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Aaron Cardinal
Inscrit le: 07 Mar 2006 Messages: 13192 Localisation: Castelli Romani
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Posté le: Sam Oct 12, 2013 4:26 pm Sujet du message: [FR, IT] Du caractère sacré et perpétuel du baptême |
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Citation: |
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Du caractère sacré et perpétuel du baptême
Texte théologique et canonique sur les fondements du sacrement du baptême
Le baptême est le premier des sacrements qu’un fidèle reçoit dans sa vie. Il infuse l’état de
grâce pour la première fois dans l’âme du baptisé et efface, comme nous l’enseigne Christos,
les péchés qui ont été commis avant l’obtention du sacrement baptismal. Par ce rite, il devient
un fidèle aristotélicien. Ainsi nous est relaté les actes et paroles de Christos dans sa Vita au
chapitre XII :
« Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion : "Par la grâce
de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie". Et Christos
plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion
de cette eau en chuchotant ces paroles : "Seigneur, daigne laver cet homme de ses
péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très
Haut. Amen". »
Le baptême apparaît donc comme une nouvelle naissance. Il fait renaître en Dieu celui qui
le reçoit, quelle que soit les actions perpétrées ou les paroles prononcées. Son âme est lavée,
devenue immaculée. Recevoir le baptême aristotélicien c’est entrer dans la Communauté
Aristotélicienne que forme l’Église de Dieu sur Terre. C’est le premier pas vers le Salut de
l’âme au Paradis solaire qui est le domaine du Très-Haut. Car c’est par le baptême que l’on
reçoit la grâce. Et la grâce aide à la sanctification du fidèle. Ce lien de communication et de
communion avec Dieu permet à la foi du fidèle d’être vivifié, d’imprégner sa vie des valeurs
spirituelles et des vertus aristotéliciennes. C’est là l’efficacité réelle du sacrement du baptême
qui sème la graine sanctifiante menant au Salut. Comme l’on dit les Prophètes dont le message
continue d’être diffusé par l’Église, « le Très-Haut sauve et sanctifie les hommes au
travers des sacrements qui sont les moyens les plus sûrs, mais non les seuls, d’accéder au
Salut ».
Mais si l’on entre dans la vie aristotélicienne par le baptême comme notre naissance nous fait
entrer dans la vie terrestre, cela suppose qu’il y ait une possibilité de mort. Se pose donc la
question de la solubilité du baptême. Car il est dit au chapitre XII de la Vita du prophète
Christos :
« Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il
nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes
apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos
péchés. À vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur
qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit
l’essence". »
Cependant Christos affirme également que, comme le mariage, le baptême est un engagement
à vie. Ces paroles rapportées dans le chapitre XIII de sa Vita apparaissent dés lors de prime à
bord contradictoires :
« Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre
espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur
amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que
l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait.
Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia,
choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus
vous y soustraire ».
Il devient alors nécessairement important de nous interroger sur les fondements de la vie en
tant que fidèle aristotélicien. C’est avant tout comme nous l’avons dit la recherche du Salut
dans le Paradis Solaire et l’amour de Dieu pour Lui-même. Ainsi apparaît-il que la vie
aristotélicienne n’est pas uniquement la vie terrestre telle qu’on l’entend au sens physique du
terme, mais la vie dans le temps et l’éternité des Cieux.
Ainsi qu’est-ce que la mort aristotélicienne ? C’est la damnation, se détourner de Dieu, mourir
aux yeux du Très-Haut, privé de Sa vision béatifique et de l’amour de nos frères en l’Église.
La seule vraie mort pour un aristotélicien, c’est l’enfer lunaire. De la sorte, lorsque Christos
dit que le baptême est un engagement à vie, il parle de toute notre vie, tant terrestre que
céleste. Or, un damné est mort spirituellement. Son sacrement de baptême comme tous les
sacrements qu’il a pu recevoir ne lui sont plus d’aucune utilité puisque le lien qui le liait à
Dieu et par lequel il participait à Sa grâce lui est perdu. Ainsi est le vrai sens des paroles de
Christos qui nous disait d’être digne sur terre de notre baptême au risque qu’il nous soit
enlevé dans l’éternité, occasionnant souffrances et peines pour toujours.
