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[RP]Lundi matin, Rome, le Roy , quand est ce qu'on se rince?

 
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Leyah



Inscrit le: 09 Mar 2011
Messages: 118

MessagePosté le: Ven Nov 16, 2012 8:31 pm    Sujet du message: [RP]Lundi matin, Rome, le Roy , quand est ce qu'on se rince? Répondre en citant

Précédemment dans " Lundi matin, Rome, le Roy , quand est ce qu'on se rince? "

Citation:



    Condamnation de la reconnaissance d'un hérétique sur le trône ducal de Touraine.


    Citation:
    En tant que fidèle, nous jurons d’observer les canons et doctrines de Notre Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, et en tant que Lieutenant de Dieu, a ne nous entourer et à ne recevoir de serments que d’hommes et de femmes de la même foi que la nôtre afin de nous aider à combattre les ennemis de la Vraie Foi en pourchassant les hérésies par le verbe ou le glaive et en châtiant les obstinés.

    [...]

    Par ce serment, je renouvelle l'Alliance de Dieu et du Royaume, que je sois mille fois maudit et perde tout pouvoir et toute puissance si j'en venais à parjurer mon serment.

    Par ces termes, feue Sa Majesté scella son destin à celui de l'Église, recevant son plein pouvoir par son sacre...


    L'Église a accueilli avec la plus grande stupéfaction et le plus grand désarroi la décision de la Couronne de France de reconnaitre officiellement, et ce pour la première fois dans notre Histoire, un hérétique notoire comme légitime régnant d'un Duché français, plaçant de ce fait les sujets de Touraine sous l'autorité d'un séide de la Bête Sans Nom.

    La Sainte Église Aristotélicienne ne trouvera jamais de mots assez forts pour signifier la ferme condamnation qu'elle manifeste aujourd'hui à l'égard de cette reconnaissance, dont seul le Sans-Nom peut se réjouir. L'Eglise tient à rappeler que, durant son sacre, le Roy s'engage explicitement à ne s'entourer que d'aristotéliciens et à combattre l'hérésie.

    Le serment du sacre prévoit que le Roy perde tout pouvoir et toute puissance s'il en venait à parjurer son serment. L'Église considère donc que cette reconnaissance est par essence illégale et illégitime au regard du serment du sacre. Par ailleurs, la Couronne ne peut pas imposer une levée d'excommunication à l'Église ni ne peut agir en son nom. Nous rappelons que, malgré tous les pouvoirs à la disposition du Roy, celui-ci ne peut en aucun cas transgresser son serment du sacre qui fonde son pouvoir.

    Nous nous tournons donc dès à présent vers les autorités de régence afin que dispositions soient prises dans le but de rétablir légalité en Royaume de France, cette situation laissant champ libre à toutes formes d'hérésies qui ne cessent malheureusement de pulluler en ces contrées.

    Nous tenons également à rappeler que toute personne, quelle que soit son rang, fût-elle Régente, apportant son soutien ou sa reconnaissance à un hérétique se place elle-même en situation d'apostasie vis-à-vis de la communauté des fidèles aristotéliciens, s'excommuniant elle-même.

    Malgré l'illégalité non discutable de cette reconnaissance, il ne sera pas dis que l'Eglise fera preuve d'injustice. En effet, l'Eglise reconnait qu'il demeure à ce jour, et au regard de certains éléments portés à sa connaissance ces derniers jours, de nombreuses zones d'ombres sur le degré de responsabilité de feu le Roy Vonafred. Par conséquent, l'Eglise ordonne l'ouverture immédiate d'une enquête sur les responsabilités de cet acte et sur les éventuels dysfonctionnement de certaines institutions. Aussi, feu le Roy Vonafred pourra bénéficier d'une mise en terre consacrée selon le rite aristotélicien, mais la cérémonie religieuse officielle des funérailles est repoussée aux conclusions de l'enquête.

    Enfin, l'Église étant toujours ouverte au pardon, nous enjoignons l'hérétique Falco à faire un pas vers notre Église, l'illégalité de la reconnaissance royale ne l'empêchant en aucun cas de cheminer vers la vraie foy dans le futur. Nous précisons que, contrairement aux rumeurs, la Curie n'a reçu à ce jour aucune demande officielle de levée de son excommunication de la part de l'hérétique Falco. Or seule la Curie est fondée à lever l'excommunication d'un individu.

    Cette affaire sera mise à profit pour inciter tout fidèle et pieux aristotélicien à redoubler de vigilance à l'avenir face à l'action du Sans Nom qui ne cesse, à chaque seconde, de tenter de corrompre à son profit les âmes, des plus faibles aux plus puissants.




    Fait à Rome, le trentième jour du dixième mois de l’an de grâce MCDLX.


    Pour la Curie Romaine,

    Son Eminence Tibère de Plantagenest
    Archidiacre de Rome
    Cardinal Romain
    Chancelier de la Congrégation des Saintes Armées
    Connétable de Rome
    Archevêque métropolitain de Rouen




    Son Éminence Vincent Diftain d'Embussy
    Cardinal Romain
    Chancelier de la Congrégation du Saint-Office
    Gardien du Saint Dogme
    Archevêque métropolitain de Sens




    Son Eminence Ludovi de Sabran
    Cardinal Romain
    Vice Chancelier de la Congrégation des Saintes Armées
    Archevêque métropolitain d'Aix




    Son Eminence Uriel
    Cardinal National Electeur du Consistoire National Francophone
    Archevêque métropolitain de Besançon




    Son Eminence Bender B. Rodriguez
    Cardinal National Suffragant du Consistoire National Francophone
    Archevêque métropolitain de Bourges





    Pour l'Assemblée Épiscopale de France et les évêques de France,


    Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
    Primat de France.
    Archevêque métropolitain de Lyon




    Monseigneur Navigius di Carrenza,
    1er Vice-Primat de France.
    Archevêque suffragant d'Avignon






Citation:
Citation:
A qui de droit,
A qui lira,
A qui verra,


En réponse à l'annonce de la Sainte Eglise Romaine et au silence qui s'en est suivi.



    Rappelons pour la petite histoire de France qu'un jour, un Comte Poitevin fit allégeance au Roy Levan, allégeance acceptée, alors que rumeurs couraient pourtant déjà que ce même Comte une semaine plus tard annonçait ouvertement être hérétique. Que celui ci ne fut pas démis le moins du monde de ses fonctions et qu'il reçut même , par la suite, Comté de retraite pour son mandat. Comme quoi il n'est pas beau de refaire l'histoire. Si d'aventure, la repentance du Sieur Falco de Cartel n'était que trompeuse, en ce cas demandons a ce que chaque Souverain soit mis sur même pied d'égalité aux yeux de l Eglise, et que celle ci désavoue également Sa Majesté Levan III, pour le même acte , en de même circonstances. Rappelons, toujours pour la petite histoire de France, qu'un jour un hérétique excommunié fut porté sur le trône d Artois. Qu'en prime mandat, allégeance fut refusée car l'homme en question refusait la repentance, mais qu'en deuxième mandat, l Eglise de par l'un de ses représentant, s'est fendue d'un courrier de félicitations au nouveau conseil élu, conseil porté par le même excommunié. Et ce ne sont que deux petites histoires parmi tant d'autres, Excelsior, et d'autres en sont de parfaites images. Pour le côté " première fois de l'histoire ", ceci est donc erroné.

