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L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game 
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Sixtus Pape


Inscrit le: 03 Juil 2014 Messages: 4157 Localisation: Sur les rives du Tibre
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Posté le: Mer Fév 15, 2023 11:42 pm Sujet du message: [Canon Law] Marriage |
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Progressing with the reform of Canon Law, we have drafted a new version of the canons concerning marriage.
We have added some clarifications and specifications, including the case where no bishop is present to authorise the celebrations, the minimum age for marriage and the consequences of procedural mistakes.
As usual, we ask the deanery to inform all cardinals, the text will be up for discussions and suggestions for four days before it is finalised and published.
Translations will come soon.
Citation: |
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Ad mundi salutem per sanctificationem
Constitution Apostolique « Vers le Salut du monde par la Sanctification ».
- Suite -
Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam
Livre 1 : L’œuvre de sanctification de l’Église par les sacrements.
Partie II : Le sacrement du mariage.
Section A : du sacrement
Can. 1 : Le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Un homme et une femme fidèles de l’Eglise Aristotélicienne.
La cause efficiente = Tout clerc habilité par sa charge.
La cause formelle = L’office, l’échange des vœux et des alliances.
La cause finale = Une union devant le Très-Haut et les hommes dans le but de fonder une famille et de trouver l’amitié aristotélicienne.
Can. 2 : Les préceptes de l’Eglise en matière matrimoniale et la nature même du mariage sont reprises dans le livre 4 sur les doctrines et sacrements de l’Eglise.
Can. 3 : Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie, réputée indissoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroite ; par ce fait, entre fidèles il ne peut y avoir de lien matrimonial que par le sacrement.
Can. 4 : Sont seuls habilités à célébrer un mariage, les prêtres ayant une charge cléricale, ainsi que les clercs habilités à donner ce sacrement.
Can. 5 : Tout mariage ne peut se faire qu’avec l’autorisation du responsable de la paroisse de chacun des deux futurs époux.
Can. 5.1 : En cas d’absence de responsable, c’est à l’autorité religieuse locale directement supérieure d’accorder cette autorisation.
Can. 5.2 : L'autorisation doit être demandée avant la publication des bans et doit être octroyée ou refusée dans un délai de cinq jours ; le silence vaut autorisation tacite.
Can. 5.3 : L'autorisation ne peut être refusée que pour manque de conditions requises des fiancés, des témoins ou du clerc officiant ou pour d'autres graves motifs d'ordre canonique ou dogmatique.
Can. 6: Le mariage est célébré de préférence dans la paroisse de résidence des fiancés s'ils résident au même endroit, à défaut dans celle de la fiancée.
Can. 6.1: Sous réserve de l’autorisation de l’autorité épiscopale locale, le mariage peut se dérouler dans une chapelle familiale domaniale ou nobiliaire d’un ou des futurs époux, ou à la cathédrale du diocèse des fiancés, ou à défaut à celle de la fiancée.
Can. 6.2: Tout mariage dans un autre lieu doit se faire avec l'accord préalable de l'évêque en charge du diocèse de résidence des fiancés ou à défaut de la fiancée, ainsi que celui du prélat responsable du lieu souhaité.
Can. 6.2.1 : En cas d’absence de responsable, c’est à l’autorité religieuse locale directement supérieure d’accorder cette autorisation.
Can. 6.2.2 : L'autorisation doit être demandée avant la publication des bans et doit être octroyée ou refusée dans un délai de cinq jours ; le silence vaut autorisation tacite.
Can. 6.2.3 : L'autorisation ne peut être refusée que pour manque de conditions requises des fiancés, des témoins ou du clerc officiant ou pour d'autres graves motifs d'ordre canonique ou dogmatique.
Can. 6.3 : Les mariages célébrés en les basilique et églises romaines doivent faire l’objet de l’accord préalable du cardinal compétent ou du Saint-Siège. Les mariages célébrés en les cathédrales royales ou impériales sont soumis à l’acceptation du consistoire national compétent, du primat concerné, ou de tout autre autorité jugée ou reconnue compétente.
Can. 7 : La présence d’au moins deux témoins, choisis parmi les fidèles, est exigée. L’un représentant le marié, l’autre la mariée. Ils seront les garants devant les hommes de l’acte du mariage.
Can. 7.1 : Si, pour des raisons imprévisibles, au moment de la célébration les témoins indiqués dans les bans ne se manifestent pas, il est possible de les substituer parmi les présentes qui remplissent les conditions requises ; dans ce cas la substitution doit être publiée aux mêmes endroits que les bans.
Can. 8 : Le couple doit être formé de deux fidèles célibataires, âgé de quatorze ans ou plus et non soumis à interdiction ou à autre condition ou sanction ecclésiastique empêchant le mariage.
Can. 9 : Les fiancés ne peuvent avoir de lien de consanguinité au quatrième degré ou moins. En ligne directe, il y autant de degrés que de générations, la souche n'étant pas comptée.
Can. 10 : Les fiançailles sont officialisées par la publication des bans au minimum quinze jours avant la date du mariage.
Can. 10.1 : Si pour une raison quelconque, le couple devait réduire la période de fiançailles, une demande expresse et motivée sera introduite auprès du siège métropolitain compétent, ou à défaut par l'autorité religieuse immédiatement supérieure, par le couple et le clerc officiant. Ce dernier en informera également sa hiérarchie.
Can. 10.2 : Les bans doivent être publiés par les deux parties, dans l’église Res Parendo de la paroisse de résidence In Gratebus des fiancés , ou de chacune d’elles si ils n’ont pas le même domicile.
Can. 10.3 : Les publications des bans énoncent les noms et prénoms, le domicile des futurs conjoints, le lieu où se déroulera le mariage et le noms des témoins.
Can. 10.4 : Si pour quelque raison que ce soit le contenu des bans, limité au lieu de domicile des futurs conjoints, au lieu où le mariage se déroulera et aux noms des témoins, devait changer avant la date du mariage, il faudra procéder à une nouvelle publication des bans corrigés avec les même prescriptions hormis les délais de quinze jours.
Article 11 : Les époux scellent leur union par l’échange des vœux, symbolisé par l’échange des anneaux, devant Dieu et les hommes.
Can.12 : En cas de remariage, le clerc officiant devra constater la validité de l’annulation, de l'extinction ou de la dissolution de la précédente union.
Can. 13 : Le clerc officiant enregistre l’acte de mariage dans les registres appropriés ; l'acte est souscrit par le clerc officiant, les époux et les témoins.
Can. 14 : Le droit canon encadre le mariage dans l’optique d’une certaine uniformité dûe à l’unicité de l’Eglise. Toutefois, pour des raisons culturelles ou coutumières, les diocèses ou les provinces sont en droit d’imposer des restrictions supplémentaires à la célébration du mariage, en accord avec le Consistoire Pontifical compétent et après consultation des Congrégations du Saint office et de la Diffusion de la Foi.
Section B : des effets du mariage
Can. 15 : Du mariage naît entre les conjoints un lien sacramentel qui incarne et réalise authentiquement l'Amitié Aristotélicienne et donne fondation à une famille.
Can. 16 : Chaque conjoint a les mêmes devoirs et droits au sein du couple et dans la vie familiale dans un esprit de pleine égalité.
Can. 17 : Les parents ont le devoir de pourvoir aux soins de leurs enfants et de les élever selon les enseignements aristotéliciens.
Can. 18 : Les enfants nés d'un mariage valide sont légitimes, les enfants nés hors d'un mariage valide sont illégitimes, les enfants accueillis en adoption sont adoptés ; tout enfant doit recevoir les soins de ses parents quel que soit son statut.
Can. 19 : Les enfants illégitimes sont légitimés par le mariage valide subséquent de leurs parents ou par décision du Saint-Siège.
Can. 19.1 : En cas de légitimation par mariage valide subséquent, l'acte de légitimation est émis par l'évêque compétent, ou à défaut par l'autorité religieuse immédiatement supérieure, à la demande conjointe des époux et de l'enfant ou du seul enfant en cas de prédécès des parents.
Can. 19.2 : En cas de légitimation par décision du Saint-Siège, l'acte de légitimation est émis discrétionnairement par décret du Souverain Pontife, du Sacré Collège ou du Consistoire compétent, à la demande conjointe d'au moins un parent et de l'enfant ou du seul enfant en cas de prédécès des parents.
Can. 19.2.1 : En cas de demande conjointe d'un seul parent et de l'enfant ou de demande du seul enfant, les effets de la légitimation ne s'étendent qu'au parent consentant ou qui n'a pas exprimé son opposition de son vivant.
Can. 20 : Sauf disposition spécifique contraire, les enfants légitimes, illégitimes et adoptés sont égaux devant le Droit Canon.
Section C : de la validité du mariage
Can. 21 : Le mariage est soit valide, soit vicié mais valide, soit invalide.
