L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[frim2811]

Laissant ses gardes aux portes de la Basilique et Starkel dans la contemplative observation de ses ... pieds, elle commença à remonter la nef, observant les gens, saluant ceux qu'elle connaissait. Elle jeta un coup d'oeil à Sab qui était déjà entrée, et fut sans doute aussi surprise qu'elle de voir Miss.

Si elle avait su ... surement qu'elle en aurait profité pour envoyer une troupe faire une razzia sur sa cave jalousement gardée, mais au moins, Frim était rassurée de constater qu'elle ne s'était pas noyée dans un tonneau, depuis le temps. Elle continua donc, comptant bien aller la saluer, comme le Baron de Grimaud, présentement aux côtés d' Alienor qui paraissait d'une humeur des plus joyeuse, quand elle s'arrêta nette à quelques pas d'une silhouette bien familière. Elle eut un instant d'hésitation, rien qu'un instant, et eut un léger sourire.

Bonjour Lenada, ravie de te voir, depuis tout ce temps.
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[lenada]

Une voix.... qu'elle aurait reconnu parmi des centaines.... une voix familière... la voix d'une femme qu'elle avait aimé comme sa soeur, qu'elle avait apprécié !

Sa tête qui se tourne vers cette voix, une ébauche de sourire qui fait relever le coin des lèvres.

Le bon Jour Frim, ou devrais je dire votre Magnificence‏ ! Ravie aussi, bien que cela fasse des lustres n'est ce pas ? mais j'avais de tes nouvelles donc même si le temps à passé, si l'eau à coulé sous les ponts. A ce que je vois toi aussi tu es invitée à ce mariage !
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[Alienor de Sabran]

Ambiance !

Oui, non, ça n'allait pas fort chez Aliénor. Les compliments de son père n'arrangèrent rien, pas plus que son étreinte, qui ne trouva de réponse que dans un sourire manifestement forcé, et qui lui donnait presque l'air inquiétant. Qui plus était, elle finit par ricaner lorsqu'il annonça qu'ils allaient passer un moment délicieux... C'en était à se demander s'il avait vraiment conscience que tout ceci était une épreuve pour elle, et que sa bonne volonté était mise à contribution au delà de ce qui était humainement possible (selon elle).

Heureusement pour tout le monde, les musiciens lui coupèrent la chique, et elle ne put répondre ce qu'elle avait pourtant sur le bout de la langue. Tant mieux. Elle finit tout de même par glisser à son père, qui n'écoutait sûrement déjà plus :

- Tu peux encore changer d'avis...

Mais l'acte était désespéré, et sans attendre de réponse elle tourna les talons, s'évitant une fois encore de poser le regard sur Colombe. Un regard sur l'assemblée, mais elle ne trouva guère le visage réconfortant de sa marraine. Ne l'avaient-ils pas invitée ? Voilà qui aurait été d'une impolitesse et d'une indélicatesse extrême, quand on savait que c'était grâce à elle et à tous ses encouragements qu'Aliénor parvenait à garder un minimum de calme en la situation présente.

Pas de marraine, et personne d'autre dans l'assistance qui ne puisse lui porter un quelconque réconfort... Elle n'avait plus qu'une seule chose à faire. Après tout, elle était à Rome, s'il y avait bien une chance que Dieu l'entende, c'était ici et maintenant. Aussi gagna-t-elle l'extrémité de son banc, histoire de ne pas trop se faire remarquer, et elle s'agenouilla en joignant les mains. Prier, pour trouver la force et le courage qui lui manquaient. Il n'y avait guère plus que cela à faire.

[CastelOrAzur]

Alienor venait de sourire !

Mateù en fit de même. Cette fois, il était certain que tout se passerait bien puisque sa fille cautionnait. Si tel n’était pas le cas, pourquoi aurait-elle arboré un si joli masque ?

C’est du moins ce que pensait le futur marié, sans doute quelque peu hypnotisé par la féérie du moment.

Alienor allait enchainer. Cependant, elle fut coupée dans son élan par une déflagration musicale ! Ajoutons à cela une audition qui n’était plus de prime fraicheur, et Mateù ne comprit pas exactement les mots prononcés du bout des lèvres par sa fille.

- Tu peux... ...cor ...er... avis...

« Tu peux compter sur moi pour la vie ! » Voilà le message le message qu’elle lui transmettait, pour sûr !

Tandis qu’elle rejoignait sa place, Mateù rétorqua un « merci » teinté d’émotion. Plus rien ne pouvait s’opposer à son bonheur.

Alors percèrent ces quelques mots :

Lou Bonjorn... mercé...

