L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[Cathelineau]

Le Primat de Bretagne était bien entendu présent, il était, par sa présence, le représentant du Grand Duché de Bretagne. Il vint alors se placer à coté des différents Primats. Il vit les membres de l'Ordre, l'Ordenkaplan qu'il était ne manqua pas de saluer les différents Frères et Soeurs qu'il apercevait. Il fit ensuite une petite prière, le temps que tous entrent et que la cérémonie débute cela ne pouvait que lui faire du bien après tout se dit il.


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[Pie de Valence]

Le cardinal-archevêque de Lyon se tenait avec ses confrères à l'entrée de Saint-Titus afin de recevoir et guider le flot des visiteurs venus rendre un dernier hommage à Leurs Eminences Uter et Arnault.
Malgré le chagrin éprouvé, il essayait de faire bonne figure quoique le coeur n'y fut pas.
Pendant ce temps, accompagnant les entrées des différents membres du clergé, des Ordres Militaro-religieux et des quelques personnalités laïques qui s'étaient jointes à la cérémonie, les chantres de l'abbaye Saint-Martin-de-Langres qui avaient spécialement fait le voyage jusqu'à Rome à le demande de leur ancien évêque, chantaient le début du requiem qui avait été primitivement composé par Ockeghem pour les cérémonies de funérailles de la Reine de France Zelha.
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"Le modernisme n'est ni une dérive, ni une horreur, ni une maladie honteuse. C'est le terreau de la rénovation de l'Eglise, la terreur des conservateurs, l'air pur qui vivifiera la foi" (Pie II de Valence)
"On n'est jamais dans le mensonge quand on prêche la paix et l'apaisement, toujours quand on prêche la haine d'autrui" (Pie II de Valence)

[Pilla]

C'est le visage fermé, que le Bruder Pilla rejoignit d'un pas décidé, ses frères et sœurs de l'Ordre Teutonique !

Afin de rendre un dernier hommage, à ces deux grands hommes de Foy.
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[Richard de Cetzes]

L'Archevêque métropolitain d'Arles, surpris et attristé par la perte immense du Cardinal Camerlingue et de l'Archidiacre de Rome, ne put s'empêcher de se recueillir en un premier lieu au sein de sa Province. L'Eglise était en deuil, l'Eglise pleurait la mort de deux Cardinaux qui sans le moindre doute, étaient on ne pouvait plus expérimentés et aguerris. C'est apprêté que Richard se rendit au sein de la grande basilique de Rome et du monde aristotélicien. Son visage était fermé, ses yeux humidifiés laissaient transparaître une profonde asthénie.

Apercevant le Cardinal de Plantagenest qui n'était autre que le plus ancien des Cardinaux de Rome, il lui offrit une révérence en guise à la fois de respect et d'humbles salutations. Il pénétra en ce lieu Saint où moult de ses confrères français et étrangers étaient présents. Il les salua également, inclinant la tête légèrement. Les femmes et les hommes, affaiblis au plus haut point, étaient tous plongés dans une grande émotion qui se dégageait ainsi de la grande basilique. Le Prélat prit place sur un banc et observa les intérieurs splendides et merveilleux d'un lieu hautement symbolique de l'Eglise toute entière, cachant ses pleurs.

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The metropolitan Archbishop of Arles, surprised and saddened by the immense loss of the Camerlingue Cardinal and the Archdeacon of Rome, could not prevent himself from collecting himself in a first place within his Province. The Church was in mourning, the Church cried the death of two Cardinals who without the slightest doubt, were one could not more tested and hardened. It is glossy which Richard went within the large basilica of Rome and the Aristotelian world. Its face was closed, its humidified eyes let show through a deep asthenia.

Seeing the Cardinal of Plantagenest which was not other than oldest of the Cardinals of Rome, it offered a reverence in own way at the same time of respect and humble greetings to him. It penetrated in this Holy place where grinds its fellow-members French and foreign were present. He also greeted them, inclining the head slightly. The women and the men, weakened at the most point, all were plunged in a great emotion which emerged thus from the large basilica. The Prelate took seat on a bench and highly observed the splendid and marvellous interiors of a place symbolic system of the very whole Church, hiding his tears.