Can. 21.1 : Le mariage est valide s'il est célébré dans le respect de toutes les normes canoniques en vigueur.
Can. 21.2 : Le mariage est vicié mais valide s'il est célébré subsistant des vices de procédure mineurs.
Can. 21.2.1 : A titre illustratif et non exhaustif, les vices de procédure mineurs comprennent le défaut d'autorisation à la célébration, l'erreur dans la publication des bans, le défaut ou l'enregistrement tardif ou erroné de l'acte de mariage.
Can. 21.2.2 : La célébration du mariage avec des vices de procédure mineurs expose le clerc officiant et les époux à la censure ecclésiastique pour leurs manquements.
Can. 21.3 : Le mariage est invalide et donc annulable s'il est célébré subsistant de vices de procédure graves ou avec abus de confiance ou tromperie de la part d’un des conjoint lors du mariage.
Can. 21.3.1 : A titre illustratif et non exhaustif, les vices de procédure graves comprennent le non-célibat des époux, la non-majorité des époux, le défaut de publication des bans, le défaut des temoins.
Can. 21.3.2 : La célébration du mariage avec des vices de procédure graves ou d'autres causes d'invalidité expose le clerc officiant et les époux à la censure ecclésiastique pour leurs manquements.
Can. 21.3.3 : Le mariage invalide produit apparemment les effets ordinaires du mariage en l'absence d'une sentence d'annulation, il demeure toutefois annulable en tout moment sauf s'il est porté remède à la cause de l'invalidité et si les conjoints confirment leur volonté de vivre ensemble..
Can. 21.4 : En l'absence d'un ou plusieurs éléments du quadriptyque causal le mariage n'est pas conclu et est donc inexistant, la célébration ne produit aucun effet.
Can. 21.4.1 : La célébration d'un mariage inexistant en affront à l'Église est un crime contre la Foi et expose le faux officiant et les faux époux aux plus extrêmes sanctions spirituelles ; toute sanction est exclue en cas de simulacre de célébration à des fins ludiques.
Can. 22 : Le mariage jouit de la faveur du droit ; en cas de doute il faut tenir le mariage pour valide jusqu'à preuve du contraire.
Section D : de la fin du mariage
Can. 23 : Le mariage valide prend fin par extinction ou dissolution; le mariage invalide par annulation.
Can. 24 : Toute demande d'extinction, de dissolution ou d'annulation du sacrement du mariage doit passer en première instance devant l'organe de Justice Ordinaire compétent, à moins que l'Autorité Apostolique du Saint-Siège ne se saisisse de la résolution de la question elle-même ou un autre institution de la Curie Romaine.
Extinction du sacrement du mariage.
Can. 25 : L’extinction du sacrement du mariage est une procédure automatique ne nécessitant qu’une constatation de la de Justice Ordinaire.
Can. 26 : L’extinction du sacrement du mariage n’est prononcée qu'en cas de décès ou d'entrée dans les ordres d’un des deux conjoints.
Can. 26.1 : Lorsque que l’entrée dans les ordres est le motif invoqué, l’extinction du sacrement du mariage implique une suspension définitive des devoirs conjugaux.
Can. 26.2 : Lorsque que l’entrée dans les ordres est le motif invoqué et qu’il y a eut procréation, l’extinction du sacrement du mariage n’implique pas une suspension des devoirs parentaux.
Article 27 : Lors d’une extinction du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé son légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.
Dissolution du sacrement du mariage.
Can. 28 : La dissolution du sacrement du mariage est une extinction de ce dernier suite à la décision des époux de se séparer et de mettre fin à leur vie de couple.
Can. 29 : Les motifs invocables pour une dissolution du sacrement du mariage sont :
- La disparition des sentiments amoureux entre les époux,
- L’adultère commis par l’un des deux époux ; le conjoint fautif étant toujours frappé d’interdiction de remariage.
- L’abandon du domicile conjugal par l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois. Le conjoint reconnu coupable de négligence conjugale est passible d’interdiction de remariage.
- La disparition de l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois.
Article 30 : La dissolution du sacrement du mariage implique la levée des obligations matrimoniales entre les époux.
Can. 31 : En cas de dissolution, et lorsqu’il y a eu descendance, les obligations parentales demeurent.
Can. 32 : Lors d’une dissolution du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé son légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.
Can. 33 : Toute demande de dissolution de mariage est déposée devant devant l'organe de Justice Ordinaire dont le ou les conjoints demandeurs dépendent avant d’être transmise devant le Consistoire Pontifical compétent.
Can. 33.1 : Il revient à l'organe de Justice Ordinaire compétent de statuer et de publier un avis sur ladite demande, ainsi qu’une peine punitive et expiatoire. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Consistoire Pontifical compétent afin d'être validé ou rejeté.
Can. 34 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, ont toute autorité quant à la dissolution du sacrement du mariage, à l’imposition d’une peine punitive ou expiatoire, à la révision de celle soumise par la Justice Ordinaire, aux interdictions frappant l’un ou les conjoints.
Can. 34.1 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, sont les seuls, excepté le Sacré Collège et le Pape, habilités à réviser leur jugement.
Annulation du sacrement du mariage.
Can. 35 : L’annulation du mariage reconnaît de facto le mariage comme nul rétroactivement. Il n’a de ce fait, aux yeux de l’Eglise, jamais existé.
Can. 36 : Lors d’une annulation du sacrement du mariage, le mariage est reconnu invalide et illégitime. Les effets survenus dans le passé sont illégitimes et reconnus comme tels de façon perpétuelle.
Can. 36.1 : Seul le Souverain Pontife ou son délégué peut légitimer de manière exceptionnelle les effets survenus lors de cette vie en concubinage illégitime.
Article 37 : Le Souverain Pontife, ou le Sacré Collège des Cardinaux au nom du Souverain Pontife, a seul autorité quant à l’annulation du sacrement du mariage.
Can. 38 : Toute demande d'annulation de mariage est déposée devant l'organe de Justice Ordinaire compétent et transmise au Consistoire Pontifical compétent qui juge de sa pertinence.
Can. 39 : Il revient au Consistoire Pontificale de statuer et de publier un avis sur recevabilité de ladite demande. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Sacré Collège des Cardinaux qui statuera.
Article 40 : Les causes d’une annulation de mariage sont définies par la recevabilité de la supplique et se cantonnent presque exclusivement au vice de procédure grave dans l’octroi du sacrement du mariage, à l’abus de confiance ou la tromperie de la part d’un des conjoint lors du mariage.
Constitution Apostolique sur les sacrements de l’Eglise Aristotélicienne et Romaine,
Donné à Rome, sur la tombe vénérée de Saint Titus Prince des Apôtres, le quatorzième jour du mois de février, le mardi, jour de la Saint Valentin Presbytère et Martyr, Patron des Amoureux, de l'an de grâce MCDLXXI, le cinquième de Notre Pontificat, troisième de l'Ère de la Restauration de la Foi.
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[ENG]
Citation: |
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Ad mundi salutem per sanctificationem
Apostolic Constitution « Towards the Salvation of the World through Sanctification ».
- Sequel -
Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam
Book 1 : The sanctification work of the Church through the sacraments.
Part II : The sacrament of marriage.
Section A : on the sacrament
Can. 1 : The causal quadriptych :
The material cause = A man and a woman faithful of the Aristotelian Church.
The efficient cause = Any cleric entitled by his charge.
The formal cause = The function, the exchange of vows and covenants.
The final cause = A union before the Most High and men with the purpose of founding a family and finding Aristotelian friendship.
Can. 2 : The precepts of the Church on matrimonial matters and the nature of marriage are covered in book 4 on the doctrines and sacraments of the Church.
Can. 3 : Marriage is the consecration of the deep agreement between two persons, creating a community of life, deemed indissoluble and symbolising Aristotelian Friendship in one of its closest forms; therefore, between the faithful there can only be a matrimonial bond through the sacrament.
Can. 4 : Only priests with a clerical charge are entitled to celebrate a marriage, as well as clerics entitled to administer this sacrament.
Can. 5 : Any marriage can only take place with the authorisation of the person person in charge of the parish of each of the two future spouses.
Can. 5.1 : In the absence of a person in charge, it is up to the local religious authority directly superior to grant this authorisation.
Can. 5.2 : The authorisation must be requested before the publication of the banns and must be granted or refused within a period of five days; silence constitutes tacit authorisation.
Can. 5.3 : The authorisation can only be refused for lack of the required conditions of the betrothed, the witnesses or the officiating cleric or for other serious reasons of a canonical or dogmatic nature.
Can. 6: The marriage is celebrated preferably in the parish of residence of the bride and groom if they reside in the same place, if not in that of the bride.
Can. 6.1: Subject to the authorisation of the local episcopal authority, the marriage may take place in a domanial or nobiliary family chapel of one or both of the future spouses, or in the cathedral of the diocese of the betrothed, or in the absence thereof, in that of the bride.
