L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Charles_antoine]

A la suite de l'annonce de Sa Sainteté, Charles-Antoine se présenta au collège héraldique romain, comme demandé par le cardinal Chancelier.


Bonjour, je suis Charles-Antoine d'Appérault Von Frayner d'Azayes. Sa Sainteté le Pape m'a fait l'honneur de m'anoblir et de me confier la gestion d'une terre au sein des Etats Pontificaux. Ainsi, me voilà devant vous.
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[Ellesya]

Et sur les talons du von Frayner, vint la Louveterie dans le bruissement soyeux d'une robe florentine qui variait un peu du bruit des bottes et cliquetis discret de Promesse au baudrier. La jeune femme qui avait animé les lieux alors qu'elle sortait à peine de l'enfance n'était plus Préfet depuis longtemps. Il y avait un temps pour chaque chose. Les lieux avaient changé, évolué, mais pas au point de ne pas s'y retrouver. D'autant qu'elle ne manquait jamais d'y passer discrètement lors qu'il lui était donné de faire le voyage.

Ce fut donc avec une attitude paisible, contenant l'allégresse d'une reconnaissance inespérée mâtinée des réflexions dues aux responsabilités ad hoc, que l'Errante s'annonça quelques secondes après celui qui l'avait devancé, non sans lui adresser un léger sourire dans la foulée.

Le bon jour vous va.

Je me nomme Ellesya de la Louveterie Arduilet.
Présente pour des raisons similaires à celle de Messire d'Appérault Von Frayner d'Azayes.
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Duchesse de Baschi, Comtesse de Cagli

[hrp : Hors français et allemand, les traductions viennent de Reverso.]

[Endymion]

Depuis l'annonce des derniers octrois Endymion - surpris par ailleurs d'y être cité - s'était préparé à la visite aux sein des locaux publics des collèges héraldiques pontificaux la quinzaine de nouveaux vassaux du pape.
Il avait donc fait préparé une bibliothèque du Palazzo San Benedetto afin de les recevoir, salle au centre de laquelle trônait une grande table recouverte des cartes des États de l’Église, ainsi que des copies des diverses annonces héraldiques de la Chancellerie et de Sa Sainteté.
Il accueillit donc avec le sourire les deux premiers arrivant,
Soyez les bienvenus aux collèges héraldiques pontificaux, et félicitations pour vos élévations respectives. Je me présente : Endymion d'Abbadie, archevêque de Vienne et pour ce qui nous concerne ici, officier-héraut des collèges.

Je ne sais si vous êtes familiers de la noblesse pontificale, c'est pourquoi vous trouverez ici, il désigna la table précitée, tout ce qui la concerne. Entre autres le Constitutiones sancti Olcovidii, la liste des ornements concernant la noblesse pontificale ou encore, et nous allons nous y pencher, les cartes des états pontificaux.
Au niveau des cartes, vous constaterez que nous sommes encore en plein travaux, l'indexation et le relevé complets des fiefs prenant du temps.

Je vous laisse déjà prendre connaissance de ses documents et répondrai aux questions qui vous viendraient à l'esprit.
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[Ellesya]

Un sourire chaleureux répondit en premier lieu aux mots d'accueil de l'Officier héraut.

Je vous remercie, Monseigneur, et vous retourne avec joie les félicitations.

Le regard clair suivit le geste de l'archevêque vers les documents qu'il désignait.

Familiarisée serait exagéré. Je m'étais penchée sur la question lorsque mon frère Miguaël bénéficia de la bonté de Sa Sainteté l'année dernière. Une relecture ne serait pas superflue.

Joignant le geste à la parole, elle prit quelques temps avant de reporter son attention sur Endymion.

Si vous êtes prêt pour une salve de questions...

Un petit éclat amusé anima son sourire.

Les écuyers seront donc enregistrés, j'imagine, pour la bonne gestion des états. L'écuyerie confère la noblesse alors ou je suppose mal ?
Quelle armoirie serait sommée du tortil ? Celle du fief suzerain, une variation de celui-ci ou ses armes familiales ?

Je m'interroge également au sujet des gouvernorats : en cas de levée de ban, les gouverneurs ont un rôle à jouer vis-à-vis des nobles de leur zone d'influence ?

Ensuite, tout autre thème, l'article 35 prévoit la succession par primogéniture. Quelles sont les conditions pour y déroger ?
J'ai eu le malheur de vivre une dissolution de mariage et mes enfants sont en très bas-âge. J'ignore de quoi exactement l'avenir sera fait et leur éducation ne dépendra pas que de ma volonté. De plus, le patrimoine à la fois de leur père et le mien est vaste, les possibilités de partage sont donc très nombreuses. J'ai du mal à imaginer être contrainte de transmettre une terre relevant de Sa Sainteté à l'aîné si l'un de ses puînés montrait une plus grande disposition à servir l'Eglise et la Foy, voyez-vous?

