L'Eglise Aristotelicienne Romaine The Roman and Aristotelic Church

[frère roger]

S'adressant aux trois templiers de l'escorte du défunt lebergerblanc,

Je propose que vous creusiez une belle tombe dans le coin et que nous célébrions ensemble une petite cérémonie pour que nostre ami aie de dignes funérailles. Je verrais bien sa tombe à l'ombre de ce pin ...

Puis enjoignit à Kéké, un des ses deux clercs d'escorte

Maintenant que tu es revenu après avoir porté le message à Acar, occupe toi donc du ton compère Nicks qui s'offre le martyr avec cette vilaine blessure à la cuisse. Donne lui un peu d'eau et veille à son confort en attendant les renforts de l'OCF.

A tous :

L'ami Acar de ventoux est à quelques kilomètres et va arriver nous prester main forte pour nous soigner, nous founir vivres & secours et enfin augmenter la taille de l'escorte pour éviter toute mauvaise rencontre.
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EVEQUE IN PARTIBUS D'HELIOPOLIS

[acar]

Oui dame medicastre, un blessé va arriver prestement, envoyé par frère Roger... Ainsi, vous allez vous en occuper et lui rendre, parbleu, la vie !

Puis il se retourna... A l'horizon, ses frères arrisvaient, vu la taille de la poussière levée et desjà, il voyait flotter les bannières de l'OCF.

Prestement, il verisfia son materiel, il fict demander que les vivres suivassent ainsi que ce qu'il avaict desjà prict pour la bonne aide.
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[Melian]

Tandis qu'il allait observer la venue des Frères Francs, elle prit parole à son tour, le suivant du regard, s'efforçant au passage de dissimuler autant que possible tout l'amour qu'ils pouvaient refléter à la vue de son époux. Le travail en premier.

Très bien je vais aller rassembler mon matériel céans. Mais, si je puis me permettre, ne connaissant pas l'état du blessé, le plus sage serait peut estre d'aller le rejoindre sur place, des fois que son état ne permette poinct son transport, ne croyez-vous pas ?
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[acar]

Ma foy dame, faictes donc ainsi et suivez nous dès que la troupe sera presentement icelieu.

On enstendaict maintenant les bruits des sabots...

Il se retourna et fict sourire à son espouse de medicastre.
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[Melian]

Melian lui rendit son sourire.

Je vais donc faire seller Amaïa et préparer le nécessaire.

Sortant, elle prit au passage sa main qu'elle serra tendrement, avant de s'en partir pour la tente de l'infirmerie.

Arrivée, elle demanda à ce que sa jument soit harnachée, puis entra et prit deux sacoches qu'elle remplit de compresses, de bandages, de saponaire, de plantes médicinales diverses, de planchettes de bois pour faire d'éventuelles attelles, de linges propres. Elle y glissa également son tablier pour protéger sa robe.

Quittant finalement la tente avec tout le nécessaire après avoir vérifié que tout était bien là et qu'elle n'oubliait rien, elle installa les sacoches sur la pure sang arabe blanche, et attendit le signal de départ.
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[neocor]

Sur les chemins

A entendre hurler dans la Citadelle le "Branle bas de combat" Neocor avait tout laissé en plan et avait sellé sa vieille mule. Celle-ci avait dû imagoner l'urgence car elle avançait d'un bon pas, et les faubourgs de Rome étaient déjà visibles...

[syerry]

[L'arrivée au campement aux abords de Rome]

La citadelle Franche avait effectivement résonnée de la demande de se rassembler. Rome .... Ils y étaient attendus.

La chevauche fut longue mais fut sans encombrement. Les routes n'étant plus sures, le Capitaine de la Garde avait filé les chemins en maintenant sa pertuisane bien ancrée entre sa cuisse et flanc de sa bête, le regard de bleu glacier balayant tous les environs s'assurant de la sécurité du petit groupement qui se dirigeait à vivement vers les terres de Rome.

La Franche freine le rythme du grand galop de sa bête lorsqu’elle approcha Monseigneur Neocor. Elle lui adresse un sourire énergique mais, ne pouvant efforcer sa voix dans les vents du Nord qui soufflaient assez brusquement, elle demeurera dans son silence, l’ouïe quelque peu agacée par le claquement des gonfanons au vent et des sabots battants la terre ferme, gelée de la froideur des temps. Syerry vit se dessiner un campement aux abords de si pittoresque et grand lieu qu'est Rome. Elle se redresse à dos de sa Neige et pointe l’horizon les couleurs de l'Ordre qu'elle perçoit.

Son fort intérieur tourbillonne de hâte et d’impatience de retrouver son cousin et d’en savoir plus longuement sur les évènements, de pouvoir prêter mains fortes. Le campement est maintenant bien en vue, elle arrêtera sa monture d’un sec coup de rênes. Sans broncher, l’animal fit halte et Syerry se glisse agilement au bas du destrier et fait reste du chemin à la marche. Elle se détache quelque peu du groupe voyant un garde de l’OCF planté non loin. Vite il sera adressé.

