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Eilinn Melani



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MessagePosté le: Ven Mai 22, 2015 10:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Reintegration of Rondra Fugger


    We, the Cardinals of the Holy Aristotelian Church gathered in the Sacred College, in the name of Pope Innocent VIII and under the gaze of Aristotle,


    Have ruled and ordered, and by our present perpetual and definitive edict, declare, rule and order the reintegration of Rondra Fugger to the community of the faithfuls. After studying his repentance, debating and voting, we decided that time was come for the Church to open its arms again to the penitent who will receive this final penance:

    - Confession to the cleric of her choice
    - Wearing humble and modest clothing one month (no colour)
    - At least one of the longer Pilgrimages (at least 9 or 10 citys).
    - Putting herself to the disposition of her bishop during 2 months and going to RP mass if there is one


    Given in Rome on the XV day of May in the year of our Lord MCDLXIII




    For the Sacred College of Cardinals,
    Arnault d'Azayes,
    Cardinal Camerlengo




Citation:





    Wiederaufnahme von Rondra Fugger


    Wir, die Kardinäle der Heiligen Aristotelischen Kirche, vereint im Heiligen Kollegium, im Namen des Heiligen Vaters Innocent VIII und unter dem Blicke Aristoteles

    haben verfügt und bestimmt, und durch dieses immerwährend gegenwärtige, unbefristete und endgültige Edikt, erklären, erlassen und ordnen wir folgendes an: Die Wiederaufnahme von Rondra Fugger in die Gemeinschaft der Rechtgläubigen. Nach der Prüfung ihrer Reue, Beratung und Abstimmung hierüber, entschieden wir, dass die Zeit gekommen sei, dass die Heilige Mutter Kirche ihre Arme wieder öffnet für die Büßerin, die als abschließende Buße folgendes erhält:

    - Die Beichte bei einem Kleriker ihrer Wahl abzulegen
    - Das Tragen von sittsamer und bescheidener Kleidung für einen Monat (Keine Farben)
    - Mindestens eine der längeren Pilgerfahrten (Mind. 9 oder 10 Städte) zu absolvieren.
    - Sich selbst dem Bischof für 2 Monate zur Verfügung stellen und zu jeder Res Parendo Messe gehen, die stattfindet


    Gegeben zu Rom am 15. Tag des Monats Mai im Jahre der Gnade MCDLXIII




    Für das Heilige Kollegium der Kardinäle
    Arnault d'Azayes
    Kardinal Camerlengo



_________________
“Il me reste qu'a mourir, et puisque je crois en Dieu, je dois essayer d'attendre en silence l'accomplissement de sa volonté.”
― Charlotte Brontë
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Eilinn Melani



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MessagePosté le: Ven Mai 22, 2015 10:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Congregazione della Santa Inquisizione
    Archiviazione della denuncia contro Sabbri


    Noi, S.Em.Rev.ma Monsignor Stefano M.L. de' Giustiniani Borgia detto "Stex86", Cardinale Nazionale Suffragante, Cardinale Inquisitore Italico, Cavaliere Imperiale di Toggenburg, Arcivescovo Metropolita di Ravenna Emerito, Monaco Capitolare dell'Ordine Domenicano, Grande Elettore CESE, Vice-Primate CESE per la zona italofona, per la Grazia di Dio, davanti all'Altissimo, sotto lo sguardo di Aristotele ed a nome della nostra Santa Madre Chiesa, a nome della Santa Inquisizione,

    Anticipando il tempo di grazia in quanto si è già stabilita la Verità, condotte le indagini ed uditi i testimoni e le parti interessate,

    ARCHIVIAMO

    la denuncia nei confronti di Sabbri.

    con la seguente Motivazione:
    dalle testimonianze raccolte e dopo aver verificato i fatti, possiamo concludere che in riferimento al documento del CEI sulla Tregua di Dio il caso specifico rientri in quelli esclusi dalle sanzioni per mancato rispetto della tregua.
    Lo scontro effettivamente avvenuto fra l'esercito del Generale Sabbri e i miliziani di Grosseto deve essere ricondotto alle azioni di difesa della Guardia municipale di Grossetto a cui l'esercito ha risposto con le armi.
    Si esclude che in data Domenica 10 Maggio l'esercito fiorentino abbia, per primo, ingaggiato la battaglia.


    Ad Claram et Sanctam Veritatem

    Scritto e sigillato a Roma, il XXII giorno del V mese dell'Anno di Grazia MCDLXIII

    Sua Eminenza Reverendissima Monsignor

    + Cardinale Nazionale Suffragante
    + Cardinale Inquisitore Italico
    + Cavaliere Imperiale di Toggenburg
    + Arcivescovo Metropolita di Ravenna Emerito
    + Monaco Capitolare dell'Ordine Domenicano
    + Grande Elettore CESE
    + Vice-Primate CESE per la zona italofona



_________________
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Eilinn Melani



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MessagePosté le: Sam Mai 30, 2015 10:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




Des diverses demandes des Fidèles à l'Eglise Aristotélicienne Romaine
Communications aux Fidèles




Au nom de l'Assemblée Episcopale de France, Nous, Monseigneur Onael d'Appérault, Troisième Vice Primat de France, souhaitons informer aux Fidèles et Croyants de Notre Eglise qu'ils peuvent toujours trouver un interlocuteur pour répondre à toutes leurs questions d'ordre spirituelle.

Nous rappelons qu'une hiérarchie existe, et invitons les concernés à la suivre comme ainsi et contacter dans l'ordre:

- Le Curé de votre paroisse
-L'Evêque suffragant nommé dans votre diocèse par l'Assemblée Epicopale de France, et seul à pouvoir se prémunir de ce titre.En l'absence de ce dernier, contactez le Vicaire diocésain ou l'Archidiacre.
-L'Archevêque métropolitain, nommé dans votre Diocèse par l'Assemblée Episcopale de France, et seul à pouvoir se prémunir de ce titre. En cas d'absence de celui ci, contactez le Vicaire Général ou l'Archidiacre.
- La Primatie de France. Vous pouvez vous rendre à son bureau.Un des membre de l'équipe primatiale vous accueillera et vous conseillera.


Enfin, nous rappelons à tous que seuls les Evêques et Archevêques inscrits sur cette liste sont reconnus comme tels par Notre Eglise.


Rédigé et scellé à l'Assemblée Episcopale de France, sise à Rouen,
le vingt septième jour de Mai de l'An de Grasce 1463.






_________________
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Eilinn Melani



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MessagePosté le: Sam Mai 30, 2015 10:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    De Sanctae Sedis summo administratione
    Bulle pontificale « Du gouvernement suprême du Saint-Siège »





    Livre 5.6 : La Chancellerie Pontificale


    Partie I : La Chancellerie Pontificale


    Partie II : L’Office des Légistes Pontificaux


    Partie III : Les Collèges Héraldiques Pontificaux


      L'Office des Collèges Héraldiques Pontificaux est un dicastère romain en charge des domaines héraldiques et nobiliaires au service de la Sainte Église Aristotélicienne et des États pontificaux. Il est composé de deux collèges distincts : le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées qui assiste les membres du clergé et des Saintes-Armées, de quelque nationalité qu’ils soient, dans l’obtention et la réalisation de leur blason et de leur sceau ; et le Collège des Arbalétriers qui règle les questions héraldiques et nobiliaires relatives aux États pontificaux ; dont les spécificités et compétences sont détaillées ci-après. L'Office dépend de la Chancellerie Pontificale et est établi comme « Collèges Héraldiques Pontificaux » ou « Collèges Héraldiques Romains ».


    Des charges propres aux Collèges héraldiques Pontificaux

    Article 1Le Grand-Officier Héraut : Les Collèges Héraldiques Pontificaux sont placés sous l’autorité exclusive, le souverain pontife excepté, du Grand-Officier Héraut. Il est nommé et révoqué par le cardinal Archichancelier. Son autorité est souveraine en matière de questions et de décisions héraldiques. Des compétences étendues en art héraldique sont requises, aussi bien dans la pratique que dans la théorie.

    Article 2L’Officier Héraut : Dans l’exercice de sa fonction, le Grand-Officier Héraut est assisté d’un préfet qui prend le nom d’Officier Héraut. Il administre en bonne intelligence avec le Grand-Officier Héraut le Collège des Arbalétriers et le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées. Il nomme et révoque les Hérauts Pontificaux, les experts et apprentis en héraldique. Il nomme et révoque, en accord avec le Grand-Officier Héraut, un vice-préfet éventuel dont l'acte de nomination précise les prérogatives.

    Article 3Les Hérauts Pontificaux : Les Hérauts Pontificaux sont des officiers représentants du Souverain Pontife dans Ses États. Ils sont nommés et révoqués par le Grand-Officier Héraut ou l’Officier Héraut. Ils sont membres du Collège des Arbalétriers. Leur mission, droits et devoirs sont définis par la suite en fonction de leur statut.

    Article 4Les experts en héraldique : Les experts en héraldique sont des membres à part entière du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées. Ils sont accrédités par le Grand-Officier Héraut ou l’Officier Héraut. Ils participent activement à la réalisation des armoiries et sceaux des membres du Clergé et des Saintes-Armées pour laquelle leur compétence est reconnue.

    Article 5Les apprentis en héraldique : Les apprentis en héraldique sont des membres-élèves du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées. Ils sont acceptés et renvoyés par le Grand-Officier Héraut ou l’Officier Héraut. Ils sont suivis dans leur apprentissage et formation par le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées.


    Section A : Du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées

    De sa composition

    Article 1 – Siègent au Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées :
    • Le Cardinal Archichancelier.
    • Le Grand-Officier Héraut.
    • L'Officier Héraut.
    • Les Hérauts en charge des Clergés nationaux.
    • Les Hérauts Pontificaux.
    • Le Cardinal Connétable de Rome.
    • Les Hérauts en charge des Ordre Militaro-Religieux reconnus par la Sainte Église.
    • Le Chevalier Sénateur de l'Office Militaire de l'Ordre de l’Étoile d'Aristote.
    • Des experts en héraldique accrédités par le Collège Héraldique du Clergé.


    De sa direction

    Article 2 : Dans le respect de l’autorité souveraine du Grand-Officier Héraut, le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées est placé sous l'administration directe de l’Officier Héraut. Il chapeaute les différents ateliers et veille à leur fonctionnement dans les règles du présent droit.

      Article 2.1 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées est placé en outre, pour les questions liées aux Saintes-Armées, sous la responsabilité conjointe de la Congrégation des Saintes-Armées et de la Chancellerie Pontificale.

    Article 3 : Les décisions du Collège en matière d’organisation et de fonctionnement sont entérinées par l'Officier Héraut ; en matière de règles héraldiques par l’Officier Héraut après avoir été avalisées par le Grand-Officier Héraut.


    De ses fonctions et compétences

    Article 4 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées a pour fonction d’être un lieu d'échanges et de discussions entre les Hérauts au service du Clergé au sein des collèges nationaux. Ils y organisent leurs travaux et développent des synergies.

    N.B. : Les Hérauts du Clergé nationaux, dans leur mission héraldique, ne sont pas des agents ou des officiers de l’Église ou du Saint-Siège. Ce sont, selon les lois et règles en vigueurs dans les différents États, des officiers du monarque, soumis à son autorité et sa volonté dans l’exercice de leur fonction héraldique. Leur présence et accréditation au sein du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées ne se justifie que part la volonté de créer des synergies dans l’art héraldique clérical, de profiter de l’aide et de l’expérience de chacun en ce domaine, et de pallier à d’éventuelles vacances.

    Article 5 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées a pour fonction de recenser et de conserver les travaux, savoirs, nobiliaires, traités et archives héraldiques de l’Église Aristotélicienne, de son clergé, de ses Congrégations ou de ses composantes.

    Article 6 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées est compétent pour créer armoiries et blasonnements à tout clerc, noble et membre armé dépendant de l’Église Aristotélicienne dans le respect des législations nationales en vigueur dans leurs États.

    Article 7 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées est seul compétent pour créer les meubles, ornements et objets héraldiques nécessaires à la distinction des armes des clercs.

    Article 8 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées est compétent pour proposer aux Hérauderies Nationales des candidats hérauts afin de pourvoir les places de héraut national du clergé vacantes.

    Article 9 : Les blasons et sceaux réalisés au sein du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées sont validés par ses hérauts et experts au moment de leur publication.

    Article 10 : Les bannières, étendards et uniformes de la Congrégation des Saintes Armées seront validés par le Cardinal Connétable suivant l'avis du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées.


    De son siège et de l'enregistrement

    Article 11 : Le Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées siège à la Chancellerie Romaine dans le Palazzo San Benedetto.

    Article 12 : Les « Registres généraux » du Clergé et des Saintes-Armées recensent et présentent notamment, et sous le contrôle exclusif du Collège Héraldique du Clergé et des Saintes-Armées :
    • Une liste des ornements réservés au clergé et à l’Église Aristotélicienne, Universelle et Romaine.
    • Une liste des meubles réservés au clergé et aux seuls Ordres Militaro-Religieux.
    • Une liste des bannières et gonfanons officiels des Saintes-Armées.
    • Un armorial à jour par Ordre Militaro-Religieux.
    • Les colliers officiels des Chevaliers d'Isenduil et autres ornements et règlements relatifs à la Chevalerie des Ordres Militaro-Religieux.
    • Les insignes et Grandes Armes des Congrégations et composantes de l’Église.

    Article 13 : Les décisions concernant l'enregistrement des ornements héraldiques spécifiques et relatifs à l’Église Aristotélicienne sont prises exclusivement par le Grand-Officier Héraut.


    Section B : Du Collège des Arbalétriers

    De sa composition

    Article 1 – Siègent au Collège des Arbalétriers :
    • Le Cardinal Archichancelier.
    • Le Grand-Officier Héraut.
    • L'Officier Héraut.
    • Les Hérauts Pontificaux.
    • Le Grand-Écuyer de Sa Sainteté.


    De sa direction

    Article 2 : Dans le respect de l’autorité souveraine du Grand-Officier Héraut, le Collège des Arbalétriers est placé sous l'administration directe de l’Officier Héraut. Il chapeaute les différents ateliers et veille à leur fonctionnement dans les règles du présent droit.

    Article 3 : Les décisions du Collège en matière d’organisation et de fonctionnement sont entérinées par l'Officier Héraut seul ; en matière de règles héraldiques par l’Officier Héraut après avoir été avalisées par le Grand-Officier Héraut.


    De ses fonctions et compétences

    Article 4 : Le Collège des Arbalétriers est le garant des lois et coutumes féodales et héraldiques dans les États Pontificaux.

    Article 5 : Le Collège des Arbalétriers est seul habilité à définir la nature, les armes et le rang des fiefs sis dans les États Pontificaux.

    Article 6 : Le Collège des Arbalétriers valide les armoiries et blasonnements des nobles pontificaux.

    Article 7 : Le Collège des Arbalétriers est seul compétent pour créer les meubles, ornements et objets héraldiques nécessaires à la distinction des armes de la noblesse pontificale.

    Article 8 : Les blasons et sceaux réalisés au sein du Collège des Arbalétriers sont validés par ses hérauts au moment de leur publication.


    De son siège et de l'enregistrement

    Article 9 : Le Collège des Arbalétriers siège à la Chancellerie Romaine dans le Palazzo San Benedetto.

    Article 10 : Les « Registres généraux » recensent et présentent notamment, et sous le contrôle exclusif du Collège des Arbalétriers :
    • Les cartes des États pontificaux .
    • Le registre de la noblesse équestre.
    • Le registre de la noblesse sénatoriale.
    • Le registres généalogique de la noblesse pontificale.
    • Une liste des ornements héraldiques réservés à la noblesse pontificale.
    • La liste des traités héraldiques.

    Article 11 : Les décisions concernant l'enregistrement des ornements héraldiques spécifiques et relatifs à la Noblesse Pontificale sont prises exclusivement par le Grand-Officier Héraut.


    Des héraut et des charges héraldiques

    Article 12 : Les charges héraldiques sont au nombre de quatre :
    • Le héraut héraldiste ou provincial : il a pour charge une ou plusieurs provinces des États Pontificaux. Sa tâche est de veiller à la tenue des registres nobiliaires, à l'enregistrement et à la confection des armes et blasons des nobles de sa province.
    • Le héraut sénatorial : il a pour charge de veiller à la tenue des registres de la noblesse sénatoriale, à l'enregistrement et la confection des armes et blasons des nobles de cet ordre.
    • Le héraut généalogiste : il veille au recensement et à l'archivage les lignages nobles de la Noblesse Pontificale.
    • Le héraut ès joutes : il veille au recensement et à l'établissement des listes et classement nécessaire à l'organisation et au suivi des joutes organisées sous les auspices du Souverain Pontife.

