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Royaume de France sous Eusaias

 
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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:00 am    Sujet du message: Royaume de France sous Eusaias Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:


    Aux fidèles âmes du Royaume de France,
    Aux fidèles âmes de l’Anjou,
    À l'universalité des fidèles.


    « Alors, l’homme et la femme frappèrent leurs frères et leurs soeurs. Prenant couteau et hache en main, chacun frappa l’autre en une tempête de violence et de destruction. Ils venaient d’inventer la guerre, qui atteignit son paroxysme lorsque chacun se mit à brûler la maison et à dévaster les champs de l’autre. La Créature Sans Nom vint à nouveau près de ceux qui l’écoutaient et leur dit que la violence et la haine leur permettraient dorénavant de dominer leur prochain. »

    Livre de la Pré-Histoire, Chapitre V, Les péchés

    Frères et sœurs,

    C’est avec une profonde tristesse que notre Sainte Église a été informée des tragiques événements qui ont eu lieu au sein du Domaine Royal, impliquant les forces de la France et celles de l’Anjou, bousculant la paix et la concorde naturelle.

    Nous déplorons avec vigueur que certaines personnes aient choisi d’exprimer leurs divergences politiques par la voie des armes plutôt que par la parole et le compromis. La sagesse nous indique que les plaies ouvertes par le fer ne se referment jamais totalement et que quelques coups d’épées peuvent détruire la confiance que les mots ont mis des années à bâtir. La violence qui survient en représailles ne peut qu'engendrer une violence plus grande encore, qui à son tour en appellera une autre.

    Nous rappelons à tous que la guerre prive nos villes et villages de pères, de mères, d’époux, d’épouses, de frères, de sœurs, de fils et de filles. Elle déchire le cœur aimant des fidèles et laisse derrière elle des séquelles qui prennent beaucoup plus de temps à réparer que les dommages matériels et pillages laissés dans le sillon destructeur des armées.

    En ces temps troubles, il convient de remémorer aux diverses parties prenantes à ce conflit naissant que le dimanche est jour réservé à la prière et que toute atteinte à la trêve dominicale est affront envers le Très-Haut.
    (La trêve dominicale concerne les actions entreprises le dimanche et résolues le lundi).

    Nous invitons toutes les parties concernées à renouer avec le dialogue, soucieux de préserver les vies innocentes et le futur de tous ceux dont la vie est aujourd’hui menacée par le fer. Nous offrons par le fait même la médiation de l’Église, afin que la raison puisse à nouveau prendre le pas sur la démesure.

    Nous portons en nos prières les populations affligées et invitons toute âme noble et vertueuse à tenter, par ses propres moyens, d’apporter baume aux blessures que les armes engendreront inévitablement.


    Aristotéliquement vôtre,

    Pour l’Assemblée épiscopale de France,




    Monseigneur Navigius di Carrenza,
    Archevêque Suffragant d’Avignon
    Primat de France

    Pour la Diplomatie Romaine,



    Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
    Archevêque Métropolitain de Lyon,
    Protonotaire Apostolique.

    Faict à Rome, le 6e de décembre de 1460.

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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:00 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    À l'attention d'Eusaias de Blanc-Combaz, Roy-élu de France,
    Aux pieuses âmes du Royaume de France,
    À l'universalité des fidèles.


    C’est lorsque les sombres torrents de l’adversité se déchaînent sur le navire de la vertu que nous pouvons mesurer la grandeur des hommes.

    C’est avec profonde tristesse que nous avons pris connaissance de la déclaration d'Eusaias de Blanc-Combaz, Roy-élu du Royaume de France, en date du 12è de décembre de l’an de grâce 1460, déclaration qui découle de la reconnaissance d’un Duc ouvertement hérétique et reconnu comme tel.

    Cette reconnaissance, qui force d’innombrables aristotéliciens arpentant le chemin de la vertu à porter allégeance, au péril bien réel de leurs âmes, à un hérétique, ne peut aucunement rencontrer l’assentiment moral de l’Église de France, puisqu’il s’agit d’un acte dont les conséquences sont néfastes et dangereuses pour le Salut des fidèles.

    S’il convient que la reconnaissance des ducs et comtes feudataires de France soit une prérogative du Roy de France, ce que nous ne remettons nullement en cause, il est important de réaffirmer et de comprendre que l’Église de France ne peut que réagir lorsque des décisions ou des actions de quelque fidèle que ce soit vont à l'encontre de la préservation de la Communauté. Quand ces gestes sont punissables au sens du Droit Canon de la Saincte Église aristotélicienne et Romaine, il va de soi que l’Église mette en œuvre les conséquences prévues pour sanctionner de tels gestes. Il s’agit là d’une chose toute naturelle, tout comme il est naturel pour une plaie de saigner lorsque tailladée par une lame. Il ne nous viendrait point à l'idée de blâmer le résultat de l’acte plutôt que son origine, tout comme on ne peut faire porter le fardeau de la conséquence d'une décision d'une autorité temporelle à l’Église.

    Qu’il soit su que l’Église de France fait corps et âme avec la Curie de la Saincte Église Aristotélicienne et Romaine puisque deux parties d’un même corps ne peuvent agir qu'en pleine concordance et support. Il nous apparait que nulle autre motivation que le strict respect du Droit Canon, pleinement connu de tous, dicte les décisions qui ont été rendues par la Curie Romaine.

    Le Dogme et le Droit Canon sont les phares qui guident et unissent les clergés de tous les Royaumes en une seule et même Église, rayonnante de la foy et dépositaire de la parole des Prophètes. Une remise en cause aussi directe et frontale que celle énoncée par le Roy-élu de France est une remise en cause du fondement le plus complet de notre Saincte Institution. En ce sens, nous appelons les fidèles de toute l’Europe à faire connaître leur appui à la Saincte Église Aristotélicienne et Romaine et à leurs frères français, qui se trouvent aujourd’hui blâmés pour les conséquences naturelles d’actes contrevenant directement au Droit Canon.

    Enjoignons le Roy-élu de France à réaliser une profonde réflexion sur ses actes et ses motivations et à se rendre compte qu’il tisse encore aujourd’hui lui-même la toile de son malheur, un malheur que nous ne voulons pas voir se propager à la France, Fille ainée de Rome.

