L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church
Forum RP de l'Eglise Aristotelicienne du jeu en ligne RR
Forum RP for the Aristotelic Church of the RK online game
 
Lien fonctionnel : Le DogmeLien fonctionnel : Le Droit Canon
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

[Aristote] Récit de Collagène de Mégare

 
Poster un nouveau sujet   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Le Dogme - The Dogma
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Lorgol
Cardinal
Cardinal


Inscrit le: 05 Avr 2006
Messages: 3719

MessagePosté le: Sam Aoû 11, 2007 11:48 pm    Sujet du message: [Aristote] Récit de Collagène de Mégare Répondre en citant

jandebohem a écrit:
Des évènements extraordinaires, moi, Collagène de Mégare, aide de camp dans l’Armée d’Alexandre, je puis affirmer que j’en fus témoin si souvent durant trente ans de campagnes militaires que bien peu de choses m’étonnent, ç’est bien pourquoi la bleusaille me surnomme le Diogène des phalanges.
Mais quand notre jeune prince décida de partir en quête des ruines de la Citée mythique d’Oanylone sur les seuls conseils de ce vieux fou de philosophe simplement parce que ce dernier l’avait vu en songe, j’étouffais un cri d’effroi, caché derrière une colonne avec Callisthène, neveu du sage qui lui même se prit, d’étonnement les orteils dans les franges d’un tapis persan murmurant « j’aurai ta peau Darius ! » …Tout était dit.
C’est ainsi que nous partîmes, quarante mille soldats à la poursuite d’un songe un matin de printemps, tendus comme un arc vers l’orient.

L’Hellespont franchi, Alexandre, nourri des récits d’Homère dont Aristote lui avait farci l’esprit, partit sur le champ se recueillir dans les ruines de Troie.
Le soleil couchant allumait ses ors sur les vestiges moussus de gigantesques remparts et une étrange quiétude pénétrait les lieux.
Tandis que le prince cherchait dans l’ombre des stèles saillantes d’Ilion la Grande une trace du héros qui berça son enfance, littéralement sur les talons d’Achille, le philosophe accompagné de son neveu et moi-même fûmes attirés par une mélopée étouffée brisant le silence.
Dans un cercle de pierres, quelques humains se tenaient dressés comme des roches levées,
pétrifiés par la Pythie dont le chant défiait la raison. A notre approche, le prêtre interprète sembla s’éveiller d’un songe puis nous accueillit en ces termes : « étrangers, depuis des jours, l’oracle nous annonce votre venue, formulez la question qui vous tourmente et Dieu, par la bouche d’Oenoné daignera nous éclairer »
puis il tendit à l’oracle de l’eau et des feuilles de laurier à mâcher.
Les participants portaient tous, au cou la même amulette faite de trois métaux



Ce fût un Aristote troublé qui alors prît la parole : quel est le but ultime de ma quête ?

Oenoné, dans le crépuscule reprit son chant fou et hyper-aigu « entre en transe entre anses denses, danse en transcendance »
que dit-elle ? s’enquit Callisthène. Rien, elle s’échauffe
Mais peu à peu l’énigmatique logorrhée devint intelligible :
« trois, deux, un, retrouvez l’origine
Troane, est atteint, troisième demeure des fils
sont près de Daisane les enfants du premier
enfin, là ou gît le premier né Oane,
sois l’élu qui sera le héraut du Très-Haut »
l’inter-prêtre hocha la tête longuement observa Aristote avec un effarement empreint de déférence puis il traduit :
Ton périple commence ici en Troanne, la troisième Cité des fils d’Oane, Plus loin vers l’orient cherche Daisane, là, se trouve la seconde clé du voyage dont le dessein, plus à l’est encore, est Oanylone cité du premier humain au regard de Dieu lors tu deviendras le messager divin.
La nuit fût passée à se perdre en conjectures sur l’énigmatique message et l’identité de cet Oane qui avait imprégné jusqu’à la construction de la plupart des langages du monde connu.
Les étranges adeptes rencontrés aux ruines ne nous quittaient plus et s’abandonnaient en prières autour de notre campement.
Ces révélations nous remuaient encore le lendemain, lorsque, réglant quelques affaires courantes nous affrontions Arsitès, le général Perse.
L’issue de cette guerre de représailles bascula à notre avantage quand Aristote suggéra au prince d’attendre pour l’assaut final que le soleil fût dans notre dos. Les Perses, éblouis par le soleil qui se trouvait désormais en face d'eux, distinguant mal leurs adversaires, perdirent l'avantage de la position. Dès lors, les Macédoniens, forçant la ligne triomphaient.
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Marco_Castello