    Article 13 : Les hérauts pontificaux doivent prêter serment auprès du Grand-Officier Héraut ou de l'Officier Héraut.

    Article 14 : Les hérauts pontificaux porte derrières leurs armes, en sautoir, conformément à la première ordonnance commune deux caducées de velours blanc semé de croix aristotéliciennes d'or ; les extrémités nues et saillantes surmontées d'une pointe triangulaire aux arrêtes ovalaires, en vermeille.

    De la justice nobiliaire

    Article 15 : L'organisation de la justice héraldique et nobiliaire dans les États Pontificaux est assurée par le Tribunal de l'Héliée dont les statuts sont définis dans un codex auxiliaire conservé dans les registre du Collège Héraldique Pontificaux.

    Article 16 : L'officier-héliaste est choisi parmi l'ensemble des hérauts pontificaux ; il est nommé et révoqué par le Grand-Officier ou l'Officier héraut.





    Texte canonique sur « Le gouvernement suprême du Saint-Siège »,
    Donné à Rome sous le Pontificat du Très Saint Père Innocent VIII, le vingt-troisième jour du mois de mai, le samedi, de l'an de grâce MCDLXIII.

    Dernière entérinement et modification par le Sacré-Collège des Cardinaux le vingt-troisième jour du mois de mai, le samedi, de l'an de grâce MCDLXIII.

    Publié par Son Éminence Arnault d'Azayes, cardinal-camerlingue, le vingt-troisième jour du mois de mai, le samedi, de l'an de grâce MCDLXIII.




Citation:



    De Sanctae Sedis summo administratione
    Bulle pontificale « Du gouvernement suprême du Saint-Siège »





    Livre 5.6 : The Pontifical Chancellery


    Partie I : The Pontifical Chancellery


    Partie II : The Office of Pontifical Legists


    Partie III : The Pontifical Colleges of Heraldry


      The Office of the Pontifical Colleges of Heraldry is a roman dicastery in charge of heraldic and noble areas serving the Aristotelian Holy Church and the Papal States. It is composed of two distinct colleges : the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies which assists members of the clergy and of the Holy-Armies, of whatever nationality, in obtaining and the achievement of their coat of arms and their seal ; and the College of Crossbowmen which regulates heraldic and noble matters relating to Papal States ; whose specificities and skills are detailed below. The Office depends on the Pontifical Chancellery and is established as "Pontifical Colleges of Heraldry" or "Roman Colleges of Heraldry".


    About specific charges in the Pontifical Colleges of Heraldry

    Article 1The Great-Officer Herald : The Pontifical Colleges of Heraldry are under the exclusive authority, except the Pope, of the Great-Officer Herald. His authority is sovereign in matters of heraldic questions and decisions. He is appointed and dismissed by the cardinal Arch-chancellor. Extensive expertise in heraldry are required, both in practice and in theory.

    Article 2The Officer Herald : In the exercise of his function, the Great-Officer Herald is assisted by a prefect who takes the name of Officer Herald. He administers in harmony with the Great-Officer Herald the Colleges of Crossbowmen and the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armie. He appoints and dismisses the Pontifical Heralds, experts and apprentices in heraldry. He appoints and dismisses, in agreement with the Great-Officer Herald, an eventual vice-prefect whose act of nomination specifies the prerogatives.

    Article 3The Pontifical Heralds : The pontifical Heralds are representatives officers of the Sovereign Pontiff in His States. They are appointed and dismissed by the Great-Officer Herald or by the Officer Herald . They are members of the College of Crossbowmen. Their mission, rights and duties are defined thereafter according to their status.

    Article 4The experts in heraldry : The experts in heraldry are full members of the College of Heraldry of the Clergy and Holy-Armies. They are accredited by the Great-Officer Herald or by the Officer Herald. They actively participate in the achievement of coats of arms and seals of clergymen and Holy-Armies for which their expertise is recognized.

    Article 5The apprentices in heraldry : The apprentices in heraldry are students-members of the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies. They are accepted and fired by the Great-Officer Herald or by the Officer Herald. They are followed in their learning and by the College of Heraldry Clergy and Saintes-Armies.

    Section A : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies

    Its composition

    Article 1 – Sit in the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies :
    • The Cardinal Arch-chancellor
    • The Great-Officer Herald.
    • The Officer Herald.
    • The Heralds in charge of national Clergies.
    • The Pontifical Heralds.
    • The Cardinal Connetable of Rome.
    • The hHralds in charge of the Military-Religious Order recognized by the Holy Church.
    • The Knight Senator of the Military Office of the Order of the Star of Aristotle.
    • Experts in heraldry.


    Its management

    Article 2 : While respecting the sovereign authority of the Great-Officer Herald, the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies is placed under the direct administration of the Herald Officer. He oversees the various workshops and ensures their operation under the rules of this law.

      Article 2.1 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies is also placed, for matters related to the Holy-Armies, under the joint responsability of the Congregation of the Holy-Armies and of the Pontifical Chancellery..

    Article 3 : Decisions of the College on matter of organization and operation are endorsed by the Officer Herald ; on matter of heraldic rules by the Officer Herald after being endorsed by the Great-Officer Herald.

    Its functions and competences

    Article 4 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies has the function of be a place of exchange and discussion between the Heralds of the clergy which are in national colleges. They organize their work and developing synergies.

    N.B. : National Heralds of the Clergy, in their heraldic mission, are not agents or officers of the Church or of the Holy See. These are, according to the laws and regulations in strengths in different states, officers of the monarch, subject to its authority and will in the exercise of their heraldic function. Their presence and accreditation within the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies are only justified by the desire to create synergies in the clerical heraldry, taking advantage of the help and experience of everyone in this area and to compensate for any vacancies.

    Article 5 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies has the function of identify and retain works, knowledge, nobiliaries, heraldic treaties and archives of the Aristotelian Church, its clergy, its congregations or its components.

    Article 6 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies is competent for creating coats of arms and blasonnements to any cleric, noble and armed dependent member of the Aristotelian Church in accordance with national laws in their states.

    Article 7 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies alone is competent to create furniture, ornaments and heraldic objects necessary for the distinction of coat of arms of clerics.

    Article 8 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies is competent to propose to the National Colleges of Heraldry herald candidates to fill the vacant seats of National Herald of Clergy.

    Article 9 : Coats of arms and seals made within the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies are validated by heralds and experts at the time of their publication.

    Article 10 : Banners, flags and uniforms of the Congregation of the Holy-Armies will be validated by Cardinal Connetable following the opinion of the College of Heraldry of the Clergy and Holy-Armies.


    Its headquarters and registering

    Article 11 : The College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies sits in the Roman Chancellery in Palazzo San Benedetto.

    Article 12 : The « General Registers » of the Clergy and of the Holy-Armies identify and present, under the exclusive control of the College of Heraldry of the Clergy and of the Holy-Armies :
    • A list of ornaments reserved for the clergy and the Universal and Roman Aristotelian Church.
    • A list of reserved furniture to the clergy and only Military-religious orders.
    • A list of official banners and gonfanons Holy-Armies.
    • An armorial updated for each Military-Religious Order.
    • Officials necklaces of the Knights of Isenduil and other ornaments and regulations of the Chivalry of the Military-religious orders.
    • Badges and Large Coats of arms of the Congregations and components of the Church.

    Article 13 : Decisions concerning registration of specific heraldic ornaments and related to Aristotelian Church are made exclusively by the Great-Officer Herald.


    Section B : The College of Crossbowmen

    Its composition

    Article 1 – Sit in the College of Crossbowmen :
    • The Cardinal Arch-chancellor.
    • The Great-Officer Herald.
    • The Officer Herald.
    • The Pontifical Heralds
    • The Great-Esquirre of His Holiness.


    Its management

    Article 2 : While respecting the sovereign authority of the Great-Officer Herald, the College of Crossbowmen is placed under the direct administration of the Herald Officer. He oversees the various workshops and ensures their operation under the rules of this law.

    Article 3 : Decisions of the College on matter of organization and operation are endorsed by the Officer Herald ; on matter of heraldic rules by the Officer Herald after being endorsed by the Great-Officer Herald.


    Its functions and competences

    Article 4 : The College of Crossbowmen is the guarantor of the feudal and heraldic laws and customs in the Papal States.

    Article 5 : The College of Crossbowmen alone is authorized to determine the nature, coat of arms and rank of fiefdoms located in the Papal States.

    Article 6 : The College of Crossbowmen validates the coats of arms and blasonnements of pontifical nobles.

    Article 7 : The College of Crossbowmen alone is competent to create furniture, ornaments and heraldic objects necessary for the distinction of coats of arms of pontifical nobility.

    Article 8 : Coats of arms and seals made within the College of Crossbowmen are validated by its heralds at the time of their publication.


    Its headquarters and registering

    Article 9 : The College of Crossbowmen sits in the Roman Chancellery in Palazzo San Benedetto.

    Article 10 : The « General Registers identify and present, under the exclusive control of the College of Crossbowmen :
    • the maps of the Papal States.
    • The register of the equestrian nobility
    • The register of the senatorial nobility.
    • The genealogical register of the papal nobility.
    • A list of heraldic ornaments reserved for the papal nobility.
    • The list of heraldic treaties.

    Article 11 : Decisions concerning registration of specific heraldic ornaments and related to the Pontifical Nobility are made exclusively by the Great-Officer Herald.


    The heralds and heraldic charges

    Article 12 : Heraldic charges are four in number :
    • The heraldist or provincial herald : he manages one or more provinces of the Papal States. His task is to ensure the maintenance of the noble registers, registration and confection of weapons and coats of arms of the nobles of his province.
    • The senatorial herald : he is in charge of ensuring the keeping of registers of the senatorial nobility, recording and making of weapons and coats of arms of senatorial nobles.
    • The genealogical herald : he ensures the census and the archiving noble lineages of the Papal Nobility.
    • The herald ès jousts : he ensures the census and the listing and ranking necessary for the organization and monitoring of jousts organized under the auspices of the Sovereign Pontiff.

    Article 13 : Pontifical heralds must take an oath to the Great-Officer Herald or the Officer Herald.

    Article 14 : Pontifical heralds wear behind their coat of arms, in saltire, according to the first common ordinance « two white velvet caduceus studded with gold aristotelian cross ; the extremities naked and protruding topped with a triangular point with edges oval, in vermilion ».

    About nobiliary justice

    Article 15 : The organization of the heraldic and nobiliary justice in the Papal States is ensured by the Court of Héliée whose statutes are defined in an auxiliary codex conserved in the registers of the Pontifical Colleges of Heraldry.

    Article 16 : The officer-heliast is selected from among all the pontifical heralds ; he is appointed and dismissed by the Grand-Officer or Officer herald.



    Canonical text on the Supreme Government of the Church, Given and approved in Rome by the Sacred College during the pontificate of the Holy Father Innocent VIII the twenty-third day of the month of May, the year MCDLXIII of our Lord.

    Last modification the twenty-third day of the month of May, the year MCDLXIII of our Lord.

    First published by His Eminence Arnault d'Azayes, cardinal-camerlengo, on the twenty-third day of the month of May, the year MCDXIII of our Lord.


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MessagePosté le: Sam Mai 30, 2015 10:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    Fiat justicia pereat mundus
    Relaxe de Monseigneur Alexandre Farnèse


    Sujet : Enquête sur Monseigneur Alexandre Farnèse
    Plaignant : Namaycush Salmo Salar
    Missus: Monseigneur Robert Etienne de la Rose Noire
    Grand-Inquisiteur: Son Éminence Arnault d'Azayes

    Pour rappel :

    Citation:
    Article 6 : Dans l’articulation des sources du droit, la Justice d'Église puise ses sources, dans l'ordre, chaque source citée prévalant sur la suivante :
    - Du Dogme Aristotélicien
    - Des Doctrines
    - Du Droit Canon
    - Des accords, traités ou concordats validés par les autorités compétentes de l’Église
    - De la coutume jurisprudentielle
    - De l’usage

    Article 21 : Le jugement est solennellement lu au condamné, généralement un dimanche, à l'issue de la messe, en chaire ou sur le parvis devant un grand concours de peuple et d'autorités religieuses et laïques. C'est le "sermon général" qui peut regrouper plusieurs condamnations.



    1. Suspicion d'enfreinte du Droit Canon:

    Du 3 au 4 avril 1463, la guerre entre la France et Saint-Empire conduit à une bataille aux portes de la ville de Dole. Dans la journée du 3 avril Sa Majesté Impériale Oane de Sparte à la tête de l'armée Air Force Oane, soucieuse des âmes de ses soldats, en appelle à un ministre du culte en la personne de Monseigneur Alexandre Farnèse, étant lui-même évêque local au métropolitain de Besançon.
    D'après le rapport du soldat Ellerique, Monseigneur Alexandre Farnèse aurait été remarqué en cette nuit du 3 au 4 avril sur le champ de bataille, l'épée à la main. Et par ailleurs, retrouvé blessé le lendemain aux matines le jour suivant la bataille.

    2. Preuves d'innocence du présumé coupable:

    Après avoir écouté le suspect, l'enquête nous a mené tout d'abord de vérifier les mobiles de Monseigneur Farnèse : L'Archevêque de Besançon aurait été réellement appelé à venir servir les soldats partant ou ayant succombés à la mort sur le champ de bataille, en leur donnant les sacrements nécessaires. Trois témoins en attestent de la véracité de sa défense.

    En revanche, nous affirmons que le prétendu coupable a fait usage d'une épée lors de la bataille dans la nuit du 2 au 3 avril, de même a causé la blessure du soldat Ellerique. Toutefois, suite à des vérifications auprès de la Primatie du Sainte-Empire, Monseigneur l'Archevêque de Besançon a demandé dans la journée du 2 avril une dérogation de port d'armes (ci-contre) émanant de Son Éminence Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, Cardinal de la Sainte-Église & Primat du Saint Empire Romain Germanique, en prévision de l'inéluctabilité de la bataille du 2 et 3 avril. Notons que la dérogation a été accordée par le Primat du Saint-Empire, le 3 avril dès les matines.

    Citation:

      Dérogation de port d'armes

      Nous, Sa Merveilleuse Éminence Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, Cardinal-Archevêque de Lyon, Primat du Saint Empire Romain Germanique, Vice-Chancelier de la Congrégation pour la Diffusion de la Foi, Cardinal-Inquisiteur francophone, Prince de Trèves, de Stavelot & Malmedy, Comte d'Orvieto et de Spiegelberg, Vicomte de Nidenggen, devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote,

        Vu les attaques de Namaycush Salmo Salar sur Dole, et considérant la demande qui fut exprimée pour que Monseigneur Alexandre Farnese, Archevêque de Besançon et Vice-Primat du Saint Empire Romain Germanique agisse à titre d'Aumônier ; accédons à cela en autorisant ledit Alexandre Farnese à prodiguer assistance spirituelle aux soldats lors de la bataille, et à guider les mourants sur le chemin du Salut, ce qui ne saurait en aucun cas leur être privé.

        Connaissant tous les troubles pouvant avoir lieu lors de tels combats, nous autorisons à Monseigneur Alexandre Farnese une dérogation exceptionnelle pour qu'il puisse, s'il le jugeait nécessaire en cas de situation qui dégénérerait éventuellement, et dans l'urgence, utiliser une arme pour se défendre et se protéger. Nous savons que sa tâche est des plus difficiles, et nous sommes heureux de voir en lui un homme si dévoué au Très-Haut qu'il brave tous les périls pour servir notre Dieu.


      Puisse le Très-Haut toujours accompagner l'Archevêque de Besançon,

      Fait à Bourg, ce troisième d'avril mille quatre cent soixante-trois.

      Sa Merveilleuse Éminence.



    Conformément au Corpus Iuris Canonici du Canon III-2 au préambule de la bulle pontificale « Des fondements de l'Eglise de Dieu », la Sainte-Inquisition ne peut qu'admettre la recevabilité de cette dérogation donnant droit au port d'armes à Monseigneur Alexandre Farnèse, Archevêque de Besançon :

    Citation:
    Article 4 : Hors dérogation de leur primat, ou avis contraire mentionné pour certaines charges dans les autres livres du Droit Canon ou dans les règlements intérieurs des dicastères Romains, les clercs et les regularis, qu'ils soient milites ou non, ne peuvent porter d’armes autres que celles d’apparats liées à leur rang social.