[Systranet Translator.]
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[Eloin]

Suivant la lente avancée des voitures équestres déversant chacune leur lot de pontes engoncés dans les vestures de deuils, la litière aux épais draps frappés du blason de l'ordre cistercien s'arrêta devant le parvis, suffisamment longtemps pour en laisser sortir l'abbesse et plusieurs moines ayant fait vœu de silence mais ayant souhaité estre là pour soutenir leur rectrice, dont les traits tirés et le visage décomposé ne laissaient pas de les inquiéter. Quiconque connaissait la moniale se rendrait compte au premier coup d’œil de son amaigrissement soudain, des yeux rougis par les larmes qui n'avaient cessé de couler depuys la double annonce funeste, de cette main crispée sur la canne, et d'une jambe boiteuse, signe annonciateur d'une crise de goutte plus violente que les autres.
Vêtue de l'ordinaire costume blanc et noir des cisterciens, la médaille des fidèles aristotéliciens ornant son cou remplaçait tout autre distinction religieuse. Ce jour, point d'anneau cardinalice, point de crosse épiscopale, rien de tout cela. Ce jour, elle était une fidèle parmi tous les autres, elle était l'élève qui pleurait ses deux maîtres, ceux qui luy avaient prodigué tant de conseils au début de son accession à la poupre, elle était la cistercienne qui pleurait un grégorien plein de sagesse et un aveugle miraculeusement guéri.

Les quelques marches menant au perron de la basilique difficilement gravies, l'abbesse s'inclina respectueusement devant Son Eminence Rehael et ses deux confrères devant assurer l'office funèbre, puys s'avança lentement le long de la nef, jusqu'à rejoindre frère Thibauld. Sa jambe la força à s'asseoir plus vite qu'elle ne l'aurait voulu. Ainsi installée, les mains jointes dans les larges manches de sa tunique, l'abbesse baissa la teste et s’abîma en prière en attendant le début d'une cérémonie qui promettait d'estre longue et douloureuse pour beaucoup d'entre-eux.
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RIP 02.1467

[aubree]

Après avoir reçu la missive de sœur Melian qui m apprenais la mort de deux serviteur d Aristote ,j étais un peut choqué même si je ne les connaissait pas personnellement.
Je me rendis au funéraille ,j entra dans la basilic discrètement pour ne pas dérangé fis le signe de la croix et alla m assoir.
Je soeur Melian qui étais accompagné des ses suivant,je ne savais pas si elle ma vais vue mais je préféré resté en retrais.
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Blason de Borce Blason de l'égilse

[Maximusdefrance]

Il était attristé par ce jours de deuil ou deux frère de l'église Aristotélicienne avais disparus. L'un d'eu avais eu l'honneur de faire sont baptême il y a bien longtemps maintenant. Membre de l'ordre Grégorien depuis peux, il rejoint ces frère et soeur. Il profitât pour salué les personne qu'il connaissait.
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Evêque Sinécure de Chalon depuis le 30/05/1467.

[neocor]

Une longue retraite permit à Neocor de reprendre vigueur. Mais le grand âge était là et son rétablissement prendrait du temps. Son serviteur et ami Arobaldi lui remit un pli de la bien aimée Sœur Melian. C'et ainsi qu'il apprit la tragique disparition de deux dignitaires de ses amis, Monseigneur d'Azayes et Monseigneur Uterpendragon.

Il ne fallait pas perdre une seconde et se rendre à Rome pour la célébration de leurs funérailles. La voiture fût rapidement prête et l'archevêque de Tarentaise commença la longue route...

Arrivé, et près plusieurs étapes il héla un quidam auquel il demanda de garer la voiture, de bouchonner la jument et lui remit une petite pièce d'or...

Il entra dans la basilique où de nombreuses personnes étaient déjà présentes. Il reconnut certains, les salua et chercha du regard Sœur Melian..

[Malvil]

Malvil, Seneschall de l'Ordre teutonique était présent et portait la Sainte Relique avec ses frères et soeurs. Il se trouvait juste derrière Charles_antoine, Hochmeister de l'Ordre. Malvil suivait le cortège silencieusement mais il savait qu'un grand homme venait de nous quitter
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A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto ............................« Prends garde au bœuf par devant, à l'âne par derrière, à l'imbécile par tous les côtés. »!

[Jeanne_lefebvre]

Bien qu'elle s'était promises de ne plus remettre les pieds à Rome avant une longue période, la mort de celui qui fut énormément à ses yeux l'avait touché. Et la thomiste avait décidé de faire le déplacement.

La mort d'un cardinal l'a touchait, la mort d'un ami l'attristait. Elle avait lu qu'il s'agissait d'un complot. L'exorciste préférait se dire que c'était des vils démons. Il en existait trop, et ils restaient un incroyable fléau. Il fallait leur faire la guerre avant que la réforme ne gagne les rangs des fidèles. La Gangrène françaises ne devait pas toucher l'empire et pourtant, ils étaient mort en Italie. Tragique. Habilé de façon pauvre, sans fioriture, la Lefebvre se fit un place difficilement, devant justifier sa présence à gauche et à droite. Sa tête n'était pas inconnu à certains gardes, d'autres lui demandait ses couleurs. Ou du moins, ses anciennes couleurs.