    Aristotéliquement vôtre,

    Pour l’Assemblée épiscopale de France,




    Monseigneur Navigius di Carrenza,
    Archevêque Suffragant d’Avignon
    Primat de France

    Faict à Rome, le 13e de décembre de 1460.

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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

Fitz a écrit:
Citation:



    « Il n’est de noblesse que d’âme, et c’est dans votre cœur qu’il vous faut être noble.
    Mais sachez que même ainsi, vous serez vulnérable, car la noblesse est souvent blessée par la bassesse. »

    1ère Logion de Christos


    À l'attention d'Eusaias de Blanc-Combaz, Roy-élu de France,
    Aux pieuses âmes du Royaume de France,
    À l'universalité des fidèles.


    C'est avec une immense surprise doublée d'un fort sentiment d'inquiétude que les évêques de France ont appris l'arrestation et la mise sous verrous en Béarn de Monseigneur Navigius, Primat de France & Archevêque suffragant d'Avignon, sur ordre du Roy-élu Eusaias.
    Cet acte s'inscrit malheureusement dans la suite logique des agissements de cet homme qui, de déclarer des prélats ennemis de la France, est arrivé à ordonner de les garder à disposition dans une geôle et forteresse inconnues en jetant le Primat au cachot et à enjoindre son Mignon à porter le fer chez des hommes d'Église.
    Notre estimé confrère, fort de ses principes vertueux et sans cesse enclin à la paix ainsi qu'à l'Amour, s'est rendu de lui-même aux autorités béarnaises qui le détiendront jusqu'à l'arrivée d'exécuteurs royaux.

    Bien entendu, nous ne pouvons que condamner avec force ce qui a été entrepris par le Roy-élu. D'une main, celui-ci enjoint à des discussions sur fond de chantage et ultimatum divers ; de l'autre, il s'en prend à des représentants du Très-Haut sur terre, par un acte lâche et sans bravoure, n'instaurant ainsi guère de climat optimal pour l'entame d'éventuelles conciliations...
    L'Église ne cesse d'enjoindre à l'Amour et à l'Amitié aristotélicienne. L'Empereur Flavien Charles Galanodel se propose comme médiateur. Mais le Roy-élu de France persiste dans ses provocations envers la Très Sainte Église.
    Est-il encore utile de réaffirmer notre position en ne faisant que réitérer nos vœux de pardon et enjoindre naturellement à la libération immédiate de Monseigneur Navigius ?

    L'Assemblée Épiscopale de France tient toutefois à informer les pieux fidèles du Royaume de France de changements opérés en son sein, suite à l'ordre émis par Eusaias de Blanc-Combaz, ne désirant pas que ce bouleversement interrompe les prélats de France dans la mission qui est la leur.
    En effet, le Primat de France, conscient du sombre avenir que nous réserve le Roy-élu, a établi son équipe primatiale comme suit, afin de le suppléer durant sa regrettée absence, comme le prévoient les statuts qui dirigent notre Assemblée :
    • Premier Vice-Primat de France : Monseigneur Fitz, Évêque suffragant de Nevers
    • Deuxième Vice-Primat de France : Son Éminence Bender, Archevêque métropolitain de Bourges
    • Troisième Vice-Primat de France : Monseigneur Henriques, Archevêque suffragant de Toulouse
    • Monseigneur Galahadd, Archevêque métropolitain de Narbonne, est quant à lui libéré de son office de conseiller spécial auprès de la Primatie.

    Nous appelons tous les fidèles du Royaume de France à une journée de prière le 1er janvier prochain, en ce jour naissant de la nouvelle année, afin que le Primat de France, homme de paix et entièrement dévoué à notre Église, nous revienne bientôt et dans de bonnes conditions.

    Enfin, nous invitons l'universalité des fidèles à prendre position et à affirmer leur Foy par leur prime allégeance au Très-Haut. Que ce soit par les urnes ou la force du verbe. Les plus égarés ont la possibilité de revenir sur le droit chemin, pour peu que les membres de notre Très Sainte Église les raisonnent.
    La mission première de l'Église et de ses représentants n'est pas la mise sous interdit, mais le Pardon. Néanmoins, bien que nous puissions comprendre un certain tiraillement au sein des fidèles de notre Très Sainte Église à l'origine de nombreux silences, nous les estimons responsables de leurs actes et de leur potentielle hérésie lorsqu'ils expriment ouvertement leur soutien à un excommunié.

    L'Église n'a jamais encouragé les armes et ne le fera jamais.
    Éternellement pacifique, Elle sera perpétuellement Amour.

    Aristotéliquement vôtre,

    Pour l’Assemblée Épiscopale de France,
    & en l'absence du Primat de France détenu ailleurs,


    Monseigneur Fitz,
    Premier Vice-Primat de France
    Évêque de Nevers
    Seigneur d'Imphy



    Faict à Rome, le 30è de décembre de l'an de grâce 1460.

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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Fitz a écrit:
Citation:





    Révocation de l’Archevêque suffragant de Toulouse et du Troisième Vice-Primat


    Nous, Monseigneur Fitz, Premier Vice-Primat de France & Évêque de Nevers, prenons la plume aujourd’hui le cœur lourd afin de faire l’annonce suivante :


    Qu’il soit su que l’Assemblée épiscopale de France s’est prononcée en faveur de la révocation de Henriques de sa charge d’Archevêque suffragant de Toulouse. Cette grave décision découle logiquement de sa décision claire de se "désolidariser définitivement de l'administration romaine" dans le conflit opposant l'Anti-Roy à la Très Sainte Église dans son ensemble et a pour but premier l’intérêt des paroissiens de Toulouse & le salut de leur âme.

    De même, qu'il soit su que nous révoquons Henriques de sa charge de Troisième Vice-Primat aux mêmes motifs. L'équipe primatiale ne peut être formée que de prélats fidèles aux lignes directrices empruntées par la Très Sainte Église aristotélicienne dans son ensemble.

    Puisse le Très-Haut veiller sur Henriques afin de le remettre sur le chemin de la vraie Foy & puisse-t-Il nous assister dans la recherche d’un digne successeur.

    Fait à Rome, le 22è jour du mois de janvier de l’an de grâce MCDLXI.