    De plus nous ne devons omettre le fief Franc-Comtois de Monseigneur Farnèse à la seigneurie de Dammartin les Templiers, les devoirs de la noblesse le liaient à son suzerain le Franc-Comte et de ce fait lui obligeaient : obsequium, auxilium et consilium. La levée de ban générale demandait un soutien par les armes, nous reconnaissons la justification de cette demande de dérogation qui lui permettait en outre de remplir son devoir.

    CONCLUSION ET VERDICT.

    Pour conclure, les motifs de la prise d'arme de Mgr. Alexandre Farnèse sont complètement justifiés notamment pour son implication sur le terrain visant à contribuer au salut de l'âme des soldats, tant qu'en prêtre voire homme d'armes fidèle à ses devoirs vassaliques. La dérogation donnée par le Primat du Saint-Empire lui a permis d'accomplir ses devoirs, et défendent complètement sa prise de position.

    Ainsi, nous pouvons statuer et ordonner, et par notre présent édit perpétuel et définitif la déclaration suivante : Nous reconnaissons le suspect ACQUITTÉ, NON-COUPABLE de ses propres décisions.




Romæ, dies Veneris, XXII Maius, pré festa die S.Arnvald, Anno Domini MCDLXIII



Son Excellence Monseigneur Robert Etienne de la Rose Noire
Archevêque d'Arles
& Missius Inquisitionis



Son Éminence Arnault d'Azayes,
Camerlingue,
Archevêque de Bourges
& Grand-Inquisiteur



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MessagePosté le: Sam Mai 30, 2015 10:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Congregazione della Santa Inquisizione
    Chiusura del caso riguardante Glamoran, Shikamaru, Sibyl, Crimesi



    Noi, S.Em.Rev.ma Monsignor Stefano M.L. de' Giustiniani Borgia detto "Stex86", Cardinale Nazionale Suffragante, Cardinale Inquisitore Italico, Cavaliere Imperiale di Toggenburg, Arcivescovo Metropolita di Ravenna Emerito, Monaco Capitolare dell'Ordine Domenicano, Grande Elettore CESE, Vice-Primate CESE per la zona italofona, per la Grazia di Dio, davanti all'Altissimo, sotto lo sguardo di Aristotele ed a nome della nostra Santa Madre Chiesa, a nome della Santa Inquisizione,

    Anticipando il tempo di grazia in quanto si è già stabilita la Verità, condotte le indagini ed uditi i testimoni e le parti interessate,

    vista l'assunzione di responsabilità di Glamoran Alissa I Stewart, Signora di Siena,

    accertata la violazione della Tregua di Dio del 25 Aprile,

    DICHIARIAMO

    circa la posizione dei Generali Shikamaru, Sibyl, Crimesi riteniamo che essi non fossero a conoscenza della Tregua di Dio del giorno 25 Aprile e che venivano spinti nell'azione da ordini superiori. Decidiamo quindi che su di loro pesi una pena inferiore a quella di chi ha dato l'ordine e pertanto li AMMONIAMO ufficialmente, in quanto un ordine, se non rispettoso dei dettami Aristotelici, deve essere contrastato da tutti i fedeli.

    Tale ammonizione sarà trascritta nei registri della Santa Inquisizione e ne verrà tenuto conto in altri eventuali procedimenti a carico degli stessi.

    Essi non saranno sottoposti a giudizio, ed il caso in epigrafe che li riguarda è chiuso.

    DICHIARIAMO altresì che la violazione della Tregua di Dio del 25 Aprile possa essere imputata alla Signora Glamoran.

    Considerati però gli avvenimenti dei giorni seguenti oltre che le dichiarazioni della stessa, riteniamo che ella pur conoscendo l'Istituto della Tregua di Dio non fosse a conoscenza della sua applicazione al 25 Aprile, consideriamo inoltre favorevolmente la sua presa di responsabilità dichiarata nella lettera a noi giunta del 17 Maggio dell' A.D. MCDLXIII ovvero nel "tempo di grazia".

    Ritenendo che l'ignoranza della applicazione della Tregua di Dio non sia motivo per l'archiviazione

    DISPONIAMO

    di riconoscere a Glamoran una colpa lieve e che essa non sarà sottoposta a giudizio, ritenendo pertanto il caso chiuso.

    COMMINIAMO a Glamoran la pena accessoria di 5 giorni di preghiera presso la Cattedrale di Siena e la invitiamo alla confessione presso l'Arcivescovo di Siena al fine della remissione del peccato che ha commesso.

    Scritto e sigillato a Roma, il XXIII giorno del V mese dell'Anno di Grazia MCDLXIII

    Sua Eminenza Reverendissima Monsignor

    + Cardinale Nazionale Suffragante
    + Cardinale Inquisitore Italico
    + Cavaliere Imperiale di Toggenburg
    + Arcivescovo Metropolita di Ravenna Emerito
    + Monaco Capitolare dell'Ordine Domenicano
    + Grande Elettore CESE
    + Vice-Primate CESE per la zona italofona



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MessagePosté le: Mar Juin 09, 2015 10:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


    Suspension
    Monseigneur Aymé von Frayner-Embussy est suspendu du Concile Épiscopal



    Nous, Sa Merveilleuse Éminence Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, Cardinal-Archevêque de Lyon, Vice-Chancelier de la Congrégation de la Diffusion de la Foy, Primat du Saint Empire Romain Germanique, Premier Cardinal Inquisiteur Francophone, Légiste Pontifical, Prince de Trèves, de Stavelot & Malmedy, Comte de Spiegelberg et d'Orvieto, Vicomte de Nideggen, Baron de Coblence, Seigneur de Lenty,


      Annonçons la suspension des accès du Concile Épiscopal du Saint Empire Romain Germanique de Monseigneur Aymé von Frayner-Embussy, Évêque in partibus d'Halicarnasse. Telle mesure est prise suite aux paroles indignes et hautement inacceptables qu'il a tenues, manquant de respect de façon flagrante et outrancière non seulement à ses collègues et à sa hiérarchie, mais également aux fidèles. Non content d'avoir semé un grand trouble au sein du Concile Épiscopal, il refusa qui plus est de reconnaître sa faute.
      Ne pouvant, pour le bien du Concile Épiscopal, accepter tels débordements, nous n'avons d'autre choix que de lui retirer ses accès audit de façon indéterminée, jusqu'à temps que la Primatie ait statuée sur son cas.




    Fait à Rome, ce quatrième de juin quatorze cent soixante-trois.




Citation:


Pubblicazione dello Statuto Interno
dell'Assemblea Episcopale della Regione italica sotto lo SRI.


Noi, Sua Eminenza Reverendissima Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau detto "Yut", Primate del CESE,
sentito il Vice - Primate per la zona italica S.Em. Rev.ma Monsignor Stefano de' Giustiniani Borgia,

      PUBBLICHIAMO


lo Statuto interno dell'Assemblea Episcopale italiana detto Regolamento interno dell'Assemblea Episcopale della Regione italica approvato
dalla stessa il 23 Aprile 1463 confermandone la validità a norma dello Statuto del CESE.
Specifichiamo che esso ha effetto a far data dall'approvazione da parte dell'Assemblea ovvero dal 23 Aprile 1463.

Scritto e sigillato in Roma, il 4 Giugno 1463

Il Primate del Sacro Romano Impero
S.Em.Rev.ma Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau detto "Yut"


Il Vice-Primate italofono
Sua Eminenza Monsignor



Citation:

Regolamento interno dell'Assemblea Episcopale della Regione italica
Approvato il 23 Aprile 1463

Preambolo

In conformità con quanto previsto dall'articolo 2.3 dello Statuto della Primazia del Sacro Romano Impero, l'Assemblea Episcopale Regionale italofona adotta il presente Statuto Interno.

Questo documento è redatto rispettando i dettami dello Statuto del CESE integrato e modificato da quanto prescrive il Diritto Canonico e la deroga dello stesso adottata dai Cardinali della Curia ed approvata dal Sommo Pontefice.

E' applicato e fatto rispettare in tutte le diocesi ed arcidiocesi italiche del Sacro Romano Impero.

Capo 1- Dell'Assemblea Episcopale regionale italica SRING

Articolo 1
A norma dell'articolo 2.2. dello Statuto della Primazia del Sacro Romano Impero è costituita la vice-primazia di lingua italiana al cui interno è costituita Assemblea Episcopale regionale italica (A.E.R.).

Articolo 2
L'Assemblea Episcopale regionale italica è composta da membri di diritto e da consiglieri.
Sono membri di diritto:
- Gli arcivescovi e i vescovi del Sacro Romano Impero italofono, le cui rispettive giurisdizioni toccano in tutto o in parte i territori del Sacro Romano Impero italofono.
- Gli arcivescovi e vescovi In Partibus Infidelium residenti nelle terre imperiali.
- Gli arcivescovi e vescovi Emeriti della vice-primazia di lingua italiana del Concilio Episcopale del Sacro Romano Impero.
Sono membri consiglieri:
- il Segretario Apostolico dell'Impero se residente in una città del Sacro Romano Impero italofono.
- i Cardinali Nazionali.

Articolo 3
Tutti i membri dell'Assemblea Episcopale regionale italica possono partecipare alle discussioni, ma solo i membri di diritto possono iniziare una discussione e votare.

Articolo 4
L'assemblea delibera le proprie decisioni con una votazione della durata di cinque giorni; tuttavia, se vi è urgenza, il Vice-Primate ha facoltà di ridurre i giorni di voto a tre. Le decisioni sono prese a maggioranza semplice dei votanti. Gli arcivescovi ed i vescovi che non partecipano alla votazione e che non hanno comunicato la propria assenza sono ufficialmente richiamati per assenza ingiustificata (Richiamo Ufficiale Assenza - R.U.A.). Le nomine e revoche degli arcivescovi sono normate da articolo a se stante.

Capo 2 - Del Governo dell’Assemblea Episcopale regionale italica SRING

Articolo 5
A norma dello Statuto del CESE, è nominato un Vice-Primate. Quando possibile è la stessa assemblea episcopale ad indicare al Primate il nome del Vice-Primate. Il Vice-Primate è il rappresentante dell’ Assemblea Episcopale regionale italica SRING in tutte le istituzioni temporali e religiose del mondo e nei confronti del resto della Primazia.

Articolo 6
Il Vice-Primate può nominare un membro di diritto dell’AER come facente funzioni in caso di assenza solo ed esclusivamente per i compiti individuati dall’articolo 7.

Articolo 7
Il Vice- Primate, all’interno dell’AER, ha il compito di vigilare e disporre gli accessi all’assemblea, garantire il regolare svolgimento delle votazioni e decretarne i risultati; modera la discussioni; emette i RUA; può ordinare e disporre quanto necessario per il buon funzionamento dell’istituzione, sovrintende alle operazioni di nomina e revoca degli arcivescovi; può emettere dei Richiami Ufficiali ai propri Doveri (R.U.D.) per richiamare gli arcivescovi alle loro funzioni ed ai loro compiti.

Articolo 8
Tutti gli atti del Vice-Primate, possono essere revocati dall’AER mediante una mozione di censura votata dalla maggioranza semplice dei componenti dell’assemblea.

Articolo 9
Può essere proposta al Primate la revoca del Vice-Primate con l’approvazione di una mozione di censura votata da una maggioranza di 2/3 dei componenti dell’AER e presentata da un membro di diritto della stessa.

Capo 3- Degli Episcopi in generale

Articolo 10
Il CESE è composto come specificato nel capo I dello Statuto della Primazia del Sacro Romano Impero ed è regolamentato nelle sue riunioni e votazioni secondo tale documento nella sua interezza. Anche l'Ufficio del Concilio Episcopale del Sacro Romano Impero è parimenti costituito e regolato dal capo III del già richiamato Statuto. Tale statuto trova applicazione per quanto riguarda il CESE nella sua interezza, fa eccezione la nomina e revoca di arcivescovi e vescovi.

Articolo 11
In conformità con la deroga al Diritto Canonico per i territori italici, gli arcivescovi sono nominati dai propri pari arcivescovi, anche emeriti (ai sensi dell’articolo 12) e dal Patriarca di Aquileia ed il Vicario Urbis. I vescovi sono nominati dai rispettivi arcivescovi competenti per territorio.

Articolo 12
Gli arcivescovi e vescovi italici, che ottemperano correttamente e regolarmente ai loro doveri per più di tre mesi, restano arcivescovi o vescovi Emeriti, della arcidiocesi o diocesi di cui erano pastori, due mesi dopo le loro dimissioni. La revoca non è da intendersi come dimissioni e non dà alcun diritto al titolo di Emerito.

Articolo 13
Il titolo di Emerito ha decorrenza immediata ed automatica all'accettazione delle dimissioni e conferisce la reggenza della sede arcivescovile o vescovile fino a cessata vacanza. Successivamente il titolo, a riguardo degli effetti dispiegati all'interno della (arci)diocesi, deve intendersi unicamente quale incarico privilegiato di consiglio e sostegno al nuovo (arci)vescovo.

Articolo 14
In caso di morte di un arcivescovo lo scranno da lui occupato è dichiarato vacante sino a quando il Vice-Primate, o la Curia se il deceduto è anche un Cardinale, non ne annuncia la morte in forma ufficiale. In caso di morte di un vescovo la stessa procedura è seguita dall'arcivescovo competente. La reggenza della sede vacante è garantita da un Vicario Generale se nominato, altrimenti vi provvede il Concistoro Pontificio Italofono in via diretta o mediante delega.

Capo 4 - Delle sospensioni e delle revoche

Articolo 15
Un Arcivescovo è revocato d’ufficio dal Vice-Primate per la cause indicate dall’ articolo 2.6.3 dello Statuto. Il Vice-Primate, può aprire la votazione per la revoca dell’Arcivescovo quando questi rincorra in gravi inadempienze o su proposta motivata di un componente dell’AER o del Vice-Primate stesso.

Articolo 16
Il Vice-Primate apre d’ufficio la votazione per la revoca con ben evidenziate le cause, quando un arcivescovo ricorra in 3 provvedimenti RUA e/o RUD. Tali provvedimenti vanno menzionati, anche per sunto, ma puntualmente, tra le cause.

Articolo 17
I membri non di diritto, i membri non eleggibili dall’AER, qualora totalizzino 3 provvedimenti RUA e/o RUD sono sospesi per mesi 1 dalla partecipazione dall’Assemblea. Qual’ora tale situazione abbia a ripetersi, l’AER provvede a comminare ulteriori sanzioni, fino all’esclusione perpetua dall’assemblea.

Capo 5 - Rimando

Articolo 18
Le prassi in vigore debbano intendersi innovate da queste disposizioni. Per tutto quanto qui non disciplinato trova applicazione lo Statuto ed il Diritto Canonico, nonché eventuali disposizioni di rango superiore.





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MessagePosté le: Mar Juin 09, 2015 10:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Déclaration au sujet de la cathèdre d'Autun


Au Duc de Bourgogne,
Au conseil bourguignon,
Aux fidèles du diocèse d'Autun,
À l'ensemble des bourguignons croyants et non-croyants,



Au nom de l'Assemblée Épiscopale de France, Nous, Monseigneur David de Sent-Bertran, Primat de France, Archevêque Métropolitain de Rouen ; Préfet de l'Inquisition francophone, Missus Inquisitionis ; Vice-préfet du Saint-Office, Scripteur du Saint-Office ; Recteur de l'Ordre Grégorien, Maître des Novices de l'Ordre Grégorien , déclarons publiquement ce qui suit :


Mes frères et sœurs,


À l'heure où je m'adresse à vous, l’Église est souffrante. Notre Sainte-Mère l’Église souffre car elle est malheureusement accablée par certains. Ce sont là des douleurs intarissables, infligées par force, sans qu'elle soit en capacité de les éviter.

Sa peau, sa chair et ses os en sont tout autant meurtris que l'Être de notre Prophète Christos, atteint jusqu'au sang par la couronne d'épine et les coups de fouets. Cette Église Aristotélicienne & Romaine se donna corps et âme depuis son institution il y a maintes années, décennies et même siècles, pour assurer la prospérité des terres bourguignonnes.

Je suis donc réellement affligé en voyant le rejet de notre religion en ces terres ; rejet empêchant ses membres de s'investir tant spirituellement que politiquement pour accomplir une mission à laquelle Dieu et son prophète vouèrent leurs apôtres, dès la création de l’Église à Jérusalem.

Une mission, un sacerdoce de très longue haleine ayant réuni sous Une Seule, Unique & Indivisible Église, de nombreuses personnes professant des principes et valeurs permettant de nous mener, tous, vers un Monde terrestre meilleur mais également d'assurer en toute quiétude notre passage dans l'Au-delà.

