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[RP] Mariage de Della de Volvent et Mheil du Perche-Ried
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Orantes



Inscrit le: 09 Oct 2016
Messages: 2

MessagePosté le: Jeu Oct 20, 2016 7:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il y avait du bon monde dans la basilique, c'était le moins que l'on puisse dire ! Orantes avait pris place dans la basilique quand soudain on l'interpella. Il ne reconnut pas tout de suite l'homme qui l'appelait. Mais après avoir évalué l’œuvre des années qui passaient, il reconnut son cousin.
    - Oh mon cousin ! J'avoue que pour moi ce n'est pas vraiment une surprise de vous croiser céans mais le plaisir est partagé, soyez-en certain.

Il 'avait jamais rien eu à reprocher à Severin. Leur relation à tous deux n'avait jamais été très chaleureuse mais toujours cordiale pour le moins. Il lui fit un sourire. Mais une chose chagrina profondément Orantes, l'absence de Davia, Davia qu'il avait tant appréciée...
Puis ce fut l'entrée de la mariée, elle était comme toujours d'une beauté magnifique.

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Valene



Inscrit le: 18 Oct 2016
Messages: 138

MessagePosté le: Ven Oct 21, 2016 7:12 am    Sujet du message: Répondre en citant

Elle avait lu et relu l'invitation que Marcus lui avait donnée. Depuis qu’elle partageait la vie de son Géant, Della et elle s'étaient déjà rencontrer à plusieurs reprises. A vrai dire les deux jeunes femmes ne se connaissaient guerre, tout ce qu’elles savaient l’une de l’autre leur avait été raconté par ces gens qui vous empoisonnent l'existence et qui ne cherche qu’à vous détruire, Celle qui attaque votre estime de soi et votre dignité. Celle-là même qui use votre résistance, qui ne voit que le négatif en vous. Jalouse et envieuse, elle se désole de vous voir réussir et vous sabote les efforts que vous faites pour mener une vie heureuse et productive.

Etait-ce la faute à Valene qui avait choisi sa tenue avec minutie ou celle du Géant qui causait leur arrivée tardive à la Basilique. Quoiqu’il en soit le couple allait devoir se fondre dans la foule discrètement pour ne pas se faire remarquer.
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Emyle



Inscrit le: 11 Mai 2016
Messages: 3

MessagePosté le: Sam Oct 22, 2016 1:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Couvre-chef restitué et rapide coup d’œil pour embrasser la basilique, il se faufila jusqu’à un banc qui lui paraissait prometteur. Le beau monde affluait et s'installait, le russe lui s'adonna à la contemplation de l'édifice, sa seule satisfaction à se trouver dans la maison du Très-Haut habituellement. De telles constructions l'avaient toujours rendu pantois, il était toujours étonnant de voir comment l'homme parvenait à se dépasser et à exprimer son potentiel dans ces structures qui servaient plus le monde temporel que celui de son spirituel propriétaire. A quoi bon, sinon pour le plaisir des yeux se dit-il. Car s'il était un pragmatique éprouvé, il tendait inéluctablement vers l'idéalisme le plus débridé.

Emyle ?

A l'appel de son nom, il tourna vivement la tête vers cette voix qu'il connaissait bien, ses lèvres se fendirent en un large sourire en reconnaissant Poli. Il se rapprocha de la chère amie.

Poli ! Quel plaisir de te voir ici, même si je m'attendais un peu à t'y trouver, nous ne sommes jamais très loin de notre suzeraine n'est-ce pas ?. En fait, je crois que pour être en mesure de tailler le bout de gras avec toi, je me dois de la suivre dans toutes ses pérégrinations !

Sur ces mots, la Renarde Noire fit son entrée et il est peu de dire qu'elle fut fracassante. Pas une seule paire d'yeux ne pouvait ignorer l'impériale et solaire duchesse que le knèze n'avait jamais vu tant en beauté. Un léger sourire et hochement de tête manifesta ce sentiment lorsque Seignelay croisa le regard d'Ormoy. La grâce couplée à un esprit acéré s’avançait aérienne vers l'autel, vers un fiancé qui allait devoir se montrer à la hauteur.

Sublime, Poli, sublime !