    Monseigneur Fitz
    Premier Vice-Primat de France
    Évêque de Nevers






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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:



À l’attention des autorités ducales légitimes de Bourgogne,
À l’attention des fidèles bourguignons


Frères et soeurs,

En ces temps sombre pour le Royaume de France, la tyrannie a fait un pas de plus sur la liberté des consciences lorsque des troupes lourdement armées se sont saisies du palais épiscopal de Nevers, en expulsant l’évêque légitime, Monseigneur Fitz, pour y placer un pantin fantoche à la solde de l'Anti-Roy Eusaias de Blanc-Combaz, pantin dont la seule légitimité est issue des armes.

Alors que dans le Royaume, des voix s’égosillent à dénoncer la prétendue ingérence du pouvoir spirituel dans les affaires du temporel, il se trouve que ces voix sont suspicieusement muettes aujourd’hui alors que les prérogatives émanant du pouvoir spirituel sont bafouées et que les portes des évêchés sont enfoncées à coup de béliers, le sombre cliquetis des armes se faisant entendre dans les pieux couloirs de ces bâtiments, qui sont la propriété non point du pouvoir temporel, mais de l’union des fidèles réunis en paroisses, diocèses et provinces ecclésiastiques.

Nous dénonçons fermement cette attaque contre le libre-arbitre, don le plus cher fait aux hommes par le Très-Haut, et enjoignons les fidèles à exiger la restauration de Monseigneur Fitz dans ses prérogatives, et la condamnation du schismatique Walderan_Jr, pour l’usurpation dont il se rend coupable.

Nous demandons aux Grands Officiers de la Couronne, aux Pairs de France et aux Grands Feudataires, conformément à leur déclaration récente qui reconnaissait à la Saincte-Église Aristotélicienne et Romaine le Gouvernement des affaires spirituelles partout dans le Monde, d'user de leur influence afin que soit restauré dans son bon droit le légitime l'Évêque de Nevers. La cohérence n'en dicterait pas moins.

Nous refusons résolument un Royaume de France dans lequel les prêtres, curés et prélats devront trouver inspiration extérieure au dogme, dans les volontés du temporel, afin d’accomplir leur office en toute quiétude. Il s’agit d’un danger incommensurable qui réduira à néant la fibre morale du Royaume et l’indépendance ecclésiastique nécessaire à la vertu.

Aristotéliquement vôtre,

Monseigneur Navigius di Carrenza,
Archevêque suffragant d’Avignon,
Primat de France,
Ami Lescurien,




Faict à Avignon, le XXXIe du mois de janvier de l’an de grâce 1461.

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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:





    Réponse à la déclaration des serviteurs de la France par l'Assemblée épiscopale de France.



    Nous, légitimes successeurs des apôtres par la tradition apostolique depuis la création de notre Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, évêques, messagers de la parole divine et gardien du peuple des fidèles, désignés par Dieu comme héritiers du mandat confié par Christos à ses apôtres, réunis en synode pour l’honneur et la gloire du Très-Haut et des Prophètes,



    Accusons bonne réception de la déclaration de certains pairs et grands-officiers de France quant à la situation actuelle et les choix qui ont été faits.

    Attendu que les-dits pairs, grands-officiers et officiers royaux reconnaissent "à la Très Sainte Église Aristotélicienne le gouvernement des affaires spirituelles partout dans le monde",

    Il apparait évident que les-dits pairs, grands-officiers et officiers royaux reconnaissent l'autorité de l'Église en matière de justice et de censures spirituelles pour les motifs qu'Elle juge légitimes dans ce domaine.

    Attendu que le sieur Eusaias Blanc-Combaz a été excommunié par la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine en date du II août MCDLX,

    Attendu que cette excommunication a toujours cours à l'heure actuelle,

    Il apparait évident que les-dits pairs, grands-officiers et officiers royaux ne sauraient se soustraire à l'autorité de l'Église en matière de Foi et de discipline spirituelle compte tenu de leur reconnaissance officielle du gouvernement de la Très Sainte Église Aristotélicienne dans les affaires spirituelles partout dans le monde.

    Enjoignons donc les-dits pairs, grands-officiers et officiers royaux de cesser au plus vite toutes leurs activités au service d'Eusaias Blanc-Combaz en ne servant plus la Couronne que de manière appropriée, et non en prenant les ordres d'un hérétique. L'unité d'un Royaume de France, dirigé seulement par des fidèles français, est la première des préoccupations de la Très Sainte Église Aristotélicienne.

    Nous, évêques de la Sainte Église Aristotélicienne et successeurs des apôtres, annonçons haut et fort que la Très Sainte Église Aristotélicienne n'a jamais prétendu au "gouvernement des affaires temporelles du Royaume de France", ne le prétend pas, et ne le fera jamais. Que quiconque prouve le contraire ! Nous reconnaissons en cela la clairvoyance des-dits pairs, grands-officiers et officiers royaux.


    Pour l'Assemblée et les évêques de France,



    Monseigneur Navigius di Carrenza,
    Primat de France
    Archevêque suffragant d'Avignon




    Monseigneur Fitz,
    Premier Vice-Primat de France
    Évêque de Nevers




    Overnas d'Asti
    Archevêque Suffragant de Malines.




    Son Eminence Monseigneur Tully Farnèse
    Cardinal-Archevêque Métropolitain de Vienne




    Monseigneur Tibère de Montefeltro,
    Vice-Primat du Concile Episcopal du Saint-Empire,
    Archevêque métropolitain d'Arles.




    Monseigneur Nono,
    Évêque suffragant de Rodez.




    Monseigneur Endymion d'Abbadie,
    Évêque suffragant de Tarbes.



    Frère Peccatore,
    Evêque suffragant de Lisieux.




    Monseigneur Minlawa de Montfort-Balmyr
    Evêque de Le mans, Vice Archexorciste.
    Evêque à votre service.




    Son Éminence Vincent Diftain d'Embussy,
    Archevêque Métropolitain de Sens




    Son Éminence Aaron, cardinal de Nagan,
    Archevêque de Césarée.




    Son Éminence Tibère, Cardinal de Plantagenêt, dict Rehael,
    Archevêque métropolitain de Rouen.