De petites et aiguës sonorités provençales venaient de se détacher du brouhaha ambiant. Mateù jeta un œil vers leur provenance mais, s’il localisait les sons, il ne voyait pas la bouche qui les prononçait. Ce n’était tout de même pas le Prince de France qui s’exprimait de la sorte !

Mais le vieux Baron n’eut pas l’occasion de pousser plus loin son investigation car, non loin de là, naquit une silhouette vaguement familière.

Le « Frangin », Mateù l’avait déjà rencontré autour d’une taverne Croisée. Et le séjour arlésien de Domdom avait permis au futur marié de faire un brin connaissance. Brin qui ne demandait d’ailleurs qu’à croitre.

Hades, Clément et Sabdel choisirent ce moment pour apparaitre à leur tour. Mateù ne put retenir un rictus en découvrant ces quelques visages coutumiers.

Réajustant à nouveau ce fichu épi, il reporta sa concentration sur Colombe.
Prête, Ma Princesse ?
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- Mateù 'Castel' de Sabran -

[Richelieu1]

Le Cardinal de Sabran avait revêtu son nouveau rouge. Non pas qu'il eut changé d'une quelconque fonction, mais il avait commandé à son tailleur romain une nouvelle soutane rouge vif. Point de vieilles guenilles pour le mariage Princier de son oncle !

Débouchant des Palais pontificaux ou le Sacré collège venait de se réunir autour du Saint Père, il atteignit la Basilique par des accès défendus par la Garde du Souverain Pontife.

Le vice Chancelier des Saintes Armées salua les gardes puis inspecta l'édifice d'un coup d’œil circulaire mais non moins attentif.

Discrètement il salua les têtes connues puis se dirigea vers Mateù. Celui ci devait d'ailleurs se demander si son neveu ne l'avait point oublié ...

Je crois que le temps est venu de vous présenter mes félicitations, dit le Prince de l’Église à son oncle avait un sourire quasi enfantin. Il n'y avait rien à faire, Ludovi était un enfant devant son oncle. Même s'il le connaissait fort peu. Attendant la réponse du tonton, le Cardinal ne put s'empêcher de scruter l'assemblée afin de voir s'il verrait enfin son cousin Savié, qu'il n'avait pas revu depuis trop longtemps.
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[frim2811]

Frim retint une grimace. Elle savait ce qu'il en était des titres et autres nécessités s'y rapportant, elle ne pouvait plus y échapper, mais certaines choses ne changeraient jamais pour elle. Elle regarda Lena un moment sans un mot. elle ne comprenait toujours pas pourquoi elles s'étaient, pas déchirées, ce n'était pas le terme, mais éloignées. Sans trop de raisons valables. Mais Lena était une sacrée tête de mule, et elle n'avait rien à lui envier sur ce point.

Son sourire s'élargit.

Mets moi du Majesté ou du Magnificence, et je t'envoies mes gardes. Je crois qu'on a assez en commun dans notre histoire pour passer ce genre de considérations.

Jette un oeil en direction de Matèu.

Oui, j'ai été invitée par le Baron de Grimaud, et j'y ai répondu avec plaisir, pour tout dire. Pas que je sois fan des cérémonies, mais parait que ça fait partie de ma fonction. Autant joindre l'utile à l'agréable. Et crois moi, mes gardes me tapent déjà sur les nerfs, alors, leur coller un sacré mal de mer au passage, je n'ai pas pu m'en empêcher.

Rit

Si tu as un moment, un peu plus tard, on pourrait un peu discuter de tout, de rien, du passé comme de l'avenir.
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[lenada]

Elle savait que Frim n'aimait pas les titres et qu'elle ne devait pas en abuser tout comme elle mais son esprit de contradiction prit le dessus

j'ai déja usé envers toi du Magnificence Majesté.... et saches que tes gardes ne me font pas peur.

Elles s'étaient perdues de vue quelques années auparavant, lorsque la brune avait été trahie par son compagnon de l'époque, elle ne reviendra pas sur cette partie de ce passé, mais elle partie en voyage avec Frim et un ami.

Tout ce passa bien jusqu'au jour ou en taverne dans le sud ouest du Royaume, Frim lui fit une réflexion qui laissa la brune sur le cul... Ni une ni deux la brune sortit de la taverne sans un mot, sella son cheval, laissa un courrier à l'attention de Frim à un palefrenier puis quitta le Sud ouest pour la Bretagne.