Et l'acier azuré du slave s'attarda sur le profil de la joinvilloise qui du moins, n'était pas en reste.
Son regard se porta alors vers le narthex et les premières travées ou dans la foule, il cru reconnaitre une amie normande, bourguignonne de cœur. Il aurait voulu l'interpeller, lui faire de grands gestes, signaler qu'il restait de la place à côté de lui et déjà la mariée atteignait le chœur.

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Mheil



Inscrit le: 12 Oct 2016
Messages: 6

MessagePosté le: Sam Oct 22, 2016 2:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

    « Quelle horreur. »

Nogent a imaginé la scène décrite par son ami. Il n'aurait pas du. Maintenant il se sent mal, alors que la navigation n'avait auparavant pas porté atteinte à son estomac.
Heureusement, il n'a rien rendu. Mais ils ont tout de même eut à faire une halte face à la devanture d'une échoppe de fromager ; et de ce fait, retarder davantage leur arrivée à la Basilique.

    « Rien n'y fait, tu as raison, contre la nature de l'Homme.
    Je regrette, pour cette fois, néanmoins, de ne pas avoir su honorer la Duchesse de Chartres par ma ponctualité. »

Le premier coche venu fait l'objet d'une réquisition.
Le Duc réajustera sa tenue à l’intérieur de l'habitacle. Il est élégant, le Perche-Ried. Le pourpoint carmin sous son manteau d'hermine respecte la tradition du port du rouge par les mariés de la branche familiale originelle. Et même s'il est le chef d'une nouvelle branche dont les armoiries se dissocient en teintes de celles de la branche principale, le Duc de Nogent tient au moins à entretenir cet héritage.

    « Nous y sommes. »

La basilique est spectaculaire, mais le nogentais n'a pas le temps d'en apprécier l'architecture. On compte sur sa présence imminente, à l’intérieur.
    « Nole, mon ami. Il te reste une seconde pour m'arrêter si tu crois que je fais une erreur.
    Mais retiens que j'ai fais déplacer Sa Majesté et qu'il me serait difficile de justifier que je lui fasse défaut. »

L'ouverture des portes s’accompagne du sourire qui confond habituellement ses cicatrices en rides.
Le Perche-Ried et la Volvent vont se marier, sous le regard bienveillant St Louis et l'Azayes.

    « Votre Éminence. »
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Marcus..



Inscrit le: 09 Oct 2016
Messages: 16
Localisation: Lisieux en Normandie

MessagePosté le: Sam Oct 22, 2016 6:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant


« Rome ! Carrément ! »

Marcus ne connaissait rien de Rome si ce n'est sa renommée mondiale parce que ce nom est souvent employé par les membres du clergé et les pèlerins comme référence ultime à leur « simagrées » religieuses. Aussi ils vénèrent ce mot comme si cette ville n'était pas sur terre mais plutôt suspendue dans les cieux à mi chemin du paradis.

« Foutaise ! Tout ceci n'est que vieille pierre et commerce, comme partout. Ok ces romains savent tailler la pierre mieux que quiconque. Mais ces statues ne sont qu'orgueilleuse propagande. - Nous sommes riches et vous le montrons parce que pures -. Les plus pieux d’entre nous sont les premiers à se faire avoir. »

Honnêtement, il avait du mal à l'admettre mais Marcus est impressionné. Il n'avait jamais vu ville à l'échelle aussi impressionnante. Même lui, pourtant un géant du nord, se sentait petit et... humble face aux prestiges artistiques des nombreux édifices de marbre qu'il croisait au détour de tous les carrefours de ses rues pavées de marbre. Pour une fois, son regard est plus attiré par l'architecture, que par les femmes.

Le mercenaire arrive à cheval en escorte de sa future épouse. Il s’agit d’une fièrent et magnifique blonde. Valène est une femme simple qui aime s’entourer d’hommes viriles. Elle s’est donc tout naturellement choisi le plus valeureux d’entre eux.
Marcus est le premier à mettre pied à terre. Il aide sa compagne à descendre de cheval pour gravir ensemble les marches du parvis de l’immense basilique. A l’intérieur, la cérémonie vient de commencer. Les invités et la famille ont déjà pris place dans la nef et forment une haie d’honneu à la mariée qui se dirige vers le cœur.. De dos il perçoit une élégante femme, encore une blonde, qui est conduite à l’autel. Il est bouché bée de sa beauté. Son cœur fait un tour dans sa poitrine lorsqu’il reconnaît de profil Della. Sa Bella... qu’il aurait aimer la conduire à l’autel lui même.