    Monseigneur Lotx
    Évêque de Périgueux



    Monseigneur Adso
    Archevêque de Cambrai et Protonotaire Apostolique Consul



    Monseigneur Aegon de Valyria,
    Recteur de la Congrégation de Sainct Thomas




    Monseigneur Gragblod
    Évêque de Nîmes



    Monseigneur Galahadd,
    Archevêque métropolitain de Narbonne




    Monseigneur Oiselier
    Évêque de Dié




    Évêque de Limoges


    Monseigneur David de Sent-Bertran
    Évêque suffragant d'Orléans



    Monseigneur Tokai
    Archeveque d'Embrun



    Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
    Archevêque de Lyon & Protonotaire Apostolique.




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angelo de montemayor



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:09 am    Sujet du message: Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:



À l’attention des autorités comtales du Maine
À l’attention des fidèles mainois,

À l'attention de Karyaan le Verdier Lomàlas,
Comtesse du Maine,


Votre Grasce,

C'est avec grande inquiétude que nous avons pris connaissance de votre récente missive concernant les actions du clergé mainois contre lesquels vous vous élevez.

Désireux de vous témoigner l'amour que nous éprouvons pour les fidèles et pieux mainois et le sérieux que la Saincte-Église Aristotélicienne et Romaine accorde à la bonne conduite de ses prélats et clercs, nous avons pris la décision d'agir de manière concrète et ce immédiatement.

Qu'il soit su que nous avons confié mission d'enquête à Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, Archevêque Métropolitain de Lyon, afin qu'il puisse faire enquête sur la situation religieuse en le Maine et faire la lumière sur les allégations et comportements reprochés.

Rassurons les fidèles du Maine que notre attention entière est portée sur cette situation et que leur intérêt prime en notre coeur sur toute autre considération.

Aristotéliquement vôtre,

Monseigneur Navigius di Carrenza,
Archevêque suffragant d’Avignon,
Primat de France,
Ami Lescurien,




Faict à Avignon, le VIe du mois de février de l’an de grâce 1461.

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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



À l’attention des autorités comtales de l'Armagnac et des Comminges,
À l'attention des paroissiens de l'Archidiocèse Métropolitain d'Auch,
À l'attention de tout l'Aristotélisme,


Nous, Navigius di Carrenza, Archevêque suffragant d'Avignon et Primat de France de par la volonté manifeste de l'Assemblée épiscopale de France, prenons la plume aujourd'hui afin d'annoncer l'acceptation par l'Assemblée épiscopale de France de la démission de Monseigneur Bushiro, Archevêque Métropolitain d'Auch. La démission de Monseigneur Bushiro devient donc effective dès maintenant.

Nous tenons à remercier Monseigneur Bushiro pour ses nombreuses années de dévotion à la cause de l'Aristotélisme et espérons le revoir dans de nouvelles fonctions rapidement.

Rassurons les paroissiens de l'Archidiocèse Métropolitain d'Auch que nous procéderons avec la plus grande rapidité et efficacité afin de trouver à Monseigneur Bushiro un successeur digne des attentes et de la piété de la bonne population de l'Armagnac et des Comminges.

Aristotéliquement vôtre,

Monseigneur Navigius di Carrenza,
Archevêque suffragant d’Avignon,
Primat de France,
Ami Lescurien,




Faict à Avignon, le IXe du mois de février de l’an de grâce 1461.

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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:



À l’attention des autorités comtales du Maine,
À l'attention des paroissiens du Diocèse du Mans,
À l'attention de tout l'Aristotélisme,


Nous, Navigius di Carrenza, Archevêque suffragant d'Avignon et Primat de France de par la volonté manifeste de l'Assemblée épiscopale de France, prenons la plume aujourd'hui afin d'annoncer la réception et l'acceptation par l'Assemblée épiscopale de France de la démission de Monseigneur Minlawa de Montfort-Balmyr, de sa charge d'Évêque du Mans. La démission de Monseigneur Minlawa est effective dès maintenant.

Rassurons les paroissiens du diocèse du Mans que nous procéderons avec la plus grande rapidité et efficacité afin de trouver à Monseigneur Minlawa un successeur digne des attentes et de la piété de la bonne population du Maine

Aristotéliquement vôtre,

Monseigneur Navigius di Carrenza,
Archevêque suffragant d’Avignon,
Primat de France,
Ami Lescurien,




Faict à Avignon, le XXVIe du mois de février de l’an de grâce 1461.

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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



À l’attention des autorités comtales du Maine,
À l'attention des paroissiens du Diocèse du Mans,
À l'attention de tout l'Aristotélisme,


Nous, Navigius di Carrenza, Archevêque suffragant d'Avignon et Primat de France de par la volonté manifeste de l'Assemblée épiscopale de France, prenons la plume aujourd'hui afin d'annoncer la réception et l'acceptation par l'Assemblée épiscopale de France de la démission de Monseigneur Minlawa de Montfort-Balmyr, de sa charge d'Évêque du Mans. La démission de Monseigneur Minlawa est effective dès maintenant.

Rassurons les paroissiens du diocèse du Mans que nous procéderons avec la plus grande rapidité et efficacité afin de trouver à Monseigneur Minlawa un successeur digne des attentes et de la piété de la bonne population du Maine

Aristotéliquement vôtre,

Monseigneur Navigius di Carrenza,
Archevêque suffragant d’Avignon,
Primat de France,
Ami Lescurien,




Faict à Avignon, le XXVIe du mois de février de l’an de grâce 1461.

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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:20 am    Sujet du message: Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:



À l’attention des autorités de Provence,
À l'attention des paroissiens de l'Archidiocèse Métropolitain d'Arles,
À l'attention de tout l'Aristotélisme,


Nous, Navigius di Carrenza, Archevêque suffragant d'Avignon et Primat de France de par la volonté manifeste de l'Assemblée épiscopale de France, prenons la plume aujourd'hui afin d'annoncer la réception et l'acceptation par l'Assemblée épiscopale de France de la démission de Monseigneur Tibère de Montelferetto, de sa charge d'Archevêque Métropolitain d'Arles. La démission de Monseigneur Tibère est effective dès maintenant.

Rassurons les paroissiens de l'Archidiocèse d'Arles que nous procéderons avec la plus grande rapidité et efficacité afin de trouver à Monseigneur Tibère, un successeur digne des attentes et de la piété de la bonne population de Provence.

Aristotéliquement vôtre,

Monseigneur Navigius di Carrenza,
Archevêque suffragant d’Avignon,
Primat de France,
Ami Lescurien,




Faict à Avignon, le XXVIe du mois de février de l’an de grâce 1461.