C’est ainsi que l’on en vient à dire que les sacrements, qui sont des « dons infiniment gracieux
et gratuits du Tout-Puissant envers la race humaine, sont éternels et perpétuels ». Ipso facto,
cette miséricorde infinie du Très-Haut nous amène à affirmer que le baptême est un sacrement
indissoluble, car seul lien perpétuel et continu qui le lie à Dieu et lui permet d’accéder, hors
du péché, aux grâces sanctifiantes dont Il est la source. Car seul le péché rompt le lien qui
nous unit à Dieu. Et comme l’obtention de l’ensemble des sacrements aristotéliciens est
subordonnée à l’existence du rite baptismal, sans baptême, point de confession possible et
donc de sacrement de pénitence qui en découle. Le baptême dissous, le fidèle excommunié
serait donc définitivement condamné à l’enfer sélénite, contraint à l’impossibilité de recevoir
le sacrement de pénitence faisant suite à la confession de ses péchés.
Or Dieu étant pardon et amour, il ne saurait-être concevable qu’Il condamne à l’éternité des
enfers les fidèles potentiellement contrits. Par ailleurs, l’Église, dans Sa coutume et Son
ministère a déjà à de nombreuses reprises ouvert les bras à ceux qui se tournent vers Elle et
Lui demandant humblement, contrits et pénitents, l’absolution de leurs péchés et la
réintégration de leurs corps et de leurs âmes dans la communion de l’Église et des fidèles dans
l’espoir du Paradis Solaire et des grâces salvatrices du Très-Haut. Aussi, comme le sacrement
du pardon et subordonné à la réception du sacrement du baptême, nous en venons à constater
que le sacrement du baptême ne peut-être dissous, faute de quoi, un fidèle excommunié de
pourrait jamais réintégrer la communauté des fidèles. D’autre part, si le baptême pouvait être
dissout à chaque péché mortel commis par un baptisé, alors la confession serait parfaitement
inutile et il suffirait au fidèle de demander à nouveau le baptême pour obtenir le pardon.
Christos ayant institué la confession qui pardonne les péchés, aucun péché ne peut donc
résister à une confession vraie et sincère car la puissance de pardon de Dieu est comme Lui-
même : infinie. L’existence seule de la confession confirme par elle-même l’explication de
l’apparente contradiction dans les paroles de Christos : la confession restaure l’état de grâce
d’un baptisé tombé dans le péché et ré-infuse la grâce du baptême dans son âme, le faisant à
nouveau vivre aux yeux de Dieu, et revivifiant en lui les vertus théologales de Foi, de Charité
et d’Espérance.
Pour le peuple de Dieu,
Aaron de Nagan,
archevêque de Césarée.
Aristokolès de Valyria,
évêque de Agen.
Avec la participation de Tibère de Plantagenêt, archevêque de Rouen, Aymé von Frayner-
Embussy, archevêque d’Arles, doyen du Séminaire de Provence, légiste pontifical et
théologue auprès de la Congrégation du Saint-Office, Aegon de Valyria, évêque d’Autun,
légiste pontifical et scripteur auprès de la Congrégation du Saint-Office, Pie de Valence,
évêque de Langres, légiste pontifical et scripteur auprès de la Congrégation du Saint-Office,
Overnas de Chypre, archevêque de Malines.
________________________________
Texte théologique et dogmatique sur les fondements du sacrement du baptême.
Donné et entériné à Rome par le Sacré-Collège sous le pontificat du Très Saint Père Innocent
VIII le huitième du mois de septembre, le dimanche, de l'an de grâce MCDLXI.
Publié et cacheté Son Éminence Aaron de Nagan, Archichancelier du Siège-Apostolique, le
huitième jour du mois de septembre, le dimanche, de l'an de grâce MCDLXI.