    Serment ne fut nullement rompu, à aucun moment que ce soit, et ce pour une raison simple. Le régnant en question a affirmé soigner son âme et s'attacher un conseiller religieux qui n'est autre que Monseigneur Clodeweck et ce, avant que le Roy ne l'autorise a prêter allégeance. Cela fut dit ouvertement, en ces termes :

    " Je m'engage de même à oeuvrer à la paix de mon âme en m'attachant un Conseiller religieux au choix d'un homme que je deteste cordialement, Ser Clodeweck. "

    C'était là, la seule et unique condition pour qu'il soit d'ailleurs reconnu, le retour à la vraie Foy. De plus, le Sieur Falco, a entré en date du Vingt deuxième jour du mois d'Octobre, demande de levée d'excommunication, prouvant par là même sa bonne foi au yeux du Souverain. Il fut affirmé a Sa Majesté que ce n'était que question d'heure pour que celle si soit bien évidemment acceptée.

    J'ajoute que Sa Majesté, en recevant son serment, a réitéré confiance en ce retour vers la vraie Foy, en demandant au Duc Falco de Cartel, de protéger les prélats bien trop souvent malmenés en Touraine. Rappelons qu'il y a peu, un prélat fut encore attaqué par les aristotéliciens convaincus de Touraine et ce avec une armée.

    Sa Majesté a pardonné les actes contre la Couronne de France, ramené un homme égaré vers la vraie Foy, et lui a été garanti, bien avant qu'il n'accepte allégeance, que face a cette rédemption, la levée d'excommunication n'était qu'une question d'heure.

    C'est donc convaincu d'être face a un Aristotelicien que Sa Majesté a reçu serment et non face à un Hérétique.

    Cependant, nous apprenons, que l'un des membres de la Curie Romaine, a rapporté le risque d'erreur de Sa Majesté a l'Assemblée des évêques de France, précisant que que c'était urgent, par je cite " Le Roy est en train de reconnaitre un réformé, Falco, comme légitime régnant de Touraine et d'accepter son allégeance en salle du Plaid." . Propos confirmés par plusieurs clercs.

    Nous en déduisons donc, que le dit Cardinal, errant dans les couloirs secrets du Louvre menant a la salle du Plaid, ou l'un de ses pages, qui eut donc vent de cette affaire, avant même qu'elle ne soit conclue, a préféré courir à la Curie plutôt que de s'annoncer aux huissiers et de faire son œuvre de conseil au Souverain en l'empêchant d'être éventuellement induit en erreur. Rome serait elle dès lors aussi coupable que Sa Majesté ?

    De plus, rappelons, a toutes fins utiles, que si le Roy ne peut s'attacher les affaires spirituelles, l Église ne peut parler de légalité et de légitimité qui sont par essence des termes du temporel. Si la Couronne ne peut imposer une levée d'excommunication, l Église, a défaut de concordat avec le duché en question, ne peut aller contre l'accession au trône d'un régnant non aristotélicien. Que si, aux égards des précédents existants, le Sieur Falco n'avait pas fait acte de rédemption, ne s'était pas attaché conseiller religieux, et n'avait pas juré ouvertement revenir vers la vraie Foy, avant de prêter serment, la Touraine aurait eu régent et non duc, comme ce fut le cas par le passé sous le règne de Sa Majesté Levan.

    De par ce fait, la Sainte Eglise ne peut obliger la régence à revoir une décision du Monarque défunt. Que de plus, celle ci n'en a aucunement la légitimité, seul le prochain souverain, pourra, si il le souhaite, revenir sur cette décision et encore moins mettre pression sur les différents régnants du Royaume de France pour que ceux ci coupent toutes relations avec la Touraine.

    Qu'en prime, de par cette ferme condamnation, la Sainte Église pourrait rendre tout acte scellé par le Souverain caduque. Entrainant par là même conséquences graves pour le Royaume de France. Ne fut ce que par le traité de l Aventin, fierté de l Eglise Romaine

    Nous tenons, cependant, en réponse a votre rappel , vous rappeler le concordat entre Paris et Rome, précisant que seule sa Sainteté peut juger de la situation d'apostasie ou non d'un grand officier de la Couronne de France et seul décider de son excommunication ou non. Qu'au cas ou, la Curie persisterait sur ce point, qu'elle n'oublie pas que toute la France a porté sur le Trône sa Majesté Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar et que toute la France a soutenu son Souverain. Qu'ainsi toute la France devrait être frappée d'excommunication, ainsi que tous pays étrangers nous ayant fait part de leur tristesse face a son décès, et a leurs condoléances et regrets devant la perte du Grand Homme qu'il fut.

    Nous nous tournons donc vers Rome afin que celle ci examine au plus vite le retour a la vraie Foy du Sieur Falco de Cartel, et fasse preuve de ce qu'elle prône pour tous: l'amitié Aristotelicienne et le pardon. Sa Majesté ne saurait souffrir de voir son honneur et son travail souillé par une lenteur administrative plus encline a condamner qu'a pardonner. Car l'acte de rédemption du Sieur Falco de Cartel est en suspens tandis que Rome s'attarde a condamner l'un de ses plus grands serviteurs.

    Cela étant, si il devait advenir que la rédemption fut frauduleuse et aurait donc induit Sa Majesté en erreur, nous nous engageons a punir de nos valeureuses cuillers, le fondement du Sieur de Cartel, par bourrage intensif, jusqu'à ce que celles ci lui sortent pas la bouche, et lui fasse crier qu'il appartient au sans nom et qu'il a donc trahi sa Majesté.

    Selon vos propres termes, l Eglise étant toujours ouverte au pardon, gageons que ce qui nous conduit tous aujourd'hui dans une situation des plus rocambolesque et intolérable, que cela soit pour vous, ou pour nous, sera vite étudiée et qu'ainsi tous pourront enfin pleurer leur Souverain, ami, époux, père, frère, dans la plus grande dignité. Gageons que l Eglise qui prône ce même Pardon, pardonnera aussi.

    Nous attendions avec impatience d'apporter notre témoignage, parait il, tant attendu, c'est là que notre étonnement devient grand. L Eglise si pressée de rétablir vérité trainasse à faire venir qui de droit et à ouvrir cette enquête. Nous en profitons donc pour faire demande des plus légitime suite aux informations qui circulent , elles, à grande vitesse.

    Demandons par la présente que le Cardinal Rehael, celui même qui a prévenu l'Assemblée des Évêques de France , qui, nous a t'on dit, doit conduire cette enquête, se retire des personnes décisionnaires à ce niveau et qu'autre soit nommé à sa place.
    Demandons à Rome , enquête interne sur les responsabilités afin que ce genre d'affaire ne puisse se reproduire. France ne saurait souffrir de luttes intestines propres à Rome.

    Et enfin, demandons a ce la dignité de notre défunt époux lui soit rendue, il ne sera point question de mise en terre sans l'office qui se doit.