Respectueusement, Oui, il arrive que le bourru se fasse discret, le couple va prendre place derrière les invités. De nombreuses couronnes sont présentes. Ils ne sont pas en bonne place mais la taille exceptionnel du guerrier lui permettra de ne rien rater de l'événement. Il ne reconnaît pas grand monde, excepté la famille proche de la mariée qu’il a eu l’honneur de rencontrer lors d’une récente mission d’escorte ou encore d’un tournois. Il reconnaît enfin une autre tête qui dépasse de la foule, une femme a l’impressionnante carrure. Une amie. Marcus sourit à Xena.
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Nemo de Boleyn



Inscrit le: 28 Sep 2016
Messages: 1

MessagePosté le: Mar Oct 25, 2016 12:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Elle n'avait pas pour habitude, la brunette, de sortir de son petit cocon de duché. Les grands voyages ne lui ont jamais vraiment réussi. Mais pour Mheil, elle a accepté.
Accepté son mariage est une chose. Mais Rome quoi !
Remarque, elle devait s'y faire avec lui puisqu'en général, quand il fait quelque chose, il le fait en grand. Et pour le peu d'échanges qu'elle a pu avoir avec la future mariée, elle lui paraît du même genre. Ils se sont bien trouvés. Et c'est bon de voir son nouvellement suzerain changer doucement à mesure qu'il est à ses côtés.
Dans la petite chambre qu'elle a pu obtenir, elle se prépare simplement. Prenant soin d'enfiler le collier qu'elle a fait fabriquer avec quelques morceaux de la géode offerte. Souvenir qu'elle compte bien, elle aussi, emmener un peu partout.
Apprêtée, coiffée, pouponnée, elle se met en route pour la cérémonie.

Brunette paumée, heureusement qu'elle a appris la langue histoire de se retrouver dans le dédale des rues romaines.
Pas de chichis, elle a voulu s'y rendre seule. La voilà servie ...
Saint Titus trouvée. Tout le monde quasi placé. Aie.

Elle s'installe elle aussi de la façon la plus discrète qu'il soit, ne voulant pas perturber quoi que ce soit, au fin fond dans un petit coin.
De son point de vue, elle reconnaît quelques visages, lui évoquant de bons ou moins bons souvenirs. Voire même des moins bons transformés en bons avec le temps. Un sourire à cette dernière pensée.

Même s'il ne la voit pas, elle est là pour fêter avec lui ce moment si précieux.
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Della



Inscrit le: 24 Sep 2009
Messages: 634

MessagePosté le: Sam Oct 29, 2016 10:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tous ces gens qui étaient là, qui avaient fait le déplacement jusqu'ici, pour ce mariage, Della était impressionnée. Habituellement, elle ne l'aurait pas été sans doute mais aujourd'hui, elle était à fleur de peau parce que quoi qu'elle en dise, se remarier était pour elle une sacrée épreuve dont elle réalisait seulement maintenant tous les défis qu'il lui faudrait relever. Alea jacta est, comme disait l'autre !

Fermement accrochée au bras de Clément, un peu comme si l'un ou l'autre risquait de s'envoler en cas de rupture de cette accroche, elle avançait, un pas après l'autre, maîtrisant plus ou moins bien les tremblements qui semblaient vouloir l'envahir tout entière, surmontant une espèce d'angoisse qui lui ferait encore bien tourner les talons...
Et les mots de Maryah :
"Voulez-vous que je vous enlève ?
Que je vous fasse enlever par les Buses ? les Réformés ? les Mal-nés ?
Della, je vous en prie,
Ne faites pas ça ... "

...ces mots gravés dans sa mémoire, venaient et revenaient, dansaient dans sa tête...Si elle avait dit "Oui" ?
De quoi Maryah tentait-elle de la protéger ? De qui ? Transposait-elle sa propre crainte sur l'avenir de la Renarde ?

L'autel approchait.
Elle ne ferait pas demi-tour.
Elle n'était pas de ces gens-là, elle allait jusqu'au bout.
Elle serait bientôt la Perchée !
Voilà.

Et la coiffe tenait !
Alléluia, merci, Mon Dieu !

Rendus près de l'autel, Della sourit à l'Eminence bienveillante qui tenait alors entre ses mains et ses livres les prochains instants.