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Code: | [quote]
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[color=transparent]........[/color][img]http://img577.imageshack.us/img577/9910/rdo0.png[/img]
[color=#FFCC33][size=24][i][b]Du caractère sacré et perpétuel du baptême[/b][/i][/size]
[i]Texte théologique et canonique sur les fondements du sacrement du baptême[/i][/color]
[i]
Le baptême est le premier des sacrements qu’un fidèle reçoit dans sa vie. Il infuse l’état de
grâce pour la première fois dans l’âme du baptisé et efface, comme nous l’enseigne Christos,
les péchés qui ont été commis avant l’obtention du sacrement baptismal. Par ce rite, il devient
un fidèle aristotélicien. Ainsi nous est relaté les actes et paroles de Christos dans sa Vita au
chapitre XII :[/i]
[list] [color=#999999][size=9]« Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion : "Par la grâce
de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie". Et Christos
plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion
de cette eau en chuchotant ces paroles : "Seigneur, daigne laver cet homme de ses
péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très
Haut. Amen". »[/size][/color][/list][i]
Le baptême apparaît donc comme une nouvelle naissance. Il fait renaître en Dieu celui qui
le reçoit, quelle que soit les actions perpétrées ou les paroles prononcées. Son âme est lavée,
devenue immaculée. Recevoir le baptême aristotélicien c’est entrer dans la Communauté
Aristotélicienne que forme l’Église de Dieu sur Terre. C’est le premier pas vers le Salut de
l’âme au Paradis solaire qui est le domaine du Très-Haut. Car c’est par le baptême que l’on
reçoit la grâce. Et la grâce aide à la sanctification du fidèle. Ce lien de communication et de
communion avec Dieu permet à la foi du fidèle d’être vivifié, d’imprégner sa vie des valeurs
spirituelles et des vertus aristotéliciennes. C’est là l’efficacité réelle du sacrement du baptême
qui sème la graine sanctifiante menant au Salut. Comme l’on dit les Prophètes dont le message
continue d’être diffusé par l’Église, « le Très-Haut sauve et sanctifie les hommes au
travers des sacrements qui sont les moyens les plus sûrs, mais non les seuls, d’accéder au
Salut ».
Mais si l’on entre dans la vie aristotélicienne par le baptême comme notre naissance nous fait
entrer dans la vie terrestre, cela suppose qu’il y ait une possibilité de mort. Se pose donc la
question de la solubilité du baptême. Car il est dit au chapitre XII de la Vita du prophète
Christos :[/i]
[list][color=#999999][size=9]« Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il
nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes
apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos
péchés. À vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur
qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit
l’essence". »[/size][/color][/list][i]
Cependant Christos affirme également que, comme le mariage, le baptême est un engagement
à vie. Ces paroles rapportées dans le chapitre XIII de sa Vita apparaissent dés lors de prime à
bord contradictoires : [/i]
[list][color=#999999] [size=9]« Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre
espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur
amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que
l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait.
Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia,
choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus
vous y soustraire »[/size].[/color][/list][i]
Il devient alors nécessairement important de nous interroger sur les fondements de la vie en
tant que fidèle aristotélicien. C’est avant tout comme nous l’avons dit la recherche du Salut
dans le Paradis Solaire et l’amour de Dieu pour Lui-même. Ainsi apparaît-il que la vie
aristotélicienne n’est pas uniquement la vie terrestre telle qu’on l’entend au sens physique du
terme, mais la vie dans le temps et l’éternité des Cieux.
Ainsi qu’est-ce que la mort aristotélicienne ? C’est la damnation, se détourner de Dieu, mourir
aux yeux du Très-Haut, privé de Sa vision béatifique et de l’amour de nos frères en l’Église.
La seule vraie mort pour un aristotélicien, c’est l’enfer lunaire. De la sorte, lorsque Christos
dit que le baptême est un engagement à vie, il parle de toute notre vie, tant terrestre que
céleste. Or, un damné est mort spirituellement. Son sacrement de baptême comme tous les
sacrements qu’il a pu recevoir ne lui sont plus d’aucune utilité puisque le lien qui le liait à
Dieu et par lequel il participait à Sa grâce lui est perdu. Ainsi est le vrai sens des paroles de
Christos qui nous disait d’être digne sur terre de notre baptême au risque qu’il nous soit
enlevé dans l’éternité, occasionnant souffrances et peines pour toujours.