    Demandons donc a ce que date soit prise avec la Grand Chambellan de France afin de procéder aux funérailles avec l'honneur qui se doit de notre Souverain, le plus rapidement possible afin d'éviter épidémie en le Royaume de France de part la puanteur que la dépouille commence à dégager.


    Que cela soit lu par delà la France.
    Faict le 9 novembre de l'an mil quatre cent soixante.



Leyah de Varenne Salmo Salar Bleizhmorgan
Reyne veuve de son Roy.




Citation:
Nous,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.


Dotch de Cassel, Régente de France




Stéphandra Dandolo du Moutier, Baronne d'Ouillie, Dame de Sourdeval et d'Andiran


Renlie d'Evrecy, Surintendant des Finances Royales


David Dandolo de Pola, Baron d'Ouillie, Seigneur de Sourdeval et d'Andiran, Chevalier du Royaume

Guillaume de Jeneffe, Grand Escuyer de France


Sindbad, Grand Ambassadeur Royal de France


Monseigneur Aurélien Maledent de Feytiat, Archevêque de Reims, Grand Aumonier de France


Anne de Culan, Premier Secrétaire d'Etat



Citation:
Nous, Atalante, dame de Nesploy, connétable de France

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine.

Que saint Théodule lui vienne en aide.

rédigé en la connétablie royale le onzième jour de Novembre de l'an 1460

Atalante, dame de Nesploy
connétable de France



Citation:

    A tous ceux qui nous liront,
    Ou qui se feront lire,




      Salutations,


    Par la Grâce d'Aristote et la voix du Peuple,
    Nous, Orandin de Litneg, Duc de Guyenne.


    Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse
    à la déclaration de la Sainte Eglise.


      Qu'Aristote m'en soit témoin.



    Fait à Bordeaux, le jour IX de Novembre de l'an de grâce MCDLX.









Citation:
nous Maylis Do Urden
Comtesse du Rouergue

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse
à la déclaration de la Sainte Eglise.







Citation:
Nous, Morgana Kermeno, Comtesse d'Armagnac et Comminges, Baronne de Villefranche d'Astarac, Dame de Laas d'Astarac

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.








Citation:
Nous, Rotule.Baccard Duc du Lyonnais Dauphiné, seigneur de Clansayes

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.





Citation:
nous zelha Duchesse d'Alençon


Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

signé le 10/11/1460


Zelha Duchesse d’Alençon



Citation:





    Nous, Henry de Silly, XXXIe Comte du Périgord et de l'Angoumois,
    Par la volonté des hommes, du Roy et d'Aristote,



    Aux Eminences de la Curie Romaine,


    Eminentissimes Seigneurs,


    Si nous prenons la plume en ce jour, c'est afin de porter à votre connaissance l'attachement, l'inébranlable foi et la profonde dévotion qu'avait feu Sa Majesté, Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar pour la Saincte Eglise.


    Sa Majesté a toujours eu à coeur la défense de la vraie foi, n'ayant jamais hésité à brandir le fer contre l'hérésie, où que ce soit.


    Sa vie durant, feu le Roy Louis, a lutté contre le malin en Périgord, en Angoumois, en Genevois, dans le Royaume ...
    Il a continué son investissement et peut être oserai-je même dire une mission d'artistotélisation des âmes affectées par le malin, en Notre Royaume, ramenant vers la lumière de la vérité les brebis égarées.


    Si Louis Vonafred avait des défauts, ce qui est indubitable, remettre en cause son amour du juste, sa croyance en la seule et unique vérité, celle du Tout Puissant, d'Artistote, de Christos, est faire insulte à sa mémoire et à la communauté des croyants qui vivaient avec lui.


    Puisse le divin astre céleste vous éclairer dans vos réflexions et vous guider vers le chemin de l'Amour et l'Amitié Aristotélicienne.




    Si Deus, Quis Contra



    Donné à Périgueux, ce dixième jour du mois de Novembre de l'an de grâce 1460.








Citation:
Nous Amory de Lucas, Duc de Champagne, Duc de Jouarre, Baron de Coulommiers, Seigneur de Brainville, Grand Officier de Saint Kyrène.



Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.


Faict à Reims, le neuvième jour du mois de Novembre, de l'an de Grâce MCDLX.



Que Dieu protège la France,
Par delà les temps.


Le neuvième jour de Novembre 1460.





Citation:
Nous, Maud Saint Anthelme de Rivien, Duchesse de Bourgogne,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise




Citation:
Nous, Endymion, Duc de Gascogne.

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine.


Signé et scellé, au Château de Mont de Marsan, le Xème jour du XIème mois de l'An de Grasce MCDLX.



Citation:
Nous, Wolf Loner de Gaillimh, actuel Comte du Limousin et de la Marche, seigneur de Reterre,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Pour que ceci ne soit contesté, nous y apposons notre signature et scel.

Fais à la Reterre, en Marche, le 14ème jour de November MCDLX




Detarnos a écrit:
Nous, Detarnos, Seigneur de Vigueron, Bourgmestre de Saint-Liziers


Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Faict à St-Liziers le 10 Novembre de l'an 1460

Detarnos


Citation:
Nous Ereon d'Asceline, Duc d'Andelot-Blancheville, Vicomte de Condry, Baron de Maligny, Seigneur de Rosoy sur Amance, Intendant des Finances du parc minier du Domaine Royal, actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Faict à Tours, le dixième jour du mois de Novembre, de l'an de Grâce MCDLX.






Citation:
Nous, Lylla Cardinal d'Eirbal, Baronne d'Arzillière

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Qu'Aristote en soit notre témoin.

Faict à Périgueux, le jour X de Novembre de l'an de grâce MCDLX.







Citation:

Nous, Enora de Brocéliande, belle fille de feu sa majesté Louis Vonafred de Varenne Salme Salar,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Faict à La Teste, le jour X de Novembre de l'an de grâce MCDLX.


Citation:
Nous, son Altesse Royale Louison de Varenne Salmo Salar, Princesse de France, fille légitime du Roy Vonafred,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar, notre mère bien aimée, à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Faict à La-Teste-de-Buch, le dixième jour du mois de Novembre, de l'an de Grâce MCDLX.





Citation:
Nous, lenada de Valmont, Vicomtesse de Chamilly, Dame de Tanlay

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Fait à Dijon le dixième jour du mois de Novembre 1460





Citation:
Moi, Charles Dubois,

Acte par la présente mon soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Nous Abeline Cardofer d'Asceline, Duchesse d'Andelot-Blancheville, Vicomtesse de Condry, Baronne de Maligny, dame de Rosoy sur Amance, , actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Faict à Tours, le dixième jour du mois de Novembre, de l'an de Grâce MCDLX.










Citation:

Nous, Alenyah de Carpadant,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.


Faict à Bordeaux le 10 novembre de l'an MCDLX.






Citation:
Nous, Garzim Hyrglas,
En tant qu'homme et chef de file du parti HORIZONS en Guyenne,

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar, dans sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise Romaine.

Fait à Bazas, le dixième jour de novembre 1460.

G.H.