Can. 6.2: Any marriage in another place must be done with the prior agreement of the bishop in charge of the diocese of residence of the betrothed or, in the absence thereof, of the bride, as well as that of the prelate in charge of the desired place.
Can. 6.2.1 : In the absence of a person in charge, it is up to the local religious authority directly superior to grant this authorisation.
Can. 6.2.2 : The authorisation must be requested before the publication of the banns and must be granted or refused within a period of five days; silence constitutes tacit authorisation.
Can. 6.2.3 : The authorisation can only be refused for lack of the required conditions of the betrothed, the witnesses or the officiating cleric or for other serious reasons of a canonical or dogmatic nature.
Can. 6.3 : Marriages celebrated in Roman basilicas and churches are subject to the prior approval of the competent cardinal or of the Holy See. Marriages celebrated in royal or imperial cathedrals are subject to the acceptance of the competent national consistory, the primate concerned, or any other authority deemed or recognised competent.
Can. 7 : The presence of at least two witnesses, chosen from among the faithful, is required. One representing the groom, the other the bride. They will be the guarantors before men of the act of marriage.
Can. 7.1 : If, for unforeseeable reasons, the witnesses indicated in the banns do not appear at the time of the celebration, it is possible to replace them among those present who fulfil the required conditions; in this case, the replacement must be published in the same places as the banns.
Can. 8 : The couple must be formed by two unmarried faithful, aged fourteen years or more and not subject to any interdiction or other condition or ecclesiastical sanction forbidding marriage.
Can. 9 : The betrothed may not be related to each other to the fourth degree or less. In a direct line, there are as many degrees as there are generations, the origin not being counted.
Can. 10 : The betrothal is formalised by the publication of banns at least fifteen days before the date of the marriage.
Can. 10.1 : If for any reason the couple should reduce the period of betrothal, an express and reasoned request shall be made to the competent metropolitan see, or in the absence thereof to the religious authority immediately superior, by the couple and the officiating cleric. The latter shall also inform his hierarchy.
Can. 10.2 : The banns must be published by both parties, in the Res Parendo church of the parish of In Gratebus residence of the betrothed, or of each of them if they do not have the same domicile.
Can. 10.3 : The publications of the banns mention the names and surnames, the domicile of the future spouses, the place where the marriage will take place and the names of the witnesses.
Can. 10.4 : If for any reason whatsoever the content of the banns, limited to the place of domicile of the future spouses, the place where the marriage will take place and the names of the witnesses, should change before the date of the marriage, it will be necessary to proceed with a new publication of the corrected banns with the same prescriptions, except for the fifteen-day time period
Article 11 : The spouses seal their union by the exchange of vows, symbolised by the exchange of the rings, before God and men.
Can.12 : In case of remarriage, the officiating cleric must ascertain the validity of the annulment, extinction or dissolution of the previous union.
Can. 13 : The officiating cleric records the act of marriage in the appropriate registers; the act is signed by the officiating cleric, the spouses and the witnesses.
Can. 14 : Canon law frames marriage within the perspective of a certain uniformity due to the uniqueness of the Church. However, for cultural or customary reasons, dioceses or provinces are entitled to impose further restrictions on the celebration of marriage, in agreement with the competent Pontifical Consistory and after consultation with the Congregations of the Holy Office and of the Diffusion of the Faith.
Section B : on the effects of marriage
Can. 15 : From marriage a sacramental bond is born between the spouses which authentically embodies and realises Aristotelian Friendship and gives foundation to a family.
Can. 16 : Each spouse has the same duties and rights within the couple and in family life in a spirit of full equality.
Can. 17 : Parents have the duty to provide for the care of their children and to raise them according to Aristotelian teachings.
Can. 18 : Children born from a valid marriage are legitimate, children born out of a valid marriage are illegitimate, children received in adoption are adopted; every child must be cared for by their parents regardless of their status.
Can. 19 : Illegitimate children are legitimised by the subsequent valid marriage of their parents or by decision of the Holy See.
Can. 19.1 : In case of legitimation by a subsequent valid marriage, the act of legitimation is issued by the competent bishop, or in the absence thereof by the religious authority immediately superior, at the joint request of the spouses and the child, or of the child alone in the event of the parents' predecease.
Can. 19.2 : In case of legitimation by decision of the Holy See, the act of legitimation is issued discretionarily by decree of the Supreme Pontiff, the Sacred College or the competent Consistory, at the joint petition of at least one parent and the child, or of the child alone in case of the parents' predecease.
Can. 19.2.1 : In case of a joint petition by one parent and the child or a petition by the child alone, the effects of legitimation extend only to the consenting parent or to the parent who has not expressed their opposition during their lifetime.
Can. 20 : Unless specifically provided otherwise, legitimate, illegitimate and adopted children are equal before Canon Law.
Section C : on the validity of marriage
Can. 21 : A marriage is either valid, vitiated but valid, or invalid.
Can. 21.1 : A marriage is valid if it is celebrated in accordance with all the canonical provisions in force.
Can. 21.2 : A marriage is vitiated but valid if it is celebrated subsisting minor procedural irregularities.
Can. 21.2.1 : For the purpose of illustration and not exhaustively, minor procedural irregularities include lack of authorisation for the celebration, error in the publication of banns, lack or late or erroneous registration of the act of marriage.
Can. 21.2.2 : The celebration of a marriage with minor procedural irregularities exposes the officiating cleric and the spouses to ecclesiastical censure for their misconduct.
Can. 21.3 : The marriage is invalid and therefore annullable if it is celebrated with serious procedural irregularities or with abuse of trust or deception on the part of one of the spouses at the time of marriage.
Can. 21.3.1 : For the purpose of illustration and not exhaustively, serious procedural irregularities include the non-celibacy of the spouses, the non-majority of the spouses, the lack of publication of banns, the lack of witnesses.
Can. 21.3.2 : The celebration of a marriage with serious irregularities or other causes of invalidity exposes the officiating cleric and the spouses to ecclesiastical censure for their misconduct.
Can. 21.3.3 : An invalid marriage apparently produces the ordinary effects of marriage in the absence of a sentence of annulment, but it remains annullable at any time unless the cause of the invalidity is rectified and the spouses confirm their intention to live together.
Can. 21.4 : In the absence of one or more elements of the causal quadriptych, the marriage is not concluded and is therefore non-existent; the celebration has no effect.
Can. 21.4.1 : The celebration of a non-existent marriage in affront to the Church is a crime against the Faith and exposes the false officiator and the false spouses to the most extreme spiritual sanctions; any sanction is excluded in the case of a mock celebration for leisure purposes.
Can. 22 : Marriage benefits from the favour of the law; in case of doubt, the marriage must be considered valid until proven otherwise.
Section D : on the end of marriage
Can. 23 : A valid marriage ends by extinction or dissolution; an invalid marriage by annulment.
Can. 24 : Any request for the extinction, dissolution or annulment of the sacrament of marriage must be brought in the first instance before the competent organ of Ordinary Justice, unless the Apostolic Authority of the Holy See takes charge of the resolution of the question by itself or another institution of the Roman Curia.
Extinction of the sacrament of marriage.
Can. 25 : The extinction of the sacrament of marriage is an automatic procedure requiring only a pronouncement by Ordinary Justice.
Can. 26 : The extinction of the sacrament of marriage is pronounced only in the event of the death or entrance into holy orders of one of the spouses.
Can. 26.1 : When entrance into holy orders is the reason invoked, the extinction of the sacrament of marriage implies a definitive suspension of conjugal duties.
Can. 26.2 : When entrance into holy orders is the reason invoked and procreation has taken place, the extinction of the sacrament of marriage does not entail a suspension of parental duties.
Article 27 : Upon the extinction of the sacrament of marriage, the marriage is recognised as valid and legitimate, but no longer produces effects in the future. The effects that have occurred in the past are legitimate and retain their full legitimacy in perpetuity.
Dissolution of the sacrament of marriage.
Can. 28 : The dissolution of the sacrament of marriage is an extinction of the latter following the decision of the spouses to separate and put an end to their life as a couple.
Can. 29 : The reasons that can be invoked for a dissolution of the sacrament of marriage are :
- The disappearance of amorous feelings between the spouses,
- Adultery committed by one of the two spouses; the offending spouse is always subject to an interdiction to remarry.
- Abandonment of the matrimonial home by either spouse for a period of more than 3 months. The spouse found guilty of marital negligence is liable to an interdiction to remarry.
- The disappearance of one of the spouses for a period of more than 3 months.
Article 30 : The dissolution of the sacrament of marriage implies the removal of the matrimonial obligations between the spouses.
Can. 31 :In case of dissolution, and in case there have been offspring, the parental obligations remain.
Can. 32 : Upon the dissolution of the sacrament of marriage, the marriage is recognised as valid and legitimate, but no longer produces effects in the future. The effects that have occurred in the past are legitimate and retain their full legitimacy in perpetuity.