C’est ainsi que l’on en vient à dire que les sacrements, qui sont des « dons infiniment gracieux
et gratuits du Tout-Puissant envers la race humaine, sont éternels et perpétuels ». Ipso facto,
cette miséricorde infinie du Très-Haut nous amène à affirmer que le baptême est un sacrement
indissoluble, car seul lien perpétuel et continu qui le lie à Dieu et lui permet d’accéder, hors
du péché, aux grâces sanctifiantes dont Il est la source. Car seul le péché rompt le lien qui
nous unit à Dieu. Et comme l’obtention de l’ensemble des sacrements aristotéliciens est
subordonnée à l’existence du rite baptismal, sans baptême, point de confession possible et
donc de sacrement de pénitence qui en découle. Le baptême dissous, le fidèle excommunié
serait donc définitivement condamné à l’enfer sélénite, contraint à l’impossibilité de recevoir
le sacrement de pénitence faisant suite à la confession de ses péchés.
Or Dieu étant pardon et amour, il ne saurait-être concevable qu’Il condamne à l’éternité des
enfers les fidèles potentiellement contrits. Par ailleurs, l’Église, dans Sa coutume et Son
ministère a déjà à de nombreuses reprises ouvert les bras à ceux qui se tournent vers Elle et
Lui demandant humblement, contrits et pénitents, l’absolution de leurs péchés et la
réintégration de leurs corps et de leurs âmes dans la communion de l’Église et des fidèles dans
l’espoir du Paradis Solaire et des grâces salvatrices du Très-Haut. Aussi, comme le sacrement
du pardon et subordonné à la réception du sacrement du baptême, nous en venons à constater
que le sacrement du baptême ne peut-être dissous, faute de quoi, un fidèle excommunié de
pourrait jamais réintégrer la communauté des fidèles. D’autre part, si le baptême pouvait être
dissout à chaque péché mortel commis par un baptisé, alors la confession serait parfaitement
inutile et il suffirait au fidèle de demander à nouveau le baptême pour obtenir le pardon.
Christos ayant institué la confession qui pardonne les péchés, aucun péché ne peut donc
résister à une confession vraie et sincère car la puissance de pardon de Dieu est comme Lui-
même : infinie. L’existence seule de la confession confirme par elle-même l’explication de
l’apparente contradiction dans les paroles de Christos : la confession restaure l’état de grâce
d’un baptisé tombé dans le péché et ré-infuse la grâce du baptême dans son âme, le faisant à
nouveau vivre aux yeux de Dieu, et revivifiant en lui les vertus théologales de Foi, de Charité
et d’Espérance.
Pour le peuple de Dieu,
[b]Aaron de Nagan,[/b]
archevêque de Césarée.
[b]Aristokolès de Valyria, [/b]
évêque de Agen.
Avec la participation de Tibère de Plantagenêt, archevêque de Rouen, Aymé von Frayner-
Embussy, archevêque d’Arles, doyen du Séminaire de Provence, légiste pontifical et
théologue auprès de la Congrégation du Saint-Office, Aegon de Valyria, évêque d’Autun,
légiste pontifical et scripteur auprès de la Congrégation du Saint-Office, Pie de Valence,
évêque de Langres, légiste pontifical et scripteur auprès de la Congrégation du Saint-Office,
Overnas de Chypre, archevêque de Malines.
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Texte théologique et dogmatique sur les fondements du sacrement du baptême.
Donné et entériné à Rome par le Sacré-Collège sous le pontificat du Très Saint Père Innocent
VIII le huitième du mois de septembre, le dimanche, de l'an de grâce MCDLXI.
Publié et cacheté Son Éminence Aaron de Nagan, Archichancelier du Siège-Apostolique, le
huitième jour du mois de septembre, le dimanche, de l'an de grâce MCDLXI.
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[/quote][img]http://img364.imageshack.us/img364/3705/bulleorhq5.png[/img] |
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Alexei Kosygin
Inscrit le: 09 Jan 2016 Messages: 879
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Posté le: Mar Mai 12, 2020 3:20 pm Sujet du message: |
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Del carattere sacro e perpetuo del Battesimo
Testo teologico e canonico sui fondamentali del sacramento del Battesimo
Il battesimo è il primo dei sacramenti che un fedele riceve nella sua vita. Esso infonde lo stato di
grazia per la prima volta nell'animo del battezzato e cancella, come ci insegna il Christos,
i peccati che sono stati commessi prima di ottenere il sacramento battesimale. Attraverso questo rito, egli diviene
un fedele aristotelico. Così ci è riferito dagli atti e dalle parole di Christos nella sua Vita nel
Capitolo XII :
« E poi Christos si avvicinò alla fontana, e disse ancora al Centurione: "Per grazia
dell'Eterno, laverò via i tuoi peccati, rinnovandoti nell'acqua, la fonte di vita!" A quel punto Christos
immerse le sue mani unite sotto nel getto della fontana. Bagnò il corpo del Centurione
di quest'acqua, sussurrando queste parole: "Signore, accetta di lavare questo uomo dai suoi
peccati, perché possa così rinascere nella comunità dei fedeli! Nel nome dell'Altissimo.
