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[RP]Palais de Bavière

 
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Alfred_de_Liestz



Inscrit le: 14 Juil 2010
Messages: 57

MessagePosté le: Lun Mar 19, 2012 1:29 am    Sujet du message: [RP]Palais de Bavière Répondre en citant


Alfred venait d’aménager dans son palais à Rome, il voulait avoir un chez lui dans cette grande cité qui représentait aussi bien une grande entité comme un Royaume.

Prit un nécéssaire à écrire.


Citation:
De Alfred Casaviecchi de Bavière, chevalier de mérite de Montesa et des Couronnes hispaniques.
A Cloe d'Albizzi, Vicomtesse de Couserans et noble Française.


Ma chère, ma ravissante inconnue,

Enfin, je m'apprête à faire un pas en avant, mais un grand pas, et qui, s'il ne me conduit pas jusqu'au but, me fera connaître au moins que je suis dans la route, et dissipe la crainte où j'étais de m'être égaré. Je vais enfin déclarer mon amour ; et quoiqu'on ait gardé le silence le plus obstiné, j'ai obtenu la réponse peut-être la moins équivoque mais la plus juste ; celle de mon âme.Un émoi divin, ineffable et délicieux, l'émoi du cœur, l'émoi du printemps ; ce sentiment qui peut faire tourner la tête de l'Homme le plus insensible. Ce même sentiment qui me fit peur et que, lâchement, j'ai fuis. Mais me voici, votre lettre finalement, fit son chemin et atteignît mon âme. Vous êtes, depuis des semaines, ubiquitaire au sein de mes pensées.

Je me surprends à vous imaginer, vous, ainsi que vos milles et unes petites manies qui font de vous une femme merveilleusement attachante. La façon dont le soir, vous enlaceriez une chemise oubliée, porteuse de mon odeur. La délicatesse avec laquelle votre regard embrasserait quelques lettres de moi. Voir, oserais-je le formuler, la douceur de vos gestes alors que vous m'embrasseriez lors de notre rencontre. Je ne vous donne pas, comme aux femmes coquettes de chez nous, ce regard menteur qui séduit quelquefois et nous trompe toujours. Toutefois je vous imagine couvrant le vide d'une phrase par un sourire étudié. Je vous prête cette sagesse du corps et de l'âme qu'ont les grandes femmes de l'histoire.Je vous veux, chère inconnue, j'oserai vous ravir au Dieu même que vous adorez. Par ma paume je souhaiterai voiler toutes vos craintes.. J'eus beau me rappeler mes heureuses témérités, je ne pu me résoudre à les mettre en usage. Pour que je sois vraiment heureux, il fallait que vous vous donniez, mais que je puisse vous recevoir. Ce n'était pas une mince affaire, mais j'y suis près.

Voudriez-vous encore de moi ? Ne vous ai-je pas trop offensé ? Serez vous donc, finalement, cette femme ô combien merveilleuse qui continuera à alimenter mes songes les plus fous ? A quelle autre femme que vous mon audace n'eût-elle de meilleure partenaire ?Je vous rends donc mon épée, mais, je vous en conjure, n'abusez pas de cet empire que vous avez sur moi. Je vous fais, dé ce jour, maîtresse de mon sort. Je ne suis désormais plus qu'un homme qui vous adore ; un homme sur qui vous ne cesserez jamais d'avoir un empire absolu. Vous n'avez plus rien à craindre, que pourriez vous craindre d'un sentiment que vous serez toujours maîtresse de diriger à votre gré ? Seule votre imagination pourrait se créer des monstres, et l'effroi qu'ils vous causeraient, vous l'attribueriez à l'amour. Un peu de confiance et ces fantômes disparaîtraient.

Un sage a dit que pour dissiper ses craintes il suffisait presque toujours d'en approfondir la cause. C'est surtout en amour que cette vérité trouve son application. Aimez, et vos craintes s'évanouiront. A la place des objets qui vous effrayent, vous trouverez un sentiment délicieux, un Amant tendre et soumis ; et tous vos jours, marqués par le bonheur, ne vous laisseront d'autre regret que d'en avoir perdu quelques-uns dans l'indifférence. Moi-même, depuis que, revenu de mes erreurs, je n'existe plus que pour l'amour, je regrette un temps que je croyais avoir passé dans les plaisirs ; et je sens que c'est à vous seule qu'il appartient de me rendre heureux. Je suis à vos genoux, j'y réclame le bonheur que vous m'avez fait miroiter ; je vous crie : écoutez mes prières et voyez mes larmes ; ah ! Madame, me refuserez vous ?Je vous quitte pour réfléchir à tout cela, me laissant ronger par la sentence de votre réponse. Adieu, ma belle amie.


Alfred Casaviecchi de Bavière
Votre admirateur le plus savant


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L'écossais.
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Cloé d'Albizzi



Inscrit le: 06 Sep 2011
Messages: 3

MessagePosté le: Dim Avr 15, 2012 9:40 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
De nous, Cloé d'Albizzi-Lescuragne, Vicomtesse de Couserans, Dame de Jegun,
A vous, Alfred Casaviecchi de Bavière, chevalier de mérite de Montesa et des Couronnes hispaniques


Le bonjour,

Je ne sais d'où vous me connaissez, mais à la lecture de tant de propos élogieux, il est évident que vous devez vous tromper de personne, car je ne vous connais nullement.
Quand bien même vous me connaîtriez, de grâce, réfrénez cette passion à mon égard, c'en est presque indécent. Un peu de pudeur que diable.
De plus, j'ai eu vent récemment que vous aviez trouvé chaussure à votre pied. Permettez-moi donc de douter de la sincérité de votre lettre auquel cas. A moins que vous n'ayez envoyé cette lettre en plusieurs exemplaires, chacun destiné aux plus beaux partis du Royaume ? Auquel cas je comprendrais mieux votre démarche.
Oh, un détail, comment se fait-il que votre scel ne soit pas rond ?


En vous souhaitant beaucoup de bonheur avec votre amie,


Rédigé et scellé à Limoges le 15 Avril de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Soixante.


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Alfred_de_Liestz



Inscrit le: 14 Juil 2010
Messages: 57

MessagePosté le: Mar Mai 01, 2012 1:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

De Alfred Casaviecchi de Saxe-Norbourg, chevalier de mérite de Montesa et des Couronnes hispaniques.
A Cloe d'Albizzi, Vicomtesse de Couserans et noble Française.


Mes vives Salutations,

Votre connaissance n'est le sens que de votre sincérité. Il ne se passe pas un moment ou l'on ne parle de vous, et tel vous n'êtes pas invisible, car notre vie implique et suscite des réactions vis à vis des autres comme j'ai eu droit un jour à un bon accueil en Limousin en défiant les dames de ma présence, je ne suis point un vil courtisan à la recherche d'un quelconque parti, je n'étais qu'à la recherche d'une pointure qui pourrait m'aller.

La beauté révèle en nous une importance que seul la passion detient et je suis presque rassuré de vos mots que la beauté est complexe et cru, aussi bien que j'ai appris que la philosophie n'enseigne pas à parler, mais plutôt à agir et depuis lors j'ai perdu toutes emotivités futiles tendant vers une insatisfaction de la deraison.

Cette lettre était le resultat d'un doute et d'une incertitude, connaissant un couserannais ou coseranés, j'ai veillé à faire parvenir ce bout de lettre. A propos du scel, il s'agit d'un sceau du Royaume de Castille et veuillez m'excuser pour le dérangement, je crois que j'ai un réel souci avec les dames du fait de ma trop grande passion.

Rédigé et scellé à Bourganeuf le 1er Mai de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Soixante.

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