día de primavera en Burgos... el Diácono Francisco de Izan se presentó en la casa Manguz bien temprano al alba, se llevó al niño consigo y lo acompañó en su regreso a Valencia, en lo que sería el primer viaje de su corta vida.

Años de Formación

De las Escuelas Benedictinas en los Reinos Hispánicos, la de Valencia era la más cercana para el estudio teológico sin dejar de lado otras ámbitos, como el filosófico, el científico, el técnico, el histórico, el poltícico y la filología

Se dieron becas a algunos maestros franceses, que habían venido aquí de la recién fundada Universidad de París, conocida por el nombre de "Escolástica". Gozo para algunos de ellos, estaban los que habían dedicado su vida para buscar la creación de la col, teniendo en cuenta que era algo mucho más grande espiritualmente que una cebolla sencilla; de hecho esta teoría era muy controvertida y opuesta.

Había cursos claramente superiores sobre la Doctrina, pero se prestaron algunos algunos cuidados especiales a la educación de los jóvenes, recogidos aquí y allá en diferentes lugare, sobre todo por el bien de la caridad a los pobres, y en segundo lugar el deseo de ayudar a los pensadores.

Domingo no se incluyó en las clases como alguien selecto, pero con la tranquilidad de la que se esperaba de un genio. Notoria era en la región el arte de la orfebrería, que valúa al metal por debajo de la piedra sin que esto intimide la acción de pulir evitando un escalpelo.

Ciertamente el esplendor y la fuerza de las alturas romanas no se respiraban aquí. Pero un poco de ese mundo se vislumbraba, de los muchos, induciendo ser el primero en mover sus raíces, algo se sentía.

En realidad, el maestro preferido de Domingo fue un alemánico, no sólo por su pedagogía bondadosa, sino por las ágiles intuiciones: correspondía al nombre latinizado de Hermano Commentius, una especie de Aristóteles rubio que de cierto modo había aprendido profundizando las situaciones y los argumentos del Liceo antiguo.

A partir de él, en los siete años que siguieron, el futuro Santo aprendió las minucias en el análisis de un texto, la manera eficaz de despertar a la mente, las formas de absorberlo y digerirlo y aquellos más avanzados que le permitían examinar profundamente la crítica.

Entre las relaciones significativas de este período, también recordamos a un tal Fidelius Mendoza, de la Casa de Mendoza, la misma que pertenecía el Obispo de Burgos, quien su tío le había enviado a Valencia para que pudiera entender la vida fuera de los privilegios de la nobleza.

Fidelio, un alegre niño de doce años de edad, a quien la vida le había dado todo, ajeno a los trabajos manuales, fue el primer verdadero amigo de Domingo pero el vínculo solamente se hizo más fuerte en los últimos años. Los diferentes estratos sociales grababan siempre su peso sobre sus hombros, que al principio no entendían del todo, pues que ellos hablaban diferentes idiomas hasta que fueron adoptandolo a una misma lengua.

Dos concepciones de la nobleza divididas: si uno considera la nobleza del alma, el otro creía solamente en la nobleza de los blasones. En ese momento, Domingo comenzó a llevar un hábito negro, muy pobre y necesitado. Señaló que en el hábito continuaba viviendo la sabiduría y la verdad. Cuando Fidelius se dio cuenta que el respeto de los demás hacia su amigo no se había apagado del todo, sino más bien, mejoró, finalmente entendió. A partir de ese entonces se puede decir que la amistad había sido bendecida por el Arcángel San Giorgio: Fidelius enseñado a Domingo cómo tratar con los ricos, Domingo enseñó a Fidelius cómo tratar con los pobres. Al final de los estudios, el Altísimo diseñó caminos distantes para ello pero paralelos.

Cuando Domingo salió de la escuela de Valencia tenía 18 años, ya siendo llamado Doctor por su espléndida y enorme erudición. Quien mejor lo conocía, ha testificado su máxima, que podemos asumir como la síntesis del camino recorrido hasta el momento:

"Ninguna fe es posible sin la razón o sin el corazón, pero nunca la razón debe actuar sin el corazón, y nunca el corazón debe actuar sin la razón"


Su adultez

Era claro que Domingo pertenecía a la Iglesia, era claro que le dedicó su vida. Desde luego, no le hubiese gustado volver al lugar donde nació y redescubrir sus raíces, y especialmente volver a los ojos tiernos de una madre y los de un padre moribundo, oero Domenico siempre fue consciente de que pertenencía a otro lugar, y tenía mucho por hacer en la Viña del Señor. Conservó, de Burgos, el recuerdo, pero no regresó.