Le Perché arriva.
En retard ?
Della n'en avait aucune idée, le temps s'était comme arrêté, avait suspendu son cours pour assister à cette union plutôt inattendue.

A Mheil, elle offrit un regard entendu. Lui non plus ne ferait pas marche arrière.
Quelques instants pour observer et admirer l'allure du futur, réaliser que même s'ils n'avaient pas pris le temps de se concerter sur leur tenue respective, l'ensemble était plutôt flatteur et en jetait !

Clément offrit le bras de sa Mère à Nogent...

_________________

Vicomtesse de Proceno, Baronne de Lagosanto
❃Préfet Inquisitorial Francophone - Préfet de la Congrégation de la Chambre Apostolique - Procureur de l’Officialité Nationale Francophone - Archidiacre Res Parendo de Autun
❃Archiatre du Saint Père
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Angat.



Inscrit le: 20 Oct 2016
Messages: 13

MessagePosté le: Sam Oct 29, 2016 2:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Rome, voilà un bien long voyage pour un mariage mais que voulez vous, cela fait une occasion de pouvoir se promener.Puis Rome n'est elle pas une capital historique avec un passif et une histoire enrichissante...Quoi qu'il en soit, lui il était là pour accompagner Neyco, le reste c'était que du bonus.

J'ai l’impression de vous le dire à chaque fois, mais non je connais pas.

Un léger rire et en fin amateur d'architecteur, son regard observe le lieux, il aime ce genre de décoration et la richesse culturel du lieu.

J'ai l’impression qu'à chaque mariage ou je vous accompagne, le lieux du mariage est à chaque fois magnifique.
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UterPendragon



Inscrit le: 12 Fév 2007
Messages: 11630

MessagePosté le: Lun Oct 31, 2016 12:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il était rare que la basilique Saint Titus connaisse un rythme autre que celui, incessant, des consistoires pontificaux auxquels le vieux von Frayner assistait avec une constance presque exemplaire. Il avait reçu avec bonheur une heureuse missive, quelques semaines auparavant, le conviant à un événement qui l'était plus encore. L'éphémère légat de Nevers qui, hélas, n'avait plus son dynamisme d'antan, avait une dette particulière envers la duchesse, laquelle avait permis le retour de la Cathèdre bourguignonne dans le giron de la Sainte Eglise. Outre cela, il ressentait pour elle une forme d'affection paternelle, et il se réjouissait en ce sens hautement d'être présent pour son union. En ce jour béni de Dieu, il se trouvait donc à Saint Titus, et avait pris place près des très estimables cisterciennes, au premier rang, non sans leur avoir adressé un fraternel salut. Sa vue, considérablement diminuée, ne lui permit pas de reconnaître, dans l'assemblée grandissante, les visages qu'il connaissait, ou qu'il avait connus. Ainsi, il s'abandonna plutôt à la prière, en attendant que commence la cérémonie.
_________________
Mort des cardinaux d'Azayes et von Frayner
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Severin_de_Volvent



Inscrit le: 12 Oct 2016
Messages: 4

MessagePosté le: Lun Oct 31, 2016 2:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le renart avait souri aux bons mots d'Orantes.
Il n'avait pas eu le temps de lui présenter Leonnie, Della entrait déja dans la basilique et il suivit le cortège lui dont la place se trouvait aux cotés de sa cousine.
Plus tard il aurait le temps d'expliquer à son cousin que Davia n'était plus et qu'il se marierait à Leonnie bientot, à Beaumont.
Il serra un peu plus le bras de Leonnie contre lui puis la laissa s'installer avant de poursuivre près de l'autel auprès de Della.
Elle était ravissante avec sa robe et sa coiffe qu'il devinait etre l'objet de ses préoccupations.
Enfin arriverait le futur époux qu'il n'avait encore eu le plaisir de rencontrer. Un homme imposant s'il en était, il esperait au fond de lui qu'il sache prendre soin de la renarde au coeur trop de fois meurtri.
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Dédain



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Messages: 2
Localisation: In the Great Below

MessagePosté le: Jeu Nov 03, 2016 2:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

    Dites à un couple de jeunes fraîchement mariés depuis à peine une quinzaine qu’ils doivent remettre ça, que ce sera magnifique parce qu’ils vivront de nouveau les plaisants sentiments de cette cérémonie heureuse avec le regard entendu de ceux qui savent tout nouvellement, puis rappelez-vous par la suite que lesdits époux se sont unis uniquement par des liens arrangés, et vous pourrez alors vous rendre compte finalement de l’état d’esprit général, tirant sur le maussade, du duo de gardons déjà blasés par la life.