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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Navigius a écrit:
Citation:


    À l’Universalité des fidèles,
    À la Pairie de France,
    Aux sujets du Royaume de France,


    Il est troublant de voir comme la Pairie peut ignorer tout un pan de l’histoire concernant l’affaire qui divise le Royaume de France alors qu’elle est habilitée à juger de la légitimité d’une révolte, d’une sentence de justice, ou de toute autre décision pour laquelle elle est compétente. L’Église Aristotélicienne et Romaine conteste formellement l’argumentaire fallacieux de la Pairie publié en date du XXIV février MCDLXI et trouve difficilement compréhensible certaines de ses attaques*. Nous reprenons présentement chacun des faux arguments avancés par la Pairie du Royaume :

    - « Une fixation sur un homme (Falco) que le roi Eusaias n'a pas reconnu puisque c'était déjà fait ».

    Il a été spécifié à maintes et maintes reprises que feu le roi Vonafred de vénérée mémoire, avait été abusé par monseigneur Clodeweck alors chancelier de l’Inquisition, et que la reconnaissance de Falco de Cartel reposait donc sur des données et propos erronés. C’est sur cette base, et dans un esprit de concorde, que la Sainte Église avait accepté de lever l’interdit qui frappait alors le roi de France afin que celui-ci puisse bénéficier de funérailles dignes de son rang. La reconnaissance de Falco, basée sur des éléments fallacieux, n’était donc plus légitime, pas plus qu’elle n’était clairement établie au décès de Sa Majesté Vonafred puisque Eusaias Blanc-Combaz a jugé nécessaire de la confirmer. Preuve s’il en est de l’existence d’une ambiguïté. Par ailleurs, et jusqu’à preuve du contraire, rien n’empêche le suzerain suprême du Royaume de France de ne pas reconduire une reconnaissance ou casser la décision d’un de ses prédécesseurs.

    - « Une fixation sur un homme (Falco) non-concerné par le Concordat de Paris valant pour le Domaine Royal et non soumis à un concordat provincial car de (sic) Concordat de Touraine ».

    L’Église Aristotélicienne et Romaine n’a jamais invoqué le Concordat de Paris, ni un quelconque autre concordat, pour dénier à feue Sa Majesté le roi Vonafred ou à Eusaias Blanc-Combaz le droit de reconnaître Falco de Cartel comme duc de Touraine.

    L’Église invoque la loi fondamentale commune à tout fidèle, quel qu’il soit ; une loi jusque là respectée par l’ensemble des rois de France qui se sont succédés sur le trône de Saint Louis ; une loi connue à travers l’ensemble des royaumes pour avoir eu des effets à différents échelons de la société. Cette loi interdit à tout fidèle de l’Église Aristotélicienne et Romaine de prendre pour vassal un hérétique. Et nous tenons à préciser que nous parlons bien d’hérétique, non d’athée ou de non-croyant. Toujours les rois de France se sont-ils contentés de reconnaître régent les hérétiques portés sur les trônes provinciaux, car un régent n’engendre pas de contrat synallagmatique propre aux relations vassaliques – sinon, ils ne seraient pas régents !

    - « Une fixation sur un homme (Falco) qui était de toute façon en fin de règne ».

    Le meurtre d’un homme âgé est-il moins grave que celui d’un homme jeune ? Nous laissons la réponse à chacun.

    Cependant, nous contestons formellement l’argumentaire fallacieux de la Pairie qui laisse entendre que la Sainte Église n’aurait condamné Eusaias Blanc-Combaz que pour un seul jour. En effet, le procès en réhabilitation d’Eusaias Blanc-Combaz a été ouvert le XXIV novembre. Ce même Eusaias reconnaissait Falco de Cartel comme duc le XXX novembre MCDLX. Si la décision de la Curie n’est tombée que le XII décembre, la faute ne peut lui en être imputée car le procès fut mené avec diligence et sérieux. Seul Eusaias Blanc-Combaz peut être tenu responsable de la longueur de la séance*.

    - « Une fixation dont l'Inquisition elle-même a dit qu'il (Falco) « respecte, en sa qualité de régnant de Touraine, la Sainte Église Aristotélicienne et ses prérogatives. »

    Le fait que Falco de Cartel respecte l’Église Aristotélicienne et Romaine n’en fait pas moins de lui un hérétique, et non des moindre puisque membre de la Réforme, une communauté qui a pillé nombre de villages et de villes des Royaumes et persécuté les aristotéliciens. Et nous rappelons la loi perpétuelle et de tout temps appliqué : un aristotélicien ne prend pas pour vassal un hérétique.


    [*Nous rappelons aimablement que, tenue de respecter l’espace-temps du RP, la Curie a été obligée d’attendre la fin du RP du tribunal de réhabilitation commencé le 24 novembre et terminé le 9 décembre pour publier sa décision, tout en étant tenue de prendre en compte les différentes actions entreprises par le personnage Eusaias. La reconnaissance de Falco survenue le 30 novembre en faisait partie]


    Scellé à Rome le huitième jour de mars de l'an de grâce MCDLXI,
    Au nom du Consistoire Pontifical francophone,
    Son Éminence Uriel de Réaumont Kado'Ch, Cardinal National Électeur.




    Au nom de l'Assemblée épiscopale de France,
    Monseigneur Navigius di Carrenza,
    Primat de France,
    Archevêque suffragant d'Avignon





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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:28 am    Sujet du message: Répondre en citant

Fitz a écrit:
Citation:



    Manifeste de la véritable Église de France


    À l’Anti-Roy Eusaias de Blanc-Combaz,
    À l’ensemble des clercs fidèles à la Vraie Foy,
    À l’ensemble des fidèles français dans le doute,



    Qu’il ne soit jamais dit que l’Assemblée Épiscopale Française, seule et unique représentante de l'Église de France, ne laisse ainsi la Très Sainte doctrine être foulée du pied par des déclarations schismatiques qui risquent de vouer à l’enfer lunaire toute personne abondant dans ses nombreuses erreurs.
    Item, il ne sera jamais dit que les évêques de France, authentiques successeurs des Apôtres, ayant livré depuis Titus une lutte acharnée pour que les Droits de Dieu ne soient pas reniés par la société et qu’aucun souverain n’ait l’audace de dégrader la Vraie Religion en un simple mode de gestion pour que l’État puisse se transformer en machine d’oppression non seulement des corps de ses sujets, mais aussi de leurs âmes. La seule liberté se trouve en Dieu et en son Église qui guident les fidèles vers le paradis solaire.