En su lugar, se encaminó en su viaje, con la intención de regresar a Dinamarca, aquella comunidad que creía suya.

Pero esta vez el Sumo Pontífice le pidió que haga una parada en Francia meridional, el Papa estaba luchando con todas sus fuerzas para apagar los focos paganos que rugían en aquella zona. Lo que iba a ser un breve pasaje, en realidad duró diez años, tanto que le costó la tarea de conversión. El Obispo de la zona le nombró predicador del Reino: argumentó que un Padre debe prestar toda su vida a la difusión del Credo Aristotélico y a la lucha contra la herejía, puniendo a los que no observen el Derecho Canónico.

La acción de Domingo fue tan eficaz que pronto asumió el rol de Missus Inquisitionis. Y, como tal, fue convocado, en el otoño de 1211, a Roma, para hacer un balance de la situación y para exponer sus propios pensamientos en relación a su obra.

En este tiempo, Domingo se hace realmente conocido: el Papa lo estimó de inmediato por su gran conocimiento de los textos sagrados aristotélicos y por el gran fervor espiritual que lo movía. Pero, sobre todo, tenía la idea de crear una orden religiosa que incluía dos tipos de vías en ella:

- Una itinerante, para los que querían andar por el mundo convirtiendo a losinfieles y ayudando a los pobres.
- Una conventual, para aquellos con el estudio de los textos que deseaban contribuir al crecimiento cultural de su Diócesis, enseñandolos en la universidad, dirigiendo seminarios, más sobretodo sabiendo que en el saber hay no hay insidia.

El discurso que Domingo realizó en la Santa Sede está registrado en los archivos de la catacumbas. Se dice que ese día, en el que hablaba, una luz lo golpeó, y casi pudo verse el reflejo de su alma bendita.

Después del Concilio, le permitieron finalmente regresar a Dinamarca, para servir a la iglesia. Al llegar a Copenhague se dio cuenta de que todos se acordaban de él y que su reputación era casi legendaria. Incluso le dedicaron una Plaza, con un busto en el centro. Los campos circundantes prosperaron y nunca se habían visto en la memoria de un hombre tanta abundancia de peces en las redes que se arrojaban al mar.

Pero, sobre todo, nació una pequeña asociación de hombres y mujeres, dedicados a transmitir la memoria y difundir el pensamiento. Poco a poco, gracias a que Domingo llegó a la ciudad, tomaron sus votos y comenzaron su vida religiosa regular. Los años pasaron en forma tranquila, mientras glorificaban a Dios: las certezas de Domingo se hizo cada vez más sólida, una mano del hombre que vio crecer a la Comunidad, y especialmente a los jóvenes emocionarse y ascender por la fe.

Y así empezó a sentir una clara vocación de crear un Orden inspirado por lo que la vida le había enseñado. Él escribió al Pontífice lo siguiente:


Citation:
"Copenhague, XV Octubre Anno Domini 1218

Vuestra Beatitud,

No siempre está claro el diseño que el Altísimo ha preparado para nosotros, pero en los últimos años sin duda se hace más presente y comprensible. Los signos que Él nos da no los devolvemos, entonces, sólo es evidente para nuestra conciencia, pero persiste en las cosas y la gente.

Agradecemos a Dios por lo que ven hoy mis ojos y mi corazón se regocija en la consideración de lo que mi vida ha sido, un instrumento en sus manos. Ahora considero el hecho como si fuera el signo eficaz de la Providencia, y tengo la intención de completar su último matiz.
Lo que dije en Roma, que en mi razonamiento era construcción intelectual pura, un Castillo de la retórica, veo que ya se ha hecho aquí, en las mentes y los corazones de estos hermanos míos, a los que me han seguido en la vida religiosa, siendo una guía no sólo para el presente sino también para el futuro.

Por esto pido que considere Nuestro Estatuto y formalice la REGLA nacida en nuestras manos y a través de nuestras oraciones.
Así pues, envío el Texto que rige nuestras vidas hoy en día, con la esperanza de que se le dé su aprobación.

Vuestro devotísimo hijo,

Padre Domingo.