Can. 33 : Any request for a dissolution of marriage is brought before the organ of Ordinary Justice under which the requesting spouse or spouses depend before being forwarded to the competent Pontifical Consistory.
Can. 33.1 : It is up to the competent organ of Ordinary Justice to rule on and publish an opinion on the said request, as well as a punitive and expiatory punishment. This opinion will then be deposited before the competent Pontifical Consistory in order to be validated or rejected.
Can. 34 : The Pontifical Consistories, in the territories subject to their jurisdiction, have full authority to dissolve the sacrament of marriage, to impose a punitive or expiatory sentence, to revise the punishment imposed by Ordinary Justice, and to impose an interdiction on one or both spouses.
Can. 34.1 : The Pontifical Consistories, in the territories subject to their jurisdiction, are the only ones, except for the Sacred College and the Pope, entitled to revise their judgement.
Annulment of the sacrament of marriage.
Can. 35 : The annulment of the marriage de facto recognises the marriage as null and void retroactively. It has therefore, in the eyes of the Church, never existed.
Can. 36 : Upon the annulment of the sacrament of marriage, the marriage is recognised as invalid and illegitimate. The effects that have occurred in the past are illegitimate and recognised as such in perpetuity.
Can. 36.1 : Only the Supreme Pontiff or his delegate can exceptionally legitimise the effects of this illegitimate concubinage.
Article 37 : The Supreme Pontiff, or the Sacred College of Cardinals in the name of the Supreme Pontiff, has the sole authority to annul the sacrament of marriage.
Can. 38 : Any request for annulment of a marriage is brought before the competent organ of Ordinary Justice and forwarded to the competent Pontifical Consistory which judges its pertinence.
Can. 39 : It is up to the Pontifical Consistory to rule and publish an opinion on the admissibility of the said request. This opinion will then be deposited before the Sacred College of Cardinals, which will decide.
Article 40 : The causes of an annulment of a marriage are defined by the admissibility of the petition and are almost exclusively confined to serious procedural irregularities in the conferral of the sacrament of marriage, abuse of trust or deception on the part of one of the spouses at the time of marriage.
Apostolic Constitution on the sacraments of the Aristotelian and Roman Church,
Given in Rome, on the venerated tomb of Saint Titus Prince of the Apostles, on the fourteenth day of the month of February, Tuesday, the day of Saint Valentine Presbyter and Martyr, Patron of Lovers, in the year of Our Lord MCDLXXI, the fifth of Our Pontificate, the third of the Era of the Restoration of the Faith
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Eskerrik asko Iñési sinaduragatik
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Sixtus Pape


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Posté le: Jeu Fév 16, 2023 12:11 am Sujet du message: |
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Ad mundi salutem per sanctificationem
Constituição Apostólica « Rumo à Salvação do Mundo pela Santificação ».
- Sequel -
Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam
Livro 1: O Trabalho de Santificação da Igreja através dos Sacramentos.
Parte II: O Sacramento do Matrimônio
Seção A: Do Sacramento
Can. 1: O Quadríptico Causal:
A Causa Material = Um homem e uma mulher fiéis da Igreja Aristotélica.
A Causa Eficiente = Qualquer clérigo habilitado por seu cargo.
A Causa Formal = A cerimônia, a troca de votos e de alianças.
A Causa Final = Uma união diante do Altíssimo e dos homens com o propósito de fundar uma família e de encontrar a amizade aristotélica.
Can. 2: Os preceitos da Igreja quanto às questões matrimoniais e à natureza do matrimônio são abordados no Livro 4 sobre as Doutrinas e Sacramentos da Igreja.
Can. 3: O matrimônio é a consagração do acordo profundo entre duas pessoas, criando uma comunidade de vida, considerada indissolúvel e simbolizando a Amizade Aristotélica em uma de suas formas mais íntimas; portanto, entre os fiéis só pode haver vínculo matrimonial através do sacramento.
Can. 4: Somente os padres com um cargo clerical estão autorizados a celebrar o matrimônio, bem como os clérigos autorizados a ministrar este sacramento.
Can. 5: Um matrimônio só pode ser realizado com a autorização do responsável pela paróquia de cada um dos dois futuros cônjuges.
Can. 5.1: Na ausência de um responsável, cabe à autoridade religiosa local imediatamente superior conceder esta autorização.
Can. 5.2: A autorização deve ser solicitada antes da publicação dos proclamas e deve ser concedida ou recusada no prazo de cinco dias; o silêncio é considerado como autorização tácita.
Can. 5.3: A autorização só pode ser recusada pela falta das condições exigidas aos noivos, às testemunhas ou ao clérigo oficiante, ou por outras razões sérias de natureza canônica ou dogmática.
Can. 6: O matrimônio é celebrado preferencialmente na paróquia de residência dos noivos, se estes residirem no mesmo local, caso contrário, no da noiva.
Can. 6.1: Mediante a autorização da autoridade episcopal local, o matrimônio pode ser celebrado em uma capela familiar dominial ou nobiliárquica de um ou de ambos os futuros cônjuges, ou na catedral da diocese do noivo, ou, na falta desta, na catedral da noiva.
Can. 6.2: Qualquer matrimônio em outro local deve ser celebrado com a autorização prévia do Bispo encarregado da Diocese de residência dos noivos ou, na falta deste, da noiva, bem como do prelado encarregado do local desejado.
Can. 6.2.1: Na ausência de um responsável, cabe à autoridade religiosa local imediatamente superior conceder esta autorização.
Can. 6.2.2: A autorização deve ser solicitada antes da publicação dos proclamas e deve ser concedida ou recusada no prazo de cinco dias; o silêncio é considerado como autorização tácita.
Can. 6.2.3: A autorização só pode ser recusada pela falta das condições exigidas aos noivos, às testemunhas ou ao clérigo oficiante, ou por outras razões sérias de natureza canônica ou dogmática.
Can. 6.3: Os matrimônios celebrados nas Basílicas e Igrejas Romanas estão sujeitos à aprovação prévia do Cardeal competente ou da Santa Sé. Os matrimônios celebrados em Catedrais Reais ou Imperiais estão sujeitos à aprovação do Consistório Nacional competente, do Primaz correspondente, ou de qualquer outra autoridade considerada ou reconhecida como competente.
Can. 7: É necessária a presença de ao menos duas testemunhas, escolhidas dentre os fiéis. Uma representando o noivo, a outra a noiva. Eles serão os garantes diante dos homens do ato de matrimônio.
Can. 7.1: Se, por razões imprevisíveis, as testemunhas indicadas nos proclamas não comparecerem no momento da celebração, é possível substituí-las dentre os presentes que preencham as condições exigidas; neste caso, a substituição deve ser publicada nos mesmos locais que os proclamas.
Can. 8: O casal deve ser constituído por dois fiéis solteiros, com 14 anos ou mais e não devem estar sujeitos a nenhuma interdição ou outra condição ou sanção eclesiástica que impeça o matrimônio.
Can. 9: Os noivos não podem ter laços de consanguinidade em quarto grau ou inferior. Na linha reta, há tantos graus quanto gerações, não se contabilizando a origem.
Can. 10: O noivado é formalizado pela publicação dos proclamas pelo menos quinze dias antes da data do matrimônio.
Can. 10.1: Se por qualquer razão o casal vier a reduzir o período de noivado, um pedido expresso e fundamentado deverá ser feito à Sé Metropolitana competente, ou, na falta desta, à autoridade religiosa imediatamente superior, pelo casal e pelo clérigo oficiante. Este último também deverá informar sua hierarquia.
Can. 10.2: Os proclamas devem ser publicados por ambas as partes na Igreja Res Parendo da paróquia de residência In Gratebus dos noivos, ou de cada um deles caso não tenham o mesmo domicílio.
Can. 10.3: A publicação dos proclamas deve indicar os sobrenomes e prenomes, o domicílio dos futuros cônjuges, o local onde o matrimônio será realizado e os nomes das testemunhas.
Can. 10.4: Se, por qualquer motivo, o conteúdo dos proclamas, limitado ao local de residência dos futuros cônjuges, ao local onde o matrimônio será realizado e aos nomes das testemunhas, for alterado antes da data do casamento, será necessário promover uma nova publicação dos proclamas corrigidos com as mesmas prescrições, com exceção do prazo de quinze dias.
Article 11: Os cônjuges selam sua união pela troca de votos, simbolizada pela troca de alianças, diante de Deus e dos homens.
Can.12: No caso de novo matrimônio, o clérigo oficiante deverá averiguar a vigência da anulação, da extinção ou da dissolução da união anterior.
Can. 13: O clérigo oficiante registra o ato matrimonial junto aos registros apropriados; o ato é assinado pelo clérigo oficiante, pelos cônjuges e pelas testemunhas.