Nos aïeux ont donné leur vie, ont souffert le martyr et le mépris d'individus intolérants pour permettre d'édifier les maisons de Dieu, ces églises et cathédrales gardées par notre Église pour assurer la paix et l'amitié.

Aujourd'hui, cette même intolérance de jadis revient, et nous empêche de célébrer les Mystères Sacrés de Dieu en nos propres édifices. Je suis consterné d'une telle réalité : la cathèdre d'Autun nous a été dérobée depuis longtemps mais fait également aujourd'hui l'objet d'un sacrilège et illégitime appel à candidature car n'étant pas celui lancé par l'Assemblée épiscopale française. Nous sommes attristé du peu d'égards nous étant réservé, et voulons que cesse cette situation impie pour rétablir l'ordre voulu par Dieu.

Ces mots vont directement à l'adresse du Duc de Bourgogne. Nous faisons appel non pas à sa conscience aristotélicienne mais à sa conscience humaine. Nous lui tendons pacifiquement la main, via des négociations diplomatiques, afin de rétablir une paix durable et permettre le retour de la cathèdre d'Autun au sein du giron de notre Église, sous la gouverne du Très-Haut.



Que les paroles d’Aristote nous guident,

Fait au palais épiscopal de Rouen, siège de la Primatie, ce 1er jour du mois de juin de l’an de grâce MCDLXIII




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MessagePosté le: Mar Juin 09, 2015 10:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    De la Force de la Tempérance


    A Namaycush Salmo Salar,


    c'est avec une grande peine que nous apprenons votre décision d'interdire tout droit de passage aux membres de la très honorable Eglise aristotélicienne Romaine. Nous comprenons la douleur qui est la votre de ne pas avoir été entendu par notre justice comme vous le souhaitiez. Nous sommes conscient que cette blessure a été la porte par laquelle le sans nom a inspiré en vous le pêché de la colère. Il est de notre devoir moral de vous inciter à suivre le chemin opposé et à choisir la tempérance.

    La tempérance est le bouclier qui vous devez opposer aux attaques viles de celui qui prétend vous détruire tout entier dans le plaisir illusoire de la vengeance. Cette vertu fera de vous un roseau qui plie face au vent des événements mais ne romps jamais devant l'adversité. Ne laissez pas une créature qui n'a pas compris le sens de la vie vous déraciner tel un chêne trop fier. Ne cédez pas à une impulsion éphémère qui vous conduirait à donner la mort aux messagers de Dieu car ils vous ont déçu. Ceci serait une défaite pour vous et vous éloignerez de ce que vous êtes. Notre grande famille devrait tirer les conséquences d'un acte si grave.

    Résistez. Ne reniez pas votre vrai nature. Ne doutez pas. Vous êtes un enfant de Dieu. Vos racines sont fortement ancrées dans le sol de la foi. La tempête est bientôt finie. Il est temps de vous redresser au lieu de ramper devant celui qui prône la domination du fort sur le faible. La seule domination acceptable est celle de l'amour de Dieu pour sa création. Soyez l'instrument de notre Père, ne soyez pas celui de la seule créature qui nous jalouse. L'épreuve que vous subissez est dure et nous prions pour vous mais nous vous savons capable de la surmonter. Vous arriverez à éteindre ce feu intérieur qui consume votre âme chaque jour un peu plus.

    Que la lumière des prophètes éclaire votre chemin.


    Donné à Rome le septième jour du mois de juin de l’an de grâce MCDLXIII





    Pour le sacré-collège des cardinaux,
    Arnault d'Azayes,
    Cardinal-Camerlingue




Citation:





    About the force of the Temperance


    To Namaycush Salmo Salar,


    it is with great sorrow that we learn your decision to prohibit any right of pass to the members of the Honourable Roman Aristotelian Church. We understand your pain for not being heard by our justice as you wanted. We are aware that this injury was the door through which the unnamed inspired in you the sin of anger. It is our moral duty to encourage you to follow the opposite path and choose the virtue of temperance.

    Temperance is the shield that you must oppose the vile attacks of one who claims to destroy you completely in the illusory pleasure of revenge. This virtue will make you a reed that bends against the wind events but never break the face of adversity. Do not let a creature that did not understand the meaning of life to uproot you like a proud oak. Do not yield to ephemeral impulse that would lead you to death to God's messengers because they have disappointed you. This would be a defeat for you and you left very far away from what you are. Our family should draw the consequences of an act so serious.

    Resist. Do not deny your true Nature. Do not doubt. You are a child of God. Your roots are deeply rooted in the soil of faith. The storm is soon over. It is time to straighten you instead of groveling to that of promote the rule of the strong over the weak. The only acceptable domination is that of God's love for his creation. Be the instrument of our Father, do not be the one of the only creature that is jealous of us. The ordeal suffered by you is hard and we pray for you but we know you can overcome it. You will come to extinguish this inner fire that consumes your soul every day a little more.

    That light of the prophets illuminates your path.


    Given in Rome on the VII day of June in the year of our Lord MCDLXIII




    For the Sacred College of Cardinals,
    Arnault d'Azayes,
    Cardinal-Camerlengo



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Eilinn Melani



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MessagePosté le: Dim Juin 21, 2015 10:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



    À David de Sent-Bertran, Primat de France & Archevêque de Rouen,
    À Angelo de Montemayor, Cardinal-évêque d'Autun,
    À tous les fidèles du Diocèse d'Autun & de la Bourgogne,
    À quiconque se fera lire ou lira,



      Nous, Sa Merveilleuse Éminence Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, en notre qualité d'Archevêque de Lyon, métropolitain d'Autun, prenons la plume ce jour pour adresser en un premier lieu nos plus sincères félicitations à notre cher ami Angelo de Montemayor pour son accession à la fonction d'Évêque d'Autun. Nous n'avons aucun doute que celui-ci, de par son expérience, sa grande compétence, et sa haute clairvoyance, saura aider ce Diocèse à redevenir le fleuron de l'Aristotélité qu'il fut jadis, et cela par tous les moyens qui lui seront nécessaires. Angelo a toujours été un fier défenseur de notre foy, et l'avoir avec nous à Autun ne saura qu'aider cette foy à vivre et à progresser en Bourgogne, ce dont nous avons bien besoin en ces temps troubles.

      Par contre, cette nomination est entachée d'une aberration singulière, pour laquelle nous sommes plus que dépité, vu la gravité de celle-ci, commise par la Primatie de France par la voie de son Primat David de Sent-Bertran, Archevêque de Rouen, dans la rédaction de l'annonce de nomination de l'Évêque d'Autun. Ainsi, celui-ci, dans un manque de respect total et grossièrement outrancier pour les fidèles du Diocèse, remercie Son Éminence Aaron de Nagan, précédemment Légat Primatial à Autun, «pour le travail qu'il a effectué lors de cette mission de légat extraordinaire».

      À la lecture de tels propos, nous avons, en tant que membre de l'Assemblée Épiscopale de France, en tant que métropolitain du Diocèse d'Autun, en tant que fier noble Bourguignon, que pu être grandement attristé par le Primat de France, qui insulte indignement les fidèles du Diocèse, qui leur ment en prétendant que le légat ait fait quelconque travail alors qu'il fut totalement absent. En effet, Son Éminence Aaron de Nagan fut plus que piètre dans sa tâche de Légat, il fut inexistant. Prétendre qu'il ait fait quelconque «travail» comme le mentionne le Primat est un mensonge éhonté que nous ne pouvons que dénoncer. Il s'agit d'un manque de respect ignominieux envers les fidèles d'Autun, qui ont longuement souffert de l'absence délétère d'Aaron de Nagan. La foy fut mise à mal par la totale non-présence de cet homme, et que la Primatie tente maintenant de le défendre est tout à fait inacceptable.

      Nous adressons à la population Bourguignonne et aux fidèles d'Autun nos plus sincères excuses, n'arrivant pas à croire que l'Église de France, que nous avons dirigée autrefois, est tombée dans les bassesses les plus ignobles que sont celles de défendre certains de ses membres incompétents pour les protéger, plutôt que d'avoir comme première priorité le bien des fidèles.
      Nous réclamons qui plus est au Primat de France des excuses pour ses propos extrêmement offensants à l'égard des fidèles d'Autun, ainsi qu'à Aaron de Nagan pour avoir été totalement absent pour les fidèles durant tout le temps qu'il fut en poste comme Légat, alors qu'il s'était lui-même proposé pour l'être à l'époque.


      Puisse le Très-Haut guider le Diocèse d'Autun, à défaut qu'Aaron ait pu le faire, et puisse-t-il par la même occasion redonner au Primat le bon sens qui le caractérisait autrefois.



    Fait à Lyon, ce onzième de juin quatorze cent soixante-trois.

    Sa Merveilleuse Éminence.




Citation:
CONCORDAT ENTRE LA SAINTE EGLISE ET LE DUCHÉ DE GASCOGNE


------------------Préambule

Par la présente, le Duché de Gascogne officialise ses rapports avec l'Église Aristotélicienne Universelle et Romaine, et la reconnaît comme base de ses valeurs et de sa culture.
Par la présente, l'Église Aristotélicienne Universelle et Romaine reconnaît la Gascogne comme Aristotélicienne.
La Gascogne choisit et reconnait comme son Saint-Patron, l'apôtre Saint Samoth, père de la diffusion de la foi.


------------------I - Du rôle de l'Église dans l'organisation spirituelle du Duché de Gascogne

---------A. De la religion de Gascogne

I.A.1 La Gascogne reconnait pour unique religion officielle l'Aristotélisme, représentée par l'Église Aristotélicienne Universelle et Romaine. La Gascogne reconnaît l'existence du Saint-Siège et de toutes ses institutions.

I.A.2 Toute violation des dispositions du présent concordat sera considérée comme un acte d'hérésie.

I.A.3 Le domaine spirituel est à la charge unique de l'Église Aristotélicienne Universelle et Romaine.

--------- B. Des prédications, prêches et de leur instigateurs

I.B.1 L'archevêque de Bordeaux et l'évêque de Bazas s'engagent à fournir une liste des idées de prêche In Gratibus autorisées sur le territoire de Gascogne. Celle-ci sera rendue publique et devra être paraphée et scellée par les deux parties.

I.B.2 Toute personne voulant user de son droit de prêche dans un village de Gascogne devra le faire après en avoir reçu l'autorisation de la part de l'évêque dont dépend la paroisse concernée.

I.B.3 Tout contrevenant pourra être poursuivi devant l'Officialité de la Province correspondante, à savoir Auch ou Bordeaux.


------------------II - Du rôle de l’Eglise dans l’organisation temporelle du Duché

II.1 L'évêque de Bazas aura pour mission de représenter la religion officielle au conseil ducal de Gascogne. Dès sa nomination officielle par l'Assemblée Épiscopale de France, il recevra son trousseau de clef au conseil ducal sous condition de résider en Gascogne.

II.2 Les évêques résidants dans le duché de Gascogne sont sujets à ses lois tant que ceux-ci ne portent atteintes à leur serment d’ordination.

II.3 Un membre du clergé aristotélicien qui se voit confier une mission d'ordre temporel ne pourra s'en acquitter que si cette tâche ne heurte point les principes de la vraie foy, dont l'Église Aristotélicienne Universelle et Romaine est unique dépositaire. La loi de Dieu est supérieure à celle des hommes, mais Dieu a donné aux humains le libre arbitre. Si un serviteur de Dieu est élu ou nommé pour servir le pouvoir au nom du peuple et pour le peuple, il ne peut se retrancher derrière sa foi et son allégeance à l'Église pour refuser de servir le pouvoir tout en faisant partie de son administration et devra alors mettre un terme à son mandat temporel selon les règles en vigueur.Il peut toutefois refuser les postes qui mettraient en péril son engagement auprès de l'Eglise, sans nécessité de mettre un terme à son mandat.

II.4 La Gascogne est un Duché fidèle à la foi aristotélicienne, et tout candidat à son trône doit être baptisé par l'Eglise Aristotélicienne Romaine. Si dérogeance à cet article, se rapporter au point I.A.2 du présent concordat.

II.5 Les Conseillers Ducaux n'ont pas l'obligation d'être baptisés, fidèles comme croyants peuvent accéder à ces fonctions, en sont toutefois exclues les personnes prônant l'athéisme. Toutes personnes favorisant l'élection d'un Duc ou d'un Régent hérétique se rend coupable elle-même d'hérésie.

II.6 Les membres du clergé aristotélicien sont admissibles aux charges temporelles ne présentant pas d'interdiction vis à vis du Droit Canon.


------------------III - Du rôle de l’Église dans la vie civile

III.1 Les mariages aristotéliciens dispensés par l'Église Aristotélicienne Universelle et Romaine, sont les seuls mariages reconnus comme valides par la Gascogne.

III.2 L’Église se donne pour mission d’aider les plus démunis. Dans ce cadre, ses représentants devront de manière active participer aux actions de charité et, autant que possible, coordonner leurs efforts avec les autorités municipales et ducales.

III.3 L’Église se donne pour mission de participer le plus activement possible à l’éducation du peuple.

III.4 L'évêque de Bazas et l'archevêque de Bordeaux ont entière autorité et autonomie, sous respect du droit canonique, pour nommer les membres du Clergé de Gascogne, prêtres ou laïcs, dans leurs diocèses respectifs et ainsi les autoriser à administrer les sacrements.

III.5 Un clerc n’a de compte à rendre, sur ses actes spirituels, qu’à son évêque. Sur ses actes temporel, il n'a de compte à rendre qu'aux représentants de la Gascogne.

III.6 Tout prélat se doit de s'efforcer de faire acte de présence aux manifestations organisées par le Régnant et son conseil pour lesquelles il a reçu invitation. Par réciprocité, le Régnant et ses conseillers s'efforcent d'assister aux offices religieux.

III.7 L'Église s'engage à assurer tous les sacrements dans des délais corrects. Si aucun clerc ne se trouve dans la ville du fidèle souhaitant un sacrement, l'évêque de Bazas est alors personne référente pour le réaliser. Dans le cas contraire, l'église devra trouver une solution.

III.8 La Gascogne reconnaissant le rôle primordial de l'Église dans l'éducation et la conduite du peuple, s'engage à faciliter l'accession aux études théologiques dans la limite de ses moyens financiers.

III.9 Ainsi, un prêt pouvant aller jusqu'à 1000 écus pourra être accordé aux artisans souhaitant devenir théologien. L'emprunteur s'engage à contracter ce prêt pour accéder au statut d'étudiant, qu'il doit prendre dans les 3 jours suivant l'octroi du prêt, et à le rembourser dans les 2 jours suivant l'accès à son nouveau statut.

III.10 Certaines conditions sont requises pour pouvoir prétendre à ce prêt et doivent être apporté lors de toute demande :
  • Posséder déjà un minimum de 1550 écus.
  • Être baptisé et avoir été diacre au moins deux mois en Gascogne.
  • Fournir deux lettres de recommandation d'un noble, d'un membre du clergé Gascon ou d'un élu acceptant de se porter garant.
  • Remplir les critères vestimentaires (Ceinture, Bas, Chapeau) et physiques (60 points de force et de charisme, 120 d'intelligence, 100 point de réputation) requis pour tout étudiant.
  • Officier dans une Église de Gascogne durant les quatre mois suivants l'accession au statut de Théologien.


------------------IV - De la Justice d'Église

---------A - De l'Officialité Épiscopale et du droit commun

Article IV.A.1 : Le Régnant de Gascogne, comme ses successeurs, s'engage à poursuivre les hérésies sous toutes les formes qu’elles pourraient prendre. Le crime d’hérésie est reconnu comme trouble à l’ordre public car il constitue une atteinte portée contre les fondations de l’autorité ducale et religieuse.

Article IV.A.2 : La Très Sainte Inquisition et les tribunaux inquisitoriaux (ou Officialités) d'Auch, Bordeaux et Bazas sont institués sur le territoire du duché de Gascogne. Les attributs de la Très Sainte Inquisition et des Officialités sont ceux définis par le Droit Canonique de la Sainte Eglise Aristotélicienne Universelle et Romaine.

Article IV.A.3 : Seuls les prélats définis par le Droit Canon sont aptes à présider les tribunaux ecclésiastiques de Gascogne.

Article IV.A.4 bis : De surcroît, les juridictions ecclésiastiques (Officialité et Inquisition) sont reconnues en matière spirituelle et disciplinaire interne au clergé.

Article IV.A.5 : Les tribunaux inquisitoriaux et la Justice d’Église sont compétents dans les cas d’hérésie, de schisme, d’apostasie, d’insulte, de blasphème ou de diffamation envers l’Église, ses institutions, ses membres ou ses enseignements ; de prévarication et de rupture de serment fait sur les Saintes Écritures.