    Item, nous allons donc réfuter ici les postulats lancés par l’Usurpateur de la Couronne afin d’en démontrer, s’il en était encore besoin, sa nocivité pour ceux qui désirent vraiment trouver le paradis solaire et le chemin de la Vertu que Dieu a tracé.


      Le Roy tient son pouvoir de Dieu.

    Le Roy ne tient son pouvoir de Dieu que tant qu’il agit pour Lui. L’Anti-Roy Eusaias ferait bien de se souvenir des paroles de Saint Thomas (Hagiographie de Saint Thomas d’Aquin, chapitre IV verset IV) :
    Citation:
    « Le roy tient aussi son pouvoir de Dieu. Et comme le peuple ne fait qu’exaucer la volonté de Dieu en vous plaçant sur votre trône, votre pouvoir est de nature divine par le haut et par le bas. Le glaive que vous brandissez vous est confié par Dieu, certes pas directement, mais Dieu étant la cause première de toutes les causes et de tous les effets, nul doute qu’il est aussi la cause de votre autorité. Or, l’église étant dépositaire de la parole divine, vous devez lui obéir. C’est ainsi, à moins que vous ne vous rabaissiez à la condition de tyran ».


      Le Roy est le chef incontesté de l’Église de France.

    Le Roy ne peut et ne pourra jamais être le chef d’une quelconque Église car tel n’est pas le rôle que Dieu lui a assigné. Le Roy ne possède que le moins glorieux des deux Glaives de l’Eglise, le glaive temporel, qui est inférieur au glaive spirituel de l’Église. Ainsi que le dit Aristote (Vita d’Aristote, Dialogue X : La Morale) :
    Citation:
    [...] le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute.

    Item, si le glaive spirituel est manié par l’Église, le glaive temporel est manié pour elle.

    Item, jamais l’Église ne pourra dépendre de l’État. Car le combat de l’Église est avant tout celui de la Vérité divine et non celui de l’État. L’État n’est qu’un système d’organisation social de maintien de l’ordre et de répartition des ressources ainsi que Dieu, et donc la Raison, le commande. Cependant, l’État ne pourra jamais prétendre un seul instant mettre l’un de ses chefs à la tête de l’Église. Le seul chef de l’Église est Dieu et non un souverain temporel. Or, Dieu, par l'intermédiaire de Christos a dit (Extrait de la Vita de Saint Titus, premier Pape) :
    Citation:
    « Titus, approche, mon ami. Titus, tu es fort et vigoureux. Tu peux m'aider à porter cette communauté; tu seras mon second. Va Titus, tu es un titan, et c’est avec l'aide de ta force que je bâtirai une Église titanesque ! »

    Il ressort donc que c’est à Titus et à ses successeurs que Dieu a dévolu le gouvernement suprême de l’Église et qu’aucun Roy ni aucun clerc déchu ne saurait changer ainsi la Parole de Dieu. De là, il en sort que les déclarations du Roy dans le domaine des sacrements, dans le domaine des excommunications ou dans quel qu’autre domaine que ce soit qui touche à l’infusion de la Grâce dans l’âme des fidèles Aristotéliciens de France, ne sauraient être que du ressort de l’Église Aristotélicienne, Une, Apostolique et Romaine, dirigée par le Très Saint Père, assisté par sa Curie et conseillé pour les affaires de France par les évêques de France réunis en l’Assemblée Épiscopale Française.


      Du Besoin d’indépendance de la France.

    L’indépendance, réclamée par l’Anti-Roy de France et qui trouve sa traduction dans la constitution de cette pantomime ridicule de création d’une Église qui lui serait soumise, n’est en fait qu’une volonté d’être indépendant non pas de l’Église Aristotélicienne Romaine, mais bien de Dieu lui-même. Cette volonté de ne vouloir être soumis à personne, pas même à la plus haute autorité qui soit dans les domaines où elle est légitime, c’est-à-dire ceux de la Foi et de la Morale, est l’apanage des libre penseurs, des athées et des orgueilleux, et aucun clerc digne de ce nom ne saurait y souscrire.

    Item, la fierté d’être sujet de France est une chose bonne et légitime, mais n’oublions pas que Dieu commande d’aimer tout le genre humain, et qu’aucun Roy ne saurait affirmer que la terre et le peuple qu’il dirige doit être indépendant de Dieu sous prétexte que l’autorité divine est représenté par un humain que le hasard de l’Histoire pour les uns, et la volonté de Dieu pour les autres, a placé hors d’une terre qu’un Roy tient à élever par l’orgueil plutôt que par l’humilité et la piété. Comme l’affirme Christos (Vita de Christos, chapitre IX) :
    Citation:
    "Que votre solidarité ne connaisse pas de frontières ! Souvenez vous, mes amis, qu'Aristote vivait dans un pays d'une culture peu tolérante pour les autres peuples. Aujourd'hui, vous devez savoir que toutes les nations ont droit au respect et leur peuple à la liberté et à notre amitié."


      Du mariage des prêtres et de son fondement.

    C’est dans cette déclaration que chaque fidèle pourra ainsi observer que le véritable but de cette « Église » n’est pas le Salut des fidèles, mais simplement de se tailler une spiritualité qui ne dérange personne. Ainsi, la seule raison qui pousse l’Usurpateur à la tolérer est que « Si les prêtres s’ingèrent dans la vie politique, pourquoi ne pourraient-ils pas se marier ? ». Ce qui ne fait aucun sens. Ainsi est faite la preuve que la religiosité de l'Anti-Roy, prétexte fallacieux de cette fausse Église, est toute politique et non spirituelle, car Christos interdit le mariage des prêtres (Vita de Christos, Chapitre XIII) :
    Citation:
    "Et vous, mes amis, comme vous devrez vous consacrer totalement à Dieu, comme je le fais moi-même, l’amour humain dans ce qu’il a de personnel vous sera à jamais interdit. Vous vous devrez d’aimer l’Humain, et non un humain. En ceci, le mariage n’est pas pour vous, ni même l’acte de chair."

    Et comme certains Apôtres se trouvaient déçus de cette règle, ils commencèrent à grogner en murmurant entre eux de vilaines paroles. Christos les regarda, et les avertit :

    "Ces restrictions seront le prix de votre engagement. Apprenez à les aimer, car elles vous permettront de mener à bien votre sainte mission."