Amen. »
Il battesimo appare così come una nuova rinascita. Esso fa rinascere in Dio colui che
lo riceve, qualunque siano le azioni perpetrate o le parole pronunciate. La sua anima è lavata,
diviene immacolata. Ricevere il battesimo aristotelico è entrare nella Comunità
Aristotelica che forma la Chiesa di Dio sulla Terra. Questo è il primo passo verso la Salvezza
dell'anima nel Paradiso solare che è il dominio dell'Altissimo. Perché è attraverso il battesimo che si
riceve la grazia. E la grazia sostiene la santificazione del fedele. Questo legame di comunicazione e di
comunione con Dio permette alla fede del fedele di essere vivificata, d'impregnare la sua vita dei valori
spirituali e delle virtù aritstoteliche. Qui c'è l'efficacia reale del sacramento del battesimo
che semina la semenza santificante che porta alla Salvezza. Com'è detto dai Profeti il cui messaggio
continua ad essere diffuso attraverso la Chiesa, « l'Altissimo salva e santifica gli uomini
attraverso i sacramenti che sono il mezzo più sicuro, ma non i soli, per accedere alla
Salvezza».
Ma se si entra nella vita aristotelica attraverso il Battesimo come la nostra nascita ci fa
entrare nella vita terrestre, questo suppone che ci sia una possibilità di morte. Si pone così la
domanda della solubilità del Battesimo. Perché è detto nel capitolo XII della Vita del profeta
Christos :
« Poi, Christos chiamò noi, i suoi apostoli, uno a uno a lui, e
ci immerse nell'acqua della fontana, facendoci nascere a nuova vita. Ci disse:
"Apostoli miei, uomini e donne, per grazia di Dio venite ora lavati dai vostri
peccati. Mostrategli che siete meritevoli di questo onore
che lui vi offre, perchè il sacramento del Battesimo può essere annullato da chiunque ne tradisca
la sostanza. »
Tuttavia Christos afferma allo stesso tempo che, come il matrimonio, il Battesimo è un impegno
per tutta la vita. Queste parole riportate nel capitolo XIII della sua Vita paiono a prima vista
contraddittorie :
« Quando due esseri condividono un amore puro, e intendono perpetuare la nostra
specie procreando, Dio permette loro, tramite il sacramento del matrimonio, di vivere il loro
amore. Questo amore così puro, vissuto nella virtù, glorifica Dio, perchè Lui è amore, e
l'amore che gli uomini condividono è il più grande dono che Gli si possa fare.
Ma, come il battesimo, il matrimonio è un impegno per la vita, Natchiachia,
scegli con giudizio, perchè una volta che tu e Yhonny sarete sposati, non vi potrete
più sottrare ».
Diviene allora necessariamente importante interrogarci tanto sui fondamenti della vita
in quanto fedeli aristotelici. Diventa allora importante, come abbiamo detto, la ricerca della Salvezza
nel Paradiso Solare e l'amore per Dio stesso. Così sembra che la vita
aristotelica non è unicamente la via terrestre così come viene intesa nel senso fisico del
termine, ma la vita nel tempo e l'eternità in Paradiso.
Così che cos'è la morte aristotelica? E' la dannazione, allontanarsi da Dio, morire
agli occhi dell'Altissimo, essere privati della Sua visione beatifica e dell'amore dei nostri fratelli nella Chiesa.
La sola vera morte per un aristotelico, è l'Inferno Lunare. Così, quando Christos
dice che il battesimo è un impegno per la vita, egli parla di tutta la nostra vita, sia terrena che
celeste. Ordunque un dannato è morto spiritualmente. Il suo sacramento battesimale come tutti i
sacramenti che egli ha potuto ricevere non gli sono più di alcuna utilità poiché il legame che lo legava a
Dio e attraverso il quale percepiva la Sua grazia, è perduto. Così questo è il vero senso delle parole di
Christos che ci ha detto di essere degni sulla terra del nostro battesimo a rischio di
perderli per l'eternità, causando sofferenze e punizioni eterne.