Strakastre a écrit:

    Aux Éminences de la Curie Romaine,

      Par la présente, Moi, Chevalier Charles de la Croix de Bramafan, dict Strakastre, Comte d'Isle Jourdain, Baron de Montmeyran, Seigneur de Savigny-Sur-Orge et de Claveyson, acte mon soutien à Sa Majesté Leyah Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de Sainte-Eglise.

      Qu'Aristote nous en soit témoin.

    par Charles de la Croix de Bramafan,
    le Dixième de Novembre de l'An Mil Quatre Cent Soixante.



Citation:
Nous, Bimba de Chesnais d'Hourden,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Nous, Angelyque de la Mirandole, Duchesse du Charolais,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.





Citation:

Nous, Phelim Guerrero, Vicomte d'Oingt,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise
.





Citation:
Nous, Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, Duc de Donostiri, Coms de Pardiac, Vescoms de Gimoez, Senhor de Cazarilh,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Nous, Alinoë de Chenot, Duchesse de Luserne, Duchesse de Coni, Vicomtesse de Thonon, Vicomtesse de Marboz, Dame d'Osasco, Dame de Saint-Julien en Genevois

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.






Citation:
Nous, Son Altesse Sublissime Godrick de varenne de Salmo Salar digne héritier de feu mon popa d'amour sa majesté Vonafred de Salmo Salar

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne de Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise


Citation:
Nous, Erraa De La Huchaudière, Vicomtesse de Gorron et de Vibraye

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.




Citation:
Nous, Sancte Iohannes von Frayner, Chevalier de France, seigneur d'Eyrignac et de Domvallier,


    Actons par la présente notre soutien le plus affirmé à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar dans sa réponse datée du 9e de Novembre 1460 à la déclaration de la Très Sainte Église concernant la condamnation de la reconnaissance d'un hérétique sur le trône ducal de Touraine signée, scellée, et promulguée le 30e d'Octobre 1460.


Que Dieu protège la France,
Par delà les temps.



Le 9e de Novembre 1460.



Citation:
Nous, Arwel Chanvigny, dicte la Bienveillante, Duchesse de Clérieux, Baronne de Lentilly,

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Nous, Frère Kronembourg de La Duranxie, Duc d'Ornon,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.


Faict en notre domaine de La Castéra, le jour de la Saint Léon, de l'an MCDLX.





Citation:
Nous, Aryanha Farnese, Dame de Chenôve,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise

Aryanha Farnese


Citation:
Nous, Cyrinea Rondot, Vice Duchesse et Prévôt de Guyenne,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.


Faict à Cahors, le dixième jour du mois de Novembre, de l'an de Grâce MCDLX.



Citation:
Nous, Kahhlan d’Aydindril Salmo Salar,
Dame de Valeuil et de la Feuillade

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine.

Signé et scellé, en terres du Berry, le Xème jour du XIème mois de l'An de Grasce MCDLX.
Kahhlan d’Aydindril Salmo Salar


Citation:
Nous, Anne Sophie d'Evrecy, Dame du Chesne, maire de la ville de Bergerac en Périgord Angoumois.

Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine.

Signé et scellé, à Bergerac le 11 Novembre 1460.

Anne Sophie d'Evrecy







Citation:
Nous, Niall de Rivien, Duc Consort de Bourgogne, Vicomte de Montréal

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Moi, Effélissianor de Vosne-Romanée,

Acte par la présente mon soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Nous, Athos de la Bronze, Baron de Chatillon en Bazoy, Seigneur de Dennevy,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.



Citation:
Moi, Koubiak Bleizhmorgan,

acte par la présente sa Majésté ma cousine Leyah Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la sainte eglise.


Citation:
Nous, Crezus de Montestier, frère de feu Stam de Montestier, Duc du Charolais,

Actons par la présente notre soutien le plus entier et le plus dévoué à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar dans sa missive datée du 9e de Novembre de l'an de grâce 1460 en réponse à la déclaration de la Très Sainte Église concernant la condamnation de la reconnaissance d'un hérétique sur le trône ducal de Touraine signée, scellée, et promulguée le 30e d'Octobre 1460.

Au vu de la situation, de la fourberie avec laquelle certains membres les plus hauts placés du clergé se sont acoquinés, nous pensons être de notre devoir d'Aristotélicien, de nous dresser d'un seul bloc et comme un seul homme pour prendre la défense, à travers sa Majesté, de celui qui a donné son energie et ultimement sa vie à défendre le noble Royaume de France contre le Sans-nom.

Le Très-Haut nous jugera tous, et pour le salut de nos âmes, nul croyant digne de ce nom ne peut se dérober quand l'intégrité de notre Eglise est en jeu. Le Royaume ne peut laisser les intérêts temporels d'un petit nombre prendre le pas sur notre Foy.

Que Dieu protège la France,
Par delà les temps.

Le dixième jour de Novembre 1460.




Citation:
Moi, Effélissianor de Vosne-Romanée,

Acte par la présente mon soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.





Citation:


Moi, Aanor Kergoat, croisée sur les terres helvètes en l'année 1459,

Acte par la présente mon soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar Bleizhmorgan à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Kastell Paol, d'ar Sul 11 a viz Du 1460



Citation:

Nous, Robins d'Inker Seigneur de Puy Ferrat,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Fais à la Teste de Buch le 11 Novembre 1460






Citation:
Nous, Cécile34 sacristaine-diaconesse d'Espalion et Dame de Rignac,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Fais à Espalion le 11 Novembre 1460


Citation:
Moi, Elio, actuel CAC du Périgord Angoumois,

Acte par la présente mon soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Fait à Périgueux le 11 novembre 1460

Elio


Citation:
Moi, Doucebrise de Sansarsse-Leslur, Chevalier de France, Capitaine de la Garde du Rey de l'Ordre Royal et Equestre du Saint-Sépulcre.

Acte par la présente mon soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Fait à Fécamp le 11 novembre 1460




Citation:
    Nous, Antonio Licors, Seigneur de Fraize

    Car nous trouvons irrespectueux et intolérable le fait que feue Sa Majesté le Roy de France ne puisse recevoir les funérailles qu'il mérite et ainsi reposer en paix,
    Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar, et à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.




Citation:
Nous, Arthur Pendragon, Capitaine de Bougogne,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise.

Faict le dixième jours du onzième moy de l'an grasce mille quatre cent soixante à Dijon.