Can. 14: O direito canônico disciplina o matrimônio visando uma certa uniformidade, devido à singularidade da Igreja. Entretanto, por razões culturais ou de costume, as dioceses ou as províncias têm o direito de impor restrições suplementares à celebração do matrimônio, de acordo com o Consistório Pontifício competente e após consulta às Congregações do Santo Ofício e da Difusão da Fé.
Seção B: Dos Efeitos do Matrimônio
Can. 15: Do matrimônio nasce um vínculo sacramental entre os cônjuges que, autenticamente, encarna e materializa a Amizade Aristotélica e dá fundamento a uma família.
Can. 16: Cada cônjuge tem os mesmos deveres e direitos dentro do casal e na vida familiar, num espírito de plena igualdade.
Can. 17: Os pais têm o dever de cuidar de seus filhos e de criá-los de acordo com os ensinamentos aristotélicos.
Can. 18: Os filhos nascidos de um matrimônio válido são legítimos, os filhos nascidos fora de um matrimônio válido são ilegítimos, os filhos acolhidos em adoção são adotados; cada filho deve receber os cuidados de seus pais, independentemente de seu estatuto.
Can. 19: Os filhos ilegítimos são legitimados pelo matrimônio válido posterior de seus pais ou por decisão da Santa Sé.
Can. 19.1: Em caso de legitimação por um matrimônio válido posterior, o ato de legitimação é emitido pelo bispo competente, ou na ausência deste, pela autoridade religiosa imediatamente superior, a pedido conjunto dos cônjuges e do filho, ou somente do filho, no caso de falecimento dos pais.
Can. 19.2: Em caso de legitimação por decisão da Santa Sé, o ato de legitimação é emitido discricionariamente por decreto do Soberano Pontífice, do Sagrado Colégio ou do Consistório competente, a pedido conjunto de ao menos um dos pais e do filho, ou somente do filho, no caso de falecimento dos pais.
Can. 19.2.1: No caso de uma solicitação conjunta de apenas um dos pais e do filho ou de uma solicitação somente do filho, os efeitos da legitimação se estendem apenas ao pai ou à mãe que deu o consentimento ou ao pai ou mãe que não expressou sua oposição durante sua vida.
Can. 20: Salvo disposição específica em contrário, os filhos legítimos, ilegítimos e adotados são iguais perante o Direito Canônico.
Seção C: Da Validade do Matrimônio
Can. 21: Um matrimônio ou é válido, viciado porém válido, ou inválido.
Can. 21.1: Um matrimônio é válido se for celebrado de acordo com todas as disposições canônicas em vigor.
Can. 21.2: Um matrimônio é viciado, porém válido se for celebrado com pequenas irregularidades procedimentais.
Can. 21.2.1: Para fins ilustrativos e não exaustivos, pequenas irregularidades procedimentais incluem a falta de autorização para a celebração, erro na publicação dos proclamas, a ausência ou registro tardio ou errôneo do ato do matrimônio.
Can. 21.2.2: A celebração de um matrimônio com pequenas irregularidades procedimentais expõe o clérigo oficiante e os cônjuges à censura eclesiástica por sua má conduta.
Can. 21.3: O matrimônio é inválido e, portanto, anulável se for celebrado com graves irregularidades procedimentais ou com abuso de confiança ou fraude por parte de um dos cônjuges no momento do matrimônio.
Can. 21.3.1: Para fins ilustrativos e não exaustivos, as graves irregularidades procedimentais incluem o não-celibato dos cônjuges, a não maioridade dos cônjuges, a não publicação dos proclamas, a falta de testemunhas.
Can. 21.3.2: A celebração de um matrimônio com graves irregularidades ou outras causas de invalidez expõe o clérigo oficiante e os cônjuges à censura eclesiástica por sua má conduta.
Can. 21.3.3: Um matrimônio inválido aparentemente produz os efeitos normais do matrimônio na ausência de uma sentença de anulação, mas permanece anulável a qualquer momento, salvo se a causa da invalidez for retificada e os cônjuges confirmarem sua intenção de viver juntos.
Can. 21.4 : Na ausência de um ou mais elementos do quadríptico causal, o matrimônio não é concluído e, portanto, é inexistente; a celebração não produz efeitos.
Can. 21.4.1: A celebração de um matrimônio inexistente em afronta à Igreja é um crime contra a Fé e expõe o falso oficiante e os falsos cônjuges às mais extremas sanções espirituais; qualquer sanção é excluída no caso de uma celebração simulada para fins lúdicos.
Can. 22 : O matrimônio se beneficia do favor da lei; em caso de dúvida, o matrimônio deve ser considerado válido até prova em contrário.
Seção D: Do Fim do Matrimônio
Can. 23: Um matrimônio válido tem fim pela extinção ou pela dissolução; um matrimônio inválido pela anulação.
Can. 24: Qualquer solicitação de extinção, dissolução ou anulação do sacramento do matrimônio deve ser apresentada, em primeira instância, ao órgão competente da Justiça Ordinária, salvo se a Autoridade Apostólica da Santa Sé se encarregar da resolução da questão por si mesma ou por outra instituição da Cúria Romana.
Extinção do Sacramento do Matrimônio.
Can. 25: A extinção do sacramento do matrimônio é um procedimento automático que requer apenas o pronunciamento da Justiça Ordinária.
Can. 26: A extinção do sacramento do matrimônio é pronunciada somente em caso de morte ou ingresso em ordens sagradas de um dos cônjuges.
Can. 26.1: Quando o ingresso em ordens sagradas for o motivo invocado, a extinção do sacramento do matrimônio implica a suspensão definitiva dos deveres conjugais.
Can. 26.2: Quando o ingresso nas ordens sagradas for o motivo invocado e tiver ocorrido a procriação, a extinção do sacramento do matrimônio não implica a suspensão dos deveres parentais.
Article 27: Com a extinção do sacramento do matrimônio, o matrimônio é reconhecido como válido e legítimo, mas não produz mais efeitos no futuro. Os efeitos que ocorreram no passado são legítimos e conservam perpetuamente sua plena legitimidade.
Dissolução do Sacramento do Matrimônio.
Can. 28: A dissolução do sacramento do matrimônio é uma extinção deste último após a decisão dos cônjuges de se separarem e porem fim à vida conjugal.
Can. 29: As razões que podem ser invocadas para uma dissolução do sacramento do matrimônio são:
- O desaparecimento de sentimentos amorosos entre os cônjuges.
- Adultério cometido por um dos dois cônjuges; o cônjuge infrator estará sempre sujeito a uma interdição para novo matrimônio.
- Abandono do lar conjugal por um dos cônjuges por um período superior a 3 meses. O cônjuge considerado culpado de negligência conjugal é passível de interdição para novo matrimônio.
- O desaparecimento de um dos cônjuges por um período de tempo superior a 3 meses.
Article 30 : A dissolução do sacramento do matrimônio implica o levantamento das obrigações matrimoniais entre os cônjuges.
Can. 31: Em caso de dissolução, tendo havido descendência, as obrigações parentais permanecem.
Can. 32: Após a dissolução do sacramento do matrimônio, o matrimônio é reconhecido como válido e legítimo, mas não produz mais efeitos no futuro. Os efeitos que ocorreram no passado são legítimos e conservam perpetuamente sua plena legitimidade.
Can. 33: Qualquer pedido de dissolução do matrimônio deve ser apresentado ao órgão da Justiça Ordinária do qual depende o cônjuge ou cônjuges requerentes antes de ser encaminhado ao Consistório Pontifical competente.
Can. 33.1: Compete ao órgão competente da Justiça Ordinária decidir e publicar um parecer sobre o referido pedido, bem como sobre uma pena punitiva e expiatória. Este parecer será, então, submetido ao Consistório Pontifical competente a fim de ser validado ou rejeitado.
Can. 34: Os Consistórios Pontificais, nos territórios sujeitos à sua jurisdição, possuem plena autoridade para dissolver o sacramento do matrimônio, para impor uma sentença punitiva ou expiatória, para rever a punição imposta pela Justiça Ordinária e para impor uma interdição a um ou ambos os cônjuges.
Can. 34.1: Os Consistórios Pontificais, nos territórios sujeitos à sua jurisdição, são os únicos, com exceção do Sagrado Colégio e do Papa, com poderes para revisar seu julgamento.
Anulação do Sacramento do Matrimônio.
Can. 35: A anulação do matrimônio reconhece, de fato, o matrimônio retroativamente como nulo. Portanto, aos olhos da Igreja, ela nunca existiu.
Can. 36: Após a anulação do sacramento do matrimônio, o matrimônio é reconhecido como inválido e ilegítimo. Os efeitos produzidos no passado são ilegítimos e reconhecidos como tal em caráter perpétuo.
Can. 36.1: Somente o Soberano Pontífice ou seu delegado pode, excepcionalmente, legitimar os efeitos deste concubinato ilegítimo.