Puisque la route fut longue.... je te dirai avec plaisir, je ne repars pas de suite je m'octroie quelques vacances bien mérités, et puis il y a aussi longtemps que je n'ai pas vu la mariée autant faire d'une pierre deux coups !
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[LedZeppelin]

Parrain se mariait ..... Usait-il les femmes pour en être ainsi à ses troisième noces depuis qu'elle le connaissait ? Un sourire aux lèvres à cette idée elle se remémorait sa rencontre avec lui alors qu'elle était toute jeune maire d'Aix. Il avait accepté d'être son parrain à sa grande joie. Le baptême fut d'ailleurs une immense foire et un capharnaum indescriptible. Hersende était sa marraine aux côtés de Matéu.

Elle avait dû se dépêcher après le mariage de Thiberian et Axel à Lyon pour vite prendre le carosse chercher Alejandro à Marseille et poursuivre sur Rome. Le voyage se fit dans la bonne humeur et Led racontait à son frère mille et un souvenir sur les gens de Provence et il s'éclataient de rire à tout moment. Malheureusement Nathy ne serait pas du voyage, leur soeur était encore terriblement malae même si la santé s'améliorait.

Arrivés à Rome ils prirent une chambre et se préparèrent, Led avait pris  une robe faite tout exprès en rouge foncé comme elle les aimait. Les bijoux choisit lui plaisaient particulièrement et une fois satisfaite ils pressèrent le pas pour la basilique. Ils étaient très en retard.



A leur arrivée Led eu un choc. Un éclair la ramena en l'an 1456 à Aix. Deux femmes .... Lenada et Frim .... Mon Dieu ! Comme le monde était étonnant ...

Elle courut vers elles et ce fut des accolades qu'elle échangea dans la joie de les voir. Elle alla ensuite saluer Sabdel et son vieil ami Richelieu puis alla embrasser sa suzeraine et marraine Hersende toujours aussi belle, laissant les félicitations au mariés pour la fin de la cérémonie. Elle aperçut Aliénor en plein recueillement et n'osa la déranger. Elle irait aussi ensuite saluer l'Impératrie déja rencontrée au premier mariage d'Hadrien. Puis ensuite revint vers ses amies.

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plus jeune, plus fougueuse, plus dynamique, plus emportée aussi; son moteur est la passion, et "elle en a sous le capot" [Père Thranduil]

[DuchesseSherry]

Un soupire suspendu en bout de lèvres pour un mariage. Un de plus.
Et combien d'autres à vieillir ainsi défileront deux puis trois fois.
Alors qu'à regarder l'allée nous leur souhaiterons que celle-ci vive pour longtemps....

Peut-être même plus longuement.

Du carrosse la prunelle vicomtale effleura la Basilique.
De la Guyenne à Rome y avait-il à sourire.
Pour elle était-ce un parfum d'enfance le long d'un pont emplit de différences.
L'on passait d'un monde à l'autre pour deux mains qui peut-être s'étaient simplement trouvées.

À la différence que cette fois l'épousée n'en connaissait-elle à peu près rien du tout.

La Divine doucement serra en la sienne la main Ducale puis la chaise qui roule toucha le sol.
Et qu'importait l'heure tant qu'on y était. L'essentiel raisonnait-elle.

- Eh bien Vivons!

Au rire en l'Antre Bleu se glissa l'expression codée entre Eux.
Froufrou d'un jupon blanc tombé en long de jambes immobiles.

Et quelque part à l'intérieur "" Azzurro "".
Saura-t-il. Dans le filet de vent chuchotant l'allée.

Une bride de Soleil s'est frayée.
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~ Lady Sherry Tealisha de Marigny Chenaneguène de la Duranxie ~~ Jamais Soleil sans Ciel! ~

[Savié Mateù de Sabran]

Quelques jours avant le Grand Jour, dans un petit village à l’extrémité est de l’Empire.

La nouvelle du mariage princier venait de traverser l’Empire pour arriver aux oreilles de Savié-Mateù...

J’y vais, j’y vais pas ?

L’homme tournait à la fois en rond, au milieu de sa chambre et dans le plus simple appareil.

Mais tu n’as même pas été invité ! lui rétorqua une petite voix glissée entre les draps de la couche.

En effet, Savié Mateù n’avait pas été invité au mariage de son père. Il fallait dire que les relations qu’ils entretenait étaient... nulles. Aux yeux du paternel, le fils était mort. D’ailleurs, ils étaient peu nombreux même à connaitre les liens partagés par Savié Mateù et le Baron de Grimaud.

Ce dernier l’avait banni de ses terres depuis plusieurs années maintenant. Officiellement, le Baron avait agi après la découverte d’un complot pro-impérial fomenté par son fils et ce vieux Chien d’Otto Karolinger.
Officieusement, c’est le mode de vie du jeune homme qui provoqua son exil définitif.

J’ai envie de mettre les pieds dans le plat.

Viens donc mettre autre chose, S-M, lui suggéra l’autre voix.