Citation:
Nous, Gildwen II de Brocéliande, Prince de Bretagne, Seigneur du Loyat, Vassal de Brocéliande, Grand Sauveur et Archimaire de Craon, Ambassadeur de l'Archiduché d'Anjou,
Aux Éminences de la Curie Romaine,

    Actons par la présente, notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar, Reine de France, dans sa réponse datée au neuvième jour du onzième mois de l'an mille quatre cent soixante, répondant à la déclaration honteuse de l’Église Aristotélicienne Romaine,

    Devons reconnaître avec la plus grande des peines, qu'une fois encore, l’Église se corrompt elle-même préférant participer aux jeux dangereux de la politique plus qu'à l'application de la Foi qui est censé être la sienne et universelle,

    Déplorons la répétition bien trop conséquente de ces abus qui ne semble plus cesser, où les clercs aux grands pouvoirs pensent à leurs personnes avant même de penser au Très Haut,

    Condamnons de toutes nos forces la dangereuse voie prise par l’Église, perdant en crédibilité, rendant bien plus ardue la propagation de la foi à l'heure où les croyances hérétiques se multiplient, et ne participant là nullement au pardon quelle enseigne ni aux saluts des âmes égarées qui auront tôt fait d'être induite en erreur,

    Encourageons l’Église Aristotélicienne et Romaine à former Concile dans la plus grande urgence afin d'infirmer les communiqués et décisions iniques qui furent prises ces derniers jours,

    Encourageons l’Église Aristotélicienne et Romaine à officier enfin la cérémonie qui aurait du déjà avoir lieu, enterrant Sa défunte Majesté de France, lui rendant dignité et permettant à tous d'en faire le deuil,

    Encourageons l’Église Aristotélicienne et Romaine à engager de profonde réflexion sur les égarements de son clergé envers le Très Haut, causant le tort du peuple pour favoriser quelques intérêts privés, afin que telle ignominie ne se reproduise jamais.

Que Dieu protège l’Église,

Fait en cité de Craon,
Ce quatorzième jour de novembre mil quatre cent soixante.


Ph92 a écrit:
Citation:
Nous, Péhache d'Adventac, Chevalier d'Irlande et officier royal de france,

Actons par la présente notre soutien a Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Eglise et lui promettons toute notre aide et notre soutien.



Citation:
Nous, Elizabeth Morghan Kindall d'Evrecy, Dame de Richemont et de Villars


Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine.





Fait à La Teste de Buch,
Le 14 ème jour de l'An de Grâce 1460.


Citation:
Nous, Fergy Doherty, Actuelle Bailli du Périgord et de l' Angoumois


    Actons par la présente notre soutien à Sa Majesté Leyah de Varenne Salmo Salar à sa réponse à la déclaration de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine.



Fait à Périgueux.
Le quatorzième jour de l'an mil quatre cent soixante.



Citation:
A ceux qui ont décidé de soutenir cette réponse, je les en remercie.
A ceux qui voudraient soutenir d'avantage, leurs missives seront ajoutées.

Puisse le Très Haut veiller sur vous,
Avec toute ma reconnaissance.


Leyah.



Citation:



    À Sa Majesté la Reine,
    Aux feudataires du Royaume de France,
    Aux fidèles et aux nations.



    La calomnie ne glorifie personne. Nous avons connaissance que, depuis plusieurs jours, se répandent
    mensonges et fausses rumeurs à l'endroit de l'Église. Ces comportements sont méprisables.

    Heurté par les propos qui furent tenus dans une lettre ouverte qui leur était adressée, les cardinaux
    de la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine ont décidé de répondre à l’affront qui leur était fait,
    par le verbe pacifiste et non la verve haineuse. Notre lettre se divisera en deux parties, de manière
    claire, et sans ambages : l’une consacrée aux faits en tant que tels, l’autre, à l’enseignement contre
    les égarements spirituels dans lesquels s’aventurait la lettre royale.

    Premièrement, l’Histoire ne fait pas toujours loi, et si des erreurs ont été commises dans un lointain
    passé (sic), elles n’en deviennent pas moins plus légitimes dans le présent ou le futur. Un crime
    spirituel commis hier et non punit ne devient pas aujourd’hui un acte de vertu. Et tout comme
    l’Histoire ne fait pas loi, la parole d’un clerc ne fait pas celle de l’Église, sauf s’il est expressément
    mandé par Celle-ci pour s’en faire le porte-voix.

    Deuxièmement, le fait de déposer une demande de pardon n’est que le premier pas d’un long
    processus visant à lever l’excommunication. Pour rapporter cette démarche à quelque chose de
    concret, si l’on compare l’excommunication à la félonie, l’on voit comme il fut difficile et fastidieux,
    en temps et en énergie, pour organiser et accepter le retour dans le giron royal du duc de Berry.
    Pensez-vous qu’il en est autrement pour le retour en grâce d’un excommunié ? Croyez-vous
    sincèrement qu’une excommunication puisse être levée dans l’heure sous prétexte que
    l’excommunié ait fait quelque geste ?

    Troisièmement, vous n’êtes pas sans savoir que le prélat qui conseilla le roi vient d’être relevé de ses
    droits et se trouve en attente de son procès devant le Tribunal Pontifical de la Sainte Église
    Aristotélicienne et Romaine. Ses supposées malversations et abus de pouvoirs l’ont ainsi conduit à
    comparaître devant ses pairs. L’un de ses abus fut justement de s’arroger le droit de lever à
    discrétion les excommunications prononcées au nom du Sacré-Collège des cardinaux. Or c’était là un
    droit qu’il n’avait pas.

    Quatrièmement. Considérant les faits susmentionnés, il apparaît totalement incongru d’accorder
    quelque crédit que se soit à la parole d’un prélat qui semble avoir manœuvré dans l’ombre et à
    desseins. Desseins sur lesquels le Tribunal Pontifical entend faire toute la lumière.

    Cinquièmement, nous sommes absolument certains que vous serrez d’accord avec nous, puisque
    durant les longs mois de règne de feu votre époux, les instances royales, tout comme Sa Majesté,
    n’ont cessé d’accumuler des griefs à l’encontre de ce même prélat, demandant même à l’Église de
    prendre des mesures à son encontre. Vous rappelant ces faits, vous conviendrez qu’il apparaît abusif
    d’accorder, une fois de plus, un quelconque crédit à ses paroles.

    Sixièmement. Il est ainsi donc malvenu de colporter honteusement des propos faux et déformés à
    l’encontre d’éminents prélats de la Sainte Curie sous prétexte qu’ils ont été rapportés par un tiers,
    qui s’est révélé être un clerc séditieux. Vous relevez vous-même l’absurde de la chose en affirmant
    qu’il apparaît insensé qu’un cardinal se promenant au Louvre eut préféré courir informer ses
    confrères plutôt que d’empêcher un crime spirituel d’être perpétré. A ce titre, il est temps de rétablir
    la vérité. Son Éminence Rehael, ayant été averti le XXIII octobre au soir de l'intention de feu le Roi
    de reconnaître un hérétique sur le trône de Touraine, a aussitôt prévenu une personne qu'il savait
    pouvoir entrer plus vite que quiconque en contact avec le Roi : le primat de France. Ce dernier a pu
    alors informer le Roi des dangers de cette reconnaissance. Malheureusement sans succès. Le
    lendemain, le Roi trépassait.

    Septièmement. Affirmer que son éminence de Plantagenêt n’a rien fait pour avertir Sa Majesté le roi
    est donc un mensonge éhonté, propagé comme seule défense par des prélats incapables d’assumer
    leurs erreurs. Nous nous étonnons d’ailleurs que la Reine s’engage sur ce dangereux chemin,
    considérant le cinquième point de notre analyse et considérant que leurs éminences Rehael et
    Bender Rodriguez du Consistoire Pontifical francophone l’ont rencontré personnellement pour lui
    exposer les tenants et aboutissants de l’affaire. L’ensemble des prélats de France en sont d’ailleurs
    les plus sûrs témoins. Nous serions dès lors tentés de croire que la Reine, aveuglée par des conseils
    perfides, persiste dans la voie du mensonge à des fins biens mystérieuses, et surtout bien
    dangereuses pour l’âme de son royal époux. Son éminence Clodeweck aurait-il sciemment
    manœuvré pour mettre Leurs Majestés en mauvaise posture ?