    Quoique, toutefois surpris de figurer en la liste des invités du futur, et agréablement surpris, c’est entendu, il trouvait bon de s’y rendre, le Deswaard, car l’homme lui avait toujours été agréable, sympathique, calme, intelligemment silencieux et pensif, incisif aussi, lorsqu’il était temps de briser le cours des réflexions pour agir.
    Un bon gars, en somme.

    Mais quelle idée de faire cela à Rome ?! Car c’était ce détail qui chiffonnait beaucoup le Konde. Non que la destination ne fut pas dépaysante ou attrayante (même que ça contenterait beaucoup ceux qui voulaient impérativement qu'il effectue avec sa compagne un voyage de noce), puisqu’il s’agissait là du berceau même de sa foi. Mais enfin, tout de même, cela l’obligeait à devoir voyager longtemps et, pire, à devoir voyager longtemps en l’étroite présence de Ma Dame sa neuve épouse. Et, pour ce léger détail, autant vous dire qu’il s’imaginait le pire, l’époux de France. Nan parce que, que ce soit clair, un jeune marié lié par un contrat rondement ficelé, ça n’a absolu pas l’envie d’être claquemuré pendant tout un affreux trajet interminable avec une petite boulette fraîche de candeur et de douceur, pimpante et pétillante, courtoise et croquante. Nan.

    Pire. C’est pire quand il s’avère que, finalement, pendant que lui se charge la plupart du temps à occuper une banquette entière de la voiture en vue de compulser, tenir et mettre à jour sa correspondance, veiller sur ses biens et ses comptes, son Altesse, elle, trouve bon de ne faire que dormir.
    Oui. Dormir. Tout le temps.
    Cela l’avait étonnamment surpris. Qu’on se le dise. Qu’une si délicate agnelle ait tant besoin de sommeiller en boule, la tête rejetée en arrière, la petite bouche d’autorité entrouverte et laissant passer ainsi un soufflet régulier et serein. Par chance, elle ne ronfle pas comme Lucie. Mais enfin, pour un insomniaque comme lui, la chose est étonnante à observer.

    On sert le petit déjeuner de Ma Dame – qu’il partage – puis Ma Dame fait une sieste prolongée.
    On sert le déjeuner de Ma Dame – qu’il ne partage pas – puis Ma Dame fait une nouvelle sieste prolongée.
    On sert le souper de Ma Dame – qu’il partage encore moins – puis Ma Dame fait une sieste avant de s’endormir pour la nuit.

    Surprenant.
    Quoi qu’utile.
    Car le Lugubre, alors assis face à elle, a l’occasion d’abandonner ses écrits pour jauger un peu le fruit de nouvelles attentions pendant que la belle est endormie : son cou. De quoi faire jaser ceux qui s’escriment à propager la rumeur que le Noldor est un vampire, ouaich. Mais comment ne pas se satisfaire à observer bien sagement et curieusement ces méplats marmoréens, ivoiriens, cette chute savoureuse à la naissance d’un port altier, cette ossature aventureuse finement contrôlée par un équilibre outrageusement calculé, ces lactescentes crevasses permettant les jeux de l’ombre, cette carotide tambourinant placidement d’une vie endormie, imprimant un rythme parfait à cette mirifique scène.
    Mieux encore quand Madeleine veille à couvrir l’ensemble pour lutter contre une fraîcheur automnale, car le Deswaard se sait seul alors à pouvoir deviner chaque détail sans se tromper et qu’il se sent de fait propriétaire d’un trésor bien caché.

    Bref, Dédain et Madeleine Deswaard de Noldor-Firenze, arrivés en bon état et en bonne santé, à la suite des valeureux invités, finirent par entrer à leur tour en la resplendissante Basilique Saint-Titus pour assister à ce bienheureux événement.

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iryana...