Paix à vous, Garde. Menez moi au Chevalier Acar de suite. Merci.
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[JackDaniel's]

Sur les chemins.

Le Prévôt rattrapa son ami Neocor sur la route. Il galopa. Arrivé à son niveau:

Attendez je fais la route avec vous, c'est plus sympa. C'est vrai qu'avec la mule on va mettre deux fois plus de temps, mais bon...
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[frère roger]

[sur les lieux du campement de Roger dévasté par Cicatrice_rouge]

Roger encourageait du regard les trois templiers à creuser la future tombe du défunt Lebergeblanc à l'ombre d'un beau petit pin. Pendant ce temps, Kéké, clerc de son escorte, essayait d'empêcher son compère Nicks de tourner de l'œil. Ce dernier avait été salement amoché à la jambe et gémissait sous la douleur.

Bon sang de bon Logos, quelle galère les amiches !

(hrp : les intervenants {médicastre ou autre} peuvent pour interagir avec ce RP, faire agir eux-même Kéké & Nicks comme des PNJs. Garder juste à l'esprit qu'ils sont des clercs dévoués et peu frustres de l'escorte de Roger.)
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EVEQUE IN PARTIBUS D'HELIOPOLIS

[neocor]

Sur la route.

Neocor sourit à Syerry, un sourire accompagné d'une invitation à garder le rythme de sa monture... Puis Jack arriva à sa hauteur et décida de rester en sa compagnie. L'Abbé allait le ralentir quelque peu, mais ils n'étaient plus très loin...

Ah, Jack, merci d'être là ! Je sens qu'un peu de Whysky ne pourrait me faire que du bien... Au fait, je suis parti au signal, mais je ne pourrai être utile qu'avec mes prières et des signes d'amitié...

[JackDaniel's]

Sur la route.

Tenez mon ami, un peu de whisky. Vous avez le nez fin ou est-ce l'habitude de me voir en permanence avec ma fiole?

Puis regarda à la droite de Neocor, aperçut Syerry:

Tiens! Vous êtes là vous?
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[frère roger]

[sur les lieux du campement de Roger dévasté par Cicatrice_rouge]

Un peu interloqué par le silence des trois templiers normands, Roger leur demanda :

Vous voulez pas que les funérailles de nostre ami lebergeblanc soit célébrée ici ou par moi ?

Roger reprit ses préparatifs en vue des funérailles devant le corps du défunt. il récite de mémoire

Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur. Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’est la tienne Seigneur. Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité. Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami & Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Ensuite Roger asperge le corps d'eau bénite et dit :

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"

Un moment de silence & de recueillement pendant cette petite cérémonie improvisée avec les moyens du bord & dans l'urgence

Quelqu'un désire ajouter un mot en son souvenir, pour exprimer sa peine ou des condoléances ?

Roger attendait avec patience une réaction de la petite assemblée.
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EVEQUE IN PARTIBUS D'HELIOPOLIS

[Salvaressa]

Les Templiers de Normandie avait écouté avec grande émotion les funérailles du père Lebergerblanc dont le moine frère Roger mettait tout son coeur et son amour en lui rendant un dernier hommage par une cérémonie en son honneur.

Salvaressa trés peinée de la perte d'un de ses anciens frères,regarda tristement le vieux frère Roger quand celui çi demanda si quelqu'un désirait ajouter un mot...

Les mains tremblantes et le visage en larmes,elle essuya ses joues avec le revers de sa manche et ajouta en baissant la tête.

- repose en paix cher ami...que Dieu veille sur toi...nous te gardons dans notre coeur....amen...

Elle se signa puis pria quelques instants pour se recueillir avec ses frères et les moines...
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"Je tiens mon âme en paix et en silence, comme un enfant contre sa mère."

[frère roger]

Pendant que Lebergerblanc était descendu en terre dans son linceul pour être enterré, Roger pris un parchemin à entête officielle & une plume pour écrire à Caturix, frère du défunt.

[Garde de l'OCF]

Le garde en faction surveillait les allées et venues.
Le médicastre était retourné à la tente servant d'infirmerie.
Le Capitaine Franc fit alors son apparition, suivit bien vite de l'Abbé et du Prévôt.
Ordres pour les soins aux montures.
Puis, se postant devant eux, au garde-à-vous, salut de rigueur.

Le Chancelier vous attend.

Sans un mot de plus, il les invita à le suivre à la tente en question. Il en ouvrit le pan, et se fixa devant le Chevalier Acar de Ventoux.

Le Capitaine, l'Abbé et le Prévost sont là.

Il se glissa ensuite sur le côté pour les laisser entrer, puis attendit d'éventuels ordres.