    Huitièmement, et en conclusion de cette première partie, il apparaît évident que les différents
    événements qui agitent aujourd’hui l’Église romaine et la Couronne de France reposent sur des actes
    hypocrites et des faits fallacieux, sur la tromperie et le mensonge. Feu Sa Majesté le Roi semble
    avoir été conseillé par un homme qui lui a promis des choses qu’il n’était pas en mesure de réaliser.
    C’est cela, et uniquement cela qui nous à conduit là où nous sommes aujourd’hui.

    Nous en venons maintenant à notre deuxième partie :

    Premièrement, « légalité » et « légitimité » sont, tout comme dans le droit temporel, des termes qui
    ont « droit de cité » au sein de l’Église et de ses Canons. Et contrairement à ce que vous avancez,
    l’Église est en mesure de s’opposer à tout ce qu’Elle estimerait contre-nature et contre la Vraie Foi.
    Nonobstant, par la promesse du sacre, Sa Majesté le roi Vonafred a fait le serment de pourchasser
    l’hérésie. En recevant pour vassal un fidèle excommunié, hérétique par nature, il contrevient à cette
    promesse. L’Église, en tant que gardienne et contractante de ce serment au nom du Souverain
    Suprême entend, et est en droit de, le faire respecter.

    Deuxièmement, le fait de condamner un acte du souverain de France n’entraîne nullement la
    caducité de l’ensemble de ses actes, même s’il est condamné pour un crime spirituel.

    Troisièmement, jamais il n’a été question d’excommunication de qui que se soit dans le dossier qui
    nous occupe, et encore moins du roi. Il semble que vous fassiez le procès de feu votre époux avant
    l’heure et que vous le condamniez déjà par ailleurs. Il n’est donc nullement nécessaire de rappeler au
    bon souvenir du Sacré-Collège des cardinaux les termes du Concordat de Paris qui sont pour eux
    clairs et limpides, mais d’aucune utilité dans le présent cas. Votre démonstration quant à
    l’excommunication de l’ensemble du Royaume, en dehors du fait qu’elle est hors de votre jugement,
    devient caduque et grotesque. En termes tout à fait clairs : feu le Roi n'a été frappé d'aucune
    excommunication.

    Quoi qu'il en soit, le Sacré-Collège des cardinaux souligne qu'il fait bien peu de cas des pressions qui
    sont menées contre lui et rejette fermement les exigences formulées dans le courrier qui lui était
    adressé. La compromission et le discrédit entachent maintenant les rédacteurs de cette lettre et ceux
    qui s’y sont joint sans en évaluer toute la portée de ses affirmations. Sachez en outre qu’il est par
    nature intolérable que l’on adresse un tel courrier à la Sainte Église Aristotélicienne et à ses
    représentants, surtout lorsque celui-ci est jalonné de menaces, de blasphèmes et de propos faux et
    injurieux à l’encontre de membres éminents de son gouvernement. Gageons que la douleur de la
    perte d’un être cher vous a conduit sur le chemin de la déraison.

    Comme vous le dites si bien, l’Église ouvre toujours les bras à ceux qui se tournent vers Elle, car Elle
    est compréhension, pardon et miséricorde. Le Tribunal Pontifical, comme nous l’avons précisé,
    entend faire la lumière sur toute cette affaire et apporter la vérité là où se trouve le mensonge. En
    tant que fidèle sujet de la Couronne et de feu Sa Majesté, je ne peux qu’aspirer à une procédure
    prompte menée avec diligence pour donner au roi la digne sépulture qu’il mérite. Nous serons donc
    au moins deux à attendre fermement une décision de ce tribunal qui pourra ainsi lever la censure
    ecclésiastique qui frappe feu le roi.


    Bénédictions apostoliques.



    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,
    Aaron de Nagan,
    Cardinal et Archichancelier du Saint-Siège.



    Rome, le XIII novembre de l'an de grâce MCDLX, le mardi.




Yut a écrit:


Nous, Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d’Embussy-Taschereau, Archevêque de Lyon, Protonotaire Apostolique, devant le Très-Haut, confirmons et certifions que Son Éminence Rehael nous a demandé le 23 octobre au soir de contacter Sa Majesté le Roy pour l’avertir du danger de reconnaitre un hérétique, à savoir Falco de Cartel, sur le trône de Touraine. Cela fut fait dans l’immédiat, et nous avons nous-même, puisque Primat de France à l’époque, apporté la réponse de Sa Majesté à l’Assemblée Épiscopale le 24 octobre au matin. Réponse qui, nous le savons, fut hélas négative.


Fait à Rome, en ce XIIe jour du mois de novembre de l’an de grâce MCDLX.


Mgr Yut.




Citation:
A la régente du royaume de France
A la reyne de France
A la noblesse de France
A l’hérauderie
A toute personne qui serait amenée à lire cette missive.


De moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal archevêque de Tours, Primat de Bretagne, Cardinal chancelier de la Saincte inquisition, actuellement suspendu de cette charge sans raison avérée, Duc de Montfort, et surtout prêtre de la Saincte Eglise aristotélicienne.

C’est dans le désarroi le plus profond que j’écris, obligé de rester en Touraine sous la protection du duché, suite aux menaces proférées à mon encontre par certains cardinaux.

Je viens encore une fois défendre la mémoire de Feu Vonafred, et tenter de laver l’honneur de son épouse.
Défendre aussi la noblesse de France.
En effet certains cardinaux ne se gênent pas pour traiter les nobles de demeurés ou d’ignares lorsque ceux-ci soutienne la maison royale, j’en suis scandalisé bien que breton.

Que s’est-il passé ?

Deux jours avant son décès, le Roy de France, en privé et sans aucun témoin me posa la question suivante en substance : « Est-ce que l’excommunication de quelqu’un qui se repent est levée ».
J’ai répondu au roy qu’il était du devoir de l’inquisition dont c’est la mission première de ramener les hommes vers la foy, en acceptant leur repentir, en recueillant leur abjuration, en œuvrant pour le pardon , bref en faisant ce que Dieu même a demandé aux hommes. Ayant une semaine très chargée j’ai du quitter le roy, je ne l’ai jamais revu.
La vérité est celle là, Falco a publié une demande de repentir et de levée d’excommunication, avant que le Roy ne le reconnaisse. Ce roy aristotélicien ne pouvait, en aucun cas douter de la position de l’Eglise face au pardon. Cette demande je ne l’ai trouvé qu’à mon retour, n’ayant pas eu le temps d’y répondre ni d’en parler au Roy.
Peut être Feue sa majesté a-t-elle anticipé sur une décision de l’Eglise qu’elle croyait imminente car Falco, a effectivement publié une demande de repentir avant d’être reconnu comme Duc. Ce roy ne pouvait pas imaginer qu’un Cardinal veuille garder en ennemis certaines personnes pour servir ses desseins et refuser le pardon, allant même jusqu’à dénier à l’inquisition le droit de pardonner les gens que Lui et lui seul choisi... Nous ne le saurons jamais, mais dans tous les cas on ne peut voir une action du Roy de France contre l’Eglise. Surtout qu’il tenta de ramener un hérétique vers la foy, il devrait en être remercié.