Inscrit le: 15 Oct 2016
Messages: 1

MessagePosté le: Ven Nov 04, 2016 11:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

La hache danoise volée dans les airs retombait dans la main de belle fleur et aller buter sur le vieux tronc lui servant de mannequin de combat, le hennissement de sa jument lui signala la présence d’un cavalier en se retournant, elle lança sa dague qui frôla l’oreille de l’inconnu.
Le lancé été parfait, la belle ne voulant pas toucher le visiteur, qui ne cilla pas


Carys, arrachant dédaigneusement la dague :

Un tantinet à droite et vous raccourcissiez mon nez. Un tantinet à gauche et vous émasculiez un écureuil. Vous devez être Iryana.
Un signe de tête a l'affirmative
Et vous êtes ?
Sur le point de vous remettre un pli d'un certain Renard et une pleine malle. Vous pouvez m'appeler Carys. Je suis l'homme de main du Vicomte de Messey.
Sourire en coin
Bienvenue, sachez que je vise très bien Carys et que vous ne risquiez rien donnez vous la peine de mettre pied a terre vous désaltérer ainsi que votre monture le temps que je prenne connaissance du message
pourriez-vous en dire autant de l'écureuil ?
Sur un signe de tête, il s'exécute et met pied à terre. Une autre bête est déchargée de la dite malle,
je vous mets ça où ?
Elle rit de bon cœur, je ne tue les animaux de la forêt que pour me nourrir et l'écureuil ne fait pas partie de mon régime,
un regard sur la malle de bonne taille
vous avez enfermé mon renard dedans ? D’un signe, elle lui montra l'intérieur de la cabane.
Son regard azur posé sur la malle Il mériterait certainement d'y entrer parfois. Je dois toutefois vous décevoir, il n'y à dedans que des robes, pour votre usage.
Un sourcil levé, puis elle se regarda cuissarde jupette, je suis si mal habillé que ça ? Il est temps que je lise le message, je crois, car je ne comprends pas tout là
Carys, consentant enfin à remettre le message.
N’oubliez pas que je ne suis que le porteur et l'exécuteur. Pour toutes représailles, vous attendrez d'être devant le Vicomte.

Le message en main Irya s'éloigna un peu faisant signe au messager,
faîtes comme chez vous elle lut avec soin, sourit aux post-scriptum, pas armés, c’est mal me connaître ou trop bien puis revient
vers Carys ouvre la malle prend sans se poser de question ce que souhaite son renard prépare un bagage plus léger ; pose ses émeraudes sur le messager
Allons y Carys je m'habillerais à l'auberge prés du lieu donné.

L’auberge(Italie)

Posant quelques pièces d’or sur le comptoir, elle commanda une chambre pour deux avec un bain chaud.
Une fois dépoussiérée, elle remonta ses cheveux en chignon, laissant deux mèches bouclées encadrer son visage, elle enfila ses bas blancs et le corsé en râlant un peu.
Revenant vers Carys elle tourna

pouvez-vous m'aider à attacher ce truc horrible qu’on doit mettre sous les robes
D'habitude, on me demande de les délacer. Dans votre cas, je vais faire un effort. Essayez de ne pas bouger et rentrez le ventre.
roumegue en silence et puis non elle lui écrase le pied
Je n'ai pas de ventre tss
Humph! Pour quelqu'un qui se fait ficeler, vous êtes étonnement imprudente ma chère. Tire un coup sec sur les lacets
Mais aie!! Vous allez m'étouffer que dira mon renard si je m'évanouis compressée par vos soins
Il me remerciera de lui offrir une femme calme et silencieuse. Un effort !
Se gonfle que se soit moins serré, le vicomte m'apprécie comme suis, vous verrez vous aussi vous m'aimerez bientot gigotté un peu
Vous avez fini là, on va être en retard, il faut encore mettre la robe et m’aider à lacet mes bottines, je peux pas me baisser avec ce truc
Sachez que je n'aime que très peu de personnes et pour le moment, vous faites tout pour que cela n'arrive pas. Vous allez me mettre les bottines toutes seules comme une grande fille avant d'enfiler la robe !
Le regarde en levant un sourcil je ne vous demande pas de m'aimer quoique dans cinq minutes, vous ne pourrez plus vous passer de moi!!
Je peux enfiler les bottines, mais pas les attacher

Fais la moue boudeuse
Le regard noir levez la jambe....... Je vous préviens, je ne veux plus vous entendre après !
Moi aussi, je vous aime Carys, lève un pied et lui tend puis l'autre
vous savez où je dois retrouver le vicomte? lui sourit comme un ange
Oui, la Basilique Saint Titus.
Enfin prête, elle lui prit le bras pour qu’il l’accompagne auprès de son maître
Citation:
écrit à quatres mains
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Arnault d'Azayes