      Du mépris envers la Charte Fondamentale du Royaume de France.

    Enfin, le simple bon sens nous oblige à rejeter cette « Église » schismatique sur son simple plan juridique, car la Charte Fondamentale du Royaume de France, base du droit civil français, nous dit ceci quant au statut, aux droits & aux devoirs d'un Monarque :
    Citation:
    Le Royaume de France est terre Aristotélicienne et reconnait la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine comme sa Sainte Mère.
    [...]
    Le Monarque règne sur le Royaume de France, son autorité s'exerce sur les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires dans les limites de la présente charte.
    Le Monarque en tant que porteur de la Couronne possède, le temps de son règne, l’ensemble des biens, moyens et domaines royaux de la Couronne de France.
    Le Monarque est le garant de l’intégrité et de la souveraineté du Royaume, dans sa composante territoriale, sécuritaire, économique, juridique, diplomatique et judiciaire.
    [...]
    Le Monarque est le garant de l’unité du Royaume. Il est la source des pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires.
    [...]
    Le Monarque est garant du respect de la religion Aristotélicienne et Romaine.

    Même un Roy, qui n'est que le représentant et l'incarnation de la Couronne le temps de son règne, doit s'y soumettre, ou il renie lui-même les fondements de la Couronne de France et du Royaume. Un Roy ne bafoue pas ainsi cette Charte, en s'arrogeant des pouvoirs qui ne lui appartiennent pas et en faisant défaut aux devoirs qui lui incombent, sans en assumer les conséquences.

    Ainsi, nous espérons avoir fait lumière sur ces énoncés injurieux envers nos Très Saintes doctrines et rassuré les fidèles et clercs de la Vraie Foy face à cette « Église » schismatique.
    Sachez et soyez convaincus que la véritable Église de France ne restera jamais mutique face à l'erreur humaine en terme de spiritualité. Elle est à la fois immuable et en perpétuelle évolution. L'Église de France est prête à affronter les divers écueils qui se dressent et se dresseront sur le chemin de Sa mission, quels qu'ils soient, récents ou plus anciens, temporels ou internes à son Institution, et Elle le fera avec intelligence, circonspection et, surtout, Unie.




    Pour l'Assemblée Épiscopale de France,
    Les Évêques de France,



    Monseigneur Navigius di Carrenza
    Archevêque suffragant d'Avignon
    Primat de France



    Monseigneur Fitz,
    Premier Vice-Primat de France,
    Évêque de Nevers



    Monseigneur Eloin Bellecour
    Évêque de Limoges,
    Second Vice-Primat



    Son Éminence Tibère, Cardinal de Plantagenêt, (dict Rehael)
    Archevêque Métropolitain de Rouen



    Son Éminence Aaron, Cardinal de Nagan,
    Archevêque de Césarée



    Monseigneur Lyonis d'Appérault,
    Archevêque Métropolitain de Bordeaux



    Monseigneur David Grégoire Aristote de Sent-Bertran
    Archevêque Métropolitain d'Auch



    Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
    Archevêque Métropolitain de Lyon



    Monseigneur Aegon,
    Recteur de la Congrégation de Sainct Thomas



    Monseigneur Endymion d'Abbadie
    Évêque de Tarbes




    Monseigneur Lotx
    Évêque de Périgueux



    Monseigneur Aristokoles de Valyria,
    évêque d'Agen.



    Frère Peccatore,
    Évêque de Lisieux,
    Recteur de l'Ordre Lescurien



    Monseigneur Nono,
    Évêque émérite de Rodez



    Monseigneur Tokai
    Archevêque d'Embrun



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MessagePosté le: Mer Juin 04, 2014 2:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Yut a écrit:
Citation:


    FESTI CLAMORES
    Des cris d'allégresse qui emplissent le Royaume de France et de la joie de son clergé





    Au nom du clergé du très grand et très puissant Royaume de France,

    Aux sujets de France et à leur Monarque,
    A l'Universalité des Fidèles,




      Nous, prélats de l'Assemblée Épiscopale de France, faisons connaître à nos paroissiens et à tous les fidèles de nostre Saincte Mère l'Eglise, nostre joie et nostre espoir de voir monter sur le trône de Saint Louis un homme en qui nous voulons voir, enfin, un successeur à feue Sa Majesté Vonalfred de Salmo-Salar.

      N
      ous appelons les fidèles à baisser les armes, et à ne se plus consacrer qu'à soigner les blessures des corps et de la terre, à la prière pour le repos de l'âme des infortunées victimes d'une guerre terrible ayant précipité tant de sujets de France à leur Jugement dernier, ainsi qu'à chérir et honorer ceux qui ont combattu dans la juste Croisade pour conserver les loys du Très-Haut et la piété des Français.

      P
      rions également pour le redressement prompt des insultes au Créateur, en la forme des usurpations des charges épiscopales, en l'occupation illégitime et scandaleuse des cathédrales des sujets de France, et en la forme de l'institution schismatique et hérétique de la prétendue église de France, autoproclamée église universelle et qui professe et répand de fausses doctrines, et milite contre les Sainctes Écritures fondant la foy aristotélicienne.

      Nous saluons les initiatives sages et dignes, du nouveau souverain des antiques terres de France, en la dispersion du ban que l'Apostat avait rassemblé pour mener la guerre à son clergé et à ses fidèles. Nostre souhait le plus cher est de voir bientôt, à la Grasce de Dieu, les conditions réunies pour sacrer Nicolas de Firenze Roy de France, et investir ainsi de la pleine autorité du sacre ce Souverain en qui nous plaçons nos désirs de paix, de concorde, et de rénovation morale dans le Royaume.



    Mille bénédictions, prières et espoirs.


    F
    aict à Rome, ce XXVIII de Juillet de l'An de Grasce MCDLXI
    Sous la direction des prélats de France et en leur nom



    Monseigneur Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
    Primat de France,
    Archevêque de Lyon,
    Protonotaire Consul Apostolique intérimaire.