Article IV.A.6 : Les tribunaux religieux feront appliquer les différentes punitions qui leur sont propres et prévues par le Droit Canon à tout prévenu présent en terre de Gascogne, via les services de la vidamie d'Auch et de Bordeaux.

Article IV.A.6 bis : Lorsque les tribunaux ecclésiastiques ne sont pas en mesure de faire appliquer la sentence, le condamné sera déféré devant le tribunal temporel local, et devra se conformer à la sentence prononcée par le juge laïc, elle-même conforme à la demande de la procure ecclésiastique.


Article IV.A.7 : Les tribunaux ecclésiastiques ont préséance sur les tribunaux temporels, les premiers pouvant dessaisir les seconds pour les cas jugés de son ressort. L’action temporelle In Gratebus s'éteint alors ou, si nécessaire, sert de support à l’application de la sentence prononcée par le tribunal religieux.

Article IV.A.8 : Les prévenus peuvent faire appel des décisions des tribunaux inquisitoriaux auprès du Tribunal de la Rote Apostolique et de la Cassation à Rome.

Article IV.A.9 : Les jugements de l'Église en matière matrimoniale prennent effet civil.

Article IV.A.10 : L'ensemble des lieux consacrés selon les rites du culte aristotélicien sur le sol gascon, c'est-à-dire : chapelles, églises, cathédrales, abbayes, monastères et couvents demeurent sous la juridiction de l'Eglise. Toute profanation, parole et action blasphématoire tenues au sein d'un lieu saint pourront faire l’objet d'une poursuite judiciaire devant les officialités épiscopales.

Article IV.A.11 : A la demande de l'Eglise, par la voix d'un de ses éminents représentants, le Duché de Gascogne s'engage à apporter son soutien pour reprendre toute Cathédrale dont l'autorité s'étend en Gascogne, qui aurait été prise par la force par des groupes armées ne représentant pas la Sainte Eglise Romaine.

---------B - Du Droit d'asile

Article IV.B.1 : L’Église se doit d’accorder asile aux malheureux et protection aux réfugiés. Ainsi fait, le domaine du temporel ne saurait avoir d'emprise sur le fidèle réfugié.

Article IV.B.2 : Chaque fidèle pourra trouver asile et soutien dans les églises Gasconnes, en respect du Droit Canon. Toute personne nécessiteuse, affamée, poursuivie, en danger a la possibilité d’utiliser l’anneau du salut, accroché au mur de chacune des églises du Gascogne.

    De plus, une sauveté (ou Salvetat) est établie autour de l'abbaye de Saint Sever (scis sur le fief de Saint Severe). Passées les bornes ou « pyramides de sauveté », le fidèle est sous la protection du Très Haut.

La personne ainsi réfugiée pourra s'en remettre à la protection de l'Église, bénéficier d’une couche, de soins, de repas et par-dessus le tout de préserver son âme.

Casus excepti : Sont exclus de fait de ce droit d’asile : les brigands, malandrins, assassins et hérétiques.
L'évêque concerné statuera sous 24h sur la validité ou non du droit d'asile.

(Res Parendo : demande transmise au curé du village, qui fera suivre à son évêque ou son représentant en cas d’absence (archevêque ou vicaire ou archidiacre)

Article IV.B.3 : Si une institution ou une personne désire se voir remettre le réfugié, elle devra déposer requête auprès de l'archevêque de Bordeaux (si le refuge est l'Église de Mimizan) ou l’évêque de Bazas (si le refuge est l'Église de Bayonne, Dax, Labrit, Mont de Marsan ou la Sauveté) qui statuera sur la validité de cette requête.
Aucune force ou autorité extérieure à l’Église ne pourra pénétrer dans l'enceinte pour prendre possession du réfugié, en vertu du « privilège de l’anneau du salut ».

Article IV.B.4 : La personne ayant reçu asile se devra de remplir quelques conditions : ne pas quitter les propriétés de l'Église Gasconne et travailler pour elle chaque jour que l'asile durera. Si une de ces conditions devait être bafouée, le clerc concerné chassera le fidèle ayant trouvé refuge, le remettant alors sous le joug de ce qu'il a précédemment fuit. (IG : travailler à l'Église et ne pas quitter le village dans lequel on est lorsque l'asile est accepté)


------------------V - Des privilèges de clergie.

Article V.1 : La Gascogne reconnait à l'Église le droit de lever une Garde Épiscopale dans les conditions et selon les termes prévus dans un traité spécifique.

Article V.2 : Les membres de l'Église disposent d'une immunité judiciaire face à la justice temporelle de Gascogne, qui ne peut être levée que par leurs supérieurs sur demande officielle du Duc ou du Régent de Gascogne.
  • Pour l'archevêque de Bordeaux, le primat de France et son équipe primatiale et à défaut l'Assemblée Épiscopale de France.
  • Pour l'évêque de Bazas, l'archevêque d'Auch et à défaut le Primat de France et son conseil primatiale.
  • Pour les Conseillers diocésains de Bazas et Bordeaux, ainsi que les curés gascons, l'évêque dont ils dépendent. A défaut, le Vicaire diocésain de Bazas ou le vicaire général d'Auch,
  • Pour les prêtres étrangers à la Gascogne, L'archevêque de Bordeaux ou l'évêque de Bazas selon le lieu où ils se trouvent.

Article V.3 : En cas de poursuite pour trahison, l'immunité est présumée tacitement levée sans réponse de l'autorité apte à prendre la décision dans les 3 jours suivants la demande du Duc ou du Régent de Gascogne.

Article V.4 : Conscient que si nul n'est censé ignoré la loi, l'erreur reste le propre de l'homme, une mise en accusation d'un Cardinal ne peut donner lieu à sanction ni à résiliation du présent concordat. Toutefois, si le Cardinal accusé, fait mention de l'existence de cette loi et demande l'arrêt des poursuites, le procureur est tenu de demander la relaxe, et le juge tenu de la prononcer, à défaut de quoi ils se rendraient coupable d'hérésie.

Article V.5 : Les membres du clergé ne peuvent en aucun cas se voir interdire de se déplacer en Gascogne. Non combattants, ils ne présentent pas de risque pour la sécurité et ne peuvent donc se voir opposer la fermeture de frontières, le nettoyage des routes ou le siège d'une ville pour leur interdire le passage. De plus, dû à leur engagement d'apporter secours aux démunis malgré les risques, ils ne peuvent non plus se voir interdire le passage pour des raisons sanitaires. Afin d'éviter tout incident, les clercs doivent avertir les autorités de ses déplacements pour pouvoir se prévaloir de cette mesure et en demander le respect à la Gascogne.

Article V.6 : Dans la limite de sa capacité, le Duché de Gascogne s'engage, si les Gardes Épiscopales d'Auch ou de Bordeaux ne sont pas en mesure de le faire, d'escorter les membres du clergé gascon. Les caravanes ainsi constituées ne sont pas tenus de s'éloigner de plus de deux nœuds de la frontière dont un lien direct avec le Prieuré de Sainte Illinda du Rivet.

Article V.7 : La Marine Pontificale bénéficie de cinq jours de gratuité tous les dix jours « glissants » lors de l'accostage simultané de deux de ses navires aux ports de Bayonne et de Mimizan. Le Duché de Gascogne met ainsi à disposition un anneau de chacun de ses Ports à disposition de la Marine Pontificale, sous réserve que des pontons soient disponibles.

Article V.8 : L'accès immédiat des navires de la Marine Pontificale aux ports de Bayonne et de Mimizan peut se faire sur demande de l'Évêque de Bazas, adressée au Chef de port concerné ainsi qu'au Duc de Gascogne. L'Évêque de Bazas s'engage alors à ce que les navires concernés appartiennent officiellement à la Marine Pontificale. Le cas échéant, l'Évêque de Bazas s'expose à des poursuites judiciaires devant le tribunal temporel pour fraude fiscale.

Article V.9 : Afin de faciliter le déplacement de la Marine Pontificale, le Duché de Gascogne s'engage à fournir aux navires Pontificaux les denrées consommables ainsi que les matériaux nécessaires à leurs réparations lorsqu'elles doivent avoir lieu en Gascogne, selon la grille des prix ducale en place, sous réserve de stocks suffisants.


------------------VI - De la révision du présent Concordat

VI.1 Ce Concordat ne peut être modifié ou annulé que par acceptation des deux parties. Chaque partie peut proposer des modifications, à discuter dans les cinq jours suivant la demande, et ils prendront effet après l'approbation conjointe.

------------------VII - Signatures

Pour l'Église aristotélicienne Romaine

Son Eminence

Cardinal-Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle




Son Excellence Monseigneur Aymé von Frayner-Embussy dict UterPendragon
Evêque in Partibus d'Halicarnasse et Protonotaire Apostolique vice-préfet



Son Excellence Monseigneur Robert Etienne de la Rose Noire dict. Scolopius.
Archevêque d'Arles et Secrétaire Apostolique de France



Pour le Duché de Gascogne

Sa Grâce Guillaume IV de Bruck dict Koreldy
Duc de Gascogne






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MessagePosté le: Dim Juin 21, 2015 10:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Ordonnance Achéenne
    Relative aux ornements héraldiques ecclésiastiques.




      Il apparaissait légitime de rassembler les différents éléments héraldiques en une seule et unique
      ordonnance afin d'en rendre la modification éventuelle plus aisée. Nous avons ainsi décidé de supprimer
      toutes les mentions et descriptions héraldiques - notamment du Livre 5 sur le gouvernement suprême de
      l’Église - des différentes parties du Droit Canon. Seuls désormais les ornements ci-dessous présentés,
      ainsi que leurs descriptions feront foi, sauf modifications éventuelles ultérieures émanant de la Chancellerie
      Romaine et des Collèges Héraldiques Pontificaux.



    Le clergé séculier


      - Le Pape

      L'écu est posé sur deux clés passées en sautoir, l'une d'or, l'autre d'argent (Clés de Saint-Titus),
      liées par un cordon de gueules. L'écu est par ailleurs posé sur une croix processionnelle à triple
      traverse (facultative), entouré du pallium, et surmonté de la tiare pontificale à trois couronnes
      d'où pendent deux fanons.


      - Le Cardinal Camerlingue

      L'écu est surmonté d'un chapeau de gueules d'où pendent de chaque côté quinze glands du même
      frangés d'or (1, 2, 3, 4 et 5), et est posé sur une croix processionnelle d'or à double traverse.


        Si le camerlingue est archevêque il ajoute le pallium à ses armes.


      - Les Cardinaux Électeurs

      L'écu est surmonté d'un chapeau de gueules d'où pendent de chaque côté quinze glands (1, 2, 3, 4 et 5)
      et est posé sur une croix processionnelle d'or.


        Si le cardinal électeur est archevêque il ajoute le pallium à ses armes ; s'il est primat,
        il ajoute une travée à la croix processionnelle.
        Si le cardinal électeur est Connétable de Rome, il ajoute une épée et une crosse passées en sautoir
        derrière son écu.


      - Les Cardinaux Suffragants

      L'écu est surmonté d'un chapeau de gueules d'où pendent de chaque côté dix glands (1, 2, 3 et 4) et est
      posé sur une croix processionnelle d'or.


        Si le cardinal suffragant est archevêque il ajoute le pallium à ses armes.
        Si le cardinal suffragant est primat, il ajoute une travée à la croix processionnelle.


      - Les Archevêques Métropolitains

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sinople d'où pendent de chaque côté dix glands (1, 2, 3 et 4), où est
      suspendu le pallium, et est posé sur deux crosses d'or passées en sautoir, la première aristotélicienne, la
      seconde surmontée d'un globe aussi d'or, ainsi que sur une croix processionnelle d'or.


        Si l'archevêque métropolitain est primat, il ajoute une travée à la croix processionnelle.


      - Les Archevêques Suffragants

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sinople d'où pendent de chaque côté dix glands (1, 2, 3 et 4),
      où est suspendu le pallium, et est posé sur une croix processionnelle d'or.


        Si l'archevêque suffragant est primat, il ajoute une travée à la croix processionnelle.


      - Les Évêques Suffragants

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sinople d'où pendent de chaque côté six glands (1, 2 et 3), une mitre
      posée à l'angle dextre, et une crosse d'or posée en barre derrière, ainsi que sur une croix processionnelle d'or.


        Si l'évêque suffragant est primat, il ajoute une travée à la croix processionnelle.


      - Les Vicaires Généraux

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sinople d'où pendent de chaque côté six glands (1, 2 et 3).

      - Les Curés et les Prêtres

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sable d'où pendent de chaque côté 1 gland.



    Les clergé dicastériel


      - Les Préfets d'Offices Romains et le Secrétaire Pontifical

      L'écu est surmonté d'un chapeau violet d'où pendent de chaque côté six glands de gueules (1, 2 et 3).

      - Les Protonotaires Apostoliques

      L'écu est surmonté d'un chapeau violet d'où pendent de chaque côté dix glands (1, 2, 3 et 4).

      - Les Secrétaires Apostoliques

      L'écu est surmonté d'un chapeau violet d'où pendent de chaque côté six glands (1, 2 et 3) et est
      posé sur un bourdon d'argent en pal.


      - Les Nonces Apostoliques

      L'écu est surmonté d'un chapeau violet d'où pendent de chaque côté six glands (1, 2 et 3).

      - Les Prononces Apostoliques

      L'écu est surmonté d'un chapeau violet d'où pendent de chaque côté trois glands (1 et 2).

      - Les Missus Inquisitionis

      L'écu est posé sur une croix pattée affinée et fourchée de sable, liserée d'or, dite « croix inquisitoriale ».



    Le clergé régulier


      - Les Pères Abbés de Monastères et les Recteurs d'Ordres Réguliers Romains

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sable d'où pendent de chaque côté six glands (1, 2 et 3), une
      mitre posée à l'angle dextre, et une crosse d'or posée en barre derrière.


      - Les Grands-Maîtres d'Ordres Militaro-Religieux

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sable d'où pendent de chaque côté six glands (1, 2 et 3).

      - Les Abbés d'Abbayes Secondaires d'Ordres Réguliers Romains

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sable d'où pendent de chaque côté trois glands (1 et 2).

      - Les Grands Prieurs d'Abbayes et de Monastères

      L'écu est surmonté d'un chapeau de sable d'où pendent de chaque côté 2 glands, et est posé sur un
      bourdon d'argent en pal.




    Ordonnance publiée par son éminence le cardinal Aaron de Nagan en sa qualité d'Archichancelier du Saint-Siège
    et de Grand-Officier Héraut des Collèges Héraldiques Romains le XII du mois de juin de l'an de grâce MCDLXIII,
    le vendredi, jour anniversaire de la prise de Troie.




    Aaron de Nagan,
    Cardinal,
    Archichancelier du Saint-Siège,
    Grand-Officier héraut des Collèges Héraldiques Romains.





    Endymion d'Abbadie,
    Cardinal,
    Grand-Audiencier,
    Officier héraut et Préfet des Collèges Héraldiques Romains.




Citation:


    Seminar recognition Aristotelian German, Ordensschule


    Hereby, we, Nono, Deputy Prefect of teaching Aristotelian,
    Metropolitan Archbishop of Tours,
    Special Advisor to the Primate of France ,
    Lord of Fondettes ,


    before the Most High, and in the sight of Aristotle , on behalf of the Congregation for the Dissemination of the Faith


    announce, after thorough study, recognition of Aristotelian German seminarOrdensschule the statutes of the Prefecture.

    Furthermore , we recognize all diplomas issued by this seminar since its inception.


    Pax et Bonum


    Done at Rome on 12 June of the year 1463,



Citation:


    Reconnaissance du séminaire Aristotélicien Allemand, Ordensschule


    Par la présente, Nous, Nono, Vice-Préfet de l'enseignement Aristotélicien,
    Archevêque Métropolitain de Tours,
    Conseiller spécial de la Primat de France,
    Seigneur de Fondettes,


    devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom de la Congrégation pour la Diffusion de la Foy,


    annonçons, après étude approfondie, la reconnaissance du séminaire Aristotélicien Allemand, Ordensschule des statuts de la Préfecture.

    De plus, nous reconnaissons l'ensemble des diplômes donnés par ce séminaire depuis sa création.


    Pax et Bonum


    Fait à Rome le 12 juin de l’an de grâce 1463


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MessagePosté le: Dim Juin 21, 2015 10:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    Cancellation of marriage


    We, the Cardinals of the Holy Aristotelian Church gathered in the Sacred College, in the name of Pope Innocent VIII and under the gaze of Aristotle,


    Have ruled and ordered, and by our present perpetual and definitive edict, say, rule and order the cancellation of the marriage between M.Azzurra and Don_gedrago. This marriage is therefore retroactively null and void. According to the Canon Law, it never existed in the eyes of the Church. All past effects are illegitimate and forever considered so.