Inscrit le: 08 Mar 2011
Messages: 16126

MessagePosté le: Mar Nov 08, 2016 11:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

D'ordinaire, quand Arnault officiait à la basilique Saint-Titus, il ne manquait d'éprouver un léger pincement au cœur : cette église immense et splendide était occupée par quelques hauts ecclésiastiques qui, y officiant régulièrement, en étaient devenus blasés devant ses beautés. Même si les mariages n'avaient jamais été de son goût, celui-ci avait le mérite de faire venir, dans la première église de l'aristotélité, une foule bigarrée qui semblait de toute évidence apprécier l'endroit choisi par les deux fiancés.

Dans cette foule, de nombreux visages n’étaient pas inconnus d’Arnault. Le cardinal n’avait en effet pas oublié, malgré la distance des années, le temps passé en Alençon. Le diacre-sacristain qu’il était alors s’était frotté à la politique, avec quelques bonheurs et beaucoup de malheurs. Plusieurs personnes dans la salle savaient comment ses tentatives avaient fini. Elles avaient dès lors un avantage certain sur les confrères et consœurs d’Arnault qui, de Rome à Tours en passant par Angoulême, n’imaginaient sans doute pas un seul instant que l’ancien camerlingue avait un tel passé. Nul doute que discuter avec ces très anciennes connaissances serait émouvant pour Arnault mais, pour l’heure, il s’avançait vers l’autel, où il débuta la cérémonie en ces termes :


« - Mes chers enfants, en vos qualités respectives, bénis soyez-vous toutes et tous de vous être déplacés dans la lointaine Rome. Vos deux amis, qui sont à l’honneur aujourd’hui, sauront apprécier votre déplacement de l’autre côté des Alpes afin de partager le bonheur que nous célébrons en ce jour qui fera date dans leur vie. Le mariage est une cérémonie particulière, que chacun définit selon ses propres représentations. Je souhaitais commencer ce moment en vous fournissant ma définition, à la lumière des saintes écritures. »




« - Nous venons d'entendre le fondement même de l'amour selon la parole divine. Si l'amitié est le plus naturel des sentiments, la clef de voûte de la vertu aristotélicienne, l'amour est une forme perfectionnée de l'amitié. Alors qu'il est possible d'aimer plusieurs personnes d'amitié, et pour des buts aussi divers que sont l'entraide, le partage, la compréhension, mais toujours de manière désintéressée, l'amour, lui, se doit d'être exclusif dès lors que le sentiment acquiert une force suffisant à ce qu'il s'exprime de manière physique. Et toute la beauté de ce sentiment réside dans son utilité : outre le redoublement des sentiments d'entraide et de partage au sein d'un couple pratiquant l'amitié à un niveau inégalable, une finalité unique réside dans le mariage : le perpétuation de l'humanité.

Alors que l'amitié ne permet que l'amélioration d'une situation, l'amour physique permet la création de quelque chose de nouveau : la famille. Le désir ressenti par des fidèles reçoit alors naturellement la bénédiction divine afin de s'exprimer avec la grâce nécessaire. Sont ainsi bénis le sentiment d'amitié passé, le sentiment d'amour présent, et sa réalisation physique future. Amitié, amour et famille, voilà trois splendides notions fusionnant au sein d'un seul concept dont je souhaite que chacun mesure la perfection en ce jour : le mariage. »


Le cardinal se tut alors un court instant avant de reprendre, se tournant vers les fiancés :

« - Della, Mheil, vous avez écouté la parole de Dieu qui a révélé aux hommes le sens de l'amour et du mariage. Vous allez vous engager l'un envers l'autre. Est-ce librement et sans contraintes ? Êtes vous prêt à vous aimer et vous chérir dans le bonheur et souffrance, de vous jurer fidélité et de vous protéger, pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ? »
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Mort des cardinaux von Frayner et d'Azayes
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Della