Inscrit le: 21 Avr 2011
Messages: 1807

MessagePosté le: Jeu Juil 21, 2011 3:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:



Història de Col·lagen de Mègara

Capítol I

D’esdeveniments extraordinaris, jo, Col•lagen de Mègara, ajudant a l’exèrcit d’Alexandre, puc dir que n’he testimoniat molts durant les tres dècades de campanyes militars i que molt poques coses em sorprenen, certament per què em va fer una juguesca el qui anomenen Diògenes el de les falanges

Però quan el nostre príncep va decidir sortir a la recerca de la mítica ciutat d’Oanilònia, només pels consells d’aquell vell filòsof boig per què l’havia vista en un somni, vaig ofegar un crit de terror, amagat rere una columna amb Calístenes, nebot del savi que, fregant amb els dits dels peus una catifa persa, murmurà
“tindré la teva pell, Dàrius!”Amb això es va dir tot...

Així que vam anar, quaranta mil soldats, a la recerca d’un somni un matí de primavera, que es va estendre com un pont cap a l’Orient.

Alexandre va creuar l’Hel•lespont, fart de les històries d’Homer que Aristòtil havia omplert a la ment, fou ràpidament cap a Troia per tal de meditar sobre les ruïnes.

La posta de sol va il•luminar l’or que hi havia a les restes de molsa de les parets i una estranya tranquil•litat va omplir l’ambient.

Mentre que el príncep buscava a les ombrives làpides prominents del camp de la Gran Ílion vestigis del gran heroi de bressol, literalment als talons d’Aquil•les, el filòsof, amb el seu nebot i amb mi, ens vam sentir atrets per un cant ofegat que rompia el silenci.

En un cercle de pedres, algunes persones romanien dretes, petrificades per la Pítia i el seu cant desafiador de la raó. Des del punt de vista, el sacerdot intèrpret va semblar despertar d’un somni i, després, ens va donar la benvinguda de la manera següent:


“Estrangers, des de fa dies l’oracle anuncia la vostra arribada; formuleu la pregunta que us turmenta i Déu, a través de la boca d’Enó es dignarà a il•luminar-nos”.

Després, lliurà a l’oracle aigua i fulles de llorer per tal que les mastegués.
Els participants duien tots al coll el mateix amulet constant de tres metalls.




Fou, aleshores, Aristòtil qui, torbat, digué: “Quin és l’objectiu final de la meva recerca?”

Enó, al crepuscle, va reprendre un cant boig i ultrasònic: “Entra amb ànsia llaços densos, un ball transcendent”*.
“Què diu?” va preguntar Calístenes

“Res, escalfa”

Però, poc a poc, l’enigmàtica verborrea es va convertir en quelcom inintel•ligible.

“Tres, dos, un, troba l’origen...
A Troane, s'arriba a la tercera casa dels fills de la primera Daisane.
Finalment, allà jau el primogènit Oane,
Escollit herald de l’Altíssim.”

El sacerdot va assentir amb el cap mentre Aristòtil observava consternat amb deferència el qui li traduiria:

“El teu viatge comença aquí, a Troane, la tercera ciutat dels fills d’Oane; més enllà, a l’Orient, busca Daisane. Allà trobaràs la segona clau del trajecte que, novament més cap a l’est, et durà a Oanilònia, la ciutat del primer humà atès per Déu. Aleshores esdevindràs el missatger diví.”