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MessagePosté le: Jeu Juin 26, 2014 6:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    A l’universalité des fidèles,
    Aux peuples et aux nations,
    Aux fidèles de France,



    Par sa dernière annonce, la hérauderie de France laisse entendre que Rome aurait dû
    apporter des réponses à certaines questions concernant les excommunications survenues
    durant le règne d’Eusaias Blanc-Combaz. Or, pour qu’il y ait réponse, il faudrait avant tout
    qu’il y ait question. Certains se sont donnés la peine de le faire et ont obtenu réponse, d’autres
    n'ont entrepris aucune démarche. Si ces derniers s'en trouvent marris, ils ne peuvent s’en
    prendre qu’à eux-même puisque nous avions à chaque courrier public invité « les personnes
    en plein doute quant à la meilleure marche à suivre à prendre contact avec leur évêque ou
    l’administration ecclésiastique ».

    Mais puisque cette affaire de bon sens prend de plus en plus une ampleur démesurée, nous
    avons décidé d’apporter quelques éclaircissements afin de faire taire certaines langues se
    croyant plus compétentes qu'elles ne le sont réellement dans le domaine ecclésiastique et
    canonique :

    Rappelons que l’excommunication, si elle est une peine de la justice ecclésiastique, est avant
    tout un état : celui du fidèle qui se trouve hors de la communauté aristotélicienne. Cette
    situation est le résultat de ses actes. Il existe différents types d’excommunications dont l’une
    des plus connue est celle nommée latae sentencia. C’est l’excommunication qui survient par
    le simple fait de l’action, c'est-à-dire qu’il n’y a besoin ni de débat, ni de jugement pour
    reconnaître le caractère hérétique ou blasphématoire de l’acte. Nous pourrions apparenter cela
    au « flagrant délit ». Les autres excommunications nécessitent un jugement. Mais encore, les
    excommunications déclarées à la fin de ces jugements ne sont pas pour autant des peines,
    mais plutôt la simple reconnaissance d’un état. L’Église constate donc l’excommunication
    plus qu’Elle ne l’inflige. Par son jugement, Elle estime que le fidèle incriminé s’est rendu
    coupable de blasphème ou d’hérésie et que ces actes, déclarés et jugés comme tels, l’ont fait
    choir dans l’état d’excommunication. En d’autres mots, l’excommunication est comme
    préexistante au jugement de l’Église qui ne fait que la reconnaître.

    Il n’est donc pas rare que des fidèles sombrent dans l’état d’excommunication sans que jamais
    l’Église ne produise d’acte juridique affirmant que tel homme ou telle femme est
    excommunié. Un homme qui tue son épouse et maquille le crime en accident est de facto
    excommunié, même sans jugement ou acte de l’Église. Aux yeux de Dieu et de l’Église
    triomphante, il s’est rendu coupable d’un crime à valeur spirituelle. Il est donc mis hors de la
    communauté. Et s’il continue de participer à la vie spirituelle comme si de rien n’était, il le
    fait de manière illicite et aggrave son cas. Seules la pénitence et la confession pourront le faire
    revenir au sein de l’Église, sans que là aussi, l’Institution ecclésiastique ne produise un
    quelconque document attestant d’une excommunication ou de sa levée.

    Pourquoi dès lors l’Église « frappe-t-elle d’excommunication » certains fidèles et produit-elle
    des actes juridiques officiels mentionnant que tel ou tel fidèle est excommunié ? Tout
    simplement à titre d’exemple et par mesure conservatoire pour les fidèles. Si l’Église prône et
    exalte le comportement de certains fidèles en en faisant des « Saints », Elle désigne également
    du doigt les comportements délictueux au regard de la doctrine. Elle balise ainsi le chemin de
    la vertu avec les bonnes et les mauvaises actions, les modèles à suivre et à ne pas suivre.
    Voilà pourquoi, souvent, à la fin des lettres apostoliques publiées par le Sacré-Collège des
    Cardinaux, il est indiqué que tel ou tel comportement entraînerait une excommunication.
    Beaucoup y voient une menace, alors qu’il s’agit davantage d’une indication. Si la mère dit à
    son enfant que parler la bouche pleine risque de le faire postillonner, ce n’est pas là une
    menace, mais un avertissement. Mais plutôt que de remettre ses comportements en question,
    beaucoup n’hésitent pas à crier à l’intimidation. De la vanité mêlée d’orgueil sans doute !

    Conséquemment à tout ce que nous venons de dire, tout fidèle qui se trouverait dans un état
    de questionnement profond, inquiet pour le Salut de son âme car coupable de comportement
    délictueux, ou potentiellement reconnu comme tel, est invité à prendre contact avec l’autorité
    ecclésiastique et à se confesser auprès de son desservant. Rappelons néanmoins qu’on ne
    pèche que lorsqu’on a conscience de pécher. Prenons un exemple typique : si un vassal ignore
    si son seigneur est excommunié, il n’est pas en état de pécher et n’est donc pas en situation
    d’excommunication. L’Église a ainsi volontairement mis en garde de manière générale le
    peuple de France en indiquant que tout noble qui prêterait allégeance à un homme
    excommunié, serait de facto excommunié. Elle n’a pas tenu de liste, Elle n’a pas récolté dans
    le secret les noms des fidèles contrevenants : Elle les laisse face à Dieu et à leurs actes, au
    même titre que dans notre exemple précédent, le mari assassin. Aux fidèles pécheurs de
    demander de leur propre initiative l'absolution pour se laver de leur péché et éviter ainsi
    l’enfer sélénite.

    Par contre, tous ceux qui ont été reconnus excommuniés par l’Église, ou, selon la
    terminologie habituelle, « frappés d’excommunication », doivent se présenter auprès de la
    Sainte Inquisition ou leur évêque qui leur indiquera la marche à suivre. L'autorité chargée de
    l'affaire invitera ensuite les personnes incriminées à se présenter devant le collège cardinalice,
    ou son délégué, qui jugera de la levée ou non de cette infamie selon les marques de sincérité
    exprimées. Puisqu’ils ont été publiquement accusés et montrés comme mauvais exemple, il
    est pour l’Église indispensable de permettre aux fidèles de regagner leur place au sein de la
    communauté en exprimant eux-aussi publiquement leur repentir.


    Ad Majorem Dei Gloriam

    Pour le Sacré-Collège des Cardinaux,



    Aaron de Nagan, Cardinal,
    Archichancelier du Siège Apostolique.



    Donné à Rome le XIII du mois de janvier, le lundi, de l'an de grâce MCDLXII




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