Dans le même temps, un couple de cardinaux veut prendre le pouvoir et œuvre en ce sens.

Avant que le roy ne reconnaisse Falco, un cardinal, Rehael, on ne sait comment, fut averti de l’intention du Roy et prévint les évêques de France, en demandant une sanction immédiate !
Au lieu de prévenir le roy lui-même ce qui aurait évité le drame.
S’il a su ce que disait le roy, c’est qu’il était présent, alors pourquoi courir demander au primat de France de prévenir le roy et ne pas le faire lui même? Sinon par duplicité.
Les faits sont là, incontestables, il a rapporté les propos du Roy à l’assemblée épiscopale, la veille de la reconnaissance de Falco, et demandé une sanction avant que le roy n’ait « fauter »
Ensuite il va vouloir excommunier la régente, la reyne, pour les faire céder. Il va demander une sanction exemplaire afin que les futurs roys sachent, qui commande.
Nous y voyons une tentative de quelques cardinaux de prendre le pouvoir sur la royauté de France. En donnant à Rehael, entre autre, un pouvoir supérieur au Roi.

Rehael, va faire signer par quatre cardinaux sur une quarantaine que compte la Curie, une déclaration qu’il va publier « au nom de la Curie », que chacun connait privant le roy d’obsèques, afin d’affirmer son autorité sur les suivants.
J’ai prévenu la Curie, que je m’opposerai à elle si cette lettre été publiée. La suite nous la connaissons, le couple VincentDiftain Rehael, a manœuvré pour exclure les deux cardinaux de l’inquisition. Suspendus sur des accusations fantaisistes.

La Curie Romaine est-elle coupable ?

Pour le moment non, car elle est abusée par un quarteron de cardinaux qui cherchent un pouvoir supérieur au pouvoir temporel. Mais si la Curie soutient ces gens alors oui elle va devenir coupable.
Car des gens qui foulent au pied leur serment de prêtre en faisant en sorte que le fort domine le faible sont indignes.
Si la Curie les garde en son sein, alors la Curie deviendra elle aussi indigne.

Que la noblesse de France sache qu’elle a en ce couple de cardinaux et en ceux qui les suivent des ennemis alors que l’Eglise doit être un guide.
Que les roys qui seront amenés à régner en France sachent aussi la duplicité des ces hommes.

Les portes de la Curie m’étant fermée, c’est sans doute en place d’Aristote que je serai amené à donner les preuves de ce que j’avance à toute personne qui me les demandera.

Ne jugez pas trop vite la Curie, ce ne sont que deux personnes, VincentDiftain et Rehael qui ont mené l’affaire et agi en son nom.
Agissons tous avant qu’il ne soit trop tard, pour débarrasser Rome de cette gangrène, ce couple de cardinaux indignes, et ceux qui viendraient à les soutenir.


Clodeweck de Montfort





Saison I , to be continued.


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Dernière édition par Leyah le Ven Nov 16, 2012 9:10 pm; édité 1 fois
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Leyah



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MessagePosté le: Ven Nov 16, 2012 9:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

    Lundi matin, Rome, le Roy , quand est ce qu'on se rince, saison II.

[ Pendant ce temps là quelque part au Louvre ]


Madame! Ca puire, je n'en puis plus
Bettez une bince à linze Cybrien

Et la rouquine de tendre une pince a linge au majordome, nouvel accessoire de mode au Louvre, et Ô combien indispensable.
C'est que cela commençait a ne pas fleurer bon, et la puanteur du corps qui se décomposait était telle une odeur latente qui s'incrustait dans chaque fibre de vêtement, chaque pore de peau, chaque cheveux, c'était l'horreur.
Mais d'un autre côté, il était parfaitement impensable de mettre en terre l'un des plus grands serviteurs de l Eglise comme le dernier des mendiants , avec une pelée bénédiction et un amen déplacé.
Donc !
Pinces à linge ! Picététout!


Badame za ne beut blus durer !
Z'avez raison Cybrien bour une vois.


Peu de temps avant, elle avait parcouru la réponse de l Eglise, avait haussé les épaules, s'était posée un tas de questions, avaient eu de nouvelles réponses, mais attendait toujours qu'on ouvre enfin cette foutue enquête ou elle était sensée témoigner depuis au moins dix jours.
Bon y'avait pas a dire, la lenteur administrative parfois pouvait avoir du bon, mais en d'autres cas, comme ici , vu l'odeur, non mais c'était plus possible.

Il fallait faire quelque chose !

Réflexion rapide, le cerveau qui mouline a toute vitesse, et la réponse fut toute trouvée : aller camper à Rome, au moins ca ferait un peu d'air , mais en plus , elle apporterait la tare de l'odeur incrustée dans sa peau, dont il était impossible de se défaire après dix bains, ca leur montrerait tiens ! Et en bonus, elle serait aux premières loges pour savoir quand , enfin, le Roy serait enterré.

On ôte la pince à linge, on reluque le portrait royal au mur, et dodelinant de la tête on rajoute

Non mais tu as vu toi ce que tu me fais faire, ah pour sur tu peux rire sur cette image figée. Saleté ! Greuh !
Oui oui par moments elle n'avait plus tout son chouchen dans le même bol la bretonne, mais c'était un peu normal il fallait dire.
Impossible de faire son deuil.
Impossible de trouver le sommeil.
Et patati
Et patata

Bref, il n'en fallait pas moins pour que la rouquine donne comme consigne a ce brave Cyprien de faire passer le mot qu'elle prenait la route pour Rome et qu'elle allait planter une tente place d Aristote, avec chouchen, calva, prune, et autres boissons intéressantes, et des marrons.
Parce que ouais, les marrons c'est bon d'abord, puis ca réchauffe, et vu que ca gèle sec, faut se réchauffer les entrailles qui en ont bien besoin.
Puis après marchande de tapis, marchande de marrons, c'était pas mal aussi ..

Enfin bref. Route fut prise, un canasson, trois baluchons, et des tonnes de choses a bouffer et a boire, fallait tenir le siège, ou le saint siège ? Oula.. ca se compliquait un brin là ..
C'était la fatigue, pour sur ... l'épuisement, littéral


[ Sur la route, palalalala]

Ben ..
La route..
La route ..
La route ..
Oh ! Un arbre !
La route...
On tourne a gauche , misère, ca change de la ligne droite ..
Un papiiiiyyyoonnnn !!!!!
Hum .. la route.. La route .. une bosse, un trou, une autre bosse, un cul concassé, un dos courbaturé, la route, encore.. toujours, et enfin .. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah enfin ! Rome. Dédiou !
En grognant elle descend de son perchoir a quatre jambes....