La nit va passar en especulacions sobre l’enigmàtic missatge i la identitat d’aquest Oane que havia impregnat la construcció de la majoria d’idiomes del món conegut.
Els estranys adeptes trobats a les ruïnes ens van abandonar i es van lliurar a l’oració, als voltants del nostre campament.
Aquestes revelacions ens torbaven encara al dia següent, quan, solucionant un parell de coses, es vam enfrontar a Àrsites, el general persa.

El resultat d’aquesta guerra de represàlies esdevingué favorable a nosaltres quan Aristòtil va proposar al príncep d’esperar a fer l’assalt final quan el sol estigués a les nostres espatlles. Els perses, enlluernats pel sol que romania davant seu, van perdre l’avantatge de la nostra posició. En conseqüència, els macedonis van creuar la línea triomfants.


*N de T: Joc de paraules en el idioma original: «entre en transe entre anses denses, danse en transcendance »



Traduït al català per Ignius de Muntaner

_________________
[/url]
Ex. Juge Royal|Arch. Em.de Malines |[url=http://abbaye-thomiste.forumactif.org/]Thomiste
| Comte de Corinthe et Baron de La Vostice (Achaïe), Vicomte de Bailleul (France)
- MORT DÉFINITIVEMENT CETTE FOIS
Récipiendaire du Grand Chrisme d'Or
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Ignius



Inscrit le: 17 Nov 2010
Messages: 3429
Localisation: Catalunya

MessagePosté le: Mer Nov 30, 2011 2:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


CAPITULO I:

- Yo, Colágeno de Megara, fui testigo de acontecimientos extraordinarios tantas veces durante treinta años de campañas militares, siendo ayudante de campo en el ejército de Alejandro, que puedo afirmar que ya muy pocas cosas me sorprenden.
Está bien, ¿por qué los novatos me apodan “Diógenes de las falanges”?

Sin embargo, cuando nuestro príncipe decidió salir en busca de la mítica ciudad de Babilonia, sólo teniendo en cuenta los consejos de aquel viejo filósofo loco quien la había visto en un sueño, ahogué un grito de terror, escondido tras una columna con Calístenes (sobrino del sabio) que rozando con los dedos de los pies una alfombra persa, dijo:

- ¡Tendré tu piel, Darío!
Así todo quedó dicho...

De ese modo una mañana de primavera cuarenta mil soldados partimos a perseguir nuestro sueño formando un arco que se extendía en dirección a oriente.

Alejandro cruzó el Helesponto y, atesorando las historias de Homero con que Aristóteles le había llenado la cabeza, se había concentrado en meditar sobre las ruinas de Troya.

La puesta de sol iluminó el oro que había en los restos de musgo de las murallas y una extraña tranquilidad llenó el ambiente.
Mientras el príncipe buscaba entre las sombrías lápidas salientes del campo de la Gran Ilion vestigios del gran héroe de cuna (literalmente sobre los talones de Aquiles) el filósofo, su sobrino y yo nos sentimos atraídos por un canto ahogado que rompía el silencio.

En un círculo de piedras, algunas personas permanecían de pie petrificadas por la Pitia, como rocas que habían sido izadas por un canto que desafiaba la razón. Donde nosotros estábamos, el sacerdote pareció despertar de un sueño y nos dio la bienvenida en estos términos:


“Extranjeros, desde hace días el oráculo anuncia su llegada, formulen la pregunta que les atormenta y Dios, a través de la boca de Enone, se dignará a iluminarnos".

Luego entregó al oráculo agua y hojas de laurel para que las masticara.
Todos los participantes portaban un amuleto en el cuello realizado con tres metales.

Aristóteles, turbado, tomó la palabra:

-Entonces ¿Cuál es el objetivo final de mi búsqueda?