Article 37 : Somente o Soberano Pontífice ou o Sagrado Colégio dos Cardeais, em nome do Soberano Pontífice, possuem autoridade para anular o sacramento do matrimônio.
Can. 38: Qualquer pedido de anulação de um matrimônio deve ser apresentado ao órgão competente da Justiça Ordinária e encaminhado ao Consistório Pontifical competente, a fim de julgar sua pertinência.
Can. 39: Compete ao Consistório Pontifical decidir e publicar um parecer sobre a admissibilidade do referido pedido. Este parecer será, então, submetido ao Sagrado Colégio dos Cardeais, para decisão.
Can 40: As causas para a anulação de um matrimônio são definidas pela admissibilidade do pedido e se limitam, quase que exclusivamente, a graves irregularidades procedimentais na celebração do sacramento do matrimônio, abuso de confiança ou fraude por parte de um dos cônjuges no momento do matrimônio.
Constituição Apostólica sobre os Sacramentos da Igreja Aristotélica e Romana,
Dado em Roma, sobre a venerada tumba de São Titus, Príncipe dos Apóstolos, no décimo quarto dia de Fevereiro, Terça-Feira, dia de São Valentim, Presbitério e Mártir, Padroeiro dos Enamorados, do ano da Graça MCDLXXI, o quinto de Nosso Pontificado, terceiro da Era da Restauração da Fé.
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Ad mundi salutem per sanctificationem
Apostolische Konstitution "Auf dem Weg zur Erlösung der Welt durch Heiligung".
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Sixtus Episcopus, Servus Servorum Dei, Ad perpetuam rei memoriam
Buch 1: Das Werk der Heiligung der Kirche durch die Sakramente.
Teil II: Das Sakrament der Ehe.
Abschnitt A : vom Sakrament
Can. 1 : Das kausale Quadriptychon :
Die materielle Ursache = Ein Mann und eine Frau, die der Aristotelischen Kirche treu ergeben sind.
Die Wirkursache = Jeder Kleriker, der durch sein Amt befähigt ist.
Die formale Ursache = Das Amt, der Austausch von Gelübden und Bündnissen.
Die letzte Ursache = Eine Vereinigung vor dem Allerhöchsten und den Menschen mit dem Ziel, eine Familie zu gründen und die aristotelische Freundschaft zu finden.
Can. 2 : Die Gebote der Kirche in Ehefragen und das Wesen der Ehe selbst werden in Buch 4 über die Lehren und Sakramente der Kirche wiedergegeben.
Can. 3 : Die Ehe ist die Weihe der tiefen Übereinstimmung zwischen zwei Personen, die eine Lebensgemeinschaft schafft, die als unauflöslich gilt und die aristotelische Freundschaft in einer ihrer engsten Formen symbolisiert; daher kann die Ehe zwischen Gläubigen nur durch das Sakrament geschlossen werden.
Can. 4 : Nur Priester mit einem klerikalen Amt sowie Kleriker, die dieses Sakrament spenden dürfen, sind berechtigt, eine Ehe zu schließen.
Can. 5 : Jede Eheschließung kann nur mit der Genehmigung des Gemeindepfarrers jedes der beiden zukünftigen Ehepartner erfolgen.
Can. 5.1 : Wenn es keinen Verantwortlichen gibt, muss die direkt übergeordnete lokale religiöse Autorität die Genehmigung erteilen.
Can. 5.2 : Die Genehmigung muss vor der Veröffentlichung des Aufgebots beantragt werden und muss innerhalb von fünf Tagen erteilt oder verweigert werden; Schweigen gilt als stillschweigende Genehmigung.
Can. 5.3 : Die Genehmigung kann nur wegen fehlender Voraussetzungen der Verlobten, der Zeugen oder des amtierenden Klerikers oder aus anderen schwerwiegenden kirchenrechtlichen oder dogmatischen Gründen verweigert werden.
Can. 6: Die Ehe wird vorzugsweise in der Wohngemeinde der Verlobten geschlossen, wenn sie am selben Ort wohnen, andernfalls in der Gemeinde der Braut.
Can. 6.1: Vorbehaltlich der Genehmigung der örtlichen bischöflichen Autorität kann die Eheschließung in einer herrschaftlichen oder adeligen Familienkapelle eines oder mehrerer Brautleute oder in der Kathedrale der Diözese der Verlobten oder in Ermangelung einer solchen in der Kathedrale der Braut stattfinden.
Can. 6.2: Jede Eheschließung an einem anderen Ort muss die vorherige Zustimmung des zuständigen Bischofs der Diözese, in der die Verlobten oder in Ermangelung dessen die Verlobte wohnen, sowie des Prälaten, der für den gewünschten Ort zuständig ist, einholen.
Can. 6.2.1 : Wenn es keinen Verantwortlichen gibt, muss die direkt übergeordnete lokale religiöse Autorität die Genehmigung erteilen.
Can. 6.2.2 : Die Genehmigung muss vor der Veröffentlichung des Aufgebots beantragt werden und muss innerhalb von fünf Tagen erteilt oder verweigert werden; Schweigen gilt als stillschweigende Genehmigung.
Can. 6.2.3 : Die Genehmigung kann nur wegen fehlender Voraussetzungen der Verlobten, der Zeugen oder des amtierenden Klerikers oder aus anderen schwerwiegenden kirchenrechtlichen oder dogmatischen Gründen verweigert werden.
Can. 6.3 : Ehen, die in römischen Basiliken und Kirchen geschlossen werden, bedürfen der vorherigen Zustimmung des zuständigen Kardinals oder des Heiligen Stuhls. Ehen, die in königlichen oder kaiserlichen Kathedralen geschlossen werden, bedürfen der Zustimmung des zuständigen nationalen Konsistoriums, des betreffenden Primas oder einer anderen für zuständig befundenen oder als zuständig anerkannten Autorität.
Can. 7 : Es müssen mindestens zwei Zeugen anwesend sein, die aus dem Kreis der Gläubigen ausgewählt werden. Einer vertritt den Bräutigam, der andere die Braut. Sie sind die Zeugen vor den Menschen, die für den Akt der Eheschließung bürgen.
Can. 7.1 : Wenn aus unvorhersehbaren Gründen zum Zeitpunkt der Trauung die in der Ankündigung angegebenen Zeugen nicht erscheinen, können sie unter den Anwesenden, die die Voraussetzungen erfüllen, ersetzt werden; in diesem Fall muss die Ersetzung an denselben Stellen wie die Ankündigung veröffentlicht werden.
Can. 8 : Das Paar muss aus zwei unverheirateten Gläubigen bestehen, die mindestens vierzehn Jahre alt sind und nicht einem Verbot oder einer anderen kirchlichen Bedingung oder Sanktion unterliegen, die die Eheschließung verhindert.
Can. 9 : Die Verlobten dürfen nicht in einer Blutsverwandtschaft bis zum vierten Grad oder darunter stehen. In der direkten Linie gibt es so viele Grade wie Generationen, wobei der Stamm nicht mitgezählt wird.
Can. 10 : Die Verlobung wird durch die Veröffentlichung der Verlobungsliste mindestens zwei Wochen vor dem Hochzeitstermin offiziell bekannt gemacht.
Can. 10.1 : Sollte das Paar aus irgendeinem Grund die Verlobungszeit verkürzen müssen, muss ein ausdrücklicher und begründeter Antrag des Paares und des amtierenden Klerikers beim zuständigen Metropolitansitz oder, falls dieser nicht vorhanden ist, bei der nächsthöheren religiösen Autorität eingereicht werden. Der Kleriker muss auch seine Vorgesetzten davon in Kenntnis setzen.
Can. 10.2 : Das Aufgebot muss von beiden Parteien in der Res Parendo-Kirche der In Gratebus-Gemeinde der Verlobten oder jeder Gemeinde, wenn sie nicht denselben Wohnsitz haben, veröffentlicht werden.
Can. 10.3 : Die Veröffentlichung des Aufgebots enthält die Namen und Vornamen, den Wohnort der zukünftigen Ehegatten, den Ort der Eheschließung und die Namen der Zeugen.
Can. 10.4 : Sollte sich aus irgendeinem Grund der Inhalt des Aufgebots, der sich auf den Wohnort der zukünftigen Ehegatten, den Ort, an dem die Hochzeit stattfinden wird, und die Namen der Trauzeugen beschränkt, vor dem Hochzeitstermin ändern, muss ein neues, korrigiertes Aufgebot mit denselben Vorschriften abgesehen von den Fristen von 15 Tagen veröffentlicht werden.
Artikel 11 : Die Eheleute besiegeln ihre Verbindung durch den Austausch von Gelübden, symbolisiert durch den Austausch der Ringe, vor Gott und den Menschen.