    Given in Rome on the XIV day of June in the year of our Lord MCDLXIII




    For the Sacred College of Cardinals,
    Arnault d'Azayes,
    Cardinal Camerlengo




Citation:





    Cancellazione di matrimonio


    Noi, cardinali della Santa Chiesa Aristotelica riuniti in Sacro Collegio, a nome del Papa Innocenzo VIII e sotto lo sguardo di Aristotele,


    Abbiamo deliberato e ordinato, e attraverso questo editto perpetuo e irrevocabile, diciamo, deliberiamo ed ordiniamo la cancellazione del matrimonio tra M.azzurra e Don_gedrago. Questo matrimonio è quindi retroattivamente nullo e non valido. Secondo il diritto canonico, non è mai esistito agli occhi della Chiesa. Tutti i precedenti effetti sono illegittimi e per sempre da considerarsi così.


    Dato a Roma il XIV giorno del mese di giugno dell'anno di grazia MCDLXIII





    Per il Sacro-Collegio dei Cardinali,
    Arnault d'Azayes,
    Cardinal-Camerlengo




Citation:




    Fiat justicia pereat mundus
    Commissionnement





    Nous, Son Éminence Arnault d'Azaye, Marquis d'Ancône, Cardinal romain électeur de la paroisse de Saint Ripolin des Anges, Camerlingue, Archevêque de Bourges, Légiste pontifical, Chancelier de Cyril Kad cardinal d'Azayes,
    En notre qualité de Chancelier de la congrégation de l'Inquisition,




      Commissionnons le missus Zwentibold pour enquêter sur la plainte déposée par le sire Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie. Dépouillons d'autorité toute officialité, tout inquisiteur ou tout autre institution ecclésiastique ou clerc enquêtant déjà sur ladite plainte.




    En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée à Rome le seizième jour du mois de juin de l'an d'Horace MCDLXII, sous le pontificat de SS Innocent VIII.
---------------------------------

Citation:




    Fiat justicia pereat mundus
    Commissionnement





    Nous, Son Éminence Arnault d'Azaye, Marquis d'Ancône, Cardinal romain électeur de la paroisse de Saint Ripolin des Anges, Camerlingue, Archevêque de Bourges, Légiste pontifical, Chancelier de Cyril Kad cardinal d'Azayes,
    En notre qualité de Chancelier de la congrégation de l'Inquisition,




      Commissionnons le missus David de Saint-Bertrand pour enquêter sur la plainte déposée par Sa Grâce Exaltation Lablanche d'Abancourt. Dépouillons d'autorité toute officialité, tout inquisiteur ou tout autre institution ecclésiastique ou clerc enquêtant déjà sur ladite plainte.




    En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée à Rome le vingt-et-unième jour du mois de juin de l'an d'Horace MCDLXII, sous le pontificat de SS Innocent VIII.
---------------------------------
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MessagePosté le: Mer Juil 01, 2015 11:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Fuego2806 a écrit:
La Guardia Episcopale


    "Nella rettitudine delle proprie azioni e nel coraggio di tutelare coloro che non sanno difendersi

              risiede il senso del nostro lavoro e della nostra vita.”



Reclutamento


La Guardia Episcopale è il braccio armato della Chiesa Aristotelica.
A differenza di altri Ordini Militari a tendenza aristotelica, la Guardia Episcopale è la Santa Armata per eccellenza.
L'invito è rivolto a tutti coloro che sentono il bisogno mettere la propria vita e la propria spada al servizio di Bene Superiore.
La Guardia Episcopale non è un esercito tradizionale. E' un corpo d'élite sui generis e volontario.
Può costituirsi in esercito, ma solo in caso di chiamata alle armi da parte della Chiesa.



CONDIZIONI:

- Essere Battezzato
- Essere incensurato
- Non ricoprire incarichi pubblici

- Non fare politica
- Non appartenere ad alcun altro ordine militare (escluse milizie/gendarmerie o altri ordini riconosciuti dalla Chiesa Aristotelica)



SERVIZI:

- Scorta armata a prelati e uomini di Chiesa
- Scorta ai fedeli aristotelici bisognosi di aiuto
- Servizio militare alla Chiesa (Crociate, difesa degli Stati Aristotelici e delle loro città...)
- Servizi umanitari.



All'interno della Guardia Episcopale,ognuno può ricoprire il ruolo che gli compete,a seconda del proprio livello, delle proprie conoscenze e dei propri studi.

I nostri settori sono:

- Medico
- Investigativo
- Religioso
- Militare e Intendenza

La Guardia Episcopale vi attende ed e' pronto ad accogliere ogni vostra domanda presso la sua Roccaforte

Fatto a Roma, fortezza di San Michele Arcangelo, l'undicesimo giorno del mese di Gennaio dell'anno del Signore MCDLXIII




Citation:
http://garde.forums-actifs.com/f192-posto-di-guardia


Catriona Delacroix a écrit:
            The Episcopal Guard



    "In righteous actions and courage to protect those who cannot defend themselves

              lies the meaning of our work and our lives.”



Recruitment


The Episcopal Guard is the armed wing of the Aristotelian Church.

Unlike other Military Orders which may follow Aristotelianism, the Episcopal Guard is the Holy Army of honour.
The invitation is open to all those who feel the need to put their life and sword in service of the Greater Good.
The Episcopal Guard is not a traditional army. It is an elite corps of volunteers.
It can be formed into an army, but only in the event of a call to arms by the Church.



TERMS:

- Be baptized
- Hold a clean record
- Not hold a public office

- No political involvement
- Not belong to any other military order (except militia / constabulary or other orders recognized by the Aristotelian Church)



SERVICES:

- Armed escort to prelates and clergy
- Escort to the Aristotelian faithful in need of help
- Military service to the Church (the Crusades, the defense of Aristotelians and their cities ​​...)
- Humanitarian Services.



Within the Episcopal Guard, anyone can follow the path most suited to them, depending on their level, knowledge and studies.


Our areas are:

- Medical
- Investigation
- Religious
- Military and Administration


The Episcopal Guard is waiting for you and and is ready to receive your application at its stronghold

Given in Rome, at the fortress of San Michele Arcangelo, the eleventh day of January of the year of the Lord MCDLXIII




Napoleone87 a écrit:
            Die Bischofswache



    "In der Rechtschaffenheit ihrer Handlungen und in den Mut, um die, die sich nicht wehren können, sich zu beschützen

              da liegt die Bedeutung unserer Arbeit und unserem Leben. "



Einberufung


Die Bischofswache ist der bewaffnete Arm der Aristotelische Kirche
Im Gegensatz zuanderen aristotelischen MilitärOrden ,Die Bischofswache ist Der Heilige Armeepar excellence.
Die Einladung richtet sich an alle, die die Notwendigkeit, ihr Leben und sein Schwert in den Dienst des Allgemeinwohl gestellt fühlen.
Die Bischofswache ist kein traditionelles Armee. Es ist ein Elitekorps sui generis und freiwillig.
Es kann sich als Armee anzubauen, aber nur im Falle eines Ruf zu den Waffen zur seite der Kirche.



BEDINGUNGEN:

- getauft sein
- tadellos
- Keine öffentliches Amt bekleiden

- Keine Politik vornehmen
- Keine zugehörigkeit an einem anderen militärischen Ordnung
(sind ausgeschlossen der Miliz (Garde) / Gendarmerie oder anderen Aufträgen die von der aristotelischen Kirche anerkannt sind)




DIENSTEN:

- bewaffnete Eskorte für Prälaten und Kirchenleuten
- Escort an die Gläubigen aristotelischen Bedürftigen
- Militär-Dienst an der Kirche (der Kreuzzüge, der Verteidigung der aristotelischenStaats und ihre Städte ...)
- Humanitärien Dienstleistungen



Innerhalb der Bischofsgarde, jede kann eine bestimmte Rolle bekleiden, nach ihre kompetenz und nach Kenntnisstand ihren Studien.

Unsere Bereichen sind:

- Medizinisch
- Investigative
- Religiöse
- Militärisch und Behördlich

Die Bischofswache wartet auf euch und ist bereit euere Fragen aufzunehmen an seine Hochburg

in Rom Geschehen ,
Hochburg von Hl. Michael Erzengel,
dem elften Tag des Monats Januar des Jahres des Herrn MCDLXIII



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MessagePosté le: Mer Juil 01, 2015 11:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:




Envie d'écrire et d'aider à consolider le Saint Dogme Aristotélicien?
Intéressé de participer aux débats théologiques ?
Vous souhaitez figurer parmi les grands noms de la Bibliothèque Romaine ?


Alors rejoignez le Saint Office !

La Congrégation du Saint Office est la gardienne de l'incommensurable sagesse contenue dans les Saintes Ecritures, ainsi que la promotricer de la cause des Saints de l'Eglise Universelle.

N’hésitez pas à envoyer votre candidature à Gregy !

Vous n'avez besoin que de la preuve du baptême, une maîtrise correcte du français et surtout UNE GRANDE MOTIVATION ! Une licence de théologie est aussi un avantage.

Devenez scripteur !
... et pourquoi pas Théologue du Cénacle un jour ?


Citation:





Desire to write and to help consolidate the Holy Aristotelian Dogma?
Interested to participate in the theological debates?
Do you want to be among the great names of the Roman Library?


Then join the Holy Office!

The Congregation of the Saints Office is the guardian of the immeasurable wisdom contained in the scriptures, and the promoter of the causes of Saints of the Universal Church.

Do not hesitate to send your application to Gregy !

You only need the evidence of your baptism, proper knowledge of English and especially A GREAT MOTIVATION! A license on theology is also an advantage.

Become a writer!
... and maybe a Theologian of the Coterie one day??




Citation:





Vuoi scrivere e contribuire a consolidare il Santo dogma aristotelico?
Ti interessa di partecipare a dibattiti teologici?
Desideri figurare tra i grandi nomi della Biblioteca romana?


Allora unisciti al Sant'Uffizio!

La Congregazione del Sant'Uffizio è la custode della saggezza incommensurabile contenuta nelle Scritture, così come la promotrice delle Cause dei Santi della Chiesa universale.

Non esitare a inviare la tua candidatura a Gregy !

Non hai bisogno di altro che della prova del battesimo, una corretta conoscenza della lingua italiana e soprattutto UNA GRANDE MOTIVAZIONE! Una licenza in teologia è anche un vantaggio.

Diventa uno scrittore!
... e forse un giorno Teologo del Cenacolo!




Citation:





¿Quieres escribir y ayudar a consolidar el Santo Dogma Aristotélico?
¿Interesado en participar en debates teológicos?
¿Quieres ser uno de los grandes nombres de la Biblioteca Romana?


¡ Ingrese al Santo Oficio !

La Congregación del Santo Oficio es la guardiana de la sabiduría inconmensurable contenida en las Escrituras, y la promotora de las causas de la Santa Iglesia Universal.


¡ No dude en enviar su solicitud a Gregy !

¡Sólo necesitas la prueba de su bautismo, un conocimiento correcto del español y sobre todo UNA GRAN MOTIVACIÓN! Una licencia in teología es también una ventaja.

¡ Conviértase en un escritor !

... y tal vez seas Teólogo del Cenáculo algún día !



Citation:




    Au nom de la Congrégation du Saint-Office romain,
    Nous, cardinaux-Chanceliers ;

    Faisons annonce de recrutement de plusieurs scripteurs pour mener a bien les différents travaux de créations, corrections et traductions de l'office.

    Nous acceptons la candidature des fidèles ou membres du clergé qui auront suivi un séminaire de théologie et qui se seront illustrés par leur excellence intellectuelle, ou pour leur connaissance aboutie du Très Saint et Très Véridique dogme de la Sancte Eglise Aristotélicienne, Universelle, et Romaine.
    Les candidats seront également admis pour leur qualité plurilinguistique et leur volonté de se former auprès des chanceliers a devenir des théologiens avertis .


    Fait à Rome le jour 23 du mois de Juin de l’an de grâce ,MCDLXIII sous le pontificat de Sa Sainteté Innocentus.




    Pour le Saint Office; Ses Excellences Gregy et Angelo de Montemayor





Citation:




    On behalf of the Congregation of the Roman Inquisition,
    We cardinal-Chancellors;

    Announce the recruitment of several writers to carry through the various works of creation, corrections and translations of the Office.

    We accept the application of the faithful and the clergy who have completed a theological seminary and which will be illustrated by their intellectual excellence or for their successful knowledge of the Most Holy and Most Truthful dogma of the Universal and Roman Saint Aristotelian Church,
    Applicants will also be accepted for their multi-linguistic quality and their willingness to learn from the Chancellors has become knowledgeable theologians.


    Done at Rome the day 23 of June in the year of grace, MCDLXIII under the pontificate of His Holiness Innocentus.




    For the Holy Office; Their Excellencies Gregy and Angelo of Montemayor



Citation:




    En nombre de la Congregación del Santo Oficio,
    Nosotros los cardenales-Cancilleres;

    Anunciamos el recrutamiento de varios scriptores para llevar a cabo varias tareas de creación, correcciones y traducciones de la Oficina.

    Aceptamos la candidatura de los fieles y del clero que han completado un seminario teológico y que se han ilustrados por su excelencia intelectual o por su gran conocimiento del Santísimo y muy veraz dogma de la Santa Iglesia aristotélica, Universal y romana.
    Los solicitantes también serán aceptadas por su calidad multi-lingüística y su disposición a aprender de los Cancilleres con fin de convertirse en teólogos expertos.


    Hecho en Roma, el día 23 de Junio en el año de gracia, MCDLXIII bajo el pontificado de Su Santidad Innocentus.




    Para el Santo Oficio; Sus Excelencias Gregy y Angelo de Montemayor



_________________
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MessagePosté le: Mer Juil 01, 2015 11:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:





    A l'universalité des fidèles,
    A Angélyque de la Mirandole
    ,


    « L’Ordonnance sur la Liberté de conscience des Provinces », puis la lettre du 2 avril qui a suivi, ont provoqués stupeur et émoi légitime dans le monde aristotélicien. Ils ont été perçus comme des attaques incompréhensibles contre la Sainte Eglise et la foy aristotélicienne, et comme une ingérence sans précédent du pouvoir temporel dans le champ spirituel. A cela s'ajoute des attaques incessantes et des insultes à l'égard de l’Église et de ses représentants de la part de la souveraine sans que nous n'en ayons jamais compris les raisons.

    Nous avons demandé à plusieurs reprises à pouvoir engager un dialogue avec la reine de France. Nous avions expliqué, dans un texte publié le 23 mars, en quoi cette ordonnance s'oppose au dogme et à la doctrine aristotélicienne, et contient également en son sein une foultitude de contradictions de nature à semer la discorde dans tout le royaume. A chaque fois, la porte nous fut fermée et un refus total de discuter nous fut opposé. Nous avions pourtant signifié notre ouverture au dialogue, au consensus, et souligné que nous étions prêt à entendre toutes les doléances si les nôtres, par un respect mutuel, étaient également entendues dans un esprit de juste réciprocité. Nous étions d'ailleurs près à faire de nombreuses concessions pour arriver à un accord satisfaisant pour tous.

    L’Église a donc été mise bien malgré elle au pied du mur. On ne pourrait comprendre qu'Elle reste silencieuse alors que la foy aristotélicienne est si durement attaquée. Toutefois, là encore l’Église a voulu faire preuve de modération. Nous avons pris le temps de la réflexion afin d'apaiser les passions et les tensions. C'est pourquoi une commission spéciale à été convoquée afin de mener une étude sur les éventuels égarements d'Angélyque de la Mirandole en matière de foy, composée d'éminents évêques français et membres d'ordres réguliers monastiques. Nous avons ainsi voulu nous dégager par précaution de toute accusation de parti pris comme il nous l'a été souvent faussement reproché par la souveraine française.

    Le rapport, cité en annexe du présent texte, affirme que les ordonnances et discours cités s'opposent à la foy aristotélicienne, la foy de l'immense majorité des français, la foy de la Reine de France. L’Église se trouve donc dans une situation difficile. La situation spirituelle d'Angélyque est, au jour d'aujourd'hui, d'être relaps. Mais comme pour tout fidèle, nous souhaitons tout entreprendre pour sauver la situation avant que de constater Angélyque de la Mirandole, relaps.