Enone durante el crepúsculo repitió su canto agudo y agitado:

“entra en trance entre fuertes asas, baila trascendentalmente”.

Calístenes preguntó: - ¿Qué dice?

-Nada, está preparándose.

Pero, poco a poco, la enigmática verborrea se convirtió en algo ininteligible.

"Tres, dos, uno, encuentra el origen ...
En Troane, estate atento, se llega a la tercera casa del hijo, cerca de los hijos de la primera Daisane.
Finalmente, allí yace el primogénito Oane, Elegido heraldo del Altísimo"
.

El sacerdote asintió con la cabeza mientras Aristóteles observaba con deferencia a quien le traduciría:

-"Tu viaje comienza aquí, en Troane, la tercera ciudad de los hijos de Oane. Más allá, en Oriente, busca Daisane. Allí encontrarás la segunda clave del trayecto que, continuando hacia el este, te llevará a Babilonia, la ciudad del primer humano creado por Dios. Entonces serás el mensajero divino”.

Se pasaron la noche especulando sobre el enigmático mensaje y la identidad de este Oane que había participado en la construcción de la mayoría de los idiomas del mundo conocido.

Los extraños adeptos encontrados en las ruinas nos abandonaron y se entregaron a la oración en los alrededores de nuestro campamento.
Las revelaciones nos turbaban aún al día siguiente y cuando todavía tratábamos de resolver un par de enigmas, se nos enfrentó a Arsites, el general persa.

El resultado de esta refriega se tornó favorable a nosotros cuando Aristóteles propuso al príncipe que esperase a hacer el asalto final en el momento en que el sol estuviese a nuestras espaldas. Los persas, deslumbrados por el sol que ya estaba de frente a ellos, como veían mal a sus oponentes, perdieron la ventaja de su posición.

Como consecuencia de ello los macedonios pudieron cruzar la línea triunfantes.


Traducido por la hermana Xana de Pendragón
Revisado por Casiopea


_________________


Dernière édition par Ignius le Lun Oct 29, 2012 4:56 pm; édité 1 fois
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Ignius



Inscrit le: 17 Nov 2010
Messages: 3429
Localisation: Catalunya

MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2012 1:11 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:


Resoconto di Collagene da Megara :

Capitolo I

Io, Collagene di Megara, aiutante di campo nell'esercito di Alessandro, posso affermare che di essere stato testimone di eventi straordinari così spesso durante trenta anni di campagne militari che ben poche cose ora mi stupiscono, per questo le reclute mi hanno soprannominato il Diogene delle falangi.
Ma quando il nostro giovane principe decise di partire alla ricerca delle rovine della mitica Città di Oanilonia solo dietro i consigli di questo vecchio matto di filosofo, semplicemente perché quest’ultimo le aveva viste in sogno, soffocai un grido di timore, nascosto dietro una colonna insieme a Callistene, nipote del saggio che, anche lui per lo stupore, inciampò con gli alluci nelle frange di un tappeto persiano mormorando "Avrò la tua pelle Dario!" ... Tutto era detto.
Fu così che partimmo, quarantamila soldati all’inseguimento di un sogno, una mattina di primavera, tesi come un arco verso l'oriente.

Superato l’Ellesponto, Alessandro, entusiasta dei resoconti di Omero di cui Aristotele gli aveva riempito lo spirito, partì immediatamente per radunarsi sulle rovine di Troia.
Il solo al tramonto illuminava col suo oro le vestigia di muschio che ricoprivano le gigantesche muraglie ed una strana quiete penetrava i luoghi.
Mentre il principe cercava, nell'ombra delle steli salienti della leggendaria Ilio, una traccia dell'eroe che cullò la sua infanzia, ovvero il tallone di Achille, io ed il filosofo, accompagnato da suo nipote, fummo attirati da una litania soffocata che ruppe il silenzio.