L'ancienne écuyère d'Azayes n'avait donc pas de mal à avancer auprès de son ancien maitre.
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Deviens Thomiste ! http://forum2.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=14223

[Melian]

Comme elle avait demandé à Louison de lui signaler si Soeur Aubree et leur bien-aimé Abbé Neocor arrivait, celle-ci indiqua à Melian qu'ils étaient arrivés tous les deux.

Ainsi, discrètement, elle leur fit signe et les invita à la rejoindre.
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[Skip Lo Casalièr]

Après avoir salué, Skip guide enfin les deux femmes vers les sièges. C'est sans trop hésité que Skip les guida vers l'avant, où ils prirent tous trois place juste derrière Alexandre d'Azayes. Skip l'avais déjà vu, parlé, il ne s'en souvient pas, mais vu oui. Il ne voulait pas, non plus, empiéter sur le territoire de la famille, car s'il estimait les deux hommes, il n'allait pas jusqu'à dire à tous qu'ils étaient ses frères. Ils auraient pu! Aymé surtout, qui n'était pas beaucoup plus jeune que Skip, un an? Tout au plus!

Laissant sa fille s'installer en premier, il reprend les mains de son épouse et les lui embrasse alors qu'un homme vient les saluer, elle et Constance. L'attention est gentille. Puis, il aide son épouse, qui semble, pour l'occasion, bien plus usée que lui-même, à s'installer à son tour. Il est le dernier à prendre place.

Il s'abîme enfin dans la prière. Il espère. Il souhaite. Il verse encore quelques larmes de voir son épouse et sa fille à ce point dévastée. Il pleur encore en pensant à son autre fille, cette petite fille qui aura grandie à Rome, près de son parrain. Pour lui, ce n'est pas sa propre peine qui le fait le plus souffrir, ayant déjà admis qu'il survivrait à tout ceux qu'il connait, mais celle des autres.

Aujourd'hui, il en voit beaucoup. D'un regard, il voit les gens qui se recueil, tête basse, les yeux rougie d'avoir pleurés, les visages fatigués plus ou moins selon les personnes.
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Commandeur de l'Ordre de St-Nicolas V

[Florentin]

Le Primat de France était également présent, installé à côté du Primat de Bretagne dont l'archevêché de Tours dépendait conjointement.

Comme beaucoup, la nouvelle avait profondément marqué le Primat. Le Camerlingue, et l'archidiacre de Rome. Rien de moins ! Il les avait fréquenté, avait confronté ses idées avec les leurs, mais il avait toujours éprouvé un respect certain pour l'un et l'autre. Florentin leur succédant à la tête de la Primatie de France...

[Onael d'Appérault]

L'Evêque de Bethléem avait aussi fait le déplacement. La nouvelle l'avait laissé abasourdie un long moment, et depuis, elle priait chaque jour pour leurs âmes.
Elle était surtout peinée par le Camerlingue, dont sa défunte mère portait le nom. Elle avait toujours éprouvé pour lui un certain respect, malgré de nombreux désaccords.
L'Archidiacre de Rome, c'était une autre affaire, ils ne s'appréciaient pas mutuellement, et cela lui convenait. Il restait malgré tout un Fidèle avant tout, et elle se devait de prier aussi pour lui.

Onael aperçut son frère, Hochmeister teutonique, accompagné de ses frères d'armes, qui portaient une sainte relique. Ses azurs ne s'attardèrent pas sur lui, le laissant gagner la place qui était la sienne, alors que la jeune femme gagnerait la sienne.
Elle portait les atours lescuriens, empreint de l'humilité que tentait l'ordre pour valeur fondamentale. Aussi, c'est sans autre signes que la médaille qui ornait son col, et le voile violine qui couvrait sa tête, que le Recteur, suivi de quelques Amis lescuriens sortis du couvent de Rouen pour venir rendre hommage aux Cardinaux disparus, gagna la place qui leur était réservée, tête basse et mains jointes en signe de prière.[/i]
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[aubree]

Je vis sœur Melian faire un signe indiquant la rejoindre ainsi que notre abbé Neocor.Se que je fis la rejoindre discrètement et la salua comme il se devais.
Tout bas je lui disais.

Bonjour ma sœur,merci pour votre missive.

Puis je salua notre Abbé avec un signe de la tête.

Bonjour Abbé j espère vous aller bien vue les circonstance.

Puis je m assois près de sœur Melian.
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Blason de Borce Blason de l'égilse