    Aussi, nous réitérons à nouveau notre demande à Angélyque de suspendre l'ordonnance, le temps d'entamer une rencontre avec nous afin de pouvoir normaliser la situation, qui puisse cette fois-ci faire consensus entre tous, et surtout demeurer conforme à la foy et aux doctrines. Nous réitérons également notre totale ouverture au dialogue et à la négociation, et sommes prêt à faire des concessions. Nous ne pouvons que prier pour que le même état d'esprit anime Angélyque.

    On a souvent accusé à tord l’Église de s'immiscer dans le temporel. Celle-ci a pris soin qu'aucune de ses actions ne puisse laisser penser qu'elle souhaiterait s'ingérer dans les affaires politiques des Royaumes. D'aucun y ont parfois vu une volonté de l’Église d'avoir son mot à dire dans le choix des feudataires du Royaume de France. Il n'en est rien, et le Sacré-Collège des cardinaux tenait à le préciser à nouveau. L’Église édicte simplement des règles au regard de la foi et de la conduite spirituelle à adopter par les fidèles. L'ordre temporel met en place d'autres règles. Dans de très rares cas, ces deux règles se contredisent malheureusement. Ainsi la Commission épiscopale constate que la Reine dans ses propos, use des liens vassaliques pour justifier la liberté religieuse qui est laissée au choix du feudataire, et l'impossibilité pour elle de soutenir la seule et unique vraie foi, ce qui est regrettable.

    On a souvent accusé l’Église de refuser son pardon. Celle-ci a pourtant levé les excommunications de ceux qui le demandait, contrit, pardonnant ainsi à tout ceux qui s'étaient attaqués à elle par le passé, y compris Angélyque elle-même. On a souvent accusé l’Église d'être fermée au dialogue. Celle-ci n'a cessée d’appeler à la paix, au dialogue et à la concorde, dans tous les domaines, alors que certains ne cessaient d’encourager à la haine, à la guerre, et à l'unilatéralisme.

    L’Église a, de bout en bout, montré un visage ouvert aux débats, fait de compréhension et de pardon, même envers ceux qui n'ont cessés de l'offenser et de s'attaquer à elle. Nous avons répété à maintes reprises notre volonté d'ouverture, si tant est qu'il était simplement accepté de nous rencontrer et de dialoguer avec nous dans l'esprit de concorde qui nous est si cher. Nous ne voyons, malheureusement, ce que nous pouvons faire de plus que prier pour qu'enfin la raison et le dialogue l'emportent.

    Ainsi donc, nous admonestons, prions et exhortons Angélyque de la Mirandole de revenir sur les propos définis comme hérétique par la commission épiscopale et revenir ainsi au serment de repentance qu'elle a prononcé il y a de cela quelque mois en place Saint-Titus par devant les représentants de l'Eglise et le peuple des fidèles.



    Fait à Rome, le vingt-sixième jour du mois de juin de l’an de grâce MCDLXIII de notre Seigneur.




    Pour le Sacré Collège des Cardinaux,
    Fenice Maria Helena Deversi-Aslan Borgia, Cardinal-Archidiacre de Rome.



Citation:




      Commission apostolique: conclusions générales

      Monseigneur David de Sent- Bertran, archevêque de Rouen et recteur de l'Ordre grégorien, Monseigneur Onaël d'Appérault, archevêque de Malines et recteur de l'Ordre lescurien, Monseigneur Alboin de Valyria, recteur de l'Ordre thomiste, commissaires apostoliques français sous mandat curial, au Sacré-Collège des cardinaux de la l'Eglise aristotélicienne, une, saincte, apostolique et romaine: Salut et dilection.


    Après le minutieux examen de l'ordonnance royale dicte du Mans, proclamée le dix-neuvième de février de de l'An MCDLXIII, et de la lettre publique de la Reine de France, adressée au Sacré-Collège, et portée à la connaissance publique le second d'avril de l'an MCDLXIII.
    Après avoir consciencieusement pesé ces proclamations et déclarations publiques de la Reine de France, avec les dogme et doctrine de notre Saincte Eglise.

    Après avoir considéré avec attention les pratiques et comportements de la Reine de France relativement à ses devoirs de Fidèle depuis sa réintégration dans la Communauté.

    Avons déterminé que la dicte Reine de France, Angelyque de la Mirandole, est hérétique, hérésiarque et relaps.
    Estimons ainsi acquittée la mission et du mandat que nous a confié le Sacré-Collège pour déterminer du statut d'Angelyque de la Mirandole.

    Remettons nos conclusions définitives au Sacré-Collège, quant aux crimes de foi dont la dicte hérétique, hérésiarque et relaps s'est rendue responsable depuis sa réintégration dans la Communauté des Fidèles:

      Complicité et promotion d'hérésie, et protection des hétérodoxies, par le moyen des liens vassaliques.

      Zèle en faveur des hérésies et hétérodoxies en proclament défendre la légitimité des unions non consacrées au sein de l'Eglise apostolique romaine.

      Apostasie consécutive puisque tout Fidèle de la Sainte Eglise professe croire en la force exclusive des sacrements aristotéliciens.

      Hérésie consécutive consistant à nier la force exclusive des sacrements aristotéliciens et à affirmer la légitimité des unions non consacrées, alors que la Sainte doctrine interdit le mariage civil par la bulle Matrimonium Prohibitem du 25 novembre 1455.

      Hérésie consécutive consistant à nier l'autorité de l'Eglise à édicter la doctrine, c'est-à-dire à préserver et enseigner le dogme et ses principes, et à prétendre cette autorité aux mains de la Couronne de France, en faisant le détenteur chef de cette hérésie.

      Hérésie consécutive consistant à nier l'autorité exclusive de l'Eglise à juger de la validité et légitimité d'une union et à administrer les sacrements, que Christos remit pourtant à la charge du Pape et de ses apôtres, et à prétendre cette autorité aux mains de la Couronne de France, dont le détenteur devient alors chef de cette hérésie.

      Hérésie consistant à prétendre la Couronne de France autorité supérieure dans l'administration du culte et sa discipline; le détenteur en est aussi conséquemment hérésiarque.

      Hérésie consistant en la négation absolue de la légitimité du Droit Canon a s'appliquer à tous les Fidèles de la Sainte Eglise, et par conséquent à nier l'autorité apostolique.

      Hérésie consistant en l'affirmation que la Couronne de France, le pouvoir temporel, dispose de l'autorité spirituelle et que la seconde découle de la première au motif de la Souveraineté temporelle, et que l'autorité spirituelle n'existe pas en dehors de la puissance temporelle qui la fonde, y consent et la dirige.

      Adhésion consécutive à la croyance fondamentale de la Bête Sans Nom, affirmant que le plus fort doit dominer le plus faible, et donc que c'est la puissance temporelle qui fonde l'autorité spirituelle et non l'autorité spirituelle qui consent à la puissance temporelle et la légitime.

      Hérésie consistant à affirmer que le dogme est inférieur au droit temporel, revenant ainsi à prétendre la supériorité du temporel sur le spirituel, et l'infériorité de Dieu sur Sa Création.

      Hérésie du libre examen, et protection du libre examen par le rejet de l'autorité apostolique et pontificale, et la bienveillance et défense du pouvoir temporel qui s'en fait l'arbitre, le garant et dont le détenteur est ainsi hérésiarque.

      Hétérodoxie anti-aristotélicienne consistant à nier que l'Eglise apostolique soit dépositaire de la Révélation, seule Vérité.

      Hérésie consistant à nier l'unicité du dogme.

      Hérésie consistant à nier l'intercession du clergé dans l'absolution divine, faisant de l'absolution sacramentelle un pardon d'ordre terrestre et temporel, sans force spirituelle ou sacramentelle.

      Blasphèmes nombreux, confirmés et répétés, affirmant notamment comme inspirés de Dieu, Ses Prophètes et des Saints, les hérésies professées dans l'ordonnance du Mans et la lettre publique du second d'avril MCDLXIII.

      Relaps dans l'hérésie, après avoir abjuré ces croyances fausses en professant une adhésion pleine et entière au Credo de notre Sainte Eglise et en renouvelant les serments baptismaux, et en agissant, professant et pratiquant néanmoins des doctrines fausses et hérétiques:
      En instituant pour loi des hérésies dans le royaume de France,
      En proclamant publiquement et entièrement la croyance et l'adhésion à ces hérésies,
      En persistant à prétendre valide et sanctifiée une union illégitime, contractée sous l'infamie de la bigamie dans un culte hérétique avant d'avoir été réintégrée dans la Communauté.


    Puisse le Sacré-Collège bénéficier de nos efforts, obéissance et diligence en rendant promptement son jugement définitif sur le statut d'Angelyque de la Mirandole.
    Joignons à la présente l'examen détaillé de l'ordonnance dicte du Mans et de la lettre publique du second d'avril MDCLXIII.


      Ad Majorem Dei Gloriam

      Faict à Rome, le XXVIII de mai MCDLXIII, sous la direction des commissaires apostoliques Mgrs David, Onaël et Alboin, signé et scellé par iceux.













Citation:




      Commission apostolique: rapport sur l'Ordonnance du Mans

      Monseigneur David de Sent- Bertran, archevêque de Rouen et recteur de l'Ordre grégorien, Monseigneur Onaël d'Appérault, archevêque de Malines et recteur de l'Ordre lescurien, Monseigneur Alboin de Valyria, recteur de l'Ordre thomiste, commissaires apostoliques français sous mandat curial, au Sacré-Collège des cardinaux de la l'Eglise aristotélicienne, une, saincte, apostolique et romaine: Salut et dilection.


    Vous présentons notre rapport sur l'examen de l'ordonnance du Mans, publiée le 19 février MCDLXIII.

    Pour bien structurer notre argumentaire, nous procéderons par parties en commençant, paradoxalement, par étudier la seconde pour éclairer l'examen de la première.


Citation:
Aussi, si la Couronne de France reste maître de sa diplomatie envers les autorités spirituelles, elle tient à confirmer & à officialiser les faits & actes passés à la Coutume depuis le règne de feue Sa Majesté Eusaias de Blanc-Combaz, en ce que chaque Province Vassale du Royaume de France se voit désormais officiellement dotée du libre droit de reconnaître sur son territoire la politique religieuse la plus adaptée à ses traditions, coutumes, valeurs, & intérêts. De fait, la Couronne de France devant équité à tous les nobles du Royaume sur des critères à la fois objectifs & légaux, leur permet au travers de la présente ordonnance de se faire les uniques maîtres de leur choix en ce qui concerne leur rapport à la transcendance.


    Le lien de vassalité implique le devoir de protection. Il en ressort que si des vassaux de la Couronne déterminent de leur volonté d'imposer un culte hérétique, la Couronne les protège. C'est effectivement le cas. Il y a cas patent de complicité d'hérésie.
    Ici, le détenteur de la Couronne se fait
    defensores et celatores.


Citation:
En conséquence, la Couronne de France annonce reconnaître comme valides toutes les unions célébrées par un membre du culte [Curé ou Évêque IG] en place et reconnu par le pouvoir légitime de la province vassale qui l'abrite.
Cette reconnaissance se fera sur la base d'un document officiel portant scel de la Province, portée à la connaissance des institutions royales via le Conseil des Grands Feudataires.


    Apostasie caractérisée. Cela consiste à prétendre que des mariages hérétiques sont des unions légitimes et consacrées, alors qu'un fidèle proclame croire aux sacrements de l'Eglise aristotélicienne à chaque fois qu'il prononce le Credo.
    Le détenteur de la Couronne se fait
    suspects.

    Cela entraîne aussi une négation de l'autorité exclusive de l'Eglise à remettre les sacrements, et par conséquent constitue une hérésie.
    Le détenteur de la Couronne se fait
    hérétique.

    Cela semble aussi indiquer que la Couronne est seule fondée à déterminer de la validité d'un mariage sur le plan sacramentel en plus du plan civil. La seule affirmation de validité civile d'un mariage non consacré dans la foi universelle et véritable est d'ailleurs une violation caractérisée du Droit Canon et une violation de la Saincte doctrine.
    Le détenteur de la Couronne se fait donc hérétique par négation de l'autorité de l'Eglise a édicté la doctrine.



Citation:
Ainsi, hors de la foi Aristotélicienne Romaine, seuls les actes exécutés par les membres d'un culte sous le témoignage d'un Officier Royal (Secrétaire d'État, ou à défaut Héraut d'Armes) pourront prétendre à considération au-devant des institutions du Royaume.


    Cela confirme la prétention à reconnaître comme légitimes et consacrées des unions hérétiques, et déclare que c'est la Couronne seule, par le biais de ses officier, qui fait cette détermination de reconnaissance, confirmant la protection et la complicité d'hérésie.


Citation:
En vue de prévenir les abus et les unions trop hâtives qui ne seraient mûrement réfléchies, la Hérauderie Royale ne considèrera comme valide aucune annulation ou dissolution certifiée par une autre confession que celle qui a officialisé l'union avant un délai de six mois à dater de la dite union. Aussi aucun Officier Royal (Secrétaire d'État, ou à défaut Héraut d'Armes) ne se fera témoin d'une annulation ou dissolution de mariage avant ce délai de six mois.


    Cela confirme la prétention à reconnaître comme légitimes et consacrées des unions hérétiques sous protection et avec complicité de la Couronne, et va au delà en prétendant explicitement ce qui était jusque là sous entendu, à savoir que la Couronne seule détermine de la validité et existence d'un sacrement en place des saints dogme et doctrine. Ce qui est une hérésie.
    Le détenteur de la Couronne se fait
    hérésiarque, chef d'une hérésie.



    A la lumière de ces éléments, nous pouvons examiner la première partie de l'ordonnance de manière plus informée et éclairée:


Citation:
Sous la guidance du Très-Haut et de son incommensurable sagesse, soutenu par Aristote et Christos, puisse leur grande clairvoyance en aiguiller d’autres comme elle aiguille chaque jour Notre esprit, inspirée par Saint Bynarr mais aussi Saint Ânani Mhour qui Nous soufflent Nos mots & guident nos pas,

Proclamons l'Ordonnance relative à la liberté de conscience des Provinces Vassales.


    Attendu les prétentions et croyances hérétiques et complices d'hérésies de la dicte ordonnance, ces affirmations téméraires deviennent blasphème caractérisé et aveu d'autorité sur l'hérésie.
    Le détenteur de la Couronne se confirme
    hérésiarque.


Citation:
Nous ne saurons ignorer que la France est née d'un pacte avec les Cieux depuis mille ans, et que plus encore depuis notre Très Sainte Jeanne, en tant qu'héritière du Logos Grec, sa mission est de porter la croix. Aussi, sous notre lumineuse égide, nous entendons à ce que le Domaine Royal reste fidèle à la foi Romaine qui l'a vu naître en abritant en ses cures et évêchés [IG] uniquement des clercs reconnus par Rome. Aussi, il est normal que nous nous montrions particulièrement attentive à l'assiduité des clercs du Domaine Royal en ce qui concerne leurs charges auprès de leurs ouailles qui n'en sont pas moins nos sujets, tout en garantissant à ces derniers, pleine & entière liberté de conscience sur notre Domaine. Mais le Royaume de France est aussi ce lien pérenne et indéfectible qui nous unit aux provinces vassales, incluant le respect de leurs traditions, de leur culture, de leurs valeurs, et qui fondent leur autonomie. En tant que Très Aristotélicienne Reyne de France, il relève de nos devoirs de toujours combattre l'hérésie. Nous le ferons par l'exemplarité Aristotélicienne. Toujours. Mais par la menace jamais.


    A la lumière des prétentions de l'ordonnance à faire de la Couronne la seule autorité propre à déterminer de la validité d'un sacrement, il est clair que ce passage indique que l'"égide" royale est entendue comme la subordination du clergé du Domaine royal à la Couronne, dans le domaine spirituel. Cela est confirmé par la prétention de la Couronne a contrôler l'assiduité des clercs du Domaine royal, indiquant que la Couronne prétend assurer elle-même la discipline ecclésiastique en place de l'Eglise apostolique, niant donc l'autorité d'icelle; à nouveau, prétention hérétique.
    Le détenteur de la Couronne se confirme
    hérésiarque.

    Par ailleurs, la pleine & entière liberté de conscience garantie par la Couronne doit manifestement se comprendre comme la prétention de la Couronne à soustraire les hérétiques et autres hétérodoxes à la justice d'Eglise sur le Domaine royal.
    Le détenteur de la Couronne se fait
    receptores.