La misiva no tuvo respuesta inmediata, pero la vida seguía en Copenhague por el camino de la fe y la devoción. Sin embargo, Domingo había comenzado a decaer. Para aquellos que lo visitaban, solía decir:

"Estas son las formas en que el Altísimo nos llama a Sí ... el sufrimiento nos pone a prueba, pero un día vamos a estar en la gloria absoluta"

Cuando llegó la respuesta del Papa, fue entregada a Domingo. mienrta este yacía en cama con fiebre. No fue un asentimiento o disentimiento, era más bien una invitación a volver a Roma para debatir. Con dificultad, Domingo se preparó para la última misión partiendo entre los Hermanos que llorban, pues sabían que no no iban a verse de nuevo, e incluso inseguros de que llegaría a su destino. A ellos les dijo:

"¿Por qué estas caras? ¿Acaso ustedes pueden decir algo sobre el diseño del Altísimo? Oremos Hermanos, porque si ustedes son devotos un día los voy a ver a todos en el Alto de los Cielos!"

La muerte de Domingo

Domingo llegó a Roma en un viaje de dos años. Sentía la muerte asechar y cada parada era muy dolorosa para él, por lo tantom debían esperar que se recupere, debía esperar que acumulara la pequeña fuerza necesaria para continuar. Cualquiera que lo viera habría estado dispuesto a jurar, sin embargo, que el Padre nunca renunció a lo que estaba haciendo.

El X de Marzo del Año del Señor de 1222 Domingo cruzó, agotado, las puertas de Roma y unos meses más tarde fue recibido por el Papa. Hizo tiempo para reconsiderar su idea y para exponer en detalle su proyecto a los Doctores de la Iglesia, los cuales tenían que aprobar lo que Domingo decía.

Sin embargo, el 15 de Noviembre de 1223 se dio por vencido en su lecho de muerte. Los médicos decidieron quemar su cuerpo, para que la enfermedad no se difundiera por su descomposición. Pero algo sucedió: el fuego no quemó la carne de Domingo, de hecho parecía retomar la antigua fuerza. Por último, el corazón, que se convirtió en una reliquia y posteriormente fue conservado y custodiado en Trieste, sede del primer Monasterio dedicado a él.

La historia de Domingo y los últimos días, el compromiso que se inició con la misión, en algún momento, compenetrado en Roma y en su nombre fueron crendo pequeños santuarios.

El Pontífice que le había dado la bienvenida se mantuvo en el cargo durante 15 años más. El sucesor, que había oído hablar de Domingo debido a los numerosos milagros en todo el mundo realizados por su intercesión, lo hizo canonizar y reconocer Santo Doctor de la Iglesia Aristotélica y Mártir el 15 de Noviembre de 1240, el día de la conmemoración de su muerte.

Traducido por Lisandross
Re-traducido y corregido por Chapita


Citation:


Anexo de la Hagiografía del Beato Santo Domingo - Las 10 reglas de Santo Domingo

Hijos míos, después de mucho meditar en mi estrecha celda, horas dedicadas a la oración al Altísimo, al Santísimo Aristóteles y al Santísimo Jeshua Christos, he llegado a la conclusión de que mi vida debe de seguir las reglas que ahora voy a exponer:

I. El Altísimo es mi Señor, y le debo mi existencia en esta tierra. A sus profetas debo la enseñanza de la regla de vida que llevará mi alma a la salvación eterna;

II. El Santo Padre, descendiente elegido por el Santísimo Tito, el Colegio de Cardenales, los Arzobispos y Obispos y todo el clero son mi familia, mis padres y mentores, ya que ellos son los fiscales de la labor de los Apóstoles del Santísimo Jeshua Christos. A ellos les debo mi obediencia absoluta;

III. Aquellos que han decidido seguir mi modo de vida son mis hermanos y compañeros, ya que todos somos hijos del Altísimo y todos tenemos la misma misión;

IV. El conocimiento es, junto con la Fe en la Palabra del Santo Aristóteles, la vía más difícil pero también la más segura para la salvación de mi alma, por lo que el estudio del Conocimiento es fundamental para mi vida;

V. La herejía es la hija de la ignorancia. Es mi trabajo, como hijo devoto del Altísimo, enseñar la Vía correcta para aquellos que caen en los brazos de esta forma de ignorancia, con el propósito de liberar su alma de la corrupción del cuerpo con el propósito de que Dios Todopoderoso pueda volver a iluminar su alma;

VI. Debo vivir con mis hermanos para que el Conocimiento se pueda transmitir de los unos a los otros. De esta manera, con la ayuda de la oración de Nuestro Señor, y sólo de esta manera, se puede llegar al Verdadero Conocimiento;

VII. Es mi deber viajar para asegurarse de que el Conocimiento pueda extenderse por todo el mundo y la Fe en el Altísimo conjuntamente con él;

VIII. Es bueno y justo que yo, habiendo aprendido del Santo Aristóteles la importancia fundamental de la Paz como una primicia de la vida en comunidad, trate y asegure por todos los medios posibles que la armonía no se altere y que la amistad no sea destruida.