Et dire qu'il se raconte que tous les chemins mènent a Rome, ils auraient au moins pu prévoir moins de trous !
Tapotant ses frusques pour en évacuer la poussière
Ou alors des raccourcis, si si non mais c'est bien les raccourcis !
La cape qui se secoue fortement, une rousse qui se met a tousser, avant de s'appuyer sur un truc qui traine et de reluquer le majordome qui monte la tente, il est vieux, mais il se démerde encore pas mal quand même, limite elle l'envierait presque d'avoir les os qui claquent et d'etre en meilleure forme qu'elle.

Une heure plus tard...

C'est une rouquine au faciès a moitié ravagé qu'on pouvait apercevoir, grignotant des marrons, parce que c'est toujours bon, cernes violacés dessinant son regard, le teint fade , les épaules affaissées. La fatigue, le manque d'appétit et de sommeil avait eu raison de son éternelle bonne humeur qui lui donnait cette espèce de folie qu'on interprétait toujours mal, mais qui la faisait hurler de rire. Rouquine dévastée ? Totalement.
M'enfin bon, là au moins l'air était respirable !

Aussi pour passer le temps sorti elle ses petites notes, préparées, les relut elle, pour les reposer ensuite, et prendre velin vierge, plume et entreprendre d'écrire la nouvelle théorie. Après celle de la flexibilité de la queue de la vache dans le tournant, la vitesse de la décomposition des corps par temps chaud, par pluie, temps froid, tempete, ou grand soleil.

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MessagePosté le: Sam Nov 17, 2012 12:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

[Le louvre 1h avant le depart]

Le petit prince qui suit de pré sa mère dans les couloirs

MOMAAAAAAAAAAAAN je suis prèt a viendre avec toi

Mais la reyne trop préoccupé ne l'entend pas
Il a l'idée de se caché directement dans le carosse pour ne pas rater le départ

Dans le Carosse 10 Minute après le depart

Secoué dans tous les sens il sort de sa cachette avec la tête qui tourne

Moman je suis la ,elle est pas tres droite la route faudra penser àla refaire.

Il lui sourit car il savait qu'elle n'allait pas bien
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Spectre



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MessagePosté le: Lun Nov 26, 2012 5:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant


Apres moult suppliques, la bulle fut délivrée...C'est muni de l'autorisation de séjour terrestre du grand barbu en personne que le spectre sans sépulture se fit vapeur douçâtre sur la place Romaine...

Les siens se battaient pour laver son honneur de Roy, qu'ils soient bénis et à jamais aymés du Père...

On tournoie un instant autour de sa progéniture bien aymée avant de plonger vers sa...Reyne.

Immatérielle mais néanmoins Royale manifestation d'un amour...immortel.
Un souffle s'engouffra délicatement sous les frous frous de sa Majéstée, caressa tendrement lèvres et visage avant d'ébouriffer l'auguste crinière de la flamboyante rouquine.
On a beau estre un Saint Ange on n'en reste pas moins attaché à certaines prérogatives...d'époux.

Quel crétin a dit un jour que les défunts n'éprouvent rien pour les leurs et n'ont plus d'attaches les liant aux vivants...un théologien baragouin
sans aucun doute...

Si les affaires terrestres le laissent généralement de marbre,
le Spectre pour peu qu'il soit dans les grâces du Très Haut à au moins cet avantage qu'il peut sans effort lire les pensées les plus intimes, noires ou lumineuses, aucune ne lui échappe.

Perdu entre les queues de vaches de sa rousse, l'horrible vision de sa dépouille sans sépulture et les proclamations des Cardinaux, le Spectre grimaçant se rua sur l'instant aux cœur et cervelets d'un certain nombre de Prélats...

Ce qu'il y vit le glaça d'effroi...L'Eglise et moult de ses princes du haut de leurs égos avides rêvaient couronnes et pouvoir, les pères se déchiraient sauvagement, le Sans Nom aux anges battait mesure endiablée...Ou était donc la Vraie Foy ? elle pourrissait à n'en point douter dans l'âme putréfiée du bon Roy Louis, Roy sans tombeau, salit et déshonoré par ceux la même qui hier l'avait encensé...

Sans doute mettrait-on sur le compte du vent cette longue plainte qui tel un vagissement hanta l'espace d'un instant les cheminées Romaines.
Les Spectres ne pleurent pas...et pourtant...

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Leyah



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MessagePosté le: Lun Nov 26, 2012 5:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

[ En quelque circonstance que tu te trouves, demeure comme une île au milieu des vagues, comme une montagne au milieu des nuages. ]

Aouuuummmm
Je suis un nuage
Aouuuuuuum
Pt'ain de courant d'air !
Aouuummm
Concentration
Je suis un nuage, je suis un nuage , je suis un nuage, je suis un nuage, je suis un
On baisse les yeux
.. oh .. un marron.
Un regard porté a son fils.
Mangez au lieu de parler, cela fera un peu de silence salvateur pour mes oreilles. Encore que le silence n'est bénéfique que si il n'y a rien a dire. Or ! Ici il y en aurait .. à dire. Votre père est en train de pourrir grands dieux !

Pour sur, c'était frais, très frais même, mais fallait il dire les choses telles qu'elles étaient. Pas de sépulture, plus d'un mois que cette affaire durait, pas de procès, pas d'enquête, juste quelques larrons en foire prêts à tout pour parfaire ce qu'elle appelait communément le cafardage en soutanes. C'était là affaire a ébranler plus d'un croyant sur terre. Si il en était qui pouvaient en perdre la Foy, d'autres par contre n'en perdrait pas une goutte de détermination. Pour sur le troisième round serait intéressant, cette si belle Eglise dotée d'hommes de Dieu se voulant pouvoir dans le temporel auraient bientôt a faire a un premier autre pas dans l'histoire. Ils voulaient du temporel ? Ils allaient en avoir. Telle était la détermination de cette rouquine en train de camper sur la place d Aristote en bouffant des marrons. Oui oui les marrons c'est toujours bon, et en plus c'est de saison.

Un souffle, ses jupes se lèvent légèrement, le vent, a n'en point douter, parce que si tout autre chose faisait lever ses jupes elle devrait admettre la mort d'un être unique, et elle n'y était pas prête, pas encore. Admettre un échec n'est déja pas terrible mais en prime quand il s'agissait de la vie d'un .. de sa vie à vrai dire, c'était encore pire. Souffle souffle encore, glissant sur son visage, une sensation étrange de bien être soudain dessinant l'esquisse d'un sourire sur un faciès moribond aussitôt chassé par le fait de secouer la tête rapidement. Ce qui eut forcément pour but de remettre cette tignasse ébouriffée en place. Se refuser la vérité, voila qui était encore la meilleure chose à faire. Éviter a tout prix le sentiment d'abandon, ce qui lui permettrait de ne baisser sa garde et de continuer cette bataille que d'autres avaient cherché.

Un honneur et pas n'importe lequel.

Le temps était venu de passer à la suite. Puisque Rome faisait la sourde oreille, et un remake de la muette, préférant déclarations diffamatoires, la rouquine n'ayant pas encore dit son dernier mot, repris ses petites affaires, le môme par la main, et la route vers Paris.

A salope, salope et demi, nouvelle devise en marche.


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