Can.12 : Im Falle einer Wiederverheiratung muss der amtierende Kleriker die Gültigkeit der Annullierung, des Erlöschens oder der Auflösung der vorherigen Ehe feststellen.
Can. 13 : Der amtierende Geistliche trägt die Heiratsurkunde in die entsprechenden Register ein; die Urkunde wird vom amtierenden Geistlichen, den Eheleuten und den Zeugen unterschrieben.
Can. 14 : Das kanonische Recht rahmt die Ehe im Hinblick auf eine gewisse Einheitlichkeit, die auf die Einheit der Kirche zurückzuführen ist. Aus kulturellen oder gewohnheitsmäßigen Gründen sind die Diözesen oder Provinzen jedoch berechtigt, in Absprache mit dem zuständigen Päpstlichen Konsistorium und nach Konsultation der Kongregationen des Heiligen Offiziums und der Glaubensverbreitung weitere Einschränkungen für die Eheschließung vorzunehmen.
Abschnitt B : die Wirkungen der Ehe
Can. 15 : Durch die Ehe entsteht zwischen den Ehepartnern ein sakramentales Band, das die aristotelische Freundschaft authentisch verkörpert und verwirklicht und eine Familie begründet.
Can. 16 : Jeder Ehepartner hat in der Ehe und im Familienleben die gleichen Pflichten und Rechte im Sinne einer völligen Gleichberechtigung.
Can. 17 : Die Eltern haben die Pflicht, für ihre Kinder zu sorgen und sie nach den aristotelischen Lehren zu erziehen.
Can. 18 : Kinder, die in einer gültigen Ehe geboren wurden, sind rechtmäßig, Kinder, die außerhalb einer gültigen Ehe geboren wurden, sind unehelich, Kinder, die zur Adoption aufgenommen wurden, sind adoptiert; jedes Kind muss unabhängig von seinem Status von seinen Eltern versorgt werden.
Can. 19 : Uneheliche Kinder werden durch die anschließende gültige Ehe ihrer Eltern oder durch eine Entscheidung des Heiligen Stuhls legitimiert.
Can. 19.1 : Im Falle der Legitimation durch eine nachfolgende gültige Ehe wird die Legitimationsurkunde vom zuständigen Bischof oder, falls es keinen Bischof gibt, von der nächsthöheren religiösen Autorität auf gemeinsamen Antrag der Ehegatten und des Kindes oder des einzigen Kindes im Falle des frühen Todes der Eltern ausgestellt.
Can. 19.2 : Im Falle der Legitimation durch Entscheidung des Heiligen Stuhls wird die Legitimationsurkunde nach eigenem Ermessen durch Dekret des Papstes, des Heiligen Kollegiums oder des zuständigen Konsistoriums auf gemeinsamen Antrag von mindestens einem Elternteil und dem Kind oder dem einzigen Kind im Falle des früheren Todes der Eltern ausgestellt.
Can. 19.2.1 : Bei einem gemeinsamen Antrag eines Elternteils und des Kindes oder einem Antrag des einzigen Kindes erstrecken sich die Wirkungen der Legitimation nur auf den Elternteil, der zustimmt oder zu Lebzeiten keinen Widerspruch eingelegt hat.
Can. 20 : Sofern nicht ausdrücklich etwas anderes bestimmt ist, sind eheliche, uneheliche und adoptierte Kinder vor dem kanonischen Recht gleich.
Abschnitt C : die Gültigkeit der Ehe
Can. 21 : Die Ehe ist entweder gültig oder fehlerhaft, aber gültig, oder ungültig.
Can. 21.1 : Eine Ehe ist gültig, wenn sie unter Einhaltung aller geltenden kirchenrechtlichen Normen geschlossen wird.
Can. 21.2 : Die Ehe ist fehlerhaft, aber gültig, wenn sie mit geringfügigen Verfahrensfehlern geschlossen wird.
Can. 21.2.1 : Zur Veranschaulichung und ohne Anspruch auf Vollständigkeit gehören zu den kleineren Verfahrensfehlern das Fehlen einer Genehmigung für die Eheschließung, ein Fehler bei der Veröffentlichung des Aufgebots, das Fehlen oder die verspätete oder fehlerhafte Eintragung der Heiratsurkunde.
Can. 21.2.2 : Eine Eheschließung mit geringfügigen Verfahrensfehlern setzt den amtierenden Geistlichen und die Eheleute für ihre Versäumnisse der kirchlichen Sanktionierung aus.
Can. 21.3 : Die Ehe ist ungültig und kann daher annulliert werden, wenn sie unter schweren Verfahrensfehlern oder unter Vertrauensbruch oder Täuschung durch einen der Ehepartner bei der Eheschließung geschlossen wird.
Can. 21.3.1 : Zur Veranschaulichung und ohne Anspruch auf Vollständigkeit gehören zu den schwerwiegenden Verfahrensfehlern das Nichtehelichenverhältnis der Ehegatten, die fehlende Volljährigkeit der Ehegatten, die fehlende Veröffentlichung des Aufgebots und das Fehlen von Zeugen.
Can. 21.3.2 : Eine Eheschließung mit schweren Verfahrensfehlern oder anderen Ungültigkeitsgründen setzt den amtierenden Kleriker und die Eheleute für ihre Versäumnisse der kirchlichen Sanktionierung aus.
Can. 21.3.3 : Eine ungültige Ehe hat offenbar die gewöhnlichen Wirkungen einer Ehe, wenn kein Ungültigkeitsurteil vorliegt, sie bleibt aber jederzeit anfechtbar, es sei denn, der Grund für die Ungültigkeit wird behoben und die Ehepartner bestätigen ihren Willen, zusammenzuleben..
Can. 21.4 : Fehlt eines oder mehrere Elemente des kausalen Quadriptychons, wird die Ehe nicht geschlossen und ist somit inexistent, die Eheschließung entfaltet keine Wirkung.
Can. 21.4.1 : Die Feier einer nicht existierenden Ehe als Affront gegen die Kirche ist ein Verbrechen gegen den Glauben und setzt den vorgetäuschten Amtsträger und die vorgetäuschten Eheleute den extremsten geistlichen Strafen aus; jegliche Strafe ist ausgeschlossen, wenn eine Feier zu Unterhaltungszwecken vorgetäuscht wird.
Can. 22 : Die Ehe genießt die Gunst des Rechts; im Zweifelsfall muss man die Ehe bis zum Beweis des Gegenteils für gültig halten.
Abschnitt D : vom Ende der Ehe
Can. 23 : Eine gültige Ehe endet durch Erlöschen oder Auflösung; eine ungültige Ehe durch Annullierung.
Can. 24 : Jeder Antrag auf Erlöschen, Auflösung oder Annullierung des Ehesakraments muss in erster Instanz vor das zuständige Organ der ordentlichen Gerichtsbarkeit gebracht werden, sofern nicht die Apostolische Autorität des Heiligen Stuhls selbst oder eine andere Institution der Römischen Kurie mit der Lösung der Frage befasst ist.
Erlöschen des Ehesakraments.
Can. 25 : Das Erlöschen des Ehesakraments ist ein automatischer Vorgang, der nur einer Feststellung durch das ordentliche Gericht bedarf.
Can. 26 : Das Erlöschen des Ehesakraments wird nur im Falle des Todes oder des Eintritts eines der beiden Ehepartner in einen Orden ausgesprochen.
Can. 26.1 : Wenn die Aufnahme in den Orden als Grund angegeben wird, bedeutet das Erlöschen des Ehesakraments eine endgültige Aussetzung der ehelichen Pflichten.
Can. 26.2 : Wenn die Aufnahme in den Orden als Grund angegeben wird und es zu einer Zeugung gekommen ist, bedeutet das Erlöschen des Ehesakraments nicht, dass die elterlichen Pflichten ausgesetzt werden.
Artikel 27 : Wenn das Sakrament der Ehe erlischt, wird die Ehe als gültig und legitim anerkannt, hat aber keine Auswirkungen mehr auf die Zukunft. Die in der Vergangenheit eingetretenen Wirkungen sind legitim und behalten ihre volle Legitimität für immer.
Auflösung des Ehesakraments.
Can. 28 : Die Auflösung des Ehesakraments ist ein Erlöschen der Ehe aufgrund der Entscheidung der Eheleute, sich zu trennen und ihr Eheleben zu beenden.
Can. 29 : Die Gründe, die für eine Auflösung des Ehesakraments angeführt werden können, sind :
- Das Verschwinden der Liebesgefühle zwischen den Ehepartnern,
- Ehebruch, der von einem der beiden Ehegatten begangen wird; der schuldige Ehegatte wird immer mit einem Wiederverheiratungsverbot belegt.
- Das Verlassen der ehelichen Wohnung durch einen der beiden Ehegatten für einen Zeitraum von mehr als drei Monaten. Der Ehegatte, der der ehelichen Vernachlässigung für schuldig befunden wird, unterliegt dem Verbot der Wiederverheiratung.