Avisant les cartes déployées pour consultation, elle reprit, avec l'intérêt sincère de l'héraldiste qu'elle est toujours.

Le travail à accomplir pour relever la liste des fiefs et leurs armes est considérable. Voilà un travail qui doit être passionnant et de longue haleine.

Je me demandais comment vous nous conseilleriez d'étudier le choix d'un fief.
Les listes sont encore lacunaires, ce qui est compréhensible. Outre le nom des fiefs, il faut garder une cohérence pour le rang de chaque fief aussi, j'imagine.
J'avoue ne pas bien savoir par quel bout prendre cette démarche.

Dans l'absolu, un comté sur la côte serait ma prime idée pour diverses raisons pratiques.
Toutefois, si les gouverneurs ont un rôle à jouer, mon choix pourrait également être influencé par cet élément.
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Duchesse de Baschi, Comtesse de Cagli

[hrp : Hors français et allemand, les traductions viennent de Reverso.]

[Charles_antoine]

Charles-Antoine salua la jeune femme, ainsi que l'évêque et héraut qui les rejoignit.

Bonjour Ma Dame, Monseigneur. Félicitations à vous deux.

Pas particulièrement familier de la noblesse pontificale, il s'attarda sur les documents posés sur la table à la suite d'Ellesya.

Pour ma part, je n'ai pas d'autre question que celles déjà évoquées. A savoir si le choix nous est donné pour les terres que nous aurons à gérer pour le compte de Sa Sainteté ? Et si oui, lesquelles sont éligibles pour nos rangs respectifs ? Et comment faire un choix si nous devons en faire un ?
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[Aaron]

On l'avertit qu'une série de nouveaux appelés venait de se présenter par devant les portes des Collèges Héraldiques Pontificaux, et non des moindre d'ailleurs. Le prélat quitta sa bibliothèque pour venir à leur rencontre. Il pénétra dans le salon alors que la duchesse d'Amboise assaillait de question le pauvre Endymion...

Madame... - dit-il avec une déférence exagérée, presque comique -C'est là un vrai plaisir de vous revoir en ces lieux...

Puis se tournant vers Charles Antoine d'Appérault.

Et monsieur également ! J'espère que votre route fut bonne à tous les deux...

Se rapprochant d'Ellesya, il tendit innocemment une joue...
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Patriarche in Partibus d'Alexandrie

[Endymion]

Alors qu'il allait répondre aux questions, tant de l'ancienne préfet que du noble impérial, arriva le cardinal de Nagan à qui il laisserait sans nul doute quelques réponses à fournir.
Après les saluts d'usage, il répondit donc aux interrogations,
Effectivement l'écuyerie confère la noblesse et l'écuyer portera son tortil sur son écu familial.

Pour les gouverneurs, puisque nous en avons un éminent parmi nous, je lui laisse vous éclairer à ce sujet. Ainsi que la question de la primogéniture d'ailleurs, sachant que je comprends fort bien votre point de vue.

Quant au choix de vos terres, ce n'est pas très compliqué. Vous nous dites dans quelle province vous aimeriez qu'elles soient, et là c'est vraiment selon vos goûts : la position géographique, en bord de mer, proche de Rome, selon le gouverneur, selon les spécialités locales, etc.
Ensuite nous vous donnerons une liste de fiefs qui conviennent pour un comté, tant par la taille, l'histoire ou le prestige des terres, et vous faites votre choix dedans. Là aussi selon les critères que vous souhaitez.

Il finit sur un sourire et regarda Aaron, au boulot !
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[Ellesya]

Ellesya remercia son co-récipiendaire pour ses félicitations d'un petit signe du chef. Le regard clair pétilla légèrement à l'arrivée du Cardinal qui apparut à sa vue lorsqu'elle acheva sa tirade. Ses traits conservèrent néanmoins leur paisible et amène apparence malgré la taquinerie dont il la gratifia.

Votre Eminence... Je n'aurai imaginé y revenir pour une telle raison, vous vous en doutez.