All'interno di un cerchio di pietre, alcuni uomini si tenevano ritti come rocce innalzate, pietrificati dalla Pizia il cui canto sfidava la ragione. Al nostro approssimarci, il sacerdote interprete sembrò destarsi da un sogno, poi ci accolse con questi termini:
"Stranieri, da giorni l'oracolo ci annuncia il vostro arrivo. Formulate la domanda che vi tormenta e Dio, per bocca di Oenone, degnerà d’illuminarci."
Quindi, porse all'oracolo dell'acqua e delle foglie di alloro da masticare.
I partecipanti portavano tutti, al collo, lo stesso amuleto fatto di tre metalli.



Fu un Aristotele turbato che prese allora la parola: "Qual è lo scopo ultimo della mia ricerca?"

Oenone, nel crepuscolo, riprese il suo canto folle ed iper acuto: "Entro in trance, entro in fitte insenature, danzo in trascendenza."
"Cosa sta dicendo?" chiese Callistene. "Nulla, ella si agita."
Ma, poco a poco, l'enigmatico fiume di parole diventò intelligibile:
"Tre, due, uno, ritrovate l'origine.
Troania è abbattuta, terza dimora dei figli.
Sono presso Daisane i figli del primo.
Infine, là dove giace il primo nato Oane,
sia l'eletto che sarà l’araldo dell’Altissimo."

Il sacerdote interprete scosse a lungo la testa, osservando Aristotele con stupore intriso di rispetto, quindi tradusse:
"Il tuo viaggio comincia qui a Troania, la terza città dei figli di Oane. Più lontano, verso oriente, cerca Daisane: là si trova la seconda chiave del viaggio, la cui meta finale, più a est ancora, è Oanilonia, città del primo uomo al cospetto di Dio. Allora tu diventerai il messaggero divino."

La notte era passata a perdersi in congetture sul messaggio enigmatico e sull'identità di questo Oane che aveva impregnato fino alla costruzione la maggior parte lingue del mondo conosciuto.
Gli adepti sconosciuti incontrati alle rovine non ci lasciavano più e si abbandonavano in preghiere attorno al nostro accampamento.
Queste rivelazioni ci agitavano ancora il giorno dopo, quando, regolando alcuni affari in corso, affrontammo Arsite, il generale Persiano.
L'esito di questa guerra di rappresaglie venne a nostro vantaggio quando Aristotele suggerì al principe di attendere che il sole fosse alle nostre spalle per l'attacco finale. I Persiani, abbagliati dal sole che si trovava ormai di fronte a loro, distinguendo male i loro avversari, persero il vantaggio della posizione. Di conseguenza, i Macedoni forzarono la linea trionfando.

Revisionato da Madre Adhominem

_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Doron



Inscrit le: 19 Mai 2012
Messages: 482

MessagePosté le: Mar Nov 11, 2014 10:55 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Aristoteles boek III: Verhaal van de Collageen van Mégare

Hoofdstuk I


Van de volgende buitengewone gebeurtenissen was ik, Collageen van Mégare, aide de camp in het leger van Alexander, getuige en ik kan u zeggen dat ik met mijn dertig jaar van militaire campagnes al veel heb mee gemaakt en gezien heb en dat er maar weinig dingen waren welke mij echt hebben verbaasd. Het was daarom ook dat ik de bijnaam “Diogenes-bij-de-pinken” kreeg.
Het was op een goede dag dat onze jonge prins besloot om op zoek te gaan naar de ruïnes van de legendarische stad Oanylone, enkel en alleen op advies van deze gekke oude filosoof die het simpelweg in zijn droom had gezien. Toen ik dit hoorde onderdrukte ik een kreet van schrik terwijl ik verborgen stond achter een pilaar met naast mij Callisthenes, neef van de wijsgeer, die ik hoorde fluisteren: «Ik zal je huid hebben, Darius»…En daarmee was alles gezegd.