Citation:
À ce titre, nous tenons à rappeler à l'ensemble de nos vassaux Grands Feudataires que que selon l’article 1.3.2 de la Grande Charte du Royaume de France, les provinces vassales, contrairement aux provinces du Domaine Royal qui dépendent de notre autorité, peuvent librement choisir de se doter d’un Concordat auprès d'une autorité religieuse ou de ne pas s’en doter. Nul ne saurait se sentir en droit de leur imposer un quelconque dogme, bien que nous les encouragions vivement à vivre et à régner selon les préceptes du rite, du dogme, du culte Aristotélicien & Romain. Nous rappelons enfin que les traités diplomatiques, que sont les concordats, peuvent être révoqués unilatéralement, selon le bon sens et comme l'explicite le droit royal depuis le 17 août 1459 et que toute disposition contraire est de facto considérée comme nulle de plein droit.


    Affirme la supériorité du droit royal sur le droit canon, et surtout la subordination du droit canon au droit royal, confirmant la volonté de subordination du clergé au pouvoir royal. Ce qui revient à prétendre le Droit Canon comme issu du droit royal, et le clergé comme issu du pouvoir temporel puisque c'est lui qui doit consentir à l'un, et à l'autre.
    Cas patenté d'inversion des valeurs aristotéliciennes, qui affirment que le pouvoir temporel n'existe que par consentement divin.

    Cela consiste d'ailleurs à affirmer que l'autorité spirituelle est détenue par ou soumise à la Couronne, parce qu'elle détient le pouvoir temporel. Autrement dit, à affirmer que le plus fort doit dominer le plus faible, erreur originelle de la Bête Sans Nom.

    A nouveau, le détenteur de la Couronne se confirme hérésiarque.


Citation:
Car ainsi nous l'avons décidé et parce que tel est notre bon plaisir.


    Aveu de responsabilité de l'ordonnance et d'adhésion à tout ce qu'elle contient.
    Le détenteur de la Couronne se revendique hérésiarque.



    Nous rappelons, pour préciser les termes, les distinctions établies par le Droit Canon pour les suspects d'hérésie, au Livre 4 [i]In medio stat Virtus Partie IV article 12:[/i]


      -Les hérésiarques (les chefs des sectes),
      - Les hérétiques (les fidèles des hérésiarques et adepte de l’hérésie),
      - Les suspects (ceux qui témoignent de zèle pour les hérétiques),
      - Les celatores (ceux qui s’engagent à ne pas dénoncer les hérétiques),
      - Les receptores (ceux qui ont au moins deux fois hébergé des hérétiques pour les protéger, eux ou leur réunion),
      - Les defensores (ceux qui prennent la défense des hérétiques en parole ou en acte contre l'Inquisition),
      - Les relaps (ceux qui après avoir abjuré retombent dans l'erreur).


    Tous les cas sont ici réunis, concernant l'actuel détenteur et émetteur de l'ordonnance considérée: Angelyque de la Mirandole.
    Attendu qu'elle fut par le passé excommuniée pour avoir affirmé la subordination de l'autorité spirituelle au pouvoir temporel, notamment en Bourgogne où elle imposa militairement l'usurpation de la cathèdre d'Autun, combattit la Croisade contre Eusaias Blanc-Combaz et persécuta le clergé, entre autres choses... Angelyque de la Mirandole, reine de France, est aussi relaps.


      Ad Majorem Dei Gloriam

      Etabli à Rome, le XXVIII de mai MCDLXIII, sous la direction des commissaires apostoliques Mgrs David, Onaël et Alboin, visé, signé et scellé par iceux.















Citation:




      Commission apostolique: rapport sur la lettre du second d'avril

      Monseigneur David de Sent- Bertran, archevêque de Rouen et recteur de l'Ordre grégorien, Monseigneur Onaël d'Appérault, archevêque de Malines et recteur de l'Ordre lescurien, Monseigneur Alboin de Valyria, recteur de l'Ordre thomiste, commissaires apostoliques français sous mandat curial, au Sacré-Collège des cardinaux de la l'Eglise aristotélicienne, une, saincte, apostolique et romaine: Salut et dilection.


    Vous présentons notre rapport sur l'analyse de la lettre publique de la Reine de France à la Curie, publié le 2nd d'avril MCDLXIII. Ce rapport fait suite à celui sur l'ordonnance du mans du 19 février MCDLXIII.
    Comme pour l'ordonnance, nous procéderons par analyse systématique du texte.


Citation:
Pour la faire simple, en France, c'est la France qui commande. La France & nul autre. Ce sont donc les lois de la Couronne de France qui s'y appliquent. Nulle autre législation et nul autre État étranger ne saurait se sentir légitimement en droit de nous commander. Dès lors, aucun texte émanant de l’État Pontifical ne saurait jamais disposer d'une quelconque valeur législative supérieure à la législation Française, sur toute l'étendue de notre sol Souverain. La législation de l’État Pontifical, si intéressante et importante soit-elle à Rome, s'arrête aux frontières de son État.


    Confirmation explicite de l'affirmation de la subordination du Droit Canon au Droit royal. Confirmation aussi de la subordination de l'autorité spirituelle au pouvoir temporel, puisque c'est la Couronne qui décide la loi. Pire, la Reine étend ce principe comme un principe universel, en affirmant que tout droit émane nécessairement d'un pouvoir temporel: c'est ce qu'elle affirme très clairement en prétendant que la législation de l'Etat pontifical s'arrête aux frontières de son Etat.
    L'interprétation est claire, ici, car ce courrier fait suite à une remontrance curiale sur le caractère anticanonique des prévisions de l'ordonnance du Mans: c'est donc bien du Droit Canon qu'elle parle sous l'expression trompeuse et destinée à tromper de "législation de l'Etat pontifical".

    Hérésie.


Citation:
Et c'est pourquoi, de la même façon que la France, chaque province et État souverain francophone dispose pour lui de différents moyens en vue de choisir le ou les prélats pouvant occuper les charges ecclésiastiques sises leur territoire. Cette disposition existant depuis un temps considérable, il serait donc appréciable de la part de l’État Pontifical de prendre connaissance de l'information, de la retenir, et de ne pas feindre de l'ignorer. Bien entendu, si d'autres États francophones en dehors des frontières de la France acceptent d'abandonner librement partie ou totalité de leur souveraineté territoriale à l’État Pontifical par traité en bonne et due forme, c'est là leur droit le plus intégral et le plus strict. La France intervient seulement dans les affaires ayant trait aux intérêts supérieurs et vitaux de la France, rien d'autre.


    Confirmation explicite que la Reine entend que la loi du pouvoir temporel doit régir l'autorité spirituelle, et que l'autorité spirituelle est entièrement soumise au consentement du pouvoir temporel, puisque c'est le pouvoir temporel qui décide de l'administration des charges ecclésiastiques.
    Négation, donc, du gouvernement apostolique, et du magistère ecclésiastique.

    Hérésie.

    Confirmation également de l'affirmation prétendant que le Droit Canon est un droit temporel, et non un droit spirituel universel.
    Négation, à nouveau, du magistère ecclésiastique. Négation aussi du caractère unique, indivisible, universel de l'Eglise apostolique romaine.

    Notons que la foi est passée d'un "pacte avec les Cieux" millénaire ayant donné naissance à la France, tel que décrite dans l'ordonnance du Mans, à une question qui n'entre pas dans le champs des "affaires ayant trait aux intérêts supérieurs et vitaux de la France".


Citation:
La France a fait un choix. La France est Amour, car la France accepte profondément la nature humaine de chacun de ses habitants, par delà ses idées, ses différences, ses défauts, ses choix politiques ou religieux. La France ne fait pas de procès en diabolisation en condamnant sans procédure équitable au préalable des personnes qui ont une acception dissemblable des divers courants de pensée qui traversent notre Siècle et notre Royaume. La France ne soulève pas une partie des croyants contre une autre partie en se drapant de manière ridicule du manteau de la paix, au nom du monopole d'une vérité qui est du seul ressort des clercs de notre Église. Les oukases intégristes d’États étrangers qui décident arbitrairement de vouloir mettre au ban du Royaume de France tous ceux qui ne se soumettent pas à leurs exigences, n'ont plus cours en France. Car la France permet à tous d'exister, chacun à la mesure de ses moyens, dans le cadre du respect de la Loi du Royaume, quand bien même leur âme se placerait délibérément dans l'erreur. La France est sincère Amitié. La France aime ses habitants, quels qu'ils soient. La France est riche de sa diversité et de la pluralité de ses opinions. L'idée de la France est Grande car elle permet à tout un chacun de se transcender dans le cadre de son autonomie territoriale. Et c'est pourquoi les représentants de l’État Pontifical, tout comme n'importe qui de n'importe quelle obédience d'où qu'elle vienne et quelle qu'elle soit, ont le droit de séjour en France, dès lors qu'ils respectent la Loi Française et se sentent pleinement en adéquation avec ce qu'est la France en son irréductible nature. C'est aussi simple que cela.


    Confirmation de l'affirmation de la supériorité des lois temporelles sur le Droit Canon, et ce qui s'ensuit tel que décrit précédemment.

    Scandaleuse dénaturation de la notion d'Amitié, qui consisterait, non pas à assurer le salut des âmes au sein de l'Eglise, mais leur perdition en dehors de celle-ci par l'interdiction des mesures destinées à ramener les âmes perdues dans l'Assemblée des Fidèles.

    Hérésie.

    Négation explicite du dépôt de la Révélation, seule Vérité, dans les mains du clergé, et par conséquent négation du dogme et de la Révélation elle-même; désaveu patent du prophète Christos.

    Apostasie patentée et hérésie la plus rebelle.


Citation:
Et c'est pourquoi la France est aussi Pardon. Pardon car la France a amnistié unilatéralement, sans contrepartie, et ce depuis fort longtemps, les traîtres à la Couronne du Royaume qui ont violé l'intégrité de la France au nom d'un État étranger, le vôtre. Car ces hommes et ces femmes, quels que puissent être leurs pêchés et allégeances sont habitants de la France, et que, comme nous le disions, chacun a le droit de se tromper, et a donc le droit par extension à une seconde chance. La France a une grandeur d'âme à nulle autre pareille, et montre à toute l'Europe occidentale l'étendue de sa civilisation éclairée par la foi Aristotélicienne. Nous portons la croix & la raison, car nous sommes la France. Pendant ce temps, que fait l’État Pontifical depuis toutes ces années au sujet des excommunions massives et injustifiées, contre de bons français qui ont servi et continuent de servir la France ? Si votre État considérait réellement des pourparlers dignes de ce nom, cette problématique aurait été un préalable réglé depuis longtemps. Nous attendons, donc, de voir en application le sérieux de votre parole et ce que signifie pour vous « négociations » au delà du sens cosmétique utilisé dans une annonce.


    Négation explicite de la prérogative ecclésiastique d'administrer la justice en matière spirituelle, et par conséquent du magistère ecclésiastique.
    Négation explicite de la Saincte doctrine et du dogme par l'affirmation de l'illégitimité des Croisés à combattre l'hérésie dans laquelle elle avait précédemment professé foi, avant sa réintégration dans la Communauté des Fidèles.

    Hérésie, et hérésie.

    Dénaturation scandaleuse de la notion spirituelle de Pardon, qui doit être selon la Reine unilatéral et inconditionnel, en parfaite contradiction avec le dogme. Car le pardon unilatéral dont il est question est celui de l'absolution et de la réintégration des excommuniés.

    Hérésie.

    Affirmation que ces choses constituent les caractères d'une civilisation éclairée par la foi aristotélicienne.

    Blasphème, et hérésie car cette foi n'est pas celle instituée par les Prophètes.


Citation:
Ainsi, pendant que l’État Pontifical use avec plus ou moins de bonheur du terme de Concorde, la France, elle, met en application ce concept, œuvre pour elle en permettant à tous les habitants de France de vivre dans la dignité et la liberté de conscience, propres à chaque humain par delà les différences, car Dieu a laissé aux Hommes le libre-arbitre. C'est pourquoi, les Princes de l’État Pontifical plutôt que de réclamer vainement quelque autorité que ce soit dans un Royaume qui ne leur appartient pas, devraient plutôt se concentrer sur la tâche naturelle qui incombe à tous ceux se considérant être des autorités morales et religieuses : prêcher des arguments emplis d'aristotélicisme et d'amour, convaincre nos sujets par l'usage de la raison, convaincre par des actes de Foi, s'occuper enfin de nouveau des âmes plutôt que de prétendre commander les corps par la peur, par de grossiers amalgames, par la haine et l'ignorance. À cet égard, peut être serait-il temps de vous questionner sur le mal que vous pouvez faire au message aristotélicien lorsque vous vous taillez des clientèles politiques par la distribution de principautés au sein de la même caste de cardinaux, pendant que les sans grades se demandent où est la décence et l'humilité des prétendus Hommes d’Église qui s'éloignent par là de beaucoup des exemples innombrables que nous ont laissé les Écritures ?


    Prétention de la Reine à édicter la doctrine en place du clergé, attentant par là au dogme. Ainsi, affirmation que le libre-arbitre implique l'absence d'autorité spirituelle, entre autres.

    Hérésie.


Citation:
Ces comportements choquent profondément de nombreux curés de province, des évêques, tout autant que la communauté française dans son ensemble. La douleur et l'indignation sont profondes. Ce malaise explique en grande partie pourquoi tant de personnes se sont écartées et continuent de se détourner toujours plus nombreuses de votre parole devenue pour beaucoup inaudible, illisible, & pour certains en manifeste contradiction avec le message d'amour que vous êtes censés porter. Vous devriez être capable de vous amender et de réformer « votre maison » en premier lieu, faire ce pourquoi vous êtes censés œuvrer en second lieu, à savoir la prière et la Foi, avant de vouloir enfin essayer de dicter quoi que ce soit dans la maison des autres. C'est pourquoi si leur existence vous dérange tant que ça, c'est à vous de reprendre le chemin du bel et bon travail religieux pour reconquérir l'âme de ceux que vous appelez « hérétiques » ou « non-croyants ». La France elle, aime tous ses enfants, y compris ses fils dans l'erreur, et applique donc une politique en adéquation avec sa vocation.


    Affirmation de parler au nom des personnes qui "se sont écartées et continuent de se détourner toujours plus nombreuses de votre parole", c'est-à-dire ceux qui se sont laissés détourner de la Communauté des Fidèles. Aveu d'hérésie, et de prise de direction de l'hérésie.
    Refus renouvelé de l'autorité spirituelle et du caractère universel et indivisible de l'Eglise apostolique romaine.
    Refus renouvelé de participer à la reconduite des âmes perdus dans le sein de la Communauté des Fidèles.

    Hérésie.


Citation:
Mais nous tenons enfin à dire que nous compatissons sincèrement avec les Princes pontificaux : vivre dans une théocratie en vase clos à Rome, doit être un handicap très pesant pour garder prise sur la réalité du monde qui les entoure. Mais n'ayez crainte, nous nous ferons toujours un plaisir d'éclairer vos esprits du savoir et de la culture Française.


    Usage répété du terme de "Princes pontificaux", faisant référence aux cardinaux et prélats de la Sainte Eglise, pour affirmer que leur pouvoir est temporel et non spirituel. Négation de principe, en général et dans toute la lettre, de l'existence même de l'autorité spirituelle en dehors du pouvoir temporel. Négation, par là même, de la Révélation, et presque de Dieu.
    Prétention, à nouveau, à édicter la doctrine sous l'expression de "éclairer vos esprits".


    A la lumière de ce qui précède, ces formules téméraires deviennent blasphématoires:


Citation:
Angelyque, par la Grâce de Dieu, Reyne de France.


Citation:
Sous la guidance du Très-Haut et de son incommensurable sagesse, soutenu par Aristote et Christos, puisse leur grande clairvoyance en aiguiller d’autres comme elle aiguille chaque jour Notre esprit, inspirée par Saint Bynarr mais aussi Saint Ânani Mhour qui nous soufflent nos mots & guident nos pas,


    Hérésie, hérésie partout où porte la lecture de cette lettre infamante. Les mêmes hérésies que celles professées par feu Eusaias l'Apostat, réputé anti-roy par Bulle papale, incontestable, qui prescrivait de le combattre et de le renverser. Mêmes hérésies qu'Angelyque de la Mirandole avait embrassé sous le règne néfaste d'Eusaias Blanc-Combaz, et qu'elle avait proclamé abjurer lorsqu'elle fut réintégrée dans la Communauté des Fidèles.

    Hérétique et relaps. Son statut canonique est celui d'hétérodoxe.


    C'est aussi simple que cela, pour reprendre le termes de la Reine.



      Ad Majorem Dei Gloriam

      Etabli à Rome, le XXVIII de mai MCDLXIII, sous la direction des commissaires apostoliques Mgrs David, Onaël et Alboin, visé, signé et scellé par iceux.












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“Il me reste qu'a mourir, et puisque je crois en Dieu, je dois essayer d'attendre en silence l'accomplissement de sa volonté.”
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