Savié Mateù sourit tout en regagnant la couche.

Rome, me voilà... glissa-t-il avant d’embrasser son Lukas...


Le jour de la cérémonie.

Savié Mateù venait de débarquer à Rome. Refoulé à l’entrée de San Tito, il désigna l’écu de Grimaud brodé sur son élégant mantel ocre. Aussi, le gardien le laisse-t-il entrer.

Sans trop se faire remarquer, il s’installa sur un banc du fond.
Il ne reconnaissait aucun visage. Hormis, bien entendu, celui de son père. Il n’avait pas tant changé, finalement. Il semblait avoir gagné en embonpoint ce qu’il avait perdu en chevelure.

Ce qui avait encore moins changé, c’est son amour pour les jeunes femmes – extrêmement séduisantes de préférences.
Malgré son dégoût pour la gente féminine, force était de constater que Colombe était d’une beauté infinie.

Une autre silhouette attira son attention. Il mit quelques instants à l’identifier, mais il finit par comprendre qu’il s’agissait de Ludovi. Lui, il avait terriblement grandi ! Le reconnaitrait-il ? Savié Mateù n’en était pas certain. C’est qu’une santé fragile combinée à un mode de vie débauché n’était pas le secret de la jeunesse éternelle.

Et cette jeune fille blonde -quelle prestance, d’ailleurs !- qui parlait au Baron, était-ce... Mais... oui !
Savié Mateù se frotta les tempes, quelque peu perdu. Si Prunille était encore dans les parages, comment ce mariage pouvait-il avoir lieu ?!


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Indigne rejeton de son père.

[frim2811]

Frim allait répondre quand une tornade arriva. même pas le temps de réagir qu'elle lui sautait dessus.

Grrrrrrr, mais elle va pas se calmer, nom de D'jiou ? deux minutes, et elle met le boxon

Led ? Comtesse ? Vassale ? Un truc pour t'arrêter ?

Elle faisait un sacré effort pour rester sérieuse, mais c'était limite à ce qu'elle se marre, pour le coup.
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[LedZeppelin]

Elle souriait.

Votre Magnificence !

Pardonne-moi mais c'est trop extraordinaire, il m'a semblé revenir 7 ans en arrière d'un coup à vous voir toutes les deux. Nous n'avions point couronne en tête autrefois ...

Notre rencontre toutes les trois .... l'Amitié ...

Le présent est beau, le futur incertain et le passé toujours merveilleux .... et s'y retrouver me remue.

Phrases décousues, esprit embrouillé, sourires, joie et nostalgie ....
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[frim2811]

Elle en revenait pas. Led, elle la savait cinglée, mais à ce point, ça dépassait l'entendement. Bref.

Tu vas bien Led, sur ?

Mais ravie de te voir également. Il y a des souvenirs, une mémoire commune qui fait que rien n'est figé. Lena, toi, moi, on le sait, on a eu pas mal de raisons pour se détester, et les engueulades, on est des as pour ça. Si la vie était simple, ça se saurait, pas vrai ? Mais au final, un jour on se retrouve à un détour imprévu, parce que c'est comme ça, et tant mieux.

Maintenant, c'est le mariage de Matèu, et .... on est pas vraiment là pour se taper une soirée entre amies tout de suite, mais plutôt pour participer à l'union de deux personnes, dont Matèu.
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[Catherine von Strass]

Qui aurait pu croire que le banc sur lequel Catherine avait choisi de s'échouer comme une grosse baleine mais néanmoins ravissante baleine était le banc de Zeiss son cousin et chef de famille Acoma ? C'est à croire qu'on avait de l'humour. Elle fut soulagée de le voir, sa présence était rassurante elle qui se pensait être ici seule.

Cousin Zeiss, je suis contente de vous savoir ici.

A ses côtés, tel un chevalier la sauvant de l'absence d'un cavalier.
La cérémonie débutait et elle préféra se taire afin de suivre chaque seconde. Colombe était belle et Catherine fut ravie pour sa cousine, ce jour lui appartenait et rien ne viendrait l'assombrir.
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Catherine de la Louveterie d'Acoma.
Baronne de Coussey & Forbach.
Dame de Clémery & Frillière.
Chef de la Maison Acoma.

[LedZeppelin]

Bien sûr que non bonita senorita !

Anda ! Il est l'heure de s'installer. La cérémonie va débuter regarde.

La nouvelle épouse de Matéu est bien belle. Quelle chance il a ! Faisons silence pour suivre la cérémonie.

Sans s'en rendre compte elle mettait des mots espagnols un peu partout. Elle n'avait jamais oublié sa langue natale. Les gens étaient maintenant assis et tout était prêt.

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