Zo vertrokken we op een lentemorgen naar het oosten, veertig duizend soldaten gespannen als een boog, die een droom nastreven.

Bij de gekruisde Hellespont aangekomen liet Alexander, gevoed door verhalen van Homerus die door Aristoteles in zijn gedachten waren gebracht, de tenten opzetten op de velden bij de ruïnes van Troje en zelf ging hij tussen de ruïnes zitten mediteren. De ondergaande zon verlichtte met zijn gouden stralen de overblijfselen van de reusachtige bemoste muren en de stille vreemde plekken. Terwijl de prins zat te mediteren over zijn jeugd en de grootsheid van zijn mogelijke daden gingen de filosoof, zijn neef en ik op een gedempt gezang af welke de stilte leek te doorbreken. We liepen alsof Achilles ons achterna zat. In een cirkel van stenen zagen wij mensen, sommigen stonden rechtop als versteende beelden en leken onze aanwezigheid niet op te merken, anderen merkten ons op. Door onze handelingen leek een priester te ontwaken uit zijn trance. Hij bleek een tolk te zijn en hij verwelkomde ons in de volgende termen: «Buitenstaanders, voor vele dagen kondigde het orakel reeds uw komst aan door de mond van Oenone, leg uw vragen of kwellingen aan hem voor en God zal antwoorden»

De deelnemers aan deze ceremonie droegen allemaal eenzelfde amulet, gemaakt van drie metalen:



Vervolgens werd er aan het orakel een kom vol water geven en een aantal laurierbladeren waarop hij begon te kauwen en ze vervolgens in het water legde.

Het was de onrustige Aristoteles welke vervolgens het woord nam: “Wat is het uiteindelijke doel van mijn zoektocht.”

Oenone, gezeten in het schemerduister, hervatte zijn gekke gezang «Hij treedt nu in een dans voor transcendentie»
“Wat zegt het?” vroeg Callisthenes verhit.
Geleidelijk werd het vreemde gezang duidelijker verstaanbaar:

“Drie, twee, een, vind de oorsprong terug;
Daar waar Troane is, de derde woonplaats van de draden wordt bereikt;
Dichtbij Daisane zijn de Kinderen van de Eerste;
Daar vindt men het ontstaan van Oane en wordt de eerstgeborene gekozen als heraut van de Allerhoogst”

De Hoge Priester knikte naar Aristoteles die ontzet leek te kijken. De Priester vertaalde eerbiedig:

“Jouw rondreis begint hier, in Troanne, de Derde stad van de draden van Oane, verder in het oosten zult u moeten zoeken naar Daisane, daar bevindt zich de tweede sleutel van uw reis. Daarna zult u nog verder naar het oosten gaan, verder dan ieder mens ooit gegaan is en daar zal u worden tot Gods heraut."

De nacht was voorbij gegaan en liet vele gissingen achter waarin een mens zich kon verliezen. Gissingen over dit raadselachtige bericht en de identiteit van dit Oane, de stad die in de taal van vele volkeren was doorgedrongen. De vreemde volgelingen verlieten ons niet meer maar gingen met ons mee en vormden een kring rondom ons kamp. Deze openbaringen leiden de volgende dag in waarin wij strijd leverden tegen Arsitès, generaal van de Perzen. De afloop van deze oorlog kantelde in ons voordeel toen Aristoteles aan de prins voorstelde om te wachten met de aanval tot de zon in onze rug stond. De Perzen, die door de zon werden verblindt en de voorhoede vormden van het Perzische leger, werden verblindt en konden geen onderscheidt meer maken tussen wie vijand was en wie vriend. Hierdoor verloren zijn hun posities en werden zij overmeesterd door de Macedoniërs welke een doorbraak forceerden en zo triomfeerden.

_________________
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church Index du Forum -> La Bibliothèque Romaine - The Roman Library - Die Römische Bibliothek - La Biblioteca Romana -> Le Dogme - The Dogma Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com