Ce disant, la chanoinesse s'était levée du siège qu'elle avait réquisitionné le temps de prendre connaissance des documents. La joue offerte fut très tentante. Elle réprima néanmoins sa petite vengeance pour les salutations d'Aaron. Il ne se retrouva pas avec une joue pincée comme il aimait à le faire subir à Marc. Mais elle y piqua rapidement un baiser affectueux en guise de forfait attendu par la victime.
Le bras de son parrain fut investi de sa main, sans autre forme de procès, avant que toute son attention ne soit reportée vers Endymion qui venait d'entreprendre de répondre à ses interrogations.

Je vous remercie pour vos éclairages, Monseigneur.

Disons alors, a priori, et avant la réponse de Son Eminence, ...
Une terre comtale en bord de mer sur l'une ou l'autre côte. Ou un lac compris dans le fief, ce serait tout à fait parfait. J'ai une prédilection pour l'eau, vivant en bord de Loire et ayant grandi sur les hauteurs du Lac d'Annecy.
Je m'intéresse assez bien à l'histoire de chacun des terres dont je suis dotée et veille à mettre en valeur les richesses qui leur sont propres de manière générale. Aussi me confier un fief avec une quelconque particularité ne serait pas la gâcher, loin de là.
Sinon, ma foi, j'imagine qu'il y a des terres très intéressantes du côté d'Urbino. Mais globalement et en l'état de mes connaissances, sur leur appartenance à état ou l'autre, je n'ai pas d'attente particulière. J'ai tout à apprendre et me réjouis de découvrir.

Et comme Endymion, elle attendit les réponses d'Aaron.
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Duchesse de Baschi, Comtesse de Cagli

[hrp : Hors français et allemand, les traductions viennent de Reverso.]

[Aaron]

Il sourit à l'affection exprimée par sa filleule et ne réprima pas la prise de son bras. Le prélat laissa le préfet répondre et jugea la prestation fort satisfaisante. Les demandes de la duchesse d'Amboise et les réponses de Monsieur de Vienne remirent en question une série d'idées que le cardinal avait pourtant arrêtés, ou tout le moins, auxquelles il n'avait pas songé en profondeur. Cette nouvelle "fournée" serait l'occasion de modifier peut-être quelques décisions prises par le passé...

Je complèterais donc mon estimé préfet en ajoutant ceci :

Pour ce qui est des armes sur lesquelles le tortille apparaitra, je ne suis pas encore pleinement décidé s'il s'agira des armes familiales, des armes du fief éventuellement brisée avec une pièce commune, ou même, l'éventualité d'y placer les armes d'un hameaux du fief.

Monseigneur, avions nous arrêté quelque chose de précis la dernière fois? il me semble que nous en avions déjà discuté !

J'ajouterais sur le choix des fiefs que, puisque vous ne vous frottez pas au domaine nobiliaire pour la première fois et que j'imagine que vous saisissez la différence de taille entre une baronnie et un duché, vous pouvez proposer éventuellement l'un ou l'autre nom, sans pour autant que nous garantissions son octroi.

Pour le rôle des gouverneurs, on peut dire qu'ils sont la courroie de transmission. En cas de levée de ban ou lors d'autres événement, ils organisent ce qui doit être. Leur rôle sera aussi judiciaire puisque le gouverneur sera président du tribunal nobiliaire d'où est issu le noble incriminé.

Quant à la héritage par primogéniture, comme le laisse entendre les lois sur le sujet, il peut y avoir des exceptions pourvu qu'elles soient motivées. Votre fils aîné serait Charles de Castelmaure qu'il ne me serait pas désagréable de voir votre second hériter de votre titre. En tout les cas, en l'absence de testament, c'est l'aîné qui hérite.
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Patriarche in Partibus d'Alexandrie

[Charles_antoine]

Le jeune Charles-Antoine acceuillit le cardinal Aaron avec un sentiment mêlé de joie et d'admiration, s'inclinant.

Bonjour Votre Eminence. Une fois quitté les alentours de Genève, la route fut admirable.
C'est un plaisir de vous revoir dans des circonstances plus joyeuses que la dernière fois.

Il écouta les explications du hérault et s'efforcçait de tout comprendre. Ses cours d'héraldique étaient bien loin maintenant et à la suite de la formation prodigué par son précepteur dans sa jeunesse, il n'avait guère eu l'occasion de pratiquer. Tout lui semblait à peu près clair.
Il écouta les explications au sujet des gouverneurs données par le cardinal. Cela le conforta dans son choix qui se faisait de plus en plus clair au fur et à mesure des explications.