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MessagePosté le: Jeu Nov 10, 2016 7:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Parce que sa Foi était grande, que sa piété l'était plus encore, Della écouta avec grande attention les paroles de l'Eminence. Et tandis qu'il parlait, qu'il lisait la Sainte Parole et puis qu'il l'explicitait, le front de la Volvent se marquait de la célèbre ride du lion...
Se pourrait-il qu'un jour, l'amitié aristotélicienne qu'elle éprouvait pour le Perché se transforme en...amour ?! Non. Ciel, non. Non et non et non. Ce n'était pas comme Arnault le disait ! Ce n'était pas aussi simple que cela. Aujourd'hui, si elle épousait Mheil c'est parce que la vie les avait mis tous les deux par le plus grand des hasards au même endroit au même moment, que leur discussion avait débouché sur un : "Epousez-moi.", que quelques jours plus tard, après une autre discussion très terre à terre, ils avaient conclu cette alliance qui n'avait d'autre avantage que leurs intérêts à tous les deux. Amour physique, désir mutuel...Euh...On n'en était pas encore là, hein. Il fallait d'abord qu'elle s’exerce à infliger une correction à un innocent, que quelques gifles délient les raideurs de son poignet et qu'elle accepte de trouver cela "normal". Après, on pourrait discuter d'amour physique et de désir mutuel...On était là pour un mariage, pas pour une pastorale !

Personne ici, dans cette Cathédrale, ne pouvait ne serait-ce qu'imaginer les pensées qui fourmillaient dans la tête de la fiancée. A part peut-être son fiancé. Puisqu'ils étaient d'accord sur les termes de leur contrat, alors, elle pouvait sans remord répondre aux questions de l'Eminence.

Avec un sourire chaleureux et sincère, Della regarda un instant le clerc puis fixa les yeux sur son futur époux et répondit d'une voix claire et posée :

Moi, Della de Volvent, aujourd'hui, sous le regard du Très Haut et devant tous ses Fidèles, je m'engage librement et sans aucune contrainte à épouser Mheil du Perche-Ried, je lui promets fidélité, protection et assistance dans le bonheur et la souffrance, chaque jour jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Voilà. Ce serment était vrai.
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Vicomtesse de Proceno, Baronne de Lagosanto
❃Préfet Inquisitorial Francophone - Préfet de la Congrégation de la Chambre Apostolique - Procureur de l’Officialité Nationale Francophone - Archidiacre Res Parendo de Autun
❃Archiatre du Saint Père
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Mheil



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MessagePosté le: Ven Nov 11, 2016 3:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Lui seul, sans doute, pourrait se rappeler du moindre détail du parcours politique de l'Azayes jusqu'à sa déchéance, aussi bien avait-il été l'un des plus fidèles partenaires de son défunt frère, qu'il accompagnait partout. Fruit d'un mariage d'ambitions communes et de considérations mutuelles ; aussi bien que le Nogentais considérait ce souvenir en rapport étroit avec l'événement du jour.

Mheïl, pour peu qu'il en avait besoin, capta le regard de sa promise au moment ou elle s'exprima. Lui n'y était pas parvenu immédiatement, il n'était ni familier des cérémonies, bien que croyant, ni encore moins adepte de participations aux mariages de ses proches, bien qu'il en avait la volonté.
Ses disponibilités, depuis toujours ne s'étaient jamais vraiment prêtées à l'exercice et même aujourd'hui, alors que le jour était sien, ou en tout cas leur, il redoutait déjà le travail en retard qui l'attendait à son retour au Louvre.

Enfin... ce fut court.
Ce fut court car alors qu'il se noyait dans la profondeur des pupilles de sa future épouse, il restituait un autre souvenir : celui de leurs premiers échanges épistolaires ; précisément lorsqu'ils déterminaient ensemble les conditions à leur union. Et même s'il ne s'imaginait pas un seul instant que Chartres redoutait leurs premiers ébats, il ne se faisait plus qu'une hâte -sachant que le moment viendrait, comme son frère lui en avait maintes fois parlé- de prendre une initiatique correction !

    « Moi Mheïl du Perche-Ried, sous le regard de Dieu et de ses saints, de nos témoins et de tous fidèles rassemblée dans l'inestimable maison du Très Haut, je m'engage sans contrainte et avec sincérité à épouse Della de Volvent. Lui promet fidélité protection et assistance dans le bonheur et la souffrance surtout, chaque jour jusqu'à ce que la mort nous sépare. »

Il se refusait à cet instant précis de croiser le regard de quiconque et encore moins de son témoin, sur lequel pourtant, reposait de nombreuses attentes, y compris celle du consentement.
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