- Das Verschwinden eines der beiden Ehegatten für einen Zeitraum von mehr als drei Monaten.
Artikel 30 : Die Auflösung des Ehesakraments bedeutet, dass die ehelichen Verpflichtungen zwischen den Ehepartnern aufgehoben werden.
Can. 31 : Im Falle einer Auflösung und wenn es zu Nachkommenschaft gekommen ist, bleiben die elterlichen Pflichten bestehen.
Can. 32 : Bei der Auflösung des Ehesakraments wird die Ehe als gültig und legitim anerkannt, hat aber keine Auswirkungen mehr auf die Zukunft. Die in der Vergangenheit eingetretenen Wirkungen sind legitim und behalten ihre volle Legitimität für immer.
Can. 33 : Jeder Antrag auf Auflösung einer Ehe wird vor dem Organ der ordentlichen Gerichtsbarkeit eingereicht, dem der oder die antragstellenden Ehepartner unterstehen, bevor er an das zuständige Päpstliche Konsistorium weitergeleitet wird.
Can. 33.1 : Es obliegt dem zuständigen Organ der ordentlichen Gerichtsbarkeit, eine Entscheidung zu treffen und ein Gutachten über den besagten Antrag sowie eine Straf- und Sühnemaßnahme zu veröffentlichen. Dieses Gutachten wird dann beim zuständigen päpstlichen Konsistorium zur Bestätigung oder Ablehnung eingereicht..
Can. 34 : Die Päpstlichen Konsistorien haben in den Gebieten, die ihrer Jurisdiktion unterstehen, die volle Autorität über die Auflösung des Ehesakraments, die Verhängung einer Straf- oder Sühnestrafe, die Revision einer vom ordentlichen Gericht verhängten Strafe sowie über Verbote, die einen oder beide Ehegatten treffen.
Can. 34.1 : Die päpstlichen Konsistorien sind in den Gebieten, die ihrer Gerichtsbarkeit unterliegen, die einzigen, die außer dem Heiligen Kollegium und dem Papst berechtigt sind, ihr Urteil zu revidieren.
Annullierung des Ehesakraments.
Can. 35 : Durch die Annullierung einer Ehe wird die Ehe de facto rückwirkend als ungültig anerkannt. In den Augen der Kirche hat sie daher nie existiert.
Can. 36 : Bei einer Annullierung des Ehesakraments wird die Ehe als ungültig und illegitim anerkannt. Die in der Vergangenheit eingetretenen Wirkungen sind illegitim und werden als solche auf Dauer anerkannt.
Can. 36.1 : Nur der Pontifex oder sein Beauftragter kann ausnahmsweise die Wirkungen legitimieren, die während dieses unrechtmäßigen Konkubinatslebens eingetreten sind.
Artikel 37 : Der Papst oder das Kardinalskollegium im Namen des Papstes hat die alleinige Autorität, das Sakrament der Ehe für nichtig zu erklären.
Can. 38 : Jeder Antrag auf Annullierung einer Ehe wird beim zuständigen Organ der ordentlichen Gerichtsbarkeit eingereicht und an das zuständige Päpstliche Konsistorium weitergeleitet, das über seine Relevanz urteilt.
Can. 39 : Es ist Aufgabe des Päpstlichen Konsistoriums, über die Zulässigkeit des Antrags zu entscheiden und eine Stellungnahme zu veröffentlichen. Diese Stellungnahme wird dann beim Kardinalskollegium eingereicht, das darüber entscheidet.
Artikel 40 : Die Gründe für eine Eheannullierung richten sich nach der Zulässigkeit des Antrags und beschränken sich fast ausschließlich auf schwere Verfahrensfehler bei der Gewährung des Ehesakraments, Vertrauensmissbrauch oder Täuschung durch einen der Ehepartner bei der Eheschließung.
Apostolische Konstitution über die Sakramente der Aristotelischen und Römischen Kirche,
Gegeben zu Rom, am verehrten Grab des heiligen Titus, Apostelfürst, am vierzehnten Tag des Monats Februar, Dienstag, dem Tag des heiligen Valentin, Presbyter und Märtyrer, Patron der Liebenden, im Jahr des Herrn MCDLXXI, dem fünften Unseres Pontifikats, dem dritten der Ära der Wiederherstellung des Glaubens.
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Eskerrik asko Iñési sinaduragatik |
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Adonnis Cardinal


Inscrit le: 19 Jan 2018 Messages: 5125 Localisation: Monte Real/Leiria - Palazzo Taverna/Roma
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Posté le: Jeu Fév 16, 2023 10:46 pm Sujet du message: |
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I think the new text is very good, more elucidative and complete than the previous text. _________________
.....Cardinal-Presbyter of Saint Anthony of the Portuguese / Grand Audiencier of the Holy See / General Inquisitor of Portugal
...............Primate of Portugal / Metropolitan Archbishop of Braga / Bishop of Vila Real / Duke of Monte Real |
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Kalixtus Cardinal


Inscrit le: 24 Fév 2013 Messages: 15141 Localisation: Roma, Palazzo Doria-Pamphilj
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Posté le: Jeu Fév 16, 2023 11:53 pm Sujet du message: |
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I agree with this version. No problems from my point of view. _________________
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Francesco_maria Cardinal


Inscrit le: 14 Jan 2013 Messages: 3830
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Posté le: Ven Fév 17, 2023 8:24 pm Sujet du message: |
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"A very good job. Placet!" _________________
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Roderic_ Cardinal


Inscrit le: 31 Mar 2020 Messages: 2145 Localisation: Rome et la Principauté de Catalogne
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Posté le: Sam Fév 18, 2023 5:28 am Sujet du message: |
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In the first instance, that is fine with me. However, to re-read, as there were a couple of articles that seemed to me to be either repeated or implied the same thing. _________________
Cardinal Bishop // Cardinal Vicar Grand Inquisitor // Prelate of Honour of His Holiness //
Archbishop sine cura of Sassari and Urbino // Bishop sine cura of Urgell // Chancellor of the Order of Saint Nicolas V . |
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Urbain_mastiggia Cardinal


Inscrit le: 19 Mai 2017 Messages: 2700
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Posté le: Sam Fév 18, 2023 2:48 pm Sujet du message: |
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- Je n'ai rien remarqué d'anormal, et j'apprécie grandement les éléments de cette nouvelle version, plus complète et qui permettra de ne pas se perdre en cas d'absence d'un témoin, par exemple.
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- I didn't notice anything wrong, and I greatly appreciate the elements of this new version, which is more complete and which will make it possible not to get lost if a witness is absent, for example. _________________
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Sixtus Pape


Inscrit le: 03 Juil 2014 Messages: 4157 Localisation: Sur les rives du Tibre
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Posté le: Sam Fév 18, 2023 6:56 pm Sujet du message: |
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Roderic_ a écrit: | In the first instance, that is fine with me. However, to re-read, as there were a couple of articles that seemed to me to be either repeated or implied the same thing. |
Brother Roderic, if you refer to the silent authorisation we deemed it wiser to repeat the provisions since they refer to two different authorisations, one for the celebration of the marriage and one for the celebration in a different place.
If that's not what you are referring to please let us know so that it can be corrected if needed. _________________
Eskerrik asko Iñési sinaduragatik |
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Fenice Cardinal


Inscrit le: 19 Déc 2010 Messages: 12305
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Posté le: Sam Fév 18, 2023 10:48 pm Sujet du message: |
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A very good text indeed.
In the English version, Can. 6 has not been translated from French. _________________
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Pie de Valence Cardinal


Inscrit le: 04 Nov 2012 Messages: 7806 Localisation: Langres/Joinville
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Posté le: Dim Fév 19, 2023 8:38 pm Sujet du message: |
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This text provides useful clarifications. _________________ "Le modernisme n'est ni une dérive, ni une horreur, ni une maladie honteuse. C'est le terreau de la rénovation de l'Eglise, la terreur des conservateurs, l'air pur qui vivifiera la foi" (Pie II de Valence)
"On n'est jamais dans le mensonge quand on prêche la paix et l'apaisement, toujours quand on prêche la haine d'autrui" (Pie II de Valence) |
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Sixtus Pape


Inscrit le: 03 Juil 2014 Messages: 4157 Localisation: Sur les rives du Tibre
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Posté le: Dim Fév 19, 2023 11:33 pm Sujet du message: |
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The text is published, we ask you all to make sure the new version is spread and made known throughout your regions.
The Italian and Spanish versions will be added to the library. _________________
Eskerrik asko Iñési sinaduragatik |
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Kalixtus Cardinal


Inscrit le: 24 Fév 2013 Messages: 15141 Localisation: Roma, Palazzo Doria-Pamphilj
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Posté le: Lun Fév 20, 2023 6:20 pm Sujet du message: |
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