Je crois avoir compris ce que l'on attend de nous. Ainsi, je vais tâcher d'énoncer ma demande.
J'aurai donc une préférence pour un comté dans le duché d'Urbino. Depuis longtemps à présent, ma famille est liée à Son Eminence Aaron qui est aujourd'hui gouverneur du Duché d'Urbino. Cela est donc important pour moi.
D'après les cartes montrées par Monseigneur de Vienne, il semble que le hameau de Montegridolfo soit à la périphérie du Duché d'Urbino.
Lorsque je suis parti à la recherche du Trésor de Séleucos, j'ai pu apercevoir de loin ce hameau perché dans les hauteurs. Il m'avait semblé avoir une situation idéale pour l'observation des alentours et constituer une position difficile à prendre. Il permettra ainsi de défendre efficacement le Duché d'Urbino et d'assurer la sécurité des terres du gouverneur si besoin.

Il ne fallait pas attendre du Reiter teutonique qu'il se choisisse une résidence de vacances. Une place forte lui convenait bien mieux.

Est-ce que Montegridolfo pourrait être élevé en comté ?
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[Ellesya]

Merci de ces précisions.

Glissa-t-elle, en pleine méditation.

La jeune femme profita que Charles Antoine exprimait ses desiderata - tout en l'écoutant d'une oreille, intéressée par ses dires – pour pousser plus loin sa propre réflexion.
Attendant qu'une réponse soit fournie, elle sortit une mine pour noter "Cagli" et d'autres noms sur un bout de palimpseste tiré de son escarcelle.

Revenue aux côtés de son éminent parrain, l'ex-princesse sourit à ce dernier puis regarda les deux autres hommes, en attente.
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Duchesse de Baschi, Comtesse de Cagli

[hrp : Hors français et allemand, les traductions viennent de Reverso.]

[Whoopie de la Rose Noire]

C'était sans doute l'un des jours les plus honorifiques de l'existence d'une Rose Noire. Quelques jours au vert, d'ailleurs, avaient été plutôt bénéfiques, régénérant ses sens, éludant ainsi une fenaison trop hâtive, conséquente à un été maussade, semblant s'éclairer sur le retour de la Dame. Ou s'illuminait-elle sur le retour d'un ciel changeant? Les nouvelles s'étaient enchaînées, dont l'annonce de son élévation. Les raisons de sa venue n'étaient sûrement pas fortuites, puisque l'usage prévoyait la présence des heureux élus en l'éden du Saint-Père. Elle se présenta, saluant chacun humblement.

Bonjour, je suis Whoopie de la Rose Noire. Sa Sainteté me fait l'honneur de me confier des terres également, d'où ma présence.

[Aaron]

Il sourit à Charles-Antoine... Et lui posa une main sur l'épaule alors qu'il redressait le buste...

En effet, les circonstances sont bien mailleurs et joyeuses aujourd'hui !

Votre choix me touche et m'honore. Et je pense que rien ne s'oppose au choix de Montegridolfo. La terre est étroite, mais en position avantageuse, en bord de mer...

Se tournant ensuite vers sa filleule...

Et vous ma chère, quelles terres souhaitez-vous visiter prochainement?

Dit-il en souriant aimablement.
Sur ces entrefaites, une nouvelle fidèle pénétra dans le petit salon et salua l'assemblée. Le cardinal ouvrit les bras en signe d’accueil...

Ma fille... Je mets enfin un visage sur ce nom dont on m'a tant parlé. Bienvenue à Rome...
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Patriarche in Partibus d'Alexandrie

[Ellesya]

A l'invite d'Aaron, Sya ouvrit la bouche pour répondre lorsqu'une femme fit son entrée. A sa présentation, l'attention de la tourangelle fut plus aiguisée. Elle ne put que s'interroger sur les liens de parenté entre l'ancien promis de sa fille adoptive et la dite Whoopie. Lorsque cette dernière les salua tous, elle lui rendit son salut et se présenta poliment après les mots d'accueil du cardinal de Nagan.

Enchantée, je me nomme Ellesya de la Louveterie.

Puis de répondre à la question laissée en suspend.

Au risque de passer pour plus gourmande -si besoin vous me réorienterez-, mais avec la même volonté d'être dans le giron d'Urbino, je dois dire que ce que je viens d'étudier sur Cagli m'enthousiasme.
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Duchesse de Baschi, Comtesse de Cagli

[hrp : Hors français et allemand, les traductions viennent de Reverso.]

[Ambroise.]

C'est le visage marqué par l'inquiétude que le jeune frère entra au collège héraldique romain après s'être changé et reposé à la résidence Trastevere de SE Arnault.

Bonjour ... dit-il timidement sur un ton angoissé. Je ... je suis frère Ambroise de Blanchimont. J'ai été cordialement invité par Son Eminence Arnault à me rendre icelieu concernant une élévation à la noblesse pontificale.
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