IX. La Humildad como fundamento de todas las virtudes debe estar siempre presente en mi vida, a fin de que con mi vida pueda servir de ejemplo para los que me siguen y estos a su vez servir de ejemplo a los demás. Así, junto con la Fe y el Conocimiento, será difundida por el mundo.

X. Toda Violencia evade de mí. Nunca he elevado un palo contra otro hermano porque si ha cometido actos de violencia no estará en mí juzgarlo. El Todopoderoso será el encagardo de hacerlo en el final de los tiempos.

Traducido por Lisandross
Re-traducido y corregido por Chapita


Citation:


Anexo de la Hagiografía del Beato Santo Domingo - La Doctrina de Santo Domingo

LA ORACIÓN

"Es tarea fundamental en la vida de todo buen hijo aristotélico siempre y en todo momento, recordar a Nuestro Señor, porque él es el fin de todas las cosas y todo tiende por naturaleza a Él."

Con estas palabras exhortaba a la oración a los fieles que encontraba en su camino, Domingo estaba seguro de que la oración tenía una importancia fundamental en la vida de cada hombre. Él enseñaba como orar al Señor y a Sus Profetas, no sólo en tiempos de necesidad sino también para darle las gracias por Sus Santos dones.

LA CONVERSIÓN

"Todos los hombres, sobre todo si han dedicado su vida a Nuestro Señor, debe sentir en sí el deber de difundir La Palabra, la fe no es un tesoro que debe ser preservado con avidez sino por el contrario debe ser abierto y ofrecido a todos, para que todos se regocijen y sean salvados en la Gloria de Nuestro Señor"

Domingo, quien había recibido del Papa la tarea de convertir a los paganos, de esta manera también instó a sus hermanos en la fe a colaborar en la difusión del Credo Aristotélico.

EL CASTIGO


"Es necesario, a veces, muy a mi pesar, con el fin de ayudar a entender el camino de Nuestro Señor a las personas que no tienen el conocimiento, el uso de medios físicos, por lo que el castigo de uno ayuda a los demás miembros infieles de la comunidad a entender el camino de la salvación y la redención con Nuestro Señor"

Con estas palabras, Domingo, después de haber sido nombrado Missus Inquisitionis, explica las razones y la necesidad del uso de medios físicos para difundir la Fe de la Santa Iglesia Aristotélica.

LA IGLESIA

"Por desgracia, por desgracia, en el mundo hay un Reino, un Ducado, un Principado en que el gobierno se pueda decir que es funcional y organizado a la perfección: que, con la alteración de su estructura y su composición, sigue funcionando mal. Pero debo admitir, y agradezco a Nuestro Señor por el don que nos ha dado, que existe una estructura cuyo funcionamiento y cuya composición son inspirados en lo divino. Esta es la Santa Iglesia Aristotélica, que se puede decir, es incapaz de vacilar"


Con estas palabras, Domingo proclama su total fidelidad a la Santa Iglesia Aristotélica.

VOTO DE POBREZA

"En el mundo nada es permanente: todo lo que Nuestro Señor da, un día lo retomará, Él creó el mundo con sus criaturas y sus recursos para que el hombre aproveche y pueda vivir y utilizar sólo lo que es necesario. Nuestro Señor no quiere que un hombre que se esté bien conserve para sí mismo bienes que no necesite; en realidad Dios dijo que se convertirá en una fuente de desprecio ante Sus ojos, por lo que insto a vosotros, queridos hermanos y hermanas que guarden sólo lo que más necesitan: no acumulen, porque lo que el Señor da el Señor quita"

Domingo convencido de que la pobreza es el elemento esencial en el mantenimiento de una conducta de vida que sigue los preceptos del Altísimo, con estas palabras enseñaba a seguir su ejemplo.

Traducido por Lisandross
Re-traducido y corregido por Chapita

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