Così si può dire che i sacramenti, che sono dei "doni infinitamente meravigliosi
e gratuiti dell'Onnipotente verso la razza umana, sono eterni e perpetui". Ipso facto,
questa misericordia infinita dell'Alrissimo ci porta ad affermare che il Battesimo è un sacramento
indissolubile, perché unico legame perpetuo e continuo che lo lega a Dio e gli permette d'accere, fuori
del peccato, alla grazia santificante di cui Egli è la sorgente. Perché solo il peccato romper il legame che
ci unisce a Dio. E come l'ottenimento di tutti i sacramenti aristotelici è
subordinato all'esistenza del rito battesimale, senza il Battesimo, non è appunto possibile la confessione
e dunque il sacramento della penitanza che ne consegue. Dissolto il battesimo, il fedele scomunicato
sarà definitivamente condannato all'Inferno Lunare, costretto all'impossibilità di ricevere
il sacramento della penitenza che dovrebbe fare seguito alla confessione dei peccati.
Ma essendo Dio perdono e amore, non può essere concepibile che Egli condanni per l'eternità degli inferi i fedeli potenzialmente contriti.
Inoltre la Chiesa nella Sua consuetudine e nel Suo ministero ha già numerose volte, aperto le braccia a coloro che si rivolgono ad Essa
e domandano a Lui umilmente, contrito e penitenti, l'assoluzione dei loro peccati e la reintegrazione dei loro corpi e delle loro anime nella
comunione della Chiesa e dei fedeli nella speranza del Paradiso Solare e delle grazie salvatrici dell'Altissimo. Così, come il sacramento
del perdono è subordinato alla ricezione del sacramento del battesimo, noi possiamo constatare che il sacramento del battesimo non può
essere dissolto, altrimenti un fedele scomunicato non potrebbe mai essere reintegrato nella comunità dei fedeli. D'altra parte, se il battesimo
potesse essere dissolto da ogni peccato mortale commesso da un battezzato, allora la confessione sarebbe perfettamente inutile e sarebbe
sufficiente al fedele domandare un nuovo battesimo per ottenere il perdono.
Christos avendo istituito la confessione che perdona i peccati, nessun peccato può resistere a una confessione vera e sincera perché la potenza
del perdono di Dio è come Lui stesso: infinito. L'esistenza sola della confessione conferma da se stessa la spiegazione dell'apparente
contraddizione nelle parole di Christos: la confessione restaura lo stato di grazia di un battezzato caduto nel peccato e re-infonde la grazia del
battesimo nella sua anima, facendolo rivivere nuovo agli occhi di Dio, e rivitalizzando in lui le virtù teologali della Fede, della Carità e della Speranza.
Per il popolo di Dio
Aaron de Nagan,
Arcivescovo di Cesarea.
Aristokolès de Valyria,
Vescovo di Agen.
Con la partecipazione di Tibère de Plantagenêt, Arcivescovo di Rouen, Aymé von Frayner-
Embussy, arcivescovo d’Arles, Decano del Seminario di Provence, Assistente pontificio e teologo
presso la Congregazione del Sant'Uffizio, Aegon de Valyria, Vescovo d’Autun, Assistente pontificio e
scrittore presso la Congregazione del Sant'Uffizio, Pie de Valence, Vescovo di Langres, Assistente
pontificio e scrittore presso la Congregazione del Sant'Uffizio, Overnas de Chypre, Arcivescovo di Malines.
________________________________
Testo teologico e dogmatico sui fondamenti del sacramento del battesimo.
Dato e approvato a Roma dal Sacro Collegio sotto il pontificato del Santissimo Padre Innocente VIII
l'ottavo giorno del mese di settembre, domenica, dell'anno di grazia MCDLXI.
Rilasciato e sigillato da S.E. Aaron de Nagan, Arci cancelliere della Sede Apostolica,
l'ottavo giorno del mese di Settembre, domenica, dell'anno di grazia MCDLXI.
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_________________
Librarian of the Vatican Library | Archbishop of Utrecht | Professor at Canterbury Cathedral School | Vice-Prefect at